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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur Éric Tano, ce citoyen camerounais arrêté aux États-Unis pour son soutien aux groupes armés séparatistes anglophones, l'annonce de sanctions américaines contre le gouvernement fédéral du Soudan pour avoir utilisé des armes chimiques et la volonté de Donald Trump d'interdire aux étudiants étrangers l'accès à Harvard. Burkina Faso : déferlante de faux clips vidéos à la gloire du président burkinabè Des fausses vidéos des vedettes de chanteurs et chanteuses américains circulent sur la toile à la gloire du président de la transition burkinabè Ibrahim Traoré, mais nombreux sont ceux qui les croient vraies. Sur quels éléments un internaute peut-il s'appuyer pour repérer ce type de fausses vidéos ? Quelles méthodes adopter pour les identifier ? Quel impact politique a eu la diffusion de ces vidéos ? Avec Quang Pham, journaliste aux Observateurs de France 24. Cameroun : qui est Éric Tano, poursuivi pour soutien aux séparatistes anglophones ? Un Camerounais du nom de Éric Tano s'est rendu aux autorités américaines, il est accusé de fournir du matériel à des groupes armés séparatistes anglophones. Qui est Éric Tano, quel est son profil ? Pourquoi s'est-il rendu ? Que risque-t-il ? Avec Amélie Tulet, journaliste au service Afrique de RFI. Soudan : les États-Unis accusent l'armée soudanaise d'avoir eu recours à des armes chimiques Les États-Unis accusent l'armée soudanaise d'avoir utilisé des armes chimiques dans le conflit qui l'oppose au FSR. De quelles preuves disposent les États-Unis pour affirmer cela ? Le Soudan a ratifié la Convention sur les armes chimiques, que risque le pays si l'utilisation d'armes chimiques est avérée ? Comment a réagi l'armée soudanaise face à ses accusations ? Avec Marc Lavergne, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste de la Corne de l'Afrique et du Moyen-Orient États-Unis : Donald Trump veut exclure les étudiants étrangers d'Harvard Le président américain a décidé d'interdire l'inscription d'étudiants étrangers à Harvard. Comment l'administration Trump justifie-t-elle cette décision ? Les étudiants étrangers déjà inscrits pourront-ils continuer leur cursus l'année prochaine ? Avec Jérôme Viala-Godefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en Rhétorique présidentielle. Auteur de Les mots de Trump (éditions Dalloz).
Cent jours après le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, intéressons-nous à la résistance qui se dresse face à la politique menée par le président américain, et au rejet du populisme qui s'exprime dans plusieurs élections occidentales, de l'Australie au Canada. Pour en parler, nous recevons Alix Frangeul-Alves, coordinatrice de programme au sein du think tank The German Marshall Fund of the United States pour le département risques géopolitiques et stratégie, spécialiste de politique intérieure et extérieure des États-Unis.
En France, le sujet de l'exception culturelle, qui se trouve au cœur du bras de fer entre l'Union européenne et les États-Unis, suscite de nombreuses inquiétudes parmi les professionnels du cinéma. L'exception culturelle, c'est ce terme inventé en 1994 pour défendre le droit d'un pays à protéger sa culture par des subventions, des mesures de soutien ou des quotas. Si la France a pu défendre son cinéma, ses séries et ses dessins animés, c'est en grande partie grâce à ce dispositif d'exception par rapport aux traités de libre échange. Les œuvres du cinéma ou de l'audiovisuel bénéficient de l'aide du CNC, le Centre national du cinéma, les diffuseurs sont soumis à des quotas d'œuvres européennes ou d'expression française.Une taxe sur les billets des salles de cinéma financent les films indépendants. Et depuis 2021, les plateformes américaines ont aussi l'obligation d'investir 20 % de leur chiffre d'affaires dans la production en France. Ce sont ainsi près de 350 millions d'euros par an qui ont été injectés par Netflix, Disney+ ou Prime Vidéo dans l'audiovisuel et le cinéma français. Or, voilà que ce bel édifice pourrait être remis en cause dans le cadre des discussions autour des barrières douanières entre l'Union européenne (UE) et les États-Unis.L'administration Trump souhaite revenir sur ces obligationsLe 21 février, l'administration de Donald Trump a publié un mémorandum qui dénonce les régulations étrangères, en particulier européenne, qui désavantagent les entreprises américaines en taxant leurs plateformes ou en fixant des obligations d'investissement, comme le prévoit la directive sur les services de médias audiovisuels. L'administration Trump recommande des mesures de rétorsions douanières. Elle est d'ailleurs soutenue dans ce combat par le syndicat des réalisateurs américains et par la Motion Picture Association, le lobby des majors hollywoodiennes et des plateformes, qui parle de pratiques « déloyales ».La législation européenne est aussi pointée du doigt par les États-UnisDeux textes clés de l'Union sont visés : le règlement sur les marchés numériques, ou DMA, sur les pratiques anticoncurrentielles, et le règlement sur les services numériques, ou DSA, sur la régulation des contenus. Ce sont ces textes qui permettent à la Commission de prononcer de lourdes sanctions qui se chiffrent parfois en milliards d'euros. On l'a vu récemment lorsque Apple et Meta ont été condamnés à 500 et 200 millions d'euros d'amende au titre du DMA. Une sanction qui a été décidée sans grande publicité par Bruxelles qui craint d'envenimer la guerre commerciale avec Washington. Les défenseurs de l'exception culturelle craignent aussi qu'une révision dans un sens plus libéral de la directive sur les médias audiovisuels, l'an prochain, soit l'occasion d'amoindrir les règles au profit des plateformes américaines.À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump demande l'arrêt du financement fédéral des médias publics PBS et NPR
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur le rapprochement entre la Russie et les talibans, le conflit entre Donald Trump et l'Université Harvard et la demande d'un désarmement du Hezbollah. Kenya : retour sur l'affaire du trafic de fourmis Quatre personnes ont été arrêtées pour avoir tenté d'exporter illégalement plusieurs milliers de fourmis vivantes pour les vendre à des collectionneurs en Europe ou Asie. Quelles sont les circonstances de ces arrestations ? Les fourmis en question étaient-elles des espèces protégées ?Avec Albane Thirouard, correspondante de RFI à Nairobi. Russie/Afghanistan : Moscou fait un pas vers le régime taliban La Russie a annoncé retirer les talibans de sa liste d'organisations terroristes. Pourquoi les autorités russes dialoguent avec les talibans depuis déjà plusieurs années alors qu'ils étaient sur leur liste noire jusqu'à aujourd'hui ? Cette décision est-elle un signe que le Kremlin pourrait être le premier pays à reconnaître officiellement le gouvernement taliban ?Avec Anissa El Jabri, correspondante permanente de RFI à Moscou. États-Unis : Donald Trump en guerre contre l'Université Harvard Donald Trump a gelé les subventions de l'université d'Harvard qu'il accuse d'enseigner «la haine et l'imbécilité». Mais concrètement, que reproche le président à cette université ? Quel pouvoir le gouvernement Trump a-t-il réellement sur cet établissement privé ?Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle. Liban : vers un désarmement du Hezbollah ? J'ai lu sur le site de RFI que le président libanais plaide pour un désarmement du Hezbollah. Quelle stratégie Joseph Aoun compte-t-il prendre pour amorcer un dialogue avec le Hezbollah sur ce sujet ? À l'heure actuelle, le mouvement chiite libanais envisage-t-il d'accéder à cette demande ?Avec Karim-Emile Bitar, enseignant à Sciences Po Paris.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la guerre commerciale que vient de déclarer Donald Trump au monde entier, ou presque. Hausse de droits de douane exorbitants. Ce qui inquiète les chefs d'État, les économistes et les boursiers. Ainsi, la Bourse de Paris a effacé tous ses gains depuis le début de l'année. Les nouveaux droits de douane américains sont particulièrement punitifs pour la Chine, qui s'est vue infliger des droits additionnels de 34%. Avec- Catarina Falcao de la rédaction en portugais à propos du début de l'apaisement au Mozambique.- Kséniya Zhornokley pour la rédaction ukrainienne au sujet de l'accord qu'exige Donald Trump sur des ressources naturelles de Kiev comme condition au soutien des États-Unis - Pisey Mam de la rédaction cambodgienne au sujet des mesures prises par Donald Trump qui ont abouti à la fermeture de Radio Free Asia et de Radio Voice of America.
Donald Trump a annoncé mercredi 2 avril « des droits de douane réciproques » sur les importations des États-Unis pour l'ensemble des pays du monde, avec un minimum de 10 % pour chaque État. Ces nouvelles taxes, qui sont synonymes de changement de l'ordre mondial, entreront en vigueur les 5 et 9 avril. La décision du président américain entérine-t-elle la fin de la mondialisation heureuse commencée dans les années 1990 ? L'analyse de Laurence Nardon, responsable du programme Amériques à l'Institut français des relations internationales (IFRI), auteure de Géopolitique de la puissance américaine, aux PUF. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump déclare la guerre commerciale au monde
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la guerre commerciale que vient de déclarer Donald Trump au monde entier, ou presque. Hausse de droits de douane exorbitants. Ce qui inquiète les chefs d'État, les économistes et les boursiers. Ainsi, la Bourse de Paris a effacé tous ses gains depuis le début de l'année. Les nouveaux droits de douane américains sont particulièrement punitifs pour la Chine, qui s'est vue infliger des droits additionnels de 34%. Avec- Catarina Falcao de la rédaction en portugais à propos du début de l'apaisement au Mozambique.- Kséniya Zhornokley pour la rédaction ukrainienne au sujet de l'accord qu'exige Donald Trump sur des ressources naturelles de Kiev comme condition au soutien des États-Unis - Pisey Mam de la rédaction cambodgienne au sujet des mesures prises par Donald Trump qui ont abouti à la fermeture de Radio Free Asia et de Radio Voice of America.
Donald Trump a donc déclaré une guerre commerciale au monde entier. Le président américain a lancé son offensive ce mercredi 2 avril et personne n'est épargné, amis comme ennemis. Dix pour cent minimum et parfois plus pour certains, comme la Chine, le Vietnam, le Cambodge. Le Brésil fait partie des « chanceux », concerné que par une hausse de 10%. Décryptage. Avant toute chose, il convient de rappeler que le Brésil et les États-Unis sont économiquement liés. Les États-Unis sont les premiers investisseurs dans la plus grande économie d'Amérique latine. Le Brésil est d'ailleurs l'un des grands exportateurs de la région. On peut citer notamment le soja, le bœuf, le poulet ou l'acier. Les Américains en importent d'ailleurs beaucoup. Mais la balance commerciale entre les deux pays est excédentaire côté Américains, ce qui est un atout pour Brasilia. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump déclare la guerre commerciale au mondePas dans la ligne de mire de Donald Trump En effet, Donald Trump vise en priorité les pays qui exportent vers les États-Unis plus qu'ils n'importent. Le Brésil peut donc profiter de cette situation. Le président Lula l'a d'ailleurs parfaitement intégré. Il ne veut pas mettre un terme au dialogue avec Washington. Preuve en est, la semaine dernière, une mission brésilienne était dans la capitale américaine pour échanger avec l'administration Trump. Cela n'empêche pas le Brésil pour autant de répondre avec le vote il y a quelques heures par le Parlement d'une loi de riposte aux mesures américaines. Mais le gouvernement brésilien a su nouer aussi d'autres partenariats qui lui permettent précisément de ne pas trop en souffrir. Aller voir ailleurs ! Parmi ces nouvelles relations, la Chine. Pékin est d'ailleurs devenue le premier partenaire commercial du Brésil. Les deux échangent beaucoup. Les entreprises brésiliennes exportent du soja, du poulet, du bœuf notamment. Et c'est là que ça devient intéressant, puisque ça ne vous a pas échappé, la Chine est particulièrement visée par les États-Unis. Pékin justement a répondu en augmentant les taxes sur les produits agricoles américains stratégiques comme le soja et la viande. La Chine peut donc trouver dans le Brésil une alternative viable pour ses besoins de biens de consommation courante. Les entreprises chinoises, et c'est la contrepartie évidemment, sont présentes sur le sol brésilien et y investissent beaucoup dans la construction d'infrastructures essentielles à l'activité économique comme des routes, des voies ferrées ou des ports. Une opportunité avec des risques Si on ne s'en tient qu'au poulet et aux œufs brésiliens, les exportations de ces deux produits vers la Chine explosent. Entre 9% et 20% de hausse par rapport à l'an passé. Preuve que la confiance est là, l'indice boursier brésilien, basé principalement sur les matières premières, a progressé de 9% ces dernières semaines, cela alors que les principaux cours mondiaux sont dans le rouge. Mais si cette conjoncture semble bénéfique à court terme, sur un temps plus long, elle expose le Brésil à une forte dépendance de la Chine. Et si les relations sino-américaines s'améliorent, c'est tout l'équilibre qu'on vient d'évoquer qui deviendrait instable. Les autorités brésiliennes jouent ainsi sur plusieurs tableaux. Récemment, elles ont signé de nouveaux accords avec le Japon ou encore avec les Européens dans le cadre de l'accord Mercosur. Une situation qui permet au pays de renforcer sa position sur la scène commerciale internationale et de stimuler sa croissance économique ! À lire aussiLe coût des mesures douanières de Donald Trump à l'échelle mondiale
durée : 00:05:49 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après l'altercation de vendredi à Washington entre le président des États-Unis Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la presse s'interroge sur le bouleversement de l'ordre mondial : Donald Trump s'aligne sur Moscou, avec une approche "digne de Don Corleone" sur l'Ukraine.
L'une des premières mesures de Trump en arrivant à Maison Blanche a été de démanteler l'agence d'aide internationale des États-Unis, l'USAID, dans le but de réaliser environ 60 milliards de dollars d'économies dans les programmes de développement et d'aide humanitaire à l'étranger. Quelles réactions sur le terrain ? Notamment dans les pays les plus touchés par de graves crises notamment en Afrique. Avec- Catarina Falcao de la rédaction en portugais- Melissa Chemam pour la rédaction en anglais- Nasser Etemadi Alagha de la rédaction persane. À écouter aussiSuspension de l'USAID: «L'annonce américaine peut servir de réveil pour les dirigeants africains»
L'une des premières mesures de Trump en arrivant à Maison Blanche a été de démanteler l'agence d'aide internationale des États-Unis, l'USAID, dans le but de réaliser environ 60 milliards de dollars d'économies dans les programmes de développement et d'aide humanitaire à l'étranger. Quelles réactions sur le terrain ? Notamment dans les pays les plus touchés par de graves crises notamment en Afrique. Avec- Catarina Falcao de la rédaction en portugais- Melissa Chemam pour la rédaction en anglais- Nasser Etemadi Alagha de la rédaction persane. À écouter aussiSuspension de l'USAID: «L'annonce américaine peut servir de réveil pour les dirigeants africains»
Spéciale investiture du 47e président des États-Unis, Donald Trump
À Washington, le congrès des conservateurs se déroule sur trois jours, célébrant la victoire de Donald Trump. Le vice-président J.D. Vance a ouvert l'événement en abordant le thème de la masculinité. Des personnalités internationales, dont le président argentin Javier Milei et le président français du Rassemblement national Jordan Bardella, y participent également. Donald Trump conclura la convention par un discours.
Donald Trump va imposer une taxe de 25% sur l'acier et l'aluminium importés, ciblant le Canada, le Mexique, le Brésil et l'Europe, sans exceptions. Cette décision intensifie les tensions commerciales mondiales.
Spéciale investiture du 47e président des États-Unis, Donald Trump
durée : 00:05:52 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le président des États-Unis Donald Trump a annoncé qu'il allait discuter, ce lundi, avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau et son homologue mexicaine Claudia Sheinbaum, après avoir imposé 25 % de droits de douane sur les produits en provenance des deux pays.
C'est l'une des décisions les plus visibles de Donald Trump parce qu'elle va concerner de nombreux pays à travers le monde. L'aide étrangère des Etats-Unis est gelée pour 90 jours et les premières ONG concernées viennent d'être prévenues.
durée : 00:02:23 - Bientôt chez vous - Le DOGE, le ministère de l'efficacité gouvernementale, dirigé par Elon Musk, nommé par le président des États-Unis Donald Trump, cherche à réaliser 1000 milliards d'économie en dépenses publiques. L'arrêt de la production de la pièce de un cent permettrait de contribuer à cette réduction des coûts.
À peine revenu à la Maison Blanche, Donald Trump signe une série de décrets pour défaire la politique de Joe Biden, contester certains aspects de la Constitution comme le droit du sol et permettre à ceux qui l'ont soutenu y compris par la violence d'échapper à la justice américaine. Comment réagiront les tribunaux ? On va plus loin avec Patricia Allémonière, Florent Rodo et Matthieu Mabin à Washington.
durée : 00:19:56 - Journal de 18h - L'ancien et nouveau président des États-Unis prête serment. Nous irons à Washington dans ce journal.
durée : 00:19:56 - Journal de 18h - L'ancien et nouveau président des États-Unis prête serment. Nous irons à Washington dans ce journal.
Spéciale investiture du 47e président des États-Unis, Donald Trump
Voici l’essentiel de l’épisode du 20 janvier pour l’émission La commission: 20 janvier 2025: Journée d’investiture pour le 47ème président des États-Unis Donald Trump; Samedi, Donald Trump a lancé sa propre crypto-monnaie, le «$Trump», un memes coin valorisé en quelques heures à... 6 milliards de dollars; Face à une crise de l’itinérance qui s’aggrave à Montréal, et alors qu'une période de grand froid touche le Québec, le Service de la diversité et de l’inclusion sociale (SDIS) recommande des actions urgentes pour améliorer les conditions des sans-abri, notamment l’élargissement des hébergements d’urgence et la mise en place d’un protocole municipal; Hydro-Québec nous demande de réduire notre consommation en baissant la température de chauffage et en reportant l'utilisation d'appareils énergivores en cette période de grand froid; y arrivez-vous? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Menaces des États-Unis : Donald Trump veut user de la « force économique » contre le Canada. Entrevue avec John Parisella, conseiller spécial pour la firme National et ancien délégué du Québec à New York. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur la libération de Paul Watson, la fermeture de l'ambassade israélienne en Irlande et Donald Trump toujours condamné dans l'affaire Stormy Daniels. RDC : le M23 progresse dans le nord du Nord-KivuAlors que plusieurs localités du Nord-Kivu ont été prises par le M23, les rebelles continuent d'avancer dans la région et s'approchent de Butembo. Le contrôle de cette ville stratégique est-il un objectif ? Les « Wazalendo » et l'armée congolaise disposent-ils des moyens suffisants pour sécuriser la ville ?Avec Florence Morice, journaliste au service Afrique de RFI.Environnement : pourquoi le Danemark a-t-il libéré Paul Watson ?Après cinq mois de détention au Groenland, le militant écologiste a été relâché et le ministère de la Justice au Danemark a refusé de l'extrader vers le Japon, où il est accusé de blessures à l'encontre d'un marin d'un navire baleinier. Pour quelles raisons les autorités danoises ont-elles fini par libérer Paul Watson ? Est-il pour autant sorti d'affaire ?Avec Pauline Gleize, cheffe adjointe au service environnement-climat de RFI.Israël-Irlande : pourquoi Tel-Aviv ferme son ambassade à Dublin ?Le ministère des Affaires étrangères israélien a annoncé la fermeture de son ambassade à Dublin. Le gouvernement de Benyamin Netanyahu accuse l'Irlande d'avoir mené des initiatives « anti-israéliennes ». Quelles « lignes rouges » le pays aurait-il franchi ? Quel avenir pour les relations entre les deux pays ?Avec Clémence Pénard, correspondante de RFI à Dublin.États-Unis : Donald Trump dans la tourmente de l'affaire Stormy DanielsUn juge de New York a rejeté le recours du président élu demandant l'annulation de sa condamnation pour paiements dissimulés à l'actrice de films X Stormy Daniels. Comment expliquer ce verdict alors que Donald Trump est censé bénéficier de l'immunité présidentielle ? Cette décision peut-elle nuire à sa présidence ?Avec Julien Boudon, professeur de droit public à l'université Paris-Saclay.
Les grands patrons américains se pressent pour rencontrer Donald Trump dans sa résidence de Mar a Lago en Floride. Ce mercredi soir, c'est Jeff Bezos, le patron d'Amazon qui s'y est rendu. Tous ont le même objectif: courtiser le futur président américain. C'est un nouveau phénomène chez les patrons américains: la « Trumpmania ». Un grand nombre d'entre eux n'ont pas attendu son arrivée aux affaires le 20 janvier prochain pour rencontrer Donald Trump. Mark Zuckerberg, le patron de Meta, maison-mère de Facebook, celui de Google, Sundar Pichai ou encore Jeff Bezos la nuit dernière. Les PDG de Meta et d'Amazon qui vont donner un million de dollars au fonds d'investiture de Donald Trump ! À lire aussiÉtats-Unis: les milliardaires de la tech se mettent en rang pour s'attirer les bonnes grâces de TrumpPourtant, ces visages et leurs gigantesques groupes n'ont pas toujours été en bons termes avec Donald Trump. Durant son premier mandat, une grande partie du monde économique faisait front contre lui. Cela parce qu'historiquement, les grandes entreprises de la Silicon Valley sont plutôt des soutiens démocrates. Deux exemples significatifs : celui de Mark Zuckerberg, que Donald Trump considérait comme un ennemi du peuple, ne supportant pas d'avoir été banni de Facebook après l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021. Et puis Jeff Bezos. Lui, c'est parce qu'il est propriétaire du Washington Post, journal qui a publié plusieurs articles à charge à l'encontre de Donald Trump ! Être dans les bonnes grâces de Donald Trump Jeff Bezos est aussi le patron de Blue Origin, entreprise spécialisée dans le spatial. Puisque Blue Origin a plusieurs contrats avec le gouvernement, il s'agirait donc de continuer à faire des affaires avec la future administration Trump. Et puis il est important de bien s'entendre avec le futur président américain, car il agit très souvent seul, sans ses conseillers. On l'a constaté entre 2017 et 2021 : faire partie de son cercle est donc essentiel. Des patrons a minima pragmatiques Donald Trump entend mener son programme à bien. C'est exactement pour ça que les grands patrons le courtisent. Ce qui plait, c'est qu'il est très pro-business avec un programme basé sur la dérégulation massive et la baisse des taxes. Ils espèrent une présidence Trump 2.0.Ce qui plait moins, ce sont les hausses des droits de douane qu'il entend appliquer. Si on peut penser que ces mesures protectionnistes peuvent à court terme augmenter le profit des entreprises américaines, celles qui dépendent de fournisseurs étrangers vont être très pénalisées.L'idée est donc de le faire changer d'avis à ce sujet, tout comme en ce qui concerne l'immigration. Quelque 3,3 millions de migrants sont titulaires de permis de travail temporaires. S'ils devaient quitter le pays, ce serait dramatique pour les entreprises, petites comme grandes d'ailleurs. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump détaille son programme radical sur l'immigrationDonc concrètement, tous les grands patrons, s'ils soutiennent à présent Donald Trump, c'est parce qu'ils y voient un intérêt, certainement par pragmatisme, sûrement par opportunisme, peut-être par arrivisme. Comme dit l'adage, « sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis », ça, les patrons américains l'ont parfaitement compris !
Au cours de l'année 2023, « le nombre d'enfants recrutés par des groupes armés en Haïti a augmenté de 70% », indique l'agence onusienne. Les membres de gangs sont souvent très jeunes, confirme Gotson Pierre, le directeur de l'agence Alterpresse. « Ceux qui portent de lourdes armes sont dans la plupart des cas des adolescents. Ils servent souvent d'éclaireurs et d'informateurs ». Depuis dimanche (24 novembre 2024), des opérations de la Police nationale haïtienne (PNH) se concentrent dans les quartiers du bas de Delmas, là où se trouve le fief du chef de la coalition de gangs Viv Ansanm. D'autres quartiers du centre-ville sont aussi le théâtre d'intenses opérations de police. La mission multinationale dirigée par le Kenya indique que ces opérations visent à « maîtriser les chefs de gangs notoires ». Mais en parallèle, le chef de gang Jimmy Cherizier ne cesse d'invectiver les autorités et la police sur les réseaux sociaux.Ces dernières semaines, les activités des gangs ont provoqué la plus importante vague de déplacements, depuis janvier 2023, en Haïti. 41.000 personnes ont été forcées de fuir leur domicile en raison de l'escalade de la violence et de l'insécurité en seulement deux semaines, selon les agences de l'ONU. Donald Trump veut augmenter les tarifs douaniers de 25% sur les importations du Mexique et du CanadaCette annonce a évidemment provoqué de rapides et vives réactions côté canadien. Et pour cause : 75% des exportations du pays ont pour destination les États-Unis. Le dollar a perdu 1% de sa valeur sur place, explique Pascale Guéricolas. Le Mexique, quant à lui, est accusé d'être une porte d'entrée pour les marchandises chinoises sur le continent, sur fond de guerre commerciale entre Pékin et Washington. On en parle avec notre correspondante à Mexico, Pascale Guéricolas. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump annonce l'augmentation des droits de douane pour la Chine, le Canada et le Mexique En Patagonie, une émission de radio pour mieux communiquerEn Argentine, une émission de radio permet aux habitants des zones les plus reculées de Patagonie de communiquer entre eux. Dans certains petits villages de la région de Bariloche, dans l'ouest du pays, pas de réseau : les communications ne passent plus. Alors, depuis plus de 80 ans, la radio locale diffuse tous les jours, à heures régulières, un programme d'une vingtaine de minutes lors duquel le présentateur lit les messages qu'on lui envoie. Pour les gauchos, ces gardiens de troupeaux qui vivent dans les zones de la pampa argentine, ce programme est rapidement devenu indispensable. Un dossier signé Arnaud Fischer. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreAu sommaire ce mardi : la surpopulation carcérale en Guadeloupe.
durée : 00:02:05 - Le vrai ou faux - La présidentielle américaine agite toujours les réseaux de désinformation, une semaine après la victoire de Donald Trump.
Le Journal en français facile du mercredi 6 novembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B6iu.A
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la victoire écrasante de Donald Trump face à Kamala Harris dans la course à la Maison Blanche.
L'Unité de lutte contre la corruption (ULCC), un organe officiel haïtien a recommandé hier mercredi (2 octobre 2024) des poursuites contre trois membres du Conseil présidentiel de transition pour abus de fonction, versement de pots-de-vin et corruption passive. Ils auraient essayé de monnayer leur soutien à la reconduction de Raoul Pascal Pierre-Louis à la présidence du Conseil d'administration de la Banque nationale de crédit (BNC). Nous en parlons avec notre invité en studio, le rédacteur en chef du Nouvelliste Frantz Duval. Les trois conseillers du CPT et le président du BNC font objet d'une enquête. Selon Frantz Duval, ils doivent s'expliquer devant un juge sur des irrégularités bancaires détectées. Celles-ci concernent des écarts entre leurs revenus et des montants suspects observés sur leurs comptes. Ces révélations sont d'une grande ampleur, mais l'opinion publique reste sceptique quant à une issue judiciaire rapide, en raison des faiblesses traditionnelles du système judiciaire haïtien.Les suites politiques et diplomatiquesAvec Frantz Duval, on s'interroge aussi sur les répercussions politiques de cette affaire. En principe, l'un des conseillers accusés, Smith Augustin, devrait être nommé président du Conseil présidentiel le 7 octobre 2024. Le rédacteur en chef du Nouvelliste évoque aussi les tensions au sein du gouvernement haïtien. « La relation entre le Conseil présidentiel et le Premier ministre par intérim reste tendue ». Une récente convocation de la ministre des Affaires étrangères par le chef de cabinet du Conseil présidentiel de transition a été critiquée pour ne pas respecter les protocoles officiels. Cette convocation symbolise la fragilité de la cohabitation entre ces deux entités politiques. Certains ministres sont affiliés au Conseil présidentiel, tandis que d'autres relèvent directement du Premier ministre. Une réunion cruciale est prévue demain vendredi (4 octobre 2024) pour tenter d'apaiser ces tensions, mais la situation reste volatile et complexe.Haïti absent au sommet de la FrancophonieEn raison de la crise politique actuelle, Haïti ne sera pas représenté au plus haut niveau lors de la 19è édition du sommet de la Francophonie. Seul le chargé d'affaires haïtien en France assistera à cet événement. Ni le président, ni la ministre des Affaires étrangères ne feront le déplacement. Cette absence marque un moment délicat pour Haïti, où la passation de pouvoir au sein du Conseil présidentiel et les tensions politiques internes occupent toute l'attention des dirigeants.Expulsion des migrants haïtiens par la République dominicaineLa République dominicaine a annoncé une campagne massive de rapatriement de migrants haïtiens, avec l'objectif de renvoyer jusqu'à 10 000 personnes par semaine. C'est à lire aussi dans le Nouvelliste. Cette décision intervient après l'échec des pourparlers lors de l'Assemblée générale des Nations unies, qui aurait pu apaiser les tensions entre les deux pays. Depuis plus d'un an, les relations entre Haïti et la République dominicaine se détériorent, et ces expulsions massives visent principalement les Haïtiens vivant en République dominicaine, exacerbant ainsi les tensions diplomatiquesÀ lire aussiLa République dominicaine annonce un plan d'expulsions massives d'Haïtiens sans-papiers La grève des dockers dans l'est et le sud des États-UnisÀ La Nouvelle-Orléans, la grève des dockers commence à inquiéter les entrepreneurs, notamment ceux du secteur du café, nous explique notre envoyé spécial Vincent Souriau. C'est le cas de Matt Cronin, qui importe des grains du Costa Rica. Pour l'instant, il n'y a pas encore de pénurie, mais il craint que la situation se dégrade si la grève persiste. Avec ses 500 kilos de café écoulés chaque semaine, il dispose encore de stocks, mais estime que tout pourrait changer si le mouvement se prolonge jusqu'à Noël, affectant non seulement son entreprise, mais aussi toute la profession dans la région.Sur le plan national, cette grève tombe à un moment critique, en pleine renégociation des contrats des dockers et durant la campagne présidentielle américaine. Les dockers demandent une augmentation de leur salaire de 70% sur six ans. Cette situation met l'administration Biden sous pression, car un prolongement du conflit pourrait affecter les fêtes de fin d'année et alimenter les critiques, notamment de la part des électeurs conservateurs, qui estiment que Donald Trump aurait mieux géré la situation. Les accusations relancées contre Donald Trump pour son rôle dans l'assaut contre le CapitoleLe procureur spécial qui instruit le dossier contre Donald Trump pour tentatives d'inverser illégalement les résultats de l'élection de 2020 affirme que le républicain agissait en tant que candidat, donc en tant que personne privée. Il ne peut donc bénéficier d'une immunité présidentielle. Le procureur spécial Jack Smith a présenté un nouvel argumentaire avec des témoignages inédits, un argumentaire publié par la justice et dont les extraits sont à lire entre autres dans le New York Times. Le journal retient de ce document surtout les témoignages accablants pour l'ancien président. Un haut responsable de la Maison Blanche à l'époque cite par exemple une conversation entre Donald Trump, sa femme, sa fille et son gendre à bord de l'hélicoptère présidentiel. L'ex-président leur aurait dit : « Peu importe que vous ayez gagné ou perdu l'élection, il faut se battre comme un chien ». Le Washington Post souligne que Donald Trump de toute façon ne sera pas jugé dans cette affaire avant les élections du mois prochain (novembre 2024), et qu'« il est possible qu'il ne le soit jamais s'il gagne ». Mais ce dossier aura au moins « servi de rappel tardif d'un épisode peu glorieux, inspiré par Donald Trump, à un peu plus d'un mois d'un scrutin où les électeurs doivent décider s'ils veulent ou non remettre Donald Trump dans le fauteuil présidentiel » À écouter aussiÉtats-Unis: Donald Trump retourne au Capitole à Washington pour la première fois depuis l'assaut du 6 janvier Journal de la 1ère En Martinique, la proposition visant à supprimer « l'octroi de mer » sur certains produits sera-elle présentée aux élus de la Collectivité Territoriale ?
À un peu moins de deux mois de la présidentielle américaine, les Américains semblent plus divisés que jamais. Cela n'a pas toujours été le cas, rappelle Mathieu Gallard, directeur d'études chez Ipsos. Dans Les Etats-Unis au bord de la guerre civile ?, à paraitre le 4 octobre, il décrit le lent processus qui a mené à cette transformation du pays et évoque les options qui s'offrent aux Américains. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump moqué après ses déclarations sur les Haïtiens
Kamala Harris « devenue noire » pour séduire l'électorat américain. La sortie de Donald Trump sur l'identité de la vice-présidente des États-Unis, née d'un père jamaïcain et d'une mère indienne, provoque l'émoi dans les rangs démocrates. Les propos du candidat républicain devant des journalistes afro-américaines sont d'autant plus controversés que le vote des jeunes hommes noirs est devenu un enjeu de campagne. Historiquement acquis au camp démocrate, le vote des électeurs afro-américains apparaît de plus en plus divisé. Les républicains semblent cibler la population déçue par le camp démocrate et la classe politique américaine : les jeunes hommes des classes populaires, explique Nicolas Rocca du Service international de RFI. Donald Trump s'est qualifié mercredi (31 juillet 2024) de « meilleur président pour la population noire depuis Abraham Lincoln ». Symbole de cette stratégie et de ses limites à Philadelphie, l'ouverture d'un bureau des « noirs avec Trump » début juin 2024 a attiré un public... majoritairement blanc.Kamala Harris, qui multiplie les évènements auprès de la communauté noire, a qualifié la sortie de Donald Trump la visant de « vieux numéro ».L'ancien président « a l'habitude d'utiliser la race pour dresser des groupes d'Américains les uns contre les autres », confirme le New-York Times qui rappelle qu'en 2012, le même Donald Trump exigeait de voir le certificat de naissance... de Barack Obama. Politico y voit la « confirmation de l'insensibilité raciale instinctive qui amarqué la première campagne électorale » de Donald Trump. Les trois accusés des attentats du « 11-Septembre », dont le cerveau présumé des attaques, Khalid Cheikh Mohammed vont plaider coupable pour éviter la peine de mort.Les termes de l'accord, négociés avec le Pentagone, sont révélés par le New-York Times. « Une lettre a été envoyée par les procureurs aux membres des familles des victimes des attentats », rapporte le quotidien. L'objectif est d'apporter pour ces familles une certaine « finalité et justice » à l'affaire, selon les termes de la missive. Khalid Shaikh Mohammed, Walid bin Attash et Mustafa al-Hawsawi sont détenus dans la prison de Guantanamo depuis 2003. « L'affaire depuis est enlisée dans des procédures préliminaires », avec « la question de savoir si les tortures qu'ils ont subies dans les prisons secrètes de la CIA avaient influencé les preuves retenues contre eux », rappelle le journal. L'accord suscite à la fois colère et soulagement parmi les proches des 3 000 victimes du 11 septembre. Dans le journal conservateur New-York Post, Jim Smith, « veuf angoissé de Moira Smith, la seule policière décédée le 11 septembre, attend depuis 23 ans de témoigner sur ce que ces animaux ont fait à nos proches », en vain. Des proches interrogés estiment que seule la peine de mort pourrait apaiser leur chagrin. Dans une volonté de leur complaire, les procureurs rappellent que dans le cadre de l'accord, Khalid Shaikh Mohammed et les autres ont accepté de répondre aux questions des proches « concernant leur rôle et les raisons pour lesquelles ils ont mené les attentats » précise le New-York Times. Washington estime qu'au Venezuela, Nicolas Maduro a été « clairement battu » par l'opposition dimanche dernier (28 juillet 2024) et que la patience de l'administration américaine avait « atteint ses limites ». Le président sortant continue de se dire vainqueur et menace ses opposants de la prison. En réponse hier (31 juillet), la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado a pour la première fois appelé ses partisans à manifester contre Nicolas Maduro, malgré la menace de répression. Les pays de la région, réunis au sein de l'Organisation des États américains (l'OEA) estiment même que l'écart des voix « se compte en millions » entre les deux camps. Le chef de l'organisation compte demander à la Cour Pénale Internationale d'inculper le président vénézuélien pour la répression des manifestations depuis lundi dernier (29 juillet). Les États-Unis et le Canada éprouvés par des centaines de feux. Dans le nord de la Californie, le « Park Fire » - le nom donné à l'incendie - a provoqué l'évacuation de plus de 26 000 personnes et la destruction de plus de 350 bâtiments. Le cinquième plus grand feu de l'histoire de laCalifornieest aussi « l'un des feux les plus rapides qu'aient jamais vu les pompiers », raconte Jay Tracy, ledirecteur adjoint du service incendie de Fresno, au micro de Pauline Gleize du Service Environnement de RFI. L'incendie d'origine criminelle a grossi à cause de la topographie des lieux, des chaleurs caniculaires… et des forêts restées intactes jusqu'ici, qui ont servi de combustible pour les flammes. Les pompiers et la population attendent la pluie. Malgré plus de 5 000 soldats du feu à pied d'œuvre et les renforts, « on n'en viendra jamais vraiment à bout sans la coopération de mère-nature », explique Jay Tracy pour qui l'objectif est de maîtriser complètement l'incendie. Au-delà de Jasper, le Canada fait face à des centaines d'incendies, dont il est difficile de se prémunir. Des études sont en cours pour savoir à quel point leur augmentation peut avoir un impact sur la régénération de la forêt. « Plus on a de feux, plus le paysage se rajeunit et plus c'est difficile à la forêt d'être résiliente », explique Yan Boulanger, chercheur en Écologie forestière à Ressources naturelles Canada [ministère fédéral canadien chargé de la gestion des ressources naturelles, ndlr] En Haïti, la transition en question deux semaines avant l'arrivée de membres de la Communauté des Caraïbes (CARICOM). Une visite d'inspection du processus de transition fixé avec l'instance. Les représentants de la CARICOM auront dans leur viseur « particulièrement le contrôle démocratique et la mise en branle du processus électoral », explique au micro de RFI Frantz Duval, le rédacteur en chef du Nouvelliste. Ce qui pose le plus question, selon l'éditorialiste, c'est l'articulation entre le Conseil présidentiel de transition et le gouvernement du Premier ministre Garry Conille. « Cette articulation est encore délicate et faite de frictions », analyse Frantz Duval pour qui malgré les nombreuses annonces, « il n'y a pas de pas concrets réalisés ». Les Haïtiens, « patients, n'expriment pas encore de grogne mais tout le monde se demande quand [les autorités] se mettront au travail, et surtout ensemble ».Elle entre dans l'histoire des Jeux Olympiques et dans l'histoire de son pays en remportant la médaille d'or et en battant dans le même temps le record olympique au tir sportif. Adriana Ruano est la première championne olympique du Guatemala. De quoi emplir d'émotion tout un peuple. Pour la vice-présidente du pays, Karin Herrera, désormais, « le défi est que cette inspiration atteigne tous les coins du pays, que toutes les jeunes filles et tous les jeunes garçons voient que c'est possible et, surtout, que l'État donne tout ce qui est nécessaire » pour développer la communauté des athlètes nationaux, confie-t-elle àPaula Estañol de la rédaction en espagnol de RFI. Journal de la 1èreNe pas subir silencieusement, mais agir : en Guadeloupe, une habitante de la commune de Deshaies a décidé de porter plainte contre le syndicat mixte de gestion de l'eau et de l'assainissement, nous raconte Frantz Duval. Morceau musical : « Tasmania », de Sofia Gabana et Lupita's Friends.
durée : 00:07:08 - Journal de 9h - Le milliardaire, candidat à l'élection présidentielle américaine, a accueilli chaleureusement le Premier ministre israélien vendredi 26 juillet, et utilisé le déplacement pour nourrir sa rhétorique anti-Kamala Harris.
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur la condamnation de l'ancien n° 2 de la junte en Guinée, sur les tensions entre Israël et le Hezbollah et sur l'électorat africain-américain aux tats-Unis. Centrafrique : deux ressortissants franco-algériens arrêtésDeux ressortissants franco-algériens en possession d'armes ont été arrêtés à Bangui. Quelles sont les accusations portées contre ces deux hommes ? Cette affaire pourrait-elle mettre à mal les tentatives de normalisation des relations entre la France et la Centrafrique ?Avec François Mazet, journaliste au service Afrique de RFI.Guinée : prison ferme pour l'ex-numéro 2 de la junte Le Général Sadiba Koulibaly, l'ex-chef d'état-major de l'armée guinéenne, vient d'être condamné à 5 ans de prison ferme pour « désertion ». Quels sont les faits qui lui sont reprochés ? A-t-il des moyens de recours dans cette affaire ? Avec Matthias Raynal, correspondant de RFI à Conakry.Hezbollah - Israël : faut-il craindre une deuxième guerre ? Après la mort d'un de ses responsables, le Hezbollah a répliqué en tirant des centaines de roquettes sur Israël. Cette escalade de la violence pourrait-elle entraîner un conflit ouvert entre Israël et le Liban ? Avec Nicolas Falez, journaliste au service international de RFI.États-Unis : Donald Trump courtise le vote noirCe week-end, Donald Trump s'est rendu dans une église afro-américaine de Détroit. Objectif : récupérer les voix de la communauté noire. Pourquoi vouloir séduire les Afro-Américains alors que cet électorat est majoritairement pro-démocrate ? Sa stratégie pourra-t-elle porter ses fruits ? Avec Simon Grivet, historien des États-Unis, maître de conférences à l'Université de Lille.
Au sommaire : Le président de la transition du Gabon, Brice Oligui Nguema, est en visite officielle en France cette semaine. Pour quelles raisons le général putschiste est-il jugé fréquentable par Paris ? Au Burkina Faso, les Assises nationales ont adopté une charte approuvant le prolongement de la transition de 5 années supplémentaires. L'armée israélienne poursuit ses bombardements sur la ville de Rafah, au sud de la bande de Gaza, malgré les condamnations internationales. Enfin l'ancien président des États-Unis Donald Trump a été reconnu coupable au pénal des trente-quatre délits de falsifications de documents comptables. Quelles conséquences politiques pour le milliardaire américain ? Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : - Ahmed Newton Barry, journaliste et ancien président de la Commission électorale nationale indépendante du Burkina Faso- Seidik Abba, journaliste spécialiste des questions africaines, écrivain et président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel- Wuldath Mama, journaliste à l'Office de Radiodiffusion et Télévision du Bénin.
Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AWFv.A
durée : 00:02:10 - Le monde est à nous - À sept mois de l'élection présidentielle américaine, le candidat républicain s'est montré prudent sur ce sujet inflammable. Les primaires en poche, il doit désormais parler à tous les Américains s'il veut l'emporter le 5 novembre prochain face à Joe Biden.
Les journalistes et experts de RFI répondent aux questions des auditeurs sur la potentielle inéligibilité de Donald Trump, sur la décision des pays de l'Alliance des tats du Sahel de quitter le franc CFA. Sénégal : le Conseil constitutionnel annule le report de la présidentielle Au Sénégal, le Conseil constitutionnel a déclaré contraire à la Constitution la loi reportant la présidentielle au 15 décembre 2024. Comment expliquer la compétence de cet organe sur une révision constitutionnelle ? Sur quelle base a-t-il annulé cette loi ? L'élection présidentielle va-t-elle être organisée à la date initialement prévue ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. AES : vers une nouvelle monnaie commune ? Le chef des autorités de transition nigériennes a réaffirmé la volonté de son pays d'abandonner le franc CFA, à l'instar du Mali et du Burkina Faso. Quelles pourraient être les conséquences d'un tel changement pour les autres pays de la zone UEMOA ? Une dévaluation du franc CFA serait-elle à craindre ? Avec Liza Fabbian, journaliste au service économie de RFI. États-Unis : Donald Trump sera-t-il déclaré inéligible ? La Cour suprême américaine s'est réunie pour discuter de la décision de justice du Colorado de rendre inéligible Donald Trump dans cet État. Les sages pourraient-ils annuler la décision du Colorado ? Comment les élections pourraient-elles se dérouler si Donald Trump était exclu dans certains États ? Avec Simon Grivet, maître de conférences en Histoire et Civilisation américaines à l'Université de Lille. Présentation du concours Mondoblog Avec Camille Deloche, responsable d'édition du Mondoblog, la plateforme des blogueurs francophones.
Le Journal en français facile du jeudi 08 février 2024, 17h00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AKQR.A
Ecoutez RTL autour du monde du 08 février 2024 avec Correspondants RTL à l'étranger.
durée : 00:14:58 - Journal de 8 h - Dans la nuit de mardi à mercredi, Donald Trump a remporté la primaire républicaine dans le New Hampshire, mais sa rivale Nikki Haley entend se maintenir dans la course.
durée : 00:14:58 - Journal de 8 h - Dans la nuit de mardi à mercredi, Donald Trump a remporté la primaire républicaine dans le New Hampshire, mais sa rivale Nikki Haley entend se maintenir dans la course.
durée : 00:14:58 - Journal de 8 h - Dans la nuit de mardi à mercredi, Donald Trump a remporté la primaire républicaine dans le New Hampshire, mais sa rivale Nikki Haley entend se maintenir dans la course.
durée : 00:06:35 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La presse américaine ce matin s'interroge sur la portée de la décision de la Cour suprême du Michigan qui vient de rejeter une tentative de disqualifier Donald Trump de la course à la présidence en 2024.
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur l'inéligibilité de Donald Trump déclarée par la Cour Suprême du Colorado, le limogeage des dirigeants des médias d'État par le nouveau premier ministre polonais Donald Tusk et la création par la FIFA de la nouvelle "Coupe du monde des clubs". Niger : L'ambassade de France à Niamey a fermé « pour une durée indéterminée »L'ambassade de France au Niger annonce sa fermeture. Pourquoi la France a accepté la fermeture de sa représentation diplomatique au Niger alors qu'elle l'avait refusé lors du coup d'État ? Quel sera le sort du personnel nigérien qui travaille dans les institutions françaises ? Avec Sidy Yansané, journaliste au service Afrique de RFI.États-Unis : Donald Trump déclaré inéligible par l'État du Colorado Aux États-Unis, la Cour suprême de l'État du Colorado a jugé Donald Trump inéligible pour la présidentielle de 2024. Sur quels éléments cette cour s'est-elle appuyée pour déclarer Donald Trump inéligible ? D'autres États américains vont-ils suivre l'exemple du Colorado ? L'ancien président américain a annoncé qu'il ferait appel auprès de la Cour Suprême des États-Unis. Tant qu'elle n'a pas rendu de décision, Trump reste-t-il éligible ?Avec Simon Grivet, maître de conférences à l'université de Lille, spécialiste de l'histoire du droit et de la justice aux États-Unis. Pologne : bras de fer entre le premier ministre et le président autour des médias d'État En Pologne, le premier ministre nouvellement élu a limogé les présidents des principaux médias publics. Pourquoi Donald Tusk a-t-il licencié l'équipe dirigeante des médias d'Etat ? Comment l'ancien parti au pouvoir, le PiS, a-t-il réagi à la décision de Donald Tusk ? Le président de la Pologne a-t-il raison d'affirmer que Donald Tusk contrevient à l'ordre juridique ?Avec Amélie Zima, chercheuse à l'IRSEM, spécialiste du système politique polonais.Football : la nouvelle “Coupe du monde des clubs” fait débat La Fifa a annoncé la création d'une nouvelle “ Coupe du monde des clubs”, qui démarrera à l'été 2025. Ajouter une nouvelle compétition ne risque-t-il pas d'épuiser les joueurs ? Quelles sont les motivations de la Fifa pour créer une nouvelle coupe ? Cette énième compétition ne va-t-elle pas lasser les spectateurs ?Avec Victor Missistrano, journaliste au service des Sports de RFI.
Ecoutez RTL autour du monde du 08 décembre 2023 avec Correspondants RTL à l'étranger.
Les journalistes et experts de RFI répondent aux questions des auditeurs sur les réticences de la Cédéao à mener une opération militaire au Niger, sur l'affaire des faux grands électeurs aux États-Unis et sur l'alerte de l'AIEA sur le dossier du nucléaire iranien. Niger : la Cédéao a-t-elle abandonné l'option militaire ? Trois mois après le putsch au Niger, le Nigeria serait moins enclin à une intervention armée de la Cédéao. Pourquoi le pays fait-il désormais marche arrière ? Ce rétropédalage fait-il l'unanimité au sein des pays membres favorables à l'opération militaire ? Avec Jean-Luc Aplogan, correspondant de RFI à Cotonou.Élections en RDC : le silence de Joseph Kabila interroge À deux mois de l'élection présidentielle, Joseph Kabila ne s'est toujours pas exprimé publiquement sur le scrutin. Comment expliquer la discrétion médiatique de l'ancien président congolais ? Quel pourrait être l'avenir de sa formation politique sachant que le FCC boycotte les élections ? Avec Ithiel Batumike, analyste politique, chercheur à Ebuteli, Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence. États-Unis : Donald Trump accusé d'avoir voulu falsifier les dernières élections Trois anciens avocats de Donald Trump, accusés d'avoir tenté de falsifier les résultats de l'élection présidentielle de 2020, ont accepté de témoigner contre lui. Dans quelle mesure ces témoignages peuvent-ils fragiliser la défense de l'ancien président américain ? La campagne de Donald Trump pour le scrutin de 2024 pourrait-elle s'en retrouver affectée ? Avec Simon Grivet, maître de conférences en Histoire et Civilisation américaines à l'Université de Lille.Nucléaire iranien : l'AIEA tire la sonnette d'alarme Rafael Grossi, le directeur de l'Agence internationale de l'Énergie atomique a mis en garde la communauté internationale sur la capacité de l'Iran à développer un arsenal nucléaire. Pour quelles raisons l'agence manifeste-t-elle son inquiétude maintenant ? De nouvelles sanctions seraient-elles envisageables ? Avec Thierry Coville, chercheur à l'Institut des relations internationales et stratégiques.
C dans l'air du 2 septembre - Élections présidentielles aux États-Unis : Donald Trump l'inoxydable ? LES EXPERTS : - CORENTIN SELLIN - Historien, spécialiste des États-Unis - TAMARA BOUSSAC - Maîtresse de conférence en études Nord-Américaines à l'université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne - MARIE-CÉCILE NAVES - Politologue, directrice de recherche à l'IRIS - LAURIC HENNETON - Spécialiste des États-Unis, auteur de « Atlas historique des États-Unis » Et s'il en faisait une force ? Accablé par quatre procès, l'ancien président américain Donald Trump n'a jamais été aussi populaire chez les électeurs du parti républicain. À un peu plus d'un an de la prochaine élection présidentielle, le milliardaire obtient 59% d'intentions de vote aux primaires républicaines, selon le Wall Street Journal, soit 46 points de plus que son principal rival, le gouverneur de Floride, Ron de Sanctis. Un gouffre. Et pourtant, les jeux sont loin d'être faits. Alors qu'il a boycotté le premier débat télévisé du parti républicain le 23 août dernier, Donald Trump doit en ce moment se concentrer sur les quatre affaires pénales qui pèsent sur lui. Inculpé par l'État de Géorgie pour interférence électorale lors de la présidentielle 2020, l'homme d'affaires a plaidé non coupable ce vendredi. Il ne comparaîtra donc pas devant la cour pour la lecture de l'acte d'accusation, prévue la semaine prochaine. Avant cela, il était déjà inculpé par l'État de Washington pour son rôle dans l'assaut du Capitole, en janvier 2021, pour le recel de documents gouvernementaux classifiés à Mar-a-Lago et pour les paiements secrets de sa campagne de 2016 devant le tribunal de Manhattan. Ce sont donc quatre procès au pénal qui attendent l'ancien président des États-Unis, qui est également soupçonné d'avoir « gonflé » son patrimoine de « milliards de dollars » pendant dix ans. De quoi enterrer définitivement ses chances de victoire en novembre 2024 ? C'est sans compter sur la faiblesse du camp rival. Candidat à un second mandat en 2024, l'actuel président démocrate Joe Biden a entamé une levée de fonds record. Ses partisans espèrent rassembler à terme 2 milliards de dollars, mais est-ce suffisant pour l'emporter face aux Républicains ? Celui qui aura 82 ans en 2024 montre régulièrement des signes de faiblesse, comme ses fréquentes chutes, et laisse dubitatifs ses électeurs. D'après un récent sondage de l'université de Monmouth, 44% d'entre eux souhaiteraient que le président tire sa révérence et cède sa place. Seul un quart des sondés se disent favorables à une seconde candidature. Les Républicains attaquent aussi son fils, Hunter Biden, poursuivi par la justice pour fraude fiscale et détention illégale d'arme. Le fils du président est aussi accusé d'avoir utilisé les relations de son père, quand celui-ci était vice-président de Barrack Obama, pour faire des affaires en Ukraine. Hunter Biden a d'abord déclaré n'avoir « rien fait de contraire à l'éthique » avant d'ajouter « Je ne le referais pas ». En cas d'accident dans la campagne Biden, qui pourrait reprendre le flambeau chez les Démocrates ? Aucune personnalité ne sort vraiment du lot. L'Ukraine devrait d'ailleurs tenir une place importante dans les débats entre les deux prochains candidats à la Maison Blanche. Premiers soutiens de Zelensky dans sa guerre contre la Russie, les États-Unis ont déjà accordé 71 milliards d'euros à Kiev, dont 43 milliards d'euros d'aide militaire. Mais ce soutien, jusqu'à présent sans faille, à un coût pour le contribuable américain : 900$ par an, soit 75$ chaque mois. Un coût qui ne devrait pas diminuer puisque Joe Biden a demandé début août au Congrès une nouvelle aide de 13 milliards de dollars pour l'Ukraine. D'après un sondage publié par la chaîne américaine CNN début août, 55% des Américains seraient hostiles à une nouvelle aide financière pour Kiev. Comment les affaires judiciaires de Donald Trump peuvent-elles influencer sa campagne pour les primaires républicaines ? Face aux Républicains, Joe Biden est-il en capacité d'être élu pour un second mandat en 2024 ? Et comment la guerre en Ukraine peut-elle devenir un sujet majeur de cette élection ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 2 septembre - Élections présidentielles aux États-Unis : Donald Trump l'inoxydable ? LES EXPERTS : - CORENTIN SELLIN - Historien, spécialiste des États-Unis - TAMARA BOUSSAC - Maîtresse de conférence en études Nord-Américaines à l'université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne - MARIE-CÉCILE NAVES - Politologue, directrice de recherche à l'IRIS - LAURIC HENNETON - Spécialiste des États-Unis, auteur de « Atlas historique des États-Unis »