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durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - La Syrie au bord du chaos. La présidence syrienne accuse les combattants druzes de Soueida de violer le cessez-le-feu qui a conduit au retrait des forces gouvernementales de la province et met engarde contre les interférences israéliennes.
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Après plus d'une décennie d'exil en Suède, une famille syrienne, les Tameem, part retrouver son pays natal. Nos reporters l'ont accompagnée sur les traces de ce passé douloureux.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Double frappe de l’armée israélienne :
durée : 02:29:44 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère
L'actualité politique actuelle te submerge ? Tu te sens perdu-e ? Le climat actuel d'inégalité et d'insécurité force notre génération à prendre position. Face à nos incertitudes, Line Soukouti a accepté de se faire notre guide le temps d'un épisode. D'origine Syrienne, Line porte haut le drapeau de peuples opprimés. Elle nous explique l'importance de prendre la parole, d'être solidaires, de se connecter aux autres, pour se reconnecter à soi. Et de résister.Retrouvez-la sur instagram @line_sktLa référence de l'application dont parle Line pour gérer son temps d'écran : Ascent--------------------Tout a commencé par des notes vocales... Et on en a fait un Podcast.Prends un petit thé et installe toi sous la tente.--------------------Pour ne rien rater de notre actualité et échanger avec nous, retrouve-nous sur Instagram @lestrucsdegrandes et sur TikTok @lestrucsdegrandesCréation originale : Fiona Bochatay / Noémie Moulin / Claire PralongMusique : Julien Pralong
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Après l'attaque de soldats par des partisans de l'ancien régime Assad, une orgie de violence a fait plus de 1 300 morts dans la région Alaouite, le bastion des Assad. Le président de la transition appelle à l'unité, mais il doit rassurer les minorités et mettre au pas ses partisans plus radicaux.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Après l'attaque de soldats par des partisans de l'ancien régime Assad, une orgie de violence a fait plus de 1 300 morts dans la région Alaouite, le bastion des Assad. Le président de la transition appelle à l'unité, mais il doit rassurer les minorités et mettre au pas ses partisans plus radicaux.
durée : 00:12:42 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Quatre mois après la chute du régime de Bachar al-Assad, de violents affrontements ont éclaté à l'ouest de la Syrie entre les forces armées du nouveau régime mené par Ahmed al-Charaa et des combattants fidèles au président déchu, entravant la transition souhaitée par les nouvelles autorités. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Wassim Nasr Journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes
Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ? Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure. Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.
Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ? Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure. Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Brisée par des années de guerre civile, de répression et par le « capitalisme rapace » du clan Assad, sans compter les sanctions internationales, la Syrie a vu sa monnaie perdre toute valeur et ses infrastructures s'effondrer. Paupérisée, la population se tourne vers l'économie informelle. Un article de Nissim Gasteli publié lundi 3 mars et lu par Jérémy Zylberberg.
Situé au bord de l'Euphrate dans le nord de la Syrie, le barrage de Tichrine est au cœur des combats entre les forces pro-kurdes et les rebelles pro-turcs de l'Armée nationale syrienne (ANS). Les deux camps se livrent une bataille de communication autour de cet ouvrage stratégique qui enjambe le fleuve. Des manifestants kurdes ont été tués par des frappes non revendiquées.
Un mois après la chute de Bachar el-Assad, la communauté syrienne en France fait face à la question du retour. Cette interrogation est au cœur de l'exposition Ici au loin au 011 Café à Paris. L'artiste, Nadia Albukai, 22 ans, s'inspire de vues aériennes de la Syrie pour conserver un lien avec son pays natal. Dans un tout petit local, aux murs blancs et avec une étagère qui porte quelques livres en arabe, le café solidaire 011, comme l'année du début des printemps arabes, expose des artistes venus du Moyen-Orient. Jusqu'au 19 janvier, la Syrienne Nadia Albukai, réfugiée en France, y expose ses œuvres.Nadia Albukai grave sur du cuivre les paysages de son enfance vus du ciel. « La gravure, ça permet de créer plusieurs degrés de gris que je fais soit à la main en creusant fort, soit avec le perchlorure de fer, explique l'artiste. Ça me permet de faire des textures différentes, de faire du relief. »Intellectualiser son exilCette étudiante en arts plastique à l'université parisienne de la Sorbonne a quitté la Syrie à l'âge de 13 ans, en 2015. L'art lui permet de garder un lien avec son pays d'origine. « Je me spécialise sur la province de Damas, dans la Ghouta occidentale, il y a eu beaucoup de bombardements et ça a été assiégé pendant très très longtemps, rappelle-t-elle. C'est un territoire inaccessible et je ne pouvais voyager là-bas que par les vues aériennes qui étaient disponibles sur Google Earth. Étant sortie très jeune de Syrie — la révolution a commencé quand j'avais neuf ans — je n'ai pas eu le temps de beaucoup voyager en Syrie. Je ne connaissais pas beaucoup mon pays. »Par son art, Nadia Albukai explore son exil : « Je pense que ça a créé un lien assez fort parce que j'ai appris à connaître le territoire un peu mieux que ce que j'avais dans mes souvenirs d'enfant. Tout est parti de mon expérience, de mon vécu en exil et le fait que je ne pouvais pas aller en Syrie à cause de raisons politiques. Mais voilà, ça m'a permis d'intellectualiser mon exil. »De par son statut de réfugiée, l'impossibilité de retourner en Syrie Aujourd'hui, un mois après la chute du régime de Bachar el-Assad, ses perspectives ont changé. « Moi, je pensais ne plus jamais pouvoir revenir en Syrie, confie-t-elle. C'est un très grand changement, vraiment historique. C'est encore très récent. Les gens ont vraiment besoin de guérir de toutes ces années d'oppression. »Et si elle espère bientôt retourner en Syrie, elle explique que sa vie est désormais en France. « J'ai de plus en plus envie d'y retourner pour visiter, mais j'ai toute ma vie en France quand même, je ne pourrais pas m'installer en Syrie maintenant. Mais je ne peux toujours pas [aller en Syrie] parce que j'ai le statut de réfugiée et il n'y a pas encore eu de mesures prises par rapport à ça, regrette l'artiste. Beaucoup de Syriens ont peur de revenir en Syrie et de ne plus pouvoir retourner en France à cause de leur titre de séjour. »Pour avoir l'esprit plus tranquille, Nadia Albukai espère obtenir la nationalité française. À lire aussiEn Europe, un réfugié peut-il vraiment perdre son statut si la situation dans son pays évolue?
durée : 00:03:21 - Géopolitique - Le refus du chef de la transition syrienne, Ahmed al-Charah, de serrer la main de la ministre allemande a fait polémique. Mais les Européens, qui redoutent une résurgence de Daech en cas de descente aux enfers de la Syrie, ont un intérêt à la réussite de cette transition, malgré leurs réserves.
durée : 02:29:46 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Samir Aïta, économiste, président du Cercle des économistes arabe / Yannick Kergoat, co-auteur et réalisateur du film “Personne n'y comprend rien” / Dominique Meda, professeure de sociologie à Paris Dauphine-PSL et dirige l'Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (IRISSO) - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:03:21 - Géopolitique - Le refus du chef de la transition syrienne, Ahmed al-Charah, de serrer la main de la ministre allemande a fait polémique. Mais les Européens, qui redoutent une résurgence de Daech en cas de descente aux enfers de la Syrie, ont un intérêt à la réussite de cette transition, malgré leurs réserves.
durée : 00:13:25 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Accompagné de son homologue allemande, Jean-Noël Barrot vient d'effectuer son premier voyage diplomatique en Syrie : une première depuis 13 ans. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Samir Aïta Économiste, rédacteur en chef et directeur général de l'édition arabe du Monde Diplomatique, président du Cercle des économistes arabes, directeur général de A Concept/Mafhoum, une société de conseil en économie et technologies de
durée : 00:19:27 - France Culture va plus loin le samedi - par : Marguerite Catton, Jules Crétois - La prison était une pierre angulaire du régime des Assad, père et fils. Lors de la prise de Damas, les images de détenus libérés font le tour du monde. La riche littérature carcérale syrienne peut-elle aider à comprendre la Syrie, son régime, la violence qui l'a parcouru ? - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Farouk Mardam-Bey Directeur de la collection Sindbad aux éditions Actes Sud
durée : 00:38:27 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le régime Al-Assad, renversé par le groupe HTS le 8 décembre dernier après plus de 54 ans de pouvoir, a dévasté la société syrienne. Comment envisager une reconstruction politique, économique et sociale en Syrie ? - réalisation : François Richer - invités : Camille Neveux Journaliste, cheffe adjointe du service étranger de Libération; Garance Le Caisne Journaliste indépendante, contributrice à la Tribune Dimanche; Anthony Samrani Co-rédacteur en chef de l'Orient le jour
durée : 00:38:27 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le régime Al-Assad, renversé par le groupe HTS le 8 décembre dernier après plus de 54 ans de pouvoir, a dévasté la société syrienne. Comment envisager une reconstruction politique, économique et sociale en Syrie ? - réalisation : François Richer - invités : Camille Neveux Journaliste, cheffe adjointe du service étranger de Libération; Garance Le Caisne Journaliste indépendante, contributrice à la Tribune Dimanche; Anthony Samrani Co-rédacteur en chef de l'Orient le jour
Arrêt sur trois images qui ont marqué l'année 2024, aux États-Unis, en Syrie et au Soudan. Le premier arrêt sur image nous conduit aux États-Unis et à la photo publiée par le New York Times, quelques heures après l'attentat contre Donald Trump, le 14 juillet. On y voit l'ancien et futur président lors d'un meeting en Pennsylvanie, devant un pupitre rouge frappé du slogan « Make America Great Again » (« Rendre sa grandeur à l'Amérique »). Donald Trump a une casquette rouge. Il tourne la tête et, juste à côté de lui, une trainée blanche sur un fond azur, un peu comme un avion très loin dans le ciel. C'est le sillage de la balle qui vient de lui érafler l'oreille.Cette photo est signée d'un photographe du New York Times, Doug Mills, qui avait, selon un spécialiste balistique du FBI, une chance sur un million de capturer cet instant précis. Après, Trump apparaît le poing levé, puis avec un pansement à l'oreille. Et d'autres images marquantes suivront, comme celle d'Elon Musk sautillant comme un enfant dans un de ses meetings. Mais cette photo miraculeuse a su saisir l'événement.À lire aussiUne nouvelle tentative d'assassinat de Donald Trump venue d'Iran aurait-elle été déjouée?Deuxième arrêt sur images, direction la SyrieCette fois, c'est lors d'un reportage de CNN, qui nous montre Clarissa Ward, une reporter blonde dans une prison syrienne de Damas. Elle se met en scène en expliquant être partie à la recherche du journaliste américain Austin Tice, retenu en Syrie depuis 2012. Le régime étant tombé, elle le cherche dans les cellules lorsqu'elle tombe sur un détenu sous une couverture à même le sol. L'homme la remercie avec émotion en lui prenant la main. Il a curieusement l'air bien nourri, porte un manteau en peau retourné très propre pour quelqu'un qui dit avoir passé trois mois en prison.Un site de fact checking syrien, Verify-Sy, nous apprendra que c'est en réalité un lieutenant des services de renseignement du régime, demeuré introuvable depuis. CNN a rétabli la vérité en faisant mine d'avoir levé seule la supercherie. En Syrie, les images sont parfois menteuses.Des photos du journal Le Monde au SoudanFocus sur une série de reportages en huit épisodes, signés Eliott Brachet, et intitulée Au Soudan, une guerre totale, avec des photos d'Abdulmoman Eassa. Sur l'une d'elle, on voit au loin un groupe de cinq personnes, hommes et femmes, sur des chaises en plastique blanc, les pieds dans le Nil. On est sur l'île Tuti, près de Khartoum, juste avant la guerre fratricide entre deux généraux qui auraient fait plus de 150 000 victimes civiles depuis avril 2023.Cette guerre, peu de médias en parlent. Selon l'INA, sur un an, fin juin 2024, on trouve 8 700 mentions d'Israël et Gaza dans les journaux télévisés français, 4 500 mentions de l'Ukraine et seulement 128 mentions du Soudan. Une autre image ouvre le reportage du Monde : celle d'un fossoyeur près de Khartoum devant l'extension sans fin de son cimetière. À lire aussiÀ la Une: au Soudan, la guerre oubliée…
durée : 00:05:22 - Les Cartes en mouvement - par : Delphine Papin - Dans Les Cartes en Mouvement, Flavie Holzinger, journaliste du service Infographie et Cartographie au journal Le Monde, revient cette semaine sur les treize années de guerre en Syrie. - invités : Flavie Holzinger Journaliste au service Infographie du journal Le Monde
Astrid qui, ayant perdu mari et enfants, vient se réfugier dans le massif du Mercantour. Soraya, une jeune Syrienne, enceinte malgré elle, qui a tout laissé pour fuir le régime de son pays et qui tente de rallier clandestinement la frontière française. Quand le pire est passé, les deux femmes vont s'apprivoiser, s'épauler, se reconstruire doucement, et envisager la possibilité d'un avenir.Invitée : Marie Pavlenko, autrice de Traverser les montagnes, et venir naître ici, aux éditions Les Escales.
Astrid qui, ayant perdu mari et enfants, vient se réfugier dans le massif du Mercantour. Soraya, une jeune Syrienne, enceinte malgré elle, qui a tout laissé pour fuir le régime de son pays et qui tente de rallier clandestinement la frontière française. Quand le pire est passé, les deux femmes vont s'apprivoiser, s'épauler, se reconstruire doucement, et envisager la possibilité d'un avenir.Invitée : Marie Pavlenko, autrice de Traverser les montagnes, et venir naître ici, aux éditions Les Escales.
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Plus que jamais, la Syrie reste une poudrière. Et l'Europe est payée pour savoir que l'immigration et le terrorisme sont directement indexés sur les événements de cette région.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:41 - Zoom d'ICI Matin Auvergne - Ahmal Khalil, sa femme et leurs quatre enfants sont arrivés à Clermont-Ferrand en juillet 2013. Ils ont fuit leur pays, la Syrie, à cause de la guerre civile et de la dictature de Bachar al-Assad, qui est tombé il y a trois jours. Aujourd'hui, c'est l'espoir qui domine pour cette famille syrienne.
durée : 00:04:25 - Le Zoom de France Inter - Hommes, femmes, enfants, se sont massés, dès ce week-end, devant la sinistre prison de Saydnaya près de Damas, dans l'attente de nouvelles de leurs proches, prisonniers et victimes du régime déchu de Bachar al-Assad.
Son nom a longtemps été synonyme des pires cauchemars pour les Syriens : la prison militaire de Saydnaya. Les rebelles ont ouvert les portes de ce centre de détention proche de Damas où la torture et d'autres atrocités étaient pratiquées. À l'âge de 15 ans, Omar a été emprisonné à Saydnaya pendant trois ans avant de réussir à fuir. Depuis décembre 2015, il est réfugié en Suède où il est membre de la Syrian Emergency Task Force, une organisation humanitaire en exil. Il partage ses émotions en voyant la libération des prisonniers Saydnaya. Omar : C'est une sensation incroyable ! C'est une scène incroyable de voir des gens qui ont presque perdu l'espoir de retrouver un jour une vie normale, être désormais libres de sortir de leurs cellules, de la manière la plus honorable qui soit, en étant libérés par leur propre peuple. C'est fantastique ! Le plus important, c'est de pouvoir sortir de cette prison et de profiter d'une Syrie libre. Et pas simplement s'enfuir de sa cellule pour ensuite se cacher du régime syrien.Aujourd'hui, le régime est tombé. La dictature est tombée. Nous sommes plus forts, nous sommes libérés. Mais nous sommes aussi dans une période très sensible.Nous devons nous engager dans notre avenir pour nous assurer que nous ne faisons pas juste la fête aujourd'hui avant de quitter le pays. Faisons la fête et assurons-nous que le prochain changement en Syrie soit un changement pour le peuple et par le peuple.RFI : Est-ce que vous êtes confiant dans l'avenir de la Syrie ? J'ai beaucoup d'espoir. J'ai beaucoup d'espoir en ces gens qui se battent depuis 14 ans, alors que le monde nous a laissés nous battre seuls, espérer seuls, être torturés seuls, mourir de faim seuls et rêver seuls. Aujourd'hui, on est victorieux. Cela me donne l'espoir que ces gens ne se contenteront pas de quelque chose de moins que la liberté et la démocratie.Avez-vous des raisons de faire confiance au chef des rebelles quand il dit que la transition sera pacifique ?Je pense que la Syrie sera enfin vraiment libérée. Les gens qui ont combattu pendant tant d'années ou les groupes de rebelles qui ont renversé le régime ne sont pas au-dessus du reste de la population. Ce n'est pas pour ça qu'ils seront les dirigeants.Le but de la révolution syrienne est d'avoir des élections. Des élections où le peuple choisit celui qui va diriger le pays. Un leader non pas désigné parce qu'il a fait quelque chose aujourd'hui ou hier, mais parce qu'il aura été choisi par le peuple. C'est ça l'objectif. Il n'y aura donc personne pour diriger le pays aujourd'hui, tant qu'il n'aura pas été choisi par le peuple.Pensez-vous que vous serez bientôt de retour en Syrie ? Voulez-vous revenir en Syrie ? La Syrie est mon pays d'origine. C'est là que j'ai grandi. C'est l'endroit qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui. Et c'est un endroit qui a besoin que je le reconstruise, qui a besoin de mon dévouement et j'ai envie d'être utile pour construire mon pays.Mais en même temps, la Suède est ma maison. C'est devenu ma maison il y a de nombreuses années. Et j'ai ma famille. J'ai mes amis ici. J'ai construit une carrière, une vie ici. Ça compte pour moi.Ce n'est pas une question facile, de simplement retourner en Syrie. Je veux vraiment aider à la reconstruction de la Syrie, mais je veux aussi préserver une partie de ma vie suédoise que j'aime et qui me tient vraiment à cœur.À lire ou à écouter aussiNajah Albukai, ancien détenu d'une prison syrienne: «J'étais réquisitionné pour transporter les cadavres»
Des milliers de prisonniers ont été libérés en Syrie suite à l'offensive des rebelles menés par les islamistes du groupe Hay'at Tahrir el-Cham. Une offensive qui a permis la fin de plus de 50 ans de répression brutale de toute voix dissidente. Des vidéos partagées sur les réseaux sociaux montrent des scènes chaotiques à l'intérieur de la prison de Saydnaya, la pire du régime Assad, où des tueries de masse ont été perpétrées durant la dictature. Najah Albukai, dessinateur et réfugié politique en France, a été arrêté plusieurs fois entre 2012 et 2015. Il raconte sur RFI les actes de tortures qu'il subissait avec ses compagnons de cellules. Il a publié ses dessins de prison dans « Tous témoins », chez Actes Sud.
Son nom a longtemps été synonyme des pires cauchemars pour les Syriens : la prison militaire de Saydnaya. Les rebelles ont ouvert les portes de ce centre de détention proche de Damas où la torture et d'autres atrocités étaient pratiquées. À l'âge de 15 ans, Omar a été emprisonné à Saydnaya pendant trois ans avant de réussir à fuir. Depuis décembre 2015, il est réfugié en Suède où il est membre de la Syrian Emergency Task Force, une organisation humanitaire en exil. Il partage ses émotions en voyant la libération des prisonniers Saydnaya. Omar : C'est une sensation incroyable ! C'est une scène incroyable de voir des gens qui ont presque perdu l'espoir de retrouver un jour une vie normale, être désormais libres de sortir de leurs cellules, de la manière la plus honorable qui soit, en étant libérés par leur propre peuple. C'est fantastique ! Le plus important, c'est de pouvoir sortir de cette prison et de profiter d'une Syrie libre. Et pas simplement s'enfuir de sa cellule pour ensuite se cacher du régime syrien.Aujourd'hui, le régime est tombé. La dictature est tombée. Nous sommes plus forts, nous sommes libérés. Mais nous sommes aussi dans une période très sensible.Nous devons nous engager dans notre avenir pour nous assurer que nous ne faisons pas juste la fête aujourd'hui avant de quitter le pays. Faisons la fête et assurons-nous que le prochain changement en Syrie soit un changement pour le peuple et par le peuple.RFI : Est-ce que vous êtes confiant dans l'avenir de la Syrie ? J'ai beaucoup d'espoir. J'ai beaucoup d'espoir en ces gens qui se battent depuis 14 ans, alors que le monde nous a laissés nous battre seuls, espérer seuls, être torturés seuls, mourir de faim seuls et rêver seuls. Aujourd'hui, on est victorieux. Cela me donne l'espoir que ces gens ne se contenteront pas de quelque chose de moins que la liberté et la démocratie.Avez-vous des raisons de faire confiance au chef des rebelles quand il dit que la transition sera pacifique ?Je pense que la Syrie sera enfin vraiment libérée. Les gens qui ont combattu pendant tant d'années ou les groupes de rebelles qui ont renversé le régime ne sont pas au-dessus du reste de la population. Ce n'est pas pour ça qu'ils seront les dirigeants.Le but de la révolution syrienne est d'avoir des élections. Des élections où le peuple choisit celui qui va diriger le pays. Un leader non pas désigné parce qu'il a fait quelque chose aujourd'hui ou hier, mais parce qu'il aura été choisi par le peuple. C'est ça l'objectif. Il n'y aura donc personne pour diriger le pays aujourd'hui, tant qu'il n'aura pas été choisi par le peuple.Pensez-vous que vous serez bientôt de retour en Syrie ? Voulez-vous revenir en Syrie ? La Syrie est mon pays d'origine. C'est là que j'ai grandi. C'est l'endroit qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui. Et c'est un endroit qui a besoin que je le reconstruise, qui a besoin de mon dévouement et j'ai envie d'être utile pour construire mon pays.Mais en même temps, la Suède est ma maison. C'est devenu ma maison il y a de nombreuses années. Et j'ai ma famille. J'ai mes amis ici. J'ai construit une carrière, une vie ici. Ça compte pour moi.Ce n'est pas une question facile, de simplement retourner en Syrie. Je veux vraiment aider à la reconstruction de la Syrie, mais je veux aussi préserver une partie de ma vie suédoise que j'aime et qui me tient vraiment à cœur.À lire ou à écouter aussiNajah Albukai, ancien détenu d'une prison syrienne: «J'étais réquisitionné pour transporter les cadavres»
durée : 00:06:57 - Journal de 9h - Le mouvement Hayat Tahrir al-Cham (en français, Organisation de libération du Levant; émanation d'Al Qaïda) est désormais aux portes de Homs. Il veut renverser Bachar al-Assad.
durée : 00:06:57 - Journal de 9h - Le mouvement Hayat Tahrir al-Cham (en français, Organisation de libération du Levant; émanation d'Al Qaïda) est désormais aux portes de Homs. Il veut renverser Bachar al-Assad.
Dans ce quatrième épisode présenté par l'équipe PretAfrica nous vous proposons un nouveau Talk space (format plus décontracté), où nous abordons un sujet d'actualité: la présence de la communauté Libano-Syrienne en Afrique. Partie 1 : Dans cette première partie nous revenons sur les raisons de migration de la communauté Libano-syrienne et ses conséquences directes sur les communautés locales africaines. Bonne écoute
Dans ce quatrième épisode présenté par l'équipe PretAfrica nous vous proposons un nouveau Talk space (format plus décontracté), où nous abordons un sujet d'actualité: la présence de la communauté Libano-Syrienne en Afrique. Partie 2 : Dans cette seconde partie nous débattons du statut et traitement infligés à une bonne partie des ressortissants africains au Liban.
Face au regain des affrontements en Syrie, les Nations Unies ont averti mercredi du danger de division du pays. Au cours de la semaine écoulée, une vaste bande de territoire est passé sous les mains de forces rebelles, qui contrôlent désormais de facto un territoire abritant quelque 7 millions de personnes, y compris la deuxième ville du pays, Alep.L'ONU affirme qu'« il n'y a pas de solution militaire à ce conflit » et les appels à la désescalade et à la protection des civils se multiplient.Pour le Président de la Commission d'enquête des Nations Unies sur la Syrie, Paulo Sergio Pinheiro, les « parties au conflit ne tiennent pas compte des vrais intérêts de la population syrienne », à savoir une résolution politique et diplomatique du conflit.M. Pinheiro appelle les parties aux conflit et groupes armés à respecter le droit international humanitaire et des droits de l'homme, soulignant que la première préoccupation actuelle de la Commission est la protection des civils.(Extrait sonore : Paulo Sergio Pinheiro, Président de la Commission d'enquête des Nations Unies sur la Syrie ; propos recueillis par Eleuterio Guevane)
durée : 00:14:16 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Dans ce troisième épisode consacré à Hassan Nasrallah, la professeure de sciences politiques Aurélie Daher revient sur le combat qu'il mène avec le Hezbollah contre Israël, de 2000 à 2006. Une guerre qui accroit sa popularité. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Aurélie Daher Enseignante-chercheuse à Paris-Dauphine et à Sciences Po Paris
durée : 00:13:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Dans ce troisième épisode consacré à Hassan Nasrallah, la professeure de sciences politiques Aurélie Daher revient sur le combat qu'il mène avec le Hezbollah contre Israël, de 2000 à 2006. Une guerre qui accroit sa popularité. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Aurélie Daher Enseignante-chercheuse à Paris-Dauphine et à Sciences Po Paris
durée : 00:34:08 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Alors que s'ouvre à Paris le premier procès pour crimes contre l'humanité des trois hauts dignitaires du régime de Bachar Al-Assad en Syrie, Camille Neveux vient nous parler de son roman "Le verger de Damas" écrit à quatre mains avec son compagnon syrien Ghaees Alshorbajy - réalisé par : Tristan Gratalon
durée : 00:34:08 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Alors que s'ouvre à Paris le premier procès pour crimes contre l'humanité des trois hauts dignitaires du régime de Bachar Al-Assad en Syrie, Camille Neveux vient nous parler de son roman "Le verger de Damas" écrit à quatre mains avec son compagnon syrien Ghaees Alshorbajy - réalisé par : Tristan Gratalon
Trigger Warning : Accident de la route, suicide, VSS, inceste, Mort d'enfantAvant the Wreck, le studio Pixel Hunt s'est fait connaître avec Enterre-Moi Mon Amour, un jeu mobile qui s'inspirait du récit d'une jeune réfugiée Syrienne. Un “jeu du réel” qui avait marqué les médias à sa sortie, ce qui a encouragé Florent Maurin et son équipe à poursuivre dans cette direction. Cette fois-ci, c'est un visual novel 3D dans lequel nous suivons le parcours introspectif de Junon, une jeune femme brisée par un accident tragique. En explorant ses souvenirs et ses relations, le jeu nous propose de revoir notre façon de nous (re)construire et d'aborder nos relations avec les autres. Un jeu imparfait dans les mécaniques mais très touchant sur le fond, qui n'a cependant pas su trouver son public. Pourquoi ? Dans cet épisode, Fin Du Game tente de recoller les morceaux.Merci à nos patreotes qui financent l'émission sur https://www.patreon.com/findugameSi vous réalisez un achat sur Top Achat, vous pouvez entrer le code créateur FINDUGAMERejoignez le club de lecture sur Discord : https://discord.gg/YTGbSkN
durée : 00:58:56 - Toute une vie - Dans la nuit du 09 au 10 décembre 2013, l'avocate et activiste syrienne Razan Zaitouneh, figure incontournable de la Révolution syrienne, était enlevée dans la Ghouta avec trois de ses camarades, Waël Hamada, Nazem el-Hammadi et Samira El-Kallil. - invités : Randa Baas Traductrice et interprète; Mazen Darwich Avocate et défenseur des droits humains; Thaer Hijazi Défenseur des droits humains; Hala Kodmani Journaliste franco-syrienne, grand reporter à Libération, écrivaine; Justine Augier Écrivaine et essayiste
Vous avez sans doute vu le biopic "Les nageuses" sur Netflix. L'histoire vraie des deux sœurs Mardini, originaires de Syrie. Elles font de la natation depuis leur plus jeune âge et décident de quitter leur pays en guerre en 2016 pour aller nager aux Jeux Olympiques à Rio de Janeiro. Yusra, la cadette, ira au Brésil et même aux JO de Tokyo. Or, ce mardi 10 janvier son avenir risque de basculer: La jeune syrienne et 23 autres personnes risquent 25 ans de prison. En Grèce, et ce matin, se tient sur l'île de Lesbos, leur procès pour appartenance à une organisation criminelle.
Ecoutez un double-épisode inédit du podcast "Au cœur de l'Histoire" en partenariat avec la maison d'édition Le Cherche midi ! A l'occasion de la sortie du livre "Moi Julia" ("Yo Julia") écrit par l'auteur espagnol Santiago Posteguillo et traduit par Hélène Serrano, découvrez le récit historique de la vie de Julia Domna, impératrice romaine d'origine arabe au IIe siècle. Fille du grand prêtre du dieu du Soleil, Julia découvre très tôt dans les augures qu'elle est destinée à régner. Son père s'assure qu'elle reçoive une double éducation : celle des mythes et rites religieux orientaux, et celle des idées de Rome. C'est lorsque le consul Septime Sévère, originaire de l'actuelle Libye, arrive à Emèse que la vie de Julia Domna bascule. Qui est cet homme dont le destin est lié à celui de Julia Domna ? Dans ce nouvel épisode du podcast "Au cœur de l'Histoire" produit par Europe 1 Studio, la spécialiste de l'Histoire Clémentine Portier-Kaltenbach raconte l'arrivée au pouvoir de Julia Domna, l'une des personnages historiques féminins les plus importants de l'Antiquité romaine.
Découvrez un épisode inédit en deux parties du podcast “Au cœur de l'Histoire” produit par Europe 1 Studio en partenariat avec la maison d'édition Le Cherche midi ! A l'occasion de la sortie du livre "Moi Julia" ("Yo Julia") de l'écrivain espagnol Santiago Posteguillo traduit par Hélène Serrano, la spécialiste de l'Histoire Clémentine Portier-Kaltenbach raconte la vie de l'impératrice Julia Domna, l'une des femmes les plus puissantes de l'Antiquité romaine. Née en Syrie au IIe siècle après Jésus-Christ, Julia Domna est la fille de Julius Bassanus, grand prêtre du dieu solaire Elagabal. Issue de la noblesse arabe, elle grandit à Emese, où elle est initiée aux pratiques religieuses du monde oriental nommées “Mystères d'Eleusis” tout en étant éduquée à la manière d'une Occidentale. A la croisée de ces deux cultures, Julia Domna se sait promise à un destin extraordinaire. Ce futur si prometteur est d'ailleurs écrit dans les astres…