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Vous aimez A la folie pas du tout, le podcast Bababam Originals qui vous plonge dans les histoires d'amour qui ont marqué des générations ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Les Fabuleux destins, le podcast Bababam Originals qui raconte les histoires extraordinaires de personnes hors du commun. Bonne écoute ! En 1845, le capitaine John Franklin et son équipage s'embarquent pour une mission audacieuse : découvrir le passage du Nord-Ouest à bord des HMS Erebus et Terror. Entre préparation minutieuse et défis arctiques, ils s'aventurent vers l'inconnu, porteurs d'un espoir qui pourrait changer l'histoire… Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 23 octobre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans les deux régions à majorité anglophone du Cameroun, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Il n'y a plus de front à proprement parler mais des zones d'insécurité, où les armes circulent et où les civils sont les premières victimes. Les conséquences sont aussi économiques, sur la vie quotidienne des habitants. Par Amélie Tulet et Alphonse Tebeck,Sur la route de Buea en partant de Douala, une fois passé le fleuve Moungo, Salim, chauffeur, constate à quel point le paysage a changé : « Avant la crise, juste quand on finissait de traverser les champs d'hévéas, on avait de vastes étendues de plantations de bananes plantain, entretenues et exploitées par la CDC (Cameroon Development Corporation). Mais depuis la crise, les séparatistes ont empêché les travailleurs d'aller aux champs et puis, tout est allé en ruine. C'est triste. »Embouteillages et pénurie de logementsUne fois à Buea, aux heures de pointe, sur l'axe principal qui traverse cette ville du sud-ouest du Cameroun, les conducteurs de taxis ont dû s'habituer aux embouteillages. Avec l'afflux de déplacés, en moins de trois ans, la population a doublé. « Nous trouvons difficile de circuler comme nous le faisions il y a six ou sept ans », se lamente l'un d'eux. « On se trouve confronté à des défis comme la surconsommation d'essence dans les embouteillages, renchérit un autre. C'est vraiment le premier problème : le temps perdu… C'est dur. Il y a du travail, mais ça va trop lentement à cause du monde. La population a augmenté, mais il n'y a pas assez de routes. »Une croissance rapide qui se fait sentir aussi dans le quotidien de cet agent immobilier : « Les habitants des zones reculées de Kumba et de Bamenda viennent ici dans la zone verte de Buea. Ça pousse les propriétaires à augmenter les prix. La demande est supérieure à l'offre, ça affecte les plus pauvres. Certains, pour s'en sortir, cotisent et se mettent à cinq dans une seule chambre. »Commerce perturbé, taxes des groupes armésEn journée, Buea est une ville commerçante animée. Le soir, de nombreux bars sont ouverts. Malgré cet apparent retour à la normale, les « ghost town mondays » (les lundis villes mortes), décrétés par les groupes armés, continuent d'être respectés par une partie des habitants, ce qui fait chuter l'activité.« Je fais des yaourts et je les vends, mais le lundi, les affaires tournent au ralenti, témoigne une commerçante. Comme c'est journée ville morte, les gens restent chez eux. Ils ne viennent pas au marché. Ça fait baisser mes revenus. Ça affecte mon foyer. Parfois, je n'ai plus d'argent pour le lendemain pour envoyer mon fils à l'école. Vous savez, quand c'est lundi ville morte, chacun pense d'abord à sa survie. Alors, tout le monde reste à l'intérieur. »En dehors des agglomérations, sur les axes qu'ils contrôlent, les groupes armés continuent de prélever sur les habitants des taxes : taxes sur les personnes, les marchandises, jusqu'aux corps des défunts qu'il faut enterrer au village.À lire aussiCameroun anglophone: près de Buea, un centre de rééducation prend en charge des blessures de guerre [2/4]
Pour le Norwegian Refugee Council, c'est une des crises les plus négligées au monde. Pourtant, au Cameroun, dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Cependant, la nature de la crise a beaucoup changé. Les mouvements se sont fragmentés. Il n'y a plus de front, mais des zones d'insécurité et les civils sont les premières victimes. Les armes circulent et les kidnappings crapuleux pour extorquer de l'argent aux habitants sont nombreux. Rencontre avec une rescapée d'un de ces enlèvements contre rançon. De notre envoyée spéciale de retour de Buea,Pour témoigner, elle choisit le prénom Assiko. Début mai 2020, Assiko a 27 ans quand elle est enlevée en pleine rue à Bamenda, dans l'ouest du Cameroun.« On est sortis déjeuner avec ma sœur aînée et vers 19 heures, à la sortie du restaurant, ils nous ont interceptées. Ils ont pris la voiture, ils nous ont emmenées, ils nous ont couvert la tête. Quand ils nous ont libéré le visage, on était dans la brousse. On n'avait aucun moyen d'identifier la route par où nous sommes arrivées. Nous étions très loin dans la forêt, là où on entend juste le chant des oiseaux, et comme un ruisseau. Il y avait une sorte de grange. C'est là qu'on a passé la nuit », se souvient-elle.Une nuit d'angoisse commence alors pour Assiko et sa grande sœur : « C'était terrible… terrifiant. Ils pointent des armes sur vous, vous donnent des coups de pieds, vous frappent. Vous voyez ces marques sur mes jambes, ce sont des cigarettes. Ma sœur avait des tresses. Vous savez ce que ça signifie pour une femme, quand ils arrachent les cheveux, malgré les cris ? », raconte la jeune femme.Elle poursuit : « Il n'y a pas eu de viol. Nous avons eu de la chance. Mais les gens qu'ils ont emmenés avant nous, nous avons compris qu'ils avaient été tués. » Ceux qui les ont enlevées leur prennent tout : argent, chaussures... Ils cherchent également contacts et photos de leur maison dans leurs téléphones.« Être à Bamenda, c'est comme vivre dans une cage »Au petit matin, Assiko reconnaît un de ses ravisseurs : « Il a dit "j'ai fait une erreur". Puis, il a dit ''tu n'as pas changé, tu as la même voix''. J'étais surprise. Il m'a dit ''on était dans le même lycée, tu ne me reconnais pas, mais je me souviens de toi parce que j'avais le béguin pour toi". Il me semblait familier, mais je ne me souvenais pas de son nom. »Assiko et sa sœur ont été relâchées contre plus de deux millions de francs CFA. La victime ne sait toujours pas quel groupe l'a enlevée. Elle se sent toujours fragilisée, cinq ans après : « Il y a cette peur constante que quelque chose puisse arriver, que quelqu'un puisse surgir pour vous emmener. Quand on en parle, tout le monde est concerné, directement ou indirectement. Le calme que nous avons connu en grandissant s'est envolé. Être à Bamenda, c'est comme vivre dans une cage. Ici, à Buea, c'est plus une cage avec un jardin, mais à Bamenda, on est dans une vraie cage. »Assiko n'a jamais porté plainte. Aucun chiffre officiel n'évalue le nombre de kidnappings ces dernières années dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest.À lire aussiCameroun anglophone: à Missellele, d'ex-«ambaboys» se reconstruisent dans un centre DDR [1/4]À lire aussiCameroun: près de Buea, un centre de rééducation prend en charge des blessures de guerre [2/4]À lire aussiCameroun: des membres de la société civile dénoncent la pratique du «calé calé» [3/4]
Pour le Norwegian Refugee Council, c'est une des crises les plus négligées au monde. Pourtant, au Cameroun, dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Cependant, la nature de la crise a beaucoup changé. Les mouvements se sont fragmentés. Il n'y a plus de front, mais des zones d'insécurité et les civils sont les premières victimes. Plusieurs acteurs de la société civile dénoncent la pratique du « calé calé » : où des citoyens sont arrêtés en masse par les forces de l'ordre avant d'être relâchés contre de l'argent. De notre envoyée spéciale de retour de Buea,Sylvia est une déplacée, installée dans la banlieue de Buéa, ville du sud-ouest du Cameroun. Régulièrement, tôt le matin, elle doit prend ses cinq enfants pour courir se cacher en forêt : « Quand ils veulent nous prendre, quand on entend qu'ils arrivent, on court. On va dans la forêt... Puis, certains vont vérifier, et si ça se calme, alors on rentre. » La dernière fois que Sylvia a dû se cacher, c'était un lundi. « Lundi, c'était "calé calé" », dit-elle.L'activiste Sally Ndape a les traits tirés après ces nuits passées à travailler sur les dossiers qu'elle défend. Fondatrice de l'ONG Community Initiative for Developmental Action (CIDA), Initiative communautaire pour l'action en faveur du développement, elle a recensé plus de 800 civils raflés par les forces de l'ordre ces derniers mois :« Chaque fois qu'ils arrêtent les gens, ils leur prennent de l'argent. Calculez 50 000 francs CFA multiplié par 50 personnes, ou 50 000 francs CFA multiplié par 300 personnes... C'est un business, c'est une façon d'extorquer de l'argent à une population qui souffre déjà du conflit. S'il s'agissait de lutter contre les groupes armés, de réduire la violence, ils procèderaient aux arrestations, interrogeraient les gens puis les laisseraient simplement partir. Mais ce n'est pas ce qu'il se passe. »« Ces extorsions par l'armée et la police doivent cesser »Dans son cabinet, l'avocat Edward Lyonga montre les différents prix reçus pour son travail en faveur des droits humains. « Quand vous êtes arrêté, vous pouvez être gardé au commissariat ou en cellule pendant 15 jours renouvelables. En septembre, plus de 80 civils ont été arrêtés dans un village appelé Bonakanda. Ils ont finalement libéré un bon nombre d'entre eux, mais 25 ont été emmenés au tribunal militaire, détaille l'avocat. J'y suis allé. Je me suis battu jusqu'à ce que tous soient libérés. Ça fait partie des cas de violations des droits humains engendrées par cette crise. »Pour Félix Agbor Balla, directeur du Centre pour les droits de l'homme et la démocratie en Afrique (CHRDA) figure de la société civile, ces pratiques sont délétères et sapent le retour à la normale : « J'ai rencontré beaucoup de gens impliqués dans la crise, pas pour l'indépendance ou le fédéralisme, mais pour se venger d'un gouvernement qui a violé leurs droits et les a opprimés. Ces détentions illégales, ces extorsions par l'armée et la police doivent cesser, parce que cela incite des Camerounais à haïr l'État. C'est très grave, pour un jeune homme, de haïr son pays. »Contacté, le ministère de la Défense du Cameroun assure que des actions de sensibilisation sont menées et que « les comportements déviants de certains militaires ne doivent pas être considérés comme un comportement d'ensemble ».À lire aussiCameroun anglophone: à Missellele, d'ex-«ambaboys» se reconstruisent dans un centre DDR [1/4]À lire aussiCameroun: près de Buea, un centre de rééducation prend en charge des blessures de guerre [2/4]
Au Cameroun, dans les régions à majorité anglophone, la violence est une réalité huit ans après le début d'une lutte armée entre groupes séparatistes et forces gouvernementales. Pour le Norwegian Refugee Council, cette crise est l'une des plus négligées au monde. Aujourd'hui, les mouvements sont fragmentés, il n'y a plus de front à proprement parler, mais des zones d'insécurité et les civils sont les premières victimes. À Mile 14, dans la banlieue de Buea, un centre de rééducation autrefois dédié à la poliomyélite prend en charge depuis huit ans de véritables blessures de guerre. De notre envoyée spéciale de retour de Buea,Sur une dizaine de machines grinçantes, les pensionnaires du centre géré par le diocèse de Buea réapprennent à se mouvoir. Rien qu'en 2024, l'équipe de Sœur Hortensia a pris en charge 49 personnes amputées venues des deux régions Sud-Ouest et Nord-Ouest. « Depuis le début de la crise, si vous regardez autour de vous, nous recevons surtout des patients qui ont subi des amputations, causées par des tirs, des explosions, explique la professionnelle. D'autres se sont retrouvés bloqués dans leurs maisons incendiées, ils ont pu s'enfuir, mais avec des blessures graves, qui n'ont pas été traitées à temps, et ils ont dû être amputés. » Un espace est dédié aux enfants souffrant de malformations parfois liées aux manques de soins pendant la grossesse et à des accouchements précaires. « Donner naissance à un enfant dans le bush, ce n'est pas pareil qu'à l'hôpital. Et avec la pauvreté, certaines femmes enceintes sont mal nourries, déplore Sœur Hortensia. Beaucoup de ces enfants arrivent avec leurs grand-mères. Quand je demande où est la mère ? On me répond qu'elle est partie... Beaucoup sont nés de viols commis par des hommes armés. La fille est violée, donne naissance à l'enfant, l'abandonne et s'en va. »À lire aussiCrise anglophone au Cameroun: stopper la violence chez les jeunes, objectif d'un rassemblement à Bamenda« Elles n'avaient plus des visages d'enfants, elles ressemblaient à des grands-mères »Dans une des chambres, sur trois lits côte à côte, trois jeunes filles, Merlin, Emmanuella et Cynthia, sont amputées des deux jambes. Des rescapées de l'attentat de Nkambe, ville du nord-ouest du Cameroun où, le 11 février 2024, un engin a explosé lors de la Fête de la Jeunesse organisée par les autorités. Merlin avait 15 ans. « Je suis allée voir le défilé. Nous étions debout sur le côté pour regarder. Il y avait de la danse, plein d'autres choses, témoigne la jeune fille. Nous étions là. Et soudain, nous étions allongés sur le sol. C'est tout ce dont je me souviens. Ils nous ont fabriqué des jambes artificielles. Tous les jours, nous les mettons pour apprendre à marcher avec. »Sur le lit d'à côté, Emmanuella, 17 ans, tire le bas de sa robe pour cacher ses cicatrices. « C'était dur à cause de la douleur. Mais à présent, ça va, la douleur est partie. »« Quand ces filles sont arrivées ici, elles n'avaient plus des visages d'enfants, elles ressemblaient à des grands-mères, dénonce Sœur Hortensia. Le soutien post-trauma leur a fait du bien. Depuis, heureusement, elles vont bien. » Un nouveau patient arrive, amputé d'une jambe après une attaque des « ambaboys » contre sa ferme. Il a entendu parler du centre à la radio. Il vient pour une prothèse. À lire aussiCameroun anglophone: à Missellele, d'ex-«ambaboys» se reconstruisent dans un centre DDR [1/4]
Pour le Norwegian Refugee Council, c'est une des crises les plus négligées au monde. Au Cameroun, dans les deux régions à majorité anglophone du pays, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, la violence est toujours une réalité, huit ans après le début de la lutte armée entre séparatistes réclamant l'indépendance d'un Cameroun anglophone et forces gouvernementales de Yaoundé. Aujourd'hui, la nature de la crise a beaucoup changé. Les mouvements se sont fragmentés, il n'y a plus de front à proprement parler, mais des zones d'insécurité. Et la population est épuisée. De notre envoyée spéciale de retour de Missellele,Le centre DDR (Désarmement, démobilisation, réintégration) de Missellele, sur la route entre Douala et Tiko, est censé réinsérer socialement les ex-« ambaboys », comme ils sont désignés, qui ont déposé les armes. Au bord de la nationale 3, écrasé par le soleil, six dortoirs, des salles de formation, un bâtiment pour l'administration et un pour les soins médicaux. « Les murs ne sont pas hauts, cela vous montre bien que ce n'est pas une prison, indique le directeur du centre, Bernard Ngone Ndodemesape, en désignant le mur d'enceinte. Le centre DDR n'est pas une prison, mais ce n'est pas non plus un camp de loisirs où les gens peuvent aller et venir. »Capacité d'accueil annoncée : 2 500 personnes. Dans les faits, en six ans, pour la région du Sud-Ouest, le programme a reçu 650 ex-combattants, hommes et femmes, certains avec enfants. À écouter dans Afrique, mémoires d'un continentComprendre la crise anglophone au Cameroun« Je ne peux pas retourner d'où je viens »À quelques pas du mur d'enceinte, des rangées de cages dans un hangar neuf en bois et tôle ondulée pour former les anciens combattants à l'élevage de poussins. Les participants présentés par le directeur, comme Glory, 23 ans, disent avoir rejoint les « ambaboys » sous la pression et non par conviction. « Ce n'était pas vraiment mon choix, mais des amis m'y ont poussée. Mon travail, c'était de cuisiner pour eux. À chaque fois qu'on nous disait : les militaires arrivent, on devait s'enfuir, c'était tellement stressant !, se rappelle-t-elle. Comparé à ça, la vie ici, au centre, est préférable. Je ne peux pas retourner d'où je viens. Il y a toujours des combattants dans le bush et ils peuvent me faire du mal. C'est plus sûr pour moi ici. »Elvis, 28 ans, a combattu dans un autre département de la région du Sud-Ouest avant de s'enfuir une nuit fin 2020. « Tous les jours, nous vivions dans la peur. On pouvait mourir à tout moment. Il n'y avait pas d'hôpital, pas de soin si on était malade ou blessé, témoigne-t-il. C'était très dur. Nous avons perdu beaucoup de gens. La première fois que j'ai vu quelqu'un se faire tuer, je me suis senti très mal. J'ai cherché à tout prix à quitter le bush parce que je ne voulais tuer personne. Je ne pouvais pas continuer là-bas, je me suis enfui et je me suis rendu. »Plusieurs participants reprennent les mêmes formules. Ils se disent désormais libres et attachés à un Cameroun indivisible. Mais ils sont sans réponse quand il s'agit d'évoquer une échéance pour une sortie définitive. Depuis la mise en place du programme, pour la région du Sud-Ouest, seuls 36 sont retournés à la vie civile.À écouter dans Grand reportageCameroun : les échos de la crise anglophone dans la région francophone de l'Ouest
L'émission 28 minutes du 14/03/25 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : le correspondant européen à “Libération” Jean Quatremer, l'essayiste et fondateur du think tank “Souverains Demain !” Paul Melun, l'écrivaine et journaliste Nesrine Slaoui et la dessinatrice à “Charlie Hebdo” et “Libération” Coco.Retour sur deux actualités de la semaine :Accord de cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie : Poutine joue la montre ?Les émissaires américains et ukrainiens se sont rencontrés mardi 11 mars à Djedda, en Arabie saoudite. Ces derniers se sont entendus sur l'idée d'un cessez-le-feu général de 30 jours sur le front ukrainien et le début de négociations entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine pour aboutir à un accord de paix durable. Un accord sur les minerais ukrainiens devrait aussi être conclu “dès que possible”. Donald Trump a annoncé l'envoi de négociateurs américains à Moscou. Selon le président américain, “la balle est dans le camp de Poutine”. Le président russe s'est prononcé hier sur l'idée d'une potentielle trêve, mais s'interroge sur la manière dont elle peut être durable et mise en place. Le Kremlin reste flou sur ses intentions alors même que l'armée russe continue de regagner du terrain dans la région de Koursk en Russie, contrôlée antérieurement par l'armée ukrainienne.La politique économique de Donald Trump est-elle déjà en échec ?À New York, Wall Street s'inquiète de plus en plus des conséquences de la guerre commerciale menée par Donald Trump, avec certains de ses partenaires, sur l'économie américaine. Cette inquiétude se caractérise par les lourdes pertes subies par les plus grandes entreprises américaines (Apple, Meta, Amazon, Alphabet, Microsoft, Tesla et Nvidia) qui ont perdu au total 750 milliards de dollars de valorisation boursière sur la seule journée du 10 mars. L'action Tesla, l'entreprise d'Elon Musk, a chuté de près de 50 % depuis décembre 2024, et voit ses ventes décliner notamment en Europe. La banque Goldman Sachs a fortement revu à la baisse ses perspectives pour la croissance américaine en 2025 : 1,7 % contre 2,2 %. Donald Trump balaie pourtant les critiques d'un revers de main et assure vouloir mener cette politique sur le long terme.Le linguiste marseillais Médéric Gasquet-Cyrus publie “À Marseille ça se dit comme ça !” (éditions Le Robert), suite de la collection d'ouvrages qui répertorient et exposent les spécificités langagières régionales (en Bretagne, dans le Nord ou encore en Alsace). Dans ces index, chaque mot est expliqué par son étymologie et son emploi au quotidien dans la culture populaire. On y retrouve 150 mots et expressions comme les termes “Bonne mère”, “fada” ou encore “peuchère”. “L'idée est de montrer comment chaque région parle au quotidien et la diversité de la langue française”, explique le linguiste. La leader du Rassemblement national Marine Le Pen a estimé qu'Emmanuel Macron “jouait avec les peurs” au sujet des tensions internationales, notamment entre l'Ukraine et la Russie. Dans une allocution, le président français avait annoncé des investissements supplémentaires en matière de défense et dénoncé la “menace” que représentait la Russie. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Cyril Hanouna a annoncé porter plainte contre le parti La France insoumise après la diffusion d'une affiche pour une manifestation contre l'extrême droite sur laquelle il figure. Accusée de reprendre les codes des affiches antisémites des années 1930, cette dernière met en scène le visage du présentateur représenté sous des traits agressifs. Depuis, la photo a été changée. C'est le point com de Paola Puerari.Nate Vance, cousin du vice-président américain J.D. Vance, est parti volontairement combattre en Ukraine en février 2022. Il a récemment exprimé sa vive opposition à la politique menée par son cousin qui a reçu et violemment pris à partie le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les récents massacres de civils de confession alaouite dans le Nord-Ouest de la Syrie ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 14 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Je suis reçu aujourd'hui à Lille par un ancien collaborateur, Pierre Salzman, Directeur Général de CIC Nord Ouest. Nord Ouest parce que le CIC comme plusieurs banques en France sont régionalisées. Le CIC Nord Ouest, ce sont toutes les joies du CIC avec en plus la chaleur de l'accueil des ch'ti et l'attachement des Normands. La CIC se dit la banque d'un monde qui bouge. Et comme ce monde bouge vite, le CIC bouge vite. Avec Pierre, nous regardons plus particulièrement cette région du Nord et de la Normandie bouger. L'argent, celui qui passe sur vos comptes et celui des entreprises qui vous emploient, c'est le sang de notre économie nous rappelle Pierre. A regarder l'activité bancaire d'une région, nous prenons son pouls. Comment se comportent les crédits et l'épargne des Français ? Et les entreprises, embauchent-elles, investissent-elles ? Spoiler, les Hautes de France ont le moral plus haut que la moyenne nationale. Il n'y pas que leur sourire pour le démontrer. Plongez avec Pierre et moi dans l'histoire bicentenaire du CIC depuis l'époque où les premiers comptoirs finançaient à Lille, Dunkerque et ailleurs, devinez quoi, notre industrialisation. Pas très étonnant donc qu'ils aient le vent en poupe pour financer nos nouvelles usines. Quand je vous dis que l'entreprise est une histoire de temps long ! Bonne écoute. Suivre Pierre sur LinkedIn Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.N'hésitez pas à m'écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d'Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d'indépendants que j'anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès GuillardHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l'été 2017, le navigateur Yvan Bourgnon part d'Alaska avec un catamaran pour réaliser l'exploit d'une traversée Nord-Ouest au-dessus du continent américain sur un catamaran de loisir de 6 mètres de long et 4 mètres de large. Durant cette aventure, il a frôlé la mort plusieurs fois en tombant dans l'eau glacé et il a failli voir son bateau, La Louloute, broyé par les icebergs…
C'est l'une des priorités affichées du nouveau gouvernement de Damas, et l'un des sujets qui devrait être évoqué, jeudi 13 février, lors de la conférence internationale pour la Syrie qui se tient à Paris. Après plus de 50 ans d'un régime très autoritaire et près de 14 ans de guerre civile, comment rendre justice pour tous les crimes commis ? Torture, bombardement de zones civiles, utilisation d'armes chimiques : les atrocités commises en Syrie sous Assad sont nombreuses. Et les attentes de la population sont grandes. De nos envoyés spéciaux à Damas,Au siège de la Défense civile de Damas, une sirène retentit. Un camion de pompiers se met alors rapidement en mouvement. Ce sont des Casques blancs, la Défense civile active avant la chute de Bachar el-Assad dans le Nord-Ouest de la Syrie. Ils sont désormais installés dans la capitale.Après une dizaine d'années passées à porter secours à des victimes de bombardements, les Casques Blancs ont désormais une activité plus classique de pompiers. Mais la guerre reste présente dans leur travail ; ils sont toujours à la recherche de charniers. Depuis la chute de Bachar el-Assad et sa fuite en Russie, ils en ont découvert 40.Ces charniers révèlent l'ampleur des crimes et du cynisme du régime déchu, souligne Ahmad Yazji, l'un des fondateurs des Casques blancs : « Le charnier le plus révulsant est celui que nous avons trouvé à Damas dans un endroit que le régime voulait transformer en parc. Un parc sous lequel se trouvaient des centaines de corps. »Pour l'heure, les charniers découverts sont refermés et préservés, dans l'attente de pouvoir identifier les victimes et afin de permettre la collecte de preuves. Depuis qu'ils ont commencé leurs activités, les Casques blancs ont tenu à recenser les victimes et garder des traces des bombardements sur lesquels ils intervenaient. « Des crimes de guerre », dit Ahmad Yazji. Des crimes pour lesquels il y a un besoin de justice.À lire aussiProcès en France des crimes du régime syrien: «Des détenus mourraient quotidiennement sous la torture»« Nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie »« Depuis le début, nous croyons que la justice doit avoir lieu, quel que soit le parti au pouvoir. Et maintenant que le régime a disparu, nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie. Nous exigeons aussi que les criminels rendent des comptes devant des institutions gouvernementales et rejetons les actes de revanche », insiste Ahmad Yazji.Entre 2011 et 2020, Shadi Haroun a connu près d'une décennie d'emprisonnement. Le crime qui lui était : avoir organisé des manifestations anti-Assad dans sa ville de la Ghouta orientale, dans la banlieue de Damas. Pour cela, lui et son frère ont été transférés de prison en prison. Homs, Tartous, Alep et la plus sinistre d'entre elles : Saïdnaya.« Le plus important, c'était la mentalité des geôliers. Je me souviens d'une phrase forte de l'un d'entre eux : "Je suis Dieu ici. Je peux te faire vivre ou te faire mourir." À cause de cette mentalité, vous pouviez mourir à tout moment. Ou au contraire, ils pouvaient vous donner un peu plus de nourriture », raconte Shadi Haroun.« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel »Une étude de l'association des anciens détenus de Saïdnaya indique qu'entre 2011 et 2020, 40 000 personnes ont été incarcérées dans cette prison. Seules 5 000 en sont sorties vivantes. Aujourd'hui, l'association souhaite que justice soit rendue à travers un processus national. Et celui-ci doit véritablement être collectif, insiste Shadi Haroun :« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel. Il ne faut pas que gouvernement prenne des décisions seul à propos des victimes. Aucune des parties prenantes ne le devrait, qu'il s'agisse de personnes influentes ou de responsables politiques. Parce que c'est un processus collectif. »L'association des anciens détenus de Sednaya a déjà eu des contacts avec les nouvelles autorités pour évoquer la mise en place de cette justice transitionnelle. Ils ont eu un entretien avec le nouveau président intérimaire, Ahmed al-Charaa. Mais dans un pays qui recherche encore des milliers de disparus, la justice prendra du temps. « Plusieurs décennies », anticipe Shadi Haroun.Et pour être sincère, la justice devra examiner tous les crimes commis durant ses 14 années de guerre par l'ensemble des parties en conflit, y compris par les vainqueurs d'aujourd'hui.À lire aussiSyrie: après la chute d'Assad, les attentes des Syriens à l'égard de la communauté internationale
C'est l'une des priorités affichées du nouveau gouvernement de Damas, et l'un des sujets qui devrait être évoqué, jeudi 13 février, lors de la conférence internationale pour la Syrie qui se tient à Paris. Après plus de 50 ans d'un régime très autoritaire et près de 14 ans de guerre civile, comment rendre justice pour tous les crimes commis ? Torture, bombardement de zones civiles, utilisation d'armes chimiques : les atrocités commises en Syrie sous Assad sont nombreuses. Et les attentes de la population sont grandes. De nos envoyés spéciaux à Damas,Au siège de la Défense civile de Damas, une sirène retentit. Un camion de pompiers se met alors rapidement en mouvement. Ce sont des Casques blancs, la Défense civile active avant la chute de Bachar el-Assad dans le Nord-Ouest de la Syrie. Ils sont désormais installés dans la capitale.Après une dizaine d'années passées à porter secours à des victimes de bombardements, les Casques Blancs ont désormais une activité plus classique de pompiers. Mais la guerre reste présente dans leur travail ; ils sont toujours à la recherche de charniers. Depuis la chute de Bachar el-Assad et sa fuite en Russie, ils en ont découvert 40.Ces charniers révèlent l'ampleur des crimes et du cynisme du régime déchu, souligne Ahmad Yazji, l'un des fondateurs des Casques blancs : « Le charnier le plus révulsant est celui que nous avons trouvé à Damas dans un endroit que le régime voulait transformer en parc. Un parc sous lequel se trouvaient des centaines de corps. »Pour l'heure, les charniers découverts sont refermés et préservés, dans l'attente de pouvoir identifier les victimes et afin de permettre la collecte de preuves. Depuis qu'ils ont commencé leurs activités, les Casques blancs ont tenu à recenser les victimes et garder des traces des bombardements sur lesquels ils intervenaient. « Des crimes de guerre », dit Ahmad Yazji. Des crimes pour lesquels il y a un besoin de justice.À lire aussiProcès en France des crimes du régime syrien: «Des détenus mourraient quotidiennement sous la torture»« Nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie »« Depuis le début, nous croyons que la justice doit avoir lieu, quel que soit le parti au pouvoir. Et maintenant que le régime a disparu, nous réclamons toujours justice pour la nouvelle Syrie. Nous exigeons aussi que les criminels rendent des comptes devant des institutions gouvernementales et rejetons les actes de revanche », insiste Ahmad Yazji.Entre 2011 et 2020, Shadi Haroun a connu près d'une décennie d'emprisonnement. Le crime qui lui était : avoir organisé des manifestations anti-Assad dans sa ville de la Ghouta orientale, dans la banlieue de Damas. Pour cela, lui et son frère ont été transférés de prison en prison. Homs, Tartous, Alep et la plus sinistre d'entre elles : Saïdnaya.« Le plus important, c'était la mentalité des geôliers. Je me souviens d'une phrase forte de l'un d'entre eux : "Je suis Dieu ici. Je peux te faire vivre ou te faire mourir." À cause de cette mentalité, vous pouviez mourir à tout moment. Ou au contraire, ils pouvaient vous donner un peu plus de nourriture », raconte Shadi Haroun.« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel »Une étude de l'association des anciens détenus de Saïdnaya indique qu'entre 2011 et 2020, 40 000 personnes ont été incarcérées dans cette prison. Seules 5 000 en sont sorties vivantes. Aujourd'hui, l'association souhaite que justice soit rendue à travers un processus national. Et celui-ci doit véritablement être collectif, insiste Shadi Haroun :« Le rôle central des victimes dans ce processus est essentiel. Il ne faut pas que gouvernement prenne des décisions seul à propos des victimes. Aucune des parties prenantes ne le devrait, qu'il s'agisse de personnes influentes ou de responsables politiques. Parce que c'est un processus collectif. »L'association des anciens détenus de Sednaya a déjà eu des contacts avec les nouvelles autorités pour évoquer la mise en place de cette justice transitionnelle. Ils ont eu un entretien avec le nouveau président intérimaire, Ahmed al-Charaa. Mais dans un pays qui recherche encore des milliers de disparus, la justice prendra du temps. « Plusieurs décennies », anticipe Shadi Haroun.Et pour être sincère, la justice devra examiner tous les crimes commis durant ses 14 années de guerre par l'ensemble des parties en conflit, y compris par les vainqueurs d'aujourd'hui.À lire aussiSyrie: après la chute d'Assad, les attentes des Syriens à l'égard de la communauté internationale
Météo-France vient de publier le bilan météo de janvier 2025. Sans surprise, il a été excessivement pluvieux mais pas gris pour tout le monde. Ecoutez La pluie et le beau temps avec Marina Giraudeau du 04 février 2025.
Météo-France vient de publier le bilan météo de janvier 2025. Sans surprise, il a été excessivement pluvieux mais pas gris pour tout le monde. Ecoutez La pluie et le beau temps avec Marina Giraudeau du 04 février 2025.
durée : 00:04:02 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Olivier Pitras est un skipper, le premier Français en 1999 à avoir traversé avec son bateau à voile bien évidemment, l'océan glacial par le passage du Nord-Ouest.
Découvrez dans cette saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… La quête de Lady Franklin Londres, 1847. Depuis deux ans, les navires Terror et Erebus ont disparu. Lady Jane, épouse de Sir John Franklin, sent qu'il faut agir. Malgré le scepticisme de l'Amirauté, elle mobilise l'opinion publique, forçant les autorités à organiser une expédition de secours. Cependant, les recherches ne donnent rien. Infatigable, Lady Jane finance une cinquantaine d'expéditions, contribuant à l'exploration de l'Arctique. Mais les découvertes ne tardent pas à révéler une vérité accablante… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 26 octobre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… Un hiver mortel Juin 1847. La nouvelle frappe l'équipage : le capitaine Franklin est mort. Sous le choc, les hommes se tournent vers Francis Crozier, leur nouveau commandant. Alors que les provisions diminuent et que la glace refuse de céder, Crozier sait que leur situation est désespérée. Dans ce désert de glace, ils sont seuls. Une question reste : comment survivre face à l'inéluctable ? Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 25 octobre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… Pris au piège dans l'Arctique Juillet 1845. Les HMS Erebus et Terror s'apprêtent à quitter le Groenland pour s'engager dans l'inconnu, à la recherche du mythique passage du Nord-Ouest. Franklin et son équipage avancent, confiants mais prudents, face aux glaces de l'Arctiques imprévisible. Ce sera leur dernière halte avant que le silence des mers glacées ne les enveloppe. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 24 octobre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… Pour la gloire de l'Angleterre En 1845, le capitaine John Franklin et son équipage s'embarquent pour une mission audacieuse : découvrir le passage du Nord-Ouest à bord des HMS Erebus et Terror. Entre préparation minutieuse et défis arctiques, ils s'aventurent vers l'inconnu, porteurs d'un espoir qui pourrait changer l'histoire… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Première diffusion le 23 octobre 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Découvrez dans cette nouvelle saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui. Plongez dans un récit immersif, où chaque épisode vous fera vivre les moments clé de cette expédition dramatique, vous transportant dans les glaces éternelles et les légendes maritimes. Et tout au long de la semaine comme toujours (ré)écoutez nos meilleurs fabuleux destins et nos meilleurs épisodes de A la folie pas du tout, le podcast qui raconte le mieux l'amour, sur toutes les plateformes audio ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Plus d'un demi-siècle de dynastie Assad en Syrie a pris fin le 8 décembre dernier. De père en fils, de Hafez à Bachar, les Syriens ont vécu dans la peur de ce régime. Voire la terreur. Fin novembre, les islamistes radicaux de Hayat Tahrir al-Sham, partis de leur fief du nord-ouest, commencent à grignoter le terrain ville par ville. Jusqu'à la capitale. Bachar el-Assad fui en catimini en Russie. Depuis, toute la Syrie et le monde s'interrogent sur le nouveau régime islamiste qui essaie de faire bonne figure, mené par Ahmed al-Charaa, qui a préféré faire oublier son nom de guerre Abou al-Joulani. Mais, dans le nord, une guerre est déjà en cours. Une coalition de forces jihadistes soutenues par la Turquie a également lancé une offensive fin novembre. Elle vise les régions contrôlées par les Kurdes au nord d'Alep. Conséquence : plus de 100 000 personnes se sont jetées sur les routes, fuyant vers la région autonome sous contrôle kurde. Cette même population avait déjà connu un sort similaire il y a six ans. De ville en ville, nous avons suivi cet exode toujours en cours.« Les Kurdes du nord-ouest syrien, perpétuels déplacés, presque oubliés », un grand reportage de Marie-Charlotte Roupie.
C'est ‘le Passage du Nord-Ouest' qui clôture cette exploration des états-limites avec le témoignage d'Aline Pénitot de sa traversée mythique et dangereuse du détroit reliant l'Arctique à l'Atlantique. Le Passage du Nord-Ouest est une route maritime qui relie le Pacifique et l'Atlantique en passant par le nord du Canada et de l'Alaska. Pendant des siècles, espérant rejoindre la Chine à moindres miles, de nombreuses expéditions se sont heurtées aux glaces au prix de naufrages historiques. Le Passage n'est praticable que quelques semaines par an ; le reste de l'année, il est entièrement gelé. Amundsen a été le premier marin à forcer ce long dédale d'îles, de détroits, de mers. Aline Pénitot s'est engagée comme équipière à bord du Baloum Gwen, un voilier en acier, mouillé dans l'archipel des îles aléoutiennes tout prêt la Russie. C'était le moment de naviguer sur les glaces flottantes, de découvrir le monde hyperboréen, de se mêler aux peuples du grand nord, de retrouver la violence de l'océan. La traversée du pôle nord magnétique à la voile, d'Alaska au Groenland, va durer quatre mois. Cette pièce radiophonique est issue du carnet de voyage écrit par Aline Pénitot au long de l'expédition. En écoutant le bassoniste Brice Martin, Aline Pénitot a entendu des baleines, des vents, de la glace et des courants. Delphine Gardin prend en charge la narration des carnets. Une narration pleine de vent et de poésie. Texte, création sonore, montage, prise de son à Paris et au Groenland : Aline Pénitot Basson : Brice Martin. Voix : Delphine Gardin, Jean Furst, Jeanne Lacland, Erna Lynge et Jérémias Jensen. Un projet sélectionné dans le cadre de Du côté des ondes Une coproduction avec France Culture, Sur les Docks d'Irène Omelianenko. Un projet soutenu par la Kalaalit Nunaata Radioa du Groenland. Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
En Tunisie, les cartes de la pauvreté et du tourisme se superposent en négatif. Plus on s'éloigne des régions littorales et du tourisme balnéaire, plus les indicateurs de développement dégringolent. Face à ce constat, une association tunisienne, Museum Lab – essentiellement financée par des fonds européens – tente de mieux faire connaître le patrimoine culturel et le potentiel touristique du nord-ouest de la Tunisie. Dans les ruelles de Testour, à 80 km au sud-ouest de Tunis, grenades, fromages et crêpes locales font la joie des visiteurs du week-end. Étrangers et Tunisiens sont venus explorer la fameuse Via Bagrada, du nom latin de la vallée de la Medjerda.L'association Museum Lab vient de lancer une application recensant les sites, les activités ou encore les tables d'hôtes et les hébergements de la région. Parmi les haltes qu'elle veut rendre incontournables : le site archéologique de Thignica. « C'est un nom lybique ou néo-punique qui a été latinisé », explique sur place le guide, Mohamed Halouani. Il s'agit de 50 hectares de ruines, en partie ensevelies et à découvrir. « Il n'y a même pas une pancarte pour expliquer, déplore un touriste. La visite est aussitôt interrompue par le gardien du site qui met quelques minutes à reconnaître l'autorisation du guide.Formations en médiation culturelleRattrapés par la bureaucratie tunisienne jusque sur un site antique, les organisateurs veulent pourtant continuer de croire dans le désenclavement de la région. « Ces cinq dernières années, on a formé des jeunes en médiation culturelle qui auront ainsi un outil générateur de revenus, souligne Safa Chérif, la directrice du projet Via Bagrada chez Museum Lab. Sur les trois dernières années, à El Kef, on est parvenus à former plus de 70 bénéficiaires de ce genre de formations. »Alors que Testour est la capitale de la grenade en Tunisie, qu'on appelle « romana » en arabe, Lamia Chékir Thabet, expert mandaté par l'Onudi pour accompagner le développement de projets créateurs d'emplois sur le terrain, œuvre à faire du fruit une des vitrines de la région. « Les acteurs et les opérateurs dans la région travaillaient pendant la saison, entre septembre et novembre, et après plus rien du tout et on s'est dit que c'était dommage que ce produit-phare de la région ne devienne pas un véritable moteur de développement économique. On a donc réuni tous ces acteurs et créé le concept : "Romana tour à Testour". »Circuit à vélo, en kayak, expositions, sites archéologiques, routes des fromages ou de l'huile d'olive, des projets se multiplient et confluent tous vers un même objectif : sortir d'un tourisme encore centré principalement sur une offre balnéaire, dans un pays qui a attiré 9 millions de touristes l'an dernier.
Dans cette édition :Annonce d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah au Liban après plus de deux mois de guerre intense, avec des précisions sur les conditions et les enjeux de cet accord.Mobilisation des agriculteurs français contre l'accord de libre-échange entre l'Union Européenne et le Mercosur, avec des actions de protestation prévues dans plusieurs départements.Décision d'Anne Hidalgo de ne pas se représenter aux prochaines élections municipales à Paris, suscitant des réactions contrastées chez les Parisiens.Bonne nouvelle pour l'usine Toyota d'Onin dans le Nord, qui célèbre la production de sa 5 millionième voiture et annonce la pérennisation de 600 emplois.Retour de la pluie et du vent dans le Nord-Ouest, avec des températures contrastées entre le Nord-Est et le Sud-Ouest.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Il y a un an, la tempête Ciaran frappait violemment le Nord-Ouest de la France, avec des vents record de 207 km/h, causant la mort de quatre personnes et privant 1,2 million de foyers d'électricité pendant plusieurs jours. Un an après, Mathieu Lopinot est allé à la rencontre de Bretons victime de Ciaran. À La Feuillée, en centre Bretagne, l'école du village n'a toujours pas rouvert, les élèves étant encore en classes modulaires. À Plémet dans les Côtes d'Armor, une éleveuse de veaux a pu reconstruire son hangar dont le toit s'était envolé, mais le parcours a été long. Ecoutez RTL évènement avec La rédaction de RTL du 02 novembre 2024.
Il y a un an, la tempête Ciaran frappait violemment le Nord-Ouest de la France, avec des vents record de 207 km/h, causant la mort de quatre personnes et privant 1,2 million de foyers d'électricité pendant plusieurs jours. Un an après, Mathieu Lopinot est allé à la rencontre de Bretons victime de Ciaran. À La Feuillée, en centre Bretagne, l'école du village n'a toujours pas rouvert, les élèves étant encore en classes modulaires. À Plémet dans les Côtes d'Armor, une éleveuse de veaux a pu reconstruire son hangar dont le toit s'était envolé, mais le parcours a été long.
Il y a un an, la tempête Ciaran frappait violemment le Nord-Ouest de la France, avec des vents record de 207 km/h, causant la mort de quatre personnes et privant 1,2 million de foyers d'électricité pendant plusieurs jours. Un an après, Mathieu Lopinot est allé à la rencontre de Bretons victime de Ciaran. À La Feuillée, en centre Bretagne, l'école du village n'a toujours pas rouvert, les élèves étant encore en classes modulaires. À Plémet dans les Côtes d'Armor, une éleveuse de veaux a pu reconstruire son hangar dont le toit s'était envolé, mais le parcours a été long. Ecoutez RTL évènement avec La rédaction de RTL du 02 novembre 2024.
Dans l'État de Géorgie, il y a quatre ans, Donald Trump avait perdu de 12 000 voix (sur les 7 millions de votants) et avait tenté d'y renverser les résultats, faisant de la Géorgie l'épicentre de la contestation électorale. L'ex-président peut aujourd'hui compter sur de fidèles soutiens dans la ville de Dalton, au Nord-Ouest de l'État, où on retrouve notre envoyé spécial Vincent Serrano.
Découvrez dans cette nouvelle saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… La quête de Lady Franklin Londres, 1847. Depuis deux ans, les navires Terror et Erebus ont disparu. Lady Jane, épouse de Sir John Franklin, sent qu'il faut agir. Malgré le scepticisme de l'Amirauté, elle mobilise l'opinion publique, forçant les autorités à organiser une expédition de secours. Cependant, les recherches ne donnent rien. Infatigable, Lady Jane finance une cinquantaine d'expéditions, contribuant à l'exploration de l'Arctique. Mais les découvertes ne tardent pas à révéler une vérité accablante… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette nouvelle saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… Un hiver mortel Juin 1847. La nouvelle frappe l'équipage : le capitaine Franklin est mort. Sous le choc, les hommes se tournent vers Francis Crozier, leur nouveau commandant. Alors que les provisions diminuent et que la glace refuse de céder, Crozier sait que leur situation est désespérée. Dans ce désert de glace, ils sont seuls. Une question reste : comment survivre face à l'inéluctable ? Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette nouvelle saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… Pris au piège dans l'Arctique Juillet 1845. Les HMS Erebus et Terror s'apprêtent à quitter le Groenland pour s'engager dans l'inconnu, à la recherche du mythique passage du Nord-Ouest. Franklin et son équipage avancent, confiants mais prudents, face aux glaces de l'Arctiques imprévisible. Ce sera leur dernière halte avant que le silence des mers glacées ne les enveloppe. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez dans cette nouvelle saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui… Pour la gloire de l'Angleterre En 1845, le capitaine John Franklin et son équipage s'embarquent pour une mission audacieuse : découvrir le passage du Nord-Ouest à bord des HMS Erebus et Terror. Entre préparation minutieuse et défis arctiques, ils s'aventurent vers l'inconnu, porteurs d'un espoir qui pourrait changer l'histoire… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : Les postes de Lyon, sept millions de livres et deux cadavres (1/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : la fin tragique de Jesse James (2/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : le train Glasgow-Londres, un ticket à 3 millions (3/4) [INEDIT] Les plus grands braquages de l'histoire : l'impossible casse d'Anvers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Découvrez dans cette nouvelle saison le tragique destin de l'Expédition Franklin, une aventure qui devait percer les secrets du passage du Nord-Ouest, mais qui se transforma en l'une des plus grandes énigmes de l'exploration maritime. Que s'est-il réellement passé en 1845, lorsque les navires Erebus et Terror disparurent dans l'Arctique ? Entre conditions extrêmes, décisions fatales et indices laissés par les marins, cette histoire captivante continue d'alimenter les théories et les mystères encore aujourd'hui. Plongez dans un récit immersif, où chaque épisode vous fera vivre les moments clé de cette expédition dramatique, vous transportant dans les glaces éternelles et les légendes maritimes. Et tout au long de la semaine comme toujours (ré)écoutez nos meilleurs fabuleux destins et nos meilleurs épisodes de A la folie pas du tout, le podcast qui raconte le mieux l'amour, sur toutes les plateformes audio ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:05:23 - Hélène au pays des 50 états - par : Hélène CHEVALIER - Cette semaine direction le garage de Saad au Nord-Ouest de la Pennsylvanie. Accueilli par les Etats-Unis il y a plus de 30 ans alors qu'il fuyait l'Irak, ce chef d'entreprise dit encore hésiter sur le bulletin qu'il mettra dans l'urne pour l'élection présidentielle
En attendant le retour de FBI, découvrez notre collection spéciale sur les disparitions, avec une sélection des épisodes les plus marquants.--------En Arizona, un lot d'argent disparait dans le désert en même temps que les deux hommes chargés d'en assurer la surveillance. Le FBI ignore si ces gardiens sont les auteurs de ce vol, ou s'ils ont plutôt été victimes d'une embuscade. Les réponses gisent quelque part dans le sable de ce vaste territoire du Nord-Ouest. Les agents devront faire preuve d'ingéniosité pour réunir les indices épars et découvrir la vérité.“Les dossiers du FBI” est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle "FBI Files" produit par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par Michael Martin et Mark Marabella. Il a été réalisé par Stuart Taylor.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic, Mandy Lebourg et Astrid Verdun, assistées par Marie AgassantMontage : Johanna LalondeIllustration : Initial StudioAvec la voix d'Olivier Sitruk
En attendant le retour de FBI, découvrez notre collection spéciale sur les disparitions, avec une sélection des épisodes les plus marquants.--------En Arizona, un lot d'argent disparait dans le désert en même temps que les deux hommes chargés d'en assurer la surveillance. Le FBI ignore si ces gardiens sont les auteurs de ce vol, ou s'ils ont plutôt été victimes d'une embuscade. Les réponses gisent quelque part dans le sable de ce vaste territoire du Nord-Ouest. Les agents devront faire preuve d'ingéniosité pour réunir les indices épars et découvrir la vérité.“Les dossiers du FBI” est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle "FBI Files" produit par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par Michael Martin et Mark Marabella. Il a été réalisé par Stuart Taylor.Bonne écoute ! Pour découvrir nos autres podcasts, suivez Initial Studio sur Instagram et Facebook. Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic, Mandy Lebourg et Astrid Verdun, assistées par Marie AgassantMontage : Johanna LalondeIllustration : Initial StudioAvec la voix d'Olivier Sitruk
durée : 00:05:08 - Le Zoom de France Inter - REDIFFUSION - A Yellownkife, au Nord Ouest du Canada, s'est établi un florissant tourisme sur la promesse d'apercevoir des aurores boréales.
Pour ce week-end de l'Assomption, la circulation sera particulièrement dense samedi 18 et dimanche 19, notamment dans le Nord-Ouest de la France.
C'est l'une des zones géographiques les plus mystérieuses du globe. Tracez trois traits reliant Miami, Porto Rico et les Bermudes, et vous obtenez un triangle de 500 000 kilomètres carré. En moyenne, 4 avions et 20 bateaux disparaissent dans ces eaux, chaque année. Mais le plus inquiétant, c'est que la plupart d'entre eux se volatilisent, sans laisser aucune trace… Son nom : le triangle des Bermudes, autrement appelé « le triangle du diable. » Un pilote d'avion qui a frôlé la mort Le 4 décembre 1970, un petit avion décolle des Bahamas. À son bord, un jeune pilote nommé Bruce Gernon, son père, et un associé. Ils se dirigent vers la Floride, cap Nord-Ouest. Ce vol, d'une heure et demi environ, passe le long du triangle des Bermudes. Mais à cette époque, on connaît mal les mythes qui entourent la zone. Et puis Bruce l'a déjà fait des dizaines de fois, il connaît le trajet par cœur. Ce jour-là, la météo est excellente : il fait beau, très peu de nuages à l'horizon, le vent est calme. Bruce et ses deux passagers n'ont aucune raison de s'inquiéter. Sauf que cette fois, les choses ne vont pas se passer comme d'habitude. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : Le couple Lucie et Raymond Aubrac, l'incroyable récit de ces héros de la résistance : les fugitifs (1/4) Le couple Lucie et Raymond Aubrac, l'incroyable récit de ces héros de la résistance : “La dernière colonne” (2/4) Le couple Lucie et Raymond Aubrac, l'incroyable récit de ces héros de la résistance : arrestation et torture (3/4) Le couple Lucie et Raymond Aubrac, l'incroyable récit de ces héros de la résistance : le sauvetage d'une femme amoureuse (4/4) Ecriture : Elie Olivennes Réalisation : Célia Brondeau, Antoine Berry Roger Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Lors d'un festival d'aventures, l'illustratrice Lauriane Miara découvre l'existence de l'ATKA, un voilier qui explore les régions arctiques pour réaliser des expéditions à la fois scientifiques et artistiques. L'année suivante, elle embarque à son bord pour vivre un mois d'hivernage dans les glaces du port d'Isafjordur. Au coeur d'un Fjord majestueux, ce petit village isolé d'Islande a des airs de bout du monde à mi-chemin entre la réalité, et le pays des rêves.Abonnez-vous à notre newsletter pour ne louper aucun épisode ➡️ Retrouvez Les Baladeurs sur :Les Others SpotifyApple PodcastsDeezerYouTube AushaEn RSS
En Bolivie, après la tentative ratée de coup d'État mercredi dernier (26 juin 2024), l'ancien président Evo Morales accuse l'actuel chef de l'État Luis Arce d'être derrière l'opération. « Lucho n'a pas respecté la vérité, il nous a trompés, il a menti », affirme Evo Morales : « La seule façon pour Evo de ne pas être président est de laisser la présidence à la junte militaire. Je pensais que c'était un coup d'État, mais maintenant je doute : ça ressemble à un auto-coup d'État. » Une théorie appuyée par le groupe qui le soutien au sein de son parti, le Mas, et par l'opposition, explique La Razon. De son côté, le gouvernement repousse cette théorie. De fait, selon Correo del Sur,« le pays connaît un nouvel épisode de polarisation ». Le quotidien souligne dans son éditorial que si, pour le moment, aucune des deux théories n'a été vérifiée, « on peut apprécier que la Bolivie continue d'avoir un gouvernement légitimé par les urnes » - et le journaliste de rappeler les « morts et les familles détruites par les dictatures déjà connues par le pays ».Le président Arce a répondu aux accusations d'Evo Morales - c'est à lire dans La Razon : « Ne te trompe pas une fois de plus ! Ce qui s'est passé, c'était un coup d'État militaire raté ». Coup d'État que l'ancien président mettrait en doute, selon Luis Arce, « en raison de ses aspirations politiques personnelles » -pour, selon Correo del Sur, « continuer la guerre interne qu'il mène depuis des mois avec les partisans du président Arce ». Le fait est que les deux anciens alliés sont pour le moins brouillés : le président Arce, qui faisait lui aussi partie du MAS, a été exclu du parti par Evo Morales à la fin de l'année dernière (2023). Les deux hommes pourraient s'affronter lors de la présidentielle de l'an prochain.La FIDH dénonce un crime contre l'humanité au PérouAu Pérou, la Fédération internationale des droits de l'homme en appelle à la Cour pénale internationale : elle dénonce un crime contre l'humanité au moment de la répression des manifestations fin 2022 - début 2023, lorsque les protestataires réclamaient des élections anticipées après la destitution du président et l'arrivée au pouvoir de Dina Boluarte.Aabla Jounaïdi a rencontré l'avocate des droits de l'homme, Gloria Cano, directrice de l'Association péruvienne pour les droits humains et secrétaire générale de la FIDH au Pérou. Elle expliquera que les faits de violences se sont concentrés dans le sud, peuplé essentiellement d'Indiens pauvres, comme près de l'aéroport d'Andahuaylas le 11 décembre 2022 : « Sur les vidéos, on voit les militaires sortir de la zone de l'aéroport qu'ils sont censés protéger. Ils se rendent sur une place publique et commencent à tirer sans discrimination sur la foule. Personne ne portait d'arme ».L'avocate estime que, dans cette escalade de violences qui a fait 49 morts, la responsabilité de la présidente Dina Boluarte n'est pas nulle : « Dina Boluarte peut dire qu'en tant que présidente de la République, elle ne peut rien faire. Mais elle est la cheffe suprême des forces de sécurité. Elle aurait au moins pu s'opposer à l'usage d'armes à feu contre les manifestants. »Officiellement, des enquêtes sont en cours au Pérou. Mais depuis la destitution du président Pedro Castillo qui a poussé les manifestants dans la rue, selon Gloria Cano l'assurance de voir la justice passer s'amenuise de jour en jour. Ce qui, estime-t-elle, rend légitime la saisie du bureau du Procureur de la CPI.Crise migratoire au PanamaAu Panama, le nouveau président entre en fonction ce lundi (1er juillet 2024). José Raul Mulino, élu il y a près de deux mois, a déjà composé son gouvernement et nommé de nombreux hauts-fonctionnaires à des postes-clé. Il va maintenant devoir se pencher sur la situation économique. Ce ne sera pas facile. Déjà, parce que le président ne dispose pas d'une majorité absolue à l'Assemblée. Ensuite, explique notre correspondant Grégoire Pourtier, parce qu'un autre sujet très sensible figure parmi les priorités du nouveau chef de l'État, l'immigration : le sort des centaines de milliers de personnes qui traversent le Panama pour tenter de rejoindre les États-Unis.En 2023, les centres d'accueil du Panama ont recensé 520 000 migrants ayant risqué leur vie en traversant la jungle du Darien. Cette crise humanitaire majeure pose aussi de graves problèmes sécuritaires, sanitaires, environnementaux et économiques, selon le président panaméen, qui réclame donc davantage d'appuis – et un renforcement de la coopération avec les États-Unis. Il va aussi devoir collaborer avec son voisin immédiat, la Colombie, où passent tous les migrants traversant le Darien.L'ouragan Beryl se dirige vers le sud-est des CaraïbesL'ouragan a été rétrogradé en catégorie 3 mais reste dangereux, et le Centre national des Ouragans, situé à Miami aux États-Unis, a appelé les habitants à s'abriter des vents dangereux. Pour ce qui est d'Haïti, le pays est « sous la menace d'une onde tropicale », écrit Le Nouvelliste. Ce dimanche (30 juin 2024), avant que l'ouragan ne passe de catégorie 4 à 3, l'Unité hydrométéorologique d'Haïti estimait que les départements de la Grand-Anse, du Sud-Est, du Nord-Ouest, de l'Ouest et de l'Artibonite pourraient être affectés par le passage de cette onde tropicale dimanche en fin d'après-midi, mais aussi dans la soirée de lundi (1er juillet).Le Comité olympique haïtien manque d'argent pour aller aux JODans 25 jours, ce sont les Jeux olympiques de Paris. Les principales délégations sont prêtes, mais pour d'autres, on s'interroge encore. C'est le cas d'Haïti, qui se demande comment envoyer à Paris les athlètes sélectionnés pour les Jeux.La préparation n'est pas évidente, les moyens manquent : « Malheureusement, malgré une préparation de départ très poussée, on a eu des problèmes politiques très sérieux qui ont cassé le rythme et même parfois l'espoir », a expliqué Hans Larsen, le président du Comité olympique haïtien, à Mikaël Ponge. Le président du Comité olympique haïtien souligne que cinq de ses membres ont dû quitter le pays, et qu'« un nombre innombrable d'athlètes et d'entraîneurs ont dû quitter leur foyer » à cause de la crise.Au final, les athlètes haïtiens sont au nombre de six, sélectionnés dans cinq disciplines : athlétisme, boxe, gymnastique, judo et natation. Tous se préparent à l'extérieur du pays, explique Hans Larsen : « ceux qui étaient déjà à l'extérieur y sont restés, et ceux qu'on a pu sortir avant la crise et qui seront qualifiés ou invités sont à l'extérieur ». Les fédérations ou comités olympiques de pays amis aident à la prise en charge de chaque athlète.Sur le budget de 405 000 dollars prévu pour préparer les Jeux de Paris, le Comité n'a reçu d'aide que de ses deux sponsors, aucune de l'État : « nous avons déjà dépensé 180 000 dollars sans avoir reçu un centime de l'État haïtien, et là il faut que l'on arrive à Paris. Et c'est un autre combat : nous avons encore besoin à peu près de 150 000 dollars ».Le Journal de la 1èreEn Martinique, c'est une première : un candidat d'extrême droite au second tour d'une élection.
Le breton Guirec Soudée s'est rapidement démarqué en bouclant avec sa poule Monique un tour du monde par les deux pôles. Par cet exploit, Il devient le plus jeune navigateur à franchir le périlleux passage du Nord Ouest. En 2021, il se lance un nouveau défi : traverser l'Atlantique à la rame. Encore en route, il décide de s'engager dans la traversée retour, par le terrible Atlantique Nord. Commence ici une toute autre histoire. Les premiers coups de rame à contre-courant sont pénibles. L'effort colossal. Oser se reposer, c'est accepter de voir son bateau reculer. Mais pour Guirec, ce n'est que le début de la galère. Car une tempête se lève, et les fichiers météo sont unanimes : elle va être sévère.Abonnez-vous à notre newsletter pour ne louper aucun épisode ➡️ Retrouvez Les Baladeurs sur :Les Others SpotifyApple PodcastsDeezerYouTube AushaEn RSS
Bienvenue dans Radio Foot, deux émissions en direct aujourd'hui 16h10-21h10 T.U. Au programme : Ligue des champions, c'est parti pour les ¼ de finale ! Face à face prestigieux au Bernabeau, entre le Real Madrid d'Ancelotti, et les Cityzens de Guardiola. Une finale avant l'heure ? Un test majeur pour les Merengues, le recordman de victoires accueille le champion sortant pour la 4e fois en 5 saisons ! Les Mancuniens se sont qualifiés 2 fois sur 3. Les Merengues vont-ils prendre de l'avance avant la 2e manche ? Vont-ils contenir Foden et Haaland ? - Du beau monde à l'Emirates Stadium ! 2e quart du soir entre Arsenal, leader de Premier League, et un Bayern qui reste sur 2 défaites successives en Bundesliga, mais compte sur son expérience en C1 pour briller ! D'autant que les Gunners atteignent ce niveau de la compétition pour la 1ère fois depuis 2010. La défense londonienne devra museler Harry Kane, meilleur réalisateur de « Buli » (32 buts), de retour dans la capitale.- Retour à Deauville, la ville de la Côte fleurie (Nord-Ouest de la France), où Radio Foot s'est déplacé la semaine dernière. La station balnéaire accueillait la 1ère édition du SportDoc Festival, rendez-vous dédié au documentaire sportif. Coup de projecteur sur « Apprendre à être » (Teachers for Life dans son titre original), le film de Kathrin Hoeckel et Julian Wildgruber. Portraits de pédagogues qui forment les futures élites sportives, tentent de mettre leurs élèves en phase avec eux-mêmes et avec le monde qui les entoure.Avec Annie Gasnier : Philippe Doucet, Bruno Constant et Hervé Penot. Technique/réalisation Matthieu Degueldre -- David Fintzel/Pierre Guérin.
Bienvenue dans Radio Foot, deux émissions en direct aujourd'hui 16h10-21h10 T.U. Au programme : Ligue des champions, c'est parti pour les ¼ de finale ! Face à face prestigieux au Bernabeau, entre le Real Madrid d'Ancelotti, et les Cityzens de Guardiola. Une finale avant l'heure ? Un test majeur pour les Merengues, le recordman de victoires accueille le champion sortant pour la 4e fois en 5 saisons ! Les Mancuniens se sont qualifiés 2 fois sur 3. Les Merengues vont-ils prendre de l'avance avant la 2e manche ? Vont-ils contenir Foden et Haaland ? - Du beau monde à l'Emirates Stadium ! 2e quart du soir entre Arsenal, leader de Premier League, et un Bayern qui reste sur 2 défaites successives en Bundesliga, mais compte sur son expérience en C1 pour briller ! D'autant que les Gunners atteignent ce niveau de la compétition pour la 1ère fois depuis 2010. La défense londonienne devra museler Harry Kane, meilleur réalisateur de « Buli » (32 buts), de retour dans la capitale.- Retour à Deauville, la ville de la Côte fleurie (Nord-Ouest de la France), où Radio Foot s'est déplacé la semaine dernière. La station balnéaire accueillait la 1ère édition du SportDoc Festival, rendez-vous dédié au documentaire sportif. Coup de projecteur sur « Apprendre à être » (Teachers for Life dans son titre original), le film de Kathrin Hoeckel et Julian Wildgruber. Portraits de pédagogues qui forment les futures élites sportives, tentent de mettre leurs élèves en phase avec eux-mêmes et avec le monde qui les entoure.Avec Annie Gasnier : Philippe Doucet, Bruno Constant et Hervé Penot. Technique/réalisation Matthieu Degueldre -- David Fintzel/Pierre Guérin.
Les conséquences du réchauffement climatique sont en train de modifier profondément le climat de la planète. Mais elles pourraient encore provoquer un autre changement majeur.En effet, d'après une récente étude danoise, la fonte accélérée de la calotte glaciaire pourrait perturber ce que les scientifiques appellent la "circulation méridienne de retournement atlantique" (AMOC en anglais).Ce terme un peu sibyllin désigne en fait les courants marins de l'Atlantique, dont le fameux Gulf Stream. Ils apportent vers le Nord les eaux chaudes et salées du Sud, et aussi de l'oxygène et des nutriments.C'est cette circulation qui explique, pour l'essentiel, la relative douceur des climats européens.Mais les courants marins ne s'arrêtent pas là. Arrivée vers le Nord, cette eau chaude et salée se refroidit, devient plus dense et descend dans les profondeurs de l'océan. Elle retourne alors vers le Sud, où elle se radoucit, et le cycle reprend.Cette circulation océanique régulière est donc essentielle à la régulation des températures, notamment dans l'Europe du Nord-Ouest et l'Amérique du Nord, mais aussi dans d'autres régions du globe.Mais ce cycle vertueux peut se gripper, notamment sous l'effet de la fonte des glaces. En effet, celle-ci libère une grande quantité d'eau douce, qui limite la salinité de l'eau charriée par les courants marins. Moins salée, elle devient moins dense et reste davantage en surface, ce qui tend à perturber l'ensemble du cycle.Le débit de ces courants deviendrait alors plus faible. Les conséquences ne se feraient pas attendre, avec une baisse des températures de l'ordre de 5°C, aussi bien en Europe qu'en Amérique du Nord.Mais ce qui surprend les spécialistes, ce n'est pas tant le phénomène lui-même, qui est connu, que le moment où il pourrait se manifester. En effet, cet "effondrement" de l'AMOC, comme l'appellent les climatologues, pourrait survenir beaucoup plus tôt que prévu.De fait, les spécialistes pensent que le "point de bascule", qui marquera un changement radical de climat, peut se produire dans une période très proche, comprise entre 2025 et 2095. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les conséquences du réchauffement climatique sont en train de modifier profondément le climat de la planète. Mais elles pourraient encore provoquer un autre changement majeur. En effet, d'après une récente étude danoise, la fonte accélérée de la calotte glaciaire pourrait perturber ce que les scientifiques appellent la "circulation méridienne de retournement atlantique" (AMOC en anglais). Ce terme un peu sibyllin désigne en fait les courants marins de l'Atlantique, dont le fameux Gulf Stream. Ils apportent vers le Nord les eaux chaudes et salées du Sud, et aussi de l'oxygène et des nutriments. C'est cette circulation qui explique, pour l'essentiel, la relative douceur des climats européens. Mais les courants marins ne s'arrêtent pas là. Arrivée vers le Nord, cette eau chaude et salée se refroidit, devient plus dense et descend dans les profondeurs de l'océan. Elle retourne alors vers le Sud, où elle se radoucit, et le cycle reprend. Cette circulation océanique régulière est donc essentielle à la régulation des températures, notamment dans l'Europe du Nord-Ouest et l'Amérique du Nord, mais aussi dans d'autres régions du globe. Mais ce cycle vertueux peut se gripper, notamment sous l'effet de la fonte des glaces. En effet, celle-ci libère une grande quantité d'eau douce, qui limite la salinité de l'eau charriée par les courants marins. Moins salée, elle devient moins dense et reste davantage en surface, ce qui tend à perturber l'ensemble du cycle. Le débit de ces courants deviendrait alors plus faible. Les conséquences ne se feraient pas attendre, avec une baisse des températures de l'ordre de 5°C, aussi bien en Europe qu'en Amérique du Nord. Mais ce qui surprend les spécialistes, ce n'est pas tant le phénomène lui-même, qui est connu, que le moment où il pourrait se manifester. En effet, cet "effondrement" de l'AMOC, comme l'appellent les climatologues, pourrait survenir beaucoup plus tôt que prévu. De fait, les spécialistes pensent que le "point de bascule", qui marquera un changement radical de climat, peut se produire dans une période très proche, comprise entre 2025 et 2095. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:06:02 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des hommes armés ont enlevé plus de 280 élèves lors d'une attaque contre une école dans le nord-ouest du Nigeria, rapportent plusieurs témoins et médias. Les enlèvements de masse, contre rançon, sont récurrents dans le pays, l'un des plus peuplés d'Afrique, également touché par une crise économique.
durée : 00:29:03 - Carbone 14, le magazine de l'archéologie - par : Vincent Charpentier - Comment les sociétés urbaines ont-elles réagi face aux multiples crises qui ont ébranlé l'Antiquité ? - invités : Ricardo González Villaescusa Archéologue, professeur à l'Université Paris-Nanterre, spécialiste de la Gaule et du Nord-Ouest européen.; Marguerite Ronin Historienne, chargée de recherche au CNRS.; Jonas Parétias Archéologue pour Caux Seine Agglo (Seine-Maritime).
A l'été 2017, le navigateur Yvan Bourgnon part d'Alaska avec un catamaran pour réaliser l'exploit d'une traversée Nord-Ouest au-dessus du continent américain. Un périple où il frôle la mort plusieurs fois…
François Maréchal est gériatre et chef de service à l'hôpital Nord-Ouest de Villefranche-sur-Saône. Il reçoit un jour une patiente de 80 ans qui n'arrête pas de bouger les bras et les jambes. Elle est angoissée et très amaigrie. Avec son équipe, il réalise un bilan complet. Au scanner, des lésions pulmonaires apparaissent. François Maréchal pense à la tuberculose : la patiente est placée à l'isolement. Son état se dégrade, elle ne peut quasiment plus marcher. Le médecin épluche alors tout son dossier médical. Il va finalement mettre la main sur une vieille imagerie qui va tout changer...