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« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Cette semaine, Valérie Fayolle reçoit l'autrice Fatou Diome. Elle nous parle de son dernier roman "Aucune nuit ne sera noire", paru aux éditions Albin Michel, un récit tendre et intime en hommage à son grand-père. Et puis, direction le grand magasin Le Bon Marché - Rive Gauche, pour découvrir la dernière création du chorégraphe Mourad Merzouki, "Babel". Enfin, notre coup de cœur avec la chanteuse Imany, qui fait son retour avec un cinquième album engagé, " Women deserve rage".
Invité : - Professeur Jean-Philippe Spano, Chef du Service d'Oncologie Médicale Pitié Salpêtrière AP-HP Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Antonin André, journaliste politique au JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Guinée, plus d'un an après le procès des accusés du massacre du 28 septembre 2009, et ce verdict historique qui a vu la condamnation de huit personnes, dont l'ex-président Moussa Dadis Camara à vingt ans de prison pour crimes contre l'humanité, les familles de victimes réclament d'urgence l'ouverture du procès en appel. Pour l'heure, seuls 334 sur plus de 700 victimes recensées ont été indemnisés, tandis que le principal accusé Dadis Camara a bénéficié d'une grâce et a quitté le pays. Notre correspondante s'est rendue dans les locaux de l'association des Victimes Parents et Amis du massacre du 28 septembre 2009, à Conakry. De notre correspondante en Guinée, Plongée dans le jugement du 31 juillet 2024, un document de près de trois cents pages. Asmaou Diallo, qui dirige l'Association des Victimes Parents et Amis du massacre du 28 septembre 2009, est perplexe. Sur les près de 800 victimes recensées, et qui se sont portées partie civile au procès, moins de la moitié a obtenu un droit à réparation.« Je vois les victimes qui ne sont pas prises en compte m'appeler à longueur de journée, me dire : "Qu'est-ce qu'on va faire ?". Je réponds d'abord, moi-même, mon fils n'a pas été pris en compte dans le processus. On se demande : est-ce que maintenant, après les 334, est-ce qu'il y aura une continuité pour les victimes qui ne sont pas prises en compte ? », réagit Asmaou Diallo. Asmaou, qui a perdu son fils en ce jour terrible du 28 septembre 2009, comme les autres familles de victimes, a donc interjeté appel, pour que la justice réexamine les cas des victimes oubliées. Mais plus d'un an après, rien, elle s'inquiète, d'autant plus depuis la grâce accordée en mars 2025 au principal coupable, l'ex-président Moussa Dadis Camara. À lire aussiGuinée: deux mois après la grâce de Moussa Dadis Camara, une mission de la CPI à Conakry « J'ai été dévastée par la nouvelle de sa grâce au point de tomber malade » Aïcha qui fait partie des 109 femmes reconnues victimes de viol, et qui a obtenu réparation de la part de la justice guinéenne, se souvient exactement de ce qu'elle a ressenti le 28 mars 2025, jour de la libération de Dadis : « J'ai été dévastée par la nouvelle de sa grâce au point de tomber malade, et depuis je ne me sens plus en sécurité, car une personne m'a appelée de Kankan et m'a dit qu'elle m'avait reconnue sur une photo. Elle m'a menacée, depuis je suis terrifiée par la libération de Dadis Camara. » Souleyman, blessé le 28 septembre 2009, est également membre de l'association qui vient en aide aux victimes, confirme ce sentiment d'une justice restée à mi-chemin : « La justice avait commencé d'une bonne manière, jusqu'à la condamnation, tout le monde était content. La libération de Dadis Camara, a été un coup de massue qui est tombée comme un couperet sur la tête des victimes. Cela a vraiment changé le visage de la justice. Les autres victimes, qui attendent l'appel pour être indemnisées, maintenant, on ne sait pas s'il y aura même cet appel avec la libération du principal auteur. » Du côté du ministère de la Justice, on se veut rassurant. Un procès connexe après l'inculpation de quatre nouveaux accusés l'année dernière doit s'ouvrir prochainement. Aucune date n'a pour l'heure été rendue publique. À lire aussiProcès du massacre du 28 septembre 2009 en Guinée: vérités judiciaires et zones d'ombres
✨ Ne pleure pas – un message d'espérance ! ✨ Dans cette vidéo, la diaconesse Maya Babo-Matagne apporte une parole puissante qui fortifie le cœur. Peu importe tes épreuves, Dieu voit tes larmes et prépare ta délivrance.
Nous continuons le chapitre 1 sur la définition des concepts. Nous étudierons ce jour : 1. DIFFERENCE ENTRE LE DON DE PROPHETIE ET LE MINISTERE PROPHETIQUE 2. LES OBJECTIFS D'UNE PROPHETIE 3. LES OBJECTIFS DU MINISTÈRE PROPHÉTIQUE Que Dieu vous bénisse abondamment !
Le Covid-19 a bouleversé nos vies. Il y aura toujours un avant et un après mars 2020.Mais malgré l'ampleur du choc collectif, peu d'études se sont penchées sur l'impact réel de cette période sur les enfants et les adolescents.La société a beaucoup exigé du personnel soignant, des enseignants… mais aussi des tout-petits.Et pourtant, leur vécu est resté largement invisible. Aucune reconnaissance, aucun discours politique ne leur a été adressé.Ce vide est aujourd'hui comblé par un collectif de psychologues, mené par Marine Schmoll, qui publie un ouvrage essentiel réunissant leurs constats de terrain.Dans cet épisode, nous revenons ensemble sur cette période marquée par les confinements successifs, l'isolement, le port du masque, la détresse émotionnelle et le silence des institutions à l'égard des plus jeunes…Un retour nécessaire sur une période qui, pour beaucoup, a laissé des traces indélébiles.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Écoutez l'essentiel de l'émission du 25 septembre 2025 de La commission: Changements majeurs à venir chez Postes Canada; Projet de loi 106: «C’est une bombe atomique sans nom» -Gaétan Barrette; Réforme forestière: «Volte-face du premier ministre» -Maïté Blanchette-Vézina; Le gouvernement doit-il arrêter de subventionner les entreprises?; Un jeune couple de Québec distribue des lettres pour tenter de se trouver une maison. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Aujourd'hui, Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
✨ Un appel du ciel pour aujourd'hui ! ✨ Dans ce message vibrant, la Prophétesse Carine Pavan-Gentile proclame avec puissance la parole d'Ézéchiel 37 : « Prophétise sur ces os, et qu'ils revivent ! »
Trois jeunes frères traversent l'Ouest sauvage du Texas pour retrouver leur mère, enlevée par des desperados qui ont assassiné leur père. Le duo culte Brian Azzarello et Eduardo Risso (100 Bullets) signe avec La Ballade des Frères Blood, publiée chez Delcourt, un western crépusculaire et sans concession. Une traque sanglante au cœur du Texas Un tueur sans foi ni loi sort de prison. Son obsession : retrouver sa femme. Problème, elle s'est remariée avec le révérend Blood. Pas pour longtemps : il débarque, tue le pasteur et enlève son ex. Mais cette femme a trois fils. Désormais seuls face à l'Ouest impitoyable, l'aîné entraîne ses cadets dans une course-poursuite pour la sauver, en suivant la piste sanglante laissée par les bandits. Un western sale et cruel Après l'espionnage labyrinthique de 100 Bullets, Azzarello et Risso troquent les complots pour le western. Mais oubliez l'Ouest propre et héroïque de John Wayne ou Howard Hawks – et oui, petite parenthèse pour nos auditeurs : c'est bien lui que David Lynch incarne dans The Fabelmans de Steven Spielberg (et pour une fois, James avait raison, pas Faye
Une parole qui va transformer ta marche avec Dieu ! Dans ce message puissant, le Pasteur Salvatore Gentile te partage trois clefs essentielles pour rester fort et inébranlable face à chaque saison de ta vie. Prépare ton cœur : cette exhortation t'accompagnera et t'inspirera jusqu'au dernier jour ici-bas.
Nous continuons le chapitre 1 sur la définition des concepts. Le ministère prophétique, au sens où l'entend le mouvement charismatique aujourd'hui, est un ministère qui se sert de prophéties et de « nouvelles » révélations de Dieu pour être plus juste d'ailleurs j'aimerais dire comme le dit la Bible « retourner aux bornes anciennes établies par Dieu »et non nouvelles révélations qui viennent contredire la Bible et même je dirais qui viennent contredire ce que Jésus a dit lui-même et ceci engendrera une bonne conséquence pour guider l'Église vers la maturité. Il est parfois décrit comme un ministère quintuple par ceux qui croient que les ministères d'apôtre et de prophète ont été restaurés dans l'Église moderne. *Que Dieu vous bénisse abondamment !*
Les Moustass Leaks exclues de l'affaire Juliette : « Ces enregistrements n'ont aucune valeur », déclare Me Collendavelloo by TOPFM MAURITIUS
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A la Une de la presse, ce lundi 16 septembre, le troisième anniversaire, aujourd'hui, de la mort de Mahsa Amini, dont l'annonce du décès avait déclenché le mouvement "Femme, vie, liberté". Les soupçons de conflits d'intérêt autour de Donald Trump et des investissements de sa famille dans les cryptomonnaies. Et le nouvel exploit du perchiste Armand Duplantis à Tokyo.
durée : 00:02:29 - 100% PSG - Le billet - Le PSG s'est imposé 2-0 face au Racing Club de Lens pour la 4e journée de Ligue 1. Paris est seul leader du championnat mais compte ses absents. Après Dembélé et Doué la semaine dernière, Kvaratskhelia, Lee et Beraldo sont sortis blessés hier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, Vladimir Poutine a enchainé les tapis rouges au mois d'août 2025 : il y a d'abord eu cette rencontre en Alaska avec Donald Trump, rencontre très attendue qui finalement n'a débouché sur rien. Aucune avancée vers un cessez-le-feu en Ukraine et d'éventuelles négociations…D'autant qu'en proposant à Volodymyr Zelensky de venir le rencontrer à Moscou, Vladimir Poutine connaissait à l'avance la réponse de son homologue ukrainien Le 31 août 2025, le sommet de l'organisation de la coopération de Shangaï s'est ouvert à Tianjin, dans le nord de la Chine, avec une photo qui a fait le tour du monde : le Russe Poutine, le Chinois Xi et l'Indien Modi. 3 hommes visiblement ravis de ce pied de nez fait aux Occidentaux, États-Unis en tête. Et c'est depuis une place d'honneur en tribune que le président russe a assisté le 3 septembre au défilé militaire organisé par Xi Jinping. Pendant ce temps, l'armée russe n'a cessé de progresser sur le front et elle intensifie ses attaques sur les villes. Dimanche dernier (8 septembre 2025), Moscou a même bombardé le siège du gouvernement à Kiev et lancé quelque 800 drones sur l'Ukraine. Dans la nuit de mardi 9 au mercredi 10 septembre 2025, nouvelle escalade avec une salve de 450 drones et missiles contre l'Ukraine mais surtout l'intrusion de 19 drones présumés russes dans l'espace aérien de la Pologne, pays membre de l'alliance atlantique. Colère de Varsovie et de ses alliés européens qui dénoncent une provocation du Kremlin. Varsovie a mobilisé ses avions et ceux de plusieurs pays de l'OTAN pour faire face à la menace. Au moins 3 des 19 drones sont abattus. Vladimir Poutine a-t-il voulu tester les capacités de réaction de l'OTAN ? Les Européens doivent-ils se préparer à d'autres provocations de Moscou ? Ont-ils les moyens d'aider l'Ukraine à se défendre contre les drones meurtriers ? L'hiver qui approche sera-t-il l'hiver de tous les dangers pour Kiev ? Vladimir Poutine, fort de son impunité, se sent-il intouchable ? 3 invités : - Alexandra Gougeon, maître de conférences à l'Université de Bourgogne , autrice de « Ukraine : de l'indépendance à la guerre », aux éditions Le Cavalier bleu - Cyrille Bret, géopoliticien, expert à l'Institut Montaigne, spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale - Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à Sorbonne Université.
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8ODans nos sociétés, l'espoir est valorisé. "L'espoir fait vivre", dit le dicton. Mais se pourrait-il que nous nous trompions ? Se pourrait-il que l'espoir, loin d'être positif, nous enferme dans la passivité et contribue à notre malheur ? Éléments de réflexion dans cet épisode.---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
"Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Selon l'INSEE, 20% des couples se séparent après 5 ans de relation et 1 mariage sur 2 se solde par un divorce. Depuis les années 80, les histoires longues ont tendance à diminuer. Une tendance de fond qui renforce la curiosité des chercheurs. Car les études se multiplient pour comprendre le secret des couples qui durent. Aucune histoire n'est parfaite et tous les couples doivent surmonter leurs difficultés. Comme l'explique le professeur de psychologie à l'université de Washington, John Gottman : « Choisir un partenaire, c'est choisir un ensemble de problèmes. Il n'y a pas de partenaire avec qui nous n'allons pas nous disputer, nous énerver et dont nous n'allons pas nous plaindre. La question est de savoir comment régler ces problèmes. » Est-ce que ces études nous donnent des réponses ? Quel est le deuxième secret d'un couple qui dure ? A contrario, les chercheurs ont-ils trouvé ce qui pouvait causer la rupture ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast écrit et réalisé par Olivia Villamy. Première diffusion : 11 février 2023 À écouter aussi : Qu'est-ce que la French Touch ? Comment éloigner les guêpes ? Qu'est-ce que le phénomène du pénis d'été? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8OExtrait de l'épisode LE STOÏCISME - N'ayez aucune attenteCet épisode sera publié sur YouTube et en podcast vendredi prochain le 12 septembreIl est d'ores et déjà disponible en intégralité sur ma page Patreon : https://www.patreon.com/posts/137540370---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
durée : 00:05:49 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les médecines alternatives et complémentaires sont très utilisées dans la prise en charge du trouble du spectre autistique mais leur efficacité restait incertaine. Une vaste revue d'études conclut qu'aucune ne montre de bénéfice solide et souligne le manque criant d'évaluations sur leur sécurité.
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
C'est une sculpture minuscule, mais d'une puissance évocatrice immense. La Dame de Brassempouy, surnommée aussi la "Dame à la Capuche", est l'un des plus anciens portraits connus de l'histoire de l'humanité. Sculptée il y a environ 25 000 ans, dans de l'ivoire de mammouth, cette figurine fascine archéologues, historiens de l'art et grand public depuis sa découverte à la fin du XIXe siècle.Elle a été mise au jour en 1894, dans la grotte de Brassempouy, dans les Landes (sud-ouest de la France), par Édouard Piette. À l'époque, cette région est un haut lieu de la recherche paléolithique. Ce qui frappe d'emblée les chercheurs, c'est le raffinement de cette statuette de 3,65 cm de haut, représentant un visage humain féminin, chose extrêmement rare pour l'époque.En effet, contrairement aux célèbres Vénus préhistoriques comme celles de Willendorf ou de Lespugue, qui exagèrent les formes du corps féminin sans traits faciaux précis, **la Dame de Brassempouy est la seule statuette paléolithique connue à représenter un visage humain individualisé. Elle possède un front, un nez finement dessiné, un menton marqué, et surtout : des yeux absents, qui ajoutent une aura de mystère à cette œuvre unique.Mais ce qui intrigue encore plus, c'est ce qui recouvre sa tête : un quadrillage finement incisé. Est-ce une capuche, une coiffe, une tresse, ou une perruque ? Ce détail vestimentaire ou symbolique n'a toujours pas de réponse claire, mais il témoigne d'une maîtrise artistique et technique remarquable pour une œuvre datant du Gravettien, une culture préhistorique du Paléolithique supérieur.L'ivoire de mammouth utilisé pour la sculpter, très dur, exigeait des outils en pierre extrêmement aiguisés et un travail patient. Cela prouve que ces artistes du Paléolithique ne se contentaient pas de chasser pour survivre, mais consacraient aussi du temps à l'expression artistique, au symbolisme, voire à une forme de spiritualité.Que représentait cette femme ? Une déesse ? Un ancêtre ? Une figure idéalisée ? Aucune certitude, mais la finesse du travail laisse penser qu'elle avait une valeur particulière, peut-être religieuse ou identitaire.Aujourd'hui conservée au musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, la Dame de Brassempouy reste l'une des plus grandes énigmes de l'art préhistorique. On la surnomme la "Joconde de la préhistoire", non seulement pour sa grâce et son mystère, mais parce qu'elle est l'un des tout premiers témoignages de notre capacité à représenter… l'humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui fait couler beaucoup d'encre : “Est-ce que c'est possible d'apprendre le français gratuitement ?”Je vais partager en exclusivité un retour d'expérience que j'ai fait avec deux élèves. Pendant deux ans, j'ai offert l'opportunité à deux amies proches de suivre des cours avec mon école gratuitement ou à base d'échange. Je sais que tu te demandes quel est leur niveau aujourd'hui. Je vais t'apporter une réponse assez décevante. Aucune d'entre elles n'a un niveau B2 aujourd'hui. Pourquoi ? Parce que le cours était gratuit. Par contre, quand on paie pour un service, on va tout faire pour en retirer un maximum de bénéfices. On veut un retour sur investissement. J'ai comparé ces deux élèves avec deux autres catégories d'étudiants : ceux qui avaient les cours payés par leur entreprise, en d'autres mots, qui ne finançaient pas leur propre formation et ceux qui payaient de leur poche les cours de français. En 20 ans de carrière, je peux te certifier une chose : les personnes qui paient eux-mêmes leurs cours sont celles qui progressent le mieux en français. Apprendre le français gratuitement, c'est possible évidemment, seulement si parler français est une priorité vitale (carrière professionnelle, enfants qui étudient dans une école française,...) ou professionnelle. Je t'en parle plus en détail dans l'épisode.“Le Français avec Yasmine” existe grâce au soutien des membres et élèves payants. Il y a 3 manières de soutenir ce podcast pour qu'il continue à être libre, indépendant et rebelle : 1️⃣ Le Club de Yasmine Le Club privé du podcast qui donne accès à toutes les transcriptions des épisodes relues et corrigées au format PDF, à 6 épisodes secrets par an, la newsletter privée en français et l'accès à la communauté des élèves et membres sur Discord pour continuer à partager et se rencontrer. https://lefrancaisavecyasmine.com/club 2️⃣ Les cours de français avec YasminePour aller encore plus loin et améliorer ton français avec moi, je te donne rendez-vous dans mes cours et mes formations digitales. Je donne des cours particuliers (en ligne et à Paris) et des cours en groupe en ligne. Rendez-vous sur le site de mon école pour découvrir le catalogue des cours disponibles : www.ilearnfrench.eu ➡️ Rendez-vous sur les réseaux sociaux Instagram : https://www.instagram.com/ilearnfrench/LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/yasmine-lesire-ilearnfrench/ ➡️ Crédit musique La musique de cet épisode est créée par le groupe Beam. Merci à Maayan Smith et son groupe pour la musique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:48:16 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivaine Fatou Diome est l'invitée de la 20è heure à l'occasion de la parution de son dernier livre “Aucune nuit ne sera noire”, publié aux éditions Albin Michel. Ce livre est une rencontre avec celui à qui Fatou Diome dédicace tous ses livres, son grand-père. - invités : Fatou DIOME - Fatou Diome : Romancière - réalisé par : Lola COSTANTINI Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Hello, dans cet épisode j'ai décidé de vous donner les clés pour… vous, vous et vous même.Allaiter, et ce n'est pas moi qui vous dirais le contraire est une merveilleuse aventure, mais au sein de cette merveilleuse aventure, on peut avoir besoin ou envie de passer le relai en terme d'alimentation; pour prendre un temps pour soi, pour aller chez la kiné sans bébé qui râle dans le transat à côté, pour aller diner en amoureux ou simplement pour souffler.Que ce soit votre premier ou votre dernier jour d'allaitement, vous pouvez vous octroyer un temps pour vous et je vous souhaite de le faire si vous en avez l'envie et la possibilité. Au diable donc les idées qui disent que si on donne un biberon à son bébé l'allaitement sera foutu, au diable les injonctions et welcome la souplesse dans l'allaitement pour créer l'aventure qui vous ressemble.Aucune obligation évidemment, mais si vous le souhaitez et le pouvez, cet épisode vous donnera les tips et astuces pour remplacer une tétée ou deux, ou plus si affinité et ce sans mettre à mal votre allaitement !! Pour aborder ce sujet sereinement, je suis allée poser toutes mes questions à Carole Hervé, consultante en lactation Ibclc qui va tout vous expliquer et vous raconter quelques anecdotes comme elle aime le faire !Welcome Carole dans Milkshaker. Je vous souhaite une belle écoute.Charlotte Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dominique LeBlanc a fait le bilan de sa rencontre avec le secrétaire américain au Commerce à Washington. Selon le ministre, la guerre commerciale avec les États-Unis n'est pas sur le point de se régler.
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Invités : - Gauthier le Bret, Journaliste Politique CNEWS - Christophe Bordet, journaliste- Gérard - Olivier Guennec, journaliste - Gérard Carreyrou, journaliste - Caroline Ithurbide, journaliste Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dix jours après le sommet Trump-Poutine en Alaska, les espoirs de négociation de paix qu'il avait fait naître sont retombés : la Russie a mis des conditions difficilement acceptables. Aucune rencontre Zelensky-Poutine n'est prévue, a confirmé hier le ministre russe Sergei Lavrov. Que fera Trump ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:48:16 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivaine Fatou Diome est l'invitée de la 20è heure à l'occasion de la parution de son dernier livre “Aucune nuit ne sera noire”, publié aux éditions Albin Michel. Ce livre est une rencontre avec celui à qui Fatou Diome dédicace tous ses livres, son grand-père. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dix jours après le sommet Trump-Poutine en Alaska, les espoirs de négociation de paix qu'il avait fait naître sont retombés : la Russie a mis des conditions difficilement acceptables. Aucune rencontre Zelensky-Poutine n'est prévue, a confirmé hier le ministre russe Sergei Lavrov. Que fera Trump ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plusieurs dizaines de militaires arrêtés, dont deux généraux, pour tentative de déstabilisation : parmi les personnes appréhendées, un Français, un officier en poste à l'ambassade de France, accusé par les autorités maliennes d'appartenir à la DGSE, les services secrets extérieurs français. Jeune Afrique confirme. Il s'agit bien d'un officier traitant de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). « Deuxième secrétaire de l'ambassade de France, il est en poste au Mali depuis un an, précise le site panafricain. Ce lieutenant-colonel, décoré de l'ordre national du Mérite, présente près de 30 ans d'états de service dans l'armée de l'air, selon des données publiques. » Toutefois, tempère Jeune Afrique, « son profil n'est pas celui d'un agent "sous légende" (sous couverture). Il est bien accrédité auprès des autorités maliennes en tant qu'agent de la DGSE. Il est d'ailleurs l'un des référents qui échange régulièrement avec ses homologues du renseignement malien dans le cadre de la coopération sécuritaire entre les deux États. » Aucune preuve contre l'officier français En effet, précise le site panafricain, « malgré les tensions diplomatiques successives aux deux putschs de 2020 et de 2021, puis à l'expulsion de l'ambassadeur de France à Bamako Joël Meyer, début 2022, la France et le Mali ont conservé une étroite coopération dans le domaine de la sécurité, du renseignement et en particulier du contre-terrorisme. Le poste occupé par cet agent au sein de l'ambassade est au cœur de ce dispositif. (…) Quant aux accusations de conspiration et de tentative de déstabilisation portées à son encontre, poursuit Jeune Afrique, Paris les dément formellement et les juge "sans fondement". Pour l'heure, aucune preuve de sa participation à un complot militaire n'a été présentée au public ni aux autorités françaises. » Précision encore du site panafricain : l'officier français n'a pas été autorisé « à recevoir la visite d'un avocat ni celle d'un représentant de l'ambassade, empêchant la vérification de son état de santé, tandis que certaines informations font état d'actes de torture perpétrés sur les officiers maliens arrêtés. La France table sur le fait que son agent soit libéré rapidement afin que l'affaire n'envenime pas ses relations bilatérales avec Bamako. » À lire aussiMali : le Français arrêté par les autorités est l'objet d'« accusations sans fondement », affirme Paris La sale guerre de la France au Cameroun À lire également, cet éditorial du Monde à Paris qui revient sur les activités troubles de la France au Cameroun entre 1955 et 1970. Durant cette période, relate le journal, « Paris a mené au Cameroun une guerre contre les mouvements indépendantistes, puis d'opposition, qui a causé la mort de dizaine de milliers de personnes et aidé à l'implantation d'un régime autoritaire dévoué à la France. Le silence qui enveloppait cette "sale guerre" constituait à la fois une insulte aux victimes, une faille historique et un énorme non-dit dans les relations entre les deux pays. C'est pourquoi il convient de saluer, affirme Le Monde, la démarche d'Emmanuel Macron qui, dans une lettre adressée au président camerounais, Paul Biya, rendue publique le 12 août, a reconnu qu'une "guerre" avait été menée alors au Cameroun par “les autorités coloniales et l'armée française“ et déclaré qu'il "assum[ait] le rôle et la responsabilité de la France". Il a ainsi fallu de longues années pour que la réalité de cette terrible “pacification“ opérée à huis clos, largement documentée depuis longtemps par des écrivains, des journalistes et des historiens, fasse l'objet d'une reconnaissance officielle. » Et Le Monde de conclure ainsi : « à l'approche de la fin du règne de Paul Biya, qui, en dépit de ses 92 ans, va briguer un huitième mandat présidentiel en octobre, à l'heure où le besoin de vérité historique agite toute l'Afrique francophone, il est temps d'en finir avec les non-dits franco-camerounais. » Une reconnaissance tardive et incomplète ? Reste que le travail de mémoire et de réparation n'est pas encore achevé, tempère Afrik.com : « si l'Élysée promet de mettre sur pied un comité franco-camerounais pour assurer la continuité de la recherche historique sur la période coloniale, il faut noter que, bien que symboliquement forte, cette reconnaissance arrive tard et reste incomplète. Elle évoque les exactions sans détailler les responsabilités et n'ouvre pas encore, pour le moment, une voie vers des réparations concrètes. » À lire aussiAppels sur l'actualité : Macron reconnaît officiellement la guerre française au Cameroun
Le 18 août 2020, Ibrahim Boubacar Keïta était renversé par un coup d'État militaire, propulsant le colonel Assimi Goïta au pouvoir. Aucune élection prévue avant 2030, une classe politique réduite au silence, des vagues d'arrestations parmi les officiers, quel bilan politique, social et sécuritaire dressez-vous de ces cinq années de transition ? Que pensez-vous de l'installation des militaires maliens au pouvoir ? Quelles perspectives pour un retour à l'ordre constitutionnel ? On attend vos réactions.
REDIFF - Les histoires de cannibales restent une exception dans le crime moderne. Et pourtant, un soir de l'automne 2013, le nom de Jérémy Rimbaud, 26 ans, a rejoint cette liste. Accusé d'avoir tué un homme qu'il ne connaissait pas dans un village des Hautes Pyrénées, d'avoir cuisiné sa langue et son cœur et de s'être mis à table. Aucune explication rationnelle à cette abomination, manger un homme, si ce n'est la démence. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aucune grosse tête ne s'y attendait, ni même le principal concerné : Bernard Mabille a acheté un tapis de course ! Fous rires, réponses inattendues, nouvelles rencontres, cet été redécouvrez les meilleurs moments de cette saison 2024-2025 ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.