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durée : 00:02:57 - Géopolitique - par : Pierre Haski - C'est une rencontre qui en dit long sur la diplomatie version Trump. Hier, le président américain a reçu Benjamin Netanyahou à la Maison-Blanche. Pourquoi cette rencontre a-t-elle lieu à Washington, alors que des négociations ont déjà lieu à Doha ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:57 - Géopolitique - par : Pierre Haski - C'est une rencontre qui en dit long sur la diplomatie version Trump. Hier, le président américain a reçu Benyamin Netanyahou à la Maison Blanche. Pourquoi cette rencontre a-t-elle lieu à Washington, alors que des négociations ont déjà lieu à Doha ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : - Patrick Martin-Genier, spécialiste des relations internationales - Sabrina medjebeur, essayiste-sociologue Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Très critiqué avant l'offensive lancée contre la République islamique, le 13 juin dernier, notamment pour sa gestion de la guerre à Gaza, le Premier ministre israélien semble désormais avoir le soutien de son peuple. De fait, dans les sondages réalisés après l'annonce du cessez-le-feu, Benjamin Netanyahou regagne du terrain.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Très critiqué avant l'offensive lancée contre la République islamique, le 13 juin dernier, notamment pour sa gestion de la guerre à Gaza, le Premier ministre israélien semble désormais avoir le soutien de son peuple. De fait, dans les sondages réalisés après l'annonce du cessez-le-feu, Benjamin Netanyahou regagne du terrain.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Très critiqué avant l'offensive lancée contre la République islamique, le 13 juin dernier, notamment pour sa gestion de la guerre à Gaza, le Premier ministre israélien semble désormais avoir le soutien de son peuple. De fait, dans les sondages réalisés après l'annonce du cessez-le-feu, Benjamin Netanyahou regagne du terrain.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’ancien président américain avait appelé à l’annulation pure et simple des procédures.Une déclaration qui avait indigné une partie de la droite israélienne, inquiète pour l’indépendance de la justice.
Sommes-nous à un point de non-retour dans le conflit qui oppose Israël et l'Iran ?▶ Le Média lance le plan "Riposte"
C'est à la Une du New York Times : « Trump déclare qu'il décidera d'une attaque contre l'Iran dans les deux prochaines semaines ». Le Times va plus loin, en nous expliquant « comment une frappe américaine contre l'Iran pourrait se dérouler ». Il s'agirait de viser les installations nucléaires souterraines de Fordo, à l'aide de « deux MOP, Massive Ordnance Penetrators, des bombes de 6 mètres de long et 13,6 tonnes qui peuvent détruire des couches de roche et détruire des bunkers souterrains ». « Entre deux heures et quatre heures du matin, c'est le meilleur moment pour attaquer, que ce soit avec une mitrailleuse ou en larguant une bombe sur leur tête », explique un ancien pilote d'avion à réaction ». Le monde serait donc suspendu aux intentions du président américain et cela en réjouit certains… comme Jan Philip Burgard, rédacteur en chef du groupe Welt, en Allemagne. Là où beaucoup soulignent l'imprévisibilité de Donald Trump, lui, affirme qu'il est « porteur d'espoir ». « Est-il vraiment un roi capricieux ? » demande le journaliste qui visiblement n'y croit pas. « Il est bien plus probable qu'il recherche l'ambigüité stratégique. Il reste délibérément vague et ambigu, afin de conserver sa flexibilité et de déstabiliser ses adversaires ». L'Iran affaibli Toutefois, d'autres analystes estiment que l'Iran « a d'ores et déjà perdu la guerre ». C'est le cas du magazine Foreign Affairs, dont Courrier International, reprend les propos. « En l'espace de quelques jours », estime Afshon Ostovar, universitaire américain d'origine iranienne, « Israël a infligé des dégâts considérables, au programme militaire et nucléaire de l'Iran. Même si seuls les dirigeants iraniens connaissent l'ampleur véritable des destructions, il est peu probable que le pays puisse s'en remettre facilement ». « Qu'elle capitule, recherche un compromis ou opte pour la surenchère », poursuit Afshon ostovar, « la République islamique ressortira encore plus affaiblie par le conflit ouvert qui l'oppose à Israël ». Israël, où en revanche, Benyamin Netanyahu n'a rien à craindre, si l'on en croit le Monde, selon lequel, « malgré les dégâts et les morts les israéliens soutiennent la guerre contre l'Iran ». Le quotidien français a rencontré Shoshi Arbuz, une mère de famille qui vit dans la banlieue de Tel Aviv. Elle déclare « ne pas vouloir la guerre », nous dit le Monde, « mais elle soutient sans hésitation la décision du gouvernement Netanyahou d'attaquer l'Iran » (…). Shoshi Arbuz estime ainsi : « l'Iran veut nous détruire. Si on ne les avait pas attaqués, ils l'auraient fait ». Dernier recours L'Iran semble être seul contre tous, mais il n'aurait toutefois pas abattu toutes ses cartes, estime L'Orient-le-Jour. Le quotidien francophone libanais se demande ainsi si « l'Iran prendra le risque de fermer le détroit d'Ormuz, par lequel transite près d'un tiers du trafic mondial de pétrole ». Selon l'Orient-le-Jour, « la fermeture du détroit d'Ormuz par les responsables iraniens est citée par les experts comme une arme de dissuasion considérable, à laquelle Téhéran pourrait avoir recours ». Le commandant des Gardiens de la Révolution, le bras armé du régime, a d'ailleurs déclaré que « l'Iran envisageait de bloquer le détroit d'Ormuz » . L'Orient-le-Jour a interrogé Saeed Aganji, analyste et rédacteur en chef d'Iran Gate News, selon lequel « toute perturbation sur cette voie navigable essentielle pourrait entraîner une forte hausse des prix mondiaux du pétrole et une instabilité des marchés de l'énergie ». Ce même expert estime toutefois que « la fermeture du détroit reste aujourd'hui l'une des options de dernier recours de l'Iran ; une option qu'il ne pourrait envisager qu'en cas d'agression militaire directe et de grande ampleur de la part des États-Unis ». De quoi, peut-être, retenir le bras de Donald Trump.
Au 7ème jour de la guerre entre l'Iran et Israël, avec une plongée au coeur de la société iranienne, prise en étau entre leur dictateur et leur agresseur, entre un régime qui les opprime et un chef de gouvernement étranger qui entend les aider à se libérer en les bombardant… Alors que pensent les Iraniens aujourd'hui ? A qui en veulent-ils le plus : aux Israéliens ou à leurs propres dirigeants ? Cette guerre va-t-elle accélérer la chute du régime ou au contraire amplifier la répression contre les opposants ? Nous allons en débattre ce jeudi 19 juin avec nos invités : ▶︎ Chowra MAKAREMI Anthropologue, chargée de recherche CNRS, autrice de « Femme ! Vie ! Liberté ! Échos d'un soulèvement révolutionnaire en Iran» aux éditions La Découverte (07.09.23)▶︎ Armin AREFI Grand reporter au journal Le Point, ancien correspondant à Téhéran, auteur de « Un printemps à Téhéran- La vraie vie en République islamique » aux éditions Plon (07.02.19)▶︎ Mina KAVANI Comédienne, « Lire Lolita à Téhéran » réalisé par Eran Riklis (2024) et « Aucun Ours » de Jafar Pahani (2022), autrice, interprète et metteuse en scène de « I'm deranged » (2025)▶︎ François-Henri DÉSÉRABLE Écrivain, auteur de « L'usure d'un monde. Une traversée de l'Iran », aux éditions Gallimard (04.05.2023), prix littéraire Montaigne 2024 et «Chagrin d'un chant inachevé. Sur la route de Che Guevara » aux éditions Gallimard (08.05.25)▶︎ Pouria AMIRSHAHI Député Écologiste et Social de la 5e circonscription de Paris▶︎ Hamdam MOSTAFAVI Journaliste, directrice adjointe de la rédaction de Libération
Invités : - Louis de Raguenel, journaliste politique Europe 1 - Catherine Nay, éditorialiste politique - Gauthier Le Bret, journaliste politique CNEWS - Eric Naulleau, journaliste sportif - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Camille Pascal, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voilà cinq jours que des bombardements se répètent et l'escalade des tensions continue entre Israël et l'Iran.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"La France des honnêtes gens", c'est le nom de la campagne que lance Bruno Retailleau, qui veut incarner une droite dure, en rupture avec le laxisme sur le plan sécuritaire et migratoire. Il reprend également le thème de l'assistanat. Ruth Elkrief estime que c'est un slogan qui fait mouche, mais qu'il a déjà servi et qu'il fait un peu rétro, comme Retailleau ! Elle souligne aussi que le visuel est sombre et anxiogène. Bien que le gouvernement affiche sa volonté de réindustrialiser le pays, l'avancée des projets peine à suivre et fait face à de nombreuses oppositions. Pour Pascal Perri, la France risque de devenir un grand jardin paysagé, parfait pour le tourisme, mais sans usine et sans emploi. Alors, il faut arbitrer notre avenir : des usines ou des parcs à Schtroumpfs. Ce mercredi 18 juin, Erdogan a pris la parole devant le Parlement turc, affirmant que le Premier ministre israélien Netanyahou avait depuis longtemps dépassé Hitler en matière de génocide. Il a qualifié la riposte iranienne de naturelle, légale et légitime face aux attaques illégales d'Israël. Selon Abnousse Shalmani, si les Kurdes iraniens réclament leur indépendance, cela pourrait donner de très mauvaises idées aux Kurdes turcs. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
au 5ème jour de la guerre entre l'Iran et Israël… avec un Benjamin NETANYAHU de plus en plus menaçant envers le guide suprême iranien, n'excluant de l'éliminer… Donald TRUMP, de son côté, affirme ce soir qu'il sait où il se cache… Alors comment comprendre ces déclarations ? Faut-il craindre le chaos dans la région ou se réjouir d'une opportunité de faire tomber la République islamique ? nous allons en débattre ce mardi 17 juin avec nos invités : ▶︎ Sepideh FARSI Réalisatrice, scénariste, réalisatrice du documentaire « Put your soul on your hand and walk » (2025)▶︎ Nitzan HOROWITZ Ancien journaliste à Haaretz, ancien ministre de la Santé en Israël de 2021 à 2022, auteur de « Les assiégés - Dans l'enfer du 7 octobre» aux éditions Le Cherche Midi (03.10.24)▶︎ Dominique MOÏSI Géopolitologue, membre fondateur de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), conseiller spécial de l'Institut Montaigne, auteur de « Le Triomphe des émotions - La géopolitique entre peur colère et espoir » aux éditions Robert Laffont (08.02.24)▶︎ Agnès LEVALLOIS Vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (Institut iReMMO), autrice de « Le Livre noir de Gaza » aux éditions du Seuil (04.10.24)▶︎ Joséphine STARON Directrice des études et des relations internationales du think thank Synopia
durée : 00:03:25 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Benyamin Netanyahou a été sans ambiguïté hier sur la chaîne américaine ABC : tuer l'ayatollah Ali Khamenei, Guide suprême iranien, « ne provoquerait pas une escalade. Ça mettrait fin au conflit » avec l'Iran. Netanyahou affiche son but de guerre : la chute du régime de Téhéran.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 17 juin, l'objectif de Benyamin Netanyahou d'éradiquer le programme nucléaire iranien a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:25 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Benyamin Netanyahou a été sans ambiguïté hier sur la chaîne américaine ABC : tuer l'ayatollah Ali Khamenei, Guide suprême iranien, « ne provoquerait pas une escalade. Ça mettrait fin au conflit » avec l'Iran. Netanyahou affiche son but de guerre : la chute du régime de Téhéran.
Secoués, les mollahs se disent prêts à négocier alors que, pour l'instant, Netanyahou n'y a pas intérêt. Mais la situation pourrait s'inverser si Israël n'atteint pas son objectif stratégique de désarmer ou chasser le pouvoir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il s'intéresse à la guerre que mène Israël à l'Iran pour renverser le régime. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les bombardements israéliens sur l'Iran vont-ils provoquer la chute du système politico-religieux en place depuis presque 50 ans ? « Depuis la révolution islamique de 1979, constate le Washington Post, le régime des mollahs en Iran a fait couler le sang des Israéliens, des Américains, des Saoudiens et de tous ceux qui s'opposent à ses diktats. La question est de savoir comment le changement se produira. Quelle est la voie à suivre pour que l'Iran devienne un pays dynamique, digne de son peuple créatif et cultivé ? Il y a un fait évident, affirme le Post : une campagne de bombardements incite les gens à se terrer, à se replier sur eux-mêmes et, souvent, à se battre de manière encore plus déterminée. Les bombardements n'ont pas brisé la volonté des Britanniques, des Allemands ou des Japonais pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils n'ont pas non plus, d'ailleurs, encore détruit le Hamas à Gaza. » Et le Washington Post de citer Alireza Nader, analyste de longue date sur l'Iran : « l'Iran se trouve dans une situation prérévolutionnaire, dit-il. Mais je me demande si les gens peuvent se soulever pendant un bombardement aérien. Je crains qu'il n'y ait pas de plan. Le régime survivra et les choses ne feront qu'empirer. » Bref, l'espoir d'un changement de régime est mince. Et le Washington Post conclut avec cette incantation : « en observant le désastre qui se profile pour l'Iran, on ne peut qu'espérer qu'une voie émergera de ce moment, offrant aux Iraniens une chance de construire quelque chose de nouveau. » Le moment est venu ? Die Welt à Berlin est d'un autre avis : « c'est maintenant l'occasion de renverser les mollahs », affirme le quotidien allemand. « Depuis des années, les Iraniens tentent de renverser ce régime oppressif par des manifestations de masse et un courage admirable. Jusqu'à présent, sans succès, car l'appareil sécuritaire de la dictature a réussi à étouffer toute rébellion. Mais aujourd'hui, sous les frappes militaires israéliennes, le régime commence à vaciller, plus faible que jamais. (…) Le moment est donc venu pour les mouvements d'opposition de profiter de la faiblesse des mollahs, estime le quotidien berlinois. Les Iraniens n'auront pas de meilleure chance de se libérer de la dictature islamiste avant longtemps. (…) En fin de compte, conclut Die Welt, ce n'est pas Israël ou l'Occident dans son ensemble qui compte, mais ce que veulent les Iraniens eux-mêmes. Et les risques qu'ils sont prêts à prendre pour enfin se débarrasser de leurs bourreaux. » « Autant lancer une pièce en l'air en espérant qu'elle retombe sur la tranche » En tout cas, « Netanyahou joue à quitte ou double », pointe Le Figaro à Paris. « Israël a déclenché une guerre qu'il ne peut pas se permettre de perdre. Si le régime des mollahs y survit et sauve quelques pans de son programme nucléaire, il reconstituera sa capacité de nuisance et deviendra plus fort qu'il ne l'était, instruit de ses lacunes et de ses erreurs. Un Iran plus dangereux car poussé dans ses retranchements. (…) L'alternative, pour l'État hébreu, poursuit Le Figaro, serait un changement de régime à Téhéran. L'élimination de hauts responsables et les frappes contre la télévision montrent que Tsahal s'y emploie. » Mais le quotidien français est plus que sceptique : « de là à parier sur le renversement d'une dictature théocratique adossée aux milices bassidjis… Autant lancer une pièce en l'air en espérant qu'elle retombe sur la tranche. » Et pendant ce temps, le G7 Les grands de ce monde sont réunis au Canada. Et « la guerre entre Israël et l'Iran complique un peu plus ce sommet du G7 », pointe Libération. En effet, « quid de la dynamique du pire entre Tel Aviv et Téhéran ? Comment envoyer un message commun à l'heure où la politique commerciale et diplomatique de Donald Trump fragilise chaque jour un peu plus l'unité occidentale ? » Finalement, service minimum. « Les dirigeants du G7 se sont entendus hier soir, relève Le Soir à Bruxelles, pour appeler à une “désescalade“ dans le conflit entre l'Iran et Israël et au Moyen-Orient en général, peu avant que le président américain Donald Trump ne quitte le sommet de manière prématurée, pour officiellement mieux se consacrer à la situation au Proche-Orient. » Et on revient au Washington Post qui note que « Donald Trump a d'abord refusé de signer la déclaration du G7, mais qu'il est finalement revenu sur sa position à la suite de discussions avec d'autres dirigeants du groupe et de modifications apportées au projet initial. » Notamment, relève le journal, la formulation qui appelait l'Iran et Israël à “faire preuve de retenue“, a été biffée…
Ce lundi 16 juin, les affrontements entre l'Iran et Israël, dans la mesure où l'objectif du Premier ministre israélien semble être de faire tomber le régime iranien, ont été abordés par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il a une pensée pour les juifs Français qui vivent dans la peur. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez La Vizo Conférence avec Alex Vizorek du 16 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Israël a lancé des frappes en Iran, ouvrant une guerre ouverte entre les deux pays. Donald Trump avait pourtant demandé à Netanyahou de ne pas attaquer. Une escalade majeure est en cours. Jusqu'où ira la riposte iranienne ?Tous les samedis à 19h sur France 5, Aurélie Casse et son équipe reviennent sur les événements qui ont marqué la semaine écoulée autour d'invités fil rouge.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de l'attaque israélienne sur les infrastructures nucléaires iraniennes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:38 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le Royaume Uni, le Canada et trois autres pays ont imposé des sanctions aux deux principaux ministres d'extrême droite du gouvernement Netanyahou en Israël ; une première qui marque la dégradation des relations entre l'État hébreu et ses amis après vingt mois de guerre à Gaza.
durée : 00:03:38 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le Royaume Uni, le Canada et trois autres pays ont imposé des sanctions aux deux principaux ministres d'extrême droite du gouvernement Netanyahou en Israël ; une première qui marque la dégradation des relations entre l'État hébreu et ses amis après vingt mois de guerre à Gaza.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE RECUL DES ACCORDS DE PARISAprès avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), et promis que son second quinquennat « sera écologique ou ne sera pas », Emmanuel Macron s'est montré de moins en moins ambitieux au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. En 2019, sur recours du collectif d'associations « L'affaire du siècle », la responsabilité de l'État a été engagée par le juge administratif pour n'avoir pas respecté sa propre trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Déjà marginalisée depuis l'irruption de la guerre en Ukraine ou à Gaza, la cause climatique se retrouve foulée aux pieds dans le nouveau chaos géopolitique créé par l'administration Trump. En France, depuis le début de l'année, les reculs se multiplient, dans une ambiance d'attaques répétées de la droite et de l'extrême droite contre les opérateurs de l'État comme l'Office français de la biodiversité ou l'Agence de la transition écologique. Adopté au Sénat en janvier, un texte vise la réautorisation par dérogation de certains insecticides néonicotinoïdes et restreint l'indépendance de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), des reculs jugés considérables par les défenseurs de l'environnement.Or, il y a dix ans, dans le cadre des accords de Paris de 2015, la France s'est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050 et, pour y parvenir, s'est dotée d'une feuille de route de réduction des émissions par secteur, la Stratégie nationale bas carbone, dont la troisième version doit être officiellement publiée dans les prochains mois. L'objectif : réduire nos émissions brutes de 50 % entre 1990 et 2030, en accord avec l'objectif européen. Alors que la France doit réduire ses émissions de 4,7 % par an en moyenne entre 2022 et 2030, ces dernières n'ont diminué que de 1,8 % en 2024 par rapport à 2023 selon lebaromètre Citepa chargé de l'inventaire des émissions de la France. Le compte n'y est donc pas.Selon une enquête de 2022 de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), environ 43 % des Français ont une opinion sur le climat qui s'écarte significativement du consensus scientifique. Une proportion qui excède – parfois de plus de 20 points – ce qui est observé dans la douzaine des autres pays à hauts revenus inclus dans l'étude de l'OCDE.LA POLITIQUE DE NETANYAHOU ET L'ISOLEMENT D'ISRAËLDurant la tournée de Donald Trump dans le Golfe mi-mai, le premier ministre israélien a paru isolé et pris de court par les décisions du président américain de lancer des pourparlers avec l'Iran sur le nucléaire, de négocier directement avec le Hamas la libération d'otages israélo-américains, de conclure un cessez-le-feu avec les Houthis yéménites et de lever les sanctions américaines sur la Syrie.Le 19 mai, Benyamin Nétanyahou a annoncé qu'Israël allait prendre « le contrôle de tout le territoire » de la bande de Gaza en lançant l'opération Chariots de Gédéon. L'armée israélienne a depuis intensifié ses opérations dans l'enclave palestinienne, faisant des centaines de morts, dont une majorité de civils. Le plan du gouvernement israélien qui suppose de raser ce qui reste de Gaza, de parquer une population affamée dans une petite portion de l'enclave et de la soumettre à un système militarisé de distribution d'aide humanitaire a suscité une indignation générale de la communauté internationale y compris de la part de capitales occidentales proches d'Israël. Quelque 39 pays ont déposé un recours devant la Cour Internationale de Justice de La Haye. Le président français, et les Premiers ministres britannique et canadien ont prévenu qu'ils ne resteraient « pas les bras croisés » devant les « actions scandaleuses » du gouvernement israélien. 22 pays ont aussi exigé d'Israël une « reprise complète de l'aide à la bande de Gaza, immédiatement », demandant qu'elle soit organisée par les Nations unies et les ONG. Sous la pression, après deux mois et demi de blocus humanitaire, Benyamin Netanyahou a autorisé quelques camions transportant des médicaments et de la nourriture pour enfants à pénétrer dans la bande de Gaza. Un geste minimum, loin de répondre aux besoins. Le 20 mai, la Commission européenne a déclaré qu'elle allait entamer un processus de révision de l'accord d'association de l'Union européenne avec Israël, dont l'article 2 évoque le respect des droits humains qui pourrait aboutir à la suspension des relations commerciales favorables à Tel-Aviv. La cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas a constaté qu'« il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l'article 2 de notre accord d'association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice ». La mort de deux employés de l'ambassade d'Israël aux États-Unis, tués devant le musée juif de Washington, a renforcé un sentiment d'isolement en Israël et la crainte de devenir un Etat paria. Le 23 mai, le Conseil de l'Europe a estimé que les actes dans la bande de Gaza « vont dans le sens d'un nettoyage ethnique et d'un génocide ». Lundi, le chancelier allemand Friedrich Merz a menacé le gouvernement Netanyahou de ne plus continuer à le soutenir en raison de l'intensification de l'offensive de l'armée israélienne à Gaza. « On ne peut plus le justifier par une lutte contre le terrorisme du Hamas », a déclaré le dirigeant allemand, fustigeant avec une rare fermeté les actions d'Israël, dont Berlin est l'un des plus fidèles alliés avec les États-Unis.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Une partie croissante des Israéliens s'oppose à la guerre impitoyable dans la bande de Gaza, et redoute l'isolement international de leur pays. Les critiques européennes croissantes alimentent ce sentiment, qui, à ce stade, n'empêche toutefois pas Netanyahou de poursuivre son escalade.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Une partie croissante des Israéliens s'oppose à la guerre impitoyable dans la bande de Gaza, et redoute l'isolement international de leur pays. Les critiques européennes croissantes alimentent ce sentiment, qui, à ce stade, n'empêche toutefois pas Netanyahou de poursuivre son escalade.
durée : 00:23:54 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le président du Sénat Gérard Larcher était l'invité du Grand Entretien de la matinale ce jeudi. Après leur meurtre de deux employés de l'ambassade israélienne à Washington, Gérard Larcher dénonce des "crimes odieux à caractère antisémite". - invités : Gérard LARCHER - Gérard Larcher : Homme politique français
Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Olivier Boy du 22 mai 2025. La politique de Benyamin Netanyahou est-elle à l'origine de la mort de deux agents de l'ambassade d'Israël à Washington ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:54 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Le président du Sénat Gérard Larcher était l'invité du Grand Entretien de la matinale ce jeudi. Après leur meurtre de deux employés de l'ambassade israélienne à Washington, Gérard Larcher dénonce des "crimes odieux à caractère antisémite". - invités : Gérard LARCHER - Gérard Larcher : Homme politique français
En ce mois de mai 2025, il est de plus en plus difficile, pour les adeptes du soutien inconditionnel à Israël, de faire comme s'ils ne voyaient pas.▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël reprend une aide alimentaire limitée bloquée depuis onze semaines. Mais Netanyahou a déclaré ne le faire que pour des raisons diplomatiques, tandis que son armée est passée à l'offensive pour reprendre le contrôle de l'intégralité du territoire. L'impuissance diplomatique est criante.
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël reprend une aide alimentaire limitée bloquée depuis onze semaines. Mais Netanyahou a déclaré ne le faire que pour des raisons diplomatiques, tandis que son armée est passée à l'offensive pour reprendre le contrôle de l'intégralité du territoire. L'impuissance diplomatique est criante.
Alors que l'offensive militaire israélienne fait toujours rage à Gaza, le gouvernement a annoncé dimanche une reprise limitée de l'aide humanitaire à destination du territoire palestinien dont la population est privée depuis le 2 mars dernier. Concomitamment, Netanyahou annonce une prise de contrôle totale du territoire de la bande de Gaza. Comment ces déclarations sont-elles vécues en Israël ? Réponse avec notre correspondante en Israël Ariane MÉNAGE Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
POINT SUR GAZA : Le Monde, TV5 MondeAPPEL TRUMP POUTINE : La Dépêche, France24RAPPORT SCANDALE EAUX EN BOUTEILLE : Le Monde, France Info, HuffpostGRÈVE CHAUFFEURS DE TAXI : Le Figaro, BFMTVANNONCES SOMMET CHOOSE FRANCE : Le Parisien, Le MondeBRUNO RETAILLEAU PRÉSIDENT DE LR : Le Monde, BFMTVÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ROUMANIE : Le Monde, Le FigaroTEDDY RINER CARRIÈRE POLITIQUE : Huffpost, Le FigaroChaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:03:30 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'armée israélienne s'est imposée comme la plus puissante de la région dans les guerres qui se déroulent depuis le 7 octobre. Mais cette hégémonie militaire ne s'accompagne d'aucune solution politique : c'est la faiblesse de Netanyahou alors que Donald Trump rend visite aux riches princes du Golfe.
durée : 00:03:30 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'armée israélienne s'est imposée comme la plus puissante de la région dans les guerres qui se déroulent depuis le 7 octobre. Mais cette hégémonie militaire ne s'accompagne d'aucune solution politique : c'est la faiblesse de Netanyahou alors que Donald Trump rend visite aux riches princes du Golfe.
Ce mardi 13 mai, le début de la tournée de Donald Trump au Moyen-Orient a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
(00:00:11) Dans les réactions internationales à l'élection du nouveau pape, celle du Pérou, son autre pays (00:05:45) La carte du Moyen-Orient rêvée par Benjamin Netanyahou est "une impasse stratégique pour Israël": interview de Jean-Paul Chagnollaud (00:14:01) Que reste-t-il de l'influence du cinéma américain sur le monde?
Ce vendredi 25 avril, la polémique en Ukraine sur la non-priorisation des otages et l'appel de certains ministres d'extrême droite à intensifier la guerre ont été abordés par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.