POPULARITY
Comme chaque semaine, dans l'Actu Pop, votre podcast geek favori, nous revenons ensemble sur toutes les news pop culture du moment. Au menu de cet épisode : le retour de certaines sagas cultes, des furys avec des épées magiques, et des spin-offs que personne n'a vraiment envie de voir. Les news pop culture du 11/06/24 News Comics Kaare Andrews qui prépare la suite de Spider-man Reign 2 chez Marvel Fantax le héros en 1946 par J. K. Melwyn-Nas et Chott en 1946 revient en bd et cinéma News Manga : La fermeture du studio culte à l'origine de Gurren Lagann ou Nadia, le secret de l'eau bleue : Gainax Une nouvelle édition pour le manga culte de Masami Kurumada : Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque) chez Kana News Cinéma : Un nouveau film dans l'univers d'Hunger Games autour d'un personnage culte de la 1ʳᵉ saga Un film en prise de vue réel pour le dessin animé culte des années 80 Cosmocats (ou ThunderCats en vo) Le PDG de Sony Pictures Tony Vinciquerra fait une déclaration en faveur de l'utilisation d'IA au ciné La saga Predator aurait peut-être un nouvel opus intitulé Badland avec Elle Fanning News Série : Noah Hawley à la tête d'une série préquel de la saga Alien nommée Alien : Neverland Un teaser pour la saison 02 (et ultime) de la série d'animation de Netflix : Arcane Sortie ciné de la semaine : Love Lies Bleeding de Rose Glass Paradis Paris de Marjane Satrapi Les Guetteurs de Ishana Shyamalan HAIKYU!! La Guerre des Poubelles de Susumu Mitsunaka Coup d'oeil sur : Sous la SeineCette semaine, nous partageons avec vous notre avis sur Sous la scène de Xavier Gens. Un film de requin dans la plus grande tradition, mais dans la seine. On retrouve les tropes du genre, il n'y a pas de grosses surprises, pourtant le film reste divertissant.Le film ne mérite pas toutes ses mauvaises critiques, restant beaucoup moins honteux que certaines productions Syfy. Retrouvez nos chroniqueurs sur leurs réseaux sociaux :Sophie : https://linktr.ee/sophiahautrice?Spades : https://linktr.ee/SpadesOnAirFaye : https://linktr.ee/fayefanel Vous pouvez nous retrouver sur nos réseaux sociaux :Facebook : https://www.facebook.com/ComicsDiscovery/Twitter : https://twitter.com/comicsdiscoveryInstagram : https://www.instagram.com/comicsdiscovery/TikTok : https://www.tiktok.com/@jamesetfaye Vous pouvez nous écouter sur :Spotify : https://urlr.me/29TSqiTunes : https://urlr.me/5dP8GDeezer : https://urlr.me/qxG9D Sans oublier le replay en vidéo sur :YouTube : https://www.youtube.com/@JamesetFayeTwitch : https://www.twitch.tv/jamesetfaye Pour nous soutenir :Tipeee: https://fr.tipeee.com/james-et-faye Vous pouvez venir discuter avec nous sur notre serveur discord :Discord : http://discordapp.com/invite/GsBTkDS Et Retrouvez nos autres productions sur notre site :Le site de James & Faye : https://jamesetfaye.fr/
Produite et réalisée par Jules Bass et Arthur Rankin, cette série américaine ressemble beaucoup à la précédente création du duo, Cosmocats. SilverHawks arrive en France en mars 1988 sur TF1, dans le Club Dorothée. Au chant, le disque crédite le nom des Musclés, mais en réalité, c'est Bernard Minet qui interprète ce générique…
Il arrive parfois que les comics décident d'embrasser de nobles causes. Mais pas toujours de la façon la plus judicieuse. Revenons à l'époque où Marvel pensait que la meilleure solution pour sauver la planète, c'était de filer des flingues aux dauphins… Si vous avez grandi durant les années 1980 et 1990, vous savez à quel point ces décennies symbolisent le règne des merdes en plastique. Depuis le succès colossal de Star Wars en 1977, et de la ligne de figurines commercialisée par Kenner, tous les fabricants de jouets cherchent la licence qui cartonnera auprès des gosses. Les Transformers et les G.I. Joe de Hasbro, les Cosmocats de LJN, les fameux Maîtres de l'Univers de Mattel, sans oublier le succès des Teenage Mutant Ninja Turtles de Playmates, autant de bonshommes en plastoc qui envahissent la chambre des enfants et vident le porte-monnaie des parents. Paradoxalement, tandis que la promotion de ces nouvelles figures de la Pop Culture est assurée par des dessins animés diffusés à la télévision, c'est aussi à cette période que diverses productions commencent à sensibiliser le jeune public à l'écologie. De Captain Planet à Widget, en passant par SOS Polluards et certaines séries de Tokusatsu, les messages incitant les enfants à protéger la nature et la vie sauvage sont partout. C'est en 1989, dans ce contexte qui mêle surproduction d'action figures et éveil quant à l'importance de notre environnement, que Marvel Comics demande au designer Charles Viola de concevoir des personnages qui pourraient devenir une ligne de jouets à succès. Fort d'avoir su adapter en comic book les G.I. Joe et les Transformers, et de l'accueil commercial, quelques années auparavant, de la gamme Secret Wars développée avec Mattel, l'éditeur américain est persuadé de pouvoir vendre les droits de ses nouveaux héros à un fabricant de jouets pour une petite fortune. Il faut dire que, même si on l'a un peu oublié aujourd'hui, il fut une époque où la Maison des Idées était experte en matière de partenariats plus ou moins pérenne : de ROM le chevalier de l'espace, avec Parker Brothers, à Dazzler en collaboration avec Casablanca Records, en passant par la Saga de Crystar, avec Remco, Marvel Comics a, notamment durant les années 1980, multiplié les coentreprises à double sens, pour le meilleur et pour le pire. Le premier numéro de Brute Force sort en juin 1990, soit trois mois avant la première diffusion de Captain Planet à la télévision et plus d'un an avant son adaptation en comic book par Marvel, qui ne connaîtra que douze numéros, mais c'est une tout autre histoire. Pourtant, Brute Force n'est pas véritablement une série initiatrice de tendance pour la bande dessinée américaine, le Animal Man de Grant Morrison la précédant de plusieurs années. Elle est néanmoins totalement dans l'air du temps en ce qui concerne ses thématiques, même si son approche est largement perfectible. Scénarisée par Simon Furman et dessinée par Jose Delbo, la mini-série en quatre numéros s'ouvre sur l'attaque d'un laboratoire de la société Multicorp, dans lequel travaille le scientifique Randall Pierce. Une équipe de clowns armés jusqu'aux dents, sans doute échappée du fast-food du coin, fait irruption alors que le docteur Pierce pratique une opération extrêmement délicate visant à sauver la vie d'un gorille en le transformant en cyborg. Après que le commando costumé ait pris la fuite en emportant avec lui l'animal amélioré, Randall Pierce s'empresse de prévenir son patron, Monsieur Frost, qui ne semble pas vraiment paniqué par la situation, et lui interdit formellement de prévenir la police. Après quelques tergiversations d'ordre moral et un échange avec son fils autour des responsabilités qui nous incombent vis-à-vis de notre belle planète bleue, le docteur Pierce décide finalement que le meilleur moyen d'aller sauver son gorille est de transformer d'autres animaux, innocents et en parfaite santé, en machines de guerre. Surfstreak le dauphin, Lionheart le lion, Soar l'aigle, Wreckless l'ours, et Hip Hop le kangourou, voilà les cinq animaux qui vont former une équipe d'un genre nouveau : Brute Force !Désormais dotés d'une intelligence supérieure et de la parole, équipés de lance-roquettes, de canons lasers, et capables de se transformer en véhicules, nos cyber-animaux sont donc envoyés en mission en dépit du bon sens, sans aucune précaution ou prise en considération des dommages qu'ils pourraient causer. Des débuts difficiles, presque burlesques, tant les membres de Brute Force peinent à coopérer. Entre leur incapacité à utiliser leur équipement et leurs caractères incompatibles, cette première mission est un semi-échec, puisqu'ils ne parviennent pas à récupérer le gorille, mais réussissent tout de même à protéger le village d'une tribu amazonienne d'un groupe paramilitaire qui voulait les exproprier. On découvre à la fin du premier numéro que les mercenaires en question portaient de l'équipement conçu par Multicorp, et que l'homme derrière les malversations criminelles qui ont mené au kidnapping du gorille n'est autre que son président : Monsieur Frost ! L'épisode se conclut sur la première apparition de l'équipe de super-animaux antagonistes créée par Frost pour tenir tête à Brute Force : Heavy Metal !Un requin, un rhinocéros, une pieuvre, un vautour, et le fameux gorille capturé plus tôt, de “vilains” animaux qui ont à leur tour été transformés en machines destructrices.Dans le numéro suivant, le docteur Pierce se questionne sur sa décision de transformer les membres de Brute Force, tandis que les animaux cybernétiques apprendront à leurs dépens que leur nouvelle condition inédite ne leur permettra pas de trouver facilement une place dans notre monde. On assiste au premier affrontement avec Heavy Metal, qui a pour objectif de faire couler un pétrolier, et Frost parvient finalement à faire arrêter Pierce, qu'il fait passer pour le méchant de l'histoire. Le troisième épisode alerte le jeune lecteur sur les dangers de la pollution, en mettant en scène une créature mutante transformée par un environnement toxique créé de toutes pièces par Frost comme une simulation de l'écosystème du futur. Et enfin, le quatrième et dernier numéro oppose les animaux de Brute Force à de faux activistes anti-nucléaire, qui s'avéreront être envoyés par Frost, avant leur affrontement final avec Heavy Metal. Brute Force parvient à arrêter Frost avec l'aide du docteur Pierce, et décident de continuer à travailler ensemble pour sauver la planète, malgré leurs différences. Ironiquement, cet ultime épisode se termine par “The Beginning”, ou “Le Commencement” dans la langue du docteur Klein, mais la suite des aventures de Brute Force va se faire attendre. Brute Force est une mini-série pleine de contradictions. Pensée pour parler à un jeune public ; elle devait dans un premier temps être publiée sur le label STAR de Marvel, regroupant les titres à destination des enfants ; elle adopte pourtant un ton acide qui se moque des multinationales et de la malbouffe, dénonce les prémices de ce que l'on appelle aujourd'hui le “greenwashing” et va jusqu'à traiter d'écoterrorisme. Mais, en parallèle, Brute Force passe totalement à côté de son message écolo sur de nombreux points, à commencer par la nature même de ses héros. Protéger la nature en transformant d'innocents animaux sauvages en armes de guerre destructrices, un non-sens total qui ne semble interpeller personne chez Marvel. Pas plus que de propager un message totalement idiot à base de “gentils” et de “méchants” animaux rempli de clichés éculés : le sympathique dauphin contre le vilain requin, l'aigle majestueux contre le vautour malfaisant, et ainsi de suite. Tout ça est justifié de façon plus ou moins implicite par une formule que l'on pourrait synthétiser en “c'est cool, donc ça passe”, une vision décérébrée - et typiquement américaine - dans laquelle la violence et les armes règlent pas mal de problèmes. Le scénariste Simon Furman et l'équipe éditoriale formée par Bob Budiansky, Tom Brevoort et Tom DeFalco se renvoient d'ailleurs volontiers la balle quand il s'agit de déterminer de qui vient telle ou telle idée. Un peu comme si assumer la paternité de Brute Force n'était pas la plus grande fierté de leur carrière, et on peut le comprendre. La série possède quand même quelques points fort remarquables, comme les dessins de l'Argentin Jose Delbo, qui avait déjà œuvré sur les adaptations en comics des Transformers et des Thundercats pour Marvel, mais aussi, dans un genre totalement différent, sur Wonder Woman chez DC Comics. L'artiste parvient de façon assez surprenante à donner un peu de crédibilité à ces personnages, mélanges improbables d'animaux réalistes et de robots aux points d'articulation similaires à ceux de figurines faites pour être moulées à la chaîne. L'ensemble est plutôt agréable graphiquement, tout en restant assez enfantin dans l'esprit. Le fond est loin d'être bête et la personnification des différents animaux est parfois intéressante, notamment quand il s'agit d'opposer leurs caractères distincts et leur soif de leadership. L'écriture très directe des personnages se heurte donc à un aspect visuel digne d'une série pour enfants des années 1980, si bien que l'on ne saisit plus vraiment quel est le public visé. Les aventures de nos animaux cybernétiques s'inspirent également de véritables catastrophes écologiques contemporaines de leur publication pour sensibiliser le jeune lectorat qui, avouons-le, est certainement passé à côté de toutes ces références bien trop sérieuses. Une dichotomie qui n'échappe finalement à personne une fois passées les portes des bureaux de Marvel Comics, dont la stratégie commerciale vis-à-vis des fabricants de jouets s'avère pour le moins bancale. Résultat : Brute Force tombe dans l'oubli pendant plus de vingt ans. Exception faite d'une équipe de monstres génétiquement modifiés créés par Arnim Zola et affrontant les Thunderbolts le temps de quelques épisodes, en 1999, il faut attendre 2014 pour revoir la Brute Force originale en action, dans les pages du premier numéro de Deadpool Bi-Annual. Engagé pour empêcher des militants écologistes de s'en prendre à un parc aquatique qui maltraite des animaux marins, le mercenaire provocateur va faire face aux défenseurs de la nature : les super animaux de Brute Force ! Un épisode assez réussi et plutôt amusant, qui assume pleinement le côté kitsch de ces animaux robotisés, et dont l'autodérision, Deadpool oblige, contraste fortement avec le ton presque grave de la mini-série d'origine. Quoi qu'on en pense, ce Deadpool Bi-Annual officialise le statut canonique de Brute Force au sein de l'univers Marvel, chose qui n'avait jamais été clairement établie auparavant, et ouvre la porte à l'utilisation de l'équipe dans d'autres histoires. En 2019, le one-shot Wolverine & Captain America : Weapon Plus éclaire le lecteur sur les individus améliorés de l'univers Marvel, notamment sur la création des animaux de Brute Force, mais aussi sur l'existence d'autres super-animaux liés au programme Weapon Plus, comme Weapon II, l'écureuil qui possède les mêmes pouvoirs que Wolverine… Et oui, tout est possible dans les comics. Le sujet des animaux modifiés par la science est d'ailleurs assez vaste dans la bande dessinée américaine. Rien que chez Marvel, on pourrait parler de Rocket Racoon, ou des Power Pachyderms, une équipe pour le moins étonnante constituée d'éléphants exposés aux radiations d'une bombe atomique avant leur naissance et ayant développé des super pouvoirs. Un seul numéro de cette étrange parodie a été publié en 1989, et il figure sûrement sur la liste des armes de guerre interdites sur le site d'Amnesty International. Dans un genre beaucoup plus moderne, We3 de Grant Morrison et Frank Quitely fait écho à Brute Force en racontant comment un chien, un chat et un lapin sont transformés en machines de guerre hi-tech. Une brillante mini-série, aux thématiques très actuelles, dont je vous recommande chaudement la lecture. Si j'ai voulu vous parler de Brute Force, au-delà de son aspect déconcertant, c'est parce que cette série est la preuve que l'on peut réfléchir de plein de façons différentes sur la BD, même quand l'objet de cette réflexion paraît totalement idiot au premier abord. Malgré ses motivations mercantiles et sa combinaison aliénée d'idées contradictoires, la mini-série de Furman et Delbo lance quelques pistes qui ne sont pas intéressantes et restent très pertinentes trois décennies plus tard, d'autant plus quand on l'analyse avec un regard critique quant aux desseins initiaux de Marvel. Qui aurait pu s'en douter en 1990, quand ça semblait normal de donner un bazooka à un ours ? Avant de terminer, si les thématiques soulevées par Brute Force vous intéressent, je vous recommande d'aller faire un tour sur le blog de Ecologeek, une véritable mine d'or en la matière ! N'hésitez pas à partager cet article sur les réseaux sociaux s'il vous a plu !Recevez mes articles, podcasts et vidéos directement dans votre boîte mail, sans intermédiaire ni publicité, en vous abonnant gratuitement !Retrouvez le podcast POP CULTURE & COMICS sur toutes les plateformes d'écoute en cliquant ici ! 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Final Fantasy est l'une des plus grandes sagas de l'histoire du jeu vidéo, c'est un fait. Mais saviez-vous que bien avant Kingdom Hearts, Disney et Square se sont croisés pour un projet d'adaptation comme seule la bande dessinée américaine sait en proposer ? Aujourd'hui, on parle du comic book inachevé tiré de Final Fantasy ! Si le nom de Final Fantasy parle aujourd'hui à pratiquement tout le monde, ça n'a pas toujours été le cas. Lancée en 1987 au Japon, la licence va mettre un peu de temps pour se faire une place au-delà des frontières du pays du Soleil-Levant. Il faudra en effet attendre 1990 pour que le premier opus, sorti sur Nintendo NES, atteigne le marché américain, tandis qu'en France et en Europe, FFVII, sorti en 1997 sur Playstation, sera le premier épisode officiellement disponible, exception faite du spin-off Mystic Quest, sorti sur Game Boy en 1994. Bien que le premier épisode de la saga ai connu un succès non négligeable au pays de l'Oncle Sam, Final Fantasy II et III ne bénéficieront pas de localisation aux USA, et c'est ainsi que Final Fantasy IV, sorti en 1991 sur Super Famicom au Japon, est renommé Final Fantasy II pour l'arrivée de la cartouche Super Nintendo sur le sol américain la même année. Si vous avez suivi, c'est que vous êtes prêts pour la suite. Il n'est pas rare qu'une licence en vogue aux États-Unis, qu'il s'agisse d'un jeu vidéo, d'une ligne de jouets, d'un film, ou d'une série télé, ait droit à son adaptation sur le papier chez un éditeur de comics. Cette tendance est d'autant plus vraie à partir des années 1980, avec l'arrivée dans les rayons des comic shops de titres allant des Maîtres de l'Univers aux Transformers, en passant par Atari Force, G.I. Joe ou Cosmocats. Et il en va de même pour Indiana Jones, Alien, Predator, Robocop, et bien évidemment Star Wars, qui ont tous été convertis en comic book pour une durée plus ou moins longue, aux côtés d'autres franchises plus ou moins plébiscitées par les lecteurs, telles que Biker Mice from Mars, L'Agence Tous Risques, Double Dragon, The Real Ghostbusters, et même Chuck Norris Karate Kommandos… Si la qualité n'est pas toujours au rendez-vous, en démontre l'horrible Street Fighter chez Malibu Comics, c'est parce que, sans grande surprise, la motivation initiale est avant tout mercantile. En 1990, dans une démarche expansionniste, le groupe Disney Publishing Worldwide lance sa filiale Disney Comics, ayant pour objectif de continuer la publication de titres comme Uncle Scrooge ou Walt Disney's Comics and Stories ; déjà en cours depuis plusieurs années chez Gladstone Publishing, et avant ça chez Gold Key et Dell Comics ; et de lancer de nouvelles séries. Adepte d'une politique agressive, Disney Comics vise un développement un peu trop optimiste face à la réalité du marché en démultipliant les annonces de nouveaux labels, comme Hollywood Comics, qui aurait dû publier les adaptations en comic book des films produits par Hollywood Pictures, autre filiale de Disney. Mais Len Wein, co-créateur de Swamp Thing et de Wolverine, ne fait pas l'unanimité auprès des fans dans son rôle d'éditeur en chef de Disney Comics, et les ventes décevantes viennent rapidement saper les ambitions du groupe qui espérait pouvoir concurrencer Marvel et DC Comics dans la cour des grands. Ainsi, dès l'année 1991, une bonne partie des titres s'arrête et les projets de développement et autres labels, dont Hollywood Comics, sont abandonnés. Disney Comics disparaît pour de bon en 1993 et les séries survivantes sont de nouveau confiées à Gladstone Publishing. Un seul et unique titre aura été publié par Hollywood Comics : l'adaptation de Arachnophobia, film produit par Steven Spielberg. Mais il aurait pu en être autrement… En effet, voilà quelques années, le scénariste Kurt Busiek, célèbre pour son travail sur Marvels avec Alex Ross ou sur le crossover Justice League of America / Avengers avec le regretté George Perez, a révélé qu'il avait œuvré sur un projet pour le moins intriguant pour Hollywood Comics au début des années 1990 : l'adaptation en comic book de Final Fantasy. Pour remettre les choses dans leur contexte : Squaresoft avait pour idée de promouvoir la franchise auprès du public américain en s'appuyant sur une série de comics, et Kurt Busiek, déjà auteur depuis le début des années 1980, fut chargé de son écriture par Disney Comics qui, sans doute à la suite d'un jeu de rachats quelconque, avait obtenu les droits pour publier ladite série. À l'époque, le jeu vidéo est encore loin d'être une activité aussi démocratisée qu'aujourd'hui, de plus, seul le tout premier Final Fantasy est sorti aux États-Unis, et malgré un accueil favorable, il est évident que la popularité de la saga à travers le monde et la sacralisation de son lore ne sont en rien comparables à ce que nous pouvons connaître. Busiek commença donc à écrire une histoire prenant place dans l'univers du premier jeu, avant que Square ne demande finalement à l'auteur de totalement revoir sa copie pour placer l'intrigue dans l'univers de FFIV, dont la sortie est prévue au Japon et aux États-Unis pour l'année 1991. Un bon moyen de promouvoir la sortie de ce qui serait Final Fantasy II en Amérique du Nord. Après avoir reçu le maximum d'informations possible de la part de Square sur ce nouvel opus, Busiek se lance, et le scénario qu'il propose semble plaire au développeur nippon. Ce dernier, sûrement peu confiant quant à l'attrait des Américains pour le JRPG, considère que Busiek a les compétences pour rendre leur univers plus accessible aux USA et l'autorise même à “américaniser” le tout en renommant les personnages. La décision paraît douteuse, et presque suicidaire, à l'heure d'une Pop Culture mondialisée, mais elle est plutôt cohérente avec l'état d'esprit de l'époque. C'est l'artiste Dell Barras ; d'origine philippine, comme Alfredo Alcala ; fort d'un parcours de dessinateur, d'encreur et d'animateur, qui est choisi pour illustrer la série, tandis que Mike Mignola, qui deviendra mondialement célèbre en créant Hellboy, se chargera des couvertures de ce qui est initialement prévu comme une mini-série de quatre numéros. Mais lorsque Disney Comics frôle la banqueroute et abandonne le label Hollywood Comics, le projet Final Fantasy est mis au placard. Busiek estime qu'il avait sûrement terminé l'écriture de deux ou trois des quatre épisodes prévus, et que Barras avait dessiné au moins un numéro complet. Malheureusement, à l'exception d'un dessin promotionnel et de deux couvertures par Mignola, il ne subsiste aucun autre visuel connu de ce projet à ma connaissance. Est-ce une mauvaise chose ? Les adaptations de films ou de jeu vidéo en comics sont, il faut l'avouer, souvent médiocres, et les quelques exceptions qui vous viennent en tête ne font que confirmer cette règle immuable. Busiek n'avait de toute évidence pas pu jouer à Final Fantasy IV pendant qu'il écrivait son histoire, et si Square lui avait confié une bible de références pour lui permettre de travailler dans des conditions optimales, les libertés qu'on avait pu lui laisser pour adapter l'univers aux attentes du public occidental d'alors seraient sans doute très mal interprétées par les puristes d'aujourd'hui. Quand bien même on pourrait découvrir le premier épisode quasi-finalisé de cette mini-série, on ferait face à un pur objet de son époque, qui n'aurait aucun intérêt de nos jours, si ce n'est de provoquer quelques malaises dans l'assistance. Kurt Busiek, qui aurait pu rejoindre Squaresoft afin de participer à l'adaptation des prochains jeux Final Fantasy en occident, va finalement continuer sa carrière de scénariste de comics chez Marvel, avec le succès qu'on lui connaît. Comme quoi, un peu comme dans les RPG, l'avenir ne tient parfois qu'à une décision prise au bon moment… Final Fantasy IV arrive en novembre 1991 aux USA ; sous le titre de Final Fantasy II, donc ; dans une version légèrement modifiée. Les références religieuses sont gommées, tandis que l'ensemble est édulcoré pour éviter de choquer un jeune public, et la difficulté des combats est même revue à la baisse. Le soft restera une référence du jeu de rôles sur console, notamment pour son introduction du système Active Time Battle, qui pousse le joueur à rester impliqué pour avoir le meilleur timing durant les séquences de combat. Malgré le succès durable de la saga, il est assez étonnant de voir que là où des licences de fantasy comme Magic The Gathering, The Witcher ou Donjons & Dragons ont eu droit à de multiples versions plus ou moins pertinentes et réussies sur le papier, plus jamais aucun éditeur américain n'a tenté d'adapter Final Fantasy en comics. Il est probable que cela découle de la volonté de Square Enix de garder le contrôle sur la marque et de limiter les produits dérivés douteux pouvant dégrader l'image de sa poule aux œufs d'or auprès d'une communauté de fans aussi fidèles qu'exigeants. Enfin, à l'heure où l'hégémonie de Disney sur la culture populaire est plus affirmée que jamais, il est bon de se rappeler que cet empire du divertissement a aussi connu de véritables revers au cours de son existence. Si, à la même période, Valiant Comics, Dark Horse, ou Image Comics ont su profiter d'un contexte né de l'arrivée d'une nouvelle génération d'auteurs et d'une bulle spéculative à son paroxysme, Disney a littéralement raté le coche, son échec devançant de plusieurs années l'effondrement du marché de la bande dessinée américaine. Quand on sait que la multinationale a actuellement la main sur une partie des plus grandes licences de la planète, y compris celles de Marvel Comics, il y a de quoi trouver ça plutôt amusant… N'hésitez pas à partager cet article sur les réseaux sociaux s'il vous a plu ! Recevez mes articles, podcasts et vidéos directement dans votre boîte mail, sans intermédiaire ni publicité, en vous abonnant gratuitement ! 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Produite au Japon, cette série est arrivée en France en avril 1984 sur TF1, dans l'émission Vitamine. Le premier générique n'est pas forcément le plus connu car il a été remplacé deux ans plus tard par un second, toujours en place aujourd'hui. Les paroles sont de Jean-Pierre Jaubert (Arnold et Willy, Spectreman, Cosmocats) et la musique de Kussa et Robin Mannix, des pseudonymes derrière lesquels se cachent deux cadors des génériques : Haim Saban et Shuki Levy...
Déjà 25 ans qu'il nous a quittés ! Jean-Claude Corbel était l'interprète d'Olive et Tom, des chansons des BeeHive, de Cosmocats, La Bande à Picsou et de nombreux autres génériques de dessins animés, mais pas seulement. Il a aussi fait des doublages (LeFou dans La Belle et la Bête), de la pop, du lyrique... Il a accompagné de nombreux artistes en concert ou en studio. Jean-Claude Corbel méritait bien qu'on lui consacre une émission spéciale afin de revenir en détail sur cet immense talent de la musique parti trop tôt.
Cosmocats (Thundercats) est une création américaine qui arrive en France en septembre 1986 dans Récré A2. Calqué sur la version américaine, son générique est interprété par Jean-Claude Corbel...
Un appartement caché derrière un miroir à NYC ; Un Hammam planqué dans un bar à Séville ; Encore de l'ambre gris qui traine ; Un bol acheté 35 balles dans une brocante expertisé un demi-million ; Deux amies qui au bout de quelques années découvrent qu'elles sont… frangines ; Une femme qui accouche dans un train, pour la deuxième fois, aidée par le même contrôleur ; Un étudiante joue les même numéros à l'Euromillions, ce sont les siens qui sortent pour le jackpot de 210 millions… Évidemment elle a oublié de les jouer ce jour-là ; Un mouton punk en Australie a été tondu : 35 kg de laine ; une bande de crocodiles en fuite ; Un avion obligé de faire demi-tour suite à une attaque de chat dans le cockpit ; Des gorilles vaccinés contre la Covid-19 ; Zlatan qui fait du stop ; Un homme qui a force de faire des abdos en Chine provoque une énorme coupure de courant ; Pénurie de poireaux au Pays de Galles pour la fête nationale ; Un joggeur qui fuit la police à la nage ; Un paysan arrêté en tracteur sur l'autoroute par les gendarmes remonte dessus et défonce des véhicules de pandores avec son engin ; Un braqueur arrêté à cause d'une cagoule mal mise ; Un cambrioleur arrêté en flag dans le lit du maître de maison qu'il venait cambrioler ; des CHiPS qui stoppent un véhicule avec un mannequin utilisé sur les voies de covoiturage ; Un coureur nu dans les rues de Londres ; Huit diplomates russes quittent la Corée du Nord en poussant un chariot ferroviaire ; Un chirurgien veut être jugé à distance depuis sa salle d'opérations en pleine intervention, voici les Infos Insolites de la semaine. Merci à Walt et Blanche Neige, Marc Snow, Harry Potter, Louis de Funès et André Bourvil, Berthe Sylva, Clara Luciani, la SNCF, Tom Novembre, Annie Cordy (encore avec Bourvil), les Nonnes Troppo, Daniel Balavoine, OSS 117, les Cosmocats, Georges Brassens, Gym Tonic, Alexandre Astier et Provençal le Gaulois, Alerte à Malibu, des rugbyman anonymes, Fatal Bazooka, Valérie Lemercier (2 fois), ChIPS, Benny Hill, Ferrero Rocher, Michel Fugain et toute la presse, nationale, locale, les radios périphériques et les agences (AFP et Reuters). Merci. (Tous les extraits sonores sont utilisés ici gratuitement soit à titre de citation dans un but d'illustration, de parodie et très rarement sérieusement – comme ce podcast qui est lui aussi gratuit, illustratif, peu sérieux quoique sourcé et non monétisé. Si ça embête un ayant-droits qu'il n'hésite pas à me contacter.) Contact baltique chez gmail.
Nouvelle histoire et l’on retrouve aujourd’hui nos dessins animés cultes avec Cosmocats (Thundercats), série qui a fait les beaux jours de Récré A2 en 1986. C’est quoi Cosmocats ? Les Cosmocats, une poignée d’extraterrestres aux... Cet article La loi des séries s’la raconte : Cosmocats | La loi des séries #219 est apparu en premier sur VL Média .
[POPCAST #41]PopCie poursuit ses émissions réalisées "à la maison" et vous propose un épisode sur la plus noble de toutes les armes, celle qui peut faire d'un écuyer un roi de légende, j'ai nommé... l'épée ! Au programme de cette émission (enfantée dans la douleur) : • Portrait de l'épée à travers les âges et les arts (l'occasion idéale pour parler de musique metal).https://www.senscritique.com/liste/Il_y_a_une_epee_sur_la_pochette_de_l_album/2526146 • On voulait combiner le thème du chat avec celui de l'épée. On pensait que c'était impossible, et soudain est apparu COSMOCATS !https://www.senscritique.com/serie/Cosmocats/179257 • Parce qu'une seule épée ne suffit pas, on vous parle de SEVEN SWORDS de Tsui Hark. Une découverte épique et flamboyante de la Chine du XVIIème sièclehttps://www.senscritique.com/film/Seven_Swords/378818 PopCie revient le mardi 7 juillet, 18h30, sur Ouest Track Radio, avec un nouveau sujet tout beau, tout pop'. Et promis, on essaiera d'être en forme !
RADIO CROCHET - Interview Jean-Claude CorbelPrésenté par Jean-Michel RoquetDate de diffusion : le 30 juin 1991Invité : Jean-Claude Corbel interprète de chansons de génériques de dessin animés : Olive et Tom, La Bande à Picsou, Winnie l'Ourson, Cosmocats, Embrasse-moi Lucile...Retrouvez d'autres souvenirs de SUPERLOUSTIC sur https://www.SUPERLOUSTIC.COM. Page Facebook : https://www.facebook.com/pages/SUPERLOUSTICCOM/194910140597545 Twitter : https://twitter.com/superloustic2 YouTube ; https://www.youtube.com/user/radioloustic Instagram : https://www.instagram.com/superloustic Google+ : https://plus.google.com/109059063773589196742
Ma petite chronique bimestrielle sur Proxi-Jeux, où je parle de vieilles série des années 80 / 90 et de la façon de les retranscrire en jeu de rôle. Dans cet épisode je vous propose de revivre les Cosmocats...
D-Clic JDR Nostal'JDR #3 - Cosmocats Play Episode Pause Episode Mute/Unmute Episode Rewind 10 Seconds 1x Fast Forward 30 seconds 00:00 / Subscribe Share Apple Podcasts Google Podcasts Spotify RSS Feed Share Link Embed Ma petite chronique bimestrielle sur Proxi-Jeux, où je parle de vieilles série des années 80 / 90 et de la façon de les retranscrire en jeu de rôle.Dans cet épisode je vous propose de revivre les cosmocats...
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Ma petite chronique bimestrielle sur Proxi-Jeux, où je parle de vieilles série des années 80 / 90 et de la façon de les retranscrire en jeu de rôle. Dans cet épisode je vous propose de revivre les Cosmocats...
Ma petite chronique bimestrielle sur Proxi-Jeux, où je parle de vieilles série des années 80 / 90 et de la façon de les retranscrire en jeu de rôle. Dans cet épisode je vous propose de revivre les Cosmocats...
Ah… Cette madeleine de Proust cinématographique… Comme votre T-Shirt Pyjama de nuit suédé à l’effigie de StarLion des Cosmocats : votre moitié le déteste, il doit bien sûr aller à la poubelle, mais vous ne pouvez pas vous y résoudre… Eh bien, comme ce T-Shirt, il existe des films que tout le monde déteste et hurle au scandale haut et fort, ça se trouve, vous faites partie de la troupe (lâche!) mais que vous chérissez, bichonnez secrètement au fond de votre petit cœur d’artichaut.. Où il est question d’un véritable lynchage sur la scène publique, d’une horde de hyènes qui arrachent sans retenue les membres d’un fan de Night Shyamalan (âmes sensibles s’abstenir – Elie Roth a indiqué ne pas avoir supporté l’écoute de ce passage), mais également, de loups qui font des pactes, de matrices a n dimensions (avec n tendant a l’infini, évidemment), de dunes épicées aux serpents de sables, de jumeaux, d’arbres de vie qui poussent sans qu’on ne comprenne rien. Bref, du bon, du chaud, du gruau ! Au sommaire de notre épisode : - | 00:00: Ouverture sur une préparation vengeance… bien étrange… | 01:17: Début de l’épisode avec notre invité spécial, OLIVIIIIIIIIERRRR !! | 03:10: Petit tour de table sur qui fait quoi – des bulots, du latex, de la bière et de la gravure sur verre. | 05 :35 : Olivier nous pitch le thème du jour, une belle idée pleine d’espoir qui va finir en bain de sang… | 06:00: Début du lynchage Night Shyamalan – je ne sais pas si vous avez vu la video Youtube d’un chaton qui se fait noyer… eh bien cette séquence est bien pire. | 06:44: Film – 6e Sens, de N. Shyamalan, ou le calme avant la tempête, un bon film, belle photo. | 09:54: Film – Incassable, de N. Shyamalan, début de grincement de dents pour un beau film sur la genèse des super-héros. | 11:58: Film – Signs, de N. Shyamalan, bon, alors là, bataille de bouffe, ça lance du steak dans tous les sens. | 15:22: Film – La jeune fille de l’eau, N. Shyamalan, petit trou Normand pour une histoire inter-dimensionnelle. | 18:08: Film – Split, de N. Shyamalan, toi, plus moi, plus lui, plus elle, plus 20 autres personnalités. | 19:16: Film – Glass, de N. Shyamalan, le cross-over de Split + Incassable. | 20:11: Film – Matrix Reloaded et Matrix Revolution – ou regarder un film et se faire enlever pour son enterrement de vie de garçon. | 30:49: Combats de Non / Si – et le si gagne… | 32:20: Film – Le Pacte des loups de Christophe Gans - un film FRANÇAIS MONSIEUR ! Des loups, des artistograves, du kung-fu et de la tisane qui fait rêver. | 35:34: Film – Twins, de Ivan Reitman – qui a fait Ghostbusters ! - où mettre Danny De Vito et Shwarzy dans le même ventre maternel. | 40:00: Film – Tree of Life de Terrence Mallick – un arbre, la vie, des dinosaures… | 44:14: Film – Dune de David Lynch – ou voir Sting qui joue du couteau dans un univers qui dépasserait Star Wars ?! | 53:27: Fin de l’épisode avec une magnifique réinterprétation de l’univers Matrix ! Et donnez-nous vos recommandations dans les commentaires ou en nous écrivant sur sjpmp@outlook.com Site Web – https://sijepeuxmepermettre.com Facebook – https://www.facebook.com/sijepeuxmepermettre Twitter – https://www.twitter.com/sijepeuxmeperme Instagram - https://www.instagram.com/podcast_sjpmp/ Grosses bises et bonne écoute ! -- Crédits – Parce qu’il en faut ! The Hunger Artist by Circus Homunculus Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 License. Lien: http://freemusicarchive.org/music/Circus_Homunculus/Recordings_1915_-_1931/07_The_Hunger_Artist RSPN by Blank & Kytt Creative Commons Attribution License Lien: http://freemusicarchive.org/music/Blank__Kytt/Heavy_Crazy_Serious/Blank__Kytt_-_Heavy_Crazy_Serious_-_08_RSPN Projecteur Cinéma (35mm, Kinoton, FP30) par le fantastique Joseph Licence Creative Commons BY 4.0 Lien: https://lasonotheque.org/detail-0071-projecteur-cinema-35mm.html
Avant-dernier PodCast avant les grandes vacances :) Beaucoup de nouveaux projets à l'étude avec radio-Animes.net. Je remercie énormément Thierry Benard qui m'a donné un gros coup de main avec certaines pistes dysfonctionnelles niveau volume sonore, mais aussi pour certains montages ;) Dans ce nouveau numéro, nous partons pour l'espace avec le Capitaine Flam, On voyagera jusqu'à la planète Thundera avec les Cosmocats, puis on ira voguer sur la Tamise Avec Metantei Holmes et on finira avec le Tie-Up de Sakura Wars et son opening "Geki_Teikoku-Kagekidan" et encore une petite surprise à la fin :p Nous avons aussi un invité d'honneur en tout début d'émission ! N'ayez pas peur de lui il fait plus pitié qu'autre chose ! Les Chroniques ! Captain Future Original Sound Trackキャプテンフューチャー オリジナル・サウンド・トラック -完全盤-Catalog Number COCX-31686~7Release Date Oct 20, 2001Compositeur : Yuji OhnoGroupe Musical: Yuji Ohno & Galaxy ThunderCats (Cosmocats)Reconstruction par des fans en 26 pistesCréation en 1985Compositeur : Bernard Hoffer Sherlock Hound Original Soundtrack名探偵ホームズ・オリジナル・サウンドトラックMeitantei Holmes Original SoundtrackRef. : 32ATC-102Date de sortie : 25/06/1985Compositeur : Kentaro Haneda The Holmes Collection名探偵ホームズ・コレクションMeitantei Holmes CollectionRef. : TKCA-30116Date de sortie : 25/07/1990Compositeur : Kentaro Haneda TIE UP DU MOIS SAKURA WARS (Sakura Tansei) Geki! Teikoku Kagekidan (Sakura Wars OVA ~Ouka Kenran~)