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Revolutions Per Minute - Radio from the New York City Democratic Socialists of America
Tonight, RPM goes global. Strikes and protests have rocked the country of France in response to President Macron's reform of the social pension system, lifting the country's retirement age and robbing millions of their retirement. We will hear from Emre, an activist based in Paris with La France Insoumise, about these strikes & protests, and what the Left can do to fight Macron and the far-Right. Plus, we speak to Maia and Erl from NYC-DSA's Healthcare Working Group on the ongoing organizing to bring universal healthcare to the United States - starting right here in New York. Learn more and RSVP for the April 15 bike ride and rally for the New York Health Act: https://www.mobilize.us/ourrevolution/event/552943/.
N°290 / 26 mars 2023Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 mars 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. COMMENT LA RÉFORME DES RETRAITES A ACCÉLÉRÉ LA DÉCOMPOSITION POLITIQUE Par les tensions qu'elle suscite, la réforme des retraites a accéléré le processus de décomposition du paysage politique. Elle a suscité des critiques au sein du MoDem tandis que le recours au 49.3 a « choqué ». Certains élus sont « furieux » à l'instar du président de groupe à l'Assemblée, Jean-Paul Mattei. Aux tiraillements qui se sont fait sentir au sein de la Macronie entre les trois groupes de la majorité relative – Renaissance, MoDem et Horizons –, s'en étaient ajoutés d'autres le 2 mars autour de l'examen de la proposition de loi portée par la vice-présidente (Horizons) de l'Assemblée nationale, visant à instaurer une peine minimale pour les auteurs « de délits de violences, commis en récidive, contre les agents publics ». Leurs alliés du camp présidentiel ont rejeté le texte.La réforme des retraites n'est pas qu'une épreuve pour la majorité présidentielle. Elle l'est également pour l'opposition de droite : au Sénat comme à l'Assemblée nationale, les parlementaires Les Républicains se divisent entre partisans et adversaires du report de 62 à 64 ans de l'âge légal de départ à la retraite. Lundi soir, un tiers du groupe de droite à l'Assemblée nationale (19 sur 61) a voté la motion de censure transpartisane contre le gouvernement.Au rang des acteurs évaporés figure la gauche réformiste. Les élus socialistes se disent aussi gênés que leurs pairs écologistes et communistes par la politique d'obstruction imposée par Jean-Luc Mélenchon. Pas au point cependant de rompre l'union derrière l'« insoumis » ni de se désolidariser d'une opposition radicale à la réforme. Mais au point toutefois de se diviser comme en témoigne la tribune sur les retraites publiée dans Le Monde le 21 février par le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, intitulée « Une vraie réforme de gauche est possible ». Ce texte, signé par les principales figures de son courant, Refondations, la maire de Paris, Anne Hidalgo, et la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, est également une critique en règle de la direction du PS, qui a décidé de ne pas proposer de contre-projet à la réforme des retraites du gouvernement pour ne pas souligner les divergences de vues au sein des partis de gauche sur le sujet. Dans le camp d'Olivier Faure, l'initiative a été mal perçue.Opposante sans conviction à la réforme des retraites, la présidente du Rassemblement national profite de la crise politique et institutionnelle. Dans la presse internationale, Marine le Pen est même présentée comme la future gagnante à l'issue de ce chaos.La réforme des retraites a mis en exergue une nouvelle donne au Parlement : celle d'une fracture entre une gauche qui se radicalise, un groupe LR qui aura étalé ses divisions pendant des semaines, une majorité présidentielle elle-même sous tension et un RN peu audible, mais qui cherche à empocher la mise.***CHINE/RUSSIE, QUEL PARTENARIAT ET CONTRE QUI ? Tout juste investi d'un troisième mandat à la tête de la Chine, Xi Jinping s'est rendu en Russie lundi pour trois jours, afin de rencontrer son homologue russe. Il s'agit de sa première visite officielle en Russie depuis l'invasion de l'Ukraine. Vladimir Poutine et Xi Jinping, qui se posent tous deux en contrepoids de l'influence occidentale, se sont déjà rencontrés à une quarantaine de reprises. En février 2022, trois semaines avant l'invasion russe de l'Ukraine, Poutine s'était rendu à Pékin pour signer un communiqué conjoint et déclarer « une amitié sans limite ». Depuis, Pékin et Moscou dénoncent l'« hégémonisme américain », multiplient les exercices militaires communs et accélèrent les échanges commerciaux. Le commerce bilatéral a atteint, l'an dernier, 190 milliards de dollars, en hausse de 30 %.L'axe sino-russe répond, selon Xi Jinping, à un triple critère : « pas d'alliance, pas de confrontation, et ne viser aucune tierce partie ». Cherchant à renforcer le rôle de la Chine sur la scène mondiale, Xi Jinping se présente en médiateur de paix, fort du rapprochement historique qu'il vient d'orchestrer au Moyen-Orient entre les rivaux iranien et saoudien. Alternative à une Europe désormais hostile, la Chine est, pour la Russie, bien plus qu'un soutien de circonstance. Ce partenariat est largement cimenté par la contestation de l'Occident sur la scène internationale. Loin de se distendre avec la guerre en Ukraine, les relations entre Pékin et Moscou sont marquées par un rapprochement diplomatique, mais aussi énergétique, commercial et militaire. Xi a invité cette semaine son homologue russe à participer à un sommet célébrant à Pékin, sans doute à l'automne, le dixième anniversaire des « nouvelles routes de la soie ». Malgré le mandat d'arrêt lancé contre lui par la Cour pénale internationale qui lui interdit, de jure, de voyager dans les 123 pays reconnaissant cette institution, Vladimir Poutine devrait donc pouvoir rencontrer, à cette occasion, des dizaines de chefs d'État et de gouvernement.Cependant, la relation sino-russe est aussi traversée de méfiances réciproques, de rivalités ouvertes et même de compétitions féroces : en Asie centrale, dans l'Arctique et en Afrique notamment. La Russie redoute, en outre, depuis longtemps le poids économique, démographique et militaire de la Chine, en particulier dans son propre Extrême-Orient dépeuplé et sous-développé. En matière de population et de PIB, le rapport est de 1 à 10 en faveur de la Chine. A deux reprises au moins durant cette visite, Vladimir Poutine a reconnu la prééminence de la Chine. Lundi, lorsqu'il a confié être « un peu envieux » de l'efficacité du « bond en avant » de son allié, et surtout, mardi, quand il a préconisé « l'utilisation du yuan chinois dans les règlements entre la Russie et l'Asie, l'Afrique et l'Amérique latine ».A l'issue de leurs entretiens, les deux dirigeants ont signé deux textes : une « déclaration conjointe sur l'approfondissement du partenariat de coordination stratégique globale de l'ère nouvelle » et une « déclaration sur le plan du développement des priorités de la coopération sino-russe d'ici à 2030 ».Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Épisode 948 : Depuis quelques semaines les réseaux sociaux sont en état de siège : émeutes, pancartes, indignation et soulèvement populaire. On fait le point sur le mouvement #retraites et 49.3Que se passe-t-il exactement ?En cause, le passage en marche forcée de la loi sur la réforme des retraites. Le projet prévoit de reculer l'âge légal de la retraite à 64 ans.Initialement rejeté par les députés à l'Assemblée Nationale, Elisabeth Borne la première ministre, a fait usage de l'article 49.3 de la constitution pour passer le texte de force. En invoquant le 49.3 elle met aussi en jeu la responsabilité de son gouvernement. La loi est passée de force mais c'est chaud ! C'est bouillant dans la rue mais la colère populaire est aussi bien présente sur les réseaux sociaux.Les politiques eux mêmes sont devenus des experts de la communication social media2 semaines de suite, la France est dans la rue contre cette réforme, le couperet tombe le 16 Mars avec un joli 49.3 et là, le banc de la nupes se lève avec des pancartes de protestation.Le truc est programmé et l'effet génère un coup de com énorme , le visuel est repris partout .On se demande même si le gars avec sa pancarte à l'envers était pas là pour faire du buzz.—Certains députés sont aujourd'hui accompagnés par des équipes social media expertes et ultra réactivesOn peut parler de la députée Mathilde Panot. C'est une député La France Insoumise. Sur Twitter elle cumule 175k abonnés et depuis la crise des retraites elle publie en mode non stop.Autre début hyper actif sur les réseaux, le député Ugo Bernalicis. Il s'était fait remarquer pour avoir streamé live sur Twitch depuis l'hémicycle à de nombreuses reprises. Commentant en direct les décisions prises par l'assemblée.Le petit nom qu'il s'est lui même donné : Le DépuTwitchLes créateurs de contenu font une levée de bouclierDU jamais vu !Ça commence le 17 Mars par sullivan Gwed interpelle le gouvernement en story Insta.Pour gagner du temps, un thread de Vincent Manilève aka «@Vincent d'internet sur Twitter qui recense les plus impact ants.Lâ où on a habituellement des tonalités propres à chacun, le discours s'harmonise, ça devient plus humain et plus sérieux:Freddy Gladieux qui parle de la situation de ses parentsSeb la fritte qui explique à ses abonnés que même si lui a la chance d'avoir une bonne situation cela n'empêche pas ses parents et ses proches d'être touchés La liste est longueRebeu deter, Seb la fritte, Booba, Freddy gladieux, Léna situations, Inoxtag…Chacun avec leurs mots, chacun avec leur histoire et leur angleUne portée monumentale qui va bien plus loin que les sphères habituelles.Ces prises de parole touchent la totalité des FrançaisDes ados qui suivent Léna situations aux lascars qui écoutent booba.Poupette kenza maman influenceuse star de Snapchat interpellent de président en direct en Dm. 930kA une époque où la TV et les médias tradi perdent de la force, le message est diffusé à tout le monde via les réseaux sociaux et amplifie par des leaders d'opinions qui touchent toutes les strates de la populationSur Twitch antoine Daniel et d'autres streamers font des émissions spéciales et redirigent vers de cagnottes soutien des grévistes Son compteMon preferé : les gars de villebrequin qui nous sortent une petite vidéo déjà culte « on a un beau pays la France le pays des libertés « on a le droit d'aller se faire foutre avec les retraites »Au passage Arkunir en profite pour placer son troisième ratio à Elon musk Himself at home sur Twitter.Elon qui prend la parole pour dire « l'âge légal de départ à la retraite en France est trop bas » et l'autre qui lui rep « on t'a rien demandé!Le mème s'en empareLes comptes de mèmes ont trouvé une nouvelle marotte : utiliser l'IA pour illustrer Emmanuel Macron dans des mèmes le plaçant en plein coeur des manifestationsOn a tous Vu Macron jouer de la guitare au milieu de la foule ou Macron en train de se faire embarquer par la policeLe célèbre compte @yugnat999Newsjacking autour des retraitesBurger King sort un tweet mémorable « À 9 voix près on faisait une réduction de 49,3% pour toute commande à la Borne. »3,5Millions de vues en 24h > 11 k repartagesA mi-chemin entre Brand Utility et Newsjacking : Hier Vice profite du moment pour sortir la playlist 49.3 « la bande-son adéquate en période de mouvement social « .Dedans on retrouve des morceaux rap d'anthologie comme « L'état de Mafia K'1 Fry », « La rage de Keny Arkana », « Manifeste de Orelsan » ou encore « NTM qu'est-ce qu'on attend »https://www.vice.com/fr/article/y3wz5w/la-playlist-49-3-reforme-des-retraitesSixt en 2020Avec une flotte de véhicules comme ça, pas besoin de 49.3 pour faire passer des résas
durée : 00:12:59 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Au lendemain de l'utilisation du 49.3 par le gouvernement d'Elisabeth Borne sur la réforme des retraites, Jean-Luc Mélenchon, leader de La France Insoumise, est l'invité du 7h50.
durée : 02:30:19 - Le 7/9.30 - par : Jérôme CADET, Stephanie BOUTONNAT - Jean-Luc Mélenchon, leader de La France Insoumise, est l'invité de 7h50. Olivier Véran, ministre du Renouveau Démocratique et porte-parole du Gouvernement, est l'invité du 8h20. Isabelle Yacoubou, basketteuse professionnelle, est l'invitée du 9h10 pour son autobiographie.
Politique revient sur ce drame qui a marqué l'éducation nationale : un élève de 16 ans a poignardé à mort sa professeure. Que dit cette tragédie de notre société ? L'émission abordera aussi ce désordre qui a eu lieu à l'Assemblée nationale et a marqué les esprits. Et puis, ce désordre mondial, avec cette année de guerre en Ukraine. Roselyne Febvre reçoit Jean-Marie Colombani, directeur de slate.fr, Bruno Jeudy, éditorialiste politique, Frederic Dabi, directeur général opinions de l'Ifop, et Gaël Brustier, politologue et essayiste.
Pour démarrer la journée du bon pied en ce samedi de vacances d'hiver, Philippe Caverivière revient sur les récents débordements observés à l'Assemblée nationale lors de l'examen de la réforme des retraites. Retrouvez les meilleurs moments de la chronique de Philippe Caverivière.
durée : 00:15:07 - Journal de 22h - A 120 minutes de la fin des débats parlementaires au palais Bourbon, les nerfs des députés s'échauffent. Et les critiques viennent de partout, y compris de la Nupes, pour critiquer la stratégie d'obstruction des élus de La France Insoumise.
Avec Perrine Vasque, à l'Assemblée Nationale, à l'issue de deux semaines d'un débat impossible sur la réforme des retraites. Qui est responsable ? La France Insoumise ? La majorité ? Les Républicains ? L'ensemble des députés ? Autopsie d'un gâchis.
EXPERTS Pascal PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po - Auteur de « Le populisme » Nathalie SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » Astrid DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » - Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » Bernard VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail - Spécialiste du dialogue social Après trois grandes journées de grève contre la réforme des retraites, les syndicats ont fait le choix d'organiser une manifestation ce samedi sans appeler à la grève. L'objectif est double : permettre que les personnes souhaitant se mobiliser puissent facilement rejoindre le cortège, mais également offrir la possibilité aux gens pour qui la grève coûterait trop cher de participer, eux aussi, à cette mobilisation dans la rue. Les trois premières journées d'action ont réuni entre 757 000 et 1,27 million de personnes selon les autorités, entre « près de deux millions » et « plus de 2,5 millions » selon l'intersyndicale. Pour l'heure, cela n'a pas infléchi le choix de l'exécutif, qui tient sur la mesure clé de la réforme, le recul de l'âge légal de départ à 64 ans. La bataille autour de cette réforme a également lieu à l'Assemblée nationale, où l'examen du projet de loi se poursuit. Le premier article, qui prévoit la suppression des régimes spéciaux, a été adopté jeudi. Les débats sont houleux. Il ne se passe pas un jour sans son lot de polémiques et d'invectives. Hier, le député LFI-Nupes Thomas Portes a été exclu pour 15 jours après un tweet litigieux le présentant le pied sur un ballon à l'effigie d'Olivier Dussopt, ministre en charge de la réforme. La France Insoumise explique y voir une manœuvre visant à priver d'une voix supplémentaire l'opposition. Au sein de l'opposition politique à l'Assemblée, c'est le groupe LR qui semble plus que jamais avoir en main le destin de la réforme. Le nouveau président du parti, Eric Ciotti, a assuré le gouvernement de son appui lors du vote à la Chambre. Ce soutien des Républicains est indispensable pour l'exécutif afin d'éviter d'avoir à recourir à l'article 49-3 pour faire adopter son texte. Seulement, plusieurs députés LR expliquent qu'en l'état ils ne voteront pas le texte. Plusieurs points justifient selon eux ce refus. La question des carrières longues, tout d'abord. Ce dispositif est censé permettre à ceux qui ont commencé à travailler avant 21 ans de partir plus tôt. Le député du Lot Aurélien Pradié a affirmé qu'il ne soutiendra la réforme qu'à la condition de réduire de 5 à 1 le nombre de trimestres nécessaires pour y être éligible. Mais la question de la pénibilité au travail est également au cœur des débats. Car si le gouvernement assure que son projet permettra d'« améliorer la prise en compte de la pénibilité », les syndicats estiment qu'elle est encore loin d'être reconnue, et même que les dispositifs existants ont été affaiblis depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017. Dans la rue, les cortèges d'opposants à la réforme sont fournis, et pas uniquement dans les grandes métropoles. Le mouvement social est en effet marqué par une forte mobilisation dans les petites et moyennes communes. C'est même l'un de ses grands succès. À Alès, dans le Gard, malgré une moindre mobilisation mardi dernier, on comptait quand même 4 500 participants. C'est important pour une commune d'un peu plus de 40 000 habitants. Dans cette France des sous-préfectures, frappée par la désindustrialisation, beaucoup manifestent pour la première fois. Si tous sont préoccupés par la réforme des retraites, le climat économique ambiant, marqué par la forte inflation, est également dans tous les esprits. Qui du mouvement social ou de l'exécutif est le mieux armé pour remporter ce bras de fer ? Le gouvernement peut-il éviter le recours au 49-3 pour faire adopter sa réforme ? La mobilisation des petites et moyennes communes est-elle la clé du succès pour le mouvement social ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Selon Philippe Caverivière, Adrien Quatennens voudrait se faire moins remarquer à l'Assemblée nationale, c'est "le seul gars qui prie pour perdre ses cheveux ".
durée : 00:19:32 - Journal de 18h - A la veille de la seconde journée de mobilisation contre la réforme des retraites, l'examen du projet a débuté en commission, où les députés de la NUPES sont venus en nombre. La France Insoumise a par ailleurs présenté son "contre-projet" qui prévoit notamment une retraite à 60 ans avec 40 annuités.
durée : 00:04:24 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon s'enfonce dans la crise. Et l'ancien candidat à la présidentielle, dans le déni.
L'interview politique est présentée par Adrien Gindre du lundi au vendredi de 8h30 à 9h. Il reçoit un invité au cœur des enjeux politiques ou membre de la société civile.
durée : 00:43:03 - Sens politique - par : Arnaud Bousquet - Juin 2022, Raquel Garrido est élue, pour la première fois de sa vie, députée Nupes - LFI alors qu'elle milite depuis 30 ans. Du parti de gauche à La France Insoumise en passant par la télévision, quel regard porte t'elle sur les crises que traverse son parti ? Sur les médias ? - invités : Raquel Garrido Avocate, conseillère régionale d'Île de France
durée : 00:43:03 - Sens politique - par : Arnaud Bousquet - Juin 2022, Raquel Garrido est élue, pour la première fois de sa vie, députée Nupes - LFI alors qu'elle milite depuis 30 ans. Du parti de gauche à La France Insoumise en passant par la télévision, quel regard porte t'elle sur les crises que traverse son parti ? Sur les médias ? - invités : Raquel Garrido Avocate, conseillère régionale d'Île de France
durée : 00:02:34 - Le brief politique - Le groupe parlementaire LFI se réunira lundi 9 janvier pour un séminaire. Une rentrée qui pourrait être explosive mais la jeune génération appelle au calme.
Le dimanche 10 avril 2022, comme en 2017, Jean-Luc Mélenchon ne parvient pas à se hisser au second tour de l'élection présidentielle. Dans son discours, le leader de la France insoumise semble évoquer sa succession à venir. Plusieurs têtes commencent à émerger dont celle du député du Nord, Adrien Quatennens, qui est pressenti pour reprendre les rênes du parti. Mais à la rentrée, visé par des accusations de violences conjugales, Adrien Quatennens reconnait avoir donné une gifle à sa femme et se met en retrait de la vie politique. Jean-Luc Mélenchon lui renouvelle sa confiance, mais en coulisse, cette affaire divise la France insoumise et certains députés LFI se désolidarisent de Jean-Luc Mélenchon. Alors que la direction du parti est en pleine refondation, plusieurs figures du parti, mises de côté, n'hésitent pas à dénoncer un manque de démocratie au sein du mouvement.Pour Code source, Julien Duffé Pierre Maurer, journalistes au service Politique du Parisien, racontent la crise chez les Insoumis.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Emma Jacob et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : France Info, France TV, France 5, France 3, BFMTV, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Patrice Boisfer et ses invités débattent de la demande des militants insoumis, dans un tribune le journal Le Monde, l'exclusion d'Adrien Quatennens du parti suite à sa condamnation pour violence conjugal.
durée : 00:16:20 - 8h30 franceinfo - La députée européenne de La France insoumise et co-présidente du groupe de la gauche au Parlement européen était l'invitée du "8h30 franceinfo", samedi 17 décembre 2022.
Tous les matins à 7h55, Nicolas Poincaré propose sur RMC une chronique pédagogique mais personnelle sur une actualité du jour. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
Avec la probable nomination de Manuel Bompard à la tête de La France Insoumise, Alba Ventura estime que le parti de Jean-Luc Mélenchon s'assoit sur la démocratie.
La France Insoumise se déchire autour de la désignation du nouveau patron. Des députés insoumis dénoncent le repli, le verrouillage et l'autoproclamation. Réalisé par Jean-Pierre Pellon.
durée : 00:04:32 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Elisabeth Borne a actionné pour la 9ème fois le 49-3, Hervé Marseille est devenu président de l'UDI, et le Député LFI Manuel Bompard a été désigné à la tête du mouvement pour éviter les tensions, c'est l'actu du jour !
durée : 00:03:58 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Des figures du mouvement accusent la direction de se replier sur elle-même. Jean-Luc Mélenchon défend son fonctionnement.
durée : 00:02:44 - Le brief politique - La France Insoumise se réorganise et cela provoque des tensions au sein du parti. Plusieurs personnalités dénoncent une mise à l'écart.. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot
durée : 00:04:32 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Elisabeth Borne a actionné pour la 9ème fois le 49-3, Hervé Marseille est devenu président de l'UDI, et le Député LFI Manuel Bompard a été désigné à la tête du mouvement pour éviter les tensions, c'est l'actu du jour !
durée : 00:04:32 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Elisabeth Borne a actionné pour la 9ème fois le 49-3, Hervé Marseille est devenu président de l'UDI, et le Député LFI Manuel Bompard a été désigné à la tête du mouvement pour éviter les tensions, c'est l'actu du jour !
Roselyne Febvre et ses invités reviennent sur les causes des éventuelles coupures de courant dues en partie à un parc nucléaire diminué en raison de nombreux réacteurs à l'arrêt ou bien d'un manque de main d'œuvre. Il sera aussi question du projet de loi immigration pour lequel l'exécutif marche sur un fil et, enfin, la niche parlementaire du RN dans laquelle LFI a bien failli se prendre les pieds. Une émission en partenariat avec Slate.fr et son fondateur Jean-Marie Colombani.
La femme du député Adrien Quatennens (LFI) vient de porter de nouvelles accusations de violences physiques et morales contre lui. Ses chances de revenir à l'Assemblée nationale se réduisent. Une Assemblée qui a voté, jeudi 24 novembre, en faveur de l'inscription du droit à l'IVG dans la Constitution. En partenariat avec slate.fr et son cofondateur Jean-Marie Colombani, Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy, éditorialiste politique, Carole Barjon de l'Obs et Guillaume Daret, de France Télévisions.
Les auditeurs ont la parole du 14 novembre 2022 / L'Arcom, le gendarme de l'audiovisuel, a été saisi après l'échange houleux jeudi soir entre l'animateur Cyril Hanouna et le député LFI Louis Boyard dans l'émission "Touche pas à mon poste" sur C8.
Le débrief des auditeurs ont la parole du 14 novembre 2022 / Louis Bodin en mathématiques / Mr Boobook et Christophe Bourroux ont froid / Pascal Praud et Christian Ollivier, le retour du Muppet Show
Avec : Thomas Porcher, prof d'économie. Sarah Saldmann, avocate. Et Kévin Bossuet, prof d'histoire géo. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
durée : 00:02:07 - Le vrai du faux - Selon le collectif écologiste Dernière rénovation, repris par La France Insoumise, il faudrait près de 2 000 ans pour faire toutes les rénovations énergétiques nécessaires en France.
Éric Coquerel, député de la France insoumise de Seine-Saint-Denis et président de la commission des Finances à l'Assemblée Nationale, était l'invité de Stéphanie Coleau et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mercredi 2 novembre. Ils sont revenus sur l'efficacité des aides du gouvernement à destination des entreprises pour faire face à la crise énergétique ainsi que sur le plan de soutien énergétique de l'Allemagne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Avec : Clémentine Autain, députée La France Insoumise de Seine-Saint-Denis. - Chaque matin, Philippe Corbé reçoit un invité au cœur de l'actualité. Hommes et femmes de la classe politique et économique répondent, pendant une demi-heure, aux questions sans détour de la journaliste. Ce face-à-face est devenu le premier rendez-vous politique radio/TV de France.En simultané sur BFMTV.
durée : 00:15:16 - Journal de 22h - Le groupe insoumis se retrouve plus isolé pour ce nouveau 49-3 déclenché par le gouvernement.
durée : 00:24:15 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur et des Outre-mer, était l'invité du Grand Entretien de 8h20 sur France Inter, ce jeudi.
durée : 00:15:16 - Journal de 22h - Le groupe insoumis se retrouve plus isolé pour ce nouveau 49-3 déclenché par le gouvernement.
Avec : Marie-Anne Soubré, avocate. Mehdi Ghezzar, chef d'entreprise. Et Kevin Bossuet, professeur d'histoire géographie. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
durée : 00:04:51 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le fondateur de La France Insoumise voulait réunir "le peuple contre Macron". La mobilisation a été moins forte qu'il ne l'espérait. Jean-Luc Mélenchon compte maintenant sur une "grève générale".
J-5 avant la marche contre la vie chère de Jean-Luc Mélenchon. La France Insoumise parie sur une démonstration de force. Est-ce possible ? Son leader réussira-t-il à mobiliser ? Ecoutez Un point, c'est tout ! avec Alba Ventura du 11 octobre 2022
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Pascal Praud du 28 septembre 2022 / Des députés boycottent un match caritatif en raison de la présence d'élus RN : approuvez-vous l'attitude ?
durée : 00:43:30 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - Retour sur la crise qui secoue La France Insoumise, révélatrice de plusieurs dysfonctionnements majeurs au sein du parti. - invités : Jérôme Fourquet analyste politique, directeur du département opinion et stratégies d'entreprise de l'institut de sondages IFOP.
durée : 00:04:31 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Adrien Quatennens, le coordinateur de La France insoumise, reconnaît des gestes violents envers son épouse. Le député se met en retrait de ses responsabilités au sein du mouvement. Pouvait-il réagir autrement ?
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 16 septembre 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix. Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit. L'ÉCOLOGIE ENTRE CONSENSUS ET GUERRE CIVILEAu milieu de crises énergétique et alimentaire, après une saison de canicules, d'incendies et de sécheresses, l'écologie s'impose comme une priorité dans toutes les études d'opinion. Si le GIEC appelait, début avril, à des mesures immédiates, radicales et dans tous les secteurs pour « garantir un avenir vivable », si la réponse du gouvernement français « progresse », elle reste « insuffisante », a averti le Haut Conseil pour le climat, dans son rapport annuel. Candidat à sa réélection, Emmanuel Macron, avait affirmé le 16 avril « la politique que je mènerai dans les cinq ans à venir sera écologique ou ne sera pas ». Il a installé à la tête du gouvernement une Première ministre directement chargée de la planification écologique et énergétique : Elisabeth Borne, ancienne ministre de la transition écologique lors du premier quinquennat. Dans son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, le 6 juillet, elle a annoncé « des transformations radicales dans notre manière de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer ». Toutefois, l'urgence écologique n'a été évoquée qu'en troisième position – après l'enjeu du pouvoir d'achat et le défi du plein-emploi. et Christophe Béchu, le nouveau ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, a été rétrogradé, dans l'ordre protocolaire, de la cinquième place occupée par sa prédécesseure, Amélie de Montchalin, à la dixième place. Autre innovation du gouvernement, la création d'un secrétariat général à la planification écologique, rattaché à la Première ministre afin d'aller « deux fois plus vite » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.Dans l'opposition, La France Insoumise revendique de porter, tout autant sinon plus qu'Europe écologie les verts, un projet pour le climat, tandis que depuis leur échec à la présidentielle (4,63 %), les écologistes cherchent à réorganiser leur parti pour tenter de gagner des batailles politiques et plus seulement d'opinion. C'est l'enjeu de leur prochain congrès prévu le premier week-end de décembre. Déjà, un florilège de prémotions a commencé à voir le jour. La motion majoritaire, Grandir ensemble a lancé fin juillet une demande de « référendum d'initiative militante » invitant les 13.000 adhérents écologistes à se prononcer sur un « nouveau parti de l'écologie politique » pour en faire une « machine de guerre » électorale.Dans les médias, les tribunes en faveur de l'écologie se multiplient : des élus écologistes tels l'eurodéputée Karima Delli et le député du Val-d'Oise Aurélien Taché, appellent à s'appuyer sur les militants de terrain pour inventer une écologie renouvelée, radicale et pragmatique. D'autres militants de l'environnement, dont Corinne Lepage, appellent à faire émerger une écologie politique innovante, et regrettent que l'écologie politique, telle qu'elle est représentée en France, se réduise à un mouvement ancré à l'extrême gauche. A droite, certains plaident en faveur d'une écologie positive. A chacun son écologie.***EXTRÊME DROITE SUÉDOISE ET ITALIENNEEn Suède, à l'issue des élections législatives du 11 septembre, le bloc composé de la droite libérale conservatrice et de l'extrême droite l'a emporté avec 176 députés contre 173 pour le centre gauche et les Verts. Le parti d'extrême droite les Démocrates de Suède (DS) est devenu la première force à droite et le deuxième parti du pays derrière les sociaux-démocrates, avec 20,5 % des voix. Créé en 1988 par d'anciens néonazis du parti Reich nordique, le mouvement les Démocrates de Suède a connu une progression fulgurante : 5 % des suffrages en 2010, 12 % en 2018 et aujourd'hui plus de 20%. Pour la première fois dans l'histoire du pays, les sondages d'opinion indiquent que la criminalité est la principale préoccupation des Suédois. En cause, la multiplication, cet été, des règlements de comptes entre bandes criminelles et l'insécurité croissante dans les banlieues et dans les centres-villes qui ont contribué à relancer les Démocrates de Suède. Chef de SD depuis dix-sept ans, Jimmie Akesson n'a eu de cesse de critiquer « l'islamisation » du pays et de dénoncer « le laxisme » des gouvernements successifs dans le domaine de l'immigration. Dans ce pays, 20 % des 10 millions d'habitants sont nés à l'étranger, selon des statistiques officielles de fin 2021, soit un doublement en deux décennies. Le fait est que l'extrême droite n'est plus pestiférée comme elle l'a longtemps été, tant sur la scène politique que dans les médias suédois. « En Suède, lier immigration et insécurité a longtemps été perçu comme un discours extrémiste, voire dangereux. Ce n'est plus le cas », observe Anders Hellström, professeur associé à l'Institut de recherche sur les migrations et la diversité à l'université de Malmö. En politique étrangère, le SD a renoncé au « Swexit » mais reste fortement eurosceptique alors que la Suède accédera en janvier à la présidence de l'Union européenne.En Italie, la jeune leader d'extrême droite italienne Giorgia Meloni, caracole en tête des sondages pour les législatives du 25 septembre prochain. Elle pourrait devenir la première femme présidente du Conseil du pays. Son parti, Fratelli d'Italia, est crédité d'environ 25% des intentions de vote. Il domine la coalition de droite composée de la Ligue de Matteo Salvini (12,9%) et de Forza Italia de Silvio Berlusconi (11,4%). Son programme : la protection de la famille traditionnelle contre les droits LGBTQIA +, un souverainisme exacerbé contre le « danger chinois », un euroscepticisme virulent avec pour cible les technocrates bruxellois, enfin une lutte inflexible contre l'immigration qu'illustre son projet d'instaurer un blocus naval au large des côtes africaines. Elle refuse catégoriquement de retirer La flamme (fasciste) du Mouvement social italien qui trône sur l'emblème de Fratelli d'Italia. Si elle ne plaide plus pour la sortie de l'Union européenne et l'abandon de l'euro elle prône cependant une révision des traités pour recouvrer plus de souveraineté économique ainsi qu'une renégociation des priorités du plan de relance.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Il est l'un des espoirs de la France Insoumise, certains le voyaient même succéder à Jean-Luc Mélenchon. Mais pour le député Adrien Quatennens, l'avenir semble s'être assombri ces derniers jours. En instance de divorce, il est visé par une main courante déposée par son épouse au commissariat de Lille, officiellement après une dispute qualifiée de "dure" par son avocate. Suffisant pour embarrasser le parti.
durée : 00:14:54 - Journal de 18h - Fin de l'Université d'été de la France Insoumise ce dimanche. Jean-Luc Mélenchon un tenu un discours pour la clôturer.
MÉLENCHON LANCE "LA BATAILLE GÉNÉRALE" – 27/08/22 LES INVITÉ.ES : - BRUNO JEUDY - Journaliste et essayiste - CORINNE LHAÏK - Journaliste - « L'Opinion » - ALIX BOUILHAGUET - Editorialiste politique - « France info » - FRÉDÉRIC DABI - Directeur général adjoint de l'IFOP "En retrait mais pas en retraite". Après deux mois d'absence, Jean-Luc Mélenchon n'a pas abandonné le combat politique la conflictualité. Dans la Drôme, à l'occasion des "amphis d'été" de la France Insoumise, il a promis pour la rentrée politique "la bataille générale" face au gouvernement, qu'il continue de prendre pour cible. Il a même estimé qu'un "compte à rebours de la dissolution" de l'Assemblée était enclenché. Il revendique pour son mouvement le statut de première force d'opposition du pays. L'exécutif semble sur ce point lui donner quitus. Trois membres du gouvernement se sont en effet rendus à l'université d'été des insoumis. Clément Beaune, Olivia Grégoire et Marlène Schiappa se sont prêtés au jeu des débats avec des députés de la principale formation de la NUPES. Les partis de l'union de gauche n'ont pas fait d'université commune, choisissant de garder chacun leur propre réunion. Car chez EELV, le PS et le PCF, l'heure est à se prémunir des risques d'hégémonie de LFI. Les trois partis se sont montrés sceptiques sur la perspective voulue par les Insoumis de s'allier aux européennes de 2024, notant des divergences sur l'Europe. Au sein de la majorité, il est déjà temps de préparer la succession d'Emmanuel Macron. Le chef de l'Etat ne pourra en effet pas être à nouveau candidat en 2027, en vertu de la constitution. L'heure est à la construction de l'unité. Dans cette optique, à l'heure où les principales formations politiques entament leurs traditionnelles universités d'été pour galvaniser les troupes, la majorité présidentielle organise de son côté un événement sobrement appelé « séminaire des cadres ». La République en marche doit fusionner mi-septembre avec Territoire de progrès et Agir, sous le nom de Renaissance. Leurs cadres se réunissent ce samedi à Metz, en Moselle, pour s'entendre sur les valeurs communes. Mais LREM et ces partis satellites de la majorité ont encore du chemin à parcourir pour structurer cette proposition politique. On est loin de l'esprit de la première heure du mouvement En Marche, qui a porté Emmanuel Macron en 2016 et 2017. Loin des débats nationaux, les élus locaux sont, comme les ménages, confrontés à l'inflation. Dans les petites communes, les maires essaient de s'en sortir. La chasse au gaspillage devient une priorité pour économiser l'argent public et tenter de maintenir la qualité de vie des administrés. Certaines promesses de campagne, devenues trop coûteuses, ne peuvent donc pas être mises en œuvre pour le moment. Comme l'embauche de policiers municipaux supplémentaires. La France Insoumise souhaite-t-elle avaler la NUPES pour devenir le véritable leader de cette formation ? La majorité présidentielle va-t-elle réussir à préparer la succession d'Emmanuel Macron ? Comment les maires font-ils face à l'inflation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
With Jason and Pascal in New York, This week the gang talk to Rémy Choury, an activist with La France Insoumise, about the French elections. Get ready for the FIRST This is Revolution LIVE SHOW (in cooperation with @SublationMedia). PROJECT PARLOR, 742 Myrtle Ave, Brooklyn, NY 11205 on June 26th 2022 – 3pm to 10pm. https://www.projectparlor.com/ About TIR Thank you for supporting the show! Remember to like and subscribe on YouTube. Also, consider supporting us on Patreon at https://www.patreon.com/join/BitterLakePresents Check out our official merch store at https://www.thisisrevolutionpodcast.com/ Also follow us on... https://podcasts.apple.com/.../this-is.../id1524576360 www.youtube.com/thisisrevolutionpodcast www.twitch.tv/thisisrevolutionpodcast www.twitch.tv/leftflankvets https://www.facebook.com/Thisisrevolutionpodcast/ Instagram: @thisisrevolutionoakland Follow the TIR Crüe on Twitter: @TIRShowOakland @djenebajalan @DrKuba2 @probert06 @StefanBertramL @MarcusHereMeow Read Jason: https://www.sublationmag.com/writers/jason-myles Read Pascal: https://www.newsweek.com/black-political-elite-serving...