Podcasts about didier lestrade

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didier lestrade

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Les histoires de 28 Minutes
Didier Lestrade / Donald Trump a-t-il capitulé face à la révolte des marchés ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 45:35


L'émission 28 minutes du 24/04/2025 Didier Lestrade, le cofondateur d'Act Up-Paris, infatigable combattant des années sidDidier Lestrade est une figure incontournable du militantisme pour la communauté LGBT en France. Il publie "Mémoires, 1958 - 2024", un ouvrage dans lequel il revient sur son parcours intime et militant. Arrivé à Paris en 1977, il collabore avec de nombreux magazines LGBT tels que “Gai Pied” ou “Magazine”. Alors que sa carrière de journaliste se concrétise, il découvre sa séropositivité en 1987. Ce diagnostic est le point de départ de son engagement politique pour la communauté gay : en 1989, face à l'épidémie de VIH et l'inaction des pouvoirs poublics, il co-fonde l'association Act Up-Paris, adepte des actions coup de poing. Pour Didier Lestrade, cela marque le début d'années de prévention face au VIH, de lutte pour les droits des minorités et de journalisme engagé, avec notamment la fondation du mensuel "Têtu". Depuis, il n'a jamais cessé de militer et d'écrire sur l'homosexualité, tout en trouvant refuge dans le jardinage qui l'a poussé à s'installer en Mayenne. Fed, droits de douane : Donald Trump a-t-il capitulé face à la révolte des marchés ? Face à la panique financière suscitée par sa politique commerciale, Donald Trump a annoncé mardi 22 avril qu'il ferait finalement volte-face, notamment concernant les droits de douane réciproques qu'il avait annoncés il y a quelques semaines. Il n'est plus question de faire couler la Chine sous des taxes exorbitantes (qui s'élèvent actuellement à 145 %), mais au contraire d'être "très gentil". Jerome Powell, directeur de la Réserve fédérale américaine qui avait refusé de baisser les taux directeurs comme l'exigeait Donald Trump, pourra finalement conserver son poste après que ce dernier l'ai menacé de le licencier et traité d' “immense loser”. Depuis ces rétropédalages, les bourses du monde entier sont en hausse. Mais quelles sont les motivations du président américain ? Donald Trump s'incline-t-il face aux marchés ? Ou souhaite-t-il retrouver la côte auprès des Américains qui sont en désaccord avec sa politique commerciale Marjorie Adelson nous met en garde contre la pénurie de pistaches à venir. Le coupable ? Le “chocolat Dubaï”, fourré à la crème de pistache et aux cheveux d'ange, la création d'une chocolatière émiratie qui suscite un engouement mondial. Marie Bonnisseau relate la déferlante de questionnaires de satisfaction qui harcèle les internautes, au point d'en fausser les résultats.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les concerts d'inter
The Hacker et Didier Lestrade

Les concerts d'inter

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 55:17


durée : 00:55:17 - Côté Club - par : Laurent Goumarre - Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités reçoit The Hacker pour son EP "Hyperstellar" et Didier Lestrade pour la parution de son livre "Mémoires 1958 - 2024" - réalisé par : Stéphane LE GUENNEC

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Coté club
The Hacker et Didier Lestrade

Coté club

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 55:17


durée : 00:55:17 - Côté Club - par : Laurent Goumarre - Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités reçoit The Hacker pour son EP "Hyperstellar" et Didier Lestrade pour la parution de son livre "Mémoires 1958 - 2024" - réalisé par : Stéphane LE GUENNEC

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HOMOMICRO
Saison 20 - Episode 17

HOMOMICRO

Play Episode Listen Later Mar 23, 2025 67:47


Avec Brahim NAÏT-BALK, retrouvez "Homomicro, le podcast qui se prend aux mots", avec l'invité du jour: - Didier LESTRADE présente son ouvrage « Mémoires 1958-2024 ». Interview Brahim NAÏT-BALK. Avec le Cercle des Chroniqueurs : - Daniel Conrad « Le Crash Test » consacré à notre invité Didier LESTRADE - Annabelle GUIRAUD « Santé pour Iel » "Histoire du Dr. Sara Josephine BAKER, médecin anti-discrimination" - Valérie BAUD « J'Écris Ton Nom » présentation du livre "Après Sappho" de Selby Wynn SCHWARTZ - Nathan HILLAIREAU « Les Sons de la Fierté » : "Back Home in Derry" de Christy MOORE (en l'hommage de la Saint-Patrick) / "Battle Isn't Over" de Nubiyan Twist Avec la participation de Nicolas RIVIDI Réalisation / Montage : Nathan Hillaireau Soutenez-nous sur PayPal !

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La marche du monde
SIDA, des vies pour mémoire

La marche du monde

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 48:30


Si Act-Up n'est pas la seule association à lutter contre le VIH, ses membres pionniers ont su créer l'évènement dans les années 90, en imaginant des actions spectaculaires pour briser le tabou du SIDA.   40 ans après la découverte du virus VIH par l'Institut Pasteur, et alors que la maladie a fait plus de 36 millions de morts dans le monde, nous revenons sur les enjeux mémoriels autour de l'épidémie du VIH-SIDA, les traces laissées dans l'espace public et sur la transmission d'une histoire encore marginalisée.SIDA, des vies pour mémoire, un documentaire de Maxime Grember, réalisé par Sophie Janin, produit par Valérie Nivelon. (Rediffusion) Avec les témoignages de :-  Christian de Leusse, fondateur de l'association marseillaise « Mémoires des sexualités »-  Gérard Bénéteau, prêtre au sein de l'Église Saint-Eustache entre 1984 et 2000-  Anne Rousseau Rambach, militante au sein d'Act Up-Paris entre 1991 et 1996, éditrice, romancière et scénariste-  Christophe Broqua, anthropologue, chercheur au CNRS, auteur de la thèse en sociologie « Engagements homosexuels et lutte contre le sida au sein de l'association Act Up-Paris »-  Fred Navarro, président d'Act Up-Paris entre 2012 et 2013. En 2017, le film de Robin Campillo 120 battements par minute marque un tournant dans la manière de représenter l'histoire du SIDA en France, et plus précisément celle d'Act Up-Paris, en apportant une visibilité nouvelle à la lutte qu'ont menée les premiers activistes du SIDA.Dernièrement, de grandes expositions comme celle du Mucem à Marseille en 2022, ou plus récemment celles du Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg ont montré qu'il y avait un besoin d'histoire, une nécessité à y revenir, à raconter ce qu'avait été l'épidémie du VIH-SIDA dans ses années les plus sombres.Mais malgré cette forme de patrimonialisation nouvelle, cette histoire reste encore méconnue du grand public, et finalement assez peu enseignée auprès des nouvelles générations chez qui le virus circule principalement aujourd'hui.Avec le temps, l'enjeu mémoriel autour du VIH-SIDA est devenu un enjeu politique. Que ce soit avec la pose de plaques de rues, la commande de fresques artistiques, ou encore la création du centre d'archives LGBTQI+ à Paris.Pour l'heure, un centre sans soutien réel des pouvoirs publics, ce qui amène bon nombre d'associations de lutte contre le SIDA à déposer de façon morcelée leurs archives sur l'ensemble du territoire français.Plus de 40 ans après les premiers morts du SIDA, les archives sont donc dispersées, les lieux de mémoire invisibilisés et les noms des disparus méconnus. Alors comment raconter cette histoire dont la liste des victimes s'allonge, bien que depuis 1996, les premiers traitements soient apparus et que la séropositivité n'est plus synonyme de condamnation à mort ? Archives :-  « ZAP du 1er novembre 1991 devant la cathédrale Notre-Dame de Paris ». © Act Up-Paris. Vidéo déposée aux Archives Nationales-  Interview de Christophe Martet, dans « Manifestations de Act Up », FR3 1992. © INA-  Interview de Cleews Vellay, dans « Parlez-moi d'argent », France Inter 1993. © INA. Bibliographie :- « Act Up, Une histoire », de Didier Lestrade (La Découverte, 2022)- « Agir pour ne pas mourir ! Act Up, les homosexuels et le sida », de Christophe Broqua (Presses de Sciences Po, 2005) - « VIH/SIDA, L'épidémie n'est pas finie », catalogue de l'exposition du Mucem, ouvrage collectif. (Anamosa, 2021). Musiques :- Orgue de Saint-Eustache- « It's a sin » des Pet Shop Boys- « Live to Tell » de Madonna- « Toxic » de Britney Spears- « Hideous » d'Oliver Sim. Films :- « 120 battements par minute », (Robin Campillo, 2017)- « Portrait d'une présidente », (Brigitte Tijou, 1995)- « Act Up, Sida Guerilla », (Agence Capa, 1993). Ressources :- The Aids Memorial - Le collectif Archives LGBTQI+ de Paris. Remerciements :- L'association Act Up-Paris : Julien Bruneau- Les Archives Nationales : Lucile Douchin, Vanessa Szollosi et Sandrine Gill- L'École des Beaux-Arts de Paris : Sarah Pépin et Philippe Pucyclo- Gérard Beneteau, Anne Rousseau Rambach, Christophe Broqua, Fred Navarro, Christian de Leusse, Didier Lestrade, Lalla Kowska Régnier, Jean-Luc Armani, Mikael Zenouda, Michel Bourrelly, Clem Hue, Renaud Chantraine, Nicolas Hardy, Pauline Gallinari et Ania Szczepanska. Diaporama

La marche du monde
SIDA, des vies en mémoire

La marche du monde

Play Episode Listen Later Nov 30, 2023 48:29


Si Act-Up n'est pas la seule association à lutter contre le VIH, ses membres pionniers ont su créer l'évènement dans les années 90, en imaginant des actions spectaculaires pour briser le tabou du SIDA. 40 ans après la découverte du virus VIH par l'Institut Pasteur, et alors que la maladie a fait plus de 36 millions de morts dans le monde, nous revenons sur les enjeux mémoriels autour de l'épidémie du VIH-SIDA, les traces laissées dans l'espace public et sur la transmission d'une histoire encore marginalisée.  SIDA, des vies en mémoire, un documentaire de Maxime Grember, réalisé par Sophie Janin, produit par Valérie Nivelon.Avec les témoignages de :-  Christian de Leusse, fondateur de l'association marseillaise « Mémoires des sexualités »-  Gérard Bénéteau, prêtre au sein de l'Église Saint-Eustache entre 1984 et 2000-  Anne Rousseau Rambach, militante au sein d'Act Up-Paris entre 1991 et 1996, éditrice, romancière et scénariste-  Christophe Broqua, anthropologue, chercheur au CNRS, auteur de la thèse en sociologie « Engagements homosexuels et lutte contre le sida au sein de l'association Act Up-Paris »-  Fred Navarro, président d'Act Up-Paris entre 2012 et 2013. En 2017, le film de Robin Campillo 120 battements par minute marque un tournant dans la manière de représenter l'histoire du SIDA en France, et plus précisément celle d'Act Up-Paris, en apportant une visibilité nouvelle à la lutte qu'ont menée les premiers activistes du SIDA.Dernièrement, de grandes expositions comme celle du Mucem à Marseille en 2022, ou plus récemment celles du Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg ont montré qu'il y avait un besoin d'histoire, une nécessité à y revenir, à raconter ce qu'avait été l'épidémie du VIH-SIDA dans ses années les plus sombres.Mais malgré cette forme de patrimonialisation nouvelle, cette histoire reste encore méconnue du grand public, et finalement assez peu enseignée auprès des nouvelles générations chez qui le virus circule principalement aujourd'hui.Avec le temps, l'enjeu mémoriel autour du VIH-SIDA est devenu un enjeu politique. Que ce soit avec la pose de plaques de rues, la commande de fresques artistiques, ou encore la création du centre d'archives LGBTQI+ à Paris.Pour l'heure, un centre sans soutien réel des pouvoirs publics, ce qui amène bon nombre d'associations de lutte contre le SIDA à déposer de façon morcelée leurs archives sur l'ensemble du territoire français.Plus de 40 ans après les premiers morts du SIDA, les archives sont donc dispersées, les lieux de mémoire invisibilisés et les noms des disparus méconnus. Alors comment raconter cette histoire dont la liste des victimes s'allonge, bien que depuis 1996, les premiers traitements soient apparus et que la séropositivité n'est plus synonyme de condamnation à mort ? Archives :-  « ZAP du 1er novembre 1991 devant la cathédrale Notre-Dame de Paris ». © Act Up-Paris. Vidéo déposée aux Archives Nationales-  Interview de Christophe Martet, dans « Manifestations de Act Up », FR3 1992. © INA-  Interview de Cleews Vellay, dans « Parlez-moi d'argent », France Inter 1993. © INA. Bibliographie :- « Act Up, Une histoire », de Didier Lestrade (La Découverte, 2022)- « Agir pour ne pas mourir ! Act Up, les homosexuels et le sida », de Christophe Broqua (Presses de Sciences Po, 2005) - « VIH/SIDA, L'épidémie n'est pas finie », catalogue de l'exposition du Mucem, ouvrage collectif. (Anamosa, 2021). Musiques :- Orgue de Saint-Eustache- « It's a sin » des Pet Shop Boys- « Live to Tell » de Madonna- « Toxic » de Britney Spears- « Hideous » d'Oliver Sim. Films :- « 120 battements par minute », (Robin Campillo, 2017)- « Portrait d'une présidente », (Brigitte Tijou, 1995)- « Act Up, Sida Guerilla », (Agence Capa, 1993). Ressources :- The Aids Memorial - Le collectif Archives LGBTQI+ de Paris. Remerciements :- L'association Act Up-Paris : Julien Bruneau- Les Archives Nationales : Lucile Douchin, Vanessa Szollosi et Sandrine Gill- L'École des Beaux-Arts de Paris : Sarah Pépin et Philippe Pucyclo- Gérard Beneteau, Anne Rousseau Rambach, Christophe Broqua, Fred Navarro, Christian de Leusse, Didier Lestrade, Lalla Kowska Régnier, Jean-Luc Armani, Mikael Zenouda, Michel Bourrelly, Clem Hue, Renaud Chantraine, Nicolas Hardy, Pauline Gallinari et Ania Szczepanska. Diaporama 

The Radio 3 Documentary
Scott Ross - Harpsichord Rebel

The Radio 3 Documentary

Play Episode Listen Later Jan 15, 2023 43:35


In 1984, an American harpsichord player called Scott Ross quit a teaching job in Canada and returned to France, the country that since he was a teenager had been his adopted home. It was the year that Frankie Goes to Hollywood had a Europe-wide hit with Two Tribes and Steve Jobs launched the Macintosh personal computer. But Ross had an idea with more of a baroque feel. In Paris, he met a producer at Radio France, Nicolas Bomsel, and suggested a project that most musicians would consider absurd: recording all 555 keyboard sonatas by Domenico Scarlatti. By 1989, Ross was dead, aged just 38. Did he know he was ill when he pitched the project? Was it a test of human endurance against the odds? Did he succeed? And who was Scott Ross, a man who has been called ‘early music's bad boy' and ‘the John McEnroe of the harpsichord'? Also, how is it that a musician who's widely considered to be the best harpsichord player of his generation remains little known in the UK? These are questions posed by music journalist Phil Hebblethwaite in this Sunday Feature. To find answers, Hebblethwaite travels to France (Montpellier, Assas and Paris), speaking to those who knew and loved Ross, and tracks down two former students of Ross's from his decade in Canada. A portrait of a complex, contradictory musician emerges – a man with a tragic early life who, Hebblethwaite finds, seems to slip further away the better he gets to know him. With contributions from Nicolas Bomsel, Michel Proulx, Marie-Claire Demangel, Henri Prunières, Jocelyne Chaptal, Catherine Perrin, Mario Raskin, and Didier Lestrade. Written and presented by Phil Hebblethwaite Produced by Tom Woolfenden A Loftus Media production

Invité du jour
Activisme : pour Didier Lestrade (Act Up-Paris), "c'est important de choquer l'opinion"

Invité du jour

Play Episode Listen Later Dec 1, 2022 12:39


En cette journée mondiale de lutte contre le sida, l'invité de "Paris Direct" est Didier Lestrade, l'un des cofondateurs de l'organisation militant contre le VIH Act Up-Paris. Il explique que les mouvements militants actuels, notamment écologiques, empruntent beaucoup aux méthodes "coup de poing" et choc introduites par le mouvement Act Up dans la lutte contre le sida dans les années 1990.

Films récents - FilmsDocumentaires.com
L'Étincelle : une histoire des luttes LGBT+

Films récents - FilmsDocumentaires.com

Play Episode Listen Later Oct 6, 2021


Une histoire de la lutte LGBT des années soixante à nos jours, après que l'étincelle des émeutes de Stonewall a embrasé l'action militante qui, de New York, devait se répandre partout dans le monde.De San Francisco à Paris en passant par Amsterdam, entre les premières Gay Pride, l'élection d'Harvey Milk, la « dépénalisation » française, l'épidémie du Sida et les premiers mariages homosexuels, ces quelques décennies de lutte s'incarnent au travers de nombreux témoignages d'acteurs et actrices de cette révolution arc-en-ciel.Avec la participation de : Bertrand Delanoë, Robert Badinter, Gérard Lefort, Dustin Lance Black, John Cameron Mitchell, Cleve Jones, Hervé Latapie, Lillian Faderman, Marie Kirschen, Didier Lestrade, Gérard Koskovich, Marie-Jo Bonnet, Edmund White, Jenny Bel'airBonus DVD :Autour de L'étincelle, avec Benoît Masocco (20')Entretiens : Robert Badinter (22') - Marie-Jo Bonnet (22') - Bertrand Delanoë (12') - Didier Lestrade (15')Biofilmographie de Benoît MasoccoAudio : VOST DD 2.0 - Sous-titrage : Français, AnglaisFormat TV : 16/9 Anamorphique - Format Cinéma: 1.78DVD Pal Zone 2

JINS
ÉP 59 : Islam, arabité et séropositivité (hors-série)

JINS

Play Episode Listen Later Sep 16, 2021 16:03


Ce 4ème mini-épisode hors-série entend combiner l'identité arabo-musulmane en France et la séropositivité au VIH. C'est un sujet qui me tient très à cœur et pour lequel il est indispensable d'effacer les stéréotypes. Selon l'ONU, 1,7 million de personnes ont contracté le VIH l'an dernier et plus de 40 millions de personnes vivent avec actuellement. Je ne vais pas vous faire un exposé sur les trithérapies, les sarcomes de Kaposi, l'inhibiteur de protéase ou l'épidémiologie historique de la maladie. Je vais plutôt vous montrer en quoi il est insoutenable de vivre avec son symptôme le plus persistant : la sérophobie.  On m'a dit « elle je la touche pas avec un bâton, ça s'voit elle a l'DAS ». On a dit « regarde sa gueule à lui, il prend tellement cher qu'on dirait un zombie sidatique ». On m'a dit que « si j'avais le SIDA, ce serait de ma faute et qu'on viendra pas me soutenir à l'hôpital. ». On dit « si t'as le SIDA, c'est que t'es sûrement pédé ».  Toutes ces remarques odieuses, c'est purement et simplement de la sérophobie, c'est-à-dire le rejet et la discrimination des personnes séropositives. Il existe une réelle discrimination sociale de la part de l'entourage, de l'employeur, du corps médical et des institutions… comme c'est bizarre, on dirait qu'on parle de ce que subissent certaines personnes musulmanes ou racisées ! Rappelons que Jean-Marie Le Pen voulait créer des « sidatoriums » pour isoler les porteurs du VIH et les traiter hors du cadre médico-hospitalier, des camps qui rappellent d'autres camps de la mort. En Égypte, plusieurs personnes porteuses du virus ont été incarcérées arbitrairement depuis 2007 pour la simple raison qu'elles étaient séropositives… Alors oui, il faut parler de l'intersectionnalité entre islam, culture arabe et cette sérophobie latente dont souffre les personnes qui vivent avec le VIH ou le SIDA.  En France, 173 000 personnes vivent avec le VIH. 24 000 ignorent qu'ils sont porteurs. 1/4 découvrent leur séropositivité trop tard. Un quart des 15-24 ans (24%) pensent encore que le virus du Sida peut se transmettre par un baiser (ce qui est faux), selon un sondage mené en 2021 par l'Ifop. Bon alors, comment déconstruire la peur du VIH ? Comment éviter les conséquences psychologiques de la sérophobie sur les personnes concernées : rejet, exclusion, moqueries, discriminations ? Est-ce qu'il y a des similitudes entre sérophobie, islamophobie et racisme ? Est-ce Allah qui nous punit de nos actes de fornication ? Si vous voulez bouquiner

Transmission
Didier Lestrade, Act Up et le dancefloor

Transmission

Play Episode Listen Later May 5, 2021 65:42


Transmission (10/10) : de la house music à l'activisme LGBT Didier Lestrade, écrivain, journaliste et cofondateur d'Act Up-Paris a signé une des pages les plus importantes du militantisme français en tant que figure majeure du mouvement LGBT. Né en Algérie en 1958, il grandit dans la campagne de la vallée du Lot avant de rejoindre Paris à 19 ans, sans le baccalauréat, à la conquête d'un nouveau monde. Un monde où l'on se sent moins seul pour partager et vivre ses désirs et ses amours. Il cultive un goût prononcé pour l'univers et l'esthétique gay qu'il concrétise en lançant à 22 ans la revue « Magazine » qui lui ouvre la voie vers le métier de journaliste, collaborant avec la presse homosexuelle de l'époque ainsi qu'au quotidien Libération où il chronique la Dance Music(1).  Une culture musicale issue de la communauté gay outre-atlantique et qui fait des ravages dans les boites gay parisiennes qu'il fréquente assidument.  L'époque de la libération (sexuelle) sera de courte durée. L'épidémie du Sida commence à frapper et il n'est pas épargné : en 1986, alors âgé de 28 ans Didier Lestrade apprend qu'il est séropositif.  Dans un geste qu'il explique comme « le besoin de donner quelque chose en retour à sa communauté » , il co-fonde en 1989 , avec ses amis Pascal Loubet et Luc Coulavin , Act Up-Paris, association militante de lutte contre le Sida issue de la communauté homosexuelle suivant le modèle américain né deux ans plus tôt. Pour lutter contre l'indifférence générale, un âpre combat est alors livré par l'association contre l'Etat mais aussi contre l'industrie pharmaceutique pour la prise en charge des malades. Ce combat est une épopée majeure dans l'histoire de la désobéissance civile,  c'est aussi une avancée décisive pour l'accompagnement des malades dont chacun profite aujourd'hui. La guerre est menée tambour battant, actions coups de poing d'un côté, recherches médicales de l'autre, comme en témoigne le magnifique film de Robin Campillo «120 battements par minute » sorti en 2017, et dont Didier Lestrade a inspiré un des personnages principaux. Rescapé, survivant de la maladie, Didier Lestrade est aujourd'hui installé à la campagne , où il vit de peu et prône la décroissance(2). Auteur de plusieurs livres dont « Act Up, une histoire » (Denoel, 2000) qui relate les premières années de l'association, Didier Lestrade est un conteur fabuleux à la mémoire précise et au verbe sincère. Toujours fidèle à la communauté qui l'a construit, il raconte avec générosité sa vie de justes combats et de passions durables.(1) Chroniques cultes sur la House Music dont une sélection a été publiée sous le titre "Chroniques du dance floor. Libération 1988-1999",  Ed. Singulier, 2010.(2) "Cheikh. Journal de campagne", Flammarion, 2007."I love porn" sortira le 2 septembre 2021 aux éditions du Détour.  Pourquoi ces morceaux ont compté pour Didier Lestrade :- BRONSKI BEAT : « Need A man Blues » : "Tout le premier album de Bronski Beat (1984) est unique dans le sens où le groupe était ouvertement gay quand beaucoup d'artistes pop cachaient encore leur sexualité". - ARETHA FRANKLIN : « Say A Little Prayer » : "Première chanteuse noire découverte dans la collection de disques de mon père". - WINGS: « Wild Life » : "Un des premiers morceaux à aborder la condition animale et l'écologie". - MARSHALL JEFFERSON @ TRUTH : « Open your Eyes » : "Premier disque de deep house (1988) avec un fort message spirituel et politique". La playlist "dance music" des sons rythmant l'épisode est disponible sur Deezer et Spotify. Aude Lavigne : Journaliste et productrice à Radio France de 1999 à 2020, elle a animé de nombreuses émissions culturelles sur France Culture et France Musique. De 2010 à 2020, elle a présenté l'émission « Les carnets de la création» consacrée à la découverte de jeunes artistes dans toutes les disciplines. En parallèle elle a réalisé des documentaires de société pour les émissions  « Surpris par la nuit », « Les pieds sur terre » ou « Sur les docks » pour France Culture. Par ailleurs,  elle a collaboré avec le Théâtre de la Bastille au titre de conseillère artistique. Elle mène actuellement pour le Théâtre Nanterre-Amandiers le podcast «radio amandiers - revue sonore » avec Alexandre Plank et Making Waves.      Le podcast TransmissionBrigitte Fontaine, Marsu (Bérurier Noir), Patrice Leconte, Pierre Lescure, Lio… Musiciens, écrivains, producteur ou directeur de chaîne, ils ont bousculé l'écriture, dynamité le rock, émancipé la chanson ou oxygéné la télé. Seuls ou en bande, dans une galaxie alors privée d'Internet, ils ont remué la France avec des rythmes nouveaux et des styles audacieux. Leurs trajectoires illustrent le bien-fondé de la révolte et de la quête de nouveauté. Ces pionniers de la pop culture se racontent dans Transmission, podcast mensuel coproduit par ARTE Radio et La Fab. – fonds de dotation agnès b. Archives et musiques originales enrichissent ces récits à la première personne, menés par des intervieweurs complices mais pas trop, tels que Thomas Baumgartner, Laurence Garcia ou Étienne Menu. Un tête-à-tête d'une heure avec des parcours singuliers, défricheurs et inspirants pour réconcilier boomers et millennials. Enregistrements : 2020 - Prises de son : Nathalie Battus - Voix, entretien, montage : Aude Lavigne - Réalisation & mix : Charlie Marcelet - Illustrations : Hermione Volt - Production : ARTE Radio et la Fab.

Bookmakers
Tristan Garcia (2/4)

Bookmakers

Play Episode Listen Later Sep 17, 2020 41:21


La part des choses Bookmakers #4 - L'écrivain du mois : Tristan GarciaÀ l'aube de ses 40 ans, Tristan Garcia est déjà l'auteur de quinze ouvrages, dont la puissance d'imagination, la rigueur conceptuelle et la variété laissent pantois. Originaire de Toulouse, ce romancier et professeur de philosophie installé à Lyon se fait connaître à 27 ans avec « La meilleure part des hommes », un « conte moral » sur les ravages du sida dans le Paris des années 90, distingué du prix de Flore et traduit en quatre langues. Dans ses romans, ce fan de science-fiction et de littérature de genre écrit sur nos futurs, l'ultragauche, les sports oubliés ou un singe surdoué, sans oublier ses essais théoriques sur le droit des animaux, l'intensité, le sens du collectif ou la série « Six Feet Under ». En 2015, son recueil magistral de sept histoires fantastiques, paru sous le titre « 7 », reçoit le prix du Livre Inter et s'écoule à 60 000 exemplaires. En partenariat avec Babelio (2/4) La part des choses« Le pic de l'autofiction parisienne m'énervait. Je me suis dit : tente le contre-pied radical, très loin de toi, sur une expérience non-vécue. » Quand Tristan Garcia s'attelle en 2006, à 25 ans, à l'écriture de « La meilleure part des hommes », qui sera son premier roman publié deux ans plus tard aux éditions Gallimard, ce Toulousain straight, pudique et poli, qui ne connaît de Paris que « trois stations de métro », s'efforce d'adopter « une autre manière d'aimer, de parler, de penser ». Et choisit d'entrecroiser, « avec vitesse et impureté », dans les années 90 contaminées par le sida, les langues et les destins d'un écrivain gay toxicomane adepte de l'amour sans capote (fortement inspiré de Guillaume Dustan), d'une figure du militantisme de prévention (on pense vite à Didier Lestrade, fondateur d'Act-Up), d'un philosophe de gauche qui vire réactionnaire (beaucoup y ont vu le parcours d'Alain Finkielkraut) et d'une journaliste de Libé – caricaturale et, de son propre aveu, « ratée » –, qui fait le lien entre les trois.Distingué du très branché prix de Flore et vendu à 50 000 exemplaires, traduit en quatre langues et monté au théâtre, « La meilleure part des hommes » vaudra à Tristan Garcia énormément d'embarras et de malentendus. S'il ne s'agit pas de la meilleure part de son œuvre, cette entrée en littérature riche en enseignements va nous permettre, dans ce deuxième épisode, de réfléchir à des questions capitales pour notre époque : comment se projeter dans un autre genre que le sien ? Et l'usage du mot « pédé » quand on est hétéro, c'est OK ou pas ? Enregistrements : juillet 20 - Entretien, découpage et lectures : Richard Gaitet - Prise de son : Arnaud Forest - Montage : Sara Monimart - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Production : ARTE Radio

Bookmakers
Bookmakers : Tristan Garcia (2/4)

Bookmakers

Play Episode Listen Later Sep 17, 2020 41:21


La part des choses Bookmakers #4 - L'écrivain du mois : Tristan GarciaÀ l'aube de ses 40 ans, Tristan Garcia est déjà l'auteur de quinze ouvrages, dont la puissance d'imagination, la rigueur conceptuelle et la variété laissent pantois. Originaire de Toulouse, ce romancier et professeur de philosophie installé à Lyon se fait connaître à 27 ans avec « La meilleure part des hommes », un « conte moral » sur les ravages du sida dans le Paris des années 90, distingué du prix de Flore et traduit en quatre langues. Dans ses romans, ce fan de science-fiction et de littérature de genre écrit sur nos futurs, l'ultragauche, les sports oubliés ou un singe surdoué, sans oublier ses essais théoriques sur le droit des animaux, l'intensité, le sens du collectif ou la série « Six Feet Under ». En 2015, son recueil magistral de sept histoires fantastiques, paru sous le titre « 7 », reçoit le prix du Livre Inter et s'écoule à 60 000 exemplaires. En partenariat avec Babelio (2/4) La part des choses« Le pic de l'autofiction parisienne m'énervait. Je me suis dit : tente le contre-pied radical, très loin de toi, sur une expérience non-vécue. » Quand Tristan Garcia s'attelle en 2006, à 25 ans, à l'écriture de « La meilleure part des hommes », qui sera son premier roman publié deux ans plus tard aux éditions Gallimard, ce Toulousain straight, pudique et poli, qui ne connaît de Paris que « trois stations de métro », s'efforce d'adopter « une autre manière d'aimer, de parler, de penser ». Et choisit d'entrecroiser, « avec vitesse et impureté », dans les années 90 contaminées par le sida, les langues et les destins d'un écrivain gay toxicomane adepte de l'amour sans capote (fortement inspiré de Guillaume Dustan), d'une figure du militantisme de prévention (on pense vite à Didier Lestrade, fondateur d'Act-Up), d'un philosophe de gauche qui vire réactionnaire (beaucoup y ont vu le parcours d'Alain Finkielkraut) et d'une journaliste de Libé – caricaturale et, de son propre aveu, « ratée » –, qui fait le lien entre les trois.Distingué du très branché prix de Flore et vendu à 50 000 exemplaires, traduit en quatre langues et monté au théâtre, « La meilleure part des hommes » vaudra à Tristan Garcia énormément d'embarras et de malentendus. S'il ne s'agit pas de la meilleure part de son œuvre, cette entrée en littérature riche en enseignements va nous permettre, dans ce deuxième épisode, de réfléchir à des questions capitales pour notre époque : comment se projeter dans un autre genre que le sien ? Et l'usage du mot « pédé » quand on est hétéro, c'est OK ou pas ? Enregistrements : juillet 20 - Entretien, découpage et lectures : Richard Gaitet - Prise de son : Arnaud Forest - Montage : Sara Monimart - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot - Production : ARTE Radio

Avenue Red
Avenue Red Podcast #133 - Georges White

Avenue Red

Play Episode Listen Later Jul 6, 2019 170:21


Well, this is one hell of a mix! It's an utterly dazzling performance, a 3-hour marathon run through all of the key music that is/has been the most important and influential to the DJ. We'll let the French man with the skills, Georges White, talk the rest with his words and this rock-solid mix. "Born in the north east of France, since childhood I've been passionate about music, digging aimlessly and secretly through the vinyl collection of my father, going to the roots of blues and soul music, while also checking out the kraut and psychedelic side of 70's rock of Pink Floyd and Tangerine Dream. This took me pretty naturally towards listening to electronic music very young, to the new wave and cold sound of Depeche Mode, The Human League or New Order while I was always obsessed by black music and listening to hip hop, funk and disco before discovering house and techno in the early 90's. It was unconsciously but already clear for me that music is like a journey into life itself and it will made mine for a long time. Thanks to radio shows on Maxximum or later Couleur 3 and the reviews from influential journalists like Didier Lestrade in Liberation then in Coda. Through the years I've developed an insatiable thirst for new sounds and attitudes, creations, all that we called at that time culture. That explains my bent for groove in all forms and mixtures. But I'm firstly a 'searcher head' musical lover, moved by his passion for music and arts, whatever the boundaries of styles or countries of origin, letting inner moods and emotions drive the way, where simply 'when it sounds good I play'. Wherever life brings you, in the south or the north of France, where I met nice, special and inspirational people behind music too, among many others DJ Bouto from La Bande Adhésive, who gave me my first gig at la Poudrière in Belfort or later Steve Sibra, host of the 'Laboratoire Sonore' radio show in Montpellier, where I made many free-focused reviews during twelve years. Every meet is like a gate to a new universe, an opportunity of discovering something else you did'nt know before. A new territory. That's my point about music too. The main idea behind this session is to gather and link all the artists, labels and styles I have loved over the years in one take, melting emotions and grooves selected in this mid-year area. As the confrontation of atmospheres, life/world changes, past and present building another future, furtive thoughts and perceptions refracted and flowed through the body and soul, this session would dive you deep into this intimate experience, when time, music and people are connected to each other. Love, passion and pleasure are the only red wire through all tracks here and the story they tell together. Like an instant photography of my current situation, this is the soundtrack of my new life. I hope you'll enjoy it!!" Georges White, July 2019 https://soundcloud.com/georges-white PS. The photograph for the artwork was provided by Georges' girlfriend, Nath White // https://soundcloud.com/nathalie-vittu

Les Rencontrres de Pétrarque
La rue comme espace d'inititation et d'affirmation

Les Rencontrres de Pétrarque

Play Episode Listen Later Jul 4, 2019 58:53


durée : 00:58:53 - Les Rencontres de Pétrarque - par : Jean Birnbaum, Hervé Gardette - La rue est à la fois un lieu d’apprentissage et d’affirmation politique. Un lieu de transmission également entre les générations. - invités : Didier LESTRADE, Emmanuelle Reungoat, Inna Shevchenko - Didier Lestrade : journaliste et écrivain, figure du militantisme LGBT, co-fondateur d'Act Up Emmanuelle Reungoat : maîtresse de conférences en Science politique à l'Université de Montpellier Inna Shevchenko : leader du mouvement Femen

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Du grain à moudre
La rue comme espace d'inititation et d'affirmation

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Jul 4, 2019 58:53


durée : 00:58:53 - Les Rencontres de Pétrarque - par : Jean Birnbaum, Hervé Gardette - La rue est à la fois un lieu d’apprentissage et d’affirmation politique. Un lieu de transmission également entre les générations. - invités : Didier LESTRADE, Emmanuelle Reungoat, Inna Shevchenko - Didier Lestrade : journaliste et écrivain, figure du militantisme LGBT, co-fondateur d'Act Up Emmanuelle Reungoat : maîtresse de conférences en Science politique à l'Université de Montpellier Inna Shevchenko : leader du mouvement Femen

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Le grand podcast de voyage
La rue comme espace d'inititation et d'affirmation

Le grand podcast de voyage

Play Episode Listen Later Jul 4, 2019 58:53


durée : 00:58:53 - Les Rencontres de Pétrarque - par : Jean Birnbaum, Hervé Gardette - La rue est à la fois un lieu d’apprentissage et d’affirmation politique. Un lieu de transmission également entre les générations. - invités : Didier LESTRADE, Emmanuelle Reungoat, Inna Shevchenko - Didier Lestrade : journaliste et écrivain, figure du militantisme LGBT, co-fondateur d'Act Up Emmanuelle Reungoat : maîtresse de conférences en Science politique à l'Université de Montpellier Inna Shevchenko : leader du mouvement Femen

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Les Abyssales
Les Abyssales EP29 - A Summer Path

Les Abyssales

Play Episode Listen Later Jul 20, 2018 114:19


Du soleil, un vent léger, une chaleur présente mais pas excessive, et la playlist des Abyssales pour vous accompagner.Entre house et techno époque 90, bass et autres délices ambient, notre seul espérance est que vous nous emportiez avec vous pendant cet été, que vous soyez en vacances, au bureau, ou partout ailleurs où il est possible d’écouter cette 29ème session. TRACKLIST Joey Negro – Latican Boogie (Crackazat Remix) “Latican Boogie” Z Records 2018 Jimpster – Lighthouse V/A Hallo Montag 2018 Pt 2 Suol Records 2018 The Youngsters – Spanish Harlem “Spanish Harlem” F Communications 2001 Vernon’s Wonderland – Vernon’s Wonderland (Wake Up Mix) “Vernon’s Wonderland’s Remixes” Eye Q Records 1996 Moresounds – Positive Yourself “Mutation Experts EP” Cosmic Bridge 2017 Martyn – Feel The Magnetism “V/A Inside Out (Will Saul)” Aus Music 2018 Zomby – Tears In The Rain “Where Were U In ‘92” Werk Discs 2008 LA RECO DES ABYSSALES : EFF DST – Out Of Body “Out Of Body” Hymen Records 2018 Olaf Hund – We Love Electronic “Music is dead” Musiques Hybrides – Digital 2012 Terekke – Need U “Plant Age” L.I.E.S. 2017 Hector Breus – Introspection (Maison) “Electronique Musique Maison” Self Released 2016 Ben Lukas Boysen – Golden Times I “Golden Times I” Erased Tapes 2017BONUS TRACK : bvdub – A Careful Ecstasy NOTES DE L’EMISSION Zomby, puisqu’il s’agit de son nom de scène, sévit dans le style « rave » un style qui regroupe en réalité un très large éventail des musiques électroniques des années 90.Un revival a été opéré il y a quelques années, dont le duo français Minimum Syndicat nous parle avec assez de justesse. F Communications, ou FCom… Une lettre qui a fait rêvé tant de rêveurs électroniques. Un morceau de patrimoine musicale français, tombé aujourd’hui dans les oubliettes, dont le son a quelque peu vieilli (surtout sur les premiers EPs), mais qui ne doit pas être oublié.Le livre de Laurent Garnier, « Electrochoc », par ailleurs co-fondateur du label avec Eric Morand, vous ouvre les portes de l’histoire de la dernière révolution musicale du XXème siècle. A posséder absolument. A lire également, en écho de ce que nous disions dans l’émission, le très bon papier de Didier Lestrade, à lire sur Noisey. LA RECO DES ABYSSALES Nouvelle rubrique de ces notes qui accompagne le podcast, nous vous amènerons désormais une suggestion d’écoute parmi la sélection proposée plus haut.Pour cette émission, nous vous avons choisi le second long format d’EFF DST pour le label Hymen Records.Frissons organiques garanties entre IDM, glitch et electronica. Un mix impeccable et un univers sombre qui vous fera voir l’été d’une autre façon. EFF DST - Out Of Body 2018 Hymen Records

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Cinémas Les 400 coups
120 battements par minute - Présentation - 29/09/2017

Cinémas Les 400 coups

Play Episode Listen Later Sep 30, 2017 7:15


La présentation par Didier Lestrade, co-fondateur d’Act Up-Paris.

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Cinémas Les 400 coups
120 battements par minute - Débat - 29/09/2017

Cinémas Les 400 coups

Play Episode Listen Later Sep 30, 2017 68:07


Le débat avec Didier Lestrade, co-fondateur d’Act Up-Paris.

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