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durée : 00:02:42 - Ma vie au boulot - par : Sandrine Foulon - Amandine est en pleine phase de recherche d'emploi. Elle a utilisé l'intelligence artificielle pour faire son CV et ses lettres de motivation. Mais tout le monde fait pareil, dit-elle. Comment sortir du lot ? veut-elle savoir.
Dans l'épisode précédent, Florent était accompagné de Quentin, un frère professionnel de l'Intelligence Artificielle, pour proposer leurs réflexions sur la façon d'appréhender cet outil en tant que chrétien. Ils se retrouvent dans cette deuxième partie afin de partager cette fois des conseils sur son utilisation, ainsi que des rappels sur les dangers, les limites et les questions éthiques qui y sont rattachées.
Découvrez ma formation en ligne sur les fondamentaux de l'accueil !Découvrez l'extrait de l'épisode 129 d'Hospitality Insiders sur le parcours de Guillaume Attias.Guillaume Attias est un spécialiste de ces questions : fondateur de la BMO Academy et expert reconnu des sciences cognitives, il est passé maître dans l'art de vulgariser les mystères du cerveau pour en faire des outils concrets au service des entreprises.Ensemble, nous allons voir comment appliquer les neurosciences dans l'hospitalité.Retrouvez l'intégralité de l'épisode ici.Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je vous propose de répondre à une question en apparence toute simple : à quoi ressemblerait votre journée idéale ?Cette exploration, que je propose souvent en coaching, est une façon concrète de commencer à construire votre vision. Elle vous aide à vous demander : qu'est-ce que j'aimerais vivre, ressentir, créer, dans une journée qui me conviendrait pleinement ? Dans cet épisode, je vous explique comment utiliser cet outil, ce qu'il révèle, et je partage avec vous ma propre journée idéale, pour vous en donner un exemple vivant.
Encore une nuit à compter les moutons ? Pourtant vous aviez tout bien fait ! La température de votre chambre est à 19 degres, vous avez une bon matelas, les draps sont propres, vous avez coupé les écrans une heure avant d'aller vous coucher et vous êtes dans le noir complet… Mais non, n'arrivez pas à tomber dans les bras de Morphé. Peut-être que comme beaucoup, c'est l'anxiété qui vous empêche de dormir… vous ressassez vos tracas du quotidien et ça vous tient en alerte… alors comment “désactiver” ces pensées ? Peut-être avec la méthode du brassage cognitif ! Qu'est-ce que la méthode du brassage cognitif ? Comment la pratiquer ? Pourquoi fonctionne-t-elle ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Comment régler sa dette de sommeil ? Qu'est-ce que l'orthosomnie, ce nouveau trouble du sommeil ? Qu'est-ce que le mouth taping, cette méthode vantée sur TikTok pour améliorer le sommeil ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'est une révolution silencieuse, mais potentiellement majeure, qui se profile à l'horizon : l'électricité sans fil. Plus d'un siècle après les premières centrales électriques de Thomas Edison, notre dépendance aux câbles, transformateurs et pylônes pourrait enfin trouver une alternative. Une idée folle ? Pas tant que ça. Elle s'appuie sur un concept vieux de plus de cent ans, imaginé par Nikola Tesla lui-même : le "power beaming", ou transmission d'énergie à distance.Le principe ? Utiliser des ondes électromagnétiques – micro-ondes, ondes radio ou lasers – pour transporter de l'électricité sans support physique. À l'envoi, un émetteur transforme l'énergie électrique en ondes. À la réception, une antenne dédiée les reconvertit en courant utilisable. Une technologie qui, sur le papier, pourrait un jour alimenter nos maisons, nos voitures, ou même des zones isolées, sans le moindre câble. Et ça ne relève plus de la science-fiction. Des entreprises comme Emrod en Nouvelle-Zélande ou Reach Power aux États-Unis atteignent déjà 95 % d'efficacité, avec l'objectif de grimper à 99 %. Fini les chantiers interminables pour enterrer des lignes à haute tension : une antenne et une source suffiraient.Tesla, en 1901, rêvait de transmettre l'électricité à travers l'ionosphère pour une distribution mondiale. Visionnaire, mais en avance sur son temps. Il faudra attendre les années 60 pour voir les premiers tests. En 1964, William C. Brown fait voler un petit hélicoptère, alimenté uniquement par micro-ondes. Puis, en 1975, la NASA parvient à transmettre 30 kilowatts sur 1,6 km, avec une efficacité de 50 %. Depuis, la miniaturisation, les progrès laser et l'urgence climatique ont redonné de l'élan à cette technologie. Aujourd'hui, des applications concrètes émergent : recharge sans fil de capteurs connectés, de systèmes d'éclairage, ou d'équipements dans les zones difficiles d'accès. La NASA et l'agence spatiale japonaise JAXA planchent même sur des centrales solaires spatiales capables de renvoyer vers la Terre jusqu'à 1 gigawatt d'énergie – l'équivalent d'un réacteur nucléaire. Mais des défis restent à relever : efficacité, portée, sécurité pour le corps humain. Et pourtant, le cap est clair. Ce qui semblait irréalisable hier devient progressivement tangible. L'électricité sans fil, héritière directe du rêve de Tesla, pourrait bien redessiner notre rapport à l'énergie dans les années à venir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'IA et les RH : mariage d'amour ou de raison ? Un débat qui fracture la profession !L'intelligence artificielle est-elle votre alliée ou votre rivale en RH ? Mon sondage Linkedin auprès de 2 200 professionnels réalisé avec mon partenaire Great Place to Work révèle une réalité fascinante : 24% y voient une opportunité totale, 12% un danger absolu, 17% restent perplexes, et 47% adoptent une vision nuancée selon les usages.Dans cet épisode, je décortique avec @greatplacetowork cette question brûlante à l'occasion des Great Place To Work in Tech 2025. Découvrez comment l'IA transforme déjà le recrutement, l'onboarding et la gestion des talents, mais aussi pourquoi certains y voient une menace de déshumanisation.L'IA est-elle comme un marteau - un simple outil dont la valeur dépend de qui l'utilise ? Et comment garder l'humain au centre de cette révolution technologique ?Rejoignez-moi pour explorer les principes d'une IA responsable en RH et comprendre comment elle peut devenir un levier d'humanisation plutôt qu'une force de standardisation.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Aujourd'hui, c'est au tour de Louis Sarkozy, auteur de "Napoléon Bonaparte : L'Empire des Livres" (Éd. Passés Composés), de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Tous les matins, 8h50 sur Chérie FM, Alex et Tiffany l'équipe du Réveil Chérie vont chacun vous donner une info ! Une seule est vraie ! L'autre est complètement fausse !" A vous de trouver qui dit vrai !
L'IA au service de la vidéo : entre fascination et hallucinations
Marre de lire tout et n'importe quoi sur l'argent et le bonheur ?
durée : 00:29:40 - A votre service avec Nelly Sorbier et ses experts - Nos deux départements regorgent de trésors naturels que l'on peut ramasser et transformer en cosmétiques, tisanes, sirops…Apprenez à récolter, utiliser et respecter ces ressources précieuses de notre région avec Stéphane Wiest, cueilleuse de plantes et créatrice de soins cosmétiques naturels.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter mon podcast Choses à Savoir Culture Générale:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------Aujourd'hui, penchons-nous sur un élément architectural que l'on croise partout, notamment à Paris : le toit mansardé. Vous savez, ce toit à double pente, souvent en ardoise, qui donne aux bâtiments un air élégant tout en permettant l'aménagement des combles. Mais saviez-vous que ce type de toiture trouve son origine notamment dans une astuce fiscale!Le terme "mansarde" vient du nom de François Mansart, architecte du XVIIe siècle (1598–1666), considéré comme l'un des pionniers du style classique en France. Ce n'est cependant pas lui qui a inventé cette forme de toit, mais il l'a perfectionnée et popularisée au point qu'elle porte aujourd'hui son nom.Son idée géniale ? Utiliser l'inclinaison à deux niveaux d'un toit pour aménager les combles. La pente inférieure, très raide, permettait d'obtenir une hauteur sous plafond suffisante pour rendre les étages du dessus habitables, tandis que la pente supérieure, plus douce, terminait l'élévation du toit. Le tout offrait un gain de surface habitable considérable, sans dépasser la hauteur réglementaire d'un immeuble.Une astuce contre l'impôt sous Louis XIVMais le véritable essor du toit mansardé vient d'une raison bien plus terre-à-terre : l'impôt foncier. Sous le règne de Louis XIV, les propriétaires de maisons en ville devaient payer un impôt proportionnel au nombre d'étages "visibles". Les combles aménagés sous le toit, eux, n'étaient pas comptabilisés comme étages. Résultat : en construisant un toit à la Mansart, on obtenait un ou deux niveaux supplémentaires sans payer plus de taxes !Cette astuce fiscale séduisit rapidement la bourgeoisie parisienne. Le style fut largement repris dans l'architecture haussmannienne au XIXe siècle, où l'on retrouve encore aujourd'hui des lignes de toits mansardés typiques des immeubles parisiens.Entre esthétique et pragmatismeAu-delà de son aspect fiscal, le toit mansardé avait aussi un intérêt esthétique. Il apportait une élégance à l'édifice, allégeant sa silhouette, tout en respectant les alignements urbains. Les fenêtres de toit, appelées aussi lucarnes, permettaient de faire entrer la lumière, rendant ces derniers étages bien plus agréables que de simples greniers.Aujourd'hui encore, la mansarde évoque à la fois l'élégance parisienne, les garçons de chambre logés sous les toits, et cette astuce géniale mêlant architecture et ruse fiscale. Une preuve que même un simple toit peut raconter une page entière de notre histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Voici un épisode en 2 parties: Partie 1: Interview de Thibaut Mulliez, cofondateur de l'association Atlantid. Son objectif ? Permettre à chacun d'avancer en vivant une expérience d'intelligence collective au delà des frontières et des catégories socioprofessionnelles. Pour en savoir plus: https://atlantid.org/Partie 2: je vous explique comment créer votre propre session d'1h avec vos amis, pour avancer quand vous êtes bloqué.e dans votre carrière. Voici le déroulé: en 6 étapes :Poser le cadre (5 min): Explique le principe à ton groupe :"Je vais vous partager une situation pro, vous m'aidez à y voir plus clair. Pas besoin d'être expert, juste de poser des questions et partager vos idées."Exposer la situation (10 min)Décris ton contexte : Ce qui te bloque, Ce que tu veux décider ou comprendreClarification (10 min)Ils te posent des questions de compréhension (pas encore de conseils).Formulation de ta question (5 min)Reformule ton besoin en une question claire :"Comment puis-je… ?" ou "De quoi ai-je besoin pour… ?"Partage d'idées (20 min)Ils proposent librement leurs idées.
durée : 00:02:33 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Après l'assassinat d'un fidèle dans une mosquée dans le Gard, Guillaume Erner revient sur le débat qui porte sur le terme "islamophobie". - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:02:33 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Après l'assassinat d'un fidèle dans une mosquée dans le Gard, Guillaume Erner revient sur le débat qui porte sur le terme "islamophobie". - réalisation : Félicie Faugère
Bienvenue depuis la belle Alicante en soleil plein !
Quitter Google : on en parle souvent, mais dans les faits, rares sont ceux qui passent à l'acte. Un document de recherche, récemment publié, révèle pourtant des pistes inattendues pour bousculer la suprématie du géant californien.Menée par des économistes de Stanford, du MIT et de l'Université de Pennsylvanie, cette étude, parue en janvier 2025, s'est penchée sur les raisons du quasi-monopole de Google dans la recherche web. Près de 2 500 internautes américains ont participé à cette enquête. L'objectif : déterminer si Google domine par la qualité de ses résultats ou simplement par défaut, faute d'exposition à d'autres moteurs comme Bing. Les chercheurs ont testé plusieurs scénarios : imposer un choix actif du moteur de recherche, changer le moteur par défaut, ou encore payer les utilisateurs pour essayer Bing pendant deux semaines. Résultat ? Forcer un choix actif ne bouge presque rien : seulement +1,1 point pour Bing. Une preuve que l'écran de choix, comme celui imposé par l'Union européenne, a peu d'impact.En revanche, dès qu'une rémunération entre en jeu, tout change. Avec 1 dollar offert pour utiliser Bing, sa part de marché grimpe à 32 %. Avec 10 dollars, elle atteint 64 %. Au-delà, la progression ralentit : 74 % pour 25 dollars. Mais attention : une fois l'argent retiré, beaucoup d'utilisateurs sont revenus à Google. Pourtant, environ 22 % ont choisi de rester sur Bing plusieurs semaines après l'expérience. Preuve qu'une exposition plus longue peut réellement modifier les habitudes. Pourquoi Google tient-il si fort sa position ? Parce qu'il s'impose partout, en particulier via des accords massifs. Il verse par exemple 18 milliards de dollars par an à Apple pour rester le moteur par défaut de Safari. Les autorités américaines, engagées dans une procédure judiciaire contre Google pour pratiques anticoncurrentielles, s'inspirent de ces résultats. Selon le Washington Post, elles envisagent non seulement des mesures radicales – comme forcer la revente de Chrome – mais aussi des campagnes d'incitation pour pousser les internautes à tester d'autres moteurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, découvrez pourquoi être toujours sérieux au travail n'est pas seulement inutile, mais peut être contre-productif.Dans cet épisode :
Découvrez ma formation en ligne sur les fondamentaux de l'accueil !Découvrez l'extrait de l'épisode 125 d'Hospitality Insiders sur le parcours d'Alexandre Waquier. Alexandre est un expert en vente et animateur du podcast Les Héros de La Vente. Ensemble, nous allons creuser avec lui tous les avantages du podcast dans son processus de vente ! Retrouvez l'intégralité de l'épisode ici.Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Impossible à nier: l'IA fait partie intégrante du quotidien d'un blogueur tech. Il faut la prendre en compte car elle occupe une place de plus en plus grande dans les outils et les habitudes de recherche en ligne. Elle est aussi un outil qui, bien utilisé, peut faire gagner du temps dans de nombreux domaines. Mais elle peut aussi devenir envahissante ou pire, servir à la désinformation. Alors, quelle approche est-ce que j'utilise dans mon quotidien de blogueur vis-à-vis de l'IA? Je vous livre l'intégralité de ma pensée sur le sujet, ce que je pense de l'avenir et comment l'IA va transformer le travail de beaucoup de personnes, dont les blogueurs tech. Je vous dis aussi quels outils j'utilise, comment et pourquoi!
Cet épisode se concentre sur la critique de photos soumises par des auditeurs, avec une analyse approfondie de chaque image. Julien Pasternak utilise une tablette graphique pour illustrer ses points et aborde des thèmes tels que la composition, l'éclairage et l'importance de l'action dans les photos. Les critiques sont constructives et visent à encourager les photographes à améliorer leur travail.TakeawaysL'importance de voir les photos en vidéo pour une critique plus efficace.Analyser ses propres photos est souvent plus difficile que celles des autres.Utiliser des outils comme une tablette graphique peut aider à visualiser les éléments d'une photo.Les lignes et la composition sont essentielles pour attirer l'œil dans une image.Un sujet doit avoir une action intéressante pour capter l'attention.Les couleurs et l'éclairage peuvent affecter la perception d'une photo.Une série de photos doit avoir une cohérence visuelle et narrative.Les détails techniques, comme le détourage, sont cruciaux dans un portrait.Il est important de ne pas se concentrer uniquement sur l'esthétique, mais aussi sur le moment capturé.La critique constructive est un outil d'apprentissage pour les photographes.Chapitres00:00 Introduction à la critique photo02:51 Analyse des photos soumises05:52 Critique de la première photo de Paul08:52 Critique de la photo de Damien11:52 Critique de la série de portraits d'Emma24:05 Critique des photos de Fabien27:58 Analyse de la composition photographique32:09 Exploration des reflets et des poses longues44:25 Critique des portraits et de l'identité visuelle47:20 Le processus créatif et l'itération en photographie
Dans ce nouvel épisode, on part en voyage à l'autre bout du monde pour s'inspirer de concepts japonais et les appliqués directement dans ton quotidien de manager.
Donnez-moi votre feedback par SMS (mobile uniquement)!Le leadership transformationnel possède quatre dimensions:Influence Idéalisée (II): modèle, confiance, admiration (épisode 272)Motivation Inspirante (MI): motivation, vision ou direction claireStimulation Intellectuelle (SI): créativité, innovation, remise en question, implicationConsidération Individualisée (CI): intérêt sincère, développement personnel et professionnel des collabs, mentorat, encadrement individualiséQue veut dire cette dimension?La motivation inspirante (MI) est une dimension du leadership transformationnel où les leaders motivent et inspirent leurs subordonnés en communiquant une vision claire et inspirante pour l'avenir de l'organisation. Ils utilisent des symboles et des gestes pour renforcer cette vision et encourager les équipes à dépasser leurs attentes et à atteindre des objectifs ambitieux.Exemples de personnages célèbresWinston ChurchillAragorn (personnage fictif du Seigneur des Anneaux)Malala YousafzaiChapitre 3: Outils et pratiques de la motivation inspirante(voir l'épisode et l'article sur la motivation au travail)Communiquer une vision claire et inspirante:Formulez une vision qui est alignée avec les valeurs et les objectifs de l'organisationUtiliser des symboles, des gestes, des métaphores pour renforcer la vision. Impliquez les membres de l'équipe dans le processus de réalisation de la vision.Reconnaître et célébrer les succès, cela renforce la motivation et l'engagement des équipes.Utiliser des discours inspirants:Préparer soigneusement les discours: mettez l'accent sur les points clés de la vision et en utilisant des anecdotes et des exemples inspirants.Adaptez le ton et le style de vos discours en fonction du public et de la situation.Montrez votre passion et votre enthousiasme pour la vision.Profitez des occasions, et en particulier des difficultés, pour rappeler la vision par des discours simples et percutantsEncourager le réalisme:Promouvoir une attitude réaliste: voyez les obstacles, faites front commun, montrez l'exemple en surmontant les défis avec détermination.Offrez un soutien émotionnel aux membres de l'équipe. Écoutez leurs préoccupations et encouragez-les à persévérer malgré les difficultés.Aidez les membres de l'équipe à développer leur résilience en leur fournissant des outils et des ressources pour surmonter les obstacles. Encouragez-les à voir les difficultés comme des opportunités de croissance et de développement.Quelles sont les limites de la motivation inspirante?Risque de surmenageDérives possiblesDéconnexion entre la vision et la réalitéCes deux premières dimensions (influence idéalisée et motivation inspirante) forment le "leadership charismatique". Il peut avoir mauvaise presse parce qu'il permet la manipulation et la violence psychologique s'il est mal utilisé ou utilisé à des fins néfastes. Il faut nécessairement lui ajouter la stimulation intellectuelle et la considération individualisée. Accès gratuit à toutes nos ressources: www.coapta.ch/campusAccès aux archives du podcast: www.coapta.ch/podcast© COAPTA SàrlTous les épisodes disponibles sur www.coapta.ch/podcast ou sur votre plateforme préférée (Spotify, Apple Podcasts, Google Podcasts); cherchez "Leadershift" ou "Vincent Musolino" Faites partie de notre communauté sur le Discord officiel COAPTA!
Invité: Roger-Pol Droit. La philosophie peut impressionner, voire carrément rebuter. Trop abstrait, trop intellectuel, trop éloigné de la réalité, diront ses détracteurs. La philosophie est pourtant partout autour de nous. Elle guide nos choix, influence nos débats et nous aide à mieux comprendre le monde. Nous nous posons souvent de grandes questions. Il se trouve que beaucoup dʹautres les ont posées avant nous. A quoi ressemble une vie réussie? Comment distinguer une bonne idée dʹune illusion? A quoi sert lʹamour, lʹamitié? Utiliser la philosophie pour y voir plus clair dans ce monde compliqué, cʹest le crédo, Roger-Pol Droit. Il est philosophe et écrivain, auteur de plusieurs livres de vulgarisation sur la philosophie. Son dernier ouvrage se présente sous forme de conte, "Alice au Pays des Idées", paru chez Albin Michel.
Dans cet épisode, je me penche sur un sujet qui me tient à cœur : le burnout. Ayant frôlé le burnout il y a 2 ans, je partage mon expérience personnelle et les stratégies qui m'ont aidé à l'éviter. Le burnout, contrairement aux idées reçues, ne nous tombe pas dessus soudainement ; il s'installe petit à petit, mais la bonne nouvelle, c'est qu'on peut agir. Avec 10 à 12 % des salariés touchés, comprendre comment l'éviter est crucial.Dans cet épisode, je vous détaille les cinq stratégies éprouvées pour prévenir le burnout :Reconnaître les signaux faibles, comme la fatigue matinale persistante, l'irritabilité ou la perte de motivation.Instaurer des limites claires entre vie professionnelle et personnelle.Cultiver un réseau de soutien pour discuter ouvertement du sujet.Prendre soin de sa santé physique par de petites actions quotidiennes.Utiliser des techniques de relaxation et de méditation pour gérer le stress.Je vous invite à écouter pour découvrir ces stratégies concrètes, applicables dès maintenant. Ensemble, explorons comment préserver notre bien-être et éviter le burnout.
Mardi 15 avril, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Thomas Serval, PDG de Baracoda, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud. Ils se sont penchés sur l'utilisation de nos données par Meta pour alimenter son IA, et l'amélioration des fonctions d'Apple Intelligence, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Il est 18h00 et avant de finir votre journée, vous parcourez votre to-do liste pour faire le point. Et là, c'est la douche froide : "Mais où est passée cette journée ? J'ai l'impression d'avoir couru dans tous les sens et pourtant je n'ai rien fait avancer !"Cette situation vous est familière ? Rassurez-vous, c'est tout à fait normal. Quand vous regardez votre to-do liste, vous voyez ce que vous aviez prévu de faire et que vous avez fait, ce que vous aviez prévu de faire et que vous n'avez pas fait… Mais il manque toute une partie du tableau : toutes les choses que vous avez faites alors qu'elles n'étaient pas prévues. La réalité, c'est que la to-do liste est un outil utile, mais c'est aussi un outil incomplet, parce qu'elle ne permet ni de comprendre où passe réellement votre temps, ni de savoir si vous avancez dans la bonne direction.Cette semaine, je vous présente un outil puissant pour recueillir ces informations précieuses : la to-do liste inversée.
Hervé Pouchol a beau être un négociateur hors pair depuis la salle des appels, il semble avoir quelques difficultés avec l'utilisation de son téléphone... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PODCAST - Avec la multiplication des services en ligne, il est impossible de mémoriser ses mots de passe sans aller à l'encontre des principes de base de sécurité. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste RTL, vous explique comment utiliser un gestionnaire de mots de passe. Retrouvez chaque semaine (l'inimitable) "Règle d'or" en podcast et son pendant Numérique consacré aux problèmes du quotidien en ligne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment Palais des Thés utilise l'influence pour sublimer l'expérience du thé – Entretien avec Alexandre DennisDans cet échange passionnant, nous avons discuté avec Alexandre Dennis, Global Social Media Manager de Palais des Thés, pour comprendre comment la marque s'appuie sur l'influence et les réseaux sociaux pour renforcer son storytelling et engager sa communauté.Palais des Thés et l'influence marketing : une alliance stratégiquePeux-tu nous parler de la stratégie de Palais des Thés en matière d'influence ?Alexandre Dennis : Notre approche repose sur l'authenticité et la qualité des contenus. Nous collaborons avec des influenceurs qui partagent nos valeurs et notre passion pour le thé, qu'ils soient spécialisés en gastronomie, lifestyle ou bien-être. Nous privilégions les partenariats à long terme pour construire une véritable histoire avec eux.Quels types de créateurs de contenu privilégiez-vous ?Alexandre Dennis : Nous travaillons avec une diversité de profils, mais nous nous assurons qu'ils ont une vraie affinité avec notre univers. Il ne s'agit pas seulement de placement de produit, mais de créer des expériences autour du thé. Nous aimons les créateurs qui apportent une dimension sensorielle et narrative à leurs contenus.Les réseaux sociaux comme levier de storytellingQuels sont les formats qui fonctionnent le mieux pour engager votre communauté ?Alexandre Dennis : Les vidéos immersives et les formats courts sont très performants, notamment sur Instagram et TikTok. Nous utilisons aussi beaucoup les stories et le live pour créer un lien direct avec notre audience. L'UGC (User Generated Content) est également clé : nos clients et ambassadeurs partagent leurs moments de dégustation, ce qui renforce notre crédibilité.Comment adaptez-vous votre stratégie en fonction des plateformes ?Alexandre Dennis : Chaque réseau a son langage. Sur Instagram, on mise sur l'esthétique et les visuels soignés, tandis que sur TikTok, l'authenticité et le côté spontané priment. LinkedIn nous permet aussi de parler de nos engagements et de notre démarche responsable.Les défis et perspectives de l'influence chez Palais des ThésQuelles ont été vos plus grandes réussites en matière d'influence ?Alexandre Dennis : Nous avons mené plusieurs campagnes réussies avec des créateurs qui ont su retranscrire notre univers avec justesse. Par exemple, une collaboration avec un chef a permis de mettre en avant le thé comme ingrédient gastronomique, et cela a eu un très bel écho auprès de notre audience.Quels sont les défis que vous rencontrez dans l'influence marketing ?Alexandre Dennis : Le principal défi est de maintenir une cohérence et une sincérité dans les collaborations. Nous sommes vigilants à ne pas tomber dans une sur-commercialisation qui pourrait nuire à l'image de Palais des Thés. Il faut aussi s'adapter aux évolutions constantes des algorithmes et aux nouvelles tendances digitales.Conclusion : L'influence, un levier incontournable pour Palais des ThésCet échange avec Alexandre Dennis montre à quel point l'influence et les réseaux sociaux sont devenus des piliers du développement de Palais des Thés. Grâce à une approche qualitative et à des collaborations authentiques, la marque parvient à transmettre son expertise et à embarquer sa communauté dans un voyage sensoriel unique.
Pour ce 112ème épisode de SENS CREATIF, nous recevons l'excellente AURELIE DORE, journaliste et créatrice du podcast "Ceci est ton corps".Ariste contrariée (c'est elle qui le dit) et créatrice en mouvement, Aurélie a transformé son obsession pour le collage plastique et sonore en super pouvoir. Avec sa voix comme outil et en réinvestissant le corps féminin comme lieu d'expérience, elle ouvre la voie et donne la parole aux femmes sur le regard qu'elles portent sur leur propre corps. Et c'est un vrai bonheur de l'écouter.Dans cet épisode, on discute :
Être sensible en entreprise n'a pas toujours bonne réputation. Au siècle dernier, ce qui était valorisé à l'extrème, c'était le salarié froid, sans émotion, capable de traverser toutes les épreuves sans montrer la moindre sensibilité.Les temps ont changé et grâce à la pandémie, parler des émotions en entreprise n'est plus tabou. Cependant, être sensible ou hyper-sensible n'est pas toujours accepté et l'être n'est pas toujours simple au quotidien pour les personnes qui le sont.Dans cet épisode, je donne 4 clés pour y arriver.1️⃣ Accepter sa propre sensibilité2️⃣ Utiliser sa sensibilité pour développer son empathie3️⃣ Solliciter du feedback pour réduire l'impact négatif de sa sensibilité4️⃣ Être fier de sa propre sensibilitéEt pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos =>>> www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Send us a textVous avez un niveau B1 en français et vous préparez un entretien pour un poste de secrétaire ? Nous avons créé pour vous un guide pratique avec 40 questions-réponses courantes spécialement adaptées au niveau B1. C'est le moment parfait pour renforcer votre expression orale, élargir votre vocabulaire professionnel et gagner en confiance !
Bonjour et bienvenue sur My French Journey !
Dormir en altitude peut s'avérer difficile, même pour les personnes en bonne santé. Dès 2 500 mètres, de nombreux voyageurs et alpinistes remarquent un sommeil perturbé, marqué par des réveils fréquents et une sensation de sommeil peu réparateur. Mais pourquoi l'altitude affecte-t-elle notre repos ?Un manque d'oxygène qui perturbe la respirationL'un des principaux coupables est l'hypoxie, c'est-à-dire la diminution de la quantité d'oxygène disponible dans l'air. À haute altitude, la pression atmosphérique est plus faible, ce qui réduit l'apport en oxygène dans le sang. Cette baisse entraîne des changements dans la respiration : le corps tente de compenser en augmentant la fréquence respiratoire, y compris durant le sommeil. Résultat : les phases de sommeil profond sont moins longues et moins réparatrices.L'apnée centrale du sommeil en altitudeUn phénomène fréquent chez ceux qui dorment en haute montagne est l'apnée centrale du sommeil. Contrairement à l'apnée obstructive où un relâchement des muscles bloque la respiration, l'apnée centrale est causée par un dérèglement du centre respiratoire du cerveau. Confronté à l'hypoxie, l'organisme alterne entre des périodes de respiration rapide et des arrêts respiratoires involontaires. Ces interruptions du souffle fragmentent le sommeil, provoquant des micro-réveils et une sensation de fatigue au réveil.Un sommeil plus léger et plus courtDes études montrent que l'altitude altère l'architecture du sommeil. En particulier, le sommeil paradoxal, essentiel pour la récupération mentale, est raccourci. De plus, l'hypoxie augmente la production de catécholamines, des hormones du stress, qui rendent l'endormissement plus difficile et favorisent un sommeil léger et instable.L'inconfort et la température corporelleLes conditions environnementales jouent également un rôle. Le froid nocturne en montagne entraîne des variations de température corporelle qui perturbent le cycle du sommeil. De plus, l'air sec en altitude assèche les muqueuses, pouvant causer des réveils nocturnes désagréables.Comment mieux dormir en altitude ?Quelques astuces peuvent atténuer ces effets :S'acclimater progressivement pour permettre au corps de mieux gérer l'hypoxie. Éviter l'alcool et les sédatifs, qui aggravent les troubles respiratoires nocturnes. Hydrater suffisamment pour compenser l'air sec. Utiliser de l'oxygène d'appoint si nécessaire à très haute altitude. En conclusion, dormir en altitude est un défi physiologique, mais avec une bonne préparation, il est possible d'atténuer ces effets pour un sommeil plus réparateur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les casques antibruit, conçus pour atténuer les bruits ambiants et offrir une expérience d'écoute plus immersive, suscitent des interrogations quant à leurs effets sur le cerveau. Bien qu'ils présentent des avantages indéniables, une utilisation excessive ou inappropriée peut entraîner des conséquences neurologiques.Impact sur le traitement auditifUne étude australienne menée par l'université Bond a révélé qu'une utilisation normale des casques antibruit ne pose généralement aucun problème. Cependant, une utilisation prolongée peut entraîner une hypersensibilité au son. En effet, le cerveau, habitué au silence imposé par le casque, peut percevoir les bruits ambiants normaux comme dérangeants une fois le casque retiré. Cette adaptation neuronale peut modifier la manière dont le cerveau traite les sons, entraînant une sensibilité accrue aux stimuli auditifs. Effets sur l'équilibre et la perception spatialeLe cerveau utilise naturellement les bruits ambiants pour se repérer dans l'espace. En supprimant certains sons, le casque antibruit perturbe la perception de l'équilibre, et certains utilisateurs peuvent ressentir des vertiges, des maux de tête ou des nausées. Cette sensation est similaire au mal des transports.Conséquences psychologiques et cognitivesL'isolement sonore prolongé peut également avoir des répercussions psychologiques. Le silence excessif, surtout dans des environnements où le bruit est habituel, peut provoquer une sensation de désorientation ou d'inconfort. Cette privation sensorielle peut affecter l'humeur et, dans certains cas, entraîner du stress ou de l'anxiété.Recommandations pour une utilisation sainePour minimiser les effets indésirables potentiels des casques antibruit sur le cerveau, il est conseillé de :Limiter la durée d'utilisation : Éviter de porter le casque pendant de longues périodes sans interruption.Faire des pauses régulières : Permettre au système auditif de se réadapter aux sons naturels en retirant le casque périodiquement.Utiliser la réduction de bruit de manière contextuelle : Activer cette fonction uniquement dans des environnements bruyants où elle est réellement nécessaire.Maintenir un volume d'écoute modéré : Même avec la réduction de bruit, il est essentiel de ne pas augmenter excessivement le volume pour protéger l'audition.En conclusion, bien que les casques antibruit offrent des avantages significatifs en matière de confort auditif, une utilisation modérée et consciente est essentielle pour éviter des effets potentiellement néfastes sur le cerveau et le système auditif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les incendies des voies respiratoires en salle d'opération sont rares mais potentiellement catastrophiques. Ce phénomène repose sur trois éléments essentiels : un comburant (oxygène ou protoxyde d'azote), un combustible (matériaux présents dans les voies respiratoires) et une source d'ignition (étincelle ou chaleur). Lorsqu'ils se combinent dans certaines conditions, un incendie peut se déclencher.Le rôle des gaz anesthésiquesL'oxygène est un comburant puissant. En anesthésie, il est souvent administré à des concentrations supérieures à celles de l'air ambiant (21 % d'oxygène). Parfois, du protoxyde d'azote (N₂O) est également utilisé, un gaz qui favorise la combustion en libérant de l'oxygène lors de sa décomposition thermique. Une atmosphère enrichie en ces gaz augmente considérablement le risque d'inflammation.Les combustibles dans les voies respiratoiresLes matériaux utilisés en anesthésie et en chirurgie constituent la source de combustible. Parmi eux, les tubes endotrachéaux, les masques laryngés et les sondes d'aspiration sont souvent fabriqués en PVC ou en silicone, des matériaux inflammables. En cas de chaleur intense ou d'étincelle, ces polymères peuvent fondre, dégager des fumées toxiques et alimenter un incendie.L'ignition par des instruments chirurgicauxLes instruments électrochirurgicaux, comme le bistouri électrique et le laser, sont les principales sources d'étincelles en salle d'opération. Lorsqu'un de ces dispositifs est utilisé à proximité des voies respiratoires, l'énergie dégagée peut enflammer l'environnement gazeux enrichi en oxygène. Par exemple, si un bistouri électrique entre en contact avec des tissus riches en oxygène ou un tube endotrachéal, une inflammation instantanée peut se produire.Conséquences et préventionUn incendie des voies respiratoires peut causer des brûlures internes graves, des lésions pulmonaires et, dans les cas extrêmes, entraîner le décès du patient. Pour prévenir ce risque, les anesthésistes et chirurgiens adoptent plusieurs stratégies :- Réduire la concentration d'oxygène lorsque possible.- Utiliser des tubes endotrachéaux résistants au feu.- Éviter l'usage d'électrochirurgie en présence d'un mélange inflammable.- Avoir un plan d'urgence en cas d'incendie.Ainsi, une vigilance accrue et une bonne coordination entre anesthésistes et chirurgiens sont essentielles pour éviter ces accidents redoutables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Marie-Sophie Bufarull, Didier Giraud et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Êtes-vous certain·e que les changements que vous mettez en place répondent au bon problème ?Il est fréquent de se lancer tête baissée dans la mise en place de solutions sans prendre le temps de clarifier la nature du problème qu'on cherche à résoudre.Le risque ? Dépenser votre temps, votre énergie et vos ressources à régler des sujets périphériques ou à traiter uniquement les symptômes du vrai problème, sans aboutir à une situation plus favorable. Cette semaine, je vous propose qu'on vérifie ensemble que vous ne vous trompez pas de problème. On y va ? Écoutez l'épisode 363 pour :
L'essor de l'intelligence artificielle générative (IA) a entraîné une consommation énergétique massive, principalement due aux processus de formation et d'inférence des modèles. Cette dépense énergétique est un défi majeur en matière d'impact environnemental et d'efficacité technologique.1. L'entraînement des modèles : une phase extrêmement énergivoreLes modèles d'IA générative, comme GPT-4 ou DALL·E, nécessitent un entraînement sur d'énormes ensembles de données. Cette étape implique des milliards de calculs effectués par des GPU (processeurs graphiques) ou des TPU (processeurs spécialisés pour l'IA).- Exemple chiffré : L'entraînement de GPT-3, qui contient 175 milliards de paramètres, a consommé environ 1 287 MWh d'électricité, soit l'équivalent de la consommation annuelle de plus de 120 foyers américains.- Émissions de CO₂ : Cette consommation d'énergie a généré plus de 550 tonnes de CO₂, soit l'équivalent de plus de 125 voitures parcourant 20 000 km chacune.Plus le modèle est grand, plus la phase d'entraînement est longue et coûteuse en énergie.2. L'inférence : un coût caché mais significatifAprès son entraînement, un modèle génératif doit être exploité par des millions d'utilisateurs. Chaque requête soumise à un LLM (Large Language Model) entraîne des calculs complexes, ce qui consomme également de l'énergie.- Comparaison avec une recherche Google : Une simple requête sur GPT-4 peut consommer 10 à 100 fois plus d'énergie qu'une recherche classique sur Google.- Dépenses énergétiques cumulées : Un modèle comme ChatGPT, utilisé par des millions de personnes chaque jour, peut nécessiter plusieurs mégawattheures par jour.3. Facteurs aggravantsPlusieurs éléments amplifient cette consommation énergétique :- La multiplication des modèles : De nombreuses entreprises entraînent des modèles concurrents, dupliquant ainsi des coûts énergétiques.- L'optimisation incomplète : Les infrastructures ne sont pas toujours optimisées pour minimiser la consommation.- Le refroidissement des serveurs : Les centres de données doivent être refroidis en permanence, représentant jusqu'à 40 % de la consommation énergétique totale des data centers.4. Vers des solutions plus durablesFace à ces défis, plusieurs pistes sont envisagées :- Optimiser les algorithmes pour réduire les calculs inutiles.- Utiliser des architectures plus efficaces, comme les modèles quantifiés ou les LLM spécialisés.- Alimenter les data centers avec des énergies renouvelables, ce qui est déjà en cours chez Google et Microsoft.ConclusionL'IA générative est une révolution technologique, mais son coût énergétique est un défi majeur. Une utilisation plus efficiente des ressources et des infrastructures plus écologiques seront essentielles pour limiter son impact environnemental. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la santé de nos cheveux, on peut se demander à quelle fréquence les laver et quel shampooing utiliser. Faut-il aller jusqu'à céder à la tendance "no poo" ou "low poo", très présente sur les réseaux sociaux, qui consiste à espacer beaucoup les shampooings ? Réponses. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 19 février 2025.
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/quand-utiliser-beaucoup-de-et-quand-utiliser-tres