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Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : les Haïtiens protestent contre l'inaction de l'État

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later May 20, 2025 30:00


Depuis une semaine, plusieurs organisations du Plateau central bloquent la centrale hydroélectrique de Péligre, la principale source d'électricité d'Haïti, pour protester contre l'inaction de l'État face à l'insécurité croissante dans la région. Nous en parlons avec Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Les villes de Saut d'Eau et de Mirebalais sont particulièrement touchées par les gangs armés. Les manifestants réclament des services publics essentiels, la sécurité, et un traitement équitable en matière de distribution d'électricité, selon le directeur de l'agence Alterpresse. Ce mouvement se présente comme une « prise en main citoyenne face à l'effondrement des institutions publiques » et le sentiment général que l'État a largement abandonné la population. Cette mobilisation plonge la capitale Port-au-Prince dans un black-out depuis le 13 mai 2025. Alterpresse souligne que ce mouvement intervient dans un contexte sécuritaire alarmant. Gotson Pierre revient aussi sur la fête du drapeau, le 18 mai dernier, qui s'est déroulé dans un climat tendu. Face à l'inaction du gouvernement, le discours du coordonnateur du Conseil présidentiel de transition (Cpt), Fritz Alphonse Jean, qui a appelé les Haïtiens à l'unité et à la résilience, a été vivement critiqué, selon le directeur d'Alterpresse.Omerta sur l'acuité mentale de Joe Biden ?  – les révélations explosives du livre enquête « Original Sin » Ce mardi, sort aux États-Unis le livre évènement « Original Sin », « Péché originel ». Il raconte comment l'entourage de l'ancien président démocrate l'a isolé des mauvaises nouvelles et a dissimulé la dégradation flagrante de son état physique et cognitif. Selon les auteurs, Alex Thompson, d'Axios, et Jake Tapper, de CNN, la Maison Blanche de Joe Biden « a trompé le peuple américain ». L'obstination de Joe Biden et de ses proches a directement conduit à la défaite démocrate face à Donald Trump, malgré la campagne éclair de Kamala Harris, soulignent les deux journalistes. Nous en parlons avec le spécialiste des États-Unis, Romuald Sciora, chercheur associé à l'IRIS. À lire aussiSanté mentale de Biden: «Plus qu'un mensonge d'État, un crime contre la démocratie américaine»« Trump se fait mener en bateau par Poutine » La presse nord-américaine commente abondamment la conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, et se montre très critique de l'attitude du président américain, Achim Lippold.« Donald Trump n'est pas connu pour sa patience ni pour sa clémence envers ceux qui défient sa volonté », écrit le Washington Post. Ces derniers jours, il s'en est pris tour à tour à la procureure générale de New York, à Bruce Springsteen, à Beyoncé et à l'ancien directeur du FBI James B. Comey — tous visiblement coupables, à ses yeux, de l'avoir contrarié d'une manière ou d'une autre. Mais, poursuit le journal, « lorsqu'il s'agit du dictateur russe Vladimir Poutine — qui continue de saboter les efforts de Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine —, le président américain fait preuve d'une patience, d'une bienveillance et d'une compréhension sans fin. En coulisses, Donald Trump se plaint que mettre fin à une guerre est plus difficile qu'il ne le pensait. « Sans blague », commente le Washington Post et suggère au chef de la Maison Blanche de traiter Vladimir Poutine comme il traite tous ceux qui lui tiennent tête. Mais pour l'instant, conclut le Washington Post, c'est Vladimir Poutine qui mène Donald Trump en bateau, et le président américain ne semble pas s'en rendre compte.Trump pourrait se désengager de la guerre en Ukraine car de son point de vue, c'est une affaire purement européenne. Selon cette idée, que l'aide américaine serait donc un geste charitable, plutôt qu'un impératif stratégique. Or, The New York Times avertit que cette vision est dangereusement simpliste. Selon le quotidien, Vladimir Poutine ne se limite pas à l'Ukraine : il cherche à remettre en cause l'ordre européen d'après-Guerre froide et à restaurer l'influence globale de la Russie au détriment des États-Unis. Un accord de paix mal négocié risquerait de fragiliser l'Europe — un partenaire économique majeur de l'Amérique — et d'aggraver les défis géopolitiques auxquels Washington est déjà confronté. Le journal conclut que l'administration Trump devra tôt ou tard affronter le Kremlin, Mais plus elle attend, plus cela coûtera cher aux États-Unis.La Cour Suprême autorise l'administration Trump à révoquer le statut de protection temporaire pour les migrants vénézuéliens. Le gouvernement pourra donc expulser quelque 350.000 Vénézuéliens, alors que cette affaire est jugée devant les tribunaux. Mais chez les Vénézuéliens de Miami, c'est la panique. Une Vénézuélienne citée par le Miami Herald dénonce une « décision cruelle » qui laisse des milliers de personnes dans un vide juridique. Ils pourraient perdre leur statut et leur autorisation de travail. Selon cette habitante d'Orlando, la Cour Suprême « fait fi de la dignité humaine et des valeurs fondamentales américaines, comme celle de protéger ceux qui ne peuvent pas rentrer chez eux en sécurité ». Et Cecilia González Herrera, c'est son nom, de poursuivre : « Nous sommes des gens honnêtes — étudiants, enseignants, soignants, survivants — qui contribuent grandement à ce pays. Nous méritons mieux que de vivre dans la peur d'être renvoyés vers un pays dangereux. ». Le journal El Nacional souligne qu'en Floride, où résident environ la moitié des plus de 600.000 Vénézuéliens présents sur le territoire américain, beaucoup avaient voté pour Donald Trump, pensant qu'il soutiendrait leur combat contre le président Nicolas Maduro. La suppression du TPS est d'autant plus dure pour cette communauté car ce statut de résidence temporaire est maintenu pour d'autres nationalités, comme les Salvadoriens. Journal de la 1ère Dernière ligne droite pour la campagne sucrière.

Chiste Interno
Episodio 76 - Jaime Ballestas (Otrova Gomas)

Chiste Interno

Play Episode Listen Later Apr 20, 2025 68:17


Accede a los episodios completos y contenido exclusivo en chisteinterno.com y en patreon.com/chisteinterno Episodio 76 - Jaime Ballestas (Otrova Gomas) Jaime Ballestas, mejor conocido por su seudónimo Otrova Gomas, es un escritor, abogado, comediante, fotógrafo, y una de las mentes más influyentes de la comedia contemporánea en Venezuela. Comenzó escribiendo artículos humorísticos en periódicos murales durante el liceo y la universidad, hasta que fue reclutado por Miguel Otero Silva para convertirse en columnista de El Nacional. Así inició una carrera que abarca más de 20 libros, entre ellos “El hombre más malo del mundo” (1978), “El cofre de los reconcomios” (1979) y “La miel del alacrán” (1980). También ha publicado tres colecciones fotográficas, incluyendo “Un mundo sin sombra”, dedicada a paisajes submarinos. Actualmente, es un prolífico autor de blogs y creador de contenido en redes sociales. En nuestra conversación hablamos sobre la imaginación, sus viajes en barco de vela, las tres virtudes que abarcan su trabajo, el papel de la risa cómo medicina, la tradición de los periódicos murales, la relación entre el humor y la filosofía, la diferencia entre la risa y la sonrisa, la creatividad ,el orígen de su seudónimo Otrova Gomas y el plan de Jaime para vivir 104 años. ¡Gracias, Jaime, por visitar Chiste Interno! TIMESTAMPS 0:00 | Jaime Ballestas, viajes, la imaginación y la felicidad absoluta. 31:50 | El rol del humor en la medicina y los orígenes de Otrova Gomas, 43:50 | La relación entre el humor y la filosofía 50:00 |La diferencia entre el humor y la filosofía. 01:15:30 |Jaime Ballestas, humorista genético, el liceo aplicación y el plan para vivir 104 años. Eventos Chiste Interno El próximo show de “Comediantes” es el 30 de abril en Miami. Entradas: ticketplate.com/comediantes Chiste Interno Academia (Cursos On-Demand y Talleres en Vivo) Cursos On-Demand: "Aprendo Stand-Up" y "Acelerador de Chistes" con Reuben Morales Disponible en: chisteinterno.com/reuben “Antes de Escribir Comedia” con Elio Casale Disponible en: chisteinterno.com/elio Créditos Creado y conducido: Oswaldo Graziani Producción ejecutiva por Oswaldo Graziani y Adrián Salas Producción, post-producción y música por Adrián Salas Asistencia de producción por Katherine Miranda Edición de formato largo por Yamn Milán Edición de formato corto por Ricardo Carmona Comunidad y Contenido por Pedro Graterol Diseño gráfico por Bodega Creative (bodegacreative.xyz) Redacción por Yxa Fuentes Estudio de grabación: Astro Studio chisteinterno.com

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¿Alexis a la U? Los azules reciben hoy a La Serena en el Nacional / #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 54:55


Journal d'Haïti et des Amériques
Deux journalistes haïtiens portés disparus

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 30:00


On est sans nouvelles de deux journalistes haïtiens depuis le 31 mars dernier, depuis l'attaque des gangs à Mirebalais. Selon l'Association des journalistes haïtiens, il s'agit de Jean-Christophe Collègue, ancien correspondant de Voice of America, dont la maison a été incendiée, et d'Israël Roger Claudy, enlevé par des criminels qui l'auraient pris pour des membres de la BSAP, cette unité des forces de l'ordre. Une dizaine d'autres journalistes ont dû prendre la fuite pour échapper à la violence des gangs. L'Association des journalistes haïtiens lance un appel pour exiger justice et demander aux autorités de mieux protéger les journalistes.Haïti : des drones pour lutter contre les gangsFace à cette violence toujours plus grande, la police utilise depuis quelques semaines des drones contre les groupes criminels. Ils permettent d'atteindre les zones contrôlées par les gangs. Une nouvelle stratégie qui ne fait pas l'unanimité. Ses partisans saluent un moyen pour les policiers de pouvoir enfin faire peur, voire de reprendre le contrôle de certains pans de Port-au-Prince et de ses environs. En revanche, d'autres voix critiquent l'efficacité limitée des drones et le risque de victimes collatérales. Reportage de notre correspondant en Haïti, Peterson Luxama.La République dominicaine veut « se protéger » de la crise haïtienneLa situation en Haïti inquiète son voisin, la République dominicaine, qui se barricade encore un peu plus. Hier, le président dominicain a annoncé des mesures pour, dit-il, protéger son pays. Luis Abinader « durcit le ton », écrit Le Nouvelliste qui liste les 15 mesures dévoilées hier et destinées à « contrer la migration irrégulière haïtienne ». Parmi elles, « l'envoi de 1 500 soldats supplémentaires à la frontière, en addition aux 9 500 déjà en poste, ainsi que la construction de 13 kilomètres de clôture supplémentaires aux 54 kilomètres de mur déjà construits », souligne le quotidien haïtien. Des mesures « drastiques », estime le journal dominicain El Nacional. Des mesures « fortes » pour El Caribe.Un demi-million d'Haïtiens vivent en République dominicaine, pays de 10,5 millions d'habitants.À lire aussiLa République dominicaine durcit encore le ton face à l'immigration illégale en provenance d'HaïtiAux États-Unis, les démocrates veulent riposterFace aux turbulences provoquées par Donald Trump, les démocrates sont assez silencieux jusqu'à présent. Mais voilà qu'ils décident de réagir, nous apprend le Washington Post, en créant une « cellule de guerre ». Les démocrates ont entendu leurs électeurs, rassemblés notamment hier dans les rues de plusieurs villes américaines. Des électeurs qui leur demandent de faire quelque chose. Et dans un premier temps, le parti veut « contrer les fausses informations de l'administration » Trump, explique le Washington Post. Pour cela, il va s'appuyer sur « un vaste réseau de micro-influenceurs qui peuvent avoir un public plus restreint, mais plus dévoué sur les réseaux sociaux ». Ce sont des « tactiques d'opposition créatives », se félicitent les responsables démocrates qui espèrent redorer leur blason alors que le parti est au plus bas dans les sondages, explique le Washingon Post. Pour beaucoup d'électeurs, les démocrates sont « ​​​​​​​faibles ».Des démocrates « faibles » et « vieux »Les jeunes démocrates estiment que « ​​​​​​​le parti est dominé par une vielle génération de dirigeants qui ont perdu le contact avec les luttes quotidiennes des Américains », peut-on lire dans un autre article du Washington Post. Des dirigeants qui ne sont pas assez combatifs, estime ainsi Saikat Chakrabarti qui a travaillé pour Alexandria Ocasio-Cortez. Des dirigeants qui « ​​​​​​​attendent simplement qu'arrive le retour de bâton pour Donald Trump et que la balance repenche en leur faveur ». « ​​​​​​​C'est comme si, depuis toujours, les démocrates et les républicains jouaient aux échecs. Sauf que là, les républicains ont mis le feu à la maison et les démocrates restent assis et réfléchissent à leur prochain coup », explique la sénatrice du Michigan, Mallory McMorrow, 38 ans, dans les colonnes du journal.Ce débat sur l'âge n'est pas nouveau et touche aussi les républicains. Nikki Haley, candidate aux primaires face à Donald Trump, avait qualifié le Congrès américain, de « ​​​​​​​maison de retraite la mieux lotie des États-Unis », rappelle le Washington Post. Fin 2023, 79% des Américains étaient pour l'instauration d'un âge maximum pour siéger à Washington. Mais pour certains démocrates, c'est devenu une urgence vitale de rajeunir le parti. Comme l'explique le Washington Post, ils ont l'impression que rien ne bouge alors que leur colère contre Donald Trump ne fait que grandir. C'est pour ça que beaucoup de démocrates trentenaires sont en train de se mettre en ordre de bataille en vue des élections de 2026.Au Chili, les machis soignent le corps et l'espritAu Chili, la médecine traditionnelle est de plus en plus populaire. Celle des Mapuches dépasse désormais la communauté et les Chiliens font plus souvent appel aux machis, ces guérisseurs et leaders spirituels. Ils connaissent les plantes locales, les utilisent pour soigner le corps et l'esprit à travers des rituels sacrés et des cérémonies. Reportage de notre correspondante, Naïla Derroisné.

Journal d'Haïti et des Amériques
USA : quelle stratégie pour les démocrates face à Donald Trump

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 28, 2025 30:00


Dans le New York Times, plusieurs chroniqueurs s'interrogent sur la position des démocrates face à Donald Trump, une position « faible » selon le quotidien. ⇒ Le New York Times. Les chroniqueurs mettent en lumière les faiblesses du leadership démocrate face à la menace représentée par Donald Trump. La sociologue Zeynep Tufekci critique le manque de cohérence entre le discours alarmiste des démocrates et leurs actions, notamment leur gestion maladroite de la candidature de Joe Biden en 2024. Selon elle, l'incapacité des responsables démocrates à reconnaître la gravité de la situation et à structurer une opposition efficace a empêché une véritable résistance face à Donald Trump. Ce vide de leadership compromet aujourd'hui la capacité du parti à s'organiser et d'élaborer une stratégie contre le président.S'occuper des préoccupations concrètes des Américains ? Le chroniqueur Nicholas Kristof de son côté souligne un autre problème : les démocrates insistent sur la défense de la démocratie, mais ce n'est pas un argument qui touche suffisamment les électeurs indécis. Pour convaincre, il faut s'adresser aux préoccupations concrètes des citoyens, comme le coût de la vie ou l'accès aux services publics. Le journaliste illustre son propos avec un exemple dans l'État d'Oregon, où une famille est devenue critique envers de Donald Trump après avoir rencontré des difficultés avec la Sécurité sociale. Selon lui, c'est ce type de problèmes du quotidien qui mobilise réellement les électeurs.La journaliste Masha Gessen nuance cette analyse et explique que l'intérêt personnel ne se limite pas aux aspects économiques. Elle évoque le concept de « deep story », une vision identitaire qui structure le vote des électeurs. Il ne suffit pas d'alerter sur une dérive autoritaire ; il faut proposer un récit fédérateur qui lie les préoccupations économiques aux atteintes aux droits fondamentaux. Elle prend l'exemple du président Zelensky en Ukraine, et estime qu'un bon dirigeant devrait présenter une vision collective et mobiliser les électeurs autour d'une cause qui dépasse leurs intérêts immédiats, explique-t-elle au New York Times.La situation sécuritaire continue de se dégrader en Haïti C'est le thème de l'éditorial de Frantz Duval dans le Nouvelliste. La situation à Port-au-Prince continue de se détériorer alors que les habitants de plusieurs quartiers fuient face à l'avancée des gangs, écrit-il. Deprez, Pacot, Debussy et d'autres zones sont en proie à un exode massif, tandis que des quartiers comme Turgeau et Pétion-Ville s'inquiètent de la propagation de la violence. Pillages et incendies rythment désormais le quotidien, et chaque jour sans affrontement est perçu comme le prélude à une nouvelle vague de chaos. L'État, en recul, semble incapable de rétablir l'ordre, renforçant un sentiment de délaissement total, selon le Nouvelliste. Le journal rappelle que le président du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) s'est rendu hier en Jamaïque pour une rencontre avec le secrétaire d'État américain Marco Rubio, mais aucune annonce concrète n'en est ressortie.La mort d'un policier kenyan de la MMAS Pour la deuxième fois en quelques semaines, un policier kenyan de la Mission multinationale d'appui à la sécurité en Haïti (MMAS) a trouvé la mort. Il est tombé dans une embuscade tendue par les gangs dans le département de l'Artibonite. Les groupes criminels ont aussi mis en scène leur opération macabre. Un récit de Vincent SouriauMarco Rubio lance un avertissement au Venezuela au sujet du Guyana   L'avertissement le plus sévère à ce jour contre le Venezuela sur ce sujet, estime le journal guyanais Stabroek News. « Si Caracas attaquait le Guyana ou les infrastructures d'ExxonMobil dans l'océan Atlantique, les conséquences seraient désastreuses », a déclaré Marco Rubio, à une question du journal. Des propos qui ont provoqué une réaction immédiate du président vénézuélien. C'est à lire sur le site de Telesur. Nicolás Maduro a rejeté les déclarations du secrétaire d'État américain, les qualifiant de tentative d'intimidation impériale, tout en accusant Marco Rubio de collusion avec l'opposition vénézuélienne. Un sujet qui se partage la Une avec le rapatriement des Vénézuéliens par les autorités américaines. Ce vendredi matin, un avion transportant 178 migrants expulsés des États-Unis, a atterri à Caracas. Ils étaient accueillis par le ministre de l'Intérieur, Diosdado Cabello qui a dénoncé la stigmatisation et de mauvais traitements dont ces migrants auraient été victimes aux États-Unis, peut-on lire dans le journal El Nacional.Journal de la 1re On revient sur le dernier jour de la visite de la ministre déléguée au Tourisme Nathalie Delattre en Martinique.

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CEPEDA ES BAJA EN LA ROJA / Chile recibe a Ecuador en el Nacional - ep.511 #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 79:18


Journal d'Haïti et des Amériques
Les Vénézuéliens d'États-Unis bientôt expulsés ?

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 7, 2025 30:00


La suppression du statut de protection temporaire (TPS) pour les Vénézuéliens aux États-Unis plonge des milliers de migrants dans l'incertitude. Comment cette communauté se prépare à de possibles expulsions ? Nous en avons parlé avec certains d'entre eux. Hector Arguizones, président de l'association VIA (Venezuelans and Immigrants Aid), tente d'apporter des réponses à travers des visioconférences très suivies. Il alerte sur les conséquences dramatiques de cette suppression : près de 300 000 personnes risquent l'expulsion vers le Venezuela, un pays où la situation ne cesse de se dégrader, notamment en matière d'économie, de santé et de sécurité, particulièrement pour les opposants politiques. Pourtant, l'administration Trump justifie sa décision en affirmant que les conditions au Venezuela se sont améliorées, un constat vivement contesté par la communauté vénézuélienne aux États-Unis.Face à cette situation, Nicolas Maduro appelle ses compatriotes à rentrer au Venezuela, mais la majorité des migrants refuse cette option. Certains envisagent même de quitter les États-Unis par leurs propres moyens, faute de passeport ou de visa pour un autre pays. Le désespoir est palpable : certains songent à traverser illégalement la frontière mexicaine, malgré les risques encourus. En attendant l'expiration officielle du TPS le 7 avril, les Vénézuéliens multiplient les demandes d'asile pour tenter d'éviter l'expulsion, tandis que les visioconférences d'Hector Arguizones restent un ultime recours pour obtenir des réponses et du soutien. Un dossier réalisé par Lila Olkinuora.Au Venezuela, la presse d'opposition alerte sur la situation des prisonniers politiquesSelon l'ONG Foro Penal, citée par El Nacional, plus de 1 000 personnes sont encore détenues pour s'être opposées au régime chaviste, notamment après la réélection de Nicolás Maduro en juin 2024, jugée illégitime selon elles. La mère d'un jeune détenu affirme dans le journal que les autorités l'ont menacée afin qu'elle ne se mobilise pas pour son fils, sous peine de représailles contre ce dernier. Elle évoque également la difficulté de trouver des médicaments pour le traitement de son fils, qui ne reçoit visiblement aucune aide médicale en prison.Malgré les menaces et les intimidations des autorités, les familles continuent à manifester pour exiger la libération de leurs proches.Les États-Unis suppriment des programmes soutenant l'opposition aux régimes autoritaires Aux États-Unis, les coupes budgétaires se poursuivent. Le département d'État a brusquement annulé des programmes d'aide à l'étranger qui soutiennent des militants de l'opposition en Amérique Latine. D'après le Miami Herald, ces projets concernaient les prisonniers politiques à Cuba, les groupes religieux s'opposant au président nicaraguayen Daniel Ortega et des militants anti Maduro au Venezuela. Les financements de ces groupes ont été annulés parce que le département d'État a conclu qu'ils n'étaient pas dans « l'intérêt national » des États-Unis.Une nouvelle politique étrangère américaine« La destruction de l'U.S.A.I.D. La menace de faire du Canada le 51è État. L'humiliation de l'Ukraine. Que se passe-t-il avec la politique étrangère américaine ? », s'interroge le New York Times. Est-elle désormais motivée par la cupidité personnelle de Donald Trump ou par son penchant pour les dictateurs ? Selon le New York Times, ce qui pousse le président à ces changements radicaux, « ce n'est pas la richesse ou l'idéologie d'un pays, mais sa puissance. Il croit dans la domination des faibles et dans la déférence à l'égard des forts. C'est une stratégie vieille comme le monde. On l'appelle le réalisme ».En fait, tout part de l'idée que l'ordre mondial international libéral n'a été possible que grâce à la puissance militaire des États-Unis et que les Américains ne veulent plus payer la facture. C'est le constat dressé par cette administration et dont elle a tiré les conséquences, poursuit le New York Times. Il s'agit d'un réalisme grossier, non stratégique, un « réalisme néandertalien », selon la formule du politologue Stephen Walt. « Les réalistes en relations internationales voient le monde comme un endroit brutal et anarchique. Pour eux, la sécurité ne vient pas de la promotion de la démocratie et de la mise en place des règles internationales mais du fait d'être le plus fort des tyrans - et d'éviter les batailles avec d'autres tyrans. Dans cette logique, Donald Trump veut éviter une guerre avec la Russie. Cela signifie qu'il faudra endurcir nos cœurs face à la détresse de l'Ukraine », écrit le New York Times.Haïti : comment le gouvernement a négocié avec les gangs la réouverture d'un hôpitalC'est une enquête réalisée par le journal en ligne AyiboPost et dont nous parlons avec l'auteur Fenel Pélissier. Il nous parle des négociations que les autorités ont menées avec des gangs pour rouvrir l'Hôpital de Chancerelles au cœur de Cité Soleil. Journal de la 1èreLancement réussi de la fusée Ariane 6 en Guyane.

Journal d'Haïti et des Amériques
L'ONU écarte le déploiement de casques bleus en Haïti malgré de nouvelles violences

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 30:00


Face à la spirale des exactions des gangs en Haïti, l'ONU doit apporter une aide logistique et financière à la mission multinationale de soutien à la police, a recommandé son secrétaire général, rejetant à ce stade les appels à déployer des Casques bleus. Frantz Duval, l'éditorialiste du Nouvelliste revient sur cette information, « la réponse n'est pas à la mesure des problèmes » dit-il, « L'ONU veut venir gérer des budgets pour des réponses qui n'apporteront pas de réponses à la crise sécuritaire qui est mal comprise et mal appréhendée à la fois par les autorités haïtiennes et par la communauté internationale ».Pendant ce temps, les mêmes scènes sont décrites dans les rues de Port-au-Prince et de ses environs : des habitants fuyant leur maison avec un sac ou une petite valise, pour échapper à la violence des gangs. Le site Passion Info Plus relate une situation mouvementée de nouveau ce mercredi (26 février 2025) à Delmas 19, Delmas 30 et à Kenscoff.« Port-au-Prince est en train de tomber lentement mais sûrement », estime Frantz Duval « et sans doute l'ONU comme les autorités haïtiennes vont quitter la ville pour de bon, à un moment donné et la messe sera dite pour la capitale haïtienne ».À lire également dans Le Nouvelliste, le témoignage du père Jean Gardy Maisonneuve, directeur exécutif du Sant Karl Lévêque qui témoigne de la montée en puissance des gangs à Delmas 30 et l'inaction de l'État. États-Unis : confusion autour de la mise en œuvre des droits de douanes au MexiquePlusieurs ministres mexicains se rendent à Washington ce jeudi (27 février 2025) pour parler sécurité et droits de douaneavec le secrétaire d'État américain Marco Rubio. La date butoir est fixée au 4 mars avant l‘application de 25% de taxes sur les produits mexicains importés aux États-Unis et après une pause d'un mois. Mais à la Maison Blanche, lors de son premier conseil des ministres, Donald Trump a parlé d'une date ultérieure, le 2 Avril. La presse mexicaine estime que rien n'est joué pour le moment« Nous ne sommes pas à l'abri d'une nouvelle pause » selon El Universal. Como la canción: “para abril o para mayo”; Trump “baila” fechas para los aranceles a México y Canadá | El Universal , « ce n'est pas la première fois que le président américain fait des déclarations confuses », et « en début d'année », rappelle le journal « le président américain a confondu l'Espagne avec un membre des BRICS. Lorsqu'il lui a été précisé que cette nation ne faisait pas partie de ce groupe, il a répondu qu'il imposerait des tarifs douaniers à tous les pays membres de cette organisation. » Le départ de Chevron, un revers économique pour le Venezuela Le président américain Donald Trump a annoncé l'annulation d'une licence d'exploitation de pétrole au Venezuela accordée à l'entreprise américaine Chevron, accusant notamment Caracas de ne pas respecter un accord de rapatriement de ses migrants.Le pétrolier américain était autorisé à opérer au Venezuela jusqu'à fin juillet 2025, rappelle la presse vénézuélienne. « La décision de Washington avance de plusieurs mois la cessation d'activité », rappelle El Nacional, qui se souvient que ces concessions avaient été autorisées en 2022 par l'administration Biden dans l'espoir d'obtenir des garanties pour des élections transparentes. Mais la réélection de Nicolas Maduro en juillet 2024 a douché les espoirs américains.Le départ de Chevron est « un revers économique pour le Venezuela », poursuit le journal, « la compagnie pétrolière américaine avait contribué à la réactivation de la production pétrolière du pays » qui a dépassé en février 2025 le million de barils par jour pour la première fois depuis juin 2019, selon des chiffres de l'OPEP. États-Unis : Elon Musk, « l'éléphant dans la pièce » à la Maison BlancheDonald Trump tenait hier (26 février 2025) son premier conseil des ministres, et Elon Musk est celui qui a le plus pris la parole, en dehors du président américain.L'omniprésence du milliardaire aux côtés de Donald Trump fait de lui une sorte de « co-président » sans en porter le nom, estime la presse américaine.Elon Musk attends Trump's first Cabinet meeting of new term - The Washington Post. Dans le Washington Post, cette vidéo assez déconcertante où Elon Musk se tient loin de la table où se tient ce premier conseil des ministres. Il est dans l'assistance quand un journaliste pose la question de savoir si les membres de l'administration Trump sont contents du travail de ce dernier au sein de la commission pour l'efficacité gouvernementale… silence gêné des secrétaires d'État, puis l'un d'entre eux commence par applaudir. Le tout se finit en une vague d'applaudissements que l'on sent polis, voire forcés. Puis, Donald Trump explique que certains de ses collaborateurs ne sont pas d'accord avec Elon Musk, mais que la plupart sont ravis de sa présence à ses côtés.Musk's Cabinet Cameo: The Elephant in the Room Wore Black - The New York Times. Le New York Times qualifie le super conseiller de Donald Trump d'«éléphant dans la pièce». Le journal rappelle comment quelques jours plus tôt, Elon Musk avait passé outre l'avis de toutes les personnes installées hier (26 février 2025) à la table autour du président américain, en envoyant un email à des millions d'agents fédéraux pour qu'ils justifient leur travail au quotidien sous peine d'être licenciés. « Elon Musk n'est pas un membre officiel de l'administration Trump, en fait il n'a aucun rôle précis », rappelle le New York Times, pourtant, clairement, il est le « patron ». Brésil : le défi vert du carnaval de RioAu Brésil, où le carnaval commence ce vendredi (28 février 2025). En cinq jours de festivités, près de 1 000 tonnes de déchets sont produites, uniquement pour le carnaval de Rio. Costumes, paillettes, canettes… carnaval et recyclage sont encore des concepts qui ont du mal à aller ensemble. Mais depuis plusieurs années, certaines initiatives tentent de sensibiliser le public et ses acteurs. Sarah Cozzolino, notre correspondante à Rio a rencontré Gabriella Cox, une jeune femme qui a créé sa marque de cosmétiques, baptisée « Céu momento », en 2018. En 2020, elle s'est tournée vers les paillettes biodégradables, produites à base d'un minéral abondant au Brésil, le mica.Autre secteur peu soutenable du carnaval, les costumes et déguisements. Souvent produits avec des matières de mauvaise qualité, les personnes qui profitent des blocos de carnaval, ces groupes de musiciens qui défilent dans les rues, en achètent des nouveaux chaque année. Pour ce qui est du Sambodrome et ses écoles de samba, c'est encore pire. À l'issue du défilé, des montagnes de costumes sont jetées. Face à ce constat, le projet « Sustenta carnaval », donne une seconde vie aux costumes.Un reportage à retrouver dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Le décès de Gene Hackman, le héros de la « French connection » L'acteur américain âgé de 95 ans, a été retrouvé mort hier (26 février 2025) aux côtés de son épouse à son domicile de Santa Fe, dans des circonstances encore inconnues.Gene Hackman dead: Two-time Oscar winner found dead in Santa Fe home - Los Angeles Times. Le Los Angeles Times revient sur la grande carrière de cet acteur qui avait gagné deux oscars pour le rôle d'un policier des stups habité par sa mission dans « French Connection, et pour un shérif sadique dans le film de Clint Eastwood «Unforgiven». Mais le public l'a découvert dans «Bonnie and Clyde» en 1967, aux côtés de Warren Beatty et Faye Dunaway. Cet ex Marine, qui aimait se battre dans les bars et qui avait un visage qu'il a un jour décrit comme «celui d'un mineur de fond» a été l'une des stars les plus prolifiques d'Hollywood : il a tourné dans près de 80 films au long d'une carrière qui s'est étalée sur 4 décennies.

Entérese con EL COMERCIO
Información al día: Femicidio en Ecuador; Muere Gene Hackman; Carnaval 2025 en Ecuador; Fallece Michelle Trachtenberg; Barcelona SC avanza en Libertadores.

Entérese con EL COMERCIO

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 4:52


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este jueves 27 de febrero de 2025.A continuación, las noticias de Ecuador y el mundo:Femicidio en Ecuador y la crisis de las víctimas que nadie veEncuentran muertos en su casa al actor Gene Hackman y su mujerEl Carnaval 2025 en Ecuador, ¿es un feriado recuperable?¿Qué se sabe de la muerte de Michelle Trachtenberg?Barcelona SC eliminó a El Nacional de la Copa LibertadoresSíguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Facebook, X, Tiktok, YouTube, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en podcast@elcomercio.com.Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO.

Journal d'Haïti et des Amériques
Les 100 jours du gouvernement haïtien d'Alix Didier Fils-Aimé

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 30:00


Le Premier ministre de transition a présenté les grandes priorités de son gouvernement, avec un accent particulier sur la sécurité, la crise humanitaire et l'organisation des élections. Nous en parlons avec le directeur d'AlterPresse, Gotson Pierre. Alix Didier Fils-Aimé a annoncé un doublement du budget consacré à la sécurité ainsi que la nomination d'un secrétaire d'État chargé de coordonner cette politique. Malgré ces engagements, les moyens mis en œuvre restent insuffisants, et le redéploiement des forces de l'ordre demeure un défi majeur, estime Gotson Pierre.Autre sujet évoqué avec le directeur d'AlterPresse, les manifestations des policiers confrontés à une insécurité croissante. Les agents réclament plus d'équipements, notamment des armes, blindés et drones, afin de lutter efficacement contre les gangs. Le syndicat de la police a lancé un ultimatum au gouvernement jusqu'au 12 mars 2025 pour obtenir des actions concrètes. Pendant ce temps, dans le département de l'Artibonite, des habitants s'opposent au départ des forces de l'ordre dans cette zone, craignant une détérioration de la situation sécuritaire.La relance du « bromance » entre Donald Trump et Emmanuel Macron La rencontre entre Emmanuel Macron et Donald Trump hier, lundi 24 février 2025, à Washington fait la Une de la presse américaine, qui commente abondamment l'offensive de charme du président français. Selon la chaîne CNN, Emmanuel Macron « a utilisé son vaste répertoire de compliments, son langage corporel tactile et ses poignées de main interminables », sans oublier les nombreux « Dear Donald » distillés tout au long de leurs échanges. Il s'est même permis de corriger le président américain devant la presse internationale, lorsque ce dernier a tenté de minimiser l'aide accordée par l'Union européenne à l'Ukraine. Un échange qui tourne en boucle sur les sites des médias américains. CNN insiste sur ce paradoxe : alors que le président français multiplie les flatteries envers son homologue américain, les États-Unis se sont profondément éloignés de leurs alliés occidentaux sur la question ukrainienne. Le journal en ligne Politico partage cette analyse. « La bromance entre Emmanuel Macron et Donald Trump était de nouveau à l'honneur à la Maison Blanche lundi », écrit le site d'information. Emmanuel Macron a couvert Donald Trump de compliments, le qualifiant de « game changer », tandis que l'Américain a salué leur « relation très spéciale ». Mais derrière ces amabilités, le fossé demeure. Pour Politico, le président français « reçoit des platitudes mais rien de concret » de la part du chef de la Maison Blanche.Autre sujet qui domine la presse américaine : l'immigrationAu Texas, la presse locale évoque la peur des migrants en situation irrégulière face aux raids de la police de l'immigration. Selon le Houston Chronicle, les résidents du quartier de Colony Ridge sont « sous le choc » après une série d'arrestations menées hier, lundi. Des opérations annoncées en grande pompe par le gouverneur Greg Abbott sur les réseaux sociaux. Le journal rapporte qu'un propriétaire de garage, installé au Texas depuis 20 ans, a été interpellé par six agents de l'ICE lourdement armés. Une arrestation qui a semé la panique parmi les habitants de ce quartier où vivent de nombreux immigrés. Sur les réseaux sociaux, les résidents partagent des prières, des conseils juridiques et des mises à jour en temps réel sur les déplacements des agents de l'immigration. Certains proposent même d'aller chercher les enfants des autres à l'école pour éviter que leurs parents ne soient arrêtés.De l'autre côté de la frontière, au Mexique, c'est le désarroi De nombreux migrants voient leur rêve américain s'effondrer. Le quotidien brésilien Folha de São Paulo est allé à la rencontre de familles bloquées dans des centres d'hébergement à Matamoros et Reynosa. Elles avaient un objectif commun : rejoindre les États-Unis. Mais depuis l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, le 20 janvier 2025, les procédures d'asile sont quasiment à l'arrêt. Le journal brésilien donne la parole à Wendy, une Hondurienne qui refuse de rentrer chez elle par crainte de violences et de persécutions politiques. Plus d'un mois après l'investiture de Trump, elle est toujours au Mexique, sans solution et avec un avenir incertain.Selon le quotidien vénézuélien El Nacional, les passages de migrants à travers la jungle du Darién – l'un des principaux points de transit vers les États-Unis – ont chuté de 94 % en janvier 2025 par rapport à l'an dernier. Un effet direct de la nouvelle politique migratoire de Donald Trump, renforcée par des mesures sécuritaires prises par le Panama.Résultat : de nombreux Vénézuéliens abandonnent leur rêve américain. Ceux qui remontaient vers le Nord font désormais demi-tour, cherchant refuge dans d'autres pays d'Amérique du Sud. Mais une chose est claire, écrit El Nacional : pour ces migrants, un retour au Venezuela n'est pas une option. Le Brésil lance une opération contre l'exploitation illégale du bois de la forêt amazonienneAlors que les discussions internationales sur la biodiversité reprennent, le Brésil a lancé une vaste opération contre l'exploitation illégale du bois en Amazonie. C'est un dossier présenté par notre collègue Linda Rousso. En 24 heures, plus de 5 000 camions ont été saisis, mettant en lumière l'ampleur de ce trafic. Contrairement à la déforestation, qui a ralenti sous le président Lula, l'extraction du bois continue de croître, souvent de manière illégale. Près de la moitié de cette exploitation ne respecterait pas les règles. Face à cette situation, les autorités brésiliennes ont intensifié les contrôles en fermant des usines illégales et infligeant des amendes totalisant près de trois millions d'euros. Mais le problème reste difficile à enrayer : les traces de ces exploitations disparaissent rapidement des images satellites. Pour limiter l'impact sur la forêt, les experts prônent une gestion plus durable, suggérant de réduire de moitié le nombre d'arbres abattus par hectare. Toutefois, sans un contrôle plus strict et des alternatives économiques, le trafic illégal de bois risque de perdurer, menaçant encore l'Amazonie.Journal de la 1ère Le Carnaval en Martinique n'est plus une bonne affaire pour les marchands de tissu.

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Información al día: Voto nulo y blanco podría cambiar elecciones; Trump, un mes en el poder sin frenos; Ecuador prohíbe sorbetes plásticos; Día del Gato y sus memes virales; Barcelona SC vence a El Nacional.

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Play Episode Listen Later Feb 20, 2025 3:40


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este miércoles 19 de febrero de 2025.A continuación, las noticias de Ecuador y el mundo:Elecciones 2025, el voto blanco y nulo, la sorpresa que podría cambiar el resultado;Donald Trump, un mes en el poder: más rápido, más decidido y sin frenos;Ecuador tomó una decisión sobre el uso de sorbetes plásticos;Día del Gato: ¿Cuál es el origen de los memes felinos más virales?;El Nacional cae ante BarcelonaSíguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Facebook, X, Tiktok, YouTube, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en podcast@elcomercio.com.Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO.

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Información al día: Elecciones 2025: Noboa vs. González; Milei y la criptomoneda $LIBRA; Gerardo y Kerly Morán en El Sillón; Murió Francesco Rivella, creador de Nutella; El Nacional prohíbe objetos en el Atahualpa

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Play Episode Listen Later Feb 18, 2025 4:23


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este martes 18 de febrero de 2025.A continuación, las noticias de Ecuador y el mundo:Elecciones 2025: resultados entre Daniel Noboa y Luisa González evidencian cuatro efectos;Milei se desliga de las pérdidas por criptomoneda $LIBRA y dice que solo la "difundió";Gerardo y Kerly Morán abren su corazón en la entrevista de El Sillón de EL COMERCIO;Francesco Rivella, el hombre que hizo de Nutella un ícono mundial, falleció a los 97 años;El Nacional prohíbe 14 objetos a hinchas en el partido contra Barcelona SC en el estadio Atahualpa.Síguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Facebook, X, Tiktok, YouTube, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en podcast@elcomercio.com.Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO.

SER Soria
Jaime Izquierdo (TRIATLON SORIANO) - El Deporama Triatlón Soriano brilla y clasifica a once deportistas para el Nacional de Duatlón

SER Soria

Play Episode Listen Later Feb 11, 2025 8:34


Jaime Izquierdo (TRIATLON SORIANO) - El Deporama Triatlón Soriano brilla y clasifica a once deportistas para el Nacional de Duatlón

LA PATRIA Radio
5. La Sub - 13 De Fútbol De Caldas Busca El Cupo En El Nacional De Medellín. Deportes

LA PATRIA Radio

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 3:07


Escuche esta y más noticias de LA PATRIA Radio de lunes a viernes por los 1540 AM de Radio Cóndor en Manizales y en www.lapatria.com, encuentre videos de las transmisiones en nuestro Facebook Live: www.facebook.com/lapatria.manizales/videos

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Información al día: El impacto del voto joven en Ecuador; Caída global de ChatGPT; Deuda del Estado con el IESS; Karla Sofía Gascón y su histórica nominación; El Nacional vence a Deportivo Quito.

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Play Episode Listen Later Jan 23, 2025 2:55


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este jueves, 23 de enero de 2025.A continuación las noticias de Ecuador y el mundo; ¿Cómo el voto joven está transformando las campañas políticas en Ecuador?; ChatGPT reporta caída a nivel mundial: ¿sufrió un ataque?; Esta cifra asciende la deuda del Estado con el IESS en Ecuador; En Tendencias: Karla Sofía Gascón es la primera mujer trans nominada al Oscar a mejor actriz; y En Deportes: El Nacional derrotó a Deportivo Quito en la Copa AFNA 2025.Síguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Facebook⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠X⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Tiktok⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠YouTube⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠podcast@elcomercio.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

Aristegui
El papel de la comunidad internacional en la crisis poselectoral de Venezuela en los ojos de un empresario de medios

Aristegui

Play Episode Listen Later Jan 14, 2025 25:01


Miguel Henrique Otero, exdiputado del Congreso Nacional de Venezuela y director del diario El Nacional, analizó en entrevista con Carmen Aristegui, el rol de la comunidad internacional en la crisis derivada del proceso electoral de Venezuela, en especial el papel que juegan Noruega y Estados Unidos, que acordaron que el país sudamericano debía realizar comicios libres y democráticos. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices

Journal d'Haïti et des Amériques
À Los Angeles, des incendies cauchemardesques

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 29:57


Deux jours de cauchemar, écrit le Los Angeles Times, mais la ville n'en a pas fini et se prépare à plusieurs jours encore d'incendies. Des vents très forts, des flammes immenses ont déjà fait des dégâts considérables, laissé des centaines de personnes sans-abri et causé la mort de cinq personnes. Les vents avaient légèrement baissé ce jeudi en début de journée, raconte le correspondant de RFI aux États-Unis, Guillaume Naudin. Mercredi soir, les flammes ont atteint les collines situées au-dessus du célèbre quartier de Hollywood, qui a été évacué. Elles menacent également Pasadena. 130 000 personnes ont été évacuées. Le président Joe Biden, qui était en déplacement à Los Angeles, s'est rendu auprès des pompiers. Et il a annulé son voyage en Italie, qui devait être le dernier de son mandat, pour superviser la réponse fédérale aux incendies.« Un mur de flammes alimenté par les vents consume les enclaves de L.A. », titre le New York Times, au-dessus d'une photo du quartier de Pacific Palisades, une photo d'arbres tordus par les vents ou en feu, une photo rendue orange, un orange intense, par la lueur des flammes. Le New York Post résume la situation : « Hell.A. », jeu de mot sur Hell (Enfer), L.A. (Los Angeles). « Apocalypse Los Angeles », renchérit le Washington Post. Mercredi soir, deux nouveaux feux sont apparus, dont l'un a provoqué, écrit le LA Times, des évacuations « chaotiques » près du quartier d'Hollywood. Deux feux sur lesquels ont été envoyés des pompiers déjà épuisés, souligne le quotidien.Des pompiers qui ont manqué d'eau pour combattre le feu : à trois heures du matin mercredi, tous les réservoirs d'eau du quartier de Pacific Palisades étaient à sec, ce qui, écrit le LA Times, a réduit le débit des bouches d'incendie situées en hauteur. « La demande était énorme dans le quartier, quatre fois plus que la normale, ce qui a fait baisser la pression de notre système », a expliqué le directeur général du département de l'eau et de l'électricité de Los Angeles.À lire aussiIncendies en Californie: Los Angeles cernée par les flammes, le centre d'Hollywood évacuéPolémiquesMais le président élu Donald Trump affirme que le manque d'eau est dû au gouverneur démocrate Gawin Newsom : « J'ai essayé de convaincre Gavin Newsom de laisser l'eau arriver sur place, mais il l'envoie dans le Pacifique pour sauver un petit poisson appelé "éperlan", qui en plus habite ailleurs, et à cause de cet éperlan ils n'ont plus d'eau. » Une polémique qui désole le principal intéressé, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom : « Je ne trouve même pas de réponse à cela. Les gens doivent littéralement s'enfuir, d'autres ont perdu la vie (…), et lui, il cherche à politiser tout cela. »Autre polémique : des véhicules bloqués par des bouchons au moment d'évacuer. Le New York Times parle d'une « évacuation catastrophique en préparation depuis des années » : « Les habitants de Pacific Palisades demandent depuis longtemps que l'on accorde plus d'attention à la préparation aux incendies qui frappent la région avec une fréquence et une férocité de plus en plus grandes. » Une résidente interrogée par le quotidien rapporte qu'à une réunion, on leur a dit que les itinéraires d'évacuation devraient être déterminés au moment de l'incendie. Résultat : des résidents qui tentent de fuir les feux et se retrouvent bloqués dans des voitures qu'ils doivent finalement abandonner, et qui seront à moitié détruites par les bulldozers venus libérer le chemin pour les équipes de secours.Manifestations ce jeudi au VenezuelaAu Venezuela, le président Nicolas Maduro doit prêter serment pour un troisième mandat consécutif ce vendredi. L'opposition, qui affirme que son candidat a remporté la présidentielle de juillet dernier, appelle à une grande manifestation ce jeudi. « C'est fini. Demain, nous nous serrerons tous dans nos bras », veut croire la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado, reprise par El Nacional. El Nacional qui écrit dans son éditorial : « Il est temps de nous engager jusqu'à la moelle de nos os à changer de politique, à restaurer la démocratie, à faire fleurir la liberté. » Mais au Venezuela, écrit Tal Cual, « la reconquête de la démocratie semble plus un idéal lointain qu'une réalité atteignable ». Tal Cual qui dans son éditorial rappelle – quand même – que « le destin n'est pas écrit ». Pendant ce temps, rapporte Ultimas Noticias, la vice-présidente affirme que l'opposition s'est associée à « des réseaux internationaux de trafiquants de drogue, de pédophiles et d'assassins, qui distillent la saleté » pour continuer à nuire au pays.Haïti : l'argent liquide manque en provinceFrantz Duval, le rédacteur en chef du Nouvelliste, revient sur un problème récurrent et quotidien pour les Haïtiens : la difficulté à trouver de l'argent liquide hors de la capitale, un argent liquide d'autant plus important qu'il n'y a quasiment pas de moyens de paiement alternatif dans les villes de province. Comme les routes principales sont bloquées, les bateaux attaqués en mer et qu'il n'y a pas de circuit aérien reliant la capitale et les autres villes, les banques ne peuvent pas transférer de montants importants en cash aux banques de province. En province, où il y a donc un rationnement sur les retraits, or « les gens ont besoin de cash ».Enquête sur Camisea, un des plus grands projets gaziers en Amérique latineGros plan sur l'un des plus grands projets gaziers en Amérique latine : Camisea. C'est un gisement de gaz situé dans le sud-est du Pérou, au cœur de la forêt amazonienne. Chaque année, ce consortium de six entreprises en extrait près de 14 milliards de mètres cubes de gaz.À écouter aussiCamisea, promesses et désillusions du gaz amazonienCette exploitation gazière fait l'objet de recherches menées par nos confrères de France 24 et le média d'investigation Disclose. RFI s'y est associée – à lire sur le site internet de RFI une série d'articles, « La ruée vers le gaz ». Objectif : comprendre le fonctionnement de ce site gazier et l'implication des banques françaises dans le secteur. Stefanie Schüler a interrogé le journaliste Alexander Abdelilah, qui s'est rendu sur le site de Camisea. Il lui a entre autres expliqué que l'impact de l'extraction gazière sur cet écosystème fragile est en théorie contrôlé, entre autre, par des structures « dont la nature nous a surpris » : des structures de type associatives, mais financées par les entreprises qu'elles sont censées contrôler.Le journal de la PremièreUn an après sa signature, le « contrat territorial de prévention et de sécurité » a fait l'objet d'une première évaluation en Martinique…

Journal d'Haïti et des Amériques
Le père Noël dans les favelas de Rio de Janeiro

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Dec 25, 2024 30:00


À Rio de Janeiro, une belle initiative apporte la magie de Noël aux favelas, là où les familles n'ont pas toujours les moyens de se rendre dans les centres commerciaux pour rencontrer le père Noël et prendre une photo (payante) avec lui. À écouter dans le reportage de notre correspondante Sarah Cozzolino. À travers une caravane qui parcourt 23 quartiers populaires, petits et grands peuvent prendre une photo gratuite avec le père Noël. C'est un luxe pour ces habitants, car, pour avoir un tel cliché très prisé par les enfants, ils doivent normalement débourser autour de 10 euros et se rendre dans un centre commercial.Pour beaucoup d'enfants, comme Giovana, 10 ans, c'est donc la première fois qu'ils croisent le père Noël, ce qui apporte un moment de joie simple, mais précieux. À l'origine de cette initiative se trouve Raull Santiago.Ce projet va au-delà des enfants, touchant aussi les adultes comme Inès Pereira, 67 ans, qui rencontre pour la première fois le père Noël après 25 ans passés dans la favela. Le bon déroulement de cette opération nécessite une organisation rigoureuse pour assurer la sécurité et la logistique dans des zones souvent marquées par des tensions entre factions. La caravane collabore étroitement avec les habitants et leaders locaux pour garantir que chaque visite se déroule sans encombre.Carlos Brandão, qui incarne le père Noël, partage des moments de bonheur et d'émotion intense avec les habitants. Originaire lui-même d'une favela, il comprend les réalités de ces quartiers. Entre la chaleur écrasante et les demandes bouleversantes, comme celle d'une petite fille souhaitant voir son frère quitter le trafic de drogue, Carlos s'investit pleinement dans son rôle. Fier de son engagement, il rappelle qu'il n'intervient que dans les favelas, loin des centres commerciaux, incarnant ainsi une figure de bienveillance là où elle est le plus nécessaire.En Haïti, un Noël sous les ballesLa nouvelle attaque meurtrière perpétrée par les gangs pour empêcher l'ouverture de l'hôpital général à Port-au-Prince fait les gros titres de la presse haïtienne. « La réouverture de l'hôpital général vire au carnage », titre Le Nouvelliste. De son côté, Gazette Haïti met en avant le message de Leslie Voltaire, président du Conseil présidentiel de transition, qui assure que cet acte ne restera pas impuni. Ce qui devait être un coup de communication pour le ministre de la Santé publique et de la Population – la réouverture de l'hôpital vandalisé au début de l'année par le gang Izo – s'est transformé en drame. Un drame qui, souligne Le Nouvelliste, met en lumière l'emprise des gangs sur une zone voisine du palais national.Les médias haïtiens rapportent que plusieurs journalistes, cherchant à se mettre à l'abri, ont été blessés par balles. Leurs collègues ont tenté, en vain, de trouver des infirmières. L'évacuation des blessés vers l'hôpital a été retardée en raison d'affrontements entre la police et les membres du gang.Dans les colonnes du Miami Herald, un journaliste attribue la responsabilité de l'incident au gouvernement haïtien. Il estime que cette attaque reflète un problème plus vaste, où les journalistes sont pris pour cible à la fois par la police et par les gangs. Le site d'information Alterpresse évoque des « manquements dans la mise en place des dispositions sécuritaires » autour de l'hôpital et dans les quartiers environnants, sous l'emprise des gangs armés depuis février 2024.Contacté par le New York Times, le ministère de la Santé n'a pas souhaité commenter la fusillade. Un porte-parole de la police a déclaré ne pas avoir d'informations sur l'incident. C'est finalement Johnson André, alias Izo, chef du gang responsable, qui a revendiqué l'attaque dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, écrit le journal.Libération des prisonniers politiques au VenezuelaDes fêtes de Noël endeuillées en Haïti, tandis qu'au Venezuela, une note d'espoir se dessine pour certains prisonniers politiques. Les autorités ont décidé de libérer plus de 200 d'entre eux, portant à 956 le nombre total de personnes libérées ces dernières semaines, selon El Nacional. Parmi ceux qui ont pu passer le réveillon en famille figure Edward Ocariz, militant des droits de l'homme. Ces personnes avaient été arrêtées pour avoir contesté la réélection de Nicolas Maduro en juillet dernier.Au Brésil, le président Lula s'attaque aux violences policièresLe gouvernement a publié mardi un décret réglementant l'usage de la force par les forces de l'ordre, rapporte Poder 360. Le texte stipule que les armes à feu ne doivent être utilisées qu'en dernier recours, et que le niveau de force doit être proportionnel à la gravité de la situation. Cette mesure intervient après une série de bavures policières, notamment dans l'État de Sao Paulo.Mais cette initiative suscite déjà des critiques à droite, souligne Carta Capital. Ronaldo Caiado, gouverneur de l'État de Goiás et candidat à la présidentielle de 2026, estime que ces nouvelles directives sont un « cadeau de Noël pour le crime organisé ».Journal de la 1èreDeux fusillades ont eu lieu dans la nuit de lundi à mardi en Martinique.

Revue de presse internationale
À la Une au Liban: un cessez-le-feu entre le Hezbollah et Israël aux 34 morts depuis trois semaines

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Dec 24, 2024 4:15


« Ce flou qui profite encore à Israël », titre le quotidien libanais l'Orient-le Jour alors que le comité de supervision de l'accord de cessez-le-feu doit se réunir ce mercredi. Un cessez-le-feu dont l'Orient-le Jour dresse le bilan. « Une désescalade aux limites floues. Entre raids aériens, tirs d'artillerie et de sommation, rafales de mitrailleuse, détonations de maisons et manœuvres en tout genre de troupes israéliennes recensées quotidiennement au Liban-Sud, sans parler des survols incessants des avions de guerre et des drones, y compris à Beyrouth. »Des victimes aussi. Parmi elles, selon l'Orient-le-Jour, « trois familles tout juste rentrées dans leurs domiciles frappés par l'aviation israélienne, ou encore un automobiliste ciblé par un tir de drone samedi dernier ».Selon le journal l'explication de ce cessez-le-feu de papier se cache justement sur le papier. « Le diable est dans les détails », écrit-il. « Ce document qui, dès son deuxième point, établit une nuance entre les obligations des parties libanaise et israélienne. Tout en rappelant le "droit inhérent à la légitime défense" des deux camps ». Il est demandé, d'un côté, au « Hezbollah et aux autres groupes armés présents sur le territoire libanais » de cesser de « mener des opérations contre Israël ». Tandis que, de l'autre, il est stipulé qu'« Israël ne mènera aucune opération militaire “offensive” contre des cibles libanaises, qu'elles soient civiles ou militaires ».« Offensive » un adjectif loin d'être anodin, note le quotidien francophone. « Offensive » alors qu'Israël justifie ses guerres par son droit à se défendre depuis le 7 octobre. Sous entendant que chacune de ces opérations sont défensives et donc légitimes.L'Espagne s'étonne de voir Manuel Valls revenir dans un gouvernement français après son abandon de posteL'ancien Premier ministre français né à Barcelone est de retour au gouvernement. Nommé par le président français Emmanuel Macron au ministère des Outre-mer. « J'ai cru que c'était une blague », se moque le journal El Nacional. Dans un éditorial acide, un journaliste grogne : « La France arrogante récupère Manuel Valls, 62 ans, après ses expériences politiques ratées », et rappelle « expériences parmi lesquelles son retentissant échec aux élections municipales de Barcelone en 2019 ». En effet, il y a cinq ans, l'ex-Premier ministre avait tenté une percée dans la vie politique catalane. Sans succès.« De cette période Valls », le journal se souvient de son départ. « Même s'il n'avait pas été nommé maire, il avait eu un siège au conseil municipal de Barcelone. Mais en 2021, il l'abandonne » raconte le journal : « Il ne s'est pas présenté à une séance plénière, (...) le conseil municipal a donc simplement pris acte de cette démission, qui a été approuvée avec la position favorable de tous les groupes ». Abandon de poste pour démarrer à l'époque une nouvelle carrière. Celle de chroniqueur sur des radios et télévisions privées françaises.El National, provocateur, titre « Manuel Valls, ministre des Colonies » et se demande quelle attitude adoptera cet ancien ministre de l'Intérieur face aux crises que traverse l'Outre-mer français.Aux États-Unis, Joe Biden décide de gracier la plupart des condamnations à mort fédéralesAnnonce faite ce lundi par le président Américain. Trente-sept détenus dans le couloir de la mort de la justice fédérale ne seront pas exécutés. Joe Biden utilise ses dernières semaines de mandat pour empêcher Donald Trump de procéder à ces mises à mort. Donald Trump partisans de la peine de mort.Le Washington Post ce matin salue un « revirement remarquable » de Joe Biden sur cette question. Lui qui était, il y a plusieurs décennies, un fervent partisan de la peine capitale. Le journal américain explique que « la peine de mort recule dans tout le pays au cours des dernières décennies » et rappelle que, « selon les sondages, le soutien de l'opinion publique aux exécutions a diminué ».

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Información al día: Déficit fiscal en 2024, Trump invitado por Milei, Aumento de extorsión en Ecuador, Derbez anuncia retiro en 2025, Final de la Supercopa Ecuador.

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Play Episode Listen Later Dec 17, 2024 4:13


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este martes, 17 de diciembre de 2024.A continuación las noticias de Ecuador y el mundo: El Ministerio de Finanzas prepara estrategias para enfrentar el déficit fiscal.; El presidente electo de Argentina invita a Donald Trump a su ceremonia de asunción; Las cifras de extorsión muestran un aumento alarmante en el país; En Tendencias: Eugenio Derbez considera un descanso en su carrera, según sus propias palabras; y en Deportes: Un emocionante duelo entre El Nacional y Liga de Quito definirá al campeón.Síguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Facebook⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠X⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Tiktok⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠YouTube⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠podcast@elcomercio.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

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Información al día: Restricción a sustitutos de leche; Automatización con Garabot; Tregua Líbano-Israel; Retratos de Felipe y Letizia; El Nacional campeón.

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Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 4:11


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este jueves, 28 de noviembre de 2024.A continuación las noticias de Ecuador y el mundo: Ley limita venta de sustitutos de leche materna; Garabot impulsa la automatización en marketing; Cese al fuego entre Líbano e Israel entra en vigor; En Tendencias: Retratos de Felipe y Letizia por Annie Leibovitz; y en Deportes: El Nacional celebra su título en la Copa Ecuador.Síguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Facebook⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠X⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Tiktok⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠YouTube⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠podcast@elcomercio.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO

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Milagro: Chile venció a Venezuela en el Nacional / Previa final Copa Chile / #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Nov 20, 2024 73:44


Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : dans les camps de déplacés, des personnes handicapées particulièrement démunies

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 16, 2024 30:00


Les crises qui secouent Haïti sont encore plus éprouvantes pour les personnes handicapées : celles qui vivent dans les camps de fortune à cause des violences des gangs sont encore plus démunies que les autres - sans le soutien dont elles auraient besoin pour espérer vivre normalement. Le correspondant de RFI à Port-au-Prince Peterson Luxama s'est rendu dans les camps de déplacés de la capitale, qu'il qualifie de « tombes vivantes pour les plus vulnérables ».Osiane habitait la banlieue de Carrefour-Feuilles, cette mère de trois enfants est paralysée depuis 2023 : « Quand il pleut, je passe toute la nuit assise. Je n'ai pas de matelas, je n'ai rien, même pas une bâche. Je n'avais jamais vécu dans de telles conditions auparavant. » Pascal est unijambiste. Il a été atteint d'un projectile alors qu'il essayait d'échapper à la violence des bandits armés dans sa zone : « Je suis obligé de souffrir, j'attends ma mort, car je ne vois personne pour m'aider, à part Jésus-Christ. »L'État haïtien semble totalement absent. Soinette Désir, ancienne secrétaire d'État à l'intégration des personnes handicapées, explique que « les camps où se trouvent les personnes à mobilité réduite n'étaient pas conçus pour cela, et ne sont pas accessibles aux personnes handicapées. La manière dont ces personnes évoluent dans ces camps est franchement inimaginable. » Garry Conille, de retour du Kenya et d'Arabie SaouditeDe retour de son voyage au Kenya et aux Émirats Arabes Unis, le Premier ministre haïtien Garry Conille s'est félicité de « la solidarité extraordinaire » du président Ruto – le Kenya doit envoyer 600 hommes en plus des 400 déjà en Haïti pour faire face aux gangs. William Ruto, a précisé le Premier ministre, s'est également engagé « à entamer des discussions avec ses pays amis et alliés afin de les encourager à prendre part à la Mission multinationale », rapporte Le National.Garry Conille est aussi revenu sur son étape aux Émirats Arabes Unis, expliquant avoir rencontré « un des plus grands fabricants d'armes et de munitions », et avoir vu « toute une série d'équipements qu'ils mettront à notre disposition. »« Fort de ces appuis », écrit Le Nouvelliste, Garry Conille s'est dit confiant dans la capacité de son gouvernement et du Conseil présidentiel de transition à surmonter la crise ». Tensions entre le gouvernement et le Conseil présidentiel de transition Mais les tensions sont bien réelles à la tête de l'État haïtien. « Il est de plus en plus évident que le pays n'a pas un exécutif à deux têtes, mais deux gouvernements en compétition », écrit Le Nouvelliste.La manifestation la plus évidente en est des appels du Conseil présidentiel à révoquer la ministre des Affaires étrangères Dominique Dupuy, qui n'est pourtant, selon Juno 7, « accusée de rien de concret ». Le Nouvelliste estime que Lesly Voltaire, président du Conseil présidentiel depuis début octobre, cherche en fait « à prendre sa revanche sur le gouvernement » après sa « mésaventure » le mois dernier en marge de l'Assemblée générale des Nations unies à New York – il s'était vu refuser l'entrée à une rencontre entre Garry Conille et le président brésilien Lula. Le fait de viser expressément Dominique Dupuy serait lié, selon plusieurs sources de Juno 7 et du Nouvelliste, « à ses positions fermes sur la déportation massive des Haïtiens » par la République Dominicaine. En Colombie, des indigènes « autorités gouvernementales » sur leurs terres« Petro signe le décret que les indigènes attendaient depuis 33 ans : maintenant, ils ont autorité sur l'environnement », titre El Espectador, et ce à quelques jours du lancement de la COP16 sur la biodiversité à Cali. Le président Petro le voit comme le remboursement d'une dette historique aux peuples autochtones. « Parmi leurs nouvelles compétences », détaille El Pais, « la protection des écosystèmes, la formulation de règles pour la gestion et la conservation de leurs territoires, la planification des budgets, ou encore la prise de décisions sur l'utilisation des terres ». Certains organisations d'agriculteurs critiquent le fait que le décret ne définisse pas clairement les limites des terres indigènes, et craignent de possibles restrictions sur l'utilisation de ressources essentielles comme l'eau. Des « crimes contre l'humanité » au Venezuela selon l'ONU La mission de l'ONU a affirmé ce mardi (15 octobre 2024) qu'elle « voyait des motifs raisonnables pour penser que le gouvernement de Nicolas Maduro a commis des ‘crimes contre l'humanité' avant, pendant et après la présidentielle du 28 juillet », rapporte Efecto Cocuyo – présidentielle que le président Maduro comme l'opposition affirment avoir remporté. Sur des faits commis entre le 1er septembre 2023 et le 31 août 2024, « la mission internationale accuse les forces de sécurité et les groupes civils armés d'assassinats et de disparitions forcées », écrit El Periodiquito.Entre le 28 juillet - jour de l'élection - et le 30 juillet, le rapport dénombre au moins 25 morts, rapporte El Nacional,etparle aussi de détention massive d'au moins 150 enfants après les élections.Ce rapport est rejeté « énergiquement », écrit El Periodiquito, par la représentation vénézuélienne à l'ONU, qui le décrit comme « un pamphlet », « un roman », « un scénario fantaisiste ».C'est dans ces circonstances, rapporte Tal Cual, que la cheffe de l'opposition Maria Corina Machado a envoyé mardi soir un message aux fonctionnaires du Ministère de la justice, leur demandant de ne pas obéir à des ordres qui violent la Constitution. La pauvreté augmente au CanadaAu Canada, environ deux millions de personnes sur 40 millions ont régulièrement besoin d'aide pour manger – des chiffres largement sous-estimés, selon l'ONG Banques alimentaires Canada, selon laquelle un habitant sur quatre est en fait victime de la faim ou d'insécurité alimentaire. Les lieux dans lesquels de la nourriture gratuite est distribuée se multiplient, y compris à Québec.La correspondante de RFI Pascale Guéricolas a pu constater que de plus en plus de salariés touchés par l'inflation et la hausse du prix des logements fréquentent, eux aussi, les lieux où sont distribués des paniers de nourriture gratuits. L'immense entrepôt de Moisson Québec, qui distribue des aliments à 130 organismes de la ville de Québec, témoigne de l'ampleur des besoins alimentaires : 80 000 personnes, installés dans cette région pourtant riche, dépendent en partie de cette nourriture gratuite contre 30 000 avant la pandémie Le journal de la PremièrePrévue ce mardi, puis reportée sine die par le président de la Collectivité Territoriale de la Martinique, la nouvelle « table ronde » sur la vie chère se tiendra finalement ce mercredi (16 octobre 2024) dans les locaux de la CTM !

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Chile perdió agónicamente con Brasil en el Nacional y se despide del Mundial / #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Oct 11, 2024 67:46


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Chile recibe a Brasil en el Nacional: última esperanza para La Roja de Gareca / #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Oct 10, 2024 67:57


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Información al día: Estado de excepción en Quito y seis provincias de Ecuador; Lluvias provocan desbordes de ríos; Informe sobre delitos de Donald Trump; La importancia del magnesio; El Nacional en semifinales de Copa Ecuador

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Play Episode Listen Later Oct 3, 2024 4:09


Información al día de EL COMERCIO, Platinum y Radio Quito este jueves, 3 de octubre de 2024.A continuación las noticias de Ecuador y el mundo: Estado de excepción decretado en Quito y seis provincias por seguridad; Lluvias torrenciales provocan desbordes en ríos y quebradas del sur de Quito; Fiscales de EE.UU. publican informe completo sobre delitos de Donald Trump. En Tendencias: La importancia del magnesio y los alimentos que lo contienen. En Deportes: El Nacional eliminó a Liga de Quito de la Copa Ecuador.Síguenos en redes sociales: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Instagram⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Facebook⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠X⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Tiktok⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠YouTube⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠, Canal de WhatsApp y Canal de Telegram.Puedes contactarnos en ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠podcast@elcomercio.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Gracias por escuchar este podcast, un producto de Grupo EL COMERCIO.Más info: https://www.elcomercio.com/podcasts/informacion-al-dia

Voices of Search // A Search Engine Optimization (SEO) & Content Marketing Podcast

SEO Strategist at El Nacional, Clara Soteras, discusses the intricacies of SEO strategy for news media. In this episode recorded in Spanish, Clara shares her perspectives on: impact of international projects on gaining SEO experience, the role of digital transformation in modern newsrooms, strategies for leveraging Google Discover in different countries,, and the importance of networking and consultancy in SEO. Show NotesConnect With: Clara Soteras: Website // LinkedInThe Voices of Search Podcast: Email // LinkedIn // TwitterBenjamin Shapiro: Website // LinkedIn // TwitterSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

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Vergonzoso: Chile perdió con Bolivia en el Nacional y se aleja del Mundial / #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Sep 11, 2024 65:37


Journal d'Haïti et des Amériques
L'opposition vénézuélienne orpheline d'Edmundo González Urrutia

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Sep 9, 2024 30:00


Privés de leur représentant à la présidentielle et encore abasourdis par son départ précipité vers l'Espagne, les opposants au régime chaviste veulent se convaincre que ce n'est pas la fin de leur combat.  Comme elle est amère, la presse anti-chaviste. Dans les pages d'El Nacional par exemple, on admet que González Urrutia rejoint la liste des Vénézuéliens contraints d'abandonner leurs terres, mais « il ne faut pas considérer cet éloignement avec désespoir », veut croire le journal. Au contraire, « l'histoire nous a montré que la résistance en exil, bien organisée et avec des objectifs clairs, peut être le prélude au retour triomphal de la démocratie ». Cela ressemble très fort à un vœu pieu, mais d'après El Nacional, l'exil d'Urrutia « n'est pas une défaite, mais une pause dans un combat qui n'est pas encore terminé ».Comme aux échecs, écrit l'économiste Benjamin Tripier, le roi doit être protégé. Or, à tout moment, « les forces de la répression, les hommes cagoulés et les mercenaires auraient fini par capturer Edmundo et le tuer ». Il a été sauvé, et de toute façon, « il n'était pas raisonnable que les deux têtes de l'opposition restent à la portée de Maduro, l'un des deux devait être à l'extérieur pour la sécurité et la continuité de leur projet politique et pour préparer le 10 janvier 2025 », jour de l'investiture.Le piège de l'oubliIl faut ouvrir El Pais pour revenir sur Terre : le départ de González Urrutia « laisse un vide énorme », souligne le quotidien espagnol, que l'opposition doit combler dans un paysage politique complexe, « où n'importe qui peut être arrêté à n'importe quel moment ». Mais le piège de l'exil, « c'est qu'il s'accompagne de l'oubli, comme c'est arrivé à de nombreux opposants qui ont quitté le Venezuela pour des raisons de sécurité ».Le dossier Amériques d'Edward Maille : la modification très politique des procédures électorales dans l'État de GéorgieEn Géorgie, le Conseil électoral pro-Trump vient de voter de nouvelles règles qui donnent aux comtés une marge d'autonomie inédite : ils ont désormais la possibilité de ne pas valider une élection s'il existe un « soupçon de fraude ».Or, c'est à l'échelle locale, celle du comté, que se fait le décompte des voix. La démocrate Anita Tucker, rencontrée par RFI dans la banlieue d'Atlanta, s'interroge sur ces nouveaux pouvoirs conférés aux membres des micro-autorités électorales : « N'importe quel membre d'un conseil électoral local pourra faire ce qu'ils appellent une "enquête raisonnable". Ce terme est très ambigu, très large, et les règles n'expliquent pas quelles en sont les limites. Ce qui signifie qu'une personne qui supervise les élections dans un comté pourrait décider d'arrêter le décompte des voix. »Depuis la dernière élection en 2020, un nombre croissant de républicains n'ont plus confiance dans le processus électoral et estiment que Joe Biden a volé les élections. Avec cette nouvelle règle, la crainte des démocrates, c'est que ces mêmes républicains, dotés de responsabilités locales, refusent de valider les élections en cas de victoire de Kamala Harris.Anita Tucker ne s'oppose pas par principe à la vérification des résultats, elle y est au contraire très attachée, dit-elle, mais elle estime que ce n'est pas au personnel des comtés de le faire : « Il y a déjà des processus, des contre-pouvoirs et des règles pour gérer n'importe quelle irrégularité qui pourrait survenir après le décompte des voix. Mais les enquêtes doivent être menées par le Conseil électoral de l'État, pas à l'échelle du comté. »Avec le Parti démocrate, elle a récemment porté plainte contre les nouvelles règles mises en place dans l'ensemble de la Géorgie, qui, selon elle, laissent craindre le pire : « Le pire scénario serait qu'il y ait une telle confusion, un tel chaos en Géorgie, que personne ne puisse décider quel vote compte, et quel vote ne compte pas, et l'on pourrait rater nos échéances. Si l'on ne transmet pas nos voix au collège électoral en décembre, nos voix ne compteront pas pour l'élection présidentielle. »Les suffrages des électeurs de Géorgie seraient pourtant primordiaux pour une victoire en novembre prochain : en 2020, Joe Biden avait remporté cet État avec seulement 12 000 voix d'avance.Veille de débat crucial pour les deux campsCe mardi 10 septembre à 21h, heure française, sur la chaîne ABC, en direct d'un studio installé à Philadelphie, place à 90 minutes de joute verbale lors du premier débat entre Donald Trump et Kamala Harris. Il sera scruté d'autant plus près que c'est une revanche, car les Républicains mènent 1 à 0. La première manche, ce n'est pas tellement Donald Trump qui l'a gagnée, mais Joe Biden qui s'est écroulé, miné par ses absences, ses bafouilles et ses oublis. La catastrophe a été telle qu'elle a miné la confiance des démocrates et fini par pousser Kamala Harris sur le ring.Donald Trump de nouveau à l'offensive ?Dans le Washington Post, Marc Thiessen, ancien stratège du Parti républicain et plume de l'ex-président George W. Bush, propose à Donald Trump un plan pour convaincre les indécis. Il tient en quatre points : d'abord, assumer son programme. Thiessen met sur la table un sondage du mois de juillet, selon lequel la majorité des sondés approuvent le programme des républicains et 54% d'entre eux le bilan de la présidence Trump. D'après Thiessen, il doit donc se concentrer sur ses mesures et rappeler aux indécis ce pourquoi ils le connaissent.2. Attention à l'agressivité, aux noms d'oiseau et aux petites phrases assassines. Chacun sait qu'il adore ça, mais les indécis, eux, n'apprécient pas. Et la première chose à faire pour Donald Trump, c'est de rester sous les radars, même si, d'après Thiessen, « Kamala Harris va le pousser à la faute. S'il se met par exemple à parler du 6 janvier 2021 ou à défendre les envahisseurs du Capitole, il va perdre ».3. Faire le lien entre Harris et Biden. La vice-présidente, poursuit Thiessen, veut se faire passer pour le renouveau du pays. La tâche de Trump, c'est de la ramener dans les pattes du patron de la Maison Blanche, au bilan de Joe Biden, « et si elle tente de s'en démarquer, lui demander pourquoi elle n'assume pas, ce qui a cloché ces quatre dernières années », alors qu'elle et lui étaient au pouvoir.4. Souligner ses contradictions, et c'est vrai, il y en a beaucoup. Elle a changé d'avis sur la fracturation hydraulique, sur la santé, sur l'écologie ou sur l'immigration. Si Trump parvient à mettre ces revirements en exergue et surtout à lui faire dire pourquoi elle a changé (seulement pour se faire élire, selon Thiessen), il peut coincer Kamala Harris aussi bien qu'il a coincé Biden.Haïti à l'honneur au festival de photojournalisme Visa pour l'image, à Perpignan, dans le sud de la FranceLe photographe français Corentin Fohlen s'est rendu à Port-au-Prince en mars dernier pour le magazine Paris Match avec le journaliste Nicolas Delesalle. Durant son séjour, il a rencontré un chef de gang très visible sur les réseaux sociaux, qui faisait alors la Une des médias, l'ancien policier Jimmy Chérizier, surnommé Barbecue. Corentin Folhen revient au micro de notre envoyée spéciale à Perpignan, Murielle Paradon, sur cette rencontre et les conditions de son travail de longue haleine consacré à la société haïtienne. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreLa question des monopoles qui inquiète l'État.

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Claudio Bravo se retiró del fútbol / La U recibe a Unión en el Nacional / #BalongRadio

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Play Episode Listen Later Aug 27, 2024 65:42


Journal d'Haïti et des Amériques
Convention démocrate : « Il faut sécuriser la base de l'électorat »

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 19, 2024 30:00


La Convention nationale du parti démocrate américain débute ce lundi 19 août  2024 à Chicago, dans le nord des États-Unis. Pendant quatre jours, des poids du parti comme Barack Obama, Hillary et Bill Clinton s'adresseront aux milliers de délégués du parti afin de galvaniser leur électorat en vue de à l'élection présidentielle du 5 novembre 2024. Comme un passage de flambeau, le président sortant doit prendre la parole lors de cette grand-messe au cours de laquelle Kamala Harris sera officiellement intronisée candidate. Le rendez-vous est fixé tous les quatre ans pour désigner le candidat démocrate à l'élection présidentielle. Mais cette année, après le renoncement de Joe Biden, la saveur n'est pas la même. L'objectif de cette convention démocrate est « de montrer l'unité du parti derrière sa candidate, explique notre invité Mathieu Gallard, directeur d'études chez Ipsos. « Il faut sécuriser la base de l'électorat, et séduire ceux qui peuvent hésiter entre Kamala Harris et Donald Trump en ciblant les problématiques qui peuvent intéresser ces électeurs. » Le retrait du candidat président Joe Biden « a donné un nouvel espoir au camp démocrate, analyse notre envoyé spécial Guillaume Naudin.Ces quatre jours vont mettre le parti démocrate sur le devant de la scène, et cela influencera probablement les sondages, prévient Mathieu Gallard : « Ce n'est qu'à partir du début du mois de septembre qu'ils vont devenir intéressants ».Un « début de campagne réussi » pour Kamala HarrisPour l'heure, la plupart des sondages placent Kamala Harris devant Donald Trump, « grâce aux électeurs sceptiques vis-à-vis de Joe Biden, qui se sont ralliés à la nouvelle candidate démocrate, et à une partie de l'électorat hésitant, que Kamala Harris a réussi à mobiliser grâce à ce début de campagne réussi », souligne Mathieu Gallard. La vice-présidente a annoncé avoir récolté 310 millions de dollars de financements en juillet, plus du double des fonds recueillis par Donald Trump. « Il y a clairement un souffle qu'il faut prolonger, assure Guillaume Naudin. Il y a de la joie et de l'espoir. C'est d'ailleurs ces mots que des militants démocrates se sont amusés à projeter hier soir (18 août 2024) sur la façade de l'immeuble siglé Trump ici à Chicago. » Kamala Harris est dans une bonne dynamique donc, « même s'il faut rester méfiant, car on a vu comme des évènements peuvent modifier le cours d'une campagne électorale ».Un duo de gaucheEt si Kamala Harris et son colistier Tim Walz peuvent être jugés trop à gauche par un électorat indépendant et centriste, « ces électeurs pourraient se décider en observant la crédibilité des acteurs plutôt que leur positionnement idéologique, assure Mathieu Gallard. De ce point de vue-là, le choix de Tim Walz a été bien accueilli, car même s'il est plutôt à gauche, il reste un élu d'un état rural, du Midwest, il est bien implanté, depuis longtemps, il connaît ses dossiers. Cet électoral peut se dire qu'il est plus crédible et plus solide pour ce rôle de vice-président que JD Vance, le colistier de Donald Trump qui n'a que deux ans d'expérience et n'a pas une telle maîtrise des dossiers ». Plus de passeports en HaïtiLa direction de l'Immigration et de l'Émigration a annoncé, lundi 19 août 2024, l'arrêt de la production de nouveaux passeports, rapporte le média LoopNews. En cause, un problème dans le système d'impression des passeports, et de fil en aiguille, c'est tout le processus de livraison qui a pris du retard. Plus de 10 000 documents d'identité seraient bloqués par ce problème technique. Une équipe a été spécialement mise en place pour le résoudre, mais pour l'instant, personne ne sait quand la production de passeports reprendra. Les services concernés demandent aux Haïtiens d'être patients.À lire aussiAu large d'Haïti, des dizaines de migrants meurent dans l'incendie de leur bateauMobilisations pour le VenezuelaCe week-end, l'hymne du Venezuela a résonné aux quatre coins du monde. La communauté vénézuélienne s'est réunie, samedi 17 août 2024, pour protester contre la réélection de Nicolas Maduro. Ils sont des millions à être descendus dans la rue en réponse à l'appel lancé par l'opposante Maria Corina Machado. Les copies des procès-verbaux de leur bureau de vote en main, ils ont exigé une publication des résultats de l'élection présidentielle du 28 juillet 2024. Le Conseil National Électoral en est chargé, mais ne l'a toujours pas fait, prétextant un piratage informatique.Dimanche 18 août 2024, la Cour suprême de justice du Venezuela a commencé le processus de validation des votes, nous apprend El Nacional. Les votes papiers vont être comparés avec les votes électroniques, explique le quotidien, et si les deux types de vote coïncident bien, les résultats donnés par le Conseil National Électoral seront validés. C'est Nicolas Maduro qui a demandé à la Cour suprême de justice de faire ces vérifications, mais l'opposition rejette le processus, car cette mission ne serait pas du ressort de cette instance, acquise à Nicolas Maduro.À écouter aussiVenezuela: l'opposition continue d'occuper la rue à Caracas et à travers le mondeJournal de la 1èreOn connaissait déjà le très probable lien de causalité entre le chlordécone et l'apparition de certains cancers, on apprend aujourd'hui que l'exposition au pesticide pourrait aussi favoriser le développement de pathologies cardiaques.À écouter aussiLa «responsabilité» de l'État reconnue dans le scandale du chlordécone aux Antilles: «On se réjouit mais ce n'est pas suffisant»

Journal d'Haïti et des Amériques
Hans Larsen : «Nous préparons nos athlètes haïtiens pour les prochains jeux»

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 12, 2024 30:00


Les Jeux Olympiques de Paris 2024 se sont clôturés dimanche 11 août en grandes pompes. La prochaine fois que la flamme olympique brillera, ce sera dans le ciel de Los Angeles, en Californie, sur la côte ouest américaine. Et les athlètes haïtiens comptent bien faire partie de la compétition. La transmission du drapeau olympique s'est faite au son des concerts d'artistes américains, comme les Red Hot Chili Peppers, Billie Eilish ou encore Snoop Dog, le long des plages de Los Angeles. « Les artistes se sont produits sur une scène improvisée, déplore le Los Angeles Times, installée à côté de faux palmiers suffisamment courts pour rentrer dans le cadre des caméras et devant une foule de figurants petite mais adoratrice ». La ville se plonge d'ores et déjà dans les préparatifs des Jeux Olympiques 2028, et mise sur une édition sans voitures. « Ce ne sera pas une mince affaire », a reconnu la maire de la ville dans les colonnes du Washington Post. Le New York Times se demande même si c'est vraiment possible : « Los Angeles, la capitale américaine de la culture automobile, où la vie quotidienne est plus rythmée par le trafic que par la météo, pourra-t-elle vraiment y parvenir ? » La cité des anges veut améliorer son réseau de transport en commun, et maintenant que les Jeux de Paris sont terminés, « le compte à rebours est lancé pour Los Angeles, prévient le New York Times, et le temps presse » car l'objectif zéro voiture est encore loin.Le bilan du comité olympique haïtienIls étaient sept athlètes à participer aux Jeux Olympiques sous les couleurs haïtiennes, mais aucun n'a réussi à ramener de médailles. « Pour préparer des athlètes, il n'y a pas de secret, il faut à peu près douze ans et il n'y a pas d'improvisation, explique Hans Larsen, président du comité olympique d'Haïti. Le Comité a essayé de faire de son mieux malgré toutes les difficultés qu'on a rencontrées pour amener les athlètes à Paris. Malheureusement, et malgré les efforts des athlètes, l'accompagnement des fédérations par l'État n'a pas suffi. » Mais il reste optimiste : « Malgré tout, il y avait des athlètes jeunes comme Mayah Chouloute, 14 ans. Nous pouvons regarder vers un avenir un peu moins sombre malgré les difficultés socio-économiques ou politiques que traverse la nation haïtienne. » D'ailleurs, les Jeux Olympiques 2028 sont déjà en préparation, affirme Hans Larsen. « Nous avons déjà entamé les démarches et le dialogue avec l'État haïtien. Il faut un soutien plus réel et substantiel aux fédérations pour pouvoir accompagner les athlètes et permettre à leurs entraîneurs de les mettre dans les meilleures conditions de préparation et de participation aux prochains jeux de Los Angeles 2028. » Hans Larsen veut penser au sport comme une solution aux violences que vit Haïti. « Par le sport, on diminue la délinquance juvénile, on permet le dialogue social. Quand j'étais jeune, je jouais au football, je faisais de l'athlétisme, je traversais Port-au-Prince à travers les bidonvilles. Je connaissais tout le monde et tout le monde me connaissait. J'avais des amis partout et j'ai encore des amis partout grâce au sport. J'ai vécu une jeunesse d'intégration, d'amitié auprès de toutes les classes sociales d'Haïti. Le sport peut être le ciment, le lien entre les diverses classes sociales et réunir toute la jeunesse haïtienne, parce qu'ils sont frères. Même s'ils se battent, ils restent frères. » Au Venezuela, l'opposition appelle à de nouveaux rassemblementsMaria Corina Machado donne rendez-vous aux Vénézuéliens samedi 17 août 2024. La cheffe de file de l'opposition appelle à manifester au Venezuela et partout dans le monde pour revendiquer la victoire de son camp. Dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux, elle dit s'adresser « à tous les Vénézuéliens qui ont souffert, explique El Nacional. Ceux qui ont été séparés de leur famille, privés d'électricité ou d'eau, voire de nourriture. Ceux qui n'ont pas pu rentrer au Venezuela, qui n'ont pas été autorisés à voter ou qui ont voté mais dont le gouvernement veut maintenant ignorer les résultats », écrit le journal. S'il n'y a pour l'instant « pas plus de détails sur l'organisation de ces rassemblements », précise le média Tal Cual, Maria Corina Machado a demandé aux Vénézuéliens d'imprimer les registres de leurs centres de vote et d'aller manifester avec.En parallèle, les États-Unis mèneraient des négociations avec Nicolas Maduro pour le pousser à quitter le pouvoir, nous apprend le Wall Street Journal. Le gouvernement américain aurait proposé au président vénézuélien contesté de le grâcier, lui et ses principaux lieutenants, poursuivis par la justice américaine. Mais à condition que Nicolas Maduro abandonne la présidence du Venezuela avant la fin de son mandat en janvier 2025, révèle le journal, qui aurait interrogé des personnes proches de l'administration Biden. Ces négociations « dépendront beaucoup du résultat de l'élection présidentielle américaine, et elles pourraient échouer si Donald Trump en sort vainqueur », prévient le Wall Street journal qui se souvient des « politiques agressives » menées par l'ancien président américain vis-à-vis du gouvernement de Nicolas Maduro. Au Canada, l'invasion des ratons laveursLa présence des ratons laveurs dans les grandes villes canadiennes se généralise. Le réchauffement climatique fait grandir leur aire de répartition vers le nord du pays. Historiquement présents dans le Sud, on les observe désormais dans toutes les provinces canadiennes, à l'exception de Terre-Neuve-et-Labrador. Ils peuvent dépasser le mètre, peser plus de 20 kilos et beaucoup de Canadiens tentent de s'en débarrasser en appelant les dératiseurs ou les services de protection de la faune, qui les envoient dans des refuges. Notre correspondant sur place, Alexis Gacon, s'est rendu dans l'un d'entre eux, en banlieue de Montréal. Il est tenu par Marie-Claude Poirier, une ancienne dessinatrice de mode, qui s'est reconvertie pour accueillir les ratons laveurs. « Je savais que le besoin était là. C'est devenu une mission de pouvoir aider ces animaux. J'ai toujours été une passionnée par les animaux, mais on apprend en s'occupant d'eux et en aidant les vétérinaires. » Certains ratons laveurs ne sont plus capables de vivre dans la nature, ils resteront donc au refuge jusqu'à la fin de leur vie. Mais d'autres seront bientôt relâchés, « ils ne sont donc pas en contact avec les visiteurs, pour rester le plus sauvage possible », explique Marie-Claude Poirier. Un reportage de notre correspondant Alexis Gacon. Le journal de la 1èreTempératures caniculaires ce lundi (12 août 2024) sur la majeure partie de l'Hexagone, mais il fait également chaud, et même de plus en plus chaud, du côté des petites Antilles.

6AM Hoy por Hoy
El régimen de Maduro Ya tiene 2500 presos politicos: Miguel Henrique Otero

6AM Hoy por Hoy

Play Episode Listen Later Aug 8, 2024 5:01


En Caracol Radio, Habló Miguel Otero, presidente editor del diario El Nacional de Venezuela, de que acciones ha implementado el régimen de Maduro. 

Journal d'Haïti et des Amériques
Échange de prisonniers : un succès pour Joe Biden

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Aug 2, 2024 30:00


Joe Biden qui serre Evan Gershkovich dans ses bras, cette photo fait la Une des journaux. Dans le New York Times, on apprend plus de détails sur les négociations. Et ça se lit comme le scénario d'un polar ou d'une série Netflix. Selon le journal, les discussions discrètes entre les États-Unis et la Russie duraient depuis plus d'un an. Elles s'étaient un peu enlisées, lorsqu'un tournant s'est opéré, le 25 juin 2024. Selon le journal, « …un groupe d'officiers de la C.I.A. s'est assis en face de leurs homologues russes lors d'une réunion secrète dans une capitale du Moyen-Orient ». Les Américains proposent alors l'échange de « deux douzaines de prisonniers incarcérés en Russie, aux États-Unis et un peu partout en Europe », donc un accord bien plus important et plus complexe que ce que les deux parties avaient envisagé au départ.D'après le New York Times, « les responsables américains ont insisté sur le fait que l'échange de prisonniers n'était en aucun cas l'avènement d'une nouvelle détente entre Washington et Moscou. Il s'agit plutôt, poursuit le journal, d'un accord motivé par de froids calculs d'intérêt national, un accord dans lequel chaque partie a obtenu ce qu'elle voulait. Pour Politico, il s'agit d'un succès indéniable de la diplomatie américaine, et surtout du président américain. « Au moment où le président Biden décidait de se retirer de la course, il a réussi l'un des échanges de prisonniers les plus importants et les plus complexes de l'histoire des États-Unis ». Un échange « douloureux mais nécessaire » « Cet échange de prisonniers n'aurait jamais dû être nécessaire car Vladimir Kara-Murza, Evan Gershkovich et les autres n'auraient jamais dû être emprisonnés », écrit le Washington Post. Ils ont été arrêtés et emprisonnés pour avoir exercé leurs droits humains élémentaires. Ils ont été pris en otage par un dictateur et un État policier qui rejettent tous les principes de la société civile et de l'État de droit. Et, poursuit le Washington Post, ils ont été détenus dans le but de faire libérer des Russes qui eux ont « commis de véritables délits, dont un assassin, des espions et l'un des plus grands pirates informatiques jamais appréhendés ». Le journal conclut : « Dans l'intérêt de la libération des innocents, on peut effectivement tolérer l'échange de ces personnes. Mais si on raisonne froidement en termes géopolitiques, dans l'esprit de Vladimir Poutine, il s'agit d'une victoire indéniable pour l'homme fort du Kremlin ». Au Venezuela, Nicolas Maduro s'accroche au pouvoirLa victoire de l'opposition lors de l'élection présidentielle de dimanche 28 juillet 2024 a été officiellement reconnu par les États-Unis. Mais il sera difficile de pousser le président vénézuélien vers la sortie. D'abord parce qu'il peut compter sur le soutien de l'armée, de tous ses hauts gradés, écrit O Estadao. Car le Venezuela est le pays qui compte le plus de généraux au monde, ils sont plus de 2000. « Ils sont ministres, ils dirigent les entreprises publiques. Comme la plupart des entreprises ont été nationalisées en 25 ans de chavisme, les militaires dirigent une bonne partie de l'économie. D'ailleurs Nicolas Maduro l'a admis lui-même, juste avant l'élection de dimanche dernier : « Nous sommes un pouvoir militaire, parce que la Force armée nationale bolivarienne me soutient, elle est chaviste ». En fait, estime O Estado de Sao Paulo, « avec un tel soutien politique et une telle infiltration militaire dans la vie économique du pays, il est difficile d'imaginer un scénario dans lequel Nicolas Maduro céderait volontiers le pouvoir à l'opposition après une défaite électorale ». Autre facteur qui joue en faveur du dirigeant chaviste : c'est justement l'économie qui a connu une certaine reprise. L'inflation a baissé, la pénurie de produits importés est moins forte, grâce à une certaine libéralisation du marché. Cette amélioration a certes « généré une énorme disparité sociale, qui explique la popularité de María Corina Machado, mais elle donne en même temps à Nicolas Maduro les conditions économiques nécessaires pour rester au pouvoir. La destruction des statues de Hugo Chavez, tout un symbole  Pour le journal El National, ces images où on voit des manifestants déboulonner des statues de Chavez sont tout un symbole. Car effectivement, une page du chavisme est en train de se tourner. Le système politique n'est plus d'inspiration populiste révolutionnaire, il a viré vers un modèle dictatorial avec maquillage électoral, comme en Russie ou au Nicaragua. En fait, selon El Nacional, le projet national populiste d'Hugo Chávez a bénéficié d'un solide soutien populaire. Sa proximité avec une grande partie de la population lui a permis d'être autoritaire sans perdre sa légitimité. Mais son successeur, écrit le journal, a fait disparaître « le caractère de masse » du mouvement chaviste. « Il ne reste finalement que le culte autour du président et une militarisation de l'État », conclut El Nacional. Haiti : reportage sur un système de racket au cœur de la commune de CarrefourComme chaque premier vendredi du mois, nous présentons un reportage de nos confrères du site Ayibopost. Cette fois-ci, Lucine Duquereste nous parle d'un système de taxation mis en place par les bandits à Carrefour. Portrait de l'athlète franco-haïtien Makenson GlettyMakenson Gletty a débuté le décathlon ce vendredi. Né en Haïti, il a été adopté par une famille française. Policier de profession, il reste très discret sur ses origines mais assuré réfléchir à un retour en Haïti, un retour aux racines. Rock'n'roll trip, la suite de notre série « les États-Unis en 1000 chansons.Comme tous les vendredis, on poursuit notre périple musical à travers les États-Unis jusqu'à la présidentielle du 5 novembre. Aujourd'hui, on met les projecteurs sur Los Angeles à travers les Guns N'Roses, ou encore New York avec Lou Reed. Des extraits issus du «Rock N Roll Trip, les États-Unis en 1 000 chansons» de Lauric Henneton et Julien Grossot. Le journal de la 1èreEn Guyane, l'Observatoire régional de la santé évolue et devient le « centre territorial de promotion de la santé ».

'Y esto no es todo'
Maduro y la tesis del golpe. El Cartel de Sinaloa sin "el Mayo" Zambada. El líder político de Hamás

'Y esto no es todo'

Play Episode Listen Later Aug 1, 2024 18:08


Hablamos en Madrid con el director de "El Nacional" de Caracas, Miguel Henrique Otero; en El Paso con el periodista especializado Luis Chaparro, y en la capital española con el especialista en los asuntos de Oriente Medio Haizam Amirah Fernández

Journal d'Haïti et des Amériques
Présidentielle au Venezuela : la guerre des récits

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 30, 2024 30:00


L'opposition conteste les résultats proclamés par le Conseil national électoral, qui donnent Nicolas Maduro réélu avec 51% des suffrages, et la colère gagne plusieurs régions du pays. Tout a commencé sur les balcons de Caracas, à coup de casseroles, pour dénoncer ce que l'opposition dénonce comme une fraude généralisée. Puis le mouvement s'est transporté dans la rue. Certains manifestants ont tenté d'encercler le Palais de Miraflores, la résidence présidentielle avant d'être repoussés par les forces de sécurité.On a vu des drapeaux vénézuéliens portés à bout de bras, des pneus et des feux de joie allumés sur les boulevards, du matériel électoral et des affiches représentant Nicolas Maduro incendiés, des statues en bronze d'Hugo Chavez démolies, décapitées, attachées et traînée à l'arrière des motos.La mobilisation a pris dans plusieurs quartiers de la capitale, y compris dans certains quartiers pauvres de la capitale, autrefois considérés comme des bastions chavistes et la contestation va se poursuivre ce mardi. La journée promet d'être très agitée, car d'un côté, l'opposition promet de mettre sur la place publique les preuves de sa victoire et appelle à des assemblées populaires dans tout le pays. De l'autre, le directeur de campagne de Nicolas Maduro annonce de grandes marches pour « célébrer la victoire et défendre la paix de la République ».Deux rhétoriques irréconciliablesDans la presse vénézuélienne, comme toujours, deux sentiments que tout oppose. D'abord, El Nacional, proche de l'opposition, sur le détail des résultats : « On n'a jamais vu, à moins qu'il ne s'agisse d'autocraties comme celle de Cuba ou du Nicaragua, qu'un résultat électoral ne soit pas accompagné de données précises, bureau de vote par bureau de vote, qui soutiennent les chiffres présentés par le pouvoir. Dans ces conditions, il n'y a pas de résultat électoral à proprement parler. » Et par extension, pas de victoire de Nicolas Maduro. En face, la presse chaviste, comme Ultimas Noticias, dans son style très ampoulé : « Ce que le pays exige, c'est que les fascistes abandonnent les voies de la violence, reconnaissent leur défaite et se consacrent à la co-gouvernance. Avec ce vote, poursuit le journal, les frères vénézuéliens confirment qu'ils ne veulent pas des barricades, qu'il faut arrêter l'invention de la fraude et qu'il faut reconstruire le Venezuela, car, avec les sanctions et les manœuvres de l'opposition extrémiste, ce sont eux, les Vénézuéliens, qui ont le plus souffert. »Les ambiguïtés de la position américaineEt les États-Unis ? On les a connus beaucoup plus incisifs à propos de Nicolas Maduro. L'administration Biden se contente d'exprimer ses « sérieuses inquiétudes », mais ne parle pas de fraude, ni ne prévoit, à ce stade, de sanctions supplémentaires contre le gouvernement vénézuélien. Pourquoi un telle retenue ? Avant tout, explique Politico, pour des raisons migratoires. « Plus de 8 millions de Vénézuéliens ont fui leur pays depuis 2014 et beaucoup d'entre eux demandent l'asile aux États-Unis, s'installent au Texas et en Floride. Un regain de violence au Venezuela pourrait encore alourdir la pression migratoire dans la région. »Il y a aussi cette hypothèse ressassée depuis des mois : celle d'un deal scellé entre Washington et Nicolas Maduro, dont les termes seraient presque trop simples : je lève les sanctions, tu garantis la sincérité de l'élection. La Maison Blanche, avance Politico, y croirait encore et, par conséquent, se garderait d'appeler trop vite au retrait pur et simple de NIcolas Maduro. Difficile à confirmer et difficile d'y voir autre chose qu'un raté. Dans le Washington Post, Max Boot constate qu'à l'époque Trump, les Américains tapaient aussi fort que possible sur Maduro. Que l'équipe Biden a changé d'optique en entrant dans des négociations secrètes. Mais qu'au bout du compte, en matière de relations avec le pouvoir vénézuélien, personne n'arrive à rien. « On parvient, écrit-il, aux limites de la puissance américaine. Certains problèmes simples n'ont pas de solution évidente. En tout cas, pas de solution made in USA. »En Haïti, le scandale de tentative de corruption qui éclabousse le Conseil national de transitionRetour sur ce dossier « qui remue l'opinion », selon notre confrère Gotson Pierre, directeur de l'agence haïtienne Alterpresse et invité de l'antenne de RFI chaque mardi. Les conseillers présidentiels Louis Gérald Gilles, Smith Augustin et Emmanuel Vertilaire auraient exigé du président de la Banque nationale de crédit, une institution d'État, des centaines de milliers de dollars américains afin de le reconduire à son poste. Smith Augustin dément toute malversation, mais l'Unité de lutte anti-corruption s'est saisie du dossier et les Haïtiens attendent qu'une véritable enquête soit menée, avec la collaboration des six autres membres du CNT, invités à sortir de leur silence.À lire aussi dans Alterpresse, cette nouvelle manifestation contre la criminalité dans le département de l'Artibonite à l'appel de la société civile et, face à la criminalité organisée, la résistance par la culture, avec la remise hier du Prix Albert Mangonès, dédié à la préservation du patrimoine haïtien.Les JO 2024, bilan à mi-parcours pour la délégation haïtienneÀ suivre ce soir, à partir de 20h30 heure de Paris, 14h30 à Port-au-Prince, l'entrée en lice du boxeur Cédrick Belony-Dulièpre face au Brésilien Wanderley de Souza Pereira dans le cadre des huitièmes de finale de la catégorie 80 kilos.Hier, élimination du judoka et porte-drapeau de la délégation haïtienne, Philippe Metellus, tombé face au Thaïlandais Masayuki Terada. Il reste un espoir, la nageuse Mayah Chouloute, engagée ce samedi matin sur les séries du 50 mètres nage libre.Le dossier Amériques : un procès pour l'Histoire en ArgentinePour la première fois de l'histoire argentine, l'homicide présumé d'un homme transgenre fait l'objet d'une audience judiciaire : Tehuel de la Torre, 21 ans, disparu il y a plus de trois ans sans que son corps ne soit jamais retrouvé.Cette affaire symbolise les violences subies par la communauté trans, dont l'espérance de vie plafonne à 37 ans, contre la moyenne nationale de 77 ans, malgré des lois très progressistes votées ces dernières années.D'après l'avocate de la défense, interrogée par notre correspondante Noémie Lehouelleur, « les preuves sont suffisantes pour démontrer qu'il s'agit d'un crime de haine, que Tehuel a été assassiné parce que c'était un homme trans. C'est important que l'État reconnaisse ces situations que vivent les communautés LGBT, la discrimination, le mépris, l'exclusion, simplement parce qu'elles sont non-binaires ».Tehuel de la Torre s'est volatilisé dans le nord de Buenos Aires, après s'être rendu à un entretien de travail chez Luis Alberto Ramos, chez qui des taches de sang et des restes de vêtements brûlés ont été découverts. L'enquête a en outre montré qu'il était connu pour la violence de ses propos homophobes et transphobes.L'Argentine a beau se trouver à l'avant-garde du combat pour les droits de la communauté LGBT, avec des mesures comme le mariage pour tous adopté en 2010, l'autodétermination du genre entérinée en 2012 ou le quota minimum d'1% d'employés trans et travestis dans les services publics, il reste beaucoup de travail pour faire évoluer les mentalités et sortir ces publics de la précarité.Les avocats de la partie civile et le ministère public ont requis la réclusion à perpétuité contre Luis Alberto Ramos. Le verdict sera rendu le 30 août.L'actualité des outre-mers avec nos confrères de la 1èreEn Guyane, les statues représentant deux autochtones envoyés dans des « zoos humains » ont été accueillies lundi par leurs descendants et leur communauté.

Journal d'Haïti et des Amériques
Donald Trump à la Convention républicaine : « J'avais Dieu avec moi »

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 19, 2024 30:00


L'ancien président des États-Unis a accepté sa nomination comme candidat jeudi 18 juillet 2024, à l'issue de la convention du Parti républicain, lors d'un discours d'une heure et demie, un record pour ce genre d'évènement. La soirée a été l'occasion pour Donald Trump de mettre en spectacle sa popularité et sa mainmise sur le parti. Le célèbre catcheur pro-Trump Hulk Hogan a appelé au retour de la « trumpmania » (la folie Trump) avant le très long discours de l'ancien président. Le culte du chef était assumé tout au long de la convention avec la mise en scène de la famille Trump entourant leur héros qui a survécu à une tentative d'assassinat. La famille est une valeur centrale revendiquée par le parti républicain face à l'immigration illégale, vue comme une menace existentielle. Donald Trump a, à nouveau, fait référence à Hannibal Lecter, le tueur en série cannibale du film « Le silence des agneaux » pour discréditer la politique migratoire du camp démocrate.Le candidat républicain est longuement revenu sur la tentative d'assassinat à laquelle il a échappé. « J'avais Dieu avec moi », a-t-il répété à de nombreuses reprises. L'ancien président a appelé à mettre de côté les divisions partisanes, mais il n'a pas pu s'empêcher de jeter une pique au camp adverse : « Les démocrates devraient arrêter d'instrumentaliser le système judiciaire et de calomnier les opposants politiques en les traitant d'ennemis de la démocratie. » Finalement, l'unité qui s'est clairement affichée est surtout celle du parti républicain, en ordre de bataille pour repartir à l'assaut de la Maison Blanche.Donald Trump, comparé et critiquéDans un éditorial, le New York Times, titre « Trump the lion or Trump the lyin' ? » En français :  « Trump le lion (en référence à sa chevelure parfois considérée comme une crinière) ou Trump le menteur ? ».Pendant la convention, son fils Donald Junior a déclaré que son père avait affronté la tentative d'assassinat du 13 juillet 2024 avec « le cœur d'un lion ». Le sénateur républicain Tim Scott a ajouté : « le diable est venu en Pennsylvanie avec un fusil. Mais un lion américain s'est relevé et a rugi ».Le journal rappelle que le lion symbolise Jésus dans le christianisme et que justement les références à la religion pullulent chez le candidat républicain. Ce discours trouve un large écho dans un électorat trumpiste, qui le voit parfois comme un « sauveur ».L'éditorial fait aussi référence aux chroniques de Narnia, une série de romans de fantaisie écrits dans les années 50, où le lion apparaît dans chaque livre.Mais le New York Times précise qu'à la fin de Narnia, c'est le bien qui l'emporte sur le mal. « Rien à voir avec le lion Donald Trump, un menteur et criminel chronique, tenu également pour responsable d'abus sexuels », conclut l'éditorialiste. « Haïti, la loi des gangs », un documentaire à visionner sur le site de France 24Tourné à Port-au-Prince, le documentaire « Haïti, la loi des gangs », réalisé par nos confrères de France 24, Roméo Langlois et Catherine Norris-Trent, raconte la réalité haïtienne dans des zones de non-droit, où les civils sont meurtris par la violence et où la police est prise sous le feu des groupes armés. Le film donne la parole aux politiques, aux habitants, mais aussi aux gangs, qui détiennent une grande partie du territoire. « Ce sont eux qui ont précipité Haïti dans une spirale de violence », raconte le grand reporter Roméo Langlois. Au cours des 52 minutes du documentaire, on rencontre plusieurs chefs de gangs. Certains sont recherchés par le FBI. Selon Roméo Langlois, s'ils ont accepté de parler, c'est parce qu'ils veulent montrer « qu'ils ne sont pas que des criminels ». Dans le film, l'un d'entre eux dit par exemple être sollicité pour apporter des sacs de farine aux habitants. Une façon de lisser son image. Nos confrères précisent que ces gens « sont avant tout des criminels ». Venezuela, la répression de l'opposition continueDans Efecto Cocuyo, deux véhicules de campagne de l'ex-candidate de l'opposition, Maria Corina Machado, apparaissent tagués, vidés de leur huile de moteur et les freins coupés. Edmundo Gonzalez, son remplaçant après qu'elle ait été déclarée inéligible, a dénoncé des « intimidations d'une lâcheté intolérable ».La campagne est rythmée par 102 arrestations depuis le début de la campagne, il y a tout juste quinze jours.El Periodiquito a indiqué que jeudi 18 juillet 2024, le chef de sécurité de la campagne avait été libéré de prison. Maria Corina Machado a tenu à remercier « tous ceux qui, par leur soutien, avaient rendu possible ce premier pas vers le renversement de cette injustice ».El Nacional rapporte la mise en garde du Groupe IDEA, composé de trente anciens chefs d'États d'Amériques et d'Espagne, contre le climat de répression au Venezuela à l'approche des élections.Le prochain évènement de campagne se tiendra samedi 20 juillet 2024 dans la ville de Maturín, dans le nord-est du pays. Les deux camps organisent un rassemblement sur la même avenue avec leurs partisans. La justice péruvienne prolonge de 18 mois la détention préventive de Pedro CastilloL'ancien président est accusé d'avoir voulu perpétrer un coup d'État en décembre 2022. À l'époque, il avait annoncé dans un message à la nation la dissolution du Parlement et la convocation d'une Assemblée constituante. Expresso indique qu'il est accusé de rébellion et que le parquet a requis 34 ans de prison à son égard. Le tribunal a donc accepté la prolongation de sa détention réclamée par le ministère public. D'après El Comercio, le pouvoir judiciaire a pris cette décision face au risque de fuite. De son côté, Pedro Castillo nie les accusations portées contre lui. Après son limogeage Dina Boluarte avait assumé la présidence. Brésil, les pluies diluviennes ont dévoilé un fossile de dinosaureIl date d'environ 230 millions d'années et il est dans un « très bon état de conservation », selon Folha de Sao Polo. D'après le journal brésilien, il s'agit d'un spécimen de la famille des herrérasauridés, ces carnivores bipèdes à longue queue. Il serait le deuxième plus complet de cette famille.Le fossile a été identifié en mai 2024 dans la localité de Sao Joao do Polesine, à environ 200 kilomètres de Porto Alegre dans une zone considérée comme l'Eldorado brésilien de la paléontologie. Ce fossile a été retrouvé après les inondations qui ont fait plus de 180 morts et causé beaucoup de dégâts matériels. Les fortes précipitations de ces derniers mois ont accéléré l'érosion de la roche. O Globo précise toutefois que ces fortes pluies « ​​​​​​​détruisent beaucoup de matériaux ​​​​​​​» des fossiles, notamment des fragments de petite taille. Le Journal de la 1èreEn Guyane, le Conseil d'État donne un an à la société Auplata pour se mettre en conformité avec les réglementations environnementales.

Journal d'Haïti et des Amériques
« Donald Trump n'est en rien responsable de la tentative d'assassinat »

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jul 15, 2024 30:00


La convention des Républicains commence aujourd'hui (15 juillet 2024) à Milwaukee, sur les bords du lac Michigan, dans le nord-est des États-Unis. Donald Trump doit être désigné officiellement comme le candidat républicain à la présidentielle de novembre, alors qu'il a échappé à une tentative d'assassinat samedi soir (13 juillet 2024), lors d'un meeting à Butler, en Pennsylvanie. « Je ne devrais pas être là, normalement je devrais être mort ». Donald Trump s'est confié à deux journaux conservateurs, le New-York Post et le Washington Examiner, sur la tentative d'assassinat dont il a été victime. « Le docteur n'avait jamais vu quelqu'un survivre à un tir de fusil AR15, il dit que c'est un miracle », assure l'ancien président qui invoque la chance divine : « Beaucoup disent que c'est grâce à Dieu si je suis encore là ». Notre correspondant David Thomson est sur place, il raconte ce qu'il faut retenir de cette première interview.Notre invité était Randy Yaloz, représentant des Republicans Overseas en France. Depuis la convention des Républicains où il se trouve, il réagit à la tentative d'assassinat en évoquant « la colère, la résilience, l'incompréhension » des militants républicains. « Cela rappelle que les paroles ont des conséquences », assure-t-il. Randy Yaloz fait référence aux discours de Joe Biden qui, selon lui, ont attisé les tensions. « Donald Trump essaie maintenant d'apaiser, de se dédiaboliser. Car lorsqu'on compare Donald Trump à Hitler ou à un dictateur, ça facilite le passage à l'acte. »Cette tentative d'assassinat semble avoir tout changé pour Donald Trump, à commencer par le discours qu'il avait préparé pour cette convention de Milwaukee. « Je veux essayer d'unifier notre pays », a-t-il assuré, des mots peu habituels dans la bouche de l'ancien président.« Donald Trump faisait l'objet de violences avant même de devenir président »Interrogé sur la responsabilité de Donald Trump quant au climat de violence qui règne aux États-Unis, Randy Yaloz réfute en bloc toute implication du milliardaire. « C'est Donald Trump qui faisait l'objet de violences avant même de devenir président. Tout le monde l'a attaqué, l'a traité de raciste, antisémite depuis le début. Évidemment, il ne se laisse pas faire. Avec sa rhétorique très forte, il sait répondre à l'agressivité qu'il subit. Mais il n'est en aucun cas responsable de la tentative d'attentat qu'il vient de subir. »Pourtant, lorsqu'une opposante aux Républicains avait été tuée en 2017 lors d'une manifestation contre l'extrême-droite à Charlottesville, en Virginie, Donald Trump avait considéré les torts comme partagés entre les deux camps. Mais Randy Yaloz n'y voit pas de comparaison possible. « Aujourd'hui, qui a subi une tentative d'assassinat ? Il ne faut pas inverser les choses. Toutes les institutions sont contre Donald Trump. Joe Biden et son administration ont instrumentalisé la justice. »Cette convention des Républicains sera l'occasion pour Donald Trump de désigner son colistier. J.D. Vance, le sénateur de l'Ohio, fait partie des personnes pressenties pour le poste. Pour Randy Yaloz, il a une longueur d'avance sur ses concurrents. « Donald Trump avait déjà quelqu'un en tête avant samedi, mais depuis la tentative d'assassinat, son choix a dû se porter sur une personnalité pragmatique, qui peut le soutenir en temps de crise. Je comprends qu'on parle de J.D. Vance, c'est un combattant, il a une forte personnalité, ça peut être un très bon choix », confirme Randy Yaloz.Au Venezuela, l'opposition dénonce « une escalade répressive » contre ses soutiensÀ deux semaines de l'élection présidentielle, onze personnes ont été arrêtées dans tout le pays ce week-end « pour avoir fait campagne en faveur du candidat de l'opposition Edmundo Gonzales », selon le média vénézuelien Tal Cual. Ce n'est pas la première fois que cela arrive. Ces derniers jours, 14 personnes avaient déjà été arrêtées, et plusieurs figures de l'opposition s'étaient réfugiées à l'ambassade d'Argentine de Caracas, la capitale vénézuélienne. Régulièrement, l'opposition accuse le pouvoir en place de répression, tandis que le président Nicolas Maduro leur reproche de comploter pour le renverser. Les avocats de la campagne de l'opposition sont montés au créneau dans les pages du quotidien El Nacional.Ils dénoncent ces arrestations et s'adressent à Nicolas Maduro : « Vous ne pouvez pas permettre ce qu'il se passe aujourd'hui dans le pays » avant de de déclarer à leurs troupes : « Nous avons une mauvaise nouvelle pour le régime : l'intimidation ne fonctionne pas. Pour chaque citoyen intimidé, il y en a 20, 30, 100 autres prêts à aller jusqu'au bout. »L'Argentine grande gagnante de la Copa AmericaDimanche soir (14 juillet 2024), l'Argentine s'est imposée en football face à la Colombie 1-0 après prolongation. C'est à la 112ème minute qu'un attaquant argentin a réussi à briser la défense colombienne. Lionel Messi a fêté le but depuis le banc de touche, où il a été installé après être sorti en larmes, blessé à la cheville. Dominés pendant la première heure de jeu, les Argentins ont fini par trouver la faille et ont remporté leur deuxième victoire consécutive de la Copa America.Journal de la 1èreLa saison cyclonique 2024 s'annonce encore plus active que l'an dernier. (2023)

Solo Documental
El Nacional Socialismo: origen y características

Solo Documental

Play Episode Listen Later Jul 13, 2024 48:38


El nacionalsocialismo es una doctrina política, totalitaria y racista que se impuso de la mano de Adolf Hitler en Alemania y que protegía el poder absoluto del Estado. Hitler gobernó desde 1933 a 1945 bajo un régimen totalitario, conocido como Tercer Reich, en el que se suprimieron derechos y libertades individuales y A la doctrina del nacionalsocialismo se la conoce también como nazismo, que es la abreviatura del Partido Nacional Socialista Alemán de los Trabajadores, creado en 1920 y liderado por Hitler a partir de 1921. El nazismo fue una ideología de extrema derecha, anticomunista, antisemita y anti parlamentarista que consideraba a la raza aria como una “raza superior” respecto a las poblaciones de los demás países de Europa. El nacionalsocialismo tomó el control del Estado alemán y suprimió los sindicatos y muchas entidades privadas. Al igual que en el fascismo italiano de Benito Mussolini, no se permitió la existencia de otros partidos políticos. A través del control de los medios de comunicación, el Estado intentaba posicionar a Hitler, llamado führer, como un líder omnipotente que iba a rescatar a Alemania.

LA PATRIA Radio
7. Los De Caldas Sumaron 3 Títulos En El Nacional De BMX En Manizales, Los Medallistas Son. Deportes

LA PATRIA Radio

Play Episode Listen Later Jul 8, 2024 4:43


Escuche esta y más noticias de LA PATRIA Radio de lunes a viernes por los 1540 AM de Radio Cóndor en Manizales y en www.lapatria.com, encuentre videos de las transmisiones en nuestro Facebook Live: www.facebook.com/lapatria.manizales/videos

#Balong
Chile recibe a Paraguay en el Nacional

#Balong

Play Episode Listen Later Jun 21, 2024 54:48


Journal d'Haïti et des Amériques
Inquiétudes sur les personnes transgenres au Pérou

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Jun 10, 2024 30:00


Comme chaque année, le mois de juin est synonyme de mois de Fiertés pour défendre les droits de LGBTQIA+. Dans de nombreux pays, marches et défilés sont organisés. Une des plus importantes du continent a eu lieu le 2 juin 2024 à Sao Paulo, au Brésil. Au Pérou, le défilé est annoncé pour la fin du mois, le 29 juin 2024. Il se tiendra avec un sentiment d'inquiétude pour les personnes transgenres. Le mois dernier, le ministère de la Santé péruvien a publié par décret une actualisation des schémas de soins. Les personnes transgenres y sont qualifiées comme ayant une « maladie mentale ». C'est le reportage de notre correspondante Juliette Chaignon. « Les yeux du monde devraient être sur Haïti » Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) a repris ses activités à l'aéroport international de Port-au-Prince. Des vols humanitaires apportent à nouveau des produits de première nécessité, mais aussi des médicaments. Dans une interview avec RFI, réalisée par Aabla Jounaïdi, le chef du PAM, Jean Martin Bauer explique que l'organisation a réussi à fournir une aide alimentaire d'urgence à 93 000 personnes vivant à Cité Soleil. Selon Jean Martin Bauer, plus de cinq millions d'Haïtiens sont en situation d'insécurité alimentaire aiguë. Les besoins sont énormes. « Les yeux du monde devraient être sur Haïti pour pouvoir répondre à cette crise », souligne Jean Martin Bauer qui demande une stabilisation de ce contexte d'insécurité et souhaite qu'on apporte des réponses pour reconstruire les systèmes alimentaires haïtiens.3 policiers haïtiens tués à Delmas 18 Preuve de cette insécurité qui se poursuit, cet affrontement mortel entre forces de l'ordre et membres de gangs dimanche 9 juin 2024 à Delmas 18, le fief du chef de gang Jimmy Chérizier alias Barbecue. Trois policiers sont morts, c'est à la Une du Nouvelliste qui se fait aussi écho de l'état de santé du Premier ministre par intérim Garry Conille. Autre sujet dans la presse haïtienne, l'annonce du président kenyan William Ruto selon lequel le premier contingent kenyan en Haïti sera déployé dans les deux prochaines semaines.« L'effet Milei en Europe »Le résultat des élections européenne est commenté dans certains pays d'Amérique Latine, à commencer par l'Argentine, où le président Javier Milei s'est réjoui de la poussée de l'extrême droite. « Voilà une bonne nouvelle qui nous parvient du Vieux continent », a-t-il écrit sur son compte X, cité par le journal La Nacion. Le président argentin a aussi partagé plusieurs tweets de ses sympathisants qui parlaient d'un « effet Milei » en Europe.Un autre président latino-américain a choisi de commenter le résultat des élections européennes, mais c'était pour faire passer le message inverse : Il s'agit de Nicolas Maduro, en campagne pour sa réélection. Selon le dirigeant chaviste, ce sont des partis « néofascistes » qui ont remporté les élections européennes. Ces partis « gagneront là-bas, mais ils ne passeront pas ici », a déclaré Nicolas Maduro, en faisant allusion à l'opposition de droite au Venezuela. Des propos repris par El Nacional. Mais selon des sondages indépendants, cité par le journal El Pais, le rival de Nicolas Maduro, Edmundo Gonzalez Urrutia, avance de plus de 20 points le président sortant.Vers plus de protectionnisme ?Un autre pays qui regarde attentivement ce qui va se passer en Europe maintenant, c'est le Brésil. Oui, car l'Union européenne est le deuxième partenaire commercial du Brésil, derrière la Chine, rappelle Carta Capital. « La représentation accrue des partis d'extrême droite au Parlement européen se traduira par une pression plus forte en faveur de mesures protectionnistes telles que des droits de douanes plus élevés sur les produits provenant de l'extérieur de l'Europe ».Après sa condamnation, Donald Trump reprend les meetings de campagneDes millions de Trumpistes sont venus à Las Vegas hier, dimanche 9 juin 2024, acclamer leur candidat. L'ex président a notamment déroulé sa rhétorique anti-immigration, peut-on lire sur le site d'information Politico. Il a qualifié par exemple le Nevada, un État-clé de la présidentielle, de « décharge » pour les immigrés illégaux et a reproché au président Joe Biden d'avoir déclenché un « cauchemar » à cause de sa politique frontalière qui, selon Donald Trump, « a totalement détruit » les Afro-Américains et les Hispaniques.Le journal de La 1èreAux Antilles Guyane, le Rassemblement National a gagné du terrain dans ces élections européennes.

Noticentro
Fueron 66 las personas secuestradas en Sinaloa: Moya

Noticentro

Play Episode Listen Later Mar 24, 2024 1:47


¡Queno se le pase! Este domingo se aplica el doble Hoy No Circula En Campeche, Layda Sansores se negó a destituir a la secretaria de Seguridad, Marcela MuñizPolicía de Ecuador realizaron explosión controlada, durante el juego entre El Nacional y Deportivo Cuenca  Más información en nuestro podcast

'Y esto no es todo'
Trump arrasa en el Supermartes. Elecciones presidenciales en Venezuela. El último libro de García Márquez

'Y esto no es todo'

Play Episode Listen Later Mar 6, 2024 19:29


Hablamos en Washington con nuestra compañera la analista Dori Toribio; en Madrid con Miguel Henrique Otero, director de "El Nacional" de Caracas, y también en esa ciudad con el periodista y escritor Juan Cruz

Así las cosas
El Nacional Monte de Piedad está en huelga desde la semana pasada limitando la opción de crédito prendario

Así las cosas

Play Episode Listen Later Feb 19, 2024 2:47


Noticentro
Estalló la huelga en el Nacional Monte de Piedad

Noticentro

Play Episode Listen Later Feb 15, 2024 1:56


En medio de crisis de inseguridad la fiscal de Guerrero solicitó licencia al cargo por 6 meses La Inversión Extranjera Directa fue de 36 mil 058 millones de dólares, el 31% lo tiene CDMXMigrantes naufragaron en las costas de PanamáMás información en nuestro podcast

El matí de Catalunya Ràdio

Entrem en els detalls de les noves informacions sobre "l'operaci

Stuff You Missed in History Class
Montjuïc Castle and the Bombardments of Barcelona

Stuff You Missed in History Class

Play Episode Listen Later Dec 6, 2023 42:36 Transcription Available


Montjuïc Castle is a fortress in Barcelona that dates back to the 17th century. And it has been involved in both the defense of Barcelona and its repression – repeatedly, over the course of centuries. Research:  "Catalonia." Britannica Library, Encyclopædia Britannica, 8 Jun. 2023. libraries.state.ma.us/login?eburl=https%3A%2F%2Flibrary.eb.com&ebtarget=%2Flevels%2Freferencecenter%2Farticle%2FCatalonia%2F20756&ebboatid=9265928. Accessed 20 Nov. 2023. "Miguel Primo de Rivera." Britannica Library, Encyclopædia Britannica, 20 Jul. 1998. libraries.state.ma.us/login?eburl=https%3A%2F%2Flibrary.eb.com&ebtarget=%2Flevels%2Freferencecenter%2Farticle%2FMiguel-Primo-de-Rivera%2F61388&ebboatid=9265928. Accessed 20 Nov. 2023. “The regencies of María Cristina and Espartero (1833-1840).” https://www.edu.xunta.gal/centros/espazoAbalar/aulavirtual/pluginfile.php/711/mod_imscp/content/3/the_regencies_of_mara_cristina_and_espartero_18331840.html Albareda, Joaquim. “The reasons for the resistance of 1714.” Barcelona Metropolis. https://www.barcelona.cat/bcnmetropolis/2007-2017/en/dossier/les-raons-de-la-resistencia-de-1714/ Barcelona Cultura. “Castel de Montjuïc.” https://ajuntament.barcelona.cat/castelldemontjuic/en/castle/history Britannica, The Editors of Encyclopaedia. "Baldomero Espartero, prince de Vergara". Encyclopedia Britannica, 23 Feb. 2023, https://www.britannica.com/biography/Baldomero-Espartero-principe-de-Vergara. Accessed 17 November 2023. Britannica, The Editors of Encyclopaedia. "Isabella II". Encyclopedia Britannica, 6 Oct. 2023, https://www.britannica.com/biography/Isabella-II-queen-of-Spain. Accessed 17 November 2023. Britannica, The Editors of Encyclopaedia. "Leopoldo O'Donnell, duke de Tetuán". Encyclopedia Britannica, 2 Nov. 2023, https://www.britannica.com/biography/Leopoldo-ODonnell-duque-de-Tetuan. Accessed 17 November 2023. Britannica, The Editors of Encyclopaedia. "Pragmatic Sanction of King Ferdinand VII". Encyclopedia Britannica, 20 Jul. 1998, https://www.britannica.com/topic/Pragmatic-Sanction-of-King-Ferdinand-VII. Accessed 20 November 2023. Casanovas, Jordi. “The scattered patrimony of the Jewish cemetery of Montjuïc.” Museu Nacional D'Art de Catalunya Blog. 5/25/2017. https://blog.museunacional.cat/en/the-scattered-patrimony-of-the-jewish-cemetery-of-montjuic/ Center of Studies ZAKHOR. “The Jewish Cemetery of Montjuïc in Barcelona: opportunity and challenge to dignify a common past.” For Raíces Magazine No. 76 - Fall 2008. Translated from Spanish by M. Blier. https://urbancultours.com/Imagenes/experience/Cemetery%20of%20Montjuic%20Raices%2008.pdf Corbella, Manel Risques. “Montjuïc Castle Visitor's Guide.” Ajuntament de Barcelona. Geli, Carles. “Why do Catalans celebrate on September 11?” El Pais. 9/11/2013. https://english.elpais.com/elpais/2013/09/11/inenglish/1378927670_783521.html Kahn, Sonia. “Indeterminately Independent: The Volatile Autonomy of the Spanish Region of Catalonia.” Library of Congress Blogs. https://blogs.loc.gov/maps/2022/09/indeterminately-independent-the-volatile-autonomy-of-the-spanish-region-of-catalonia/ Pons, Marc. “'For the good of Spain, Barcelona must be bombarded once every 50 years.'” El Nacional. 12/3/2019. https://www.elnacional.cat/en/culture/marc-pons-history-barcelona-bombard-50-years_412060_102.html Sanz Loroño, Miguel Ángel. “1842: bombardeen Barcelona.” El Salto. 7/10/2023. https://www.elsaltodiario.com/anales-espana/1842-bombardeen-barcelona Shubert, Adrian. “The Sword of Luchana: Baldomero Espartero and the Making of Modern Spain, 1793–1879.” University of Toronto Press. 2021. Sparks, Tori. “Barcelona's Montjuïc Castle, Past & Present.” Metropolitan Barcelona. https://www.barcelona-metropolitan.com/features/history/barcelona-montjuic-castle-past-present/ Sparks, Tori. “The Reaper's War: A Peasant Uprising in Catalunya.” Metropolitan Barcelona. https://www.barcelona-metropolitan.com/features/history/the-reapers-war-a-peasant-uprising-in-catalunya/ See omnystudio.com/listener for privacy information.