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Après sept mois d’angoisse, le Québécois impliqué dans un accident mortel en Espagne pourra retrouver son passeport et ainsi revenir au pays. Entrevue avec Mathieu Béland, Québécois impliqué dans un accident mortel en Espagne.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Guerre commerciale: Trump lance le coup d’envoi de ses nouveaux tarifs | Le Québécois impliqué dans un accident mortel en Espagne pourra enfin rentrer au pays | Un «top gun » de moins à Santé Québec Dans cet épisode intégral du 03 février, en entrevue : Mathieu Béland, Québécois impliqué dans un accident mortel en Espagne. Julie White, présidente-directrice générale de Manufacturiers et Exportateurs du Québec. Gaétan Barrette, ancien ministre de la Santé. Pascale Renaud-Hébert, comédienne. Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Voila, de voorlaatste KerstFrest
Mathieu is ne loser
een verschrikkelijke date
durée : 00:35:02 - Les Nuits de France Culture - par : Christine Goémé - - réalisation : Lise Côme
On retrouve Helen Faradji, Coralie La Perrière et Godefroy Laurendeau alors qu'on discute d'aliments hautement transformés, du nouveau monde post-20 janvier et du film The Brutalist avec Adrian Bodry. Avec l'autrice Camille Giguère-Coté et l'essayiste Mathieu Bélisle on présente la pièce Le show beige présentée au Théâtre La Licorne et en fin d'épisode, Fred explique sa décision de ne pas partager un plateau télé avec Stéphane Bureau.
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nieuwe wereld
Roosje is een ster nu en toch wil ze nog komen.
Épisode bonus de l'Action de Grâce avec Mathieu Bélisle et l'autrice Sarianne Cormier qui viennent discuter de la pièce Julie à l'affiche présentement au Théâtre La Licorne. Bonus dans le bonus: Fred et Sarianne ont déjà joué ensemble une scène mythique du cinéma québécois et se la remémorent pendant 12 secondes !
We bespreken Men Who Hate Women van Laura Bates.
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Vandaag lezen we de bijbel
Lieven zet ons aan het denken
Roosje to the rescue
On rejoint Mélikah Abdelmoumen en France alors qu'elle nous relate ce qu'elle a vécu lors des 2 tours des élections législatives françaises. En deuxième partie d'épisode, on découvre les nouveaux numéros de L'Inconvénientet du magasine Spiraleen compagnie de Mathieu Bélisle, Sarah-Louise Pelletier-Morin et Katrie Chagnon. On termine la saison en chanson avec une pépite des années 80 !
sorry voor het Frans
wie heeft er gisteren gewonnen btw?
zelfverklaard sociaal genie
dank u reinart
ik heb een cool huis ok hebt ge het gehoord
Dank u voor de aflevering jongens
Un épisode qui telle une macédoine, offre une foule de saveurs variées allant d'Helen Faradji en visite à Cannes, de Mathieu Bélisle nommé penseur en résidence à la Licorne, de Coralie LaPerrière qui chronique sur le pragmatisme ou encore le chercheur Lucas Bergeron qui nous partage ses travaux sur la grand-parentalité. Et en conclusion, une intervention de la progéniture savardienne !
durée : 00:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Poésie sur parole - Récital Mathieu Bénézet (1ère diffusion : 12/04/1997)
En première partie d'épisode, les professeur.es Mathieu Bélisle, Isabelle Arseneau et l'essayiste Yvon Rivard profitent de la sortie du nouveau numéro de l'Inconvénient pour discuter d'apocalypse, d'espoir et du caractère messianique de Catherine Dorion qui croise la route intellectuelle de Pierre Vadeboncoreur. En 2ième partie, Godefroy Laurendeau nous surprend avec une chronique économique sur la faible productivité du Québec en prenant exemple sur l'industrie des jeux vidéos. Et à la toute fin, Fred comprend enfin ce que voulait dire Michael Stipe en 1987 !
En compagnie de Mathieu Bélisle, on rencontre la journaliste Toula Drimonis pour son livre "Nous, les autres", une plongée dans l'histoire de l'immigration au Canada à travers son parcours familial, elle fille d'immigrant grec. Protection de la langue française, laïcité, minorité anglophone, Toula nous permet une discussion franche qui nous oblige à revoir nos positions sur l'immigration et la protection de la langue en pleine "crise" des réfugié.es.
Les polémiques qui éclatent dans les médias et réseaux sociaux sont maintenant monnaie courante mais la qualité égale rarement la quantité. Le chercheur Alex Gagnon a publié il y a quelques temps l'essai Les Déchirures: essais sur le Québec contemporain qui analyse finement les arguments et la rhétorique mise de l'avant par des polémistes comme Richard Martineau, Mathieu Bock-Côté ou des universitaires comme Francis Dupuis-Déry. On en discute avec l'auteur ainsi que l'éditeur et essayiste Mathieu Bélisle qui ne partage pas tous les constats qu'on retrouve dans le livre. Les Déchirures demeure essentiel pour comprendre comment s'articule les différentes polémiques qui animent la société québécoise d'aujourd'hui.
Dans cet épisode festif, on reçoit l'essayiste Jérôme Cotte, professeur de philosophie au collégial et auteur de "Oser l'humour éthique", un essai sous forme de dialogue entre humoristes d'aujourd'hui et grandes figures de la philosophie qui ont réfléchi sur l'humour. On reçoit d'ailleurs Christian Vanasse cité dans l'essai, ainsi que les bons voeux d'Helen Faradji, God Laurendeau et Mathieu Bélisle !
Un épisode consacré au documentaire Au-delà du papier de la réalisatrice Oana Suteu Khintirian qui sort en ligne aujourd'hui sur le site de l'Office Nationale du film. En compagnie d'Oana, de l'essayiste Mathieu Bélisle et du médiéviste Gordon Blennemann de l'Université de Montréal, on réfléchit au passage de l'ère de l'imprimerie au monde numérique, un monde qui transforme les identités personnelles et collectives ainsi que la mémoire, la transmission des savoirs, le rapport au temps et la civilisation.
durée : 00:59:26 - Yeliz Trio - par : Alex Dutilh - Yeliz Trio, c'est la rencontre entre Karsten Hochapfel (violoncelle), Mathieu Bélis (piano/compositions) et Thomas Ostrowiecki (batterie/électronique). Leur nouvel opus, “The Wanderer”, évolue vers un jazz contemporain aux influences urbaines.
Un 2ième épisode qui s'ouvre avec une discussion sur le résultat de l'élection partielle de Jean-Talon à Québec avec Mathieu Bélisle; God Laurendeau est un peu sonné de l'annonce du projet Northvolt à McMasterville mais est également rempli d'espoir; On reçoit Jean-Félix Chénier et Yoakim Bélanger qui ont conçu le magnifique essai-graphique Résister et fleurir et on discute du dernier # de L'Inconvénient sur le thème du voyage avec Sarah-Louise Pelletier-Morin.
Mathieu est un cycliste élite qui est autant habile sur son vélo de montagne et celui de gravel. Il nous parle des spécificités de l'entraînement pour ces sports, de ses stratégies de nutrition et nous raconte quelques anecdotes de ses aventures sur la selle. « upikapodcast » pour 10% de rabais sur votre première commande au https://upika.ca/Pour suivre Mathieu: https://www.instagram.com/mathbelangerb/?hl=enPour nous suivre: https://www.instagram.com/upikasports/ https://www.instagram.com/upikapodcast/
Un épisode festif où on réunit dans la cour de Fred Mathieu Bélisle, Mélikah Abdelmoumen, Éric Bédard ainsi que le spécialiste en bibliothéconomie et archivistique Nino Gabrielli et l'homme de lettres Nicholas Giguère. Ensemble, on revient sur certains éléments problématiques du documentaire L'Osstidquoi? L'Osstidcho! diffusé récemment à Télé-Québec. L'épisode culmine avec une chronique coup de gueule de Mathieu Bélisle sur le (non)pays qu'est le Canada et/ou le Québec et une discussion enflammée ensuite qui participe à faire de cet épisode un jalon épique dans l'histoire de la balado.
Fred se montre sceptique envers la "réforme" scolaire annoncée par le gouvernement de François Legault. Godefroy Laurendeau revient du Mexique sans trop de culpabilité pour nous expliquer ce qui nous attend en lien avec les inondations qui s'abattent sur le Québec ce printemps. Et on clôt l'épisode avec un percutant plaidoyer de Mathieu Bélisle en faveur de tous les corps professoraux du Québec !
La joie ardue de « L'Art de la joie » Bookmakers #23 - L'invité du mois : Frédéric MartinFils d'un marin et d'une ouvrière, enfant des quartiers nord de Marseille et des paysages tahitiens, Frédéric Martin, 48 ans, a fondé en 2012 les éditions Le Tripode. Cette petite maison indépendante basée à Paris (quatre salarié·e·s) compte parmi les plus respectées du milieu pour l'originalité de son catalogue, sa rigueur textuelle et la beauté graphique de ses ouvrages. « Je publie, dit-il, des auteurs très libres, presque anars, pas mondains. Très peu de Parisiens. Des chats sauvages. » Parmi près de 250 titres et environ 20 nouveautés par an, citons l'Estonien Andrus Kivirähk et son « Homme qui parlait la langue des serpents » (75 000 exemplaires vendus en France depuis 2013, Grand Prix de l'Imaginaire), Valérie Manteau (prix Renaudot 2018 pour « Le Sillon », 72 000 exemplaires vendus), Bérengère Cournut (prix du roman Fnac 2019 pour « De pierre et d'os », 150 000 exemplaires écoulés), et Mathieu Bélézi, lauréat 2022 du prix du journal Le Monde avec « Attaquer la terre et le soleil ». Ou encore : des peintures rares d'Hugo Pratt, les vers « luisants » de Brigitte Fontaine et les contes macabres d'Edward Gorey. Il se demande souvent : pourquoi publier quelque chose qui existe déjà ? Frédéric Martin (2/3)C'est un chef-d'œuvre envoûtant de la littérature italienne, qui fut d'abord refusé par tous les éditeurs de son pays puis sauvé de l'oubli par une poignée d'amoureux transis, dont Frédéric Martin. En 2005, grâce à son acharnement au cœur des éditions Viviane Hamy, la résurrection française de « L'Art de la joie » de Goliarda Sapienza, traduit par Nathalie Castagné, devient un événement en librairies. En deux ans, il se vend 100 000 exemplaires et quinze traductions de ce merveilleux roman d'émancipation de 600 pages, écrit en 1967 et 1976 par une Sicilienne qui mourut dans la misère sans l'avoir vu publié. Réédité par le Tripode, il s'en écoulera de nouveau 115 000 copies rien que dans l'Hexagone et lancera la traduction de l'œuvre intégrale, qui se poursuit d'année en année.Dans ce deuxième épisode, Frédéric Martin raconte les coulisses de ce best-seller, son départ de chez Viviane Hamy avec l'arrogance d'un « enfant gâté », puis sa rencontre avec Benoît Virot et la naissance des éditions Attila. De 2009 à 2013, ce fabuleux tandem de bêtes de travail expérimente une idée du métier où l'éditeur « fait tout » (corrections, graphisme, attaché de presse, jusqu'au choix de la teinte et du grammage du papier), au service d'œuvres inclassables ressorties des limbes, signées Edgar Hilsenrath ou Jacques Abeille. Comme une sorte de prélude à l'aventure du Tripode. Enregistrements : janvier 23 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Samuel Hirsch - Montage, réalisation, mixage : Thomas Loupias - Musiques originales : Thomas Loupias, Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Elena Zenone - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Nina Stavisky, et le public du Palais de Tokyo - Production : ARTE Radio - Thomas Loupias, Samuel Hirsch
Un éditeur indépendant qui trace son sillon Bookmakers #23 - L'invité du mois : Frédéric MartinFils d'un marin et d'une ouvrière, enfant des quartiers nord de Marseille et des paysages tahitiens, Frédéric Martin, 48 ans, a fondé en 2012 les éditions Le Tripode. Cette petite maison indépendante basée à Paris (quatre salarié·e·s) compte parmi les plus respectées du milieu pour l'originalité de son catalogue, sa rigueur textuelle et la beauté graphique de ses ouvrages. « Je publie, dit-il, des auteurs très libres, presque anars, pas mondains. Très peu de Parisiens. Des chats sauvages. » Parmi près de 250 titres et environ 20 nouveautés par an, citons l'Estonien Andrus Kivirähk et son « Homme qui parlait la langue des serpents » (75 000 exemplaires vendus en France depuis 2013, Grand Prix de l'Imaginaire), Valérie Manteau (prix Renaudot 2018 pour « Le Sillon », 72 000 exemplaires vendus), Bérengère Cournut (prix du roman Fnac 2019 pour « De pierre et d'os », 150 000 exemplaires écoulés), et Mathieu Bélézi, lauréat 2022 du prix du journal Le Monde avec « Attaquer la terre et le soleil ». Ou encore : des peintures rares d'Hugo Pratt, les vers « luisants » de Brigitte Fontaine et les contes macabres d'Edward Gorey. Il se demande souvent : pourquoi publier quelque chose qui existe déjà ? Frédéric Martin (1/3)C'est l'heure de l'éditeur. Trois ans – pile – après la création de ce podcast, il était temps d'interroger en profondeur un « bookmaker », un vrai. Un « faiseur de livres », qui supervise toutes les étapes de leur fabrication, de la réception du manuscrit à l'arrivée en librairies. Qui de mieux, alors, pour prendre un peu de hauteur sur ces questions cruciales, qu'un éditeur autoproclamé « d'ovnis » ? Mais comment ce workaholic échevelé a-t-il appris son métier ? Quelles furent les leçons de sa première patronne, Viviane Hamy, pour laquelle il fut sept ans durant « l'homme à tout faire » des éditions du même nom ? Par quel hasard ce vendeur de « bombes à retardement », selon la formule de Francis Ponge, s'est-il choisi « pour mentor, pour papa » l'un des éditeurs les plus sulfureux d'après-guerre, Jean-Jacques Pauvert – auquel il emprunta cet autre mantra, qui sonne comme une mission : « Ouvrir un lieu d'asile aux esprits singuliers » ? C'est le sujet de ce premier épisode, qui trace le sillon. Enregistrements : janvier 23 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Samuel Hirsch - Montage, réalisation, mixage : Thomas Loupias - Musiques originales : Thomas Loupias, Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Elena Zenone - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Nina Stavisky et le public du Palais de Tokyo - Production : ARTE Radio - Thomas Loupias, Samuel Hirsch
Road-Tripode ou la vraie vie d'un éditeur Bookmakers #23 - L'invité du mois : Frédéric MartinFils d'un marin et d'une ouvrière, enfant des quartiers nord de Marseille et des paysages tahitiens, Frédéric Martin, 48 ans, a fondé en 2012 les éditions Le Tripode. Cette petite maison indépendante basée à Paris (quatre salarié·e·s) compte parmi les plus respectées du milieu pour l'originalité de son catalogue, sa rigueur textuelle et la beauté graphique de ses ouvrages. « Je publie, dit-il, des auteurs très libres, presque anars, pas mondains. Très peu de Parisiens. Des chats sauvages. » Parmi près de 250 titres et environ 20 nouveautés par an, citons l'Estonien Andrus Kivirähk et son « Homme qui parlait la langue des serpents » (75 000 exemplaires vendus en France depuis 2013, Grand Prix de l'Imaginaire), Valérie Manteau (prix Renaudot 2018 pour « Le Sillon », 72 000 exemplaires vendus), Bérengère Cournut (prix du roman Fnac 2019 pour « De pierre et d'os », 150 000 exemplaires écoulés), et Mathieu Bélézi, lauréat 2022 du prix du journal Le Monde avec « Attaquer la terre et le soleil ». Ou encore : des peintures rares d'Hugo Pratt, les vers « luisants » de Brigitte Fontaine et les contes macabres d'Edward Gorey. Il se demande souvent : pourquoi publier quelque chose qui existe déjà ? Frédéric Martin (3/3)Au risque de briser le mystère, révélons que Frédéric Martin lit tous les manuscrits qu'il reçoit, au lit, dans sa maison bretonne, en fumant la pipe. Tel Bilbo le Hobbit, il attend la rencontre. Quand le flash a lieu, et parce l'éditeur doit, selon lui, « être plusieurs à la fois », ce n'est que le début d'une longue série d'étapes – textuelles, visuelles, économiques – à chaque fois personnalisées, que nous allons parcourir lors de ce troisième et dernier épisode.Il sera question, en vrac, des « échafaudages » que l'auteur·e doit apprendre à retirer pour découvrir qu'un roman tient debout sans eux. D'une coupe essentielle en révisant « Ouest » de François Vallejo. De la diplomatie (ou non) en période de corrections. Du travail de la phrase « par sédimentation » chez Marc Graciano. D'écrivains trop beaux parleurs en période de promo. D'une prime aux auteur·e·s de la maison quand l'un·e remporte un prix littéraire important. Ou de risques financiers savamment calculés en publiant, pour la première fois au monde, les 781 gouaches et tous les textes du monumental « Vie ? ou Théâtre ? » de la peintre allemande Charlotte Salomon. Un labeur quotidien, sept jours sur sept, qui finit par le « broyer », mais que Frédéric Martin aborde avec « le calme des vieilles troupes ». Et, dans sa sacoche, cette phrase-talisman de Charlotte Salomon : « J'appris à suivre tous les chemins et j'en devins un moi-même. » Nota bene : cette conversation aurait dû avoir lieu en public, en décembre dernier, lors des 20 ans d'ARTE Radio au Palais de Tokyo, à Paris. Une grève SNCF en a décidé autrement. Certaines personnes présentes ce soir-là ont pourtant souhaité poser des questions au Tripodeur en chef. Elles émaillent le dialogue qui va suivre. Enregistrements : janvier 23 - Entretien, découpage : Richard Gaitet - Prise de son : Samuel Hirsch - Montage, réalisation, mixage : Thomas Loupias - Musiques originales : Thomas Loupias, Samuel Hirsch - Lectures : Emma Bouvier, Elena Zenone - Illustration : Sylvain Cabot - Remerciements : Nina Stavisky et le public du Palais de Tokyo - Production : ARTE Radio - Thomas Loupias, Samuel Hirsch
C'est enfin le moment de dévoiler les résultats de la grande consultation sur l'avenir de la balado effectuées cet hiver auprès de la communauté de la balado en compagnie d'Helen Faradji, God Laurendeau, Mathieu Bélisle et les maîtres d'oeuvre de cette cartographie conceptuelle signée Polygone.
Mathieu Bélisle nous partage son amour de la culture russe et nous dit pourquoi la guerre scélérate de Vladimir Poutine ne doit pas faire ombrage à l'apport des oeuvres russes des siècles passés au patrimoine culturel mondial. On s'entretient aussi avec Denis Lakine, un russo-québécois installé à Paris qui nous offre une brillante analyse de la guerre menée par Poutine en Ukraine et ce qui attend la Russie quand le conflit sera fini.
Sarah Bergeron-Larouche n'a plus besoin d'introduction dans le monde de la trail québécoise! Depuis plus d'une décennie, l'athlète de Saint-Ferréol-les-Neiges est imbattable sur les courses allant de 30 à 65 km, elle qui cumule les victoires partout où elle passe. L'année 2023 s'annonce comme celle du changement pour la chiropraticienne, qui se tourne vers de nouveaux partenaires et de nouvelles distances! En effet, Sarah amorce une transition vers les ultras de 100 km, alors qu'elle participera à différents événements qui pourraient la mener jusqu'à la CCC dans le cadre de la finale de l'UTMB World Series. Récemment, elle a fait sa première tentative lors de la Bandera 100k, une course rapide et brutale dans l'État du Texas. Sarah a également profité du changement d'année pour annoncer son départ de l'écurie Salomon, qui est son commanditaire principal depuis près de 10 ans. Elle m'explique le processus qui a mené à cet important changement et de la série de tests qu'elle a effectués qui l'ont mené jusqu'à joindre les équipes de Norda et Chance Running. Le sujet des sponsors chez les traileurs et traileuses élites est peu abordé, et c'est hyper intéressant de découvrir comment ça se passe de l'intérieur. Une athlète sympathique, pétillante et pertinente à découvrir dès maintenant! Bonne écoute.CréditsDesign graphique : David HébertThème musical : Frédérick DesrochesCrédit photo : Mathieu Bélanger-BarretteIdée originale, production, recherche et animation : Yannick Vézina© Pas sorti du bois 2023