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Aujourd'hui je reçois Julie Boureau, cofondatrice de Ramdam Social, une jeune entreprise à mission qui transforme nos achats du quotidien en aides concrètes pour les personnes en situation de précarité. Julie nous raconte comment avec son associé Luc-Olivier ils ont mixé leurs expériences dans la grande consommation à leur envie d'avoir un impact social fort, en redistribuant jusqu'à 10 % du chiffre d'affaires de l'entreprise à des associations comme le Samu Social ou le Secours Populaire.Elle revient sur la rapidité de développement de la marque, leur “ambition” et convictions qui ont déjà convaincu plusieurs grandes enseignes (Carrefour, Leclerc, Franprix, Monop' etc.) et nous explique comment ce succès repose sur un modèle “produit-partage” simple. Ce sont des produits gourmands, fabriqués en France, accessibles en prix et qui soutiennent directement des actions solidaires.La discussion nous amène à parler de l'importance de nouer des relations de confiance avec les producteurs et les distributeurs ou encore les dessous de la création de l'identité de marque positive, colorée et joyeuse et sans culpabilisation de Ramdam Social.Un témoignage inspirant pour toutes celles et ceux qui veulent conjuguer business et solidarité dans un même élan.Encore merci à Julie pour ce moment, je vous souhaite une bonne écoute de cette conversation.Ressources citées :Site web : ramdamsocial.euLinkedIn : Julie BoureauLes associations partenaires : Secours Populaire Paris & GirondeSamusocial de ParisLes Banques alimentairesLinkee entraide étudianteRetrouvez toutes les associations partenaires de Ramdam Social sur leur site web.Si vous avez aimé cet épisode :Sophie Moritel, Quiet : du bruit au silenceFlorian Blanc, Geev : pourquoi jeter quand on peut donner ?Avant de partirCela me ferait plaisir aussi d'avoir de vos nouvelles, vous pouvez me contacter sur Linkedin ou Instagram.Si cet épisode vous a été utile, pensez à vous abonner sur votre app' de podcast préférée comme Apple Podcasts ou Spotify.D'ailleurs si le podcast vous plaît et que vous souhaitez me le dire, le meilleur moyen c'est de laisser un avis 5 étoiles sur Apple Podcasts. Allez-y ça ne coûte rien et m'aide beaucoup!
Hausse des passages aux urgences, pénurie de soignants, incidents graves et défauts de prises en charge… Les services des urgences, véritable porte d'entrée de l'Hôpital en France, sont en train d'imploser, et ce, en dépit de la promesse, formulée en avril 2023 par Emmanuel Macron, qui promettait alors de désengorger les Urgences d'ici fin 2024. L'été dernier (2024), tandis que de nombreux services d'urgences ont dû fermer temporairement, d'autres ont mis en place un accès « régulé », invitant les patients à appeler au préalable le Samu avant de se rendre aux urgences. Ailleurs encore, des associations de médecins retraités s'organisent afin de reprendre du service et de donner un coup de main à leurs successeurs.Comment faire face à cette crise des urgences ? Comment éviter la saturation de ces services ? Comment répondre à la pénurie de soignants et rendre le métier d'urgentiste plus attrayant pour les étudiants en médecine ? Pr Frédéric Adnet, chef de service du Samu 75 - Smur Hôpital Necker-Enfants malades au sein du groupe hospitalo-universitaire Dr Suzanne Tartière, médecin retraitée, elle a travaillé pendant 30 ans au SAMU de Paris et pendant 15 ans au Samu Social de Paris. Secrétaire générale de l'association Les Transmetteurs Catherine Simonin, membre de France Assos Santé, association de défense des patients. Représentante de la Ligue nationale contre le cancer Dr Mathilde Winter, cheffe du service des urgences de l'Hôpital de Carpentras dans le Vaucluse. Programmation musicale :► Oumou Sangare – Bi furu ► Fabio Ramos – Um calice d'inha terra.
Hausse des passages aux urgences, pénurie de soignants, incidents graves et défauts de prises en charge… Les services des urgences, véritable porte d'entrée de l'Hôpital en France, sont en train d'imploser, et ce, en dépit de la promesse, formulée en avril 2023 par Emmanuel Macron, qui promettait alors de désengorger les Urgences d'ici fin 2024. L'été dernier (2024), tandis que de nombreux services d'urgences ont dû fermer temporairement, d'autres ont mis en place un accès « régulé », invitant les patients à appeler au préalable le Samu avant de se rendre aux urgences. Ailleurs encore, des associations de médecins retraités s'organisent afin de reprendre du service et de donner un coup de main à leurs successeurs.Comment faire face à cette crise des urgences ? Comment éviter la saturation de ces services ? Comment répondre à la pénurie de soignants et rendre le métier d'urgentiste plus attrayant pour les étudiants en médecine ? Pr Frédéric Adnet, chef de service du Samu 75 - Smur Hôpital Necker-Enfants malades au sein du groupe hospitalo-universitaire Dr Suzanne Tartière, médecin retraitée, elle a travaillé pendant 30 ans au SAMU de Paris et pendant 15 ans au Samu Social de Paris. Secrétaire générale de l'association Les Transmetteurs Catherine Simonin, membre de France Assos Santé, association de défense des patients. Représentante de la Ligue nationale contre le cancer Dr Mathilde Winter, cheffe du service des urgences de l'Hôpital de Carpentras dans le Vaucluse. Programmation musicale :► Oumou Sangare – Bi furu ► Fabio Ramos – Um calice d'inha terra.
115 : c'est le numéro qu'il faut composer pour tenter de trouver un hébergement d'urgence pour la nuit. Elles sont nombreuses, femmes enceintes ou mamans d'enfants en bas âge, à espérer un abri. À attendre qu'on les soulage, pour ne pas retourner à la rue et à ses incertitudes. Il peut s'écouler plusieurs heures avant qu'elles obtiennent une réponse défavorable dans 70% des cas. Chaque jour à Paris, près de 40 000 places, dans des centres ou des hôtels sociaux, sont attribuées. C'est loin d'être suffisant face à une demande qui explose. En cause : le manque de logements sociaux et de solutions pérennes pour désengorger le circuit de l'urgence. Au Samu Social, créé il y a tout juste 30 ans pour lutter contre la grande exclusion,On a l'impression d'écoper l'océan avec une cuillère, et une toute petite cuillère qui plus est.► Un reportage de Charlie Dupiot au sein de la plateforme du 115, auprès d'écoutantes dévouées, mais débordées, dans le centre Babinski à Ivry-sur-Seine où sont accueillies des personnes âgées souffrant de pathologies sévères, et à la Halte de l'Hôtel de Ville dédiée aux femmes particulièrement vulnérables dehors. (Rediffusion)
115 : c'est le numéro qu'il faut composer pour tenter de trouver un hébergement d'urgence pour la nuit. Elles sont nombreuses, femmes enceintes ou mamans d'enfants en bas âge, à espérer un abri. À attendre qu'on les soulage, pour ne pas retourner à la rue et à ses incertitudes. Il peut s'écouler plusieurs heures avant qu'elles obtiennent une réponse défavorable dans 70% des cas. Chaque jour à Paris, près de 40 000 places, dans des centres ou des hôtels sociaux, sont attribuées. C'est loin d'être suffisant face à une demande qui explose. En cause : le manque de logements sociaux et de solutions pérennes pour désengorger le circuit de l'urgence. Au Samu Social, créé il y a tout juste 30 ans pour lutter contre la grande exclusion,On a l'impression d'écoper l'océan avec une cuillère, et une toute petite cuillère qui plus est.► Un reportage de Charlie Dupiot au sein de la plateforme du 115, auprès d'écoutantes dévouées, mais débordées, dans le centre Babinski à Ivry-sur-Seine où sont accueillies des personnes âgées souffrant de pathologies sévères, et à la Halte de l'Hôtel de Ville dédiée aux femmes particulièrement vulnérables dehors. (Rediffusion)
115 : c'est le numéro qu'il faut composer pour tenter de trouver un hébergement d'urgence pour la nuit. Elles sont nombreuses, femmes enceintes ou mamans d'enfants en bas âge, à espérer un abri. À attendre qu'on les soulage, pour ne pas retourner à la rue et à ses incertitudes. Il peut s'écouler plusieurs heures avant qu'elles obtiennent une réponse, défavorable dans 70 % des cas. Chaque jour à Paris, près de 40 000 places, dans des centres ou des hôtels sociaux, sont attribuées. C'est loin d'être suffisant face à une demande qui explose. En cause : le manque de logement social et de solutions pérennes pour désengorger le circuit de l'urgence. Au Samu Social, créé il y a tout juste 30 ans pour lutter contre la grande exclusion, « on a l'impression d'écoper l'océan avec une cuillère, et une toute petite cuillère qui plus est. »► Retrouvez le reportage de Charlie Dupiot en intégralité dans Priorité Santé ici
Située tout près de Paris, c'est la seule ville du département de la Seine-Saint-Denis qui a mis en place une maraude de jour pour les personnes sans domicile. Avec le Samu social 93, une équipe de travailleurs sociaux professionnels va chaque jour au contact des SDF, déjà identifiés ou pas par les services sociaux de la ville. L'objectif de ces maraudes de jour est de nouer le contact avec un public en situation de rue sur l'ensemble du département. Une tâche quotidienne qui permet de donner du réconfort, de l'aide en nature, mais aussi et surtout d'identifier les besoins et d'orienter les sans-abris vers les services compétents en matière d'actions sociales. Un travail de longue haleine parfois accompagné de pas mal de frustration tant le manque de moyen est de plus en plus ressenti par les intervenants sociaux.À lire aussiReportage au Samu Social de Paris: urgence face à la précarité
En France, l'avenir de l'aide médicale de l'État inquiète les organisations d'aide sociale et humanitaire. Le gouvernement s'est engagé à réformer l'AME cette année. La loi immigration en prévoit la suppression, pour les étrangers en situation irrégulière. Des personnes qui passent, souvent, par le Samu social, pour être orientées vers les services de soins les mieux adaptés. À lire aussiReportage au Samu Social de Paris: urgence face à la précarité
Des cartons entassés et formant un abri... Avec sur chacun des cartons un prénom. Ce happening était organisé ce mardi 21 novembre 2023, place Louis Pradel, à deux pas de la Mairie de Lyon, en face du prestigieux Opéra National. C'est l'association ALYNEA qui est à l'origine de cette action destinée à pointer du doigt le gros malaise lié au sans-abrisme. Il y a dans les rues du département 14 000 personnes sans solution d'hébergement. Des chiffres avancés par le SAMU SOCIAL, géré à Lyon par ALYNEA Pour en savoir plus, nous avons rencontré Pascal Isoard-Thomas. "Quand l'Abbé Pierre a lancé son appel en 1954, il y avait 2000 sans-abri à Paris. Aujourd'hui, il y en a... 14 000 dans le Rhône" nous rappelle le directeur d'ALYNEA. Le Samu social tire la sonnette d'alarme à Lyon. Les chiffres officiels indiquent qu'il y a aujourd'hui, dans le département, 14 000 personnes en attente d'hébergement. Nous avons rencontré Kamel. Cet homme, la quarantaine, a connu la rue, avant d'être aidé par ALYNEA. "Suite à une rupture sentimentale, je me suis retrouvé à la rue. C'est arrivé de façon précipitée car mon nom ne figurait pas sur le bail. La veille sociale est le tremplin nécessaire pour être orienté. Ce fut pour moi une bénédiction de rencontrer ALYNEA. J'ai intégré l'unité PolyGones et j'ai bénéficié d'un suivi. Ils m'ont accompagné sur le plan de la santé, sur le côté logement. Le logement que j'occupe aujourd'hui n'est pas encore à mon nom. C'est un bail glissant et prochainement, je devrais pouvoir le récupérer... La rue, c'est terrible. on est dans une insécurité complète. J'ai du au départ m'installer à l'extérieur de Lyon pour être à l'abri et dormir sereinement. On peut se faire voler et attaquer, y compris par des gens qui sont, eux aussi, à la rue." ALYNEA a décidé de sensibiliser les Lyonnais ET les pouvoirs publics. Les Lyonnais, car il y aurait, sur le territoire de la Métropole de Lyon, 53 000 logements vacants. Les pouvoirs publics, car la solution ne peut venir que d'un effort coordonné de l'Etat et des collectivités locales Pour Pascal Isoard-Thomas, directeur général d'ALYNEA, la région lyonnaise est en "état d'urgence sociale". "Le droit à l'hébergement d'urgence est reconnu par de nombreux textes. Le parc de l'hébergement d'urgence n'a jamais été aussi important, mais, pour autant, les délais ne cessent de s'allonger. Il y a des gens en grande marginalité mais il y a aussi des personnes isolées, en rupture familiale... Des personnes qui travaillent mais dorment dans leur voiture. Des migrants en attente de réponse de la préfecture ou de la CAF, leurs droits ne sont pas encore établis..." Alors quelles sont les solutions pour sortir de cette impasse ? Pour Pascal Isoard-Thomas, il faut créer de nouvelles places d'hébergement et envisager des solutions de long terme comme la construction de logements sociaux. Et les Lyonnais dans tout çà ? Comment peuvent-ils agir ? Le directeur d'ALYNEA lance un appel aux propriétaires de logements vacants. "Ils peuvent se rapprocher de nous... Car l'Etat nous donne les moyens de pouvoir les louer, assurer l'entretien... A condition que nous puissions les utiliser entre 5 et 10 ans. Cette solution intermédiaire nous permettrait d'attendre la construction de logements sociaux". ALYNEA a aussi lancé un appel aux dons. Pour participer, rendez-vous sur www.alynea.org
Ecoutez Un point, c'est tout ! du 21 novembre 2023 avec Alba Ventura.
Sébastien Roy et Sotieta Ngo : Sans Papiers, sans droit, sans abris Nicole De Moor, la secrétaire d'État à l'Asile et la Migration, responsable fédérale des questions migratoires, répétait encore qu'il fallait éloigner les personnes à qui a été refusé le permis de séjour sur notre territoire. Ce qui conduit à des situations catastrophiques dénoncées par une plateforme d'associations dont le CIRE et le Samu Social. Explications avec Sébastien Roy du Samu social (Bruxelles) et Sotieta Ngo du CIRE Merci pour votre écoute Le fin Mot c'est également en direct tous les jours de la semaine de 18h30 à 19h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Le fin Mot sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/23283 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
115 : c'est le numéro qu'il faut composer pour tenter de trouver un hébergement d'urgence pour la nuit. Elles sont nombreuses, femmes enceintes ou mamans d'enfants en bas âge, à espérer un abri. À attendre qu'on les soulage, pour ne pas retourner à la rue et à ses incertitudes. Il peut s'écouler plusieurs heures avant qu'elles obtiennent une réponse défavorable dans 70% des cas. Chaque jour à Paris, près de 40 000 places, dans des centres ou des hôtels sociaux, sont attribuées. C'est loin d'être suffisant face à une demande qui explose. En cause : le manque de logements sociaux et de solutions pérennes pour désengorger le circuit de l'urgence. Au Samu Social, créé il y a tout juste 30 ans pour lutter contre la grande exclusion,« on a l'impression d'écoper l'océan avec une cuillère, et une toute petite cuillère qui plus est. »► Un reportage de Charlie Dupiot au sein de la plateforme du 115, auprès d'écoutantes dévouées, mais débordées, dans le centre Babinski à Ivry-sur-Seine où sont accueillies des personnes âgées souffrant de pathologies sévères, et à la Halte de l'Hôtel de Ville dédiée aux femmes particulièrement vulnérables dehors.
115 : c'est le numéro qu'il faut composer pour tenter de trouver un hébergement d'urgence pour la nuit. Elles sont nombreuses, femmes enceintes ou mamans d'enfants en bas âge, à espérer un abri. À attendre qu'on les soulage, pour ne pas retourner à la rue et à ses incertitudes. Il peut s'écouler plusieurs heures avant qu'elles obtiennent une réponse défavorable dans 70% des cas. Chaque jour à Paris, près de 40 000 places, dans des centres ou des hôtels sociaux, sont attribuées. C'est loin d'être suffisant face à une demande qui explose. En cause : le manque de logements sociaux et de solutions pérennes pour désengorger le circuit de l'urgence. Au Samu Social, créé il y a tout juste 30 ans pour lutter contre la grande exclusion,« on a l'impression d'écoper l'océan avec une cuillère, et une toute petite cuillère qui plus est. »► Un reportage de Charlie Dupiot au sein de la plateforme du 115, auprès d'écoutantes dévouées, mais débordées, dans le centre Babinski à Ivry-sur-Seine où sont accueillies des personnes âgées souffrant de pathologies sévères, et à la Halte de l'Hôtel de Ville dédiée aux femmes particulièrement vulnérables dehors.
115 : c'est le numéro qu'il faut composer pour tenter de trouver un hébergement d'urgence pour la nuit. Elles sont nombreuses, femmes enceintes ou mamans d'enfants en bas âge, à espérer un abri. À attendre qu'on les soulage, pour ne pas retourner à la rue et à ses incertitudes. Il peut s'écouler plusieurs heures avant qu'elles obtiennent une réponse, défavorable dans 70 % des cas. Chaque jour à Paris, près de 40 000 places, dans des centres ou des hôtels sociaux, sont attribuées. C'est loin d'être suffisant face à une demande qui explose. En cause : le manque de logement social et de solutions pérennes pour désengorger le circuit de l'urgence. Au Samu Social, créé il y a tout juste 30 ans pour lutter contre la grande exclusion, « on a l'impression d'écoper l'océan avec une cuillère, et une toute petite cuillère qui plus est. »► Retrouvez le reportage de Charlie Dupiot en intégralité dans Priorité Santé ici
Les Beaux Quartiers, en mode sororité, c'est parti.Pour cet épisode sur la solidarité entre femmes dans les quartiers défavorisés, Raphal Yem reçoit la chanteuse Yseult. Elle est accompagnée d'Isabelle Giordano, déléguée générale de la Fondation BNP Paribas, de Anne Derycke, qui gère la communication au sein du SAMU SOCIAL de Paris. On croise également Blandine Clérin et Deborah Bafuanga de l'association Rev'Elles dont le QG se situe à Pantin, et enfin Dorothée Lesne, responsable du pôle féminin au sein de l'association APART, basée à Tremblay en France, qui accompagne les jeunes du territoire en situation de fragilité, dans leur insertion professionnelle par différentes actions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Émission du 8 février 2023- Explorer les zones blanches des cartes. D'après "Un livre blanc" de Philippe Vasset (lecture de Luigi) *octobre 2018- Habiter la rue (reportage par M.Cousin) *mars 2020- Patrick, chômeur 485 euros pour vivre en famille (reportage de Luigi) *janvier 2018- Zéro revenu, zéro loyer (Billet par Tyb) *mai 2020- « J'en ai marre de vivre en squat » (Reportage par Luigi) *mai 2020- La demande HLM (Paris, récits croisés par Namé, réal par le Frigo)*mai 2020- « C'était passé comme ça » (rencontre par le Frigo)* mars 2020Musiques :Bleu russe (feat M.Connard) – L'orage grondeRien Virgule - Apache
durée : 00:03:22 - Les Journaux de France Bleu Azur
C'est une réalité insupportable, et pourtant, en 2022 dans notre pays, 42 000 enfants sont sans domicile selon l'UNICEF. Doussou, vous a 28 ans. Il y a 20 ans, elle a dormi dans la rue avec son petit frère et sa mère, puis pendant plus de 7 ans elle a connu les hébergements d'urgence dans des hôtels et dans des logements sociaux. Aujourd'hui, elle s'en est sortie. Elle nous raconte comment elle a pu se construire malgré toutes ces épreuves. Pour répondre à vos questions sur les enfants SDF en France, nous recevons Vanessa Benoit, directrice générale du Samu Social de Paris.
Nous avons pu suivre la Croix Rouge Française lors d'une maraude canicule. Distribution d'eau fraîche, discussions, aide et orientation pour les personnes qui le demandent, sont à l'ordre du jour lors de ces maraudes spéciales canicule. La Croix Rouge se déplace dans toute la métropole lyonnaise afin d'aider les personnes sans domicile, en situation de précarité ou bien celles qui semblent fragiles. Camille, en service civique au Samu Social de la Croix-Rouge, nous explique comment se déroulent les maraudes canicule. Il s'agit de répondre aux signalements qui peuvent être faits au 115, et également de discuter avec les personnes qui le souhaitent, de les orienter pour ceux qui en ont besoin vers les maraudes mobiles qui proposent des produits alimentaires et d'hygiène. Pour certains c'est le moment pour parler, échanger, demander une orientation. Pour Camille, c'est aussi le moment de faire de la prévention sur la canicule et de leur rappeler les gestes à adopter lors de ces fortes chaleurs. Hélène, bénévole à la Croix Rouge depuis fin 2019, principalement au Samu Social et à la logistique, nous explique le parcours qui a été fait ce jour-là, et le principe d'« aller vers », très important lors de ces maraudes. Pour la Croix Rouge Française, en ce temps, il s'agit d'allier maraude canicule et maraude du soir qui consistent à faire de l'orientation auprès de tous les signalements qui ont été faits au 115, et de faire de l'exploration s'il n'y a pas de signalements, afin d'aider au mieux. Léo, stagiaire à la Croix Rouge depuis le début du mois de juillet, évoque les enjeux de ces maraudes canicule. Ecoutez le podcast
Et si… on parlait de pauvreté ?Aujourd'hui nous vous proposons de réfléchir autour du thème de la pauvreté.Pauvreté d'esprit, pauvreté d'âme, pauvreté de biens… La pauvreté est en fait une notion plurielle.Dans cet épisode, nous allons nous concentrer sur la pauvreté matérielle. Avec presque 1 milliard de personnes vivant sous le seuil de pauvreté en 2022, elle est un terrible fléau, que l'on a tendance à oublier, à mettre de côté. Certains la perçoivent également comme un problème insurmontable.Pourtant, si chacun laisse parler son sens de la solidarité, de la coopération, de l'altruisme, nous pouvons en venir à bout.Cela dit, cela nécessite une véritable révolution : à l'intérieur de nous bien entendu, mais aussi au niveau de l'éducation et des institutions. Une macro solution à un macro problème.Mais comment trouver la force intérieure de se lancer dans un tel challenge ? Xavier Emmanuelli, médecin urgentiste, co-fondateur de Médecins Sans Frontières et fondateur du Samu Social de Paris, et Matthieu Ricard, moine, scientifique, photographe et écrivain, nous aident à y voir plus clair sur le sujet et nous donnent des pistes d'actions à entreprendre pour que notre richesse intérieure contribue à la richesse matérielle de nos semblables. Laissons-nous inspirer, entraînons-nous au changement, et engageons-nous…Ensemble, relevons le défi de la pauvreté avec altruisme !Liens de référence:S'engager face à l'extrême pauvretéhttps://www.youtube.com/watch?v=wTGcMRJNmhE&list=PLQ4Wlj_j8wjj0CdDXbEUqVQZSiIwlkYBY&index=3Altruisme pour les générations futureshttps://www.youtube.com/watch?v=oVgROS00tKw&list=PLVcyaZWzRNOhBADNApeyB3unZnKUgNE5v&index=15Liens additionnels:https://karuna-shechen.org/fr/https://www.matthieuricard.org/blog/posts/s-engager-face-a-l-extreme-pauvrete-la-necessite-d-oeuvrer-a-un-monde-meilleurhttps://www.matthieuricard.org/articles/nous-avons-besoin-de-solidarite-la-viehttps://www.matthieuricard.org/blog/posts/comment-l-altruisme-peut-sauver-la-planete-partie-1https://www.matthieuricard.org/blog/posts/de-la-transformation-personnelle-au-changement-societal-partie-2Cultiver, promouvoir et agir pour l'altruisme:https://www.youtube.com/watch?v=QbTER5BsbV4Médecins sans frontières: qui sommes-nous ?https://www.youtube.com/watch?v=29F00ZynddkN'hésitez pas à partager :) Merci Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rdv avec le rappeur belge Isha, à l'occasion de la sortie de son album Labrador bleu ! Retour sur ses débuts, sa culture pointue de la géopolitique, son investissement au Samu Social jusqu'à la reconnaissance, après 20 ans de travail acharné dans le rap. Dans cet épisode, le champion de France de boxe Bakary Samake et le réalisateur Benoît Mariage offrent les vidéos-surprise ; et Dolores Bakela, le billet d'humeur.
Cette semaine, 500 reçoit Isha. Natif de Bruxelles, Isha voit le jour au milieu des années 80. Cadet d'une fratrie de cinq enfants, Isha est très tôt passionné par la musique et le rap en particulier. Les yeux rivés vers l'hexagone, il grandit en écoutant Salif ou encore le Secteur Ä. À la suite du divorce de ses parents, il est balloté entre leurs différents domiciles. En désaccord avec son père sur pas mal de sujets, Isha se considère comme étant un marginal et en 2006, il passera même par la case prison. Celui qui se faisait appelé Psmaker, rappe et prend du plaisir sans toutefois vivre de sa passion. Nous sommes en 2010 et Isha pose ses valises chez de la famille à Sarcelles. Il découvre une nouvelle famille et un tout autre environnement. Entre travail et errance, Isha peine à trouver sa voie. Ce n'est que plus tard, après un retour en Belgique que le public découvrira Isha le rappeur. Plébiscité pour son écriture, il a conquis un public qui se reconnaît à travers son vécu et ses paroles. Au fil d'une discussion riche en émotion, Isha se livre à cœur ouvert sur son passé, son avenir ainsi que les ambitions qui l'anime.
La Croix-Rouge du Pays de Morlaix et du Léon manque cruellement de bénévoles actifs pouvant accompagner les personnes en situation de précarité. Les missions diverses et les actions de solidarité multiples sont accessibles à tous les profils. Par ailleurs, elle organise sa braderie hivernale, le samedi 9 octobre, de 9h à 16h. Lors de cette journée, les articles vendus habituellement en Vestiboutique, comme le textile ou les chaussures seront proposés à moitié prix. Globalement, les tarifs des articles d'occasion iront de 0,50 € à 1,50 €. La braderie se tiendra au local de la Croix Rouge situé 10 rue Michel Bakounine à Morlaix. Les recettes de cette action seront injectées dans les activités récurrentes de secourisme et de vie associative. Et elles serviront également à mettre en place le projet de Samu Social prévu pour 2022. En audio. Morgann Cornec du secrétariat de l'unité locale de la Croix Rouge Pratique. Les personnes souhaitant devenir bénévoles sont invitées à contacter la Croix-Rouge du Pays de Morlaix et du Léon, 10 rue Michel Bakounine, 29600 MORLAIX . Tél. : 07 87 63 73 35 / Mail : ul.morlaix@croix-rouge.fr
La Croix-Rouge du Pays de Morlaix et du Léon manque cruellement de bénévoles actifs pouvant accompagner les personnes en situation de précarité. Les missions diverses et les actions de solidarité multiples sont accessibles à tous les profils. Par ailleurs, elle organise sa braderie hivernale, le samedi 9 octobre, de 9h à 16h. Lors de cette journée, les articles vendus habituellement en Vestiboutique, comme le textile ou les chaussures seront proposés à moitié prix. Globalement, les tarifs des articles d'occasion iront de 0,50 € à 1,50 €. La braderie se tiendra au local de la Croix Rouge situé 10 rue Michel Bakounine à Morlaix. Les recettes de cette action seront injectées dans les activités récurrentes de secourisme et de vie associative. Et elles serviront également à mettre en place le projet de Samu Social prévu pour 2022. En audio. Morgann Cornec du secrétariat de l'unité locale de la Croix Rouge Pratique. Les personnes souhaitant devenir bénévoles sont invitées à contacter la Croix-Rouge du Pays de Morlaix et du Léon, 10 rue Michel Bakounine, 29600 MORLAIX . Tél. : 07 87 63 73 35 / Mail : ul.morlaix@croix-rouge.fr
L'institution du mariage a un caractère sacré, au sein de la société marocaine et dans l'esprit de la plupart des citoyens marocains. Encore aujourd'hui, les relations sexuelles hors mariage (pourtant pratiquées par de nombreuses personnes) sont prohibées par la loi et punies par l'application de sanctions pénales lourdes, pouvant aller jusqu'à des peines de prisons fermes. En pratique, ces textes s'appliquent bien différemment aux hommes et aux femmes, aboutissant à des situations d'inégalités très fortes et à la violation de droits individuels tels que le droit à la sexualité et le droit à la maternité, qui sont pourtant des droits garantis par les conventions internationales ratifiées par le Maroc et approuvées par la Constitution marocaine. Au Maroc, les mères célibataires sont perçues par une grande partie de la société comme ayant transgressé les valeurs morales collectives, les coutumes, la norme religieuse et ayant menacé l'institution de la famille et du mariage. Cette perception exclu les mamans, et les enfants tous deux discriminés, marginalisés et abandonnés. Je précise que souvent, ces femmes sont déjà vulnérables de part leur situation socio-économique. Dans les pires situations, certaines femmes avortent dans des conditions sanitaire et médicales dramatiques et illégalement, puisque l'avortement est puni par le code pénal lorsqu'il n'est pas nécessaire pour sauvegarder la santé de la mère. D'autres femmes sont insultées et mises à la rue par leurs familles, la plupart du temps à peine enceintes. Du côté de l'enfant, celui-ci est privé de droits fondamentaux et du respect de son intérêt supérieur, notamment parce que le code de la famille (la « mudawana ») prévoit que la filiation illégitime ne produit aucun des effets de la filiation parentale légitime vis à vis du père (cela signifie que le père n'a aucune obligation de reconnaitre l'enfant). Néanmoins, depuis quelques années, ces règles ont évoluées : avant, l'enfant considéré comme « illégitime » n'étais pas reconnu civilement. En chiffres, 600 à 800 grossesses par jour sont interrompues clandestinement et on compte environ 30 000 naissances hors mariage par an dans le royaume. Je vous invite à écouter le récit d'Amal, prénom d'emprunt d'une jeune maman, seule, qui se bat depuis des années avec un immnense courage pour être reconnue, pour briser les tabous et pour vivre dignement. -Voici par ailleurs les contacts des associations marocaines disponibles pour les mamans célibataires : Tanger : 100% Mamans, Casablanca : Solidarité Féminine, INSAF, SAMU Social, les soeurs de la charité Marrakech : AmalN'hésitez pas à me communiquer les contacts d'autres associations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dominique Versini est Adjointe au Maire de Paris. Elle a été ministre, Défenseure des droits de l'Enfant, et co-fondatrice du Samu Social. Avec Dominique, nous allons parler de deux projets de la Ville de Paris et qui ont généré un immense engouement auprès des jeunes parisiens et parisiennes :
Le Samusocial présente “Femmes” en collaboration avec le Parlement européen. « Femmes », c’est une série de 15 portraits de femmes accompagnées par le Samusocial qui se dévoilent au travers du regard du photographe Gaël Turine et des textes d’Anne-Cécile Huwart. L'exposition est visible du 16/10 au 28/2 au Parlamentarium, au Parlement européen, et en une expo web www.samusocial.be/femmes .
Voix Croisées revient pour une nouvelle saison de podcasts ! L'équipe des journalistes de la saison 1 renquille pour une seconde saison, qui commence avec une actualité partciulièrement difficile pour els personnes fragiles : Un 2ème confinement ! C'est pourquoi les bénévoles de La Cloche Sud vous proposeront une émission par semaine, afin de faciliter la transmission d'informations pour l'aide sociale d'urgence, proposeront des portraits d'acteur social actif et vous emmèneront vers des horizons plus colorés ! Au programme : - Infos sur le Samu Social et les douches publiques - Interview de Mme Ruibanys, directrice du foyer d'hébergement Forbin - Infos sur le magasin gratuit La Base et repas à prix libre / Métro Chartreux - Infos Association OSGD - Rencontre avec Jeanne et Leila du collectif Le magasin gratuit / La Base Chartreux - Anecdote de confinement - Attestation de sortie quand on vit dehors ! - De la poésie, de la poésie ... par notre animateur radio saison 1 ! Belle écoute ! A lundi prochain
Le Samu Social de Bruxelles présente jusqu'au 28 février 2020 l'exposition «Femmes» en collaboration avec le Parlement Européen et le Parlamentarium. Aujourd’hui, RFI consacre une journée spéciale sur les conséquences économiques et sociales de la Covid-19 et aux moyens de s’en sortir. Les populations les plus précaires sont les plus exposées aussi bien à la maladie elle-même qu’à ses retombées. À cette occasion, direction Bruxelles avec un très beau projet intitulé Femmes lancé par le Samu Social de Belgique. Réalisé en coopération avec le Parlement Européen, il dresse le portrait de quinze femmes, en mots et en images. Ils sont exposés jusqu’au 28 février 2020 au Parlamentarium, le centre des visiteurs du Parlement européen, et – en attendant la fin du confinement - quatre d’entre eux sont visibles sur le site internet du Samu social de Bruxelles. Pour en parler, deux invités : la journaliste Anne-Cécile Huwart et le photographe Gaël Turine. Le site du Samu Social de Bruxelles est accessible via ce lien : https://samusocial.be/ Au menu de ce Café Gourmand : - Sophie Torlotin célèbre les 20 ans du groupe Herman Dune avec l'album Notes from Vinegar Hill. Fondé par deux frères français d'origine suédoise : André et David-Ivar. Il ne reste aujourd'hui que David-Ivar en seul homme-orchestre. - Amélie Beaucour nous fait redécouvrir le classique de John Steinbeck « Des Souris et des Hommes », à travers la version magnifiquement illustrée par Rebecca Dautremer aux éditions Tishina. - Marjorie Bertin a parcouru les pages d'un ouvrage passionnant « Le Grand livre des guérisseuses ». Premier livre de l’anthropologue, Clara Lemmonier. C'est aussi la première rétrospective consacrée aux femmes guérisseuses. Qu’elles soient Chamanes, accoucheuses, sophrologues, nécromanciennes, ou bien encore coupeuses de feu. - Alain Pilot a rencontré Vitalic à l'occasion de la sortie de son coffret. Depuis maintenant une vingtaine d’années, le Français s’est employé à redéfinir la notion d’électro à la sauce française, imposant sa patte inimitable, énergique et mélodique, grâce à des titres devenus aujourd’hui des classiques.
Les nécessaires mesures de distanciation posées par la crise Covid ont libéré des budgets régionaux extraordinaires qui ont permis d'ouvrir en mai 2020 le centre idéal pour femmes sans abri. Un centre spécifique pour femmes. Un centre ouvert nuit et jour dans lequel les femmes ont pu se retrouver en tant que femmes. Un centre qui a permis aux équipes du Samu Social de considérer les résidentes comme des femmes avant tout. En outre, ce projet est mis en lumière par la réalisation de « Femmes », une série de 15 portraits de femmes accompagnées par le Samusocial qui se dévoilent au travers du regard du photographe Gaël Turine et des textes d'Anne-Cécile Huwart. On en parle avec Valentine Calisto coordinatrice du centre femmes.
Reportage en compagnie du Samu Social dans l'agglo bordelaise
durée : 00:55:16 - Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Des Restos du cœur à la Croix-Rouge en passant par le Samu Social, le tissu associatif a été extrêmement mobilisé depuis le mois de mars dernier. Quel rôle a-t-il précisément joué ? - réalisation : Annie Brault - invités : Jacques Bailet Président de la fédération française des Banques Alimentaires
Vous avez peut-être déjà aperçu leur camionnette cabossée arpentant les rues… Jour et nuit, les équipes du Samu social vont à la rencontre des personnes qui vivent dehors. Leur rôle est d'apporter une aide immédiate que se soit une couverture, un soin ou un hébergement d'urgence. Et sur le long terme, c'est de créer un lien pour accompagner ses personnes dans leurs démarches administratives, vers l'accès aux soins ou vers le retour au logement. A Lyon, le Samu Social est géré par l'association Alynea et compte une dizaine de salariés. Une nuit, Lucie Baverel les a suivis dans les rues de Lyon. Reportage.
11 mars 2020, une émission dans la rue- Première fois à la rue (adaptation de "Vernon Subutex" de Virginie Despentes)- Habiter la rue (reportage par M.Cousin)- Chez le bailleur social (Fabcaro adapté)- La demande HLM (Paris, récits croisés par Namé, réal par le Frigo)- La cabane « Bar, Punch, Bierre » (« Prof. Fall » d'Ivan Brun et Tristan Perreton adapté par Sissi et Lilux)- Le poète de ma rue, mes voisin-es et mon quartier (rencontre et texte par Luigi)- « C'était passé comme ça » (rencontre par le Frigo)Musique :- Ausgang – Bonne conduite- Saada Bonnaire - you could be more as you are- The Ex & Getatchew Mekuria - Ethiopa hagene- Connan Mockassin (repris par Marie-Madelaine) - Forever Dolphin Love
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargé de l'Action humanitaire d'urgence, Xavier Emmanuelli est surtout connu comme le fondateur du SAMU Social de Paris et co-fondateur de Médecin Sans Frontières (1971). Un grand nom du monde de la solidarité internationale, qui nous livre aujourd'hui, sans fard et sans militantisme, sans avis sur ce que peut l'humanitaire dans le domaine politique.Une émission animée par Pierre-Alain Gourion. Mixage son Léo Michaillat.
durée : 00:07:08 - La personnalité de la semaine - par : Patricia Martin - Xavier Emmanuelli, le fondateur du SAMU social de la ville de Paris en 1993, est l'invité de Patricia Martin à 7h50.
Xavier Emmanuelli est né à Paris le 23 août 1938. Il est diplômé de médecine en 1967. En 1971, il co-fonde Médecin Sans Frontières (MSF), avec notamment le médecin et homme politique Bernard Kouchner. En 1987, il devient médecin-chef à la prison Fleury Mérogis. En 1993, il devient secrétaire d’Etat auprès du premier ministre (Alain Juppé), en charge de l’action humanitaire d’urgence. En 1993, il fonde le SAMU social de Paris. Il en quittera la présidence en 2011, dénonçant dans la presse une situation budgétaire “qui n’est plus gérable”. Il est l’auteur de nombreux essais : Les Enfants des rues (2016, Odile Jacob), En cas d'urgence, faites le 15 (2015, Albin Michel). Son dernier livre, Accueillir les migrants, sorti en novembre dernier, est publié aux éditions L’Archipel.
EntretEntretien avec Jérôme Colrat, directeur de l'ALYNEA, gestionnaire du SAMU Social de Lyon