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durée : 00:20:09 - Journal de 12h30 - Ce matin, la trêve entre Israël et l'Iran semble se maintenir. En revanche, on ne connaît pas véritablement les termes du cessez-le-feu. Et puis des doutes persistent sur l'étendue réelle des dégâts infligés au programme nucléaire de Téhéran. - invités : Dominique Moïsi Géopolitologue, membre fondateur de l'IFRI (Institut Français des relations internationales)
durée : 00:20:09 - Journal de 12h30 - Ce matin, la trêve entre Israël et l'Iran semble se maintenir. En revanche, on ne connaît pas véritablement les termes du cessez-le-feu. Et puis des doutes persistent sur l'étendue réelle des dégâts infligés au programme nucléaire de Téhéran. - invités : Dominique Moïsi Géopolitologue, membre fondateur de l'IFRI (Institut Français des relations internationales)
durée : 00:24:21 - 8h30 franceinfo - Israël a lancé, depuis vendredi, une offensive aérienne d'une ampleur inédite sur le territoire iranien. Dominique Moïsi, géopolitologue, conseiller spécial à l'institut Montaigne indique que "l'Iran n'a jamais été aussi faible à l'extérieur."
1/ Poutine balade-t-il les Américains ? 2/ Y a-t-il un rôle pour les Européens ? 3/ Quelles sont les alternatives à la négociation ? Retrouvez Le Club Le Figaro International présenté par Philippe Gélie. Nous recevons Dominique Moïsi, Laure Mandeville, Tatiana Kastoueva-Jean et Patrick Saint-Paul.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:19 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Alors que la démarche de Washington devient de plus en plus incompréhensible pour nous Européens, notamment vis-à-vis de l'Ukraine, au Canada, ce voisin du nord que Donald Trump rêve d'annexer, des élections fédérales se préparent dont le président étasunien a sans doute bouleversé l'issue. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Laurence Nardon Responsable du programme États-Unis à l'IFRI (Institut Français des Relations Internationales).; Dominique Moïsi Géopolitologue, membre fondateur de l'IFRI (Institut Français des relations internationales); Sébastien Jean Professeur d'économie au Conservatoire National des Arts et Métiers et directeur associé de l'initiative Géoéconomie-géofinance de l'Ifri (Institut français des relations internationales); Philippe Chassé Doctorant en science politique à l'Université de Montréal et à Sciences Po Paris, affilié au Centre pour l'étude de la citoyenneté démocratique (CECD) à Montréal et au Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF)
Récupérer le canal de Panama, annexer le Groenland, mettre fin à la guerre en Ukraine "dans les 24 heures" suivant son investiture... Donal Trump veut aller vite, notamment sur la question géopolitique. À quoi s'attendre de la part du nouveau Président des États-Unis ? 1coutez l'analyse de Dominique Moïsi, géopolitologue et conseiller spécial à l'Institut Montaigne. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 20 janvier 2025.
Récupérer le canal de Panama, annexer le Groenland, mettre fin à la guerre en Ukraine "dans les 24 heures" suivant son investiture... Donal Trump veut aller vite, notamment sur la question géopolitique. À quoi s'attendre de la part du nouveau Président des États-Unis ? 1coutez l'analyse de Dominique Moïsi, géopolitologue et conseiller spécial à l'Institut Montaigne. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 20 janvier 2025.
durée : 00:25:53 - 8h30 franceinfo - Le géopolitologue et conseiller spécial à l'Institut Montaigne était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 19 janvier 2025.
durée : 00:36:03 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Alors qu'il n'est pas encore investi, l'ombre de Donald Trump plane déjà sur la géopolitique internationale. Le cessez-le-feu à Gaza annoncé hier en incarne l'exemple. Dominique Moïsi revient sur la « méthode Trump » et le terrain sur lequel elle s'impose. - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:36:03 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Alors qu'il n'est pas encore investi, l'ombre de Donald Trump plane déjà sur la géopolitique internationale. Le cessez-le-feu à Gaza annoncé hier en incarne l'exemple. Dominique Moïsi revient sur la « méthode Trump » et le terrain sur lequel elle s'impose. - réalisé par : Thomas Lenglain
Le gouvernement tient bon sur le plan visant à baisser 100% à 90% l'indemnisation des congés maladie et à instaurer trois jours de carence non payés hors pathologie lourde. Le ministre de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian, l'a annoncé à la réunion cet après-midi avec les syndicats. Plusieurs de ces derniers ont tout de suite claqué la porte. "Il ne faut pas reculer", réagit Ruth Elkrief. Alors que l'administration Biden avait pris le tournant des accords de Paris, Donald Trump s'est engagé à "forer". L'objectif à terme est de diviser par deux le prix de l'énergie pour les Américains. Si le président américain tenait parole dans ce domaine, les États-Unis émettraient 4 milliards de tonnes de CO2 en plus en 2030, soit dix fois les émissions de la France. Pour Pascal Perri, "c'est le retour de l'or noir" et "c'est une véritable catastrophe climatique". Alors que Donald Trump est élu 47e président des Etats-Unis, deux messages de félicitations ont été particulièrement rapides et enthousiastes, celui de Viktor Orbán et celui de Benyamin Netanyahou. Le Premier ministre hongrois se sent légitimé par la victoire du candidat républicain. Le Premier ministre israélien, lui, s'entend bien avec ce dernier. "C'est le triangle des musclés", réagit Dominique Moïsi. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Il est l'auteur du livre “Le triomphe des émotions » aux Éditions Robert Laffont Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump a réussi mercredi son pari de revenir à la Maison Blanche, une victoire sans appel, qui provoque une onde de choc aux Etats-Unis et à travers le monde. Le come-back du Républicain de 78 ans est d'autant plus extraordinaire que sa troisième campagne a été marquée par deux tentatives d'assassinat, quatre inculpations et une condamnation au pénal. Écoutez l'analyse de Dominique Moïsi, géopolitologue et conseiller spécial de l'institut Montaigne.
Donald Trump a réussi mercredi son pari de revenir à la Maison Blanche, une victoire sans appel, qui provoque une onde de choc aux Etats-Unis et à travers le monde. Le come-back du Républicain de 78 ans est d'autant plus extraordinaire que sa troisième campagne a été marquée par deux tentatives d'assassinat, quatre inculpations et une condamnation au pénal. Écoutez l'analyse de Dominique Moïsi, géopolitologue et conseiller spécial de l'institut Montaigne.
Conseiller spécial à l'Institut Montaigne, et chroniqueur régulier dans les colonnes de Ouest-France, Dominique Moïsi analyse les résultats de la victoire de Donald Trump. Une victoire pour Vladimir Poutine, dit-il, « qui enfonce un clou dans le cercueil des espérances ukrainiennes » ; une annonce d'un durcissement des relations avec la Chine sous fond de guerre commerciale qui aura un impact sur les Européens. Une victoire qui, selon Dominique Moïsi, légitime aussi les forces populistes en Europe. Bonne écoute.
C Politique du dimanche 6 octobre 2024. Débat : Iran-israël : la guerre inévitable ? avec - Agnès LEVALLOISVice-présidente de l'Institut de recherche et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (Institut iReMMO), autrice de « Le Livre noir de Gaza » aux éditions du Seuil (04.10.2024)-Dominique MOÏSIGéopolitologue, membre fondateur de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), conseiller spécial de l'Institut Montaigne, , auteur de « Le triomphe des émotions - la géopolitique entre peur colère et espoir » aux éditions Robert Laffont (08.02.2024)- Aysegul SERTJournaliste, professeure affiliée à l'École de journalisme de Sciences Po- François-Henri DÉSÉRABLEÉcrivain, auteur de « L'usure d'un monde. Une traversée de l'Iran » prix littéraire Montaigne 2024, aux éditions Gallimard (04.05.2023)- Jean-François COLOSIMOHistorien, documentariste, essayiste, éditeur, auteur de « Occident, ennemi mondial n°1 » aux éditions Albin Michel (02.04.24)Miniature à prendre : Dominique Moïsi
Alors que les tirs de missiles de l'Iran contre Israël et l'annonce d'une riposte par le gouvernement Netanyahu font craindre un embrasement régional, la Turquie, la Chine ou la Russie peuvent-elles permettre d'éviter l'escalade ? Entretien avec géopolitologue Dominique Moïsi, conseiller spécial de l'Institut Montaigne. Dominique Moïsi est l'auteur de Le Triomphe des émotions. La géopolitique entre peur, colère et espoir (Robert Laffont)
Les bombardements se poursuivent à Gaza et aucune trêve n'est en vue. Englués dans leur soutien à Israël et malgré leurs efforts répétés, les États-Unis ne parviennent pas à conclure de cessez-le-feu. Qu'est devenue la médiation américaine à l'origine notamment des accords d'Oslo en 1993? Washington n'est-il plus obsédé que par la défense de ses intérêts face à la Chine ? Quelles sont les conséquences de cette évolution sur la stabilité mondiale ? Pour en débattre : Dominique Moïsi, géopolitologue, membre fondateur de l'Institut français des relations internationales (IFRI), conseiller spécial de l'institut Montaigne. Auteur de nombreux livres, son dernier Le Triomphe des émotions, aux Éditions Robert Laffont. Martin Quencez, directeur adjoint du bureau parisien du German Marshall Fund of the United States.
Les bombardements se poursuivent à Gaza et aucune trêve n'est en vue. Englués dans leur soutien à Israël et malgré leurs efforts répétés, les États-Unis ne parviennent pas à conclure de cessez-le-feu. Qu'est devenue la médiation américaine à l'origine notamment des accords d'Oslo en 1993? Washington n'est-il plus obsédé que par la défense de ses intérêts face à la Chine ? Quelles sont les conséquences de cette évolution sur la stabilité mondiale ? Pour en débattre : Dominique Moïsi, géopolitologue, membre fondateur de l'Institut français des relations internationales (IFRI), conseiller spécial de l'institut Montaigne. Auteur de nombreux livres, son dernier Le Triomphe des émotions, aux Éditions Robert Laffont. Martin Quencez, directeur adjoint du bureau parisien du German Marshall Fund of the United States.
Supprimer le pouvoir des juges ? «Un crime contre la démocratie» répond Dominique Moïsi à Jordan BardellaMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Ukraine et à Gaza, de nouveaux conflits de haute intensité agissent comme les révélateurs d'un «nouvel ordre émotionnel du monde», selon Dominique Moïsi. S'intéressant aux émotions que suscitent les conflits et autres points de tension à l'échelle de la planète, le politologue dévoile une façon originale de percevoir les enjeux internationaux. Il met en exergue le combat asymétrique entre les démocraties et les régimes autoritaires que rien ne rebute en termes de désinformation. Dans son livre, «Le triomphe des émotions - la géopolitique entre peur, colère et espoir», aux éditions Robert Laffont, Dominique Moïsi évoque la montée des nationalismes et des populismes, la remise en cause de la mondialisation, l'accélération du changement climatique et l'inquiétude face aux révolutions technologiques telles que l'intelligence artificielle. Des évolutions qui suscitent la peur, attisent les colères et laissent peu de place à l'espoir. Quinze ans après la publication de «La géopolitique de l'émotion», le constat dressé par le fondateur de l'Institut français de relations internationales est sans appel. La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Les élections européennes ciblées par une vaste campagne de désinformation - Doppelgänger-suite. La chronique de Kahofi Suy d'Afp factuel : Manipulation autour des protestations sur les campus : une photo décontextualisée et falsifiée pour alimenter le narratif Israël-état nazi.
En Ukraine et à Gaza, de nouveaux conflits de haute intensité agissent comme les révélateurs d'un «nouvel ordre émotionnel du monde», selon Dominique Moïsi. S'intéressant aux émotions que suscitent les conflits et autres points de tension à l'échelle de la planète, le politologue dévoile une façon originale de percevoir les enjeux internationaux. Il met en exergue le combat asymétrique entre les démocraties et les régimes autoritaires que rien ne rebute en termes de désinformation. Dans son livre, «Le triomphe des émotions - la géopolitique entre peur, colère et espoir», aux éditions Robert Laffont, Dominique Moïsi évoque la montée des nationalismes et des populismes, la remise en cause de la mondialisation, l'accélération du changement climatique et l'inquiétude face aux révolutions technologiques telles que l'intelligence artificielle. Des évolutions qui suscitent la peur, attisent les colères et laissent peu de place à l'espoir. Quinze ans après la publication de «La géopolitique de l'émotion», le constat dressé par le fondateur de l'Institut français de relations internationales est sans appel. La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Les élections européennes ciblées par une vaste campagne de désinformation - Doppelgänger-suite. La chronique de Kahofi Suy d'Afp factuel : Manipulation autour des protestations sur les campus : une photo décontextualisée et falsifiée pour alimenter le narratif Israël-état nazi.
durée : 00:51:45 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Quatre ans après l'humiliation de sa défaite face à Joe Biden, Donald Trump semble de nouveau aux portes du pouvoir. Comment expliquer cette résurrection politique ? De quoi sa popularité est-elle le symptôme ? Faut-il avoir peur de Donald Trump ? - invités : Laure Mandeville Journaliste au Figaro, ancienne correspondante à Washington (de 2009 à 2016).; Dominique Moïsi Géopolitologue, membre fondateur de l'IFRI (Institut Français des relations internationales)
durée : 00:34:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - En visite à Prague Emmanuel Macron a assumé vouloir appeler à un « sursaut stratégique » de l'Europe dans la guerre en Ukraine. Le président Français peut-il encore rassembler les autres pays européens ? Nous posons la question à nos invités ce matin. - invités : Hubert Védrine Diplomate, ancien ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Jospin et ancien secrétaire général de la présidence de la République sous François Mitterrand; Dominique Moïsi Conseiller spécial de l'Institut Montaigne, professeur au King's College de Londres
Comment le visage de l'Europe est bouleversé par la guerre en Ukraine ? Quels débats suscite-t-elle ? Quelles mémoires fait-elle affleurer ? Toutes ces questions, depuis février 2022 et l'invasion de l'Ukraine par la Russie, agitent l'ensemble des pays européens et nourrissent le débat d'est en ouest. Avec des défis communs, stratégiques, économiques, politiques, mais aussi des perceptions différentes selon l'histoire de chacun. Notre podcast dédié aux Dialogues européens, une initiative lancée par l'Institut Français en novembre 2023, a pour but de faire entendre ces voix européennes qui s'interrogent sur l'avenir de notre continent.Le premier épisode de ces Dialogues Européens se déroule à Prague en compagnie de :Oleksandra Matviichuk, Présidente du centre pour les libertés civiles de Kiev, et co-lauréate du Prix Nobel de la Paix 2022.Jacques Rupnik, Professeur émérite à Sciences Po.Jaroslav Kurfürst, Directeur général des Affaires européennes au ministère tchèque des Affaires étrangères.David Cvach, Directeur Union européenne au ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères.Luuk van Middelaar, historien et créateur du Brussels Institute for Geopolitics.Dominique Moïsi, Conseiller spécial à l'Institut Montaigne et chroniqueur à Ouest-France.Dialogues européens, un podcast présenté par Laurent Marchand en partenariat avec l'Institut Français.Musiques : Universal Music Production
durée : 00:36:40 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Dans «Le Triomphe des émotions», Dominique Moïsi éclaire de nouveau les relations internationales à la lumière du sensible. Entre la peur d'Israël et l'humiliation des Palestiniens : cette lecture de la géopolitique permet une compréhension, plus subjective, plus fine, de l'ordre du monde.
durée : 00:36:40 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Dans «Le Triomphe des émotions», Dominique Moïsi éclaire de nouveau les relations internationales à la lumière du sensible. Entre la peur d'Israël et l'humiliation des Palestiniens : cette lecture de la géopolitique permet une compréhension, plus subjective, plus fine, de l'ordre du monde.
durée : 00:17:38 - 8h30 franceinfo - Le géopolitologue, spécialiste des relations internationales, était l'invité du "8h30 franceinfo" du dimanche 11 février 2024.
Dominique Moïsi vient de publier un livre intitulé "La Géopolitique entre peur, colère et espoir"Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
La plupart des experts sont d'accord pour dire que l'attaque du Hamas contre Israël a également été motivée pour torpiller l'extension des accords d'Abraham. Ces accords de paix négociés avec des pays comme le Maroc, mais également les Émirats arabes unis et Bahreïn. Ces accords historiques de paix devaient normalement s'élargir à l'Arabie saoudite. Et si l'attaque du Hamas n'avait pas eu lieu, cela aurait signifié qu'Israël aurait été en paix avec toutes les monarchies du Golfe et d'ailleurs. Ce rapprochement effectué dans le cadre de ces accords n'a pu se faire que parce que ces pays ont un ennemi commun avec Israël, à savoir l'Iran. l'Iran a donc un intérêt objectif à faire capoter ce rapprochement, puisque la répression d'Israël l'empêchera automatiquement. Le Hamas et l'Iran ont donc fait le calcul de prendre leurs distances avec une paix qui engage les régimes, mais pas nécessairement les peuples. Comme l'écrit Dominique Moïsi, l'un de nos grands géopoliticiens francophones : si le marché du pétrole reste aussi calme, c'est parce que nous ne sommes pas en 1963. À l'époque, l'embargo sur l'or noir avait fait l'unanimité des pays exportateurs de pétrole du Moyen-Orient. Et aujourd'hui, ce n'est pas du tout le cas. La plupart des régimes qui entourent Israël, sauf la Syrie, détestent le Hamas. Mais la pression médiatique et les images véhiculées par ces médias empêcheront donc à court et moyen terme cette normalisation entre les pétromonarchies du Golfe et Israël. Et c'est là où j'en viens à l'Arabie saoudite. Son prince héritier, Mohammed Ben Salmane, gouverne d'une main de fer son royaume tant que son père le laisse faire. Et l'obsession du jeune prince héritier, c'est de diversifier son économie au plus vite… Mots–Clés : prévisions, Agence internationale de l'énergie, planète, énergie fossile, pays exportateurs, pétrole, Vision 2030, milliards, dollars, pays, dépendance, prince, héritier, diversification, Emirats Arabes Unis, prix, or, footballeurs, monde, investisseurs, pub, jeunesse, femmes, voiture, voyager, mari, frère, restaurant, concert, mixte, stars américaines, stars libanaises, destination touristique, lieux culturels, mer Rouge, préislamique, judaïque, tribus juives, ville industrielle, port flottant, monde, projets, géographie, local, normalisation, Etat d'Israël, conflit, répercussions, média, politique, palais, royaume. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
En Belgique, la campagne électorale a démarré et chaque parti essaie de trouver sa place auprès d'une opinion publique de plus en plus individualisée, de plus en plus morcelée. Le Belge moyen, pas plus d'ailleurs que le Français moyen, n'existe plus. En effet. D'abord parce que ce terme a dérangé l'opinion publique, qui a en effet envie d'être associée aux Belges ou au français moyen. Absolument personne. Et puis l'expression n'a plus aucun sens aujourd'hui avec les réseaux sociaux et donc l'individualisme qu'il a généré, qu'il a créé. Et dehors même la publicité numérique est aujourd'hui totalement personnalisée. Alors le métier, ou plutôt je devrais dire la vocation de politique, est donc très difficile à exercer aujourd'hui. Pourquoi? Parce qu'avant, il y avait quelques blocs assez lisibles, et puis des frontières relativement étanches au sein de l'opinion publique. Mais aujourd'hui, avec l'atomisation de notre société, tenter de comprendre l'opinion de chaque individu, ce n'est pas vraiment ce qu'on appelle une promenade de santé. En fait, c'est un triste constat. Même les algorithmes ou surtout les algorithmes connaissent mieux les désirs et les souhaits des électeurs que nos politiques. Et d'ailleurs, les politiques le savent bien. Il n'y a qu'à regarder comment en Belgique par exemple, on a interdit aux fonctionnaires d'utiliser l'application Tiktok soupçonnée d'être aux ordres du gouvernement chinois. Et comment, de l'autre, avec leurs smartphones privés, ces mêmes politiques belges qui interdisent donc aux fonctionnaires de regarder tiktok, se mettent en scène quotidiennement sur ce réseau social chinois. Normal, ils ne sont pas fous nos politiques, ni même schizophrènes, ils sont juste pragmatiques. Ils vont là où va la jeunesse et une bonne partie de leur électorat. Alors je ne suis pas politologue, sinon ça se saurait. Mais à l'instar de Dominique Moïsi, l'un des meilleurs connaisseurs des turbulences de ce monde, eh bien j'ai l'impression que les politiques qui veulent durer doivent au moins comprendre que nos concitoyens, en Europe et à des degrés divers, font face à trois peurs en ce moment. Alors la première, c'est la peur de l'autre, de l'immigré. Souvent, ce sont les images de la crise migratoire sur l'île de Lampedusa et la peur exprimée par certains Européens de voir sur cette île l'amorce d'un grand remplacement qui se déroulerait plus tard. En tout cas, c'est la thèse que développe déjà des partis populistes avec plus ou moins de succès. C'est donc la peur de perdre le contrôle de son territoire et donc de son identité. Première peur à laquelle nos politiques devront donc donner une réponse rassurante et responsable. Alors la deuxième peur, souvent véhiculée par les plus jeunes, ce qui est normal, ils vont habiter cette planète plus longtemps que leurs parents, c'est la peur des incendies, des inondations. C'est donc effectivement la peur climatique et surtout la peur de voir, comme l'a joliment dit Al Gore, l'ancien vice président des États-Unis, de voir que les géants pétroliers ont donc plus de contrôle sur nos politiciens que sur les émissions de CO2. Al Gore faisait évidemment allusion au fait que le nouveau premier ministre britannique venait de remporter, il y a quelques jours à peine, les engagements de son pays en matière de décarbonation. Et puis la troisième peur épinglée par Dominique Moïsi, c'est la peur de l'intelligence artificielle. Alors c'est vrai, la première peur portait sur ce que les partis d'extrême droite appellent le grand remplacement, autrement dit le remplacement de l'homme blanc par des immigrés du Sud. Et ici, c'est la peur du grand remplacement de l'homme par la machine. Et comme l'écrit joliment Dominique Moïsi, ces trois peurs forment une sorte de triangle des émotions, un triangle aussi dangereux pour la stabilité du monde que le fameux triangle des Bermudes pour la navigation maritime. Ce que les politiques doivent éviter, mais absolument éviter, c'est que le citoyen, lorsqu'il sera appelé aux urnes l'année prochaine, ne réponde, comme l'écrivain Michel Houellebecq, à la question A quoi ressemblera demain? Il avait répondu Ce sera le même monde en pire. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
L'interview politique est présentée par Adrien Gindre du lundi au vendredi de 8h30 à 9h. Il reçoit un invité au cœur des enjeux politiques ou membre de la société civile.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
L'interview politique est présentée par Adrien Gindre du lundi au vendredi de 8h30 à 9h. Il reçoit un invité au cœur des enjeux politiques ou membre de la société civile.
Cette émission avait originellement enregistrée en public à l'Ecole alsacienne le 8 décembre 2019.Les invités de Philippe Meyer :Dominique Moïsi, géopolitiologue et auteur de La géopolitique des séries où le triomphe de la peur.Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. LA GÉOPOLITIQUE DES SÉRIES OU LE TRIOMPHE DE LA PEURAu lendemain du 11 septembre 2001, la géopolitique a envahi non seulement le réel mais aussi nos imaginaires. Les séries sont devenues des références politiques tout autant que culturelles. Par la force de leurs intuitions, les scénaristes ne sont-ils pas les meilleurs analystes du monde contemporain ? Que perçoivent-ils de nos sociétés ? Avant tout la peur, répond Dominique Moïsi dans son ouvrage « La géopolitique des séries ou le triomphe de la peur ». La peur de la barbarie et le triomphe du chaos avec Game of Thrones, (Le Trône de fer), la peur de la fin de la démocratie avec House of Cards, (Le Chateau de cartes) celle du terrorisme avec Homeland, celle d'un ordre du monde qui disparait dans Downton Abbey, enfin la peur de la menace russe avec Occupied (Envahis).Foreign Policy s'était amusée à transposer le monde fantastique de Game of Throne ou la fascination du chaos, dans le Moyen-Orient d'aujourd'hui. Ainsi les Lannister sont l'Arabie saoudite, la Maison Stark les mouvements d'opposition qui ont brièvement accédé au pouvoir au lendemain des « printemps arabes » ; la Maison Barathéon représente les autocrates… Après les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, la réalité a dépassé la fiction. Ce n'estplus Winter is coming, mais Winter has come. Et comme dans la série, on peut craindre qu'il ne dure très longtemps.Dans Downton Abbey, Dominique Moïsi analyse la nostalgie de l'ordre. La série débute en 1912. Un monde s'apprête à être bouleversé. Cette saga familiale aurait pu s'appeler « Le déclin de la famille Crawley ». La problématique de Homeland – et si l'ennemi venait de l'intérieur, et s'il était nous ? – a pris une crédibilité plus grande aux lendemains des attentats de Londres en 2005, des assassinats de Toulouse en 2012, de Paris en 2015, de Fort Hood et de San Bernardino aux Etats-Unis…House of Cards, décrit la fin du rêve américain et la montée des populismes, avec à l'époque de la diffusion de la série, les premiers succès flatteurs de Donald Trump, lors de la campagne pour les primaires du Parti. House of Cards traduit une perte de confiance généralisée à l'égard des élites.Dans Occupied, on retrouve croisées toutes les peurs de notre temps, du réchauffement climatique à la crise du modèle démocratique encouragée par des dirigeants médiocres. De la montée de la peur face à la Russie de Poutine, surtout depuis sa gestion de la crise ukrainienne, au discrédit relatif ou absolu dans lequel sont tombés l'Union européenne et les Etats-Unis d'Amérique au cours de ces dernières années.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 01:46:00 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Avec Florian Louis, historien des relations internationales, auteur de Le Grand Continent, coauteur de L'Histoire mondiale du XXe siècle, auteur de Qu'est-ce que la Géopolitique ? (PUF 2022) Dominique Moïsi, conseiller spécial de l'Institut Montaigne, professeur au King's College de Londres - invités : Florian Louis Historien, auteur d'une thèse sur l'histoire du concept de géopolitique; Dominique Moïsi conseiller spécial de l'Institut Montaigne, professeur au King's College de Londres
La question se pose avec acuité maintenant que l'Ukraine reprend l'avantage sur le terrain. Et si Poutine était en train de perdre la guerre ? La question n'est plus du tout saugrenue aujourd'hui, les experts le remarquent. Poutine a adopté une nouvelle stratégie qui consiste donc à diriger les frappes militaires contre les infrastructures énergétiques ukrainiennes. Ce qu'il veut, c'est simple, c'est faire plier ce pays en faisant grelotter de froid sa population. En fait, comme le faisait remarquer Michel Goya, un ancien colonel retraité, selon lui, Poutine espère que ce sera le général Hiver qui gagnera donc cette guerre. Alors Poutine a tort car sur place, la détermination des Ukrainiens est sans faille et ils n'accepteront pas de se rendre uniquement parce qu'ils ont froid. En vérité, ce que le monde entier découvre, c'est que Poutine a commis une immense erreur stratégique en envahissant l'Ukraine. D'abord, lui qui se plaignait d'être encerclé par l'OTAN a redonné une nouvelle vie à l'OTAN. Je rappelle que Trump ne voulait plus financer cette alliance et que le président Macron avait osé dire il y a trois ans que l'OTAN était en état de mort cérébrale. Mais grâce à l'erreur magistrale de Poutine, l'OTAN s'est littéralement réveillée. Les États-Unis ont d'ailleurs envoyé 100.000 GI en Europe. La Suède et la Finlande, jadis deux pays neutres, ont demandé à adhérer à l'OTAN. Et quant à Poutine qui nous vendait du gaz, il doit se mordre l'élève. Car aujourd'hui, non seulement il y a un embargo, mais ce sont les Etats-Unis qui nous le vendent cher. D'ailleurs, leur gaz, c'est ce qu'on appelle un fiasco complet. Sans compter que le monde entier découvre que l'une des armées supposées être les plus puissantes au monde est une armée de pieds nickelés. Sujets traités : commissaire européen, armes, russes, valables, armée régulière, corruption, pays, industriels, européens, guerre, reprise économique, Europe, Ukrainiens, territoire, armée russe, annexion, Crimée, dirigeant, russe, Poutine, Ukraine, frontières, 24 février, 2022, attaque, dilemme, Dominique Moïsi, spécialiste, géopolitique, hiver, incertitudes, ménages, entreprises, accord, sentiment, gagné, perdu . --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
durée : 00:53:30 - Le Grand Face-à-face - Faut-il tirer un trait sur le multilatéralisme ? De nouvelles lignes de fracture parcourent le monde, révélées notamment par la crise Covid, accentuées par la guerre en Ukraine. Décryptage avec le géopolitologue Dominique Moïsi.
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durée : 00:53:30 - Le Grand Face-à-face - Faut-il tirer un trait sur le multilatéralisme ? De nouvelles lignes de fracture parcourent le monde, révélées notamment par la crise Covid, accentuées par la guerre en Ukraine. Décryptage avec le géopolitologue Dominique Moïsi.
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Invité: Dominique Moïsi, conseiller spécial à l'Institut Montaigne
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