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La tension monte entre Washington et Caracas. La semaine dernière, les États-Unis ont envoyé dans les Caraïbes trois destroyers lance-missiles et 4 000 marines et, en réponse, Nicolas Maduro a annoncé, mardi, poster plus de 15 000 hommes, mais aussi des navires et des drones au large des côtes vénézuéliennes et colombiennes. Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino López, a précisé les contours de cette opération en tenue militaire. Dans une vidéo sur Instagram, devant une carte géante du Venezuela, il pointe les zones où seront déployés des moyens conséquents. « Il y aura un déploiement important de couloirs aériens, d'hélicoptères, de moyens d'écoute, de surveillance, de renseignement, d'exploration. (...) Nous allons également déployer un nombre important de drones pour différentes missions, des points d'attention citoyenne, des points d'exploration et de surveillance, des points ou des parcours fluviaux avec l'infanterie marine, sur tous les fleuves, en particulier le Catatumbo qui se jette dans le golfe du Venezuela. Nous sommes convaincus que cela donnera d'excellents résultats », a-t-il déclaré. Dans un éditorial, Tal Cual, un des rares médias de l'opposition, critique la « rhétorique anti-impérialiste ronflante et trompeuse » du régime et parle de « farce patriotique » de Maduro, « en réponse à l'opérette militaire caribéenne du duo Trump-Rubio ». Selon le media en ligne, l'autodétermination vantée par Maduro est « un alibi politique pour perpétuer des projets autocratiques »... Et pendant ce temps, les « Vénézuéliens restent prisonniers d'un labyrinthe sans issue, sans boussole et sans horizon pour surmonter la crise ». Interview de Thomas Posado, maître de conférences en civilisation latino-américaine à l'université de Rouen Normandie. Il a publié Venezuela : de la Révolution à l'effondrement (Presses universitaires du Midi). À lire aussiÉtats-Unis : Donald Trump envoie trois navires de guerre près des côtes du Venezuela En Haïti, les églises sont désertées à cause de la violence des gangs Comme le raconte Alterpress, en Haïti, « le simple fait de prier dans une église relève du privilège ». L'agence en ligne a interviewé le Père Brillère Aupont, auteur d'un rapport sur le recul de la présence catholique. Il y déplore que de nombreuses paroisses soient totalement ou partiellement abandonnées. Le média liste celles de Port-au-Prince, quartier par quartier, et explique que certaines ont dû réduire ou interrompre leurs activités quand d'autres sont passées sous contrôle des gangs. L'homme d'Église résume : « Le désordre est devenu incontrôlable. Quarante ans d'instabilité sont à la base de ce chaos. Les enfants d'aujourd'hui sont les enfants du chaos. » Aux États-Unis, 20 ans après l'ouragan Katrina 180 fonctionnaires de l'Agence fédérale de gestion des situations d'urgence, la FEMA, dénoncent dans une lettre les dysfonctionnements de cet organisme gouvernemental chargé des grandes catastrophes naturelles. Ce qui a valu à une partie d'entre eux d'être sanctionnés. Oui, ce mardi, 12 des 180 signataires ont été mis à pied, au lendemain de l'envoi de cette lettre aux membres du Congrès et à d'autres responsables. Ils y dénoncent l'inexpérience des dirigeants actuels qui « nuit à la mission de la FEMA et pourrait entraîner une catastrophe du niveau de l'ouragan Katrina », relate le Washington Post, pour qui cette « résistance ouverte (...) est le dernier exemple en date de fonctionnaires fédéraux dénonçant les actions et les politiques de l'administration Trump, mettant souvent leur emploi en péril ». La plupart des signataires sont restés anonymes, mais ceux qui ont été temporairement évincés ont signé avec leurs vrais noms... Sur la chaîne CNN, Virginia témoigne. Elle dit être « déçue, mais pas surprise », et « fière de ceux qui ont réagi ». Pour elle, « le public mérite de savoir ce qui se passe, car des vies et des communautés en pâtiront si cela continue ». Début juillet, lors des inondations monstrueuses qui ont ravagé le centre du Texas et fait 135 morts, la FEMA avait tardé à intervenir à cause d'une baisse des budgets et des moyens qui lui sont alloués. Du glamour et des paillettes Les réseaux sociaux ne parlent que de ça depuis ce mardi soir : les fiançailles de Taylor Swift et Travis Kelce, et la presse généraliste n'y est pas non plus indifférente… Même le très sérieux Washington Post analyse les moindres détails des fiançailles des deux célébrités. Deux journalistes du quotidien commentent les cinq photos du couple publiées sur Instagram, la bague en diamant, la robe de Taylor Swift et le décor composé de fleurs roses… Selon elles, « peu de fiançailles de célébrités dans l'histoire moderne, hormis celles des membres de la famille royale (...) peuvent interrompre l'actualité comme celle-ci ». USA Today va jusqu'à y consacrer une édition spéciale de huit pages. Elle retrace l'histoire d'amour entre la chanteuse et le joueur de football américain et relaie les félicitations qui ont plu du monde entier de la part de leurs proches, des fans… et de Donald Trump ! Le président américain leur a souhaité « bonne chance », lui qui dénigrait violemment la chanteuse il y a encore quelques mois. Journal la 1re En Guadeloupe, une association appelle à observer ce jeudi une minute de silence pour dire « non » aux violences faites aux femmes. En Martinique, 18 parcelles expérimentales de café arabica sont pilotées par le Parc naturel régional, à Saint-Pierre.
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Conversamos con Andrea Insunza y Javier Ortega, directores de la productora periodística “Un Día en la Vida”, sobre su nuevo libro “Enrique Correa. Una biografía sobre el poder”, editado por la colección “Tal Cual” de “Periodismo UDP y Catalonia”.
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À Port-au-Prince, l'enrôlement des enfants dans les gangs inquiète. Selon plusieurs rapports d'organisations locales et internationales, entre 40 et 50 % des membres des groupes armés sont des mineurs vulnérables. Une triste réalité qui pourtant prend de l'ampleur face à la passivité des autorités en place. C'est un reportage de notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. À Port-au-Prince, et dans plusieurs quartiers populaires, les enfants sont de plus en plus nombreux à rejoindre les rangs des gangs armés. Une situation inquiétante que dénonce Shelve Bély, coordinateur du bureau national de défense des droits des enfants et des femmes. « Les gangs armés, dans leur volonté de grossir leurs rangs, recrutent des enfants en bas âge. Ils leur font croire que le gang représente leur avenir, alors que ce n'est pas vrai. Ce sont des enfants qui devraient être à l'école. Les bandits leur font croire que, lorsqu'ils ont une arme en main, ils sont des chefs. Pourtant, ils ne font que détruire leur avenir en les poussant à tuer des innocents. »Les enfants considèrent les chefs de gang comme des modèlesSelon Lucmane Sainril, président de l'Initiative citoyenne pour la défense des droits des enfants, dans certains ghettos, les chefs de gangs sont devenus les principaux modèles pour les enfants. « Ces enfants des ghettos ne voient rien d'autre que les armes. Chaque jour, ils côtoient les gangs, qu'ils considèrent parfois comme leurs propres parents. Ils n'ont pas d'autres modèles que ces chefs de gangs qui manipulent des millions chaque jour et circulent à bord de voitures luxueuses. Déjà fortement influencés, il est très difficile pour ces enfants de penser à l'école, alors même qu'on dit souvent que l'école, c'est l'avenir. » Si certains enfants et adolescents sont attirés par les gangs, d'autres y sont pourtant contraints. Dans certains cas, des parents épuisés et démunis n'ont ni les moyens ni l'autorité nécessaires pour empêcher leurs enfants d'y entrer.Selon les chiffres de l'Unicef ou d'ONG comme Save the Children, le nombre d'enfants qui sont membres de gangs en Haïti avoisine les 50 %. Comment protéger les mineurs du recrutement dans les gangs alors que ceux-ci contrôlent 85 % de la capitale ? Comment libérer et réintégrer les enfants enrôlés alors que 700 000 personnes sont déplacées à cause de l'insécurité ? Autant de questions qui restent toujours sans réponse de la part du gouvernement haïtien, selon notre correspondant Peterson Luxama.La Chine renforce sa présence économique en Amazonie avec ses « nouvelles routes de la soie »Depuis plusieurs années, la Chine étend ses « nouvelles routes de la soie » jusqu'en Amérique du Sud, avec en vitrine le port de Chancay au Pérou, inauguré en 2023. Mais c'est en Amazonie brésilienne que se joue un projet d'une toute autre envergure : Pékin cofinance un vaste réseau de routes terrestres et fluviales pour acheminer plus rapidement soja, minerais et métaux rares vers le Pacifique. Pour l'économiste Rubia Wagner, de l'Université fédérale de Rio de Janeiro, « la stratégie d'approvisionnement de la Chine ne sera complète que si les Chinois contrôlent aussi la logistique ».Cinq grands axes sont en projet, dont la « route Amazone », censée relier Manaus à plusieurs ports du littoral pacifique. Le projet Arco Norte, lui, vise à connecter les fermes du nord du Brésil – qui produisent près de 70 % du soja du pays – à ce réseau. Routes bitumées, chemins de fer, ports fluviaux : les travaux nécessitent une déforestation massive. « Il n'y a pas d'études sur les impacts pour les communautés autochtones ni d'évaluations environnementales claires », alerte Rubia Wagner, qui s'inquiète aussi de la prolifération des activités illégales le long de ces nouvelles voies.Malgré les alertes, le gouvernement de Lula soutient pleinement ce projet, qu'il considère comme un levier de développement. Selon Rubia Wagner, « Lula est surtout préoccupé par la croissance économique. Ces plans de routes datent de la dictature. La Chine ne fait que s'y insérer, car tout était déjà prêt. » Pékin a investi plus de 66 milliards de dollars au Brésil en dix ans, en grande partie dans l'énergie, l'extraction et les infrastructures. Pour l'Amazonie, le coût environnemental de ce partenariat est encore difficile à mesurer — mais il pourrait être irréversible, estime la spécialiste.À lire aussiLa Chine développe aussi ses «nouvelles routes de la soie» dans l'Amazonie brésilienneCinq opposants vénézuéliens exfiltrés vers les États-UnisIls étaient réfugiés à l'ambassade d'Argentine à Caracas. Ils sont désormais en sécurité aux États-Unis. C'est le secrétaire d'État Marco Rubio qui a annoncé la nouvelle, saluant ce qu'il appelle « une opération réussie » et qualifiant les exfiltrés de « héros de la démocratie ». Mais les circonstances de leur départ restent floues. Le Miami Herald s'interroge sur la possibilité d'un accord tacite avec le régime Maduro ? Côté chaviste, la chaîne Telesur affirme qu'un sauf-conduit a bien été négocié avec les autorités. Pour le site indépendant Tal Cual, cela pourrait être de la propagande. Il évoque une toute autre version : selon ses sources, le départ des opposants aurait été préparé en toute discrétion, en plusieurs étapes, grâce à des complicités à l'intérieur de l'administration. L'annonce officielle n'aurait été faite que lorsque tout le monde était déjà sain et sauf aux États-Unis. Selon Tal Cual, le gouvernement de Nicolás Maduro aurait été pris de court par cette exfiltration.L'administration Trump veut effacer certains récits liés à l'histoire raciale des États-Unis. C'est à lire dans le New York Times. Le gouvernement s'en prend notamment aux musées consacrés à l'histoire des Noirs. Un exemple symbolique : la Whitney Plantation, en Louisiane. Elle a vu une subvention fédérale lui être retirée, avant d'être rétablie. Un décret signé en mars par Donald Trump demande de « purger » les institutions culturelles des « idéologies inappropriées ». Une formule qui inquiète la communauté afro-américaine. Certains y voient un langage orwellien. Le Musée national de l'histoire et de la culture afro-américaines, lui, dément toute pression politique, même si des rumeurs circulent. Et dans le projet de budget 2026, plusieurs aides financières essentielles aux musées sont appelées à disparaître. Face à cela, des historiens, des conservateurs rappellent que l'histoire noire est une part fondamentale du récit américain. Mais certains intellectuels afro-américains soutiennent la démarche de Donald Trump : selon eux, revenir sans cesse sur les blessures du passé ne fait qu'alimenter les divisions.Journal de la 1ère2024, une année « à oublier » pour l'économie martiniquaise.
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Les compartimos la meditación del Evangelio de hoy tomado de San Lc 18, 9-14.Para más recursos para encontrarte con Dios en la oración, visita nuestra página web www.meditaciondeldia.com o síguenos en Instagram @meditaciondeldia_ y compártenos tu opinión!Conviértete en donante de Meditación del Día en este enlace: https://bit.ly/DonarMdD Santa María Reina de los Apóstoles, enséñanos a orar.Este podcast es parte de JuanDiegoNetwork.com
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Deux jours de cauchemar, écrit le Los Angeles Times, mais la ville n'en a pas fini et se prépare à plusieurs jours encore d'incendies. Des vents très forts, des flammes immenses ont déjà fait des dégâts considérables, laissé des centaines de personnes sans-abri et causé la mort de cinq personnes. Les vents avaient légèrement baissé ce jeudi en début de journée, raconte le correspondant de RFI aux États-Unis, Guillaume Naudin. Mercredi soir, les flammes ont atteint les collines situées au-dessus du célèbre quartier de Hollywood, qui a été évacué. Elles menacent également Pasadena. 130 000 personnes ont été évacuées. Le président Joe Biden, qui était en déplacement à Los Angeles, s'est rendu auprès des pompiers. Et il a annulé son voyage en Italie, qui devait être le dernier de son mandat, pour superviser la réponse fédérale aux incendies.« Un mur de flammes alimenté par les vents consume les enclaves de L.A. », titre le New York Times, au-dessus d'une photo du quartier de Pacific Palisades, une photo d'arbres tordus par les vents ou en feu, une photo rendue orange, un orange intense, par la lueur des flammes. Le New York Post résume la situation : « Hell.A. », jeu de mot sur Hell (Enfer), L.A. (Los Angeles). « Apocalypse Los Angeles », renchérit le Washington Post. Mercredi soir, deux nouveaux feux sont apparus, dont l'un a provoqué, écrit le LA Times, des évacuations « chaotiques » près du quartier d'Hollywood. Deux feux sur lesquels ont été envoyés des pompiers déjà épuisés, souligne le quotidien.Des pompiers qui ont manqué d'eau pour combattre le feu : à trois heures du matin mercredi, tous les réservoirs d'eau du quartier de Pacific Palisades étaient à sec, ce qui, écrit le LA Times, a réduit le débit des bouches d'incendie situées en hauteur. « La demande était énorme dans le quartier, quatre fois plus que la normale, ce qui a fait baisser la pression de notre système », a expliqué le directeur général du département de l'eau et de l'électricité de Los Angeles.À lire aussiIncendies en Californie: Los Angeles cernée par les flammes, le centre d'Hollywood évacuéPolémiquesMais le président élu Donald Trump affirme que le manque d'eau est dû au gouverneur démocrate Gawin Newsom : « J'ai essayé de convaincre Gavin Newsom de laisser l'eau arriver sur place, mais il l'envoie dans le Pacifique pour sauver un petit poisson appelé "éperlan", qui en plus habite ailleurs, et à cause de cet éperlan ils n'ont plus d'eau. » Une polémique qui désole le principal intéressé, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom : « Je ne trouve même pas de réponse à cela. Les gens doivent littéralement s'enfuir, d'autres ont perdu la vie (…), et lui, il cherche à politiser tout cela. »Autre polémique : des véhicules bloqués par des bouchons au moment d'évacuer. Le New York Times parle d'une « évacuation catastrophique en préparation depuis des années » : « Les habitants de Pacific Palisades demandent depuis longtemps que l'on accorde plus d'attention à la préparation aux incendies qui frappent la région avec une fréquence et une férocité de plus en plus grandes. » Une résidente interrogée par le quotidien rapporte qu'à une réunion, on leur a dit que les itinéraires d'évacuation devraient être déterminés au moment de l'incendie. Résultat : des résidents qui tentent de fuir les feux et se retrouvent bloqués dans des voitures qu'ils doivent finalement abandonner, et qui seront à moitié détruites par les bulldozers venus libérer le chemin pour les équipes de secours.Manifestations ce jeudi au VenezuelaAu Venezuela, le président Nicolas Maduro doit prêter serment pour un troisième mandat consécutif ce vendredi. L'opposition, qui affirme que son candidat a remporté la présidentielle de juillet dernier, appelle à une grande manifestation ce jeudi. « C'est fini. Demain, nous nous serrerons tous dans nos bras », veut croire la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado, reprise par El Nacional. El Nacional qui écrit dans son éditorial : « Il est temps de nous engager jusqu'à la moelle de nos os à changer de politique, à restaurer la démocratie, à faire fleurir la liberté. » Mais au Venezuela, écrit Tal Cual, « la reconquête de la démocratie semble plus un idéal lointain qu'une réalité atteignable ». Tal Cual qui dans son éditorial rappelle – quand même – que « le destin n'est pas écrit ». Pendant ce temps, rapporte Ultimas Noticias, la vice-présidente affirme que l'opposition s'est associée à « des réseaux internationaux de trafiquants de drogue, de pédophiles et d'assassins, qui distillent la saleté » pour continuer à nuire au pays.Haïti : l'argent liquide manque en provinceFrantz Duval, le rédacteur en chef du Nouvelliste, revient sur un problème récurrent et quotidien pour les Haïtiens : la difficulté à trouver de l'argent liquide hors de la capitale, un argent liquide d'autant plus important qu'il n'y a quasiment pas de moyens de paiement alternatif dans les villes de province. Comme les routes principales sont bloquées, les bateaux attaqués en mer et qu'il n'y a pas de circuit aérien reliant la capitale et les autres villes, les banques ne peuvent pas transférer de montants importants en cash aux banques de province. En province, où il y a donc un rationnement sur les retraits, or « les gens ont besoin de cash ».Enquête sur Camisea, un des plus grands projets gaziers en Amérique latineGros plan sur l'un des plus grands projets gaziers en Amérique latine : Camisea. C'est un gisement de gaz situé dans le sud-est du Pérou, au cœur de la forêt amazonienne. Chaque année, ce consortium de six entreprises en extrait près de 14 milliards de mètres cubes de gaz.À écouter aussiCamisea, promesses et désillusions du gaz amazonienCette exploitation gazière fait l'objet de recherches menées par nos confrères de France 24 et le média d'investigation Disclose. RFI s'y est associée – à lire sur le site internet de RFI une série d'articles, « La ruée vers le gaz ». Objectif : comprendre le fonctionnement de ce site gazier et l'implication des banques françaises dans le secteur. Stefanie Schüler a interrogé le journaliste Alexander Abdelilah, qui s'est rendu sur le site de Camisea. Il lui a entre autres expliqué que l'impact de l'extraction gazière sur cet écosystème fragile est en théorie contrôlé, entre autre, par des structures « dont la nature nous a surpris » : des structures de type associatives, mais financées par les entreprises qu'elles sont censées contrôler.Le journal de la PremièreUn an après sa signature, le « contrat territorial de prévention et de sécurité » a fait l'objet d'une première évaluation en Martinique…
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