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Il s'énerve au sein", "il tousse dès que le lait arrive", "ses selles sont vertes et mousseuses"...Peut-être que toi aussi tu vis un allaitement intense, voire épuisant.Et si ce n'était pas une mauvaise succion ? Ni un caprice ? Ni un échec ?Aujourd'hui, on parle d'un sujet encore trop peu connu : le réflexe d'éjection fort – ou REF.Je t'explique ce qu'il se passe dans ton corps, pourquoi ton lait jaillit si puissamment, ce que ça provoque chez ton bébé…Et surtout, je te partage des astuces concrètes, des positions qui peuvent tout changer, et un message essentiel :Ton corps n'est pas trop. Ton lait n'est pas trop. Vous avez juste besoin d'ajustement.Un épisode pour toutes celles qui galèrent, doutent ou se demandent : "Mais pourquoi ça se passe comme ça ?"Tu n'es pas seule. Viens, on en parle
Il y a quelques jours, j'ai rencontré un couple à la maison de naissance. On a parlé de leur parcours, et elle m'a raconté un moment qui m'a glacée : son hystérosalpingographie. Un examen soi-disant "de routine"… sauf que pour elle, c'était un véritable traumatisme. Elle a cru qu'elle allait mourir. Elle a hurlé de douleur. Son compagnon l'entendait crier derrière la porte… mais n'avait pas le droit d'entrer. Et personne, PERSONNE, n'est venu la soutenir.Dans cet épisode, je vous parle de ça. De ces violences dites “invisibles”, “institutionnelles”, “ordinaires”... mais qui marquent nos corps, notre psyché, notre confiance. Je parle de ces examens où l'on n'explique rien, où l'on n'anesthésie pas, où l'on impose, où l'on minimise. Parce que “c'est normal, madame”.Mais en vrai : rien de tout ça n'est normal.On a appris aux femmes à se faire violence. Depuis toutes petites. À se taire, à serrer les dents, à ne pas déranger, à dire oui quand leur corps dit non. Et ça, ça laisse des traces jusque dans la manière dont on vit nos règles, notre sexualité, nos accouchements.Je vous parle aussi de ce que j'ai vécu moi-même. Du jour où j'ai accouché de ma fille Catherine. Ce jour-là, je n'ai pas eu l'aplomb de dire non à une césarienne dont je savais qu'elle n'était pas nécessaire. J'ai crié, j'ai résisté, mais je ne suis pas partie. Parce que même moi, sage-femme, je n'avais plus les ressources. Parce que le système avait repris le pouvoir sur moi.Alors dans cet épisode, j'ai envie de dire STOP. De dire que ça suffit. Que cette culture de la douleur féminine banalisée, niée, étouffée… ça doit s'arrêter.Je veux qu'on parle de ce qu'on nous fait taire.Je veux qu'on reconnaisse que la douleur des femmes est un langage, pas un défaut.Et surtout, je veux rappeler que la naissance n'est pas censée être un moment de guerre. C'est intense, oui. Mais c'est aussi un moment de puissance, de reconnexion, de souveraineté. À condition qu'on arrête de déposséder les femmes de leur corps, de leur voix, de leur vécu.Alors si toi aussi tu t'es déjà dit “je suis trop sensible”, “je vais me taire”, “je ne veux pas déranger”… écoute cet épisode. Il est pour toi. Et partage-le. Pour que d'autres femmes, étudiantes, mères, soignantes, puissent se sentir moins seules. Et surtout, plus jamais coupables de leur douleur.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je t'emmène en immersion dans mon quotidien de sage-femme. J'enregistre cet épisode en pleine nuit, pendant que je prépare une chambre pour un accouchement, parce qu'une de mes patientes est en travail. Et ça m'a donné envie de te parler d'un sujet qu'on aborde rarement : la disponibilité constante que demande ce métier, et ce que ça implique dans nos vies, dans nos familles, dans notre organisation.On me demande souvent comment je fais, comment je gère le fait d'être joignable H24, de partir à tout moment, de rater un repas, une nuit, un rendez-vous... Et bien voilà, je t'explique tout, de manière brute, sincère et sans filtre.Je te parle de mon quotidien, mais aussi de celui de mes collègues, de mon mari, de mes enfants, de toutes les personnes qui gravitent autour de nous. Parce qu'en réalité, cette disponibilité, ce n'est pas qu'un engagement professionnel. C'est un mode de vie. C'est un choix de famille. Et ce n'est pas toujours simple.Dans cet épisode, je partage aussi comment on s'organise pour que tout tienne debout malgré tout : les arrangements à l'école, les babysittings improvisés, les chiens à promener quand on est partie pendant des heures… Et je te parle aussi de cette jeune sage-femme qui rêvait de naissance physiologique, mais qui a découvert que ce rythme-là, ce n'était pas pour elle.Et si tu veux encore mieux comprendre tout ça, je t'invite à écouter un autre épisode que j'ai enregistré avec mon mari, où il raconte la vie de l'autre côté :
Dans cet épisode, je vous raconte un moment fort, douloureux, fondateur de ma vie d'étudiante sage-femme. Un jour où je me suis fait virer de la salle d'accouchement.Pas parce que j'avais fait une erreur.Mais parce que j'ai osé écouter une femme. Parce que j'ai osé rester humaine.Ce jour-là, j'ai défendu une patiente en plein travail qui ne voulait pas être séparée de son compagnon. J'ai pris le relais, j'ai soutenu ses contractions, je suis restée présente. Mais j'ai dérangé. J'ai bousculé. Et on m'a dit de sortir. On m'a exclue.Je vous partage dans cet épisode tout ce que cette expérience a réveillé en moi :
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - À Mayotte, le malaise explose chez les sages-femmes de l'hôpital. Elles exercent leur droit de retrait depuis le 18 août dernier. En cause, le manque d'effectifs qui les poussent à exercer dans des conditions jugées inacceptables.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - À Mayotte, le malaise explose chez les sages-femmes de l'hôpital. Elles exercent leur droit de retrait depuis le 18 août dernier. En cause, le manque d'effectifs qui les poussent à exercer dans des conditions jugées inacceptables.
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - À Mayotte, le malaise explose chez les sages-femmes de l'hôpital. Elles exercent leur droit de retrait depuis le 18 août dernier. En cause, le manque d'effectifs qui les poussent à exercer dans des conditions jugées inacceptables.
Dans cet épisode hommage à Michel Odent, je t'emmène dans une réflexion profonde sur l'industrialisation de la naissance, en écho au livre Le fermier et l'accoucheur. J'y partage comment ce livre lu il y a des années a semé en moi les premières graines du concept de sage-femme authentique, et comment son décès m'a donné l'élan d'enfin poser ma voix sur ces mots.À travers un parallèle éclairant entre les pratiques agricoles intensives et les protocoles obstétricaux actuels, je te raconte une naissance hospitalière marquante. Une naissance où le contrôle, la prévention à outrance et les gestes protocolaires ont peu à peu étouffé la physiologie et la liberté de la femme.Je parle d'ocytocine de synthèse posée “au cas où”, d'antibiotiques donnés sans justification réelle, de monitoring omniprésent, de protocole imposé sans discussion… Mais aussi de puissance, de lucidité, d'un couple qui dit non, de sensations, de choix et de ce que ça change quand on remet l'amour, la chaleur, l'écoute et l'intuition au cœur.Michel Odent disait qu'on doit créer une mutation non génétique, une transformation guidée par l'amour et la physiologie. C'est l'appel que je lance aujourd'hui, en lien avec le lancement du programme Sage-Femme Authentique en devenir, pour soutenir cette mutation, ensemble.le liens pour t'inscrire si tu es étudiante est juste ici : https://forms.gle/SxshYQ1B1AcQqK5F9Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous parle d'un geste qu'on pense parfois incontournable mais qui mérite vraiment d'être questionné : le fait de mettre les mains pour faire naître les bébés. Vous avez été nombreuses et nombreux à m'interroger sur ce fameux “hands off”, cette manière d'accompagner la naissance sans intervenir manuellement, en laissant le bébé naître par lui-même et en laissant les parents accueillir leur bébé.Je vous raconte comment on pratique ça concrètement à la maison de naissance, pourquoi c'est si puissant — et souvent bien plus physiologique — de laisser faire la nature, quand tout va bien. Je vous partage aussi les réflexes d'expulsion, le cercle de feu, les bénéfices d'un périnée respecté, les mythes autour du soutien périnéal… et l'importance de ne pas faire au cas où, mais seulement si c'est nécessaire. Et je vous rassure : quand une intervention est requise, bien sûr, on sait la faire !On explore aussi ensemble l'idée que nos gestes, même bien intentionnés, peuvent parfois causer plus de mal que de bien, comme dans certains cas de dystocies d'épaule créées par les manœuvres elles-mêmes.Et si on arrêtait de croire que sans nous, ça ne peut pas se faire ? Si on redonnait le pouvoir aux femmes et aux bébés ?C'est ça, le cœur de cet épisode : avoir confiance, laisser faire, et intervenir en conscience.Je vous partage aussi des outils pour discuter de tout ça avec vos équipes : compresses chaudes, projet de naissance, positions physiologiques, accompagnement du partenaire…
Aujourd'hui, je reçois Maëlle, médecin généraliste spécialisée en addictologie. Maelle vient dans cet épisode hors-série vous parler des addictions sous le prisme de la maternité, de la périnatalité, une spécialisation qu'elle a entreprise il y a peu et qui est à l'origine de la création du compte Instagram @MATER.ADDICT qu'elle co-anime avec l'équipe du service de soins en addictologie dans lequel elle travaille. Maëlle vient dans cet échange vous nourrir d'un regard nouveau, plus lumineux que celui que la société a coutume de porter sur les femmes, les futures mères et les mères qui ont des addictions. Elle œuvre en ce sens en nous informant sur ce que sont les addictions, les consommations à risque tout en nous sensibilisant à la prise en charge et l'accompagnement médico-psycho-social des femmes qui entrent en suivi avec elle et son équipe.Une interview extrêmement riche et dense en informations sur cette thématique qui est encore tabou. Une mise en lumière salutaire et remarquable par Maëlle de toutes ces femmes qui connaissent ou ont connu des addictions dans leur maternité et qui sont pour la plupart invisibilisées. Un épisode qui permet de briser le silence grâce à la douceur et le professionnalisme de Maëlle que je remercie infiniment pour sa confiance.Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS et surtout n'hésitez pas à faire voyager cet épisode à une sœur, une amie, une collègue, une connaissance touchée de près ou de loin par cette thématique et qui pourrait être une première main tendue vers et pour elle !Pour retrouver Maëlle et son équipe sur Instagram : @mater.addictPour retrouver MAM'ELLES Sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE : MAM'ELLES LE PODCAST - YouTubeSur Facebook : Marion TERTEREAULe site internet MAM'ELLES pour être informée de toutes les actualités MAM'ELLES : mamelles.frMAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je vous propose un épisode qui me tient particulièrement à cœur… Celui sur la fameuse phase de désespérance pendant l'accouchement. Ce moment où tout bascule, où la peur monte, où on se dit qu'on ne va pas y arriver… Ce moment qu'on traverse toutes – et qui est pourtant si peu compris et si mal accompagné.Je vous parle ici avec ma double casquette : celle de sage-femme et celle de maman. Je vous explique en détail pourquoi cette phase existe, quel est son rôle dans la physiologie de la naissance, ce qu'elle vient révéler, déclencher, libérer. Et surtout, comment la comprendre permet de mieux la vivre.On explore ensemble le jeu des hormones – l'ocytocine, l'adrénaline – et comment le corps réagit au stress, à l'environnement, aux mots qu'on reçoit… Je vous montre aussi comment cette fameuse montée d'adrénaline, qu'on croit négative, est en fait une alliée précieuse pour aider le bébé à passer le cap de la naissance, à activer ses réflexes d'adaptation, à vivre pleinement sa transition vers le monde extérieur.Je vous partage des anecdotes de terrain, des accompagnements marquants, et aussi ma propre traversée de cette phase de désespérance lors de mes accouchements. C'est intense. C'est puissant. C'est transformateur. C'est ce qui fait de la naissance un rite initiatique.Et surtout, je vous donne des pistes concrètes : comment se préparer, comment préparer le partenaire pour qu'il devienne le phare dans la tempête, comment trouver des ancrages, des phrases repères, des outils de soutien, des élixirs naturels comme ceux proposés par Mellune…Cet épisode est un vrai manifeste pour redonner du sens à cette étape, pour cesser d'en avoir peur, et pour permettre aux femmes de se reconnecter à leur puissance… même quand elles croient l'avoir perdue.✨ Si cet épisode vous parle, partagez-le autour de vous. Il peut vraiment faire la différence dans la manière d'accueillir les bébés… et les mères qu'on devient.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un de ces gestes qu'on fait souvent sans trop y réfléchir… Le bain du bébé dans les premiers jours de vie. Un soin qu'on pense doux, apaisant, rempli d'amour. Et pourtant, si on se met vraiment à la place du bébé, est-ce que c'est si anodin que ça ?Dans cet épisode, je vous propose de questionner cette habitude de laver nos bébés très tôt, parfois même à la maternité avant le retour à la maison. Je vous explique pourquoi retarder ce bain est souvent une meilleure idée : pour respecter la physiologie du bébé, pour préserver son vernix (cette crème naturelle si précieuse) , pour soutenir sa régulation thermique, son microbiote, son allaitement… et aussi pour vous alléger mentalement.Je vous partage aussi des choses très concrètes : pourquoi ce bain peut demander autant d'énergie à un bébé qu'un allaitement complet, pourquoi il influence même sa prise de poids, et comment on peut proposer un premier bain autrement, au bon moment, en douceur.Je parle de tout ça en me basant à la fois sur mon expérience de sage-femme, sur mes observations avec mes propres enfants, et sur les recommandations officielles (même l'OMS recommande de ne pas laver les bébés tout de suite !).Et si vous vous reconnaissez dans cet épisode, si vous avez envie de partager votre expérience ou de poser des questions : venez en discuter avec moi sur Instagram ou dans vos messages. Et surtout, si cet épisode résonne en vous, pensez à le partager à une amie, une sœur, un professionnel de santé… Parce que cette petite réflexion peut tout changer.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on parle d'un phénomène bien connu dans les salles de naissance, mais souvent mal compris : la stagnation de dilatation. Ce moment un peu suspendu, souvent autour des 7-8 cm, qui peut inquiéter, où on se demande : “Mais pourquoi ça n'avance plus ?” Et si ce n'était pas un bug… mais un message du corps ? Une pause nécessaire ?Je vous explique ce qu'on observe dans ces plateaux de dilatation : la fatigue maternelle, une position sous-optimale du bébé, parfois un besoin de réajuster quelque chose… ou même un blocage émotionnel, une histoire, une mémoire, une absence à apprivoiser.C'est là que la physiologie reprend tout son sens. Non, ce n'est pas toujours “le travail n'avance pas” mais “le travail a besoin d'un temps”. Le corps, lui, sait. Il propose parfois un moment de repos pour que la maman et le bébé reprennent des forces. Et nous, en tant qu'accompagnantes, notre rôle c'est aussi de faire confiance, d'observer, de soutenir, pas d'intervenir systématiquement. Parce qu'intervenir à tout prix (rupture de la poche, ocytocine, etc.) alors que le bébé est mal positionné, par exemple, peut rendre la situation encore plus complexe.Et si on remettait au cœur de nos pratiques la patience ? L'écoute ? L'intuition ? Et si on cessait d'analyser uniquement en centimètres et en minutes ? Dans cet épisode, je vous invite à explorer d'autres clés d'observation du travail : les postures spontanées des femmes, les indices non verbaux, la puissance du soutien émotionnel et… la possibilité qu'il n'y ait rien à “faire”, juste à être là.
Aujourd'hui, on parle d'un geste qu'on fait encore beaucoup trop vite en salle de naissance : le clampage précoce du cordon ombilical. C'est un geste qui, pourtant, pourrait être repensé. Parce qu'en vérité, ce qu'on devrait viser, c'est un clampage optimal, un clampage qui respecte le rythme du bébé.Je vous explique ici pourquoi il est essentiel d'attendre que le cordon ait fini son travail avant de le couper : pour laisser au bébé tout son sang, toutes ses cellules souches, et ses réserves de fer. Des éléments qui ont un rôle énorme dans l'oxygénation de ses organes, dans son immunité, dans son développement neurologique. Jusqu'à 50 % de volume sanguin en plus, juste en laissant le temps au cordon de se vider vers le bébé. Oui, 50 % !Je vous parle aussi des idées reçues : non, le sang ne “retourne pas au placenta” quand on attend. Le corps est bien fait. Il y a des mécanismes physiologiques qui assurent une fermeture naturelle : vasoconstriction des vaisseaux, gelée de Wharton qui agit comme un bouchon… On n'est pas obligé de couper dans la précipitation.Et même en milieu hospitalier, c'est possible d'aménager ces pratiques : on peut discuter avec les équipes, on peut négocier ce moment, on peut faire respecter le rythme du bébé.Cet épisode, c'est une invitation à ralentir, à remettre du respect et de la conscience dans ce premier passage du bébé au monde. Le cordon, ce n'est pas juste un tuyau à sectionner vite fait. C'est un lien vivant, actif, puissant.
Allez, c'est l'été, et cet été j'ai décidé de rediffuser certains épisodes coups de cœur, qui sont en résonance avec les sujets que j'ai abordés ces dernières semaines dans Questionner la Sage-Femme. Des épisodes qui remettent en question des gestes qu'on banalise, mais qui mériteraient franchement un peu plus de conscience et de discernement.Aujourd'hui, on repart sur la question de la suture du périnée après l'accouchement. Vous savez, ce réflexe qu'on a parfois de “réparer” coûte que coûte... Alors que le corps est souvent capable de se cicatriser seul, avec douceur, avec temps, avec respect.Je vous partage notre approche à la Bulle, où on ne suture pas systématiquement, et où on laisse les femmes choisir en conscience. Je vous parle aussi de tout ce qui peut accompagner la cicatrisation naturelle : repos, soins locaux, écoute du corps. Et des chiffres, des études, comme la revue Cochrane de 2011 ou le mémoire de fin d'études d'Estelle Miconnet, pour soutenir tout ça.Un épisode pour démystifier, réinformer, et surtout redonner du pouvoir aux femmes. Bonne écoute, et n'hésitez pas à venir en discuter avec moi après l'épisode !
Aujourd'hui, je vous propose un épisode que vous aviez beaucoup aimé et qui s'inscrit parfaitement dans la série actuelle où l'on questionne ces “petits gestes” qu'on présente comme anodins… mais qui ne le sont jamais vraiment.Ici, on parle du déclenchement de l'accouchement, un acte devenu presque banal dans les pratiques obstétricales modernes. On vous le propose, parfois on vous l'impose, souvent sans vraiment vous expliquer les tenants, les aboutissants, et surtout les conséquences.Dans cet épisode, je reviens sur :les indications médicales réelles d'un déclenchement,les différentes méthodes utilisées,les risques concrets pour la mère et le bébé,et ce besoin qu'ont parfois les équipes de “mener à terme” un déclenchement coûte que coûte, quitte à s'acharner, alors qu'on sent que ça ne fonctionne pas.Je vous parle aussi du fameux chiffre : 6 fois plus de césariennes chez les femmes déclenchées quand leur corps n'est pas prêt. Et de cette violence douce, insidieuse, quand on vous fait croire que c'est “pour votre bien”, sans vous dire que vous pouviez refuser.Alors oui, un déclenchement peut très bien se passer. Mais la vraie question, c'est : était-ce le bon moment, la bonne raison ? Et surtout : vous avait-on laissé le choix ?Dans ce contexte, je vous reparle aussi d'un outil que j'adore : le BRAIN, pour poser les bonnes questions face à une décision médicale. Parce que vous avez le droit de réfléchir, de comprendre, et de dire non.Très bonne (re)découverte de cet épisode ❤️Et bel été à toutes et tous
Aujourd'hui, dans ce nouvel épisode de ma série sur les petits gestes qu'on banalise en obstétrique, je vous parle de la rupture artificielle de la poche des eaux. Ce geste qu'on fait encore trop souvent, presque par automatisme, sous prétexte que ça “fera avancer le travail”, que “le bébé sera plus vite dans vos bras”… Mais en vrai, est-ce qu'on vous a vraiment expliqué ce que ça implique vraiment ?Je vous explique ici la différence entre une rupture spontanée, une fissure haute, et cette rupture artificielle qu'on pratique en début ou en cours de travail. Je vous parle aussi des vraies fonctions de la poche : elle protège le bébé, elle régule la douleur, elle amortit les contractions, elle facilite la rotation et le bon positionnement. La rompre trop tôt, c'est souvent rendre les contractions plus violentes et rapprochées, piéger le bébé dans une mauvaise position… et ouvrir la porte aux infections. Et pourtant, dans un monde médical où on a peur du streptocoque B et où on bombarde les femmes d'antibiotiques, on ne voit même plus l'incohérence de rompre cette protection naturelle.L'OMS est très claire sur ce sujet : la rupture artificielle ne doit jamais être systématique, elle doit avoir une indication précise et surtout, se faire avec le consentement éclairé de la femme.(Source : https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/272434/WHO-RHR-18.12-fre.pdf)Je vous invite donc à questionner :Parents, demandez pourquoi on vous propose ça.Et pour les soignant.e.s : interrogez-vous, ne posez pas un acte juste parce qu'il est dans le protocole.lien vers l'outil BRAIN: ➡️ https://smartlink.ausha.co/sage-femme-authentique/decisions-medicales-en-salle-de-naissance-etes-vous-vraiment-informee-ep124Et si vous souhaitez préparer votre projet de naissance avec toutes ces infos, téléchargez mon modèle de projet pré-rempli ici :➡️ https://melyssa-chambard.systeme.io/projetnaissanceParce que non, la poche n'est pas un détail, c'est un cadeau du bébé et de la maman. Et parce que vous avez le droit de savoir, de comprendre et de choisir.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a quelques mois, je vous partageais mon choix de me déconventionner, avec l'espoir de pouvoir vivre dignement de mon métier de sage-femme. Aujourd'hui, je ressens le besoin de faire un premier bilan honnête et sans filtre : ce n'est pas aussi simple que je l'espérais.Nous sommes confrontées à une réalité injuste : les assurances financent jusqu'à 300% des accouchements hospitaliers, couvrant tout (du plateau repas aux vitamines ) mais pour un accouchement à domicile ou en maison de naissance, elles proposent un maigre forfait de 700€… pour tout le suivi prénatal, l'accouchement et le postpartum ! Un gouffre financier pour les familles qui choisissent une naissance physiologique hors hôpital. Une manière détournée de pénaliser ces choix pourtant valides et respectueux.Au quotidien, c'est une lutte : justifier chaque facture, s'adapter aux maigres remboursements des patientes, facturer en tenant compte de la réalité de chacun… Avec des charges qui explosent, une responsabilité médicale énorme, une disponibilité 24h/24, 7j/7 et des centaines de kilomètres à parcourir pour chaque suivi.À cela s'ajoute la menace d'une loi qui plafonnerait nos dépassements d'honoraires extra-hospitaliers à 25%, nous condamnant à ne pas pouvoir vivre décemment. Le système veut nous voir retourner à des tarifs INAMI dérisoires, nous poussant à re-conventionner et redevenir de “bonnes petites filles sages” du système.Je témoigne aussi de l'impact de ce métier sur ma famille, mon couple, mes enfants. Ce métier passion m'alimente mais pèse aussi lourd. C'est une réalité invisible pour beaucoup.Alors j'appelle à l'action : parents, futures familles, si vous choisissez l'accouchement extra-hospitalier, faites du bruit auprès de vos assurances. Exigez d'être remboursés dignement, à la hauteur d'un accouchement hospitalier. Ce combat ne devrait pas être le nôtre seuls, mais celui de tous ceux qui veulent défendre le droit à une naissance respectée, choisie, et accessible à tous.Continuons à parler, à partager, à faire évoluer ce système !Les sages-femmes méritent mieux. Les familles aussi.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de la série sur les petits gestes qu'on banalise en obstétrique… mais pas que ! Aujourd'hui, je ne vous parle pas du corps des femmes, mais de celui des bébés. Parce que oui, eux aussi, on leur impose des gestes systématiques, protocolaires, sans toujours que ce soit vraiment nécessaire.Et j'ai eu envie d'en parler après avoir accompagné une famille qui avait choisi de quitter l'hôpital avant les 48h de vie de leur bébé. Normalement, c'est la sage-femme à domicile qui fait le test de Guthrie… Mais là, la maternité avait déjà fait un "pré-Guthrie", “au cas où”. Résultat ? Deux piqûres pour un tout petit bébé, alors qu'une seule suffisait largement. Pourquoi ? Parce que c'est le protocole, “c'est comme ça”.Mais se faire piquer, même quand on est bébé, ce n'est pas rien. C'est douloureux, c'est une effraction. Et pourtant, on fait ça par réflexe, par peur que les parents ne le fassent pas, ou que la sage-femme à domicile oublie. C'est une manière de se couvrir. Et au fond, qui protège-t-on réellement ? Le bébé ? Ou l'hôpital ?Je partage aussi mon expérience personnelle, où on a prélevé mon bébé contre mon gré, simplement parce que "c'est obligatoire". Pourtant, rien ne l'était, si ce n'est un protocole déconnecté de la clinique et du bon sens.Dans cet épisode, je questionne cette obsession du chiffre : le taux de bilirubine qu'on contrôle par prise de sang alors que la clinique est rassurante, les ponctions lombaires systématiques quand un bébé est légèrement fébrile… On préfère la statistique à l'observation, la procédure à la confiance.Je ne dis pas qu'il ne faut jamais faire de test. Mais quand c'est nécessaire. Pas par peur. Pas pour couvrir l'hôpital. Et surtout : en expliquant aux parents, en les intégrant, en les écoutant. Parce que ce sont eux, les meilleurs experts de leur bébé.Ce que je vous propose ici, c'est de remettre de la conscience dans nos pratiques. De ne pas piquer par automatisme. Et de faire confiance à la clinique, à la sage-femme qui va suivre à la maison, aux parents. Car oui, les mamans savent. Elles sentent quand ça ne va pas. Il suffit parfois de les écouter.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, j'accueille Tiphaine Robert, kiné spécialisée en périnéologie et sénologie. Ensemble, on parle de la fameuse rééducation périnéale : ce qu'elle est vraiment, à quoi elle sert et surtout, on casse tous les préjugés et fausses idées autour du sujet ! Non, la rééducation ce n'est pas forcément avec une sonde, non ce n'est pas obligé d'avoir accouché par voie basse pour en avoir besoin. On discute du périnée, de son rôle bien au-delà de l'accouchement, du lien entre relâchement et efficacité, et pourquoi apprendre à le relâcher est fondamental, même bien avant la naissance.Tiphaine nous explique comment se passent les séances avec elle, pourquoi les femmes devraient venir même sans symptôme et pourquoi c'est un vrai geste de prévention pour vieillir sans fuites ni douleurs. On parle aussi de la complémentarité entre la préparation avec une sage-femme et celle avec une kiné : la première vous prépare globalement à la naissance, la seconde vous aide à comprendre et écouter votre périnée pour le jour J… mais pas que ! On aborde aussi les idées reçues comme les fameuses sondes vendues en ligne et pourquoi ce n'est pas toujours adapté.Tiphaine nous partage aussi une belle perspective : venir en rééducation même des années après un accouchement est toujours utile. Et non, ce n'est pas "trop tard" ! Un épisode ultra complet pour mieux comprendre son corps, dédramatiser et, surtout, s'empuissancer sur ce sujet si peu abordé et pourtant essentiel !
POUR ÉCOUTER L'ÉPISODE EN ENTIER TAPEZ "FÉDÉRICA SUPER MAMAS" SUR VOTRE PLATEFORME DE PODCASTDevenir maman, c'est une aventure remplie d'émotions, de découvertes et parfois d'épreuves inattendues. Quand on imagine sa grossesse, on espère que tout se passera bien, que bébé grandira sereinement et que l'on pourra vivre cette attente avec légèreté. Mais parfois, le parcours prend une tout autre tournure…Aujourd'hui, j'accueille Federica. Elle vit à Grenoble et est maman de deux enfants : Julia, sa première, et Sandro, son deuxième. C'est justement pendant sa grossesse pour Sandro qu'un diagnostic est venu bouleverser son quotidien celui du Retard de Croissance In Utero ou RCIU.Alors qu'est-ce que cela signifie exactement ? Comment l'a-t-elle vécu, entre inquiétude et espoir ? Quels ont été les suivis médicaux, les décisions à prendre et l'impact sur la naissance et les premiers mois de vie de Sandro ?Federica nous partagera tout ça dans cet épisode qui pourra, je l'espère aider et informer. Je vous souhaite une très belle écoute.*** Pour retrouver l'univers de notre super mamas :
Vous êtes tout le temps épuisée, vos cheveux tombent, vous avez d'énormes sautes d'humeurs ? Et si c'était des carences nutritives ?Être fatiguée pendant la grossesse ou le postpartum peut paraître normal mais en réalité, il y a souvent des carences qui se cachent derrière notre fatigue intense.Cela fait 3 ans que j'ai accouché de ma dernière fille et pourtant mes analyses de sang montrent que je suis encore carencée à de multiples niveaux. Avec Agathe, sage femme, co-fondatrice de la marque Holimama et spécialiste en micronutrition on a longuement parlé de l'impact de la nourriture sur notre santé.En quoi une carence en fer, en zinc ou en magnésium impact notre corps de maman ? En quoi notre alimentation peut jouer un rôle majeur dans notre bonne santé ?Comment remédier à nos carences, faut-il prendre des compléments alimentaires ? Si oui, comment ?Toutes ces questions qui sont primordiales pour la bonne santé de maman et du bébé, alors filez écouter cet épisode passionnant et INONDEZ vos groupes whatsapp pour que ce savoir soit partagé.LIENS UTILESHoli mama, Programmes wellness en ligne 100% dédiés au fémininPimpe ton post-partum ! Agathe Verhack, Justine Legume
«L'homme sage-femme» ou simplement «le sage-femme»: dans l'hôpital romand où il travaille, c'est en ces termes que se présente Lionel. Ce trentenaire originaire de la Martinique est l'un des rares hommes à y exercer le métier d'accoucheur. Au micro, il raconte cette vocation née sur le tard. Le rapport aux patientes et à leurs conjoints, la gêne et la méfiance qui s'apprivoisent, le soin, l'écoute – et comment on fait sa place. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En France, les catastrophes naturelles sont de plus en plus fréquentes. Des milliers de personnes subissent des inondations, des feux et des périodes de sécheresse intenses. Dans “Aléas”, nous allons à la rencontre de celles et ceux qui sont directement confrontés aux dérèglements climatiques. Avec ce podcast, la Macif souhaite sensibiliser le grand public aux risques engendrés par les aléas naturels.Dans cet épisode, Claire, les habitants d'Elne et les agriculteurs s'unissent pour développer de nouvelles pratiques et adapter leurs modes de vie afin de préserver les ressources.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, les catastrophes naturelles sont de plus en plus fréquentes. Des millions d'habitants subissent des inondations, des feux et des périodes de sécheresse de plus en plus intenses. Dans “Aléas”, nous allons à la rencontre de celles et ceux qui sont directement confrontés aux dérèglements climatiques. Avec ce podcast, la Macif souhaite sensibiliser le grand public sur les risques engendrés par les aléas naturels. Car c'est collectivement, que des solutions sont, et pourront être, mises en place. Dans cet épisode, les habitants d'Elne et les agriculteurs des environs font face à une sécheresse historique… Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je vous retrouve pour le 50e épisode de questionner la sage-femme (eh oui, déjà !) et surtout le 2e épisode de la série sur ces petits gestes obstétricaux qu'on banalise beaucoup trop… alors qu'ils ont un vrai impact sur le vécu des femmes, sur leur corps, et parfois même sur la naissance.Dans cet épisode, je vous parle d'un geste qu'on fait souvent sans même y penser : le toucher vaginal. Pendant la grossesse, pendant le travail, pendant chaque consultation parfois… On le fait “parce que c'est comme ça”, “pour voir”, “pour suivre l'évolution”. Mais en vrai, pourquoi on le fait autant ? À quoi ça sert vraiment ? Et surtout… est-ce qu'on demande vraiment le consentement des femmes avant de le faire ?Je vous partage ici mon regard de sage-femme, mais aussi de femme, et de maman. Je vous parle de ce que j'ai observé en salle de naissance, de ce que j'ai vécu moi-même à l'hôpital, de ces moments où l'on m'a examinée sans me prévenir, sans me parler, sans me demander mon accord. Et de ce que ça provoque, dans le corps et dans la tête.Parce qu'on l'oublie trop souvent : le col n'est pas une donnée neutre. C'est l'intimité d'une femme. C'est un espace sensible. C'est parfois une zone marquée par un vécu. Mettre les doigts dans le vagin d'une femme, ce n'est pas anodin. Et le faire sans expliquer, sans qu'elle comprenne, sans qu'elle dise oui, ce n'est pas OK.Dans cet épisode, j'aborde aussi le rôle des protocoles, le manque de présence des soignantes en continu, la manière dont on gère la naissance à distance à travers les doigts et les machines. Et je pose une vraie question :est-ce qu'on vérifie vraiment le col… ou est-ce qu'on vérifie que les femmes sont obéissantes ?Et si on arrêtait d'en faire un automatisme ?Un épisode à écouter si tu es future maman, soignante, ou juste concernée par le respect du corps des femmes. Parce qu'un toucher, ce n'est jamais "juste un toucher". C'est un acte. Et il mérite d'être réfléchi, expliqué… et consenti.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans cet épisode de Cheminements, où nous mettons en lumière le voyage unique de la grossesse avec Charline Gayault.Charline, sage-femme altruiste, a choisi de partager son savoir et sa passion pour la gynécologie et l'obstétrique d'une manière ludique et accessible, à travers différentes plateformes telles que vidéos, podcasts, télévision, réseaux sociaux et autres. Pour elle, cette démarche est essentielle pour aider les femmes à mieux comprendre leur corps et à prendre en main leur santé.Son engagement à expliquer, nuancer et briser les tabous autour des sujets souvent méconnus en gynécologie et obstétrique est crucial. Grâce à son approche, de nombreuses femmes et leurs partenaires peuvent démystifier leur propre corps et vivre pleinement leur vie.Avec la publication de son livre "Le Grand Guide de Ma Grossesse Sereine", paru le 10 janvier 2024, Charline offre une ressource précieuse pour les futures mères, en leur offrant les connaissances nécessaires pour vivre une grossesse épanouie et sereine. Son talent pour rendre les informations médicales à la fois captivantes et faciles à comprendre est un véritable cadeau pour ses lectrices.Dans cet épisode, nous explorerons :- L'amour profond de Charline pour son métier de sage-femme malgré ses défis.- Des exemples marquants de mythes en gynécologie et obstétrique et comment elle les démystifie.- Les progrès récents les plus significatifs dans le domaine de la santé des femmes selon elle.Production : MedShake Studio Écriture : Marguerite de RodellecCheminements, c'est le podcast santé des femmes qui parlent de leur santé mentale, physique, et émotionnelle, sans honte, sans filtre et sans tabou. Chaque épisode, diffusé un lundi sur deux, vous plonge dans des récits authentiques et bouleversants.En ouvrant le dictionnaire, on apprend que "cheminement" désigne une progression graduelle, un mouvement, une avancée. Dans ce podcast, le cheminement est celui des femmes : leurs luttes, leurs victoires et leurs transformations face aux défis de la vie et de la santé.Dans Cheminements, le micro est tendu à des femmes du quotidien : vos voisines, collègues, soeurs ou amies. Elles témoignent de leur santé mentale, physique ou sociale, partagent leurs parcours uniques et osent enfin lever le voile sur des sujets trop souvent passés sous silence.Ce podcast santé donne la parole à celles qui méritent d'être entendues. Chaque histoire, portée avec sincérité, met en lumière des réalités humaines, parfois douloureuses, mais toujours humaines.➡ Retrouvez tous les épisodes sur https://www.cheminements.co/❤️ Soutenez-nous gratuitement :Abonnez-vous !Laissez 5 étoiles et un avis sur Apple Podcasts ou Spotify ⭐Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu viens d'accoucher, et tu te demandes pourquoi tu te sens encore aussi essoufflée ? Pourquoi monter un escalier te semble être une épreuve olympique ? Pourquoi tu n'as aucune envie de reprendre une sexualité "normale", alors que tout le monde semble te dire que c'est bon, tu n'es plus enceinte, donc tout est censé aller mieux ? Cet épisode est pour toi.
Dans cet épisode, je te parle de la fameuse "petite électrode" qu'on pose sur la tête du bébé pendant le travail. Ce petit geste, qu'on te présente souvent comme anodin, n'est en réalité ni petit, ni anodin. C'est un fil qu'on visse directement sur le cuir chevelu de ton bébé, pour une surveillance dite “plus fiable” de son rythme cardiaque. Mais on en parle rarement en détails, ni de ce que ça implique réellement, ni du consentement qu'on devrait toujours demander.On t'a déjà dit : “On va juste poser une électrode sur bébé” ? Sans jamais expliquer que c'est invasif, que ça demande la rupture de la poche des eaux, et que ça peut entraîner d'autres interventions derrière ? On te fait croire que c'est pour ton bien et celui de ton bébé… Mais c'est aussi pour remplir un dossier, pour répondre à des contraintes médico-légales, ou simplement par habitude.Alors je te raconte dans cet épisode pourquoi il est si important de s'informer, de questionner, de comprendre.lien cité dans l'épisode:https://www.instagram.com/badassmotherbirther?utm_source=ig_web_button_share_sheet&igsh=ZDNlZDc0MzIxNw==Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, les catastrophes naturelles sont de plus en plus fréquentes. Des millions d'habitants subissent des inondations, des feux et des périodes de sécheresse de plus en plus intenses. Dans “Aléas”, nous allons à la rencontre de celles et ceux qui sont directement confrontés aux dérèglements climatiques. Avec ce podcast, la Macif souhaite sensibiliser le grand public sur les risques engendrés par les aléas naturels. Car c'est collectivement, que des solutions sont, et pourront être, mises en place. Dans cette nouvelle saison en trois épisodes, direction Elne, dans les Pyrénées orientales : le département a souffert de graves périodes de sécheresse ces dernières années. Claire et les autres habitants d'Elne se mobilisent pour préserver l'eau et repenser l'aménagement de nos villes et de nos territoires afin de faire face aux changements climatiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on remettait en question ces “petits gestes” proposés pendant le travail ? Ces fameuses petites interventions qu'on banalise – rupture de la poche, mini-dose de synto, électrodes, “petite” ventouse… – mais qui, mises bout à bout, finissent par chambouler le processus naturel de la naissance.Dans cet épisode, je te parle sans détour de cette pression du temps qui pousse à intervenir trop vite, trop tôt, et souvent… pour de mauvaises raisons. Comme cette patiente dont la poche a été rompue “pour que ça aille plus vite”… résultat : une césarienne en urgence sous AG. Pour quoi ? Pour caler un agenda médical.Ce n'est pas l'accouchement le problème. C'est l'environnement. Ce sont les normes qui ont réduit drastiquement le temps “acceptable” du travail. Ce sont les pressions implicites, les gestes automatiques, les fausses bonnes idées. Et surtout : cette idée qu'il faut toujours aller plus vite.Je te partage un court-métrage italien génial : La Prestazione, qui imagine une scène de conception dans les conditions absurdes d'un accouchement hospitalier. Lumières, interruptions, injonctions… une métaphore puissante pour comprendre ce que vivent les femmes quand le système prend trop de place dans l'intime.L'épisode est là pour te redonner des clés. Pour que tu comprennes les enjeux derrière chaque petit “geste”. Pour que tu sois armée, préparée, consciente – pas pour résister à tout, mais pour choisir en connaissance.
Je vous ouvre mon cœur aujourd'hui : lors de mon intervention le 23 juin 2025 devant les membres du Conseil communal de Seneffe, j'ai défendu une proposition qui me tient à l'âme : l'instauration d'un registre des étoiles pour chaque bébé dont la vie aura été trop courte. Dans cette interpellation, j'ai partagé comment, dans ma pratique, j'accompagne des parents face à ces deuils si invisibles, sans lieu ni mots. J'ai invité la commune à considérer que ce registre, loin d'être une formalité, est un geste profondément humain : une manière de dire à ces familles que leur chagrin est légitime et que leur bébé a existé, qu'il a compté.Je me suis appuyée sur l'initiative portée par l'ASBL Au-delà des nuages, qui accompagne les familles avec des séances photo pour immortaliser ces bébés. Aujourd'hui, 169 communes en Belgique ont accepté ce registre : un acte concret, simple, humain.Dans cet épisode, je reviens également sur les rituels apaisants : écrire des lettres, allumer une bougie, planter un arbre, créer une boîte à souvenirsJe cite aussi Christophe et Linda, créateurs de Pardonne‑moi Ella ; leur témoignage puissant nous rappelle : « Sachez écouter, consoler, et trouvez vos mots ». Je vous partage quelques-unes de ces phrases qui réconfortent.Enfin, je lance un appel : parlez-en autour de vous, renseignez‑vous sur l'existence de ce registre dans votre commune, diffusez cette initiative au-delà de la Belgique... pour tous nos bébés des étoilesLiens utiles et recommandations :l'épisode Pardonne‑moi Ella de Christophe et Linda et leur site internet https://pardonnemoiella.com/l'épisode avec Au-delà des nuages et leur site internet au-dela-des-nuages.be.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cet épisode, je réponds à une question essentielle mais encore trop taboue : faut-il décaloter les petits garçons ? Ce geste est encore recommandé par certains professionnels de santé, alors qu'il peut provoquer des douleurs, des lésions, voire des complications médicales.Je partage avec toi mon expérience personnelle de maman et de sage-femme, les recommandations actuelles, les risques réels du décalottage forcé, et surtout ce que nous disent les études et les professionnels éclairés. On parle aussi de respect du corps, de consentement, et de bon sens.Tu découvriras pourquoi laisser faire la nature est souvent la meilleure chose à faire, et comment protéger ton enfant de gestes médicaux inutiles, parfois intrusifs. Un épisode à diffuser largement pour briser les idées reçues et protéger les petits garçons d'aujourd'hui.
Est-ce que t'as déjà entendu cette phrase : “Madame, votre bébé est trop gros pour passer, il va falloir déclencher…” ?Dans cet épisode, on déconstruit cette peur très répandue : celle du « gros bébé ». Une peur qui commence parfois dès la deuxième écho. Une estimation de poids, un mot lâché, et tout s'emballe. Induction, perte de confiance, projet de naissance envolé.Mais est-ce que le poids estimé, souvent imprécis (jusqu'à 10 % d'erreur soit 400-500g !), justifie vraiment un déclenchement ou une césarienne ?On parle de macrosomie, de dystocie d'épaule, des chiffres, des vraies statistiques. Je t'explique pourquoi un bébé estimé gros ne devrait pas forcément être un motif d'alarme, mais parfois simplement… un bébé bien portant, en pleine santé, adapté à ton corps.Dans mon quotidien de sage-femme, j'ai vu naître de nombreux bébés de plus de 4 kilos, rapidement, facilement, sans que cela pose problème. Et je te partage aussi des témoignages de mamans qui ont vécu la même chose.Ce que je veux te dire, c'est qu'un bébé n'est jamais « trop gros » pour ton corps si la grossesse se passe bien, s'il n'y a pas de diabète mal équilibré, et si on te laisse enfanter dans les bonnes conditions.Oui, parfois il y a des complications, mais elles ne sont pas systématiques. Et souvent, ce n'est pas le poids du bébé le vrai problème, c'est le contexte dans lequel on te fait accoucher.Alors viens écouter cet épisode pour reprendre confiance. Ton bébé est peut-être gros. Mais surtout : il est parfait pour toi.
Tu sais, c'est fou comme parfois un simple mot peut semer un doute immense.J'ai reçu une question sur l'utérus rétroversé : est-ce que ça peut expliquer des difficultés à tomber enceinte ? Et est-ce que ça complique la grossesse ou l'accouchement ?Alors j'ai eu envie de t'en parler aujourd'hui, parce que je sais que cette petite mention dans un compte-rendu peut faire peur.On entend “rétroversé”, on pense “anormal”... et tout un tas de croyances surgissent.Mais spoiler alert : non, un utérus rétroversé n'est pas une pathologie.C'est une variation complètement normale de l'anatomie.Ça concerne une femme sur cinq environ. Et non, ce n'est pas ça qui empêche de tomber enceinte. Et non, ça n'empêche pas non plus d'avoir un accouchement physio !Dans cet épisode, je t'explique tout simplement :ce que c'est vraiment qu'un utérus rétroversé,pourquoi ça ne pose généralement aucun problème pour concevoir ou accoucher,et comment, même en parcours PMA, on peut garder confiance en son corps et en son projet de naissance.Parce que t'as le droit de comprendre.T'as le droit de ne pas te laisser embarquer par la peur.Et t'as surtout le droit de rêver d'un accouchement doux, même quand le jargon médical s'en mêle.Liens vers les profils de médias sociaux- mail :melyssa@sagefemmeautetique.com- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web : www.sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les MaMaS ! Notre voyage autour du rebozo avec Yaël FLAUDER se termine avec cet épisode. Rappelez-vous, le 13 février dernier, nous vous offrions un magnifique premier épisode sur les origines et l'histoire de ce tissu dont on entend beaucoup parlé dont on connaît finalement peu l'essence ; puis, un second temps d'échange portait sur le lien entre le rebozo et la femme ; un troisième épisode nous réunissait autour du soin rituel rebozo et ce dernier échange avec Yaël vous permettra d'ouvrir votre regard sur le rebozo, votre pratique avec ce tissu vers d'autres horizons en allant explorer son usage dans l'accompagnement des bébés, enfants, personnes âgées ou encore, les hommes, les pères...Une fois de plus, Yaël vous transcende par son savoir et la richesse de ses transmissions qu'elle a reçues au Mexique. Tous les épisodes de cette magnifique mini-série sont disponibles sur toutes les plateformes d'écoute ainsi que sur Youtube !Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS et n'hésitez pas à partager cette mini-série aux mamas qui vous entourent !Pour retrouver Yaël sur Instagram : @yaelflauderPour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'épisode 72 de "Symptômes", la sage-femme Cyprianne raconte l'histoire d'une femme enceinte atteinte de troubles visuels survenus lors de sa grossesse. Après un psycho traumatisme est diagnostiqué grâce à l'EMDR. L'occasion pour la sage-femme, qui est également spécialiste du sujet, de répondre à toutes vos questions. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous l'attendiez ! Le voici ! Le troisième épisode de notre mini-série dédiée au Rebozo avec Yaël FLAUDER. Souvenez-vous nous vous avions proposé un premier épisode sur l'histoire et les origines du Rebozo, ce tissu dont on parle beaucoup sur la toile mais dont on connaît finalement peu l'essence... Puis dans un deuxième épisode, Yaël était venue vous parler du lien entre ce tissu, le Rebozo, et la Femme : plus précisément comment ce dernier permet de nourrir, soutenir et accompagner chaque pas-sage que traverse la Femme tout au long de sa Vie et quelques soient les épreuves...Aujourd'hui, c'est un troisième épisode dédié au soin rituel Rebozo que nous vous offrons. Alors que ce rituel connaît un essor important, à l'heure actuelle, en France, nous avons pensé opportun de revenir une fois de plus sur l'essence de ce rituel, de ce soin rythmé, de ce temps de pause où nous sommes enveloppé.e.s du rebozo et lové.e.s par 4 mains tendres, bienveillantes et réconfortantes pour nous accompagner dans les différents passages, presque initiatiques, que permet le soin rituel Rebozo.Yaël, de par la richesse de son savoir et des transmissions qu'elle a reçues au Mexique où elle a enfanté, vous permet de plonger au cœur de ce rituel, de son ouverture à sa fermeture.Un échange toujours aussi vibrant, enrichissant et puissant, grâce à la douceur de Yaël et la profondeur de sa réflexion...Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS !Pour retrouver Yaël sur Instagram : @lyaelflauderPour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Margot est cultivatrice de roses et une grande passionnée d'astrologie. Elle vient dans cet épisode vous parler en toute authenticité de la place omniprésente de la Foi dans sa vie. Baptisée à l'âge de 33 ans, soit il y a seulement un an, elle retrace ce chemin qu'elle a vécu dans la tradition orthodoxe.Margot vous invite en toute intimité dans sa rencontre mystique avec son compagnon Matthias. Une rencontre qui aboutira à la naissance deux enfants à domicile en toute liberté. Deux naissances différentes : une première qui a connu un long travail de 14 heures avec un long cheminement sur la libération de plusieurs peurs et blocages et une deuxième naissance dans l'eau avec une poche des eaux percée à la hâte !Margot vous transporte sur le cheminement qu'elle a eu, grâce à la maternité, tout au long de cet échange en vous invitant à vous interroger sur cette notion de liberté comme valeur fondamentale à la Vie sur Terre et comme état de conscience à incarner dans la façon dont on souhaite donner naissance.Margot revient aussi sur sa passion pour la Rose qui estnée de la rencontre avec deux grands-mères mexicaines qui lui ont transmis l'histoire de l'apparition de la Vierge de Guadalupe. A la suite de cette rencontre, Margot et Matthias ont créé leur entreprise LE CHEMIN DE LA ROSE qui produit des onctions et des cosmétiques à la Rose. Margot vous livre aussi l'une de ses créations, un conte spirituel " Une fleur venue du ciel". A ce titre, une campagne de réédition est à ce jour lancée avec en plus une version audio de ce conte proposée par Julie DRATWIAK ➡️ Faites éclore la 2ème édition d'Une fleur venue du Ciel ! - UluleJe vous souhaite une belle écoute les MaMaS et un beau voyage au cœur de la maternité de Margot ! Pour suivre Margot sur Instagram : @lechemindelarosePour suivre MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU, juriste, podcasteuse et conférencière. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jacqueline est petite-fille de lavandière à Laval. Sa grand-mère lavait le linge des autres, à la main, dans les eaux de la rivière. Quand elle était petite dans les années 30, Jacqueline l'accompagnait souvent au lavoir où se retrouvaient professionnelles et ménagères. La tâche était dure et un geste aussi banal que la lessive constituait pour les femmes une charge mentale doublée d'un effort physique ! Mais le lavoir était aussi un lieu de rencontre où les conversations allaient bon train !*** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "Racontez votre métier " - Radio France Mayenne - 07/06/2000.*** Crédits podcast *** Documentaliste : Anne Brulant - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Laurent Cazot - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anna Roy a consacré sa vie à accompagner les femmes, en tant que sage-femme, chroniqueuse et autrice. À travers son expérience, elle a vu à quel point les récits sur la vie des femmes – grossesse, sexualité, ménopause – sont souvent éloignés de la réalité.Dans cet épisode, elle nous raconte :Pourquoi tant de femmes se sentent “cassées” par leur vécu et comment les accompagner sans les enfermer dans un rôle de victimeLes injonctions autour du corps féminin et pourquoi il est urgent de déconstruire ces récits pour permettre aux femmes de vivre leurs expériences sans culpabilitéSon propre parcours de résilience, entre santé mentale, rapport au corps et quête d'un équilibre personnelOn parle aussi de l'importance de la transmission, de la bienveillance et du besoin de dire les choses telles qu'elles sont.Pourquoi culpabilise-t-on encore autant les femmes sur leur corps et leurs choix ?Comment repenser le rôle des professionnels de santé pour mieux accompagner les patientes ?Quelles sont les idées reçues sur la maternité qu'il faut absolument déconstruire ?***Invitée recommandé : Chantal BirmanLivre recommandé : Giocanda - NIkos KokantzisPour découvrir les coulisses du podcast : https://www.instagram.com/inpowerpodcast/ Pour retrouver Anna Roy sur les réseaux : https://www.instagram.com/_anna.roy_/?hl=frEt pour suivre mes aventures au quotidien : https://www.instagram.com/louiseaubery/ Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement : https://shows.acast.com/inpower/episodes/peut-on-aller-bien-dans-un-monde-qui-va-mal-avec-sophie-font Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Andrée, 73 ans en 1984, est sage-femme à la retraite. Son accent vient d'Alençon, en Normandie. De son temps, les sages femmes se déplaçaient dans les maisons pour accoucher les femmes. Andrée nous raconte comment ça se passait.***Crédits archives *** Extrait de l'émission radiophonique "Chasseurs de son : La naissance autrefois". Production Paul Robert. Reportage Pierre Légot - France Culture - 27/05/1984 ****** Crédits podcast *** Documentaliste : Stéphanie Place - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy - Enregistrement : Laurent Cazot - Voix off : Julia Bousquet - Musique(s) Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.
Comment aider les mères qui ont des difficultés post-partum ? Comment préparer psychologiquement les futurs maman à différents types d'accouchement ? Y a-t-il une liste de signes associés au psycho traumatisme ? La sage-femme Cypriane répond à ces questions dans ce nouveau bonus de "Symptômes" ! Retrouvez chaque mois, un nouvel épisode inédit de "Symptômes", ainsi qu'un bonus la semaine suivante.
Naomi Rossignol est un "petit oiseau migrateur", comme elle le dit si bien, qui vient dans cet épisode semer les graines de son savoir et de ses connaissances sur l'art du tissage des fibres naturelles. Naomi est française, née à Hong-Kong. Elle a toujours été portée par les voyages depuis son enfance sur un voilier jusqu'à ses 16 ans où elle partait découvrir l'Australie, puis la Russie. Elle a vécu plusieurs années en Asie et a voyagé plus récemment au Mexique, au Guatemala... Naomi a mené pendant plusieurs années une vie de danseuse classique casi- professionnelle. Alors qu'à la fin du Conservatoire, elle part à la frontière entre le Laos et la Birmanie, elle y rencontre des familles dans lesquelles les grands mères filent, brodent et tissent sur le pas de leur porte pour confectionner leurs propres vêtements. Là commence à germer en elle, la question suivante : comment sont confectionnés nos vêtements et avec quels matériaux ? Naomi vous embarque, alors, sur son chemin ô combien riche en épopées, en transmissions, en connaissances, en savoir Faire et savoir Être... Un Véritable voyage sur la symbolique du filage, du tissage et de la broderie dans et hors nos frontières... Un échange qui mène à une prise de conscience sur les vêtements que nous portons, sur les traditions ancestrales et artisanales afférentes au tissage et sur notre relation au tissu...Sans oublier, toute cette transmission que nous offre Naomi sur la genèse du tissage, sur ses rencontres avec les sages femmes à travers les pays qui sont, pour beaucoup, tisserandes...Sur l'accompagnement qu'elle propose aujourd'hui aux Femmes avec les ceintures qu'elle tisse, brode et/file. Naomi termine cet épisode avec un message fort sur l'appropriation culturelle... Un message construit et constructif sur l'origine du rebozo, sur l'histoire même de l'humanité qui n'est finalement que mouvement...Un épisode extrêmement riche d'apprentissages et de découvertes, nécessaire à notre meilleure compréhension de notre lien au tissu au-delà des cultures...Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS !Pour retrouver Naomi sur Instagram : @padmakshi.textile@rossignol.naomiPour se procurer son livre qu'elle a co-écrit avec Camille BRABANT : Fait maison - Filer les fibres naturellesPour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastMon site internet : mamelles.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[GRAINE DE METAMORPHOSE] Xavier Pitois reçoit Anna Roy, sage-femme et chroniqueuse. Comment dépasser les injonctions sociales liées au corps ? Par où commencer lorsqu'on veut amorcer une métamorphose, qu'elle soit physique ou intérieure ? Que révèle ce cheminement sur notre rapport à nous-mêmes et aux autres ? Au micro de Xavier Pitois, Anna Roy aborde son propre parcours pour mieux comprendre les défis liés au poids et proposer une autre manière d'aborder l'obésité avec nuance et bienveillance. Épisode #118Quelques citations du podcast avec Anna Roy :"Le Body Positivisme est absolument nécessaire mais il ne faut pas que cela vire à l'injonction d'accepter son corps tel qu'il est.""Il faut avouer cette part en soi de grossophobie et la combattre.""Il faut avoir une main tendue et de l'amour comme posture par défaut."Thèmes abordés lors du podcast avec Anna Roy :00:00 Introduction05:38 Qu'est-ce que l'obésité ?06:44 Obésité et isolement.07:33 Blessures invisibles et addiction au sucre.15:27 Body Positivisme et méfaits de la culpabilisation.17:00 L'obésité : un sujet peu traité par les médias.18:29 L'obésité heureuse est-elle possible ?19:06 Comment lutter contre la grossophobie ?20:31 Les outils pour se sevrer du sucre.22:46 Apprivoiser la honte.24:08 L'angoisse du retour à la vie normale.27:31 Stopper le jugement sur les autres.28:26 Connecter avec sa nouvelle identité.32:26 Le rôle de la bienveillance.Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Recevez un mercredi sur deux l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec les 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous gratuitement sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto (c) Juliette Paulet,_Allary Editions Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[GRAINE DE METAMORPHOSE] Xavier Pitois reçoit Anna Roy, sage-femme et chroniqueuse. Comment dépasser les injonctions sociales liées au corps ? Par où commencer lorsqu'on veut amorcer une métamorphose, qu'elle soit physique ou intérieure ? Que révèle ce cheminement sur notre rapport à nous-mêmes et aux autres ? Au micro de Xavier Pitois, Anna Roy aborde son propre parcours pour mieux comprendre les défis liés au poids et proposer une autre manière d'aborder l'obésité avec nuance et bienveillance. Épisode #118Quelques citations du podcast avec Anna Roy :"Le Body Positivisme est absolument nécessaire mais il ne faut pas que cela vire à l'injonction d'accepter son corps tel qu'il est.""Il faut avouer cette part en soi de grossophobie et la combattre.""Il faut avoir une main tendue et de l'amour comme posture par défaut."Thèmes abordés lors du podcast avec Anna Roy :00:00 Introduction05:38 Qu'est-ce que l'obésité ?06:44 Obésité et isolement.07:33 Blessures invisibles et addiction au sucre.15:27 Body Positivisme et méfaits de la culpabilisation.17:00 L'obésité : un sujet peu traité par les médias.18:29 L'obésité heureuse est-elle possible ?19:06 Comment lutter contre la grossophobie ?20:31 Les outils pour se sevrer du sucre.22:46 Apprivoiser la honte.24:08 L'angoisse du retour à la vie normale.27:31 Stopper le jugement sur les autres.28:26 Connecter avec sa nouvelle identité.32:26 Le rôle de la bienveillance.Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Recevez un mercredi sur deux l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec les 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous gratuitement sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto (c) Juliette Paulet, Allary Editions Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque semaine, nous recevons des experts qui vulgarisent avec nous des concepts, des histoires...Pour cet épisode, nous recevons Elise Calvez, elle est sage-femme et c'est elle qui se cache derrière le compte @doctogouine sur instagram. Elle va nous raconter son métier, Marie va nous confier que visiblement, elle avait une salle gueule à la naissance de son fils, et aussi on découvrira le petit côté Anne Geddes d'Elise dans des moments chelous. On parlera maltraitance des patientes, accueil des personnes LGBT, post partum et fausse couche Son instagram : https://www.instagram.com/doctogouine/--VULGAIREUn podcast de Marine Baousson et Marie Missetproduit par Marine Baousson / Studio BruneRéalisé par Antoine OlierGénérique : Romain BaoussonGraphisme et illustrations : Juliette PoneyCapsules Vidéo : Emma Estevezprogrammation : Louise Tempéreau Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oh le baby clash… j'en connais un rayon pour l'avoir vécu de plein fouet et avec des grandes conséquences. Mais si le sujet est tabou, il est plus fréquent qu'on ne le pense. 2 couples sur 3 vivent une crise à la naissance d'un enfant. Sans forcément entraîner une séparation, le baby clash bouscule et déstabilise bon nombre d'entre nous. Pour la première fois une professionnelle de la périnatalité s'est intéressée au phénomène pour apporter des réponses et solutions au délitement de notre couple. Anna Roy est sage femme, elle est chroniqueuse dans l'émission Les Maternelles et autrice. Son dernier livre Baby clash devenir parents sans s'étriper revient avec humour sur les 10 raisons qui pourraient vous y mener et comment s'en sortir plus fort. Si votre couple est en difficulté, si vous avez la sensation que vous allez étriper votre partenaire à chaque fois qu'il ou elle respire, si vous ne vous comprenez plus, si vous galérez à vous retrouver alors cet épisode est fait pour vous. LES LIENS UTILES : Les livres : Baby clash, devenir parents sans s'étriper ! Anna Roy, Caroline Michel Les associations : Périnée Bien-Aimé, Association pour la promotion du diagnostic et de la prise en charge des douleurs périnéales et vulvaires