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#Survivor #SurvivorQuébec #SurvivorQC #GenevièveLaHayeBienvenue au 79e épisode du podcast de jeux vidéo, le BlaBla Royal !Cette semaine, Marc se fait un beau cadeau en discutant de deux sujets qui le passionnent. Les jeux vidéo font évidemment partie de ceux-ci, mais également l'émission de télé-réalité Survivor. Après avoir été un fidèle auditeur des 25 premières saisons, Marc est également tombé en amour avec la version Québécoise du show, diffusé depuis 3 ans sur les ondes de Noovo. Mais pour faire un podcast et parler de ces deux sujets, avec qui donc pourrait-il bien s'entretenir?Bien étant donné qu'on ne fait rien à moitié chez M2 Gaming, l'invitée de Marc est nulle autre que la sympathique et pétillante grande gagnante de la saison 3 de Survivor Québec, Geneviève La Haye! Car oui, cette dernière n'est pas qu'une méga fan de Survivor, mais une passionnée de jeux vidéo!Bonne écoute!
Les années passent et ne se ressemblent pas forcément, pour l'OTAN. Au début de l'invasion russe en Ukraine, les regards se sont rapidement tournés vers l'Organisation du traité de l'Atlantique nord, potentiellement de retour au centre du jeu alors que le président français l'avait accusée, quelques années plus tôt, d'être «en état de mort cérébrale». Depuis, les 32 membres de l'alliance se creusent les méninges pour tenter de mieux se coordonner, notamment face à Moscou. Ils se sont réunis, cette semaine, à La Haye, pour un sommet aux Pays-Bas… avec, aussi, l'objectif de séduire l'allié américain, Donald Trump, lui qui se plaint de ce que coûte l'OTAN, et qui se préoccupe davantage de ses intérêts dans une autre région, dans l'Asie-Pacifique. Invités : - Amélie Zima, chercheuse, responsable du programme «sécurité européenne et transatlantique» de l'Institut français des Relations internationales (Ifri) - Jean-Marc Vigilant, ancien directeur de l'École de guerre, chercheur associé à l'Institut de Relations internationales et stratégiques (IRIS), président de l'association EuroDéfense-France - Steven Ekovich, professeur émérite de Sciences politiques et d'Histoire à l'Université américaine de Paris.
Ce jeudi 26 juin, la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à La Haye pour parler du cessez-le-feu, qui semble hors de portée pour l'instant, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Marché de la cocaïne en hausse, et une violence du crime organisé qui s'étend désormais à l'Europe. Le dernier rapport de l'ONU sur les drogues tire la sonnette d'alarme. Dans le nord de la Belgique, une des portes d'arrivée de la drogue est le port d'Anvers... Dans la valse des 12 millions de containers qui arrivent chaque année sur ses 5 terminaux, les trafiquants essaient de déjouer la sécurité... par la corruption auprès des dockers, par des petites mains qui viennent récupérer la drogue, et qu'on appelle les extracteurs, ou encore en plaçant des hommes de main à l'intérieur même des containers... Reportage sur un port qui lutte à armes inégales contre les trafiquants signé Jean-Jacques Hery. Une extradition dans le gang des Kinahan Et si l'on parle des gros bonnets européens à la tête du trafic, beaucoup d'entre eux ont trouvé refuge dans les Émirats Arabes Unis. C'est le cas du gang irlandais des Kinahan... Mais retournement de situation, pour la première fois, un des membres les plus influents du gang vient d'être extradé de la péninsule arabique vers l'Irlande. Une avancée majeure sur la voie du démantèlement de leur trafic, Clémence Penard. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On a beaucoup parlé défense cette semaine avec le sommet de l'Otan à La Haye et on va faire un premier bilan. Comme le souhaitaient les États-Unis presque tous les membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer 3,5% de leur PIB aux dépenses militaires et 1,5% aux dépenses de sécurité... Bref, même s'il a fallu prendre beaucoup de pincettes avec Donald Trump pour éviter le clash, c'est un succès, disent de nombreux éditorialistes. Bras de fer politique autour de la gay pride de Budapest Le début de l'été et les gay prides.... qui peuvent prendre un tour très politique. C'est le cas en Hongrie. Une nouvelle loi interdit l'exposition des mineurs aux contenus sur l'homosexualité et les changements de genre. De quoi justifier, selon le Premier ministre, l'interdiction d'une grande parade. Mais, le maire de Budapest maintient la marche des fiertés pour samedi... Reportage signé Florence Labruyère.
Marché de la cocaïne en hausse, et une violence du crime organisé qui s'étend désormais à l'Europe. Le dernier rapport de l'ONU sur les drogues tire la sonnette d'alarme. Dans le nord de la Belgique, une des portes d'arrivée de la drogue est le port d'Anvers... Dans la valse des 12 millions de containers qui arrivent chaque année sur ses 5 terminaux, les trafiquants essaient de déjouer la sécurité... par la corruption auprès des dockers, par des petites mains qui viennent récupérer la drogue, et qu'on appelle les extracteurs, ou encore en plaçant des hommes de main à l'intérieur même des containers... Reportage sur un port qui lutte à armes inégales contre les trafiquants signé Jean-Jacques Hery. Une extradition dans le gang des Kinahan Et si l'on parle des gros bonnets européens à la tête du trafic, beaucoup d'entre eux ont trouvé refuge dans les Émirats Arabes Unis. C'est le cas du gang irlandais des Kinahan... Mais retournement de situation, pour la première fois, un des membres les plus influents du gang vient d'être extradé de la péninsule arabique vers l'Irlande. Une avancée majeure sur la voie du démantèlement de leur trafic, Clémence Penard. La revue de presse sonore de Franceline Beretti On a beaucoup parlé défense cette semaine avec le sommet de l'Otan à La Haye et on va faire un premier bilan. Comme le souhaitaient les États-Unis presque tous les membres de l'Alliance atlantique se sont engagés à consacrer 3,5% de leur PIB aux dépenses militaires et 1,5% aux dépenses de sécurité... Bref, même s'il a fallu prendre beaucoup de pincettes avec Donald Trump pour éviter le clash, c'est un succès, disent de nombreux éditorialistes. Bras de fer politique autour de la gay pride de Budapest Le début de l'été et les gay prides.... qui peuvent prendre un tour très politique. C'est le cas en Hongrie. Une nouvelle loi interdit l'exposition des mineurs aux contenus sur l'homosexualité et les changements de genre. De quoi justifier, selon le Premier ministre, l'interdiction d'une grande parade. Mais, le maire de Budapest maintient la marche des fiertés pour samedi... Reportage signé Florence Labruyère.
Les "grands" de ce monde sont réunis en ce moment à La Haye, aux Pays-Bas, pour le sommet de l'Otan, avec Donald Trump notamment. Le Président américain a exigé que les pays augmentent leurs dépenses militaires pour y consacrer au moins 5% de leur PIB. Sinon, il menace de ne pas défendre ceux qu'il considèrera comme des mauvais payeurs. En France, l'industrie de l'armement fonctionne à plein régime, comme en témoigne ce reportage chez KNDS à Roanne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de aux propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Donald Trump durant sa conférence de presse durant le sommet de l'OTAN à La Haye, aux Pays-Bas.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:10 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Depuis hier se tient à La Haye le sommet de l'OTAN. Donald Trump y était particulièrement attendu, sur fond de doutes croissants quant à la volonté des États-Unis d'honorer leurs engagements en matière de défense collective... - réalisation : Félicie Faugère - invités : Muriel Domenach ancienne ambassadrice de la France à l'OTAN
C'est un Donald Trump triomphant qui a débarqué hier à La Haye pour le sommet de l'Otan, devant des Européens réduits au rôle de paillasson diplomatique. Le nombre de jets privés en vol ne cesse de grimper. Et c'est particulièrement vrai en Belgique. Je vous explique pourquoi dans cette édition. Wallonie Entreprendre signe un très bon cru 2024, grâce à la vente de certaines participations, mais Olivier Vanderijst reste confiant pour l'avenir, vous entendrez le CEO de l'invest wallon. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google Podcasts See omnystudio.com/listener for privacy information.
Les bombardements ont cessé en Iran et en Israël. Et la presse internationale s'interroge ce matin, à l'instar du Devoir à Québec : « Ce cessez-le-feu ficelé par les États-Unis a-t-il l'étoffe de ceux qui durent ? Si on doit reconnaître un mérite au coup de théâtre de lundi, c'est qu'il permet aux trois parties impliquées de sortir la tête haute, sans devoir, face à leur peuple, panser les blessures d'un perdant. » Dans le New York Times, c'est la théorie que défend Ali Vaez, le directeur iranien de l'International Crisis Group. « Les États-Unis, affirme-t-il, peuvent dire qu'ils ont réussi à faire reculer les avancées nucléaires iraniennes. Israël peut dire qu'il a affaibli l'Iran, son adversaire dans la région. Et l'Iran peut dire qu'il a survécu aux attaques et même réussi à riposter à des puissances militaires beaucoup plus fortes. » Bref, il n'y aurait ni perdant ni gagnant… Pas plus de sécurité qu'il y a 12 jours Libération à Paris s'interroge également : « pour que cet accord – flou, non signé, non validé par quelque entité juridique ou politique que ce soit – puisse tenir, il faut que les deux parties puissent le présenter comme une victoire. Est-ce possible ? Côté israélien, Benyamin Nétanyahou peut se targuer d'avoir a minima retardé la militarisation du nucléaire iranien. Sans certitude que les mollahs ne recommencent pas leur entreprise hasardeuse (…). Côté iranien, l'honneur peut-il apparaître sauf ? (…) Le régime sait qu'il a eu chaud, et qu'il ne doit sa survie qu'à l'impréparation américaine sur un potentiel changement de régime. Mais, soupire Libération, le savoir engrangé en matière nucléaire et le ressentiment accumulé à Téhéran ne laissent malheureusement pas penser que le Moyen-Orient d'aujourd'hui sera longtemps plus sûr qu'il y a douze jours. » Le problème du nucléaire iranien réglé ou escamoté ? En fait, remarque Le Figaro, « cette négociation de paix annoncée par le président américain ressemble un peu à un tour de magie. (…) Le problème du nucléaire iranien est-il réglé ou seulement escamoté ? Nul ne sait, pas même Trump, ce que donneront ses solutions expéditives sur le long terme. » Concrètement, pointe le Washington Post, « le défi le plus urgent de l'après-guerre sera de trouver - et de détruire - le stock iranien de 400 kilos d'uranium enrichi à 60 %, qui pourrait devenir le combustible d'une “bombe sale“ en quelques semaines. (…) Des sources israéliennes et américaines affirment savoir où se trouvent les 400 kilos. Nous ne pouvons que l'espérer, s'exclame le Post. Ils doivent la trouver - rapidement - et s'en débarrasser en toute sécurité. Sinon, la mèche de la bombe iranienne sera toujours allumée. » Pour le Guardian à Londres, ce « cessez-le-feu est le bienvenu », certes, « mais, en effet, le danger n'est pas écarté. (…) L'approche de Trump reste chaotique. Et à mesure que les intentions et les messages du président américain se multiplient, les risques se multiplient. (…) L'instabilité des événements doit beaucoup à l'imprévisibilité de la rhétorique et des actes de Donald Trump. Et la crise au Moyen-Orient va continuer d'éclipser le sommet de l'OTAN à La Haye, destiné à consolider le soutien à l'Ukraine. » Un sommet de l'OTAN sous haute tension Un sommet qui a lieu ce mercredi. Et « Donald Trump, relève Le Soir à Bruxelles, a débarqué hier soir à La Haye auréolé de son succès (pour l'heure) engrangé au Moyen-Orient. Avec une autre victoire en poche : l'engagement que les Européens et le Canada signeront aujourd'hui dans la capitale administrative des Pays-Bas. Ces Alliés, parfois bousculés par l'impétueux président américain, accepteront, bon gré, mal gré, de porter leurs dépenses en matière de défense et de sécurité à un plafond historique : 5 % de leur PIB d'ici 2035 – une obsession du 47e président des États-Unis, depuis sa campagne électorale. » Pour Trump, il faut que les Européens s'engagent plus en matière de défense… Et il accentue la pression : « lors du dîner d'ouverture du sommet de La Haye, hier soir, la tension était palpable, s'exclame La Repubblica à Rome. Tous ceux assis à table ne savaient pas à quoi s'attendre de la part du magnat. » Sur l'Ukraine, Trump est tout aussi imprévisible, affirme encore le quotidien italien : « malgré un entretien direct prévu avec le président ukrainien Zelenski aujourd'hui, le dirigeant américain a de nouveau émis des doutes sur la nécessité d'inclure une condamnation de l'agression russe dans la déclaration finale du sommet. » Bref, conclut La Repubblica, « jamais autant de nuages d'incertitudes n'ont enveloppé un sommet de l'OTAN. »
C'est un retour aux niveaux de la guerre froide. Réunis à La Haye hier, les membres de l'OTAN ont acté un renforcement des dépenses militaires. Les 32 pays augmenteront l'effort de défense à 5% du PIB d'ici 2035. Par ailleurs, Donald Trump a finalement réaffirmé un engagement « inébranlable » envers l'article 5. Article qui stipule que les membres de l'Otan doivent se porter mutuelle assistance en cas d'attaque. Mardi, le président américain avait laissé planer le doute sur la volonté des Etats Unis de venir en aide aux autres membres de l'alliance nord atlantique en cas d'attaque. En parallèle de ce sommet, la trêve entre Israël et l'Iran semble tenir, après la guerre de 12 jours. Un espoir de paix est il permis ? Bertrand Badie, expert des relations internationales, auteur de "L'art de la paix" chez Flammarion, décrypte la situation. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 24 juin 2025 - Israël/Iran: Trump a-t-il réussi son coup? - Après douze jours de guerre entre Israël et l'Iran, des frappes américaines ce week-end et une riposte de Téhéran hier contre une base américaine au Qatar, le président des États-Unis a décrété au cours de la nuit un "cessez-le-feu bilatéral" de 24 heures, censé déboucher sur "la fin officielle" de la guerre. L'annonce faite par Donald Trump sur son réseau social a surpris, d'autant que, quelques heures plus tard, les frappes ont repris entre Israël et l'Iran, les deux pays s'accusant mutuellement d'avoir rompu le cessez-le-feu.Depuis la Maison-Blanche, le président des États-Unis a laissé éclater sa colère ce matin : "Israël et l'Iran se sont battus pendant si longtemps et si durement qu'ils ne savent pas ce qu'ils foutent", a-t-il lancé avant son départ pour le sommet de l'OTAN à La Haye. Dans un message en lettres capitales adressé au président israélien, Benyamin Nétanyahou, il a ajouté sur Truth Social : "Israël. Ne lâchez pas ces bombes. Si vous le faites, ce sera une grave violation. Rappelez vos pilotes, immédiatement !" Puis, en début d'après-midi, Donald Trump a assuré que le cessez-le-feu entre Israël et l'Iran est désormais "en vigueur".La guerre entre Israël et l'Iran sera évidemment à l'ordre du jour du sommet de l'OTAN, mais son objectif réel est tout autre. Face à la menace russe, au soutien à l'Ukraine et sous la pression de Donald Trump, les 32 États membres de l'Alliance atlantique se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas, afin d'entériner une hausse spectaculaire de leurs dépenses de défense, qui devraient passer à 5 % de leur PIB d'ici 2035. Ce rendez-vous, minutieusement orchestré pour éviter un esclandre du président américain — qui avait quitté prématurément le sommet du G7 au Canada le 16 juin dernier — vise aussi à rassurer sur l'avenir de l'OTAN. Donald Trump, depuis son retour à la Maison-Blanche, n'a cessé de réclamer des alliés européens et du Canada qu'ils dépensent beaucoup plus pour leur sécurité, faute de quoi il menace de ne plus les défendre.Coincée entre la menace russe et le mépris de Donald Trump pour le multilatéralisme, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord vit des moments historiques et tendus, alors que les combats se poursuivent en Ukraine et que les négociations entre les deux camps sont au point mort. Ni Kiev ni Moscou ne semblent prêts à céder sur la souveraineté des territoires occupés. Mais trois ans après le début de l'invasion russe, le 24 février 2022, comment les Ukrainiens vivent-ils dans ces régions aux mains de Moscou qui recouvrent 20 % du pays ? Les témoignages sont rares, et les informations parcellaires. Nos journalistes ont pu rencontrer plusieurs familles ayant réussi à fuir ces territoires.Alors se dirige-t-on vers la fin de la guerre entre Israël et l'Iran ? Quel est l'avenir de l'OTAN et de la défense européenne ? Et quelle est la situation en Ukraine ? LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PERRUCHE - Consultant en stratégie de sécurité et de défense, ancien directeur général de l'État-major de l'U.E.- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef – France 24, ancienne correspondante à Téhéran - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo, spécialiste des questions internationales- Elise VINCENT (en duplex de La Haye) - Journaliste chargée des questions de défense - Le Monde
durée : 00:36:53 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Les 32 pays membres de l'organisation se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas. Face à la menasse russe et au risque de désengagement de Donald Trump en Europe, les Alliés doivent s'accorder sur une hausse inédite de leurs dépenses militaires. - réalisé par : Thomas Lenglain Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:30 - L'invité d'un jour dans le monde - Alors que les 32 pays membre de l'Alliance atlantique se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas, Camille Grand, ancien secrétaire général adjoint de l'organisation, était l'invité de France Inter ce mardi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:53 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Les 32 pays membres de l'organisation se réunissent ce mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas. Face à la menasse russe et au risque de désengagement de Donald Trump en Europe, les Alliés doivent s'accorder sur une hausse inédite de leurs dépenses militaires. - réalisé par : Thomas Lenglain
Les tensions sont toujours vives entre Israël et l'Iran, malgré un cessez-le-feu annoncé par Donald Trump et accepté ce matin par les deux parties. Le Président américain a accusé les 2 pays et particulièrement Israël de ne pas avoir respecté cette trêve. Il est attendu à La Haye au sommet de l'OTAN où les membres s'apprêtent à s'engager sur une hausse historique de leurs dépenses de défense.
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est dans un contexte international explosif que s'ouvre ce soir à La Haye aux Pays-Bas le Sommet annuel de l'OTAN. Trente-deux chefs d'États doivent y participer, dont Donald Trump. L'un des enjeux pour Washington est d'obtenir des Européens qu'ils musclent leurs dépenses en matière de défense. Les Européens, eux, voudraient bien éclaircir quelques différences stratégiques de taille. Sommet de La Haye : malaise à l'OTAN ? Parlons-en avec le Général François Chauvancy, rédacteur en chef de la revue "Défense" de l'Union IHEDN, Pierre Razoux, directeur académique de la Fondation méditerranéenne d'études stratégiques (FMES), et Antoine Mariotti, chroniqueur international à France 24.
Les 32 pays de l'Otan vont se pencher mardi et mercredi, sous la pression de Donald Trump et de la menace russe, sur une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5% de leur PIB. Selon Mark Rutte, lundi à La Haye, l'alliance va faire un "bond en avant" grâce à cet objectif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'OTAN se réunit mardi soir à La Haye, aux Pays-Bas, pour discuter d'une hausse spectaculaire des dépenses de sécurité. Une proposition portée par Donald Trump et désormais défendue par le Secrétaire général de l'organisation, Mark Rutte. Pour la France, l'objectif de 5 % du PIB représenterait un effort budgétaire sans précédent.
Alors que l'Europe cherche à renforcer sa défense commune, le sommet de l'OTAN à La Haye s'ouvre dans un contexte géopolitique tendu. Donald Trump affirme qu'un cessez-le-feu a été conclu entre Israël et l'Iran, ajoutant une dimension stratégique importante à ce rendez-vous diplomatique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un sommet crucial pour l'avenir de l'OTAN s'ouvre demain mardi (24 juin 2025) à La Haye. L'Alliance est fragilisée par le cavalier seul des États-Unis dans le jeu géopolitique mondial. Washington qui exige des États membres de l'Alliance l'effort inédit de consacrer 5% de leur PIB aux dépenses de sécurité. Quelles sont les intentions du président américain concernant l'OTAN ? Que doivent faire les Européens ? Pour en débattre - Maud Quessard, maître de conférences des universités, directrice du domaine Euratlantique à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM) - Olivier Sueur, chercheur associé auprès de l'Institut d'études de géopolitique appliquée (IEGA), ancien sous-directeur OTAN, enseignant à Sciences Po - Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut de Relations internationales et stratégiques (IRIS), responsable des études liées aux questions de défense.
Un sommet crucial pour l'avenir de l'OTAN s'ouvre demain mardi (24 juin 2025) à La Haye. L'Alliance est fragilisée par le cavalier seul des États-Unis dans le jeu géopolitique mondial. Washington qui exige des États membres de l'Alliance l'effort inédit de consacrer 5% de leur PIB aux dépenses de sécurité. Quelles sont les intentions du président américain concernant l'OTAN ? Que doivent faire les Européens ? Pour en débattre - Maud Quessard, maître de conférences des universités, directrice du domaine Euratlantique à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM) - Olivier Sueur, chercheur associé auprès de l'Institut d'études de géopolitique appliquée (IEGA), ancien sous-directeur OTAN, enseignant à Sciences Po - Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut de Relations internationales et stratégiques (IRIS), responsable des études liées aux questions de défense.
Les États-Unis ont attaqué plusieurs sites nucléaires iraniens. Des frappes ciblées qui ont détruit la totalité les installations d'enrichissement nucléaires selon le président américain, Donald Trump. Téhéran promet de se défendre par tous les moyens. Alors quelles conséquences faut-il attendre de cette nouvelle escalade dans le conflit au Moyen-Orient. Le régime des Mollahs sera-t-il fragilisé? Le conflit risque-t-il d'embraser toute la région? Quel impact cela aura-t-il sur l'approvisionnement et les cours du pétrole? Nous allons tenter de répondre à quelques-unes de ces questions avec Elena Aoun, professeure et chercheuse en relations internationales à l'UCLouvain et membre de l'Institut de Sciences Politiques Louvain-Europe. Selon cette spécialiste du Proche-Orient, l'entrée en guerre des États-Unis répond à une proximité très forte entre eux et Israël, mais plus encore entre Donald Trump lui-même et l'état hébreu. Durant son premier mandat déjà, le président avait multiplié les gestes en faveur d'Israël. Et sur le dossier iranien, c'est clairement le couple israélo-américain qui mène la danse. "Les Européens sont totalement satellisés...", estime Elena Aoun. Et quant au risque sur les marchés et sur le cours du pétrole, Elena Aoun ne croit pas à un blocage durable du trafic pétrolier à cause de l'Iran. "Déjà très isolé, l'Iran n'aura aucun pays pour le soutenir dans cette aventure." C'est dans ce contexte international très tendu que s'ouvrira le sommet de l'Otan ce mardi à La Haye. Avec au menu l'augmentation des dépenses de défense à 5%. Une augmentation qui ne pourra se faire qu'au détriment de "ce qu'il reste de l'État-providence", estime Elena Aoun. Et ces dépenses profiteront essentiellement à l'économie américaine. C'est d'ailleurs le principal objectif de Donald Trump et de son équipe." Retrouvez ici, le Brief Spécial consacré à la défense. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Les Alliés se réuniront à La Haye, aux Pays-Bas, les 24 et 25 juin, pour un sommet capital de l'Otan. Au cœur des discussions : l'augmentation du budget consacré à la défense à hauteur de 5% du PIB des États membres. Les Européens craignent de se retrouver face à un mur budgétaire pour assumer leur défense sans Washington. Il y a des sommets de l'Otan plus stratégiques que d'autres. À l'ère Trump, il s'agit cette fois de savoir si Moscou est toujours une menace pour l'allié américain. Car l'urgence pour les Européens est bien d'éviter que Washington ne lâche l'Ukraine. Ce qui aurait un impact considérable sur les plans de l'Otan adoptés en 2023 au sommet de Vilnius. Le président américain, Donald Trump a prévenu les membres de l'Alliance : s'ils souhaitent que les États-Unis maintiennent leur implication au sein de l'Otan, les États du Vieux Continent devront consacrer, d'ici 7 à 10 ans maximum, au moins 5 % de leur produit intérieur brut à leur défense. Il y aura suffisamment de crises durant la prochaine décennie pour rappeler aux Européens qu'ils n'ont plus le choix insiste l'amiral Pierre Vandier, commandant suprême allié pour la transformation de l'Otan : « L'enjeu, c'est d'avoir 32 pays qui se mettent d'accord pour augmenter substantiellement leur effort de défense. Un changement de trajectoire de fond par rapport à trente années où on a cru qu'on vivait dans un monde qu'on pouvait réguler par la loi, l'ordre et la discussion. On retrouve la violence et aujourd'hui il faut s'organiser pour la traiter ». Cet objectif des 5% représente néanmoins un défi de taille pour de nombreux pays européens. Cet objectif se décompose en d'une part, 3,5 % du PIB consacré aux dépenses militaires en tant que telles et d'autre part, 1,5 % du PIB dédié aux dépenses connexes à la défense, notamment liées à la cybersécurité ou à la sécurité du pays de manière générale, comme par exemple, la mise à niveau d'infrastructures routières. Les aides aux industries de défense pourront aussi être prises en compte dans ces 1,5 %, reste que le contenu de cette variable sera peu détaillé au sommet de La Haye. Cette fragmentation est en quelque sorte une façon diplomatique d'amadouer l'allié américain. Mais néanmoins la marche est haute : L'an dernier, huit des trente-deux pays membres de l'Otan consacraient encore moins de 2 % de leur PIB à la défense. La France, se situe tout juste au-dessus, avec 2,06 % de son PIB. 5% du PIB : un objectif déraisonnable juge pour sa part l'Espagne. Les choix budgétaires seront donc difficiles admet l'amiral Vandier, « L'élargissement de l'Otan s'est fait en parallèle du désinvestissement militaire parce que la perspective stratégique laissait penser qu'on aurait plus de problèmes militaires et donc aujourd'hui on se retrouve avec l'Otan qui est la plus large de son histoire, avec son outil militaire qui n'est pas à la hauteur des enjeux. D'où ce moment historique de réarmement, de prise de conscience des 32 du fait que la défense est une priorité ». Passer à l'âge adulte Une question sous-jacente se pose : si les membres de l'Alliance Atlantique acceptent de réduire leur dépendance militaire aux États-Unis, acceptent-ils aussi pour être à niveau d'avoir une dépendance mutuelle consentie entre Européens ? Ce que l'amiral Pierre Vandier n°2 de l'Otan appelle le passage à l'âge adulte, « Je pense que la pression américaine, du fait que l'administration américaine a ses propres problèmes, notamment avec la compétition dans le Pacifique, conduit à demander à ce que les Européens tiennent la maison Europe à hauteur de ce qu'ils sont. C'est leur immeuble, c'est là où ils habitent. Il faut qu'ils le défendent et qu'ils n'aient pas à sous-traiter ça à une puissance étrangère. On voit bien, si vous voulez, que cette idée de sous-traiter la sécurité du continent européen à l'Amérique est une idée qui est étrangère aux intérêts de l'Amérique aujourd'hui, parce que ils ont quelque chose d'important à faire et donc il est bon pour les Européens de se prendre en main. C'est l'âge adulte ». Reste que les États-Unis en gardant jalousement la main au sein de l'Otan sur certaines capacités critiques comme le renseignement spatial, les centre de commandement, le ciblage, les ravitailleurs en vol et la logistique ont aussi une grande une part de responsabilité dans la faiblesse militaire chronique du Vieux Continent. Ce sera un sujet brûlant lors de ce sommet de l'Otan.
L'émission 28 minutes du 21/06/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité internationale avec nos clubistes : Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des droits de l'homme , Maya Khadra, enseignante et journaliste franco-libanaise, Daniele Zappalà, correspondant du quotidien "Avvenire" et docteur en géopolitique, et la dessinatrice de presse, Dorthe Landschulz. La reconnaissance d'un État palestinien reportée sine die ?Cette semaine, une conférence organisée par la France et l'Arabie saoudite devait avoir lieu à New York, durant laquelle Emmanuel Macron aurait pu reconnaître un État palestinien. Cette dernière a été reportée à cause du conflit entre Israël et l'Iran qui ne permettait pas à plusieurs dirigeants arabes de se rendre aux États-Unis. 148 des 193 membres de l'ONU reconnaissent déjà officiellement la Palestine, mais comme simple membre observateur. La reconnaissance d'un État palestinien par un membre du conseil de sécurité de l'ONU serait hautement symbolique mais pourrait aussi avoir des conséquences diplomatiques importantes. Depuis quelques semaines, certains pays semblent prendre de la distance vis-à-vis de cette initiative. Sommet de l'OTAN : les pays européens prêts à se réarmer face à Poutine ?Kiev a été la cible lundi 16 juin d'une violente attaque de drones et de missiles russes, faisant 30 morts et 172 blessés parmi les civils. L'armée russe a également annoncé avoir pris le contrôle de nouveaux villages dans la région de Soumy, au nord-est de l'Ukraine. Vladimir Poutine s'est déclaré “prêt” à rencontrer son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, uniquement dans le cadre de la “dernière étape” des négociations entre Moscou et Kiev. La semaine prochaine se tient à La Haye le sommet de l'Otan durant lequel les pays membres devraient acter le principe d'une augmentation de leurs dépenses militaires à hauteur de 5 % de leur PIB, d'ici 2032. À l'occasion de la fête de la musique, nous recevons le violoniste Théotime Langlois de Swarte qui présente un album hommage à l'œuvre de Vivaldi : “Le Quattro Stagioni, concerti armonici e incentivi”. Pour le 300e anniversaire de la publication de la partition des “Quatre Saisons” de Vivaldi, il propose une interprétation de l'œuvre avec son ensemble Le Consort, dont il a pris la direction.Marion L'Hour nous emmène au Royaume-Uni où les députés ont voté pour décriminaliser l'avortement, une brêche juridique qui existait depuis 1967. Au-delà de 24 semaines de grossesse, l'IVG était considérée comme un crime. En 2023, le cas de Carla Foster, une femme de 44 ans emprisonnée pour un avortement tardif, avait ému le pays.Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Ali Khamenei, le guide suprême iranien. Donald Trump l'a directement visé le 17 juin en appelant à la reddition de l'Iran et en assurant que les États-Unis “savent exactement où [il] se cache”, même s'ils ne comptent pas “l'éliminer, du moins pour le moment”. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision américaine pour s'intéresser au nouveau projet de Donald Trump : commercialiser ses propres téléphones “made in USA”. Paola Puerari se demande pourquoi les seins nus font peur alors que la pratique du topless sur les plages disparaît. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi les chansons sont-elles de plus en plus courtes ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 juin 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
La Belgique a promis de porter ses dépenses en matière de défense à 2% de son PIB, d’ici à l’été. Reste à savoir comment sera investi cet argent et à qui il profitera. La protection militaire de l’Europe fait partie des points centraux de discussions actuellement au sein de l’Union européenne: certains États-membres, comme la France et l’Allemagne, envisagent même de porter à terme leurs dépenses de défense à 5% de leur PIB. C’est l’un des sujets qui sera discuté au sommet de l’Otan, la semaine prochaine, à La Haye aux Pays-Bas. L’Alliance transatlantique doit devenir plus forte et se transformer, selon les souhaits de son secrétaire général, Mark Rutte. Jusqu’à dimanche se déroule également le salon du Bourget, près de Paris. Il réunit tout le gratin de l’aéronautique et de l’espace, deux secteurs performants dans notre pays. Y sont annoncés des partenariats, des alliances stratégiques et parfois des orientations politiques. Comment la Belgique se positionne-t-elle sur ce marché de la défense? Quels sont les atouts et les projets de ses entreprises? Pour en parler, les invités du Brief sont Alain Quevrin, CEO de Thales Belgium et président d’Agoria Wallonie, Sven Biscop, professeur de sciences politiques à l’université de Gand et directeur à l’Institut royal des relations internationales (Egmont), et Olivier Gosset, envoyé spécial de L'Echo au salon du Bourget. Présentation: Guillaume Cordeaux Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Mercredi 18 juin :Le Bureau du plan et l'Université de Gand ont mené une enquête sur les effets d'une réduction du temps de travail. Depuis la pandémie de Covid, dans plusieurs pays européens, un nombre croissant d'entreprises ont testé des formules comme la semaine de quatre jours.En Belgique, plus de 11.000 sites d'e-commerces sont actifs, mais opèrent-ils tous dans la légalité ? C'est loin d'être le cas selon les résultats d'une campagne de contrôle du SPF économie. Sur 252 sites contrôlés, seuls 10 n'étaient pas en infraction.Le sommet de l'OTAN à La Haye, les 24 et 25 juin 2025, se tient à un moment charnière pour l'Alliance. Sous la pression de tensions géopolitiques croissantes, les États-Unis exigent une forte augmentation des budgets de défense, une demande qui divise l'Europe. Les Trends-Tendances podcasts rassemble tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société.Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir.
Le Journal en français facile du lundi 16 juin 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BlSA.A
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Notre planète abrite quelque 65.000 espèces d'arbres (pour 280.000 espèces de plantes à fleurs au total).L'effondrement du vivant est enfin à peu près admis. Mais l'appauvrissement de la flore, et notamment des arbres, demeure peu médiatisé. Pourtant, dans le monde, près de quatre espèces d'arbres sur dix sont menacées de disparition.Dans de nombreuses régions du monde (Portugal, Californie, Amazonie, Sibérie, Australie…), des incendies gigantesques – les mégafeux (voir nos épisodes avec Sébastien Lahaye) – ont eu des conséquences dévastatrices sur la biodiversité et l'environnement.Certaines de ces espèces d'arbres gravement menacées à l'état sauvage sont communs dans nos parcs et jardins : Séquoias, Cèdre de l'Atlas, Marronnier commun, Magnolia étoilé, Cyprès de Lambert...Qu'ils soient remarquables ou ordinaires, les arbres de nos villes doivent être davantage respectés afin que cessent les abattages et les supposées tailles de «mise en sécurité» injustifiés et contraires au respect de la vie végétale.Par ailleurs, il est devenu plus qu'essentiel de leur redonner un espace de vie décent et compatible avec leur développement. Il en va de leur pérennité... et aussi de la résilience climatique et des villes dans lesquelles vit la majorité de la population mondiale.David Happe est un amoureux des arbres. Cet expert arboricole n'est pas un scientifique mais un praticien, de terrain. Il a travaillé à l'ONF (Office National des Forêts), pour des collectivités territoriales et pour le ministère de l'écologie qu'il a quitté en 2021. Il est l'auteur de Au chevet des arbres : réconcilier la ville et le végétal (mars 2022, Éditions Le mot et le reste, 165 pages), et de Arbres en péril : Nos villes, leur dernier sanctuaire (même éditeur, mars 2021).Pour réécouter les épisodes avec Ernst Zürcher, c'est ici. Pour réécouter l'épisode sur le Garoé, un arbre légendaire, c'est là. _______
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE RECUL DES ACCORDS DE PARISAprès avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), et promis que son second quinquennat « sera écologique ou ne sera pas », Emmanuel Macron s'est montré de moins en moins ambitieux au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. En 2019, sur recours du collectif d'associations « L'affaire du siècle », la responsabilité de l'État a été engagée par le juge administratif pour n'avoir pas respecté sa propre trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Déjà marginalisée depuis l'irruption de la guerre en Ukraine ou à Gaza, la cause climatique se retrouve foulée aux pieds dans le nouveau chaos géopolitique créé par l'administration Trump. En France, depuis le début de l'année, les reculs se multiplient, dans une ambiance d'attaques répétées de la droite et de l'extrême droite contre les opérateurs de l'État comme l'Office français de la biodiversité ou l'Agence de la transition écologique. Adopté au Sénat en janvier, un texte vise la réautorisation par dérogation de certains insecticides néonicotinoïdes et restreint l'indépendance de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), des reculs jugés considérables par les défenseurs de l'environnement.Or, il y a dix ans, dans le cadre des accords de Paris de 2015, la France s'est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050 et, pour y parvenir, s'est dotée d'une feuille de route de réduction des émissions par secteur, la Stratégie nationale bas carbone, dont la troisième version doit être officiellement publiée dans les prochains mois. L'objectif : réduire nos émissions brutes de 50 % entre 1990 et 2030, en accord avec l'objectif européen. Alors que la France doit réduire ses émissions de 4,7 % par an en moyenne entre 2022 et 2030, ces dernières n'ont diminué que de 1,8 % en 2024 par rapport à 2023 selon lebaromètre Citepa chargé de l'inventaire des émissions de la France. Le compte n'y est donc pas.Selon une enquête de 2022 de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), environ 43 % des Français ont une opinion sur le climat qui s'écarte significativement du consensus scientifique. Une proportion qui excède – parfois de plus de 20 points – ce qui est observé dans la douzaine des autres pays à hauts revenus inclus dans l'étude de l'OCDE.LA POLITIQUE DE NETANYAHOU ET L'ISOLEMENT D'ISRAËLDurant la tournée de Donald Trump dans le Golfe mi-mai, le premier ministre israélien a paru isolé et pris de court par les décisions du président américain de lancer des pourparlers avec l'Iran sur le nucléaire, de négocier directement avec le Hamas la libération d'otages israélo-américains, de conclure un cessez-le-feu avec les Houthis yéménites et de lever les sanctions américaines sur la Syrie.Le 19 mai, Benyamin Nétanyahou a annoncé qu'Israël allait prendre « le contrôle de tout le territoire » de la bande de Gaza en lançant l'opération Chariots de Gédéon. L'armée israélienne a depuis intensifié ses opérations dans l'enclave palestinienne, faisant des centaines de morts, dont une majorité de civils. Le plan du gouvernement israélien qui suppose de raser ce qui reste de Gaza, de parquer une population affamée dans une petite portion de l'enclave et de la soumettre à un système militarisé de distribution d'aide humanitaire a suscité une indignation générale de la communauté internationale y compris de la part de capitales occidentales proches d'Israël. Quelque 39 pays ont déposé un recours devant la Cour Internationale de Justice de La Haye. Le président français, et les Premiers ministres britannique et canadien ont prévenu qu'ils ne resteraient « pas les bras croisés » devant les « actions scandaleuses » du gouvernement israélien. 22 pays ont aussi exigé d'Israël une « reprise complète de l'aide à la bande de Gaza, immédiatement », demandant qu'elle soit organisée par les Nations unies et les ONG. Sous la pression, après deux mois et demi de blocus humanitaire, Benyamin Netanyahou a autorisé quelques camions transportant des médicaments et de la nourriture pour enfants à pénétrer dans la bande de Gaza. Un geste minimum, loin de répondre aux besoins. Le 20 mai, la Commission européenne a déclaré qu'elle allait entamer un processus de révision de l'accord d'association de l'Union européenne avec Israël, dont l'article 2 évoque le respect des droits humains qui pourrait aboutir à la suspension des relations commerciales favorables à Tel-Aviv. La cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas a constaté qu'« il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l'article 2 de notre accord d'association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice ». La mort de deux employés de l'ambassade d'Israël aux États-Unis, tués devant le musée juif de Washington, a renforcé un sentiment d'isolement en Israël et la crainte de devenir un Etat paria. Le 23 mai, le Conseil de l'Europe a estimé que les actes dans la bande de Gaza « vont dans le sens d'un nettoyage ethnique et d'un génocide ». Lundi, le chancelier allemand Friedrich Merz a menacé le gouvernement Netanyahou de ne plus continuer à le soutenir en raison de l'intensification de l'offensive de l'armée israélienne à Gaza. « On ne peut plus le justifier par une lutte contre le terrorisme du Hamas », a déclaré le dirigeant allemand, fustigeant avec une rare fermeté les actions d'Israël, dont Berlin est l'un des plus fidèles alliés avec les États-Unis.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 28/05/2025, il reçoit l'avocate du chanteur Jean-Luc Lahaye, Maître Sophie Obadia pour évoquer les poursuites contre le chanteur, accusé de viol et agression sexuelle sur deux jeunes femmes alors qu'elles étaient mineures. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À part leur passion commune pour le golf, il n'y a pas beaucoup d'atomes crochus entre l'États-Unien Donald Trump et le Sud-Africain Cyril Ramaphosa. Surtout depuis que le président américain a accusé l'Afrique du Sud de commettre un « génocide » contre les fermiers blancs afrikaners. Mais ce mercredi, les deux chefs d'Etat vont se rencontrer à la Maison Blanche. Donald Trump et Cyril Ramaphosa vont-ils être capables de trouver un terrain d'entente sur Gaza et sur les tarifs douaniers ? La chercheuse de l'International Crisis Group, par ailleurs Sud-Africaine, Liesl Louw, est notre invitée. RFI : Quelle est la vraie raison du raidissement des Américains contre l'Afrique du Sud ? Est-ce que c'est le sort des fermiers blancs afrikaners ou est-ce que c'est la plainte pour génocide que Pretoria a déposé contre Israël devant la Cour internationale de Justice ?Liesl Louw : Ce qui est sûr, c'est que la plainte contre Israël a beaucoup contribué à cette dégradation. Et puis aussi, depuis le début de 2022, le fait que l'Afrique du Sud ne voulait pas ouvertement condamner la Russie pour l'invasion de l'Ukraine et son insistance depuis aussi de vouloir être neutre dans ce conflit, l'Afrique du Sud étant membre des BRICS, etc. Donc il y a le conflit en Ukraine et puis sa ferme opposition à ce que fait Israël à Gaza.Et alors, sur cette question palestinienne que l'Afrique du Sud défend depuis la fin de l'apartheid, est-ce que vous pensez que Cyril Ramaphosa va lever le pied dans les prochaines semaines pour essayer de calmer le jeu avec Donald Trump?Moi, je pense que, politiquement, il ne va pas lever le pied. Il y a un large consensus en Afrique du Sud, même au sein de cette coalition du gouvernement d'unité nationale, pour condamner Israël. D'accord, il y a des nuances. L'Alliance démocratique, donc le parti de l'opposition qui fait partie du gouvernement aujourd'hui, n'a pas soutenu le procès à La Haye. Mais l'opposition de l'Afrique du Sud contre Israël a une popularité assez large. Je ne pense pas que c'est quelque chose que Cyril Ramaphosa va ouvertement changer dans cette position pro-palestinienne.À lire aussiAfrique du Sud: des diplomates aux États-Unis pour apaiser les tensions entre les deux paysDepuis le début de l'invasion de l'Ukraine il y a trois ans, l'Afrique du Sud a renforcé ses liens avec la Russie, notamment via les BRICS. Elle s'est aussi rapprochée de la Chine et de l'Iran. Est-ce que Cyril Ramaphosa n'a pas intérêt à rééquilibrer sa politique internationale s'il veut voir Donald Trump lors du sommet du G20 en novembre prochain en Afrique du Sud ?Oui, et je pense que ça, c'est vraiment l'enjeu diplomatique de cette rencontre. Parce que Ramaphosa, il faut se souvenir, à la fin du mois d'avril, il a invité Zelensky à Pretoria. Même si c'est très complexe, parce que l'Afrique du Sud, quand même, est un membre des BRICS. La Chine étant son plus grand partenaire économique. Et il y a encore très récemment des ministres du Congrès national africain (ANC) qui sont allés en Russie rencontrer Vladimir Poutine à Moscou. Donc, ce n'est pas facile de jouer les non-alignés.Sur le plan économique, les Américains sont le deuxième partenaire commercial de l'Afrique du Sud à qui ils achètent beaucoup de voitures et beaucoup de produits agricoles. Si demain Donald Trump augmente les taxes douanières de 30 %, comme il en a agité la menace le mois dernier, est-ce que cela ne risque pas de ruiner beaucoup d'agriculteurs et beaucoup d'ouvriers agricoles ?Oui, absolument. Ça, c'est vraiment la vraie raison pour cette visite et pour l'Afrique du Sud qui a un taux de chômage de 32 %. Et si encore, dans certaines zones où il y a des grandes fabriques d'automobiles, ces usines venaient à fermer, des dizaines de milliers de gens pourraient perdre leur travail et cela aggraverait le taux de chômage. Donc l'agriculture, le secteur automobile sont absolument clé pour l'Afrique du Sud.À lire aussiAfrique du Sud: les premiers «réfugiés» blancs afrikaners partis pour les États-UnisLe porte-parole de la présidence sud-africaine a évoqué il y a quelques jours un éventuel accord avec les États-Unis dans le domaine des terres rares et des métaux stratégiques comme le manganèse. Est-ce que ce serait une façon d'amadouer le président américain par un deal à la façon Volodymyr Zelensky ?Oui, absolument. Et depuis quelque temps, nous regardons de près où sont les terres rares. L'Afrique du Sud est un grand pays minier, bien sûr, et l'Afrique du Sud a des ressources stratégiques : manganèse, platine, chrome. Mais en ce qui concerne les terres rares, l'Afrique du Sud n'est pas un grand producteur de terres rares. Donc, depuis quelque temps, des économistes, des diplomates, tout le monde réfléchit, même dans les médias. Il y a énormément de débats autour de ce que l'Afrique du Sud peut offrir. Comment réparer cette relation qui est extrêmement importante, même s'il y a des choses où l'Afrique du Sud et les États-Unis ne sont pas d'accord ? La question d'Israël, par exemple. Mais pour réparer cette relation très importante, l'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques.
« C'est une catastrophe », dit l'opposant gabonais Alain-Claude Bilie By Nzé après la décision de la Cour de La Haye de donner raison à la Guinée équatoriale dans son conflit territorial avec le Gabon. Alain-Claude Bilie By Nzé a été le dernier Premier ministre du régime d'Ali Bongo. Le 12 avril, il est arrivé second à la présidentielle gabonaise, mais avec seulement 3 % des voix, loin derrière Brice Clotaire Oligui Nguema. L'opposant gabonais s'exprime sur l'exfiltration de la famille Bongo la semaine dernière. Mais au micro de Christophe Boisbouvier, il réagit d'abord à la décision des juges de la Haye. À lire aussiÎlots disputés: la Cour internationale de Justice donne raison à la Guinée équatoriale face au GabonÀ lire aussiGabon: la sortie de la famille Bongo aurait été facilitée par l'Angola
Un nouveau plan israélien a été annoncé ce lundi. Il vise la « conquête » de la bande Gaza. On en parle avec Olivier Corten, professeur de droit international à l'ULB. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le drapeau blanc est aujourd'hui reconnu dans le monde entier comme un symbole de reddition, de trêve ou de demande de cessez-le-feu. Qu'il s'agisse d'un chiffon improvisé ou d'un tissu officiel, il signifie une intention pacifique : celle de ne pas attaquer et de vouloir dialoguer. Mais d'où vient cette pratique, et pourquoi avoir choisi précisément un drapeau blanc ?Une origine ancienneL'utilisation du drapeau blanc remonte à l'Antiquité. On en trouve déjà des traces dans les chroniques chinoises du Ier siècle. Durant la dynastie Han, les soldats agitaient des tissus blancs pour indiquer leur soumission ou pour signifier qu'ils voulaient négocier. Les Romains, eux aussi, utilisaient parfois un voile blanc pour demander la paix.Mais c'est surtout à partir du Moyen Âge en Europe que le drapeau blanc se généralise comme signe de reddition sur les champs de bataille. Les soldats qui abandonnaient le combat devaient montrer clairement qu'ils n'avaient plus l'intention de se battre. Le blanc, couleur neutre et visible de loin, était parfait pour cela. Contrairement aux drapeaux colorés des armées, le blanc n'était pas associé à une faction, ce qui évitait toute confusion.Pourquoi la couleur blanche ?Le choix du blanc n'est pas anodin. D'un point de vue symbolique, le blanc évoque la pureté, la paix et l'innocence dans de nombreuses cultures. Il est aussi une couleur très visible, même de loin et dans des conditions difficiles, comme la fumée ou le brouillard. Mais surtout, c'est une couleur neutre, non affiliée à un camp particulier, ce qui renforce l'idée de non-agression.Une reconnaissance par le droit internationalL'usage du drapeau blanc a été codifié par le droit international, notamment dans les Conventions de Genève et les Conventions de La Haye au début du XXe siècle. Il est reconnu comme un symbole protégé, qui indique qu'un combattant souhaite parlementer, rendre les armes ou évacuer des blessés. Toute attaque contre une personne brandissant un drapeau blanc constitue une violation du droit international humanitaire.Un langage universelDans un contexte de guerre, les mots peuvent être incompris ou ignorés, surtout entre ennemis parlant des langues différentes. Le drapeau blanc devient alors un langage visuel universel, immédiatement compréhensible, même sans un mot. Il permet d'initier un dialogue ou de sauver des vies sans passer par la parole.En résumé, le drapeau blanc est bien plus qu'un simple morceau de tissu : c'est un symbole ancestral de paix et de neutralité, adopté par les cultures et reconnu par les lois internationales. Dans le tumulte de la guerre, il reste un des rares signaux qui puisse encore imposer le silence… pour laisser place à la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
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Le Journal en français facile du lundi 28 avril 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bcel.A
Nous sommes en mai 1898, à Bruxelles. Le dénommé Israël P., né à La Haye, séjournant à Cureghem, est accusé de faux en écriture de commerce et escroquerie. A la clôture du procès, le directeur de la Police des étrangers, Van Heerswyngels, écrit que la condamnation d'Israël P., qu'il qualifie de « colporteur israélite », ne justifie pas une expulsion. Un autre agent défend n'est pas de cet avis : « Nous devons nous montrer sévère à l'égard des trompeurs de cette catégorie, affirme-t-il, ils sont habiles ». Le 18 mai, dans une note de service signée Beernaert, chef de bureau, on peut lire : « Tromper le monde sur la qualité ou la quantité de leur marchandise, c'est le délit que les colporteurs juifs commettent généralement et très couramment. (…) Une note du 9 mai dit que l'administration doit se montrer sévère à l'égard des trompeurs de la catégorie dont il s'agit, parce qu'ils sont habiles. On peut ajouter sans crainte qu'ils récidivent toujours. Du moment qu'un étranger de cette catégorie a encouru même conditionnellement une condamnation (…), il doit être considéré comme dangereux pour l'ordre public, soit à raison de la nature des faits, soit à raison des moyens dont il s'est servi pour tromper la société ; il n'y a plus à hésiter. L'expulsion est d'ordre public et son caractère est essentiellement préventif. Je propose de provoquer cette mesure à l'égard du nommé P. » Au tournant du vingtième siècle, le quartier de Cureghem est identifié, par les forces de l'ordre, comme un endroit juif, pauvre et étranger. Les juifs du quartier font l'objet d'une surveillance accrue. Quels sont précisément les stéréotypes judéophobes au sein de la Police des étrangers ? Comment sont-ils utilisés pour justifier les discriminations. Il y a-t-il, en Belgique, un antisémitisme institutionnalisé ? Invitée : Yasmina Zian, docteure en histoire, spécialisée dans les relations entre institutions étatiques et groupes minorisés. « Un antisémitisme ordinaire - Représentations judéophobes et pratiques policières (1880-1930) » ; éd. de l'Université de Bruxelles. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
VOV1 - Trang web chính thức của Tổ chức Hiệp ước Bắc đại Tây dương đã đăng tải thông báo tái khẳng định Hội nghị thượng đỉnh NATO tiếp theo sẽ được tổ chức tại La Haye, Hà Lan vào ngày 24-25/6 tới.
durée : 00:06:10 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'ex-président philippin Rodrigo Duterte a atterri à La Haye aux Pays-Bas et placé en détention, accusé par la Cour pénale internationale de crime contre l'humanité lors de sa guerre contre la drogue. Une arrestation qui révèle à la fois les forces et les faiblesses de la justice internationale.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 février 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA FIN DE L'OTAN ET L'HEURE DE LA DÉFENSE EUROPÉENNE ?Le rapprochement russo-américain sur l'Ukraine, les « négociations de paix » amorcées sans Kyiv et le Vieux Continent et la menace de remise en question par Washington de son soutien militaire à l'Europe ont abasourdi ses alliés. Le discours du vice-président des Etats-Unis, J. D. Vance, lors de la Conférence de Munich le 14 février a ébranlé la relation transatlantique : les Européens ont brutalement pris conscience que la sécurité du continent ne dépend que d'eux-mêmes. Après l'annonce par le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, le 12 février à Bruxelles que l'Administration Trump écarterait la possibilité pour l'Ukraine d'intégrer l'Alliance atlantique dans les négociations de paix, la course aux idées pour pallier l'absence de protection américaine a été relancée. Mais, faute d'architecture de défense ou de structure de commandement commune européennes, ces moyens sont limités. Aujourd'hui, les membres européens de l'OTAN ne dépensent que 1,9% de leur PIB dans la défense. Le sommet du 24 au 26 juin à La Haye devrait porter la cible de dépenses de défense à 3% du PIB.À Bruxelles, en attendant de présenter son Livre blanc sur la défense, le 19 mars, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déjà évoqué une première piste : les États membres pourront demander un traitement budgétaire de faveur pour leurs dépenses de défense, afin de desserrer l'étau des critères de Maastricht d'une dette publique inférieure à 60% du PIB et un déficit public de 3% du PIB maximum. Le recours à cette « clause de sauvegarde nationale » pourrait notamment intéresser les pays sous procédure pour déficit excessif, comme la France, l'Italie, la Belgique, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie, ou Malte. Pour l'heure, le débat sur la bonne utilisation des fonds communautaires se poursuit entre les États qui, comme la France, militent pour une préférence européenne et ceux qui, à l'instar de la Pologne, ne veulent pas exclure des achats aux États-Unis ou en Corée du Sud.En Allemagne, lundi, au lendemain de la victoire de l'Union chrétienne-démocrate aux législatives du 23 février, son leader le probable futur chancelier Friedrich Merz juge nécessaire pour l'Europe de se préparer « au pire scénario » en créant une défense autonome en tant qu'alternative à « l'OTAN dans sa forme actuelle ». Estimant que le temps presse, il se dit prêt ainsi à s'affranchir de 80 ans de tradition atlantiste allemande en matière de défense, allant jusqu'à déclarer vouloir « discuter avec les Britanniques et les Français pour savoir si leur protection nucléaire pourrait également s'étendre à [l'Allemagne] ».A Londres, mardi, devant la Chambre des communes, Keir Starmer a déclaré que son gouvernement porterait le budget de la défense à 2,5% du PIB en 2027. Du jamais vu « depuis la fin de la guerre froide », a précisé le Premier ministre britannique.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
En mars 2009, à Auderghem, dans la banlieue de Bruxelles en Belgique, Luc Lahaye a disparu. On retrouve le cadavre de Luc dans une forêt. Il a été découpé en morceau et placé dans 5 sacs poubelle.