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Dans le meilleur des cas, nos vies humaines tutoient les cent ans (et les dépassent, parfois - de manière exceptionnelle). Chez les requins, la norme est toute autre : certains d'entre eux vivent même... jusqu'à 400 ans ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les Etats Unis ont réaffirmé leur soutien à Taiwan après le déploiement par la Chine d'avions de guerre près de l'île. Traduction: The U.S. has reaffirmed its support for Taiwan following China's dispatch of warplanes near the island. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Nouveau coup donné aux vignerons français. Les Etats Unis ont allongé la liste des produits concernés par les droits de douane pour y inclure tous les vins français et allemands. Traduction: Another blow to French wine producers. The United States has expanded the list of products it's hitting with tariffs to include all French and German wines. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Invités : - Pierre Haroche, maître de conférences en relations internationales et sécurité internationale à l'Université Queen Mary de Londres - Camille Brugier, consultante et chercheuse associée à l'IRSEM 4:00 Les Etats-Unis et le « one-war standard » 15:00 L'horizon 2027 22:00 L'Europe et l'OTAN depuis la guerre en Ukraine 37:00 Un « pilier européen » pour l'OTAN 48:00 Surmonter les réticences - L'article sur Le Grand Continent : https://legrandcontinent.eu/fr/2023/04/11/2027-lannee-de-lautonomie-strategique-europeenne/ - La conférence du mercredi 17 mai : https://www.paris-ecole-militaire.fr/fr/forms/2027autonomiestrategique Générique par @yotta_music Extrait audio : Bachman-Turner Overdrive, "Takin' Care Of Business", 1973
durée : 00:03:10 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Washington a multiplié les ouvertures de représentations diplomatiques dans le Pacifique. La raison ? La concurrence chinoise qui se fait plus pressante.
durée : 00:03:10 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Washington a multiplié les ouvertures de représentations diplomatiques dans le Pacifique. La raison ? La concurrence chinoise qui se fait plus pressante.
La guerre de la communication. Les médias, les chancelleries et les services de renseignement ont une influence primordiale dans l'issue de la guerre en Ukraine. Les Etats-Unis sont-ils les gagnants de cette guerre ? Comment expliquer l'incrédulité des services de renseignement français ? Pourquoi depuis 20 ans, nos espions se sont-ils concentrés uniquement sur la lutte anti-islamiste ? Livre Noir a le plaisir d'inviter Alain Juillet, l'ancien Haut-Représentant à l'Intelligence économique auprès du Premier ministre et l'ancien directeur du renseignement à la DGSE. Soutenez-nous !
durée : 00:14:56 - Journal de 22h - Les combats s'intensifient au Soudan alors que le cessez-le-feu est sur le point d'expirer. Les Etats-Unis ne désespèrent pas de réussir à négocier une prolongation de la trêve.
L'équipe de Laisse-moi kiffer accueille Ariane, stagiaire en communication et LMKrado de toujours. Un épisode unique pour enfin trancher un débat houleux sur les céréales.Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :La pub panier de Yopla (de Kad et Oliver et non pas Les Nuls, vraisemblablement, c'est nous les nuls).L'article d'Anthony sur le sagging (le caleçon qui dépasse volontairement du pantalon)Le kif de Mathis (38:24) : Queering the mapLa playlist techno « Raver sa vie »L'article sur le retournement du stigmateLe kif d'Anthony (55:07) : Jeannot se livre et sa vidéo sur l'impact de Tik Tok sur l'industrie du livreLe kif d'Ariane (1:08:07) : Bubbolitas-Le kif de Mymy (1:15:50) : Le film Les autres d'Alejandro Amenábar Retrouve-nous Laisse moi kiffer sur Instagram mais aussi Mymy, Anthony, Mathis et pour la première fois (au monde) ArianeAbonne-toi sur :Apple Podcasts • Deezer • Spotify Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:12 - Lula "flirte ouvertement" avec la Russie selon les Etats-Unis
Les Etats-Unis, l'Australie et le Royaume-Uni ont signé un partenariat pour produire des sous-marins à propulsion nucléaire. Un plan gigantesque, sur des décennies, qui se veut la concrétisation de l'accord Aukus annoncé en septembre 2021.
EXPERTS PASCAL BONIFACE Directeur de l'IRIS, l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques Auteur de « 50 idées reçues sur l'état du monde » ARMELLE CHARRIER Éditorialiste en politique internationale – « France 24 » SYLVIE BERMANN Diplomate, ambassadeur de France Auteure de « Madame l'Ambassadeur » PIERRE HASKI Chroniqueur international – « France inter » et « L'Obs » Alors que la guerre se poursuit en Ukraine plus d'un an après le début de l'invasion russe et qu'aucune perspective d'issue à ce conflit ne se dessine, les yeux sont de plus en plus tournés vers la mer de Chine, épicentre actuellement des tensions entre Pékin et Washington. Les États-Unis, le Japon, l'Inde et l'Australie, pays membres du "Quad", ont exprimé ce vendredi leur inquiétude concernant la militarisation des eaux autour de la Chine. Le Quad (pour "Quadrilateral security dialogue") est une alliance stratégique informelle initiée en 2007 puis relancée dix ans plus tard pour contrer l'influence militaire et économique croissante de l'empire du Milieu dans la région. Depuis plusieurs années, les Etats-Unis et la Chine multiplient les manoeuvres militaires en mer de Chine méridionale, route-clé du commerce maritime mondial, parmi les plus riches en ressources et biodiversité sous-marine. La zone est revendiquée dans sa quasi-totalité par Pékin, ce que contestent plusieurs pays voisins comme les Philippines, la Malaisie, Brunei, l'Indonésie, Singapour et le Vietnam, qui veulent en contrôler certaines parties. "Nous nous opposons fermement à toute action unilatérale visant à modifier le statu quo ou à accroître les tensions dans la région", indique la déclaration conjointe du Quad. "Nous exprimons notre vive inquiétude face à la militarisation d'éléments contestés, à l'utilisation dangereuse de navires de garde-côtes et de milices maritimes, ainsi qu'aux efforts visant à perturber les activités d'exploitation des ressources offshore d'autres pays", ajoute le texte. La Chine n'est pas nommée explicitement. Mais Pékin voit d'un mauvais œil le Quad, perçu comme un outil des États-Unis dans la région pour endiguer son influence dans cette zone stratégique où les incursions et les accrochages se multiplient. Le contrôle chinois de cette mer lui permettrait d'étendre sa zone maritime, alors que des bases militaires américaines se situent au Japon, en Corée du Sud mais également sur l'île de Guam ou aux Philippines où les Américains vont ouvrir quatre nouvelles bases militaires essentiellement au nord de l'archipel. Depuis un an, les Etats-Unis renforcent en effet leurs systèmes d'alliances avec les pays de la région, déploient des troupes dans les zones stratégiques, passent des accords de coopération et multiplient les exercices militaires conjoints. Ainsi vient de débuter dans la région l'édition annuelle "Cobra Gold", un des plus importants exercices militaires d'Asie, réunissant des milliers de soldats venus des États-Unis, de Thaïlande et d'autres pays asiatiques (Singapour, Indonésie, Malaisie, Corée du Sud, et Japon). Alors que se passe-t-il en mer de Chine ? Les Etats-Unis et la Chine se préparaient-ils à un affrontement dans le Pacifique ? Cette montée des tensions entre les deux premières mondiales inquiète dans un monde de plus en plus incertain où la menace nucléaire est brandie régulièrement par la Russie et alors que le programme nucléaire iranien se rapproche du seuil de la bombe d'après l'AIEA. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) dont le directeur se rend en Iran ce vendredi a détecté dans le pays des particules d'uranium enrichi à 83,7 %, soit juste en deçà des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique, selon un dernier rapport. Et si l'on en croit les déclarations du département américain à la Défense, Téhéran n'a jamais été si proche du but. Par ailleurs, le régime est mis en cause par les Américains pour ses liens avec la Russie, notamment ses livraisons de drones et de munitions dans la guerre en Ukraine. La république islamique d'Iran qui affiche dès qu'elle le peut sa proximité avec la Chine, elle-même en plein rapprochement avec Moscou. Hier au G20, la Russie et la Chine ont notamment accusé les pays occidentaux d'avoir recours au "chantage" et aux "menaces" pour imposer leurs vues. Dans ce contexte de reconstitution des alliances autour du conflit russo-ukrainien, et de transformation de la carte géopolitique, le chef de l'Etat effectue une tournée en Afrique centrale. Après le Gabon, il est attendu ce vendredi en Angola. Car cette ancienne colonie portugaise, riche en pétrole, correspond à l'ambition d'Emmanuel Macron de rompre avec la Françafrique en diversifiant les partenariats, en dehors du pré-carré historique où les revers politiques et diplomatiques s'accumulent, sur fond d'une progression du sentiment anti-français alimenté par des campagnes de désinformation menées par le groupe russe Wagner. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - Bruno Duvic REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
La guerre en Ukraine n'est pas terminée, et pourtant un grand gagnant apparaît déjà, sans avoir envoyé un seul soldat au front ... Diplomatie, énergie, armes, céréales, les États-Unis ressortent déjà plus forts de ce conflit, au détriment notamment de l'Europe... Explications avec Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express et Clément Daniez, journaliste au service Monde.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 7 décembre 2022. L'équipe :Écriture et montage : Charlotte BarisPrésentation : Xavier YvonRéalisation : Jules KrotAlternante : Marion GalardCrédits : Bloomberg, ElyséeMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédits image : Anatolii Stepanov / AFPLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
EXPERTS PASCAL BONIFACE Directeur de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques ANTOINE BONDAZ Chercheur spécialiste de la Chine Fondation pour la recherche stratégique GUILLAUME ANCEL Ancien officier de l'armée française NICOLE BACHARAN Politologue - Spécialiste des États-Unis Un peu plus d'un an après le début de l'invasion russe en Ukraine, le conflit se poursuit et aucune perspective d'issue à cette crise ne se dessine. Au contraire, les autorités russes – à commencer par Vladimir Poutine, dans un entretien à la télévision ce dimanche– accusent l'Otan de prendre directement part à la guerre en Ukraine en livrant des armes à Kiev et les Occidentaux de vouloir détruire la Russie. À l'inverse, les États-Unis reprochent au maître du Kremlin sa stratégie jusqu'au-boutiste et mettent en garde la Chine sur l'envoi d'armes à la Russie. Le directeur de la CIA, William Burns, s'est en effet dit "convaincu", dimanche sur la chaîne CBS, que Pékin envisage de fournir des armes à Moscou dans sa guerre en Ukraine, même si aucune décision ferme n'aurait encore été prise par la Chine d'après le patron du renseignement américain. Le conseiller américain à la Sécurité nationale, Jake Sullivan, a lui réaffirmé, hier sur CNN, la mise en garde de Washington contre les "conséquences" d'une tel scénario. "Envoyer de l'aide militaire à la Russie en ce moment […] serait une grave erreur et la Chine devrait ne pas y prendre part". La guerre en Ukraine pose de "sérieuses complications" pour les Chinois mais si Pékin décidait de franchir le pas, cela engendrerait de "vrais coûts" pour elle, a-t-il averti. Cet avertissement américain survient dans un contexte de fortes tensions entre les deux premières puissances mondiales, en particulier en mer de Chine méridionale où les incursions se multiplient et la course aux armements s'intensifie. Les Etats-Unis viennent ainsi de signer un accord avec les Philippines qui permet aux soldats américains d'accéder librement à quatre nouvelles bases militaires essentiellement au nord de l'archipel. Dorénavant les soldats américains pourront accéder à neuf bases militaires philippines en tout, et y stocker du matériel et des munitions. Une mauvaise nouvelle pour l'empire du Milieu tant l'archipel occupe une place stratégique dans cette zone où Washington tente d'endiguer l'influence de Pékin, en renforçant également son soutien à Taïwan que la Chine revendique comme son propre territoire. La présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a expliqué la semaine dernière que l'île allait renforcer ses liens militaires avec les États-Unis pour freiner « l'expansionnisme autoritaire ». Parallèlement, on a appris que l'armée américaine allait envoyer dans les prochains mois entre 100 et 200 soldats sur l'île pour des sessions de formation aux armements américains et des manoeuvres, alors qu'ils ne sont qu'une trentaine actuellement. Une course aux armements que l'on retrouve également en Europe. Stocks stratégiques, diversification des approvisionnements, relocalisation… L'électrochoc de la guerre en Ukraine affecte aussi les usines, sommées de produire plus et plus vite, notamment en France où les stocks de munitions achetées à la Belgique et les fusils d'assaut à l'Allemagne sont au plus bas. Alors jusqu'où ira l'escalade des tensions entre la Chine et les Etats-Unis ? L'empire du Milieu est-il sur le point de livrer des armes à la Russie ? Et que se passe-t-il en mer de Chine méridionale ? Enfin quelle est la situation de l'industrie de l'armement française ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans ce nouvel épisode de Bouchées Doubles, Armelle reçoit Thomas Chisholm.Thomas Chisholm est un jeune chef franco-américain qui a grandi à Brooklyn avant d'arriver en France à l'âge de 14 ans. Il a fait ses armes dans des restaurants gastronomiques de renom avant de participer à la saison 12 de Top Chef. Il est aujourd'hui chef et propriétaire de son restaurant, Chocho, à Paris.Dans cet épisode, Thomas nous parle d'abord de son parcours, de son arrivée en France à sa participation à Top Chef. Il prend le temps de revenir sur ses différentes expériences de Nîmes à Paris, dans des établissements très différents les uns des autres. Ces expériences lui ont permis de construire son identité et de s'affirmer en tant que chef.Nous revenons ensuite sur son enfance passée à New-York entre Chinatown, la cuisine de sa tante italienne ou encore Clinton Hill, un quartier de New-York aux influences africaines. Thomas nous explique comment cette diversité de cultures dans laquelle il a grandi influence aujourd'hui sa cuisine. Les anecdotes vont bon train quand Thomas nous raconte ses souvenirs de l'école, plus particulièrement de la cantine ou des fêtes traditionnelles américaines comme Thanksgiving.Cet épisode est un vrai moment de partage avec Thomas. Il nous embarque complètement dans ses souvenirs et dans la culture américaine le temps d'un voyage express à New-York ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Etats Unis ont descendu un autre objet volant non identifié lors de la 4ème opération de ce genre ce mois-ci. Traduction : The US has shot down another unidentified flying object in the fourth military operation of its kind this month. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:09:56 - Journal de 18h - La Conférence de Munich sur la sécurité se poursuit. Ce grand rendez-vous annuel réunit une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement. Les Etats-Unis et la Chine se sont opposés à distance.
Cet épisode est un avant-goût du podcast que nous avons enregistré il y a quelques semaines avec Thomas Chisholm, chef franco-américain et propriétaire du restaurant Chocho à Paris.Dans cet extrait, Thomas nous parle de son enfance à New-York. Il a grandi dans une diversité de cultures et découvre ainsi très jeune de nombreuses cuisines du monde. Cette ouverture sur le monde l'a évidemment nourri et influence le chef qu'il est aujourd'hui.L'épisode intégral sera disponible dimanche ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Etats-Unis ont touché le plafond de leur dette en janvier, échappant au défaut de paiement au prix de mesures chocs. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités font le point sur une situation dont la répétition inquiète sur la première puissance économique mondiale.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en février 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Solveig Godeluck (correspondante des « Echos » à New York), Guillaume Benoit et Nessim Aït-Kacimi (journalistes au service Marchés des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Siphiwe Sibeko/Reuters. Sons : Blackpink « Shut Down » (2022), Pink Floyd « The Wall » (1979), France 24, Skepta « Shutdown » (2015), Basto « Again & Again » (2011), « Les Tuche 2 » (2015), Bee Gees « Stayin' Alive » (1977), « La Bande à Picsou » (1987). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Etats-Unis ont dégainé l'Inflation Reduction Act que l'Europe s'active à contrer avec une réponse concertée. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées décryptent les enjeux de cette batterie de mesures de protectionnisme qui menace l'industrie européenne.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en février 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitées : Fabienne Schmitt (correspondante des « Echos » à Bruxelles) et Véronique Le Billon (correspondante des « Echos » à New York). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : Édith Piaf « Ah ! Ça Ira » (1953), NBC News, Earnest Jackson & Sugar Daddy and the Gumbo Roux « Inflation » (2022), Rewiring America, Angie Fisher « I.R.S. » (2015), « La Cité de la peur » (1994), JOY « À l'aide » (2022), BFM TV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retour sur l'actualité du 05/02/2023, notamment sur le ballon « espion » chinois abattu qui survolait le ciel américain depuis la semaine dernière et qui a été abattu avant de tomber en mer. Pékin parle d'invasion involontaire.
Les Etats Unis et la Chine, les deux économies les plus fortes du monde, se battent pour une ressource précieuse : les semi conducteurs, les puces qui alimentent littéralement notre vie quotidienne. Traduction : US and China, the world's two biggest economies are battling over another precious resource: semiconductors, the chips that literally power our daily life. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:55:07 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité de mercredi 25 janvier
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Interview de Stephen Marche, écrivain et journaliste canadien
EXPERTS VICE-AMIRAL MICHEL OLHAGARAY Ancien commandant de l'école navale PIERRE HASKI Chroniqueur international - « France Inter » et « L'Obs » CLÉMENTINE FAUCONNIER Politologue, spécialiste de la Russie LAURENCE NARDON Chercheure - Responsable du programme États-Unis de l'IFRI Institut Français des Relations Internationales L'invasion russe de l'Ukraine, sans conteste le fait géopolitique marquant de 2022. Lancée le 24 février dernier à la surprise de bon nombre de pays, exception faite des États-Unis, la guerre fit donc son retour en Europe en début d'année, ramenant avec elle la menace nucléaire mais aussi une crise énergétique et alimentaire mondiale, faisant exploser l'inflation. Après dix mois de conflit, tout porte à croire aujourd'hui que la situation en Ukraine va durer. Et l'issue est plus incertaine que jamais, entre possible escalade guerrière et éventuelles négociations diplomatiques. L'hypothèse d'une victoire des Ukrainiens n'apparaît plus fantaisiste, au vu de l'enlisement russe. À l'aube de 2023, Vladimir Poutine a en tout cas fait savoir qu'il ne présentera pas ses vœux à ses homologues occidentaux en raison de leurs gestes "inamicaux" a-t-il dit tout au long de cette année : Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Joe Biden. Le président américain justement a surpris tout le monde cette année. Loin de son image de « Sleepy Joe » (« Joe l'endormi ») colportée par Donald Trump, il est passé à l'offensive en faisant revenir les Etats-Unis à leur statut de gendarmes du monde. Avançant ses pions sur la question taïwanaise, et montrant ses muscles face à Vladimir Poutine, Joe Biden a bien tenu sa promesse, malgré ses 79 ans et ses quelques gaffes: "America is back". Sur le plan intérieur aussi, il n'a pas à rougir, obtenant des scores plus élevés que prévu aux mid-terms de novembre dernier. Enfin, en Iran, l'année a été marquée par la révolte des femmes suite au décès en septembre dernier de Mahsa Amini, une Kurde iranienne de 22 ans, arrêtée pour avoir enfreint le code vestimentaire de la République islamique, imposant aux femmes le port du voile en public. Malgré la répression et ses morts -450 selon les ONG-, une vague de manifestations sans précédent a envahi le pays depuis, du jamais vu depuis l'avénement de la République islamique de 1979. Soutenues par un élan de solidarité internationale, les jeunes iraniennes défient les mollahs et déchirent leur voile comme on briserait des chaines et leur slogan est entré dans l'Histoire : "Femme, vie, liberté" Alors, que nous réserve le conflit ukrainien pour 2023 ? Les Etats-Unis se sont-ils durablement replacés au centre de la scène internationale ? La révolte des femmes iraniennes réussira-t-elle à renverser l'ordre religieux? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Déjà 9 mois de Democracy! Démocratie! 9 mois et ...18 épisodes avec celui que vous vous apprêtez à écouter. Pour vous remercier de votre écoute fidèle, Jordan a décidé de répondre à certaines de vos questions au sujet de la démocratie aux Etats-Unis. Un épisode passionnant grâce à vous et qui vous est donc entièrement dédié! Pour continuer à lui écrire Democracy@rts.ch Belles fêtes de fin d'année! Un podcast de Jordan Davis Réalisateur: Jean Berset Productrice: Magali Philip Attahchée de production: Josiane Perret
EXPERTS PATRICK PELLOUX Médecin urgentiste au SAMU de Paris – Président de l'AMUF NICOLAS BERROD Journaliste – « Le Parisien - Aujourd'hui en France » DR ANNE SÉNÉQUIER Médecin psychiatre – Co-directrice de l'observatoire de la santé à l'IRIS NATHALIE MAURET Journaliste politique – Groupe de presse régionale « Ebra » Hôpitaux saturés, morgues surchargées, crématoriums débordés. La Chine fait face à une vague dévastatrice de Covid-19 depuis la fin, le 7 décembre dernier, de sa politique "zéro Covid". Après trois ans de tests incessants et de confinements drastiques, une large partie de la population se retrouve exposée au coronavirus pour la première fois. Un organisme de contrôle des maladies a recensé récement 5.500 nouveaux cas dans le pays, et un seul mort. Mais, depuis la fin des tests de masse et la nouvelle définition, plus étroite, d'un décès attribué au Covid, ces statistiques apparaissent en décalage avec la réalité. Selon des experts britanniques du centre Airfinity, le nombre de morts en Chine pourrait s'élever à 9 000 par jour et atteindre 1,7million d'ici avril 2023. Face à cette situation, plusieurs pays du globe se barricadent. Les Etats-Unis, mais aussi l'Italie, l'Espagne ou le Japon, vont exiger prochainement des tests anti-Covid pour les voyageurs arrivant de Chine. L'Union européenne envisagerait de son côté « une approche coordonnée » tandis qu'Emmanuel Macron a demandé au gouvernement « des mesures adaptées de protection des Français ». Ce qui inquiète est surtout la propagation du nouveau sous-variant d'Omicron majoritaire à Pékin, le BF.7, considéré comme beaucoup plus contagieux. Ces craintes sur le plan du coronavirus arrivent en France dans un contexte d'épidémie de grippe et de bronchiolite. Celles-ci font déborder les hôpitaux, si bien que le système de santé français semble au bord du craquage. Une grève des médecins généralistes accentue en outre la crise (la profession réclame une revalorisation du prix de la consultation) tout comme la pénurie de certains médicaments. En Chine, la réquisition certaines entreprises pharmaceutiques inquiète de surcroît les pays dépendants de la production chinoise. Pendant ce temps, dans certaines régions françaises, le manque de médecins (généralistes comme spécialistes) est de plus en plus problématique. 23,5 % des patients vivraient en effet dans une zone à accès difficile, c'est-à-dire sans aucun docteur à moins de 30 minutes de trajet. Des territoires qui n'attirent plus les professionnels de santé et qui doivent par conséquent se replier sur des solutions de fortune, avec des infirmières libérales délivrant des ordonnances ou de la médecine à distance. La question de la régulation de l'installation des médecins est donc urgente. Alors, devons-nous craindre en France une explosion des cas de Covid comme en Chine ? Que peut le gouvernement face à un système de santé français au bord de l'implosion ? Quelles solutions pour lutter contre les déserts médicaux ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:29:31 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran - Après la mort de Staline en 1953, le nouveau nerf de la guerre froide, c'est le confort de vie. Les Etats-Unis avec l'Europe occidentale ont une longueur d'avance. Une promesse de bonheur par la consommation qui préoccupe aussi à l'Est, conscient du danger représenté par ce nouveau front.
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Les Etats-Unis et l'Union Européenne appellent le Kosovo et la Serbie à la désescalade. Ripostant au renforcement de la présence militaire serbe, le Kosovo a fermé son principal poste-frontière avec la Serbie.
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Les Etats-Unis et l'Union Européenne appellent le Kosovo et la Serbie à la désescalade. Ripostant au renforcement de la présence militaire serbe, le Kosovo a fermé son principal poste-frontière avec la Serbie.
durée : 00:14:52 - Journal de 22h - Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est reçu en ce moment à la Maison Blanche, pour son premier déplacement hors de son pays depuis le début de la guerre. Les Etats-Unis vont livrer pour la première fois à l'Ukraine des missiles Patriot pour renforcer sa défense anti aérienne.
durée : 00:14:52 - Journal de 22h - Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est reçu en ce moment à la Maison Blanche, pour son premier déplacement hors de son pays depuis le début de la guerre. Les Etats-Unis vont livrer pour la première fois à l'Ukraine des missiles Patriot pour renforcer sa défense anti aérienne.
durée : 00:37:45 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Le 2 décembre, aux Etats-Unis, Emmanuel Macron a critiqué l'Inflation Reduction Act qu'il a jugé "super agressif" pour les entreprises européennes : alors que le vieux continent souhaite favoriser les relocalisations, la politique américaine se joue des règles de l'OMC et distord la concurrence. - invités : Anaïs Voy-Gillis Docteure en géographie, chercheuse associée à l'Institut d'Administration des Entreprises ; Sarah Guillou économiste à l'OFCE; Jules Besnainou Directeur de Cleantech for Europe
EXPERTS PIERRE HASKI Chroniqueur international « France Inter » et « L'Obs » IRYNA DMYTRYCHYN Maîtresse de conférences à l'Inalco Institut National des Langues et Civilisations Orientales NICOLE BACHARAN Historienne et politologue spécialiste des États-Unis GUILLAUME ANCEL Ancien officier de l'armée française Kiyv est en alerte. Après avoir été la cible d'une quarantaine de missiles vendredi, la capitale ukrainienne a été une nouvelle fois attaquée par des drones, ce lundi au petit matin selon les autorités ukrainiennes. « L'ennemi attaque la capitale », a écrit l'administration militaire de la ville sur Telegram, exhortant la population à se tenir prête à se mettre à l'abri. Au total, 18 drones sur 23 ont été interceptés et abattus dans l'espace aérien de Kiyv. Deux personnes au moins ont été blessées, ont précisé les autorités de la capitale. 12 autres drones kamikazes ont été lancés sur le pays, tous interceptés, selon le ministère ukrainien de l'armée de l'air. Depuis octobre, la Russie, confrontée à une série de revers militaires, a opté pour une tactique de bombardements massifs sur les infrastructures critiques. Le ministère de la Défense russe assure que ces frappes visent les installations militaires et énergétiques de l'Ukraine, et perturbent « le transfert d'armes et de munitions de production étrangère ». Mais dans les faits, ces frappes menées par le biais de missiles et de drones ont privé des millions de civils ukrainiens – au moins temporairement – d'un accès à l'électricité, à l'eau, au chauffage et aux services vitaux connexes. Ces derniers jours, avant ces nouvelles attaques, 40 % des habitants de la capitale étaient privés d'électricité. Pour faire face à cette pluie de missiles et de drones, le président ukrainien a demandé aux Occidentaux de livrer davantage d'armes à son pays afin de lui permettre de « se battre tout l'hiver ». Il réclame notamment plus de systèmes de défense antiaérienne et antimissile. Cette demande formulée depuis de long mois par Volodymir Zelensky a reçu récemment le feu vert de Washington. Les Etats-Unis ont annoncé la semaine dernière le déblocage d'une nouvelle aide de 275 millions de dollars et la livraison à l'Ukraine de batteries de missiles « Patriot », leur équipement de défense aérienne le plus performant. Ils hésitaient jusque-là car la Russie en faisait une sorte de « ligne rouge » à ne pas franchir. L'ancien président russe, Dimitri Medvedev affirmait, le 30 novembre dernier, que les pays de l'Otan deviendraient une « cible légitime » s'ils livraient des « Patriot » à Kiyv. Washington a donc décidé de passer outre et d'envoyer un signal au Kremlin qui poursuit les bombardements en Ukraine et ne prévoit aucune trêve de Noël ou du Nouvel An. Le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, a lui annoncé ce lundi, depuis Riga, qu'en 2023 son pays allait maintenir voire dépasser le montant de son aide militaire à l'Ukraine, évaluée à 2,3 milliards de livres (environ 2,6 milliards d'euros). Il a également estimé qu'il fallait se « concentrer sur la dégradation des capacités de la Russie à se regrouper et à se réapprovisionner, ce qui signifie s'attaquer à ses chaînes d'approvisionnement et supprimer le soutien international ». « Je pense en particulier à l'Iran et aux armes qu'il fournit actuellement à la Russie », a-t-il insisté au cours d'une réunion avec les dirigeants d'Europe du Nord, baltes et néerlandais en Lettonie. La France, pour sa part, a organisé une conférence internationale à Paris la semaine dernière pour aider les Ukrainiens à passer l'hiver. Elle continue également à renforcer sa présence militaire sur le flanc est de l'Otan en déployant notamment des véhicules blindés d'infanterie (VBCI) et des chars Leclerc en Roumanie. De son côté, Vladimir Poutine est arrivé en Biélorussie ce lundi, alimentant les craintes de l'Ukraine selon lesquelles il aurait l'intention de faire pression sur son allié pour qu'il se joigne à une nouvelle offensive dans les premiers mois de 2023, depuis le territoire biélorusse, répétant le scénario du début de l'invasion, le 24 février. « Nous nous préparons à tous les scénarios de défense possibles » a expliqué dimanche Volodymyr Zelensky qualifiant, dans son message quotidien, la frontière nord de « priorité constante » alors que l'armée russe vient d'annoncer que ses militaires allaient prendre part à des « exercices tactiques » en Biélorussie. Alors quelle est la situation en Ukraine ? Armes, carburant, médicaments… quels pays aident l'Ukraine et comment ? Que prépare Vladimir Poutine en Biélorussie ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS ANTHONY BELLANGER Éditorialiste, spécialiste des questions internationales « France Inter » ELSA VIDAL Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - « RFI » DAPHNÉ BENOIT Correspondante Défense - « AFP » Ancienne correspondante au Pentagone PIERRE HAROCHE Maître de conférences en sécurité internationale Université Queen Mary de Londres Dix mois après le déclenchement de la guerre en Ukraine, la communauté internationale était conviée, mardi 13 décembre, à Paris pour participer à une conférence internationale de soutien au pays. Près d'un milliard d'euros de dons ont été promis pour aider la population à passer l'hiver alors que de nombreux sites stratégiques ont été ravagés par les frappes russes, plongeant des millions d'Ukrainiens dans le noir et dans le froid. L'objectif désormais pour l'Occident est de neutraliser la stratégie mise en oeuvre depuis octobre par Moscou qui consiste à s'attaquer aux infrastructures civiles ukrainiennes pour faire souffrir la population ukrainienne et affaiblir la résistance. « La Russie, dont les faiblesses au plan militaire ont éclaté au grand jour, a opté pour une stratégie cynique [...] en vue de mettre l'Ukraine à genoux », a déploré Emmanuel Macron, répétant que ces frappes russes constituaient « des crimes de guerre » qui ne resteraient « pas impunis ». Le chef de l'Etat a également annoncé une aide supplémentaire de la France de 76,5 millions, pour financer l'accès à l'électricité, à l'eau, à l'alimentation et à des soins. Cette nouvelle enveloppe financière s'ajoute aux 200 millions d'euros déjà engagés, dont les derniers 48,5 millions d'euros sont en cours de décaissement. Le président a par ailleurs appelé depuis Bercy, où se déroulait une deuxième conférence sur la reconstruction de l'Ukraine, les entreprises françaises à se mobiliser « sans attendre la fin de la guerre » dans les territoires libérés. Mais si Paris a accueilli cette semaine deux réunions consacrées à l'aide économique à l'Ukraine, cela n'a pas suffi à lever ce que les Ukrainiens perçoivent comme ambigu dans la position politique française sur le conflit. Kiev ayant encore en tête la formule d'Emmanuel Macron prononcée début décembre à propos d'éventuelles négociations : « Il faudra des garanties de sécurité pour la Russie » pour trouver un bon équilibre avait-il souligné. Quelques personnalités ukrainiennes et responsables d'Europe de l'Est avaient alors exprimé un certain agacement, voire une franche opposition à ces propos. Depuis l'Elysée a assuré que « le dialogue entre le président de la République et le président ukrainien est excellent ». « Il y a un décalage entre certains mouvements ou certaines personnes, qui cherchent à isoler un bout de phrase en dehors de son contexte, et la réalité du travail que nous menons qui véritablement se fait sans difficulté ». Parallèlement, le président ukrainien a demandé aux Occidentaux de livrer davantage d'armes à son pays pour lui permettre de « se battre tout l'hiver ». Il réclame notamment plus de systèmes de défense antiaérienne et antimissile, pour neutraliser les attaques de missiles et de drones russes sur les villes et les infrastructures, ainsi que des véhicules blindés. Cette demande formulée depuis de long mois par Volodymir Zelensky vient de recevoir le feu vert de Washington. Les Etats-Unis viennent d'annoncer la livraison à l'Ukraine de batteries de missiles « Patriot », leur équipement de défense aérienne le plus performant. Ils hésitaient jusque-là car la Russie en faisait une sorte de « ligne rouge » à ne pas franchir. L'ancien président russe, Dimitri Medvedev affirmait, le 30 novembre dernier, que les pays de l'Otan deviendraient une « cible légitime » s'ils livraient des « Patriot » à Kiev. Washington a donc décidé de passer outre et d'envoyer un signal au Kremlin qui poursuit les bombardements en Ukraine et ne prévoit aucune trêve de Noël ou du Nouvel An. Alors quelle est la situation en Ukraine ? Quels sont les besoins de la population ? Comment survivent-ils dans des villes, pour certaines, détruites à 80 %, parfois sans électricité, sans chauffage, sans eau ? Quelle est la position française dans ce conflit ? Pourquoi les Etats-Unis ont-ils décidé de donner leur feu vert à la livraison à l'Ukraine de batteries de missiles « Patriot » ? Quelle va être la réponse de la Russie ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:08:34 - L'invité de 6h20 - Les Etats-Unis ont annoncé mardi une percée scientifique historique dans le domaine de la fusion nucléaire, qui pourrait d'ici quelques décennies révolutionner la production d'énergie sur Terre. Emmanuelle Galichet chercheuse en sciences et technologies nucléaires au Cnam, en explique la portée.
La fin d'année est toujours propice à scruter l'avenir. L'exercice n'est pas simple car bien souvent les experts se trompent. On l'a d'ailleurs encore vu l'an dernier. 2022 devait être une année exceptionnelle en termes de croissance économique après le rebond lié à la sortie du COVID. Il a fallu que le président russe décide d'envahir l'Ukraine en février dernier pour que la physionomie du monde change. Et à l'époque, les mêmes experts minimisaient l'impact de cette guerre en nous rappelant que la Russie était un nain économique. Aujourd'hui, on a plus de recul et avec le recul, on découvre que nous autres Européens, nous sommes surtout des naïfs. Récemment encore, Thierry de Montbrial, l'un des meilleurs spécialistes de géopolitique, se confiait à mes confrères des Echos. Et que leur disait-il, que nous autres Européens, agissions au premier degré, c'est-à-dire sous l'emprise de l'émotion, au nom du bien et du mal, avec seulement deux instruments à notre disposition les sanctions et puis les promesses d'élargissement de l'Union européenne. En clair, le bâton économique et puis la carotte de devenir donc membre de ce club privé qu'est l'Union européenne. Seulement voilà, Thierry de Montbrial nous rappelle que les sanctions nous blessent à chaque fois un petit peu plus et nous force, à l'insu de notre plein gré, à devenir de plus en plus dépendants des Etats-Unis qui, eux, font leur stratégie en combinant froidement les valeurs et les intérêts. Et l'un de leurs objectifs est de devenir le maître du jeu dans le domaine de l'énergie. Quant à la carotte de l'élargissement, elle ne marche pas. C'est même un cadeau empoisonné. Les Etats-Unis le savent très bien. Quand la guerre en Ukraine sera terminée, ils pousseront à un élargissement de l'Union européenne. Pour quelles raisons ? Mais parce que, selon ce spécialiste de la géopolitique, l'Europe a un grave problème de gouvernance. Plus il y a de pays autour de la table et plus c'est la cacophonie et donc plus l'Europe est impuissante politiquement. Et donc le danger c'est de voir l'Union européenne s'élargir et devenir juste un marché ouvert aux appétits des Chinois et des Américains qui viennent se servir chez nous et qui eux, protègent leur économie… Sujets évoqués : citoyen, européen, libéraux, plan, économique, protectionnisme, cimetière, entreprises, conquérir, marché, chinois, entreprises, démocrate, protectionniste, républicains, Joe Biden, Inflation, Reduction Act, milliards, subventions, Etats-Unis, aides, condition, produits, fabrique, sol américain, syndicat, maison, entreprises industrielles, masse, énergie, moins chère, Europe, excellent, Marc Fiorentino, amis, américain, Noël, Père Noël, déguise --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.
Victime de l'appétit des empires au XIXe siècle, dominé par le Japon au début du XXe siècle, la Corée a connu souffrances et blessures avant même sa partition. Quatre jours après Hiroshima, les troupes soviétiques pénètrent dans la péninsule et contribuent à la libération de la Corée. Les Etats-Unis bousculés fixent alors en toute hâte une ligne de démarcation opérationnelle au niveau du 38ème parallèle. Le 25 juin 1950, la guerre de Corée éclate. Aujourd'hui sur le plan juridique, la guerre de Corée n'est techniquement toujours pas terminée, les deux Corées n'ayant signé aucun traité de paix. Laurent Huguenin-Elie s'entretient avec Alain Delissen, historien, directeur d'études à l'EHESS et membre du Centre de recherches sur la Corée (CRC). Photo: un soldat de l'armée US (à gauche) accompagné de soldats de l'armée russe. Au dos de cette photo on peut lire: "38e parallèle, nord de Séoul, novembre 1945. Soldats russes gardant la frontière." Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, la 25e armée soviétique était basée à Pyongyang (nord). Comme les forces américaines au sud, les troupes soviétiques sont restées en Corée pour reconstruire le pays. (© Don O'Brien/flickr)
La guerre en Ukraine n'est pas terminée, et pourtant un grand gagnant apparaît déjà, sans avoir envoyé un seul soldat au front ... Diplomatie, énergie, armes, céréales, les États-Unis ressortent déjà plus forts de ce conflit, au détriment notamment de l'Europe... Explications avec Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express et Clément Daniez, journaliste au service Monde. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Écriture et montage : Charlotte BarisPrésentation : Xavier YvonRéalisation : Jules KrotAlternante : Marion GalardCrédits : Bloomberg, ElyséeMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédits image : Anatolii Stepanov / AFPLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 4 décembre 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LES RELATIONS ENTRE LA FRANCE ET LES ÉTATS-UNISDu 30 novembre au 2 décembre, le président de la République Emmanuel Macron était aux États-Unis en visite d'État, la première pour le président Joe Biden depuis son élection, en 2020, la seconde pour son homologue français pour qui Donald Trump avait déployé ce cérémonial en 2018.Il y a un peu plus d'un an, en septembre 2021, un clash diplomatique avait éclaté entre Paris et Washington, lorsque l'Australie était revenue sur sa promesse d'acheter des sous-marins français pour leur préférer ceux de l'alliance militaire Aukus (qui regroupe l'Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni). En réaction, Emmanuel Macron avait rappelé les ambassadeurs à Washington et Canberra et fait lanterner sept jours Joe Biden avant de le prendre au téléphone. Aujourd'hui, la Maison-Blanche et l'Élysée ont décidé de mettre l'accent sur trois axes de partenariat franco-américain : le spatial, le nucléaire (« sujets d'excellence américaine et française ») et la transition écologique. Sur le conflit en Ukraine, les alliés ont multiplié les efforts de concertation depuis le déclenchement des hostilités par la Russie, voici dix mois. Le soutien de Washington et Paris envers Kyiv reste prioritaire, tout comme le souhait d'éviter l'escalade avec Moscou. Les deux pays ont appelé l'Ukraine à être ouverte à des négociations de paix. Mais, d'ici là, Emmanuel Macron cherche comment équilibrer les conséquences des sanctions prises contre la Russie, dont l'Europe, contrairement aux États-Unis, paie aujourd'hui le prix fort en matière d'énergie. Paris et Washington sont en désaccord sur le comportement à adopter face à la Chine. Si, pour le Pentagone et le Département d'État, elle constitue la menace absolue, la France se veut plus mesurée, et refuse tout agenda géopolitique imposé et voit d'un mauvais œil la volonté américaine de faire de l'OTAN une arme anti-Pékin, tandis que le concept d'autonomie stratégique européenne cher à Emmanuel Macron est vilipendé à Washington. Au cœur de la rencontre entre le chef d'Etat français et son homologue américain figurait également l'épineux sujet de l'Inflation Reduction Act (IRA), ce vaste plan de subventions et de bonifications fiscales accordées aux industriels américains pour accélérer la transition énergétique. Un plan « super agressif », a déclaré Emmanuel Macron, mercredi, devant des élus américains. Les États-Unis ont promis d'étudier le sujet pour aboutir à une solution qui convienne à leurs alliés européens. Les deux dirigeants ont confié à un groupe de travail le soin d'harmoniser les politiques économiques et de trouver des solutions pratiques sur les sujets qui fâchent. Cette équipe se rendra à Washington la semaine prochaine.***QUE RESTE-T-IL DU MACRONISME ET DE LA MACRONIE ?Réélu en avril, le président Macron a entamé un second mandat sans avoir de majorité dans une Assemblée nationale où les oppositions sont déterminées et combattives. Le projet d'une gouvernance par le compromis et par des alliances « au cas par cas », à la manière illustrée par Michel Rocard entre 1988 et 1991, s'est transformé en utilisation à répétition du 49.3 Une large majorité des amendements déposés par les oppositions n'ont pas été retenus par le gouvernement, même lorsqu'ils avaient été votés par une majorité de députés.Pensé à l'origine comme un dépassement du « clivage gauche-droite », le macronisme apparaît aujourd'hui englué dans cet antagonisme. La main tendue par le président de la République, lors du JT de France 2 le 26 octobre dernier, à droite aux députés LR et à gauche aux députés du petit groupe Libertés Indépendants Outre-mer et Territoires n'a pas encore été saisie. Des dissensions se manifestent dans la majorité. En se fondant dans la maison commune « Renaissance », l'aile gauche de la Macronie, le groupe Territoire et Progrès du Ministre du Travail Olivier Dussopt a perdu ceux de ses membres mécontents de leur manque d'influence sur l'agenda de la majorité, dont ils jugent que la réforme de l'assurance chômage, le report de la date du départ à la retraite ou une nouvelle loi sur l'immigration la fait pencher à droite.L'incertitude créée par cette Assemblée inédite et par une scène internationale instable et imprévisible depuis l'agression russe en Ukraine pèse sur le gouvernement qui doit faire face pêle-mêle à la crise du système de santé, à l'augmentation de la dette, à la misère de l'institution judiciaire, à l'inflation, à la dégradation des transports en commun, et à des difficultés d'approvisionnement en énergie, qui l'ont conduit à mettre en place un plan de coupures d'électricité cet hiver. Selon une étude récente d'Opinion-Way pour les Echos, 70% des Français trouvent « peu lisible » la politique énergétique du gouvernement. Il en est de même sur l'écologie et le dérèglement climatique où 53% des Français jugent « insuffisante » l'action de l'exécutif, alors que le président voulait faire de ce sujet une des priorités de son second mandat.La crédibilité de la Macronie portée, à ses débuts, par un désir d'exemplarité, est malmenée par les mises en examen du secrétaire général de la présidence Alexis Kohler et du ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti, tous deux maintenus à leur poste alors que le président avait annoncé, à l'orée de son mandat, qu'il réclamerait la démission de tout responsable inquiété par la justice. Le rebond de l'affaire McKinsey, les Uber Files qui touchent directement Emmanuel Macron et l'enquête ouverte sur ses comptes de campagne, en 2017 et en 2022, sont autant d'éléments qui alourdissent un climat lourd et tendu.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
EXPERTS FRÉDÉRIC ENCEL Maître de conférences à Sciences Po Paris et Paris School of Business Auteur de « Les voies de la puissance » AMY GREENE Enseignante à Sciences Po Paris Spécialiste de la politique américaine Auteure de « L'Amérique après Obama » LAURENCE NARDON Chercheure - Responsable du programme États-Unis de l'IFRI Institut Français des Relations Internationales PIERRE HASKI Chroniqueur international « France Inter » et « L'Obs » Le voyage officiel d'Emmanuel et Brigitte Macron aux Etats-Unis s'est achevé jeudi par un dîner de gala. Le président américain Joe Biden a déroulé le tapis rouge à son homologue français, multipliant les signes d'affection et d'amitié. Sans parvenir à faire oublier les dossiers qui fâchent. Car au cœur de la rencontre entre les deux dirigeants figurait l'épineux sujet de l'Inflation Reduction Act (IRA), un vaste plan de subventions et de bonifications fiscales accordées aux industriels américains pour accélérer la transition énergétique du pays. Un plan jugé « super agressif » par Emmanuel Macron, mercredi, devant des élus américains car l'initiative, dotée de 370 milliards de dollars (soit 351 milliards d'euros), pourrait conduire à des délocalisations en cascade sur le Vieux Continent, au profit des Etats-Unis. Mais le président français n'est pas parvenu à arracher de la part de son homologue de grandes avancées sur ce sujet. Joe Biden, bien qu'amical, n'a fait aucune concession. « Les Etats-Unis ne s'excuseront pas. Je ne m'excuserai jamais de ce que j'ai fait sur le plan législatif. C'est un gros projet qui pèse des centaines de milliards, le plus grand investissement sur le climat jamais effectué », dit Joe Biden à propos de l'« Inflation Reduction Act », en réponse aux critiques d'Emmanuel Macron. Ce voyage s'inscrivait aussi dans la volonté d'afficher un front commun pour envoyer un message à Vladimir Poutine. Les Etats-Unis et la France continueront à soutenir l'Ukraine "aussi longtemps qu'il le faudra", ont déclaré jeudi les deux dirigeants dans un communiqué commun, rappelant le partage des valeurs communes de démocratie, de liberté et de progrès face à l'agresseur russe :"Nous resterons unis pour (nous) opposer à la brutalité" de la Russie en Ukraine, a dit le démocrate de 80 ans, tandis qu'Emmanuel Macron avait appelé les deux "nations soeurs", France et Etats-Unis, à "savoir redevenir frères d'armes". Joe Biden s'est même montré ouvert à la discussion en se disant "prêt" à parler avec Vladimir Poutine, à la condition que ce dernier "cherche un moyen de mettre fin à la guerre". Main tendue immédiatement rejetée par Moscou. Cette guerre en Ukraine a placé, plus que jamais, les Etats-Unis en position de force sur le marché de l'armement en Europe. Maillon incontournable du soutien militaire à l'Ukraine, l'industrie d'armement des Etats-Unis trouve également de très nombreux débouché parmis les pays de l'Union Européenne. Dans un rapport la Commission européenne et l'Agence européenne de défense reconnaissent qu'entre 2007 et 2016, près des deux tiers des achats européens d'armes ont été effectués hors UE et principalement aux États-Unis. Cette tendance s'est même accentuée depuis 2018 et le lancement d'un programme qui permet aux ex-pays du pacte de Varsovie de se rééquiper en armes occidentales. Les achats d'avions F-35, de blindés, de missiles ou plus récemment de pièces d'artillerie de fabrication américaine sont massifs. Les projets d'Europe de la Défense, porté notamment par la France semble avoir du plomb dans l'aile. Cette Europe de la défense a, selon ses défenseurs, pour objectif d'atteindre une autonomie stratégique permettant de ne pas avoir à systématiquement s'aligner sur la politique extérieure américaine. Cette autonomie est le but de la France, dont les relations avec l'allié américain n'ont pas toujours été au beau fixe. Entre le refus de Jacques Chirac et Dominique de Villepin d'intervenir en Irak en 2003 et celui de Barack Obama de soutenir François Hollande face à l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, les relations ont parfois été tumultueuses. Plus récemment, en septembre 2021, Emmanuel Macron a parlé d'une « rupture de confiance majeure », Washington n'ayant pas jugé bon d'informer Paris qu'il prenait le méga-contrat des sous-marins australiens pourtant gagné par les Français. L'épisode de l'Aukus, qui formalisait une alliance entre l'Australie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis dans l'Indo-Pacifique, a été vécu comme un point bas de la relation franco-américaine. Quel bilan peut-on tirer du voyage d'Emmanuel Macron aux Etats-Unis ? Face aux importations massives d'armement américain en Europe, comment fonder une industrie de défense européenne ? Où en est-on dans la relation franco-américaines ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 6 novembre 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LES ETATS-UNIS À L'HEURE DES MIDTERMSMardi 8 novembre, les Américains sont appelés aux urnes pour renouveler l'ensemble des sièges de la Chambre des représentants et un tiers du Sénat de Washington, ainsi que pour une multitude de scrutins locaux, depuis les gouverneurs de certains États jusqu'aux shérifs, en passant par les élus des Parlements locaux. Si en général le parti du président en exercice perd des élus lors de ce scrutin, les démocrates pourraient cette année conserver le contrôle du Sénat, où les dernières projections du siteFiveThirtyEight - qui fournit une synthèse statistique des sondages d'opinions relatifs aux élections - les donnent au coude-à-coude avec les républicains. Selon les sondages, ceux-ci sont en revanche largement favoris pour la Chambre des représentants, du fait notamment d'une carte électorale favorable. Les démocrates disposent actuellement de 223 sièges sur 435 à la Chambre et de 50 sièges sur 100 au Sénat, où la voix de la vice-présidente, Kamala Harris, leur permet de faire pencher la balance.Les préoccupations des deux camps sont assez différentes d'après le sondage CNBC-All America Survey. Les républicains sont très sensibles aux problèmes d'immigration et de criminalité, les démocrates plus inquiets sur les menaces qui pèsent sur la démocratie. L'inflation serait le principal souci des indépendants. Selon un récent sondage du New York Times et de l'université de Sienne, 71 % des électeurs américains jugent leur démocratie en danger, mais ils ne sont que 7 % à y voir le problème le plus important auquel le pays est confronté. Ils ont des priorités plus immédiates : les États-Unis connaissent leur taux d'inflation le plus élevé depuis quarante ans ; pour la première fois depuis un demi-siècle, l'avortement n'est plus un droit protégé au niveau fédéral ; partout les gens ont le sentiment que la criminalité s'aggrave – si ce n'est chez eux, au sein des grandes villes voisines. Selon un décompte du Washington Post, plus d'un candidat républicain sur deux (291 sur 560) engagés dans une élection le 8 novembre a mis en doute ou rejeté le résultat de la dernière présidentielle. Dans le sondage du New York Times, 71 % des républicains se disent prêts à voter pour un candidat qui estime que l'élection de 2020 a été volée. C'est aussi le cas de 37 % des électeurs indépendants et, étonnamment, de 12 % des démocrates.Dans un discours solennel et dramatique, prononcé le 2 novembre, Joe Biden a déclaré :« La démocratie est en jeu » lors du scrutin, en mettant en cause – sans le nommer – Donald Trump et le mouvement Make America Great Again (MAGA), qui lui est affilié. « C'est la voie vers le chaos en Amérique », a-t-il souligné indiquant que « plus de 300 » candidats républicains se présentent en refusant de s'engager à reconnaître le résultat. L'agression, le 28 octobre, de Paul Pelosi, le mari de Nancy Pelosi, la présidente démocrate de la Chambre des représentants, a rappelé la propagation d'une culture de violence issue de l'extrême droite.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - 7 décembre 1941. Les Etats-Unis d'Amérique ont soudain été l'objet d'une attaque délibérée par les forces navales et aériennes du Japon.
Cette semaine, French Expat vous invite au voyage au cœur des Etats-Unis sur une route mythique … la route 66. Pendant l'automne 2021, et alors que l'administration Biden dévoile son plan pour développer l'accès aux bornes de chargement des véhicules électriques à travers le pays à la fin de l'été, Benoît Georges est surpris par le peu de voitures électriques qu'il croise aux Etats-Unis en comparaison avec la France. C'est alors qu'une question germe en lui : à quel point est-il possible de ne compter que sur une voiture électrique pour se déplacer aux Etats-Unis ? A cette interrogation vient s'ajouter un profond désir de découvrir le pays, une envie née pendant les confinements successifs de 2020. Fin août 2022, Benoît Georges publiait un article racontant son périple un peu fou : sa traversée de la Route 66 en Mustang électrique. C'est cette histoire qu'il partage cette semaine au micro d'Anne-Fleur.Retrouvez l'article que Benoit Georges a écrit dans Les Echos Weekend sur ce voyage : https://www.lesechos.fr/weekend/business-story/jai-traverse-lamerique-en-voiture-electrique-1783842Retrouvez tous les podcasts de French Morning à www.frenchmorning.com/podcastSuivez les coulisses de French Expat Le Podcast sur les réseaux sociaux :
durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - 7 décembre 1941. Les Etats-Unis d'Amérique ont soudain été l'objet d'une attaque délibérée par les forces navales et aériennes du Japon.
durée : 00:04:05 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Aux Etats-Unis, la colère monte contre l'Arabie Saoudite accusée de jouer un jeu de dupe après être revenue sur un accord pour contenir les cours du pétrole qui aurait été scellé pendant la visite de Joe Biden cet été.
EXPERTS ANTHONY BELLANGER Éditorialiste, spécialiste des questions internationales « France Inter » EMMANUEL DUPUY Consultant Défense Sécurité Président de l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE) ELSA VIDAL Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - « RFI » SYLVIE MATELLY Économiste - Directrice adjointe de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques Deux jours après l'annonce d'un possible sabotage des deux gazoducs Nord Stream, l'origine exacte des fuites de gaz, qui produisent encore d'importants bouillonnements à la surface de la mer Baltique, reste inconnue. Une quatrième fuite a été aujourd'hui rendue publique par les garde-côtes suédois : "Il y a deux fuites côté suédois et deux fuites côté danois", a expliqué un responsable à l'AFP. L'hypothèse de défaillances accidentelles simultanées semble écartée et celle d'un "acte délibéré" privilégiée. Objet de tous les soupçons compte tenu des tensions sur les approvisionnements énergétiques en Europe depuis le début de l'invasion de l'Ukraine, la Russie a été accusée formellement, mais sans preuve, par Kiev d'être à l'origine de ce sabotage. Les Etats-Unis pointent eux aussi la Russie du doigt. Moscou a répliqué hier en accusant implicitement Washington d'être à l'origine de ces sabotages. "Le président américain est obligé de répondre à la question de savoir si les Etats-Unis ont mis à exécution leur menace", a lancé sur Telegram la diplomatie russe, en référence à une déclaration de Joe Biden début février qui affirmait que Washington "mettrait fin" à Nord Stream 2 si Moscou intervenait militairement en Ukraine. Les Etats-Unis ont jugé l'insinuation "ridicule". La Russie a également annoncé hier soir l'ouverture d'une enquête pour "acte de terrorisme international". Le Conseil de sécurité de l'ONU va se réunir vendredi à la demande de la Russie sur ce sabotage, ont annoncé mercredi la Suède et la France. Quels qu'ils soient, ceux qui ont attaqué Nord Stream ont envoyé un message. Ils font comprendre qu'ils pourraient frapper d'autres infrastructures énergétiques desservant une Europe assoiffée de gaz et pétrole. À l'ère du numérique, la guerre peut prendre de nombreux visages. Les cyber-attaques sont désormais une arme lors de conflits. La France n'est pas épargnée. Depuis quelques années, les centres hospitaliers semblent particulièrement concernés par les attaques informatiques. En 2021, chaque semaine, un incident de ce type aurait eu lieu dans un établissement de santé français, selon les chiffres de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information. Face à ce phénomène d'ampleur, l'État avait annoncé une enveloppe de 25 millions d'euros pour la cybersécurité des établissements de santé. Mais le pays semble parfois encore démuni. Dimanche dernier, les hackers qui avaient bloqué le réseau informatique de l'hôpital de Corbeil-Essonnes en août ont mis en ligne des données de santé volées. Les auteurs de ce méfait sont des membres du groupe de hackers russophones Lockbit 3.0, actif dans le monde entier. En Asie, la tension est montée d'un cran en Corée. Le Nord a procédé à deux tirs de missiles balistiques, un dimanche dernier et un dans la nuit de mercredi, dans le cadre d'une série record de tests d'armes depuis le début de l'année. Le Sud, habitué aux démonstrations agressives de Pyongyang, est contraint d'être toujours en alerte. C'est dans ce contexte que la vice-présidente américaine Kamala Harris est arrivée aujourd'hui en Corée du Sud pour un voyage visant à souligner la force de l'alliance entre Washington et Séoul. Quelles seront pour l'Europe les conséquences des fuites sur les gazoducs en mer Baltique ? S'agit-t-il d'une nouvelle escalade du conflit en Ukraine ? Comment la France est-elle organisée pour se prémunir de cyber-attaques ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/