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Une forme de « en même temps » :« Gaza : Israël passe à l'offensive… et poursuit les négociations », constate La Croix à Paris.« Israël lance une vaste opération militaire à Gaza, au milieu de pourparlers de très incertains », renchérit L'Orient-Le Jour à Beyrouth.En effet, précise le quotidien libanais, « l'État hébreu annonce le début d'une offensive d'ampleur "Les chars de Gédéon", peu avant la tenue à Doha d'un nouveau cycle de négociations indirectes. »En fait, pointe le journal, « Israël poursuit la même stratégie depuis plus d'un an et demi : affamer Gaza et utiliser aux frappes militaires pour obtenir du Hamas un cessez-le-feu provisoire et libérer davantage d'otages, sans mettre fin à la guerre, et mener une réoccupation plus vaste de l'enclave. »Libération à Paris a fait les comptes : l'armée israélienne a lancé « 670 frappes dans l'espace d'une semaine. » Bilan : « au moins 462 Palestiniens tués, selon les autorités de l'enclave, dont 344 ces trois derniers jours. »Au même moment, constate notamment Le Soir à Bruxelles, alors qu'aucune aide humanitaire n'est entrée dans l'enclave depuis le 2 mars, « Israël va autoriser l'entrée d'une « quantité de base de nourriture ». L'État hébreu veut "éviter le développement de la famine dans l'enclave", explique le premier ministre Benyamin Netanyahou. »Il faut dire, complète le New York Times, que « certains militaires israéliens ont conclu, en privé, que les Palestiniens de Gaza risquaient de souffrir d'une famine généralisée si les livraisons d'aide n'étaient pas rétablies dans les semaines à venir. »Violations et pas de sanctions…Le Temps à Genève énumère les violations du droit international humanitaire dont l'État hébreu se rend coupable dans l'enclave palestinienne : absence d'approvisionnement (article 55 de la Convention de Genève), blocage de l'aide humanitaire (article 59), destruction de biens civils (article 53), attaques disproportionnées (article 57), déplacements forcés et transferts de population (article 49), interdiction de visite des puissances protectrices du Comité international de la Croix-Rouge (article 143).Pour autant, si certains pays donnent de la voix, pas de condamnation unanime et encore moins de sanctions… « Guerre à Gaza : les alliés d'Israël face au risque de la complicité », prévient Le Monde à Paris. « Face à l'horreur des événements dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, les organisations humanitaires, les défenseurs des droits humains, avocats, professeurs, intellectuels, artistes, et responsables des Nations unies, demandent aux États d'agir et de ne pas se rendre complices des crimes en cours. (…) La répugnance des États occidentaux à prendre des mesures concrètes contre l'État hébreu les expose à des poursuites pour manquement à leurs obligations internationales. »Dans la presse internationale, les commentaires se multiplient ces derniers jours. A l'instar de cette supplique lancée hier par un chroniqueur du Sunday Times hier à Londres : « j'ai pleuré les victimes du 7-Octobre, écrit-il. Mais qui parmi nous ne pleure pas aussi les victimes de Gaza ? Critiquer le gouvernement israélien n'est pas antisémite ; c'est le service le plus pro-israélien qu'un ami de cette nation rendre puisse. C'est pourquoi je dis aux Israéliens, après des centaines de morts supplémentaires la dernière semaine et alors que des enfants désespérés cherchant les déclins à la recherche de restes de nourriture, arrêtez. Pour leur bien comme pour le vôtre, arrêtez, s'il vous plaît. »« La preuve que tout le monde ne nous déteste pas »En Israël, l'opinion est partagée… à l'image de ce qu'on peut lire dans la presse. Pour Haaretz, quotidien d'opposition, « la seule voie vers l'avenir d'Israël est d'arrêter la destruction de Gaza – maintenant ! » Il faut parvenir « à un accord global visant à rapatrier les otages, à mettre fin à la guerre, à retirer les troupes de Gaza, à permettre l'acheminement de l'aide humanitaire, à engager la reconstruction et à lancer un effort diplomatique international pour apporter des changements profonds dans la région, y compris sur la question palestinienne. »A contrario, le Jerusalem Post consacre son éditorial à Yuval Raphael… Cette chanteuse de 24 ans, rescapée des massacres du 7-Octobre, arrivée 2e au concours de l'Eurovision samedi soir. « Yuval Raphael symbole de l'étonnante résilience d'Israël », s'exclame le Jerusalem Post . Elle « est arrivée en tête des votes du public. Preuve que la position mondiale d'Israël, décrite souvent comme étant en chute libre, n'est pas aussi désastreuse que nous l'imaginons. (…) C'est la preuve, poursuit le Jerusalem Post, qu'en dépit des résolutions de l'ONU, des appels au boycott et des condamnations réflexes de nombreux hommes politiques européens (Emmanuel Macron, nous vous regardons), c'est la preuve que tout le monde ne nous déteste pas. »
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Des coûts plus élevés et des travaux plus longs que prévu pour l’agrandissement de l’hôpital de Verdun. Les propos de Dany Laferrière à l’endroit du Québec. L’ensauvagement du Québec. LA RENCONTRE DUTRIZAC-DUMONT avec Benoit Dutrizac et Mario DumontPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Hélène Boudreau, génie du marketing | Éric Lapointe explique son processus créatif derrière son nouveau spectacle acoustique | Les hommes sont aussi victimes d’agressions sexuelles, et ils ont aussi besoin d’aide! | Critiquer les journalistes, c’est encore possible? Dans cet épisode intégral du 2 avril, en entrevue : Hélène Boudreau, « la fille de l’UQAM », artiste tatoueuse, créatrice de contenu exotique. Martine Poirier, directrice générale du Centre de ressources et d’intervention pour hommes abusés sexuellement et leur entourage (CRIPHASE). Éric Lapointe, auteur compositeur interprète. Une production QUB Avril 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ça peut être une remarque prononcée l'air de rien – “C'est vrai qu'il a l'air d'a-do-rer les dessins animés !” –, un geste apparemment anodin – “Viens là que je te remonte ta fermeture éclair, t'es pas assez couvert·e !” – ou carrément une comparaison sans ambiguïté : “Ah, moi, je lui donne jamais d'aliments transformés.”Pourquoi les critiques sur l'éducation de nos enfants nous touchent-elles autant ? Comment se fait-il que la parentalité puisse devenir une telle source de crispation ? Dans cet épisode, Marine Revol interroge Marie et Inès sur la manière dont elles vivent les critiques de leur entourage, et Amélia qui a perdu un couple d'amis à cause de valeurs différentes. Elle interroge aussi Claude Martin, sociologue, et auteur de Etre un bon parent, une injonction contemporaine sur la pression que subissent les parents sur l'éducation qu'ils donnent à leurs enfants. Ensembles, il et elles parlent de conseils contradictoires, d'électricité dans l'air et de déclaration d'assurance, de confiance en soi et de socialisation.Faites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Louise Tavera et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production. Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Faut-il compatir à l'infortune de Marine Le Pen ? Critiquer ou respecter la chose jugée ? Défendre ou dénoncer les juges ? Regretter la loi qu'ils n'ont fait qu'appliquer ? Cette après-midi à l'Assemblée nationale, François Bayrou a rappelé que le gouvernement n'a pas le droit de critiquer une décision de justice même si elle suscite des « interrogations » a-t-il dit en tant que citoyen. On en parle avec Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier Ministre (2002 à 2005).Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
durée : 00:59:01 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Emile Durkheim naît en 1858 à Épinal. Après de brillantes études en philosophie, Durkheim opère un virage vers la sociologie durant sa thèse De la division du travail social (1893). Dès lors, lui et les chercheurs qui l'entourent s'efforceront d'ériger la sociologie au rang de science. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Matthieu Béra Professeur des universités en sociologie à Bordeaux, chercheur à l'IRDAP et associé au CéSor ; Philippe Steiner Professeur émérite de sociologie à Sorbonne Université
durée : 00:04:07 - Une semaine dans leurs vies - Suite et fin de notre série sur les voix du doublage. Nous retrouvons la comédienne qui double Julia Roberts : Céline Monsarrat. Est-elle une voix officielle ou Julia Roberts peut-elle, du jour au lendemain, changer de voix dans les versions françaises ?
Les présidents des États-Unis et d'Argentine ont pris des décisions similaires ces derniers jours sur le retrait de l'OMS, l'Organisation mondiale de la santé, et font preuve d'une hostilité marquée vis-à-vis des programmes aidant à la transition de genres pour les mineurs. Dès lors, peut-on parler d'un alignement de Javier Milei sur Donald Trump ? Il y a une proximité idéologique entre les deux hommes et un quasi-alignement, qu'il s'agisse de politique économique ou de révolution culturelle, pour mettre fin à ce qui est désigné comme le « progressisme woke », dans les deux pays. En économie, les deux hommes assument une approche libérale : laisser faire le marché, réduire les impôts des sociétés et procéder à des coupes drastiques dans les dépenses publiques — on se souvient du slogan de Milei durant sa campagne, les coupes « à la tronçonneuse ».Et ces derniers jours, les décisions de Milei de quitter l'OMS et de stopper les programmes de traitement et de chirurgie de transition de genre pour les mineurs sont très semblables à ce que fait ou ce que veut faire Donald Trump.À lire aussi Donald Trump signe un décret pour retirer les États-Unis de plusieurs instances de l'ONULes premiers résultats de la « révolution économique et culturelle » prônée par Javier Milei Javier Milei dirige l'Argentine depuis un peu plus d'un an et il peut se targuer d'avoir réglé au moins deux des problèmes de l'économie argentine. À commencer par l'inflation, passée de plus de 25 % à environ 3 %. Autre promesse tenue, celle de la stabilisation du taux de change entre le peso argentin et le dollar américain.Mais sur d'autres aspects, la thérapie de choc n'a pas fait ses preuves, avec une augmentation du chômage, qui reste quand même sous la barre des 10 %, et une augmentation de la pauvreté, qui concerne un Argentin sur deux. Sur le plan « culturel », il montre une volonté farouche de transformer la matrice culturelle qui aurait été étouffée par la gauche depuis des décennies. Les partisans de Milei réfutent le terme d'extrême droite parfois accolé au président argentin. Selon eux, il n'est pas d'extrême droite, car l'immigration n'est pas un sujet pour lui — c'est une différence avec Donald Trump —, il ne serait pas raciste et encore moins antisémite et considère Israël comme « un phare occidental au milieu de la barbarie ».À lire aussi « Critiquer la politique du gouvernement israélien est aujourd'hui qualifié d'antisémitisme »Javier Milei se définit comme un anarcho-capitaliste, proche des libertariensCette définition renforce le sentiment de connexion avec certains partisans de Donald Trump. Ce mouvement libertarien, ou réactionnaire au sens propre du terme selon d'autres observateurs, ne se limite pas à ces deux pays. Le président Macron parle même d'une « internationale réactionnaire », caractérisée par la volonté de défaire la suprématie culturelle de la gauche et les excès supposés du progressisme et du wokisme, une quasi-détestation de l'État, et un fort rejet des organisations multilatérales instaurées au lendemain de la Seconde Guerre mondiale — l'ONU, l'OMS, le Conseil des droits de l'Homme, l'Accord de Paris sur le climat, ou encore la CPI.Rappelons-le, ces organismes ont été créés à l'issue de la Seconde Guerre mondiale pour faciliter le dialogue et la coopération et pour éviter les guerres. Ainsi, on est entré dans une ère de forte contestation de cet ordre multilatéral, y compris par de plus en plus de démocraties, comme les États-Unis de Trump ou l'Argentine de Milei. À lire aussiÀ Davos, Javier Milei souligne sa proximité idéologique avec Donald Trump
Chaque jour, retrouvez vos animateurs et journalistes favoris dans une discussion de 15 minutes et pas une seconde de plus.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Faut-il mettre un terme aux partenariats avec certaines universités israéliennes ? C'est en tout cas ce que réclament les étudiants de plusieurs facultés françaises (comme cela s'est fait dans deux établissements belge et italien). Pour faire pression sur la direction d'un campus de l'Université Panthéon-Sorbonne, voilà plus d'un mois qu'une partie des étudiants bloquent l'accès à leurs salles de cours. Un reportage de Tom Malki. C'est un blocage discret. Les étudiants continuent d'entrer dans leur bâtiment, rue de Tolbiac, dans le 13ᵉ arrondissement de Paris, mais les ascenseurs et escaliers permettant d'accéder aux salles de cours sont condamnés. Ilyes a un keffieh accroché au pantalon. Il fait partie des bloqueurs, qui réclament la fin des partenariats avec deux universités israéliennes. « En fait, l'arrêt de ces partenariats impacterait juste le transfert de connaissances qui sont mis en place entre l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l'université hébraïque de Jérusalem, ainsi que l'université de Tel-Aviv, la deuxième université avec laquelle on a un partenariat. Mais l'arrêt de ces partenariats n'impacterait aucunement les élèves israéliens qui sont déjà présents dans la fac. » Après plusieurs semaines de mobilisation, une délégation d'étudiants bloqueurs a été reçue par la direction. Aywan en faisait partie. « Au sujet des partenariats avec l'université, ils nous ont dit que pour eux, c'était inconcevable de les arrêter. »L'autre principale revendication : c'est la fin des partenariats avec des entreprises françaises impliquées dans la vente de matériel militaire. « Des entreprises comme Thalès et Safran, qui ont des liens avec la fac parce qu'ils financent des masters et du coup, nous, on leur demandait d'arrêter ça, explique Aywan. En fait, on ne voulait pas qu'ils envoient des étudiants en alternance ou que des entreprises d'armement qui littéralement livrent des armes à Israël qui permettent ce génocide soient acceptées dans notre fac, on trouvait ça inconcevable. Et c'est vrai que pour le coup, sur ce sujet-là, même eux, on les a vraiment sentis débordés. »Les étudiants mobilisés victimes de la violence de l'extrême droitePlusieurs étudiants mobilisés ont été victimes de violences. « Quand on est arrivé, il y avait la Cocarde, qui est un syndicat d'extrême droite. Il n'était pas simplement venu tracter. Il y avait aussi un service d'ordre avec eux qui était venu avec des parapluies, avec des gants coqués et du coup, il y a eu des heurts, s'indigne Julie, une étudiante mobilisée. On a eu un camarade qui a eu une double luxation de l'épaule, on a eu un autre camarade qui a eu un coquard et une petite entorse au poignet. »Des voix se sont élevées dans une tribune contre le blocage. L'une des autrices explique cette initiative, après avoir parlé au téléphone avec la direction du campus. « Je suis élue étudiante donc c'est pour ça que j'étais assez contactée par les étudiants qui demandaient la reprise des cours. Parce qu'il y a de plus en plus d'étudiants qui sont en décrochage scolaire, en difficulté, indique-t-elle. On a voulu rédiger une tribune pour exprimer le fait que nous souhaitions rétablir l'échange et conserver nos partenariats. Parce que pour nous, il nous semble essentiel d'échanger avec tout le monde et avec tous les étudiants du monde, qu'ils soient Palestiniens, Israéliens, Français. »Depuis une semaine, le syndicat étudiant l'UNEF confirme des blocages répétés sur plusieurs campus parisiens, portés par les mêmes revendications.À lire aussi«Critiquer la politique du gouvernement israélien est aujourd'hui qualifié d'antisémitisme»
Le système professionnel est constitué d'un ensemble de lois, de règles, de normes et de structures sociales qui balisent, au Québec, l'exercice et le rôle de certaines professions. Ils et elles seront: arpenteur-géomètre, ingénieur, chimiste, agronome, ingénieur forestier, médecin, avocat, notaire, et d'autres. Ces occupations ont une fonction sociale importante. Ces professions sont balisées, contrôlées, encadrées, notamment parce qu'autrement la sécurité publique, la santé publique, la paix sociale pourraient être compromises. Le système professionnel est-il toujours aussi pertinent, utile, efficace? Quelles sont ses principales failles et limites? Quelles sont ses forces? Comment pourrions-nous améliorer ce système? Ce sont les questions que nous aborderons dans cet ultime et dernier épisode.
Un serviteur de Dieu possède-t-il un titre ou une charge qui lui octroie une sécurité particulière face aux critiques? Autrement dit, y aurait-il des conséquences directes lorsque l'on critique un serviteur de Dieu, comparables à celles que l'on peut trouver dans les Écritures? Florent nous apporte ces éléments dans sa réponse et nous encourage à être attentifs et bienveillants dans la critique et à celle-ci.
Peut-on rire de tout ? Et même de Jean-Jacques Goldman devant Élodie de Sélys (plus grande fan de la Terre) ? Christophe Bourdon revient sur la polémique autour d'un sketch du Grand Cactus, précisant que l'intention initiale était de parodier le groupe Indochine, et non de viser la communauté LGBT. Critiquer quelqu'un pour ce qu'il est, et non pour ce qu'il fait, devient du harcèlement. Mea culpa : on se fout de tout, et ça continuera, même si parfois on loupe la cible ! Pardon ! Merci pour votre écoute N'héistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de MAtin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQ Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWME Les Clés : https://audmns.com/DvbCVrH Le Tournant : https://audmns.com/moqIRoC 5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssr Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:03:57 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Les métaphores peuvent enrichir ou déformer notre perception du monde, c'est pourquoi il est crucial de les critiquer avec discernement. Comment éviter les dérives tout en conservant leur pouvoir suggestif ? - réalisation : Riyad Cairat
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 15 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois et Nicolas Jamain avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Peut-on critiquer l'éducation positive tout en la soutenant ? C'est le pari risqué auquel s'est attelé Béatrice Kammerer journaliste scientifique spécialisée d'éducation et autrice du livre Calme, ferme et bienveillant. Son livre sorti en 2019 avait pour ambition de remettre un peu de nuance dans le discours autour de l'éducation. 5 ans plus tard, elle constate que les clivages sont bien plus forts et viennent accuser l'éducation positive d'être responsables de beaucoup de maux de la société. Alors est-ce que c'est vrai ? Toujours avec une grande rigueur, Béatrice raconte la naissance de ce courant d'éducation positive, bienveillante et respectueuse, les dérives qu'elle a constaté et les inégalités auxquelles font face les parents en matière d'éducation. On parle donc de charge mentale, d'éducation positive féministe, de parents bricoleurs, de choisir l''idéal qui nous convient nous en tant que parents… Bref c'est extrêmement riche et dans la veine de l'épisode avec Franck Ramus, on nuance les discours actuels qui veulent opposer les gens.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
durée : 00:03:53 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Critiquer radicalement la technique c'est critiquer l'humanité dans son essence. Comment concilier l'usage indispensable de la technique avec les critiques de Heidegger sur ses effets destructeurs, tout en la réglant pour protéger l'humanité des dangers qu'elle engendre ?
durée : 00:05:19 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Critiquer les acteurs morts, même depuis longtemps, Tanguy rappelle que ça peut faire de la peine aux gens.
Les Grandes Gueules ne savent rien de ce qui les attend... Et pourtant ils vont devoir débattre sur une actu qu'ils vont découvrir en direct !
Hello les besties, nouvel épisode du jour, qui va vous plaire, on parle de la bienveillance. La bienveillance c'est quoi ? Comment la cultiver ? On vous parle à coeur ouvert et l'importance d'être bienveillante avec les autres. On est toujours critiquer par plus bas que soit, quand on est heureux, on est aussi heureux pour les autres. Bref un peu de bienveillance dans ce monde, ne faites pas aux autres ce que vous n'aimeriez pas qu'on vous fasse. On espère que cette épisode vous plaira, bisous les besties.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Un groupe de musique a été retiré de la programmation du Festival musical Alienfest en Abitibi-Témiscamingue en raison de ses critiques à l'égard de la Fonderie Horne. Entrevue avec Simon Turcotte, chanteur du groupe de musique métal Guhn Twei.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:22 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Et les Marie-Pierre on plus, faut pas les gonfler !
durée : 00:03:22 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Et les Marie-Pierre on plus, faut pas les gonfler !
durée : 00:22:36 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, secrétaire général du parti Horizons, est l'invité de la matinale. Il défend l'intervention d'Emmanuel Macron, qui déchaîne les critiques, notamment sur la quasi absence de l'écologie dans son propos.
durée : 00:22:36 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, secrétaire général du parti Horizons, est l'invité de la matinale. Il défend l'intervention d'Emmanuel Macron, qui déchaîne les critiques, notamment sur la quasi absence de l'écologie dans son propos.
Le succès de Testament de Denys Arcand, en France La rencontre Rioux-Durocher avec Christian Rioux correspondant à Paris pour le quotidien Le Devoir. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans son livre « Les têtes brûlées », Catherine Dorion revient sur les obstacles qu'elle a rencontrés durant son mandat de quatre ans comme députée et sur sa relation particulièrement tendue avec GND. Les réactions dans le milieu politique sont nombreuses. Discussion avec Karine Gagnon, chroniqueuse politique et adjointe de l'information au Journal de Québec.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans son livre « Les têtes brûlées », Catherine Dorion revient sur les obstacles qu'elle a rencontrés durant son mandat de quatre ans comme députée et sur sa relation particulièrement tendue avec GND. Les réactions dans le milieu politique sont nombreuses. Dans cet épisode intégral du 13 novembre en entrevue : Marie-Carmen, chanteuse québécoise. Frédéric Lacroix, chercheur indépendant, chroniqueur et essayiste. Une production QUB Radio Novembre 2023Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Les organisateurs de concerts sont désormais obligés d'être équipés de coupe-circuits, pour couper la chique des groupes qui n'adhéreraient pas à ce que le gouvernement appelle "la culture locale", autrement dit les lois anti personnes LGBTQIA+.
durée : 00:03:26 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Les organisateurs de concerts sont désormais obligés d'être équipés de coupe-circuits, pour couper la chique des groupes qui n'adhéreraient pas à ce que le gouvernement appelle "la culture locale", autrement dit les lois anti personnes LGBTQIA+.
durée : 00:20:11 - Journal de 18h - Pour alerter sur l'urgence climatique, les députés écologistes ont arboré dans l'hémicyle des t-shirts avec des "warming stripes".
durée : 00:20:11 - Journal de 18h - Pour alerter sur l'urgence climatique, les députés écologistes ont arboré dans l'hémicyle des t-shirts avec des "warming stripes".
La Maison Gainsbourg, dont l'ouverture est prévue demain, affiche déjà complet jusqu'en décembre. Les créneaux disponibles pour les mois de septembre à décembre ont tous été réservés, rendant impossible toute nouvelle visite avant le mois de janvier au moins. La rencontre Rioux-Durocher avec Christian Rioux correspondant à Paris pour le quotidien Le Devoir.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le programme Clair-Obscur est à prix spécial jusqu'à ce soir ! -30% jusqu'au jeudi 20/07 minuit. C'est la méthode en 5 étapes pour traverser ton ombre et révéler ta lumière. Apprends à te connaitre, te libérer de tes cages, t'aimer et t'autoriser l'authenticité ! Rejoignez le programme juste ici : https://go.chloebloom.com/clair-obscur En quoi les critiques sont une opportunité extraordinaire de nous connaître et de nous aimer ? Comment ceux qui nous mettent en réaction et nous agacent sont ceux qui nous font travailler notre ombre ? Ecoute cet épisode, pour Comprendre le travail de l'ombre au quotidien Apprendre à rebondir après une critique Mieux te connaitre et t'aimer entièrement Pour aller plus loin... (gratuitement) Tu peux faire les exercices d'approfondissement proposés + Télécharger la transcription de l'épisode ! Si tu veux me laisser un petit mot doux, c'est ici pour mettre un avis sur le podcast
“Qu'y a-t-il de plus normal que de retrouver inscrits dans la littérature les deux actes par lesquels se distingue l'espèce humaine : manger et parler ?”, se demande Ronald W. TOBIN, dans un texte intitulé “Qu'est-ce que la gastrocritique ?” Cette attention à la forme que peuvent prendre les textes gastronomiques, on la retrouve particulièrement chez Aïtor Alfonso et Ryoko Sekiguchi. Le premier est journaliste gastronomique et il tient fortement à l'idée de diversité des tons et des formats (y compris humoristiques) pour parler de la chose alimentaire. La seconde est poétesse et traductrice japonaise, et elle a notamment écrit “Nagori, la nostalgie de la saison qui s'en va”, un essai dans lequel elle interroge la place de l'alimentation dans notre rapport au temps qui passe. Avec eux, Émilie Laystary parle de renouvellement de la critique gastronomique, du danger qu'il y a à vouloir tout esthétiser dans les écrits culinaires, de l'importance de la sincérité du message et de gymnastique des mots. Une série qui se termine par les mots de Stéphane Méjanès, auteur de l'essai "Taille une plume — Croquons le critique gastronomique", qui nous parle d'une déclaration éthique du journalisme gastronomique, imaginée l'année dernière à l'occasion du 1er congres du journalisme gastronomique, qui s'est tenu à Minorque.Bouffons est un podcast de Nouvelles Écoutes Écrit et animé par Émilie Laystary avec l'aide de Diane LesieurMontage et mixage par Laurie Galigani Produit par Julien NeuvilleDirectrice Générale Adjointe : Nora HissemDirectrice Des productions : Marion GourdonDirectrice artistique : Aurore MahieuChargée de production : Diane LesieurVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Sur Internet, on critique désormais la nourriture à travers des outils plus immédiats, tels que les blogs et les réseaux sociaux. C'est la démocratisation du travail de critique. Désormais, tout le monde peut décider, avec plus ou moins de talent, plus ou moins de méthode, plus ou moins d'audience, de se lancer dans l'exercice de la critique. Ces nouveaux médias permettent en quelque sorte un renouvellement de la figure du critique, mais aussi un renouvellement du public. Chloé Vasselin tient Boui Boui, un blog qui met en avant des cantines populaires représentatives des cuisines des quatre coins du monde, où l'on mange des plats familiaux et roboratifs, pour seulement quelques poignées d'euros. Constance Lasserre, elle, chronique des restaurants sous le nom "Hungry Consti" sur Instagram, à travers des reels, ces formats courts qui lui permettent d'emmener avec elle au resto sa communauté. Dans cet épisode, Émilie Laystary leur tend le micro. L'occasion de parler des manières de valoriser des adresses hors radar mais aussi des effets néfastes que peut avoir, pour une cantine, une soudaine visibilité suite au coup de projecteur d'un très gros compte TikTok.Bouffons est un podcast de Nouvelles Écoutes Écrit et animé par Émilie Laystary avec l'aide de Diane LesieurMontage et mixage par Laurie Galigani Produit par Julien NeuvilleDirectrice Générale Adjointe : Nora HissemDirectrice Des productions : Marion GourdonDirectrice artistique : Aurore MahieuChargée de production : Diane LesieurVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Après la Révolution française, la gastronomie se transforme. Elle n'est plus réservée aux nobles et se démocratise auprès de la bourgeoisie. C'est à cette époque que naissent les premières chroniques culinaires, des textes qui vont contribuer à transmettre les bonnes mœurs et le bon goût à la bourgeoisie.Le critique culinaire a alors l'étoffe d'un expert. Cette posture de « sachant » en fait parfois une figure redoutée, notamment par les restaurateurs et restauratrices qui ne savent pas à quelle sauce ils vont être mangés. Tout se passe comme si le sort d'un restaurant ne reposait que sur l'avis qu'allait pouvoir se faire un critique gastronomique d'un plat qu'on lui aura servi, un jour où il aurait eu l'idée tout seul de passer la porte d'un établissement. Voilà la version fantasmée des choses.Car à l'ère de l'ultra-communication et de l'hyper-compétitivité, la réalité du secteur est légèrement différente. À l'instar du monde de la musique, le monde de la restauration fonctionne désormais de plus en plus avec des agences de relation presse, soit des agences de communication qui aident les chefs à pouvoir gagner en visibilité auprès des médias.Ce fonctionnement en service RP, le chef Guillaume Sanchez, du restaurant étoilé Neso, veut le démystifier. Lui qui a eu, longtemps, recours à ce genre de service, a choisi récemment de s'en défaire, après quelques mauvaises expériences avec des critiques culinaires dont il souhaite aujourd'hui dénoncer l'impolitesse et la désinvolture.Dans cet épisode, Émilie Laystary lui tend le micro afin de recueillir ses pires expériences avec des critiques culinaires sans gêne. Elle s'entretient ensuite avec l'auteur et consultant Nicolas Chatenier, qui a écrit récemment « La clé anglaise » (Ed. Menu Fretin), à propos du classement 50 Best et de la place géopolitique de la gastronomie française.Bouffons est un podcast de Nouvelles Écoutes Écrit et animé par Émilie Laystary avec l'aide de Diane LesieurMontage et mixage par Laurie Galigani Produit par Julien NeuvilleDirectrice Générale Adjointe : Nora HissemDirectrice Des productions : Marion GourdonDirectrice artistique : Aurore MahieuChargée de production : Diane LesieurVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
INTERVIEW - A l'occasion du Festival d'Angoulême qui célèbre chaque année le 9e art, Virginie Girod reçoit Sébastien Bordenave, spécialiste de la bande dessinée à Europe 1, pour retracer l'histoire de la BD, des illustrés à la création de la BD moderne avec des héros comme Tintin entre la fin du XIXe siècle et la Première Guerre mondiale. Le chroniqueur radio s'appuie sur l'ouvrage "La bande dessinée à la belle époque de 1880 à 1914" de Thierry Groensteen (Editions Les Nouvelles impressions) pour raconter les débuts de la BD, avec les premières "histoires en images" que l'on trouvait dans les journaux, puis comment Hergé a inventé le personnage mythique de Tintin, ou encore la représentation des femmes dans les dessins des BD du début du XXe siècle. "Quand on lit des BD de la Belle époque, on a l'impression d'être sur une autre planète. On peut tomber sur des dessins d'un racisme, d'un machisme, d'un antisémitisme hallucinants...", décrypte Sébastien Bordenave.Sujets abordés : histoire de la bande dessinée - histoire du livre - caricatures dessin - BD satyriques - littérature belle époque - Hergé - Tintin