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durée : 00:27:24 - Les Midis de Culture - par : Lucile Commeaux - Au programme de ce débat critique consacré au cinéma, en direct du 78ᵉ festival de Cannes, trois films : "Mission : Impossible – The Final Reckoning" de Christopher McQuarrie, "Alpha" de Julia Ducournau et "Enzo" de Laurent Cantet et Robin Campillo. - réalisation : Laurence Malonda, Anne-Laure Chanel - invités : Théo Ribeton Journaliste français; Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma
durée : 00:05:55 - Les Midis de Culture - par : Lucile Commeaux - Nos critiques discutent d'"Enzo", film posthume de Laurent Cantet poursuivi par Robin Campillo, qui suit un adolescent apprenti maçon à La Ciotat, tentant d'échapper à une famille aisée mais étouffante. - réalisation : Laurence Malonda, Anne-Laure Chanel - invités : Théo Ribeton Journaliste français; Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma
Tous les cinémas du monde prend ses quartiers cannois et s'installe sur le pavillon des cinémas du monde pour rendre compte du 78ème festival de Cannes. Une édition placée d'emblée sous le signe de la politique et des chaos du monde. Cette année sous les paillettes, la gravité fait plus qu'affleurer.En tout, une centaine de longs métrages sont projetés au festival de Cannes.Nous vous racontons l'atmosphère des premiers jours de cette 78ème édition, et nous concentrons sur les deux sections dont RFI est partenaire : La Quinzaine des cinéastes, avec son délégué général Julien Rejl et la Semaine de la critique représentée par Ava Cahen. À l'affiche de notre cinéma : une rencontre avec Robin Campillo, qui a réalisé le film d'ouverture de la Quinzaine, Enzo, en reprenant le projet de son ami Laurent Cantet, décédé juste avant le début du tournage.Nous avons également rencontré Laura Wandel, dont le deuxième long métrage, L'intérêt d'Adam, a fait l'ouverture de la Semaine de la critique.Musiques : Supernature de Cerrone, et Netara de Fatoumata Diawara.
In diretta da Cannes con Pierfrancesco Favino sul film “Enzo” di Robin Campillo. Il discorso di Robert De Niro durante la consegna della Palma d'Oro alla Carriera e l'intervento di Juliette Binoche alla Cerimonia d'Apertura. Andrea Chimento critico inviato per Il Sole 24 Ore e Cristiana Paternò direttrice di Cinecittà News. In studio a Milano Luca Gattuso e a Cannes Barbara Sorrentini.
Eloy Pohu & Élodie Bouchez pour le film de Robin Campillo et Laurent Cantet « Enzo » qui sortira en salle le 18 juin et présenté à la Quinzaine des Cinéastes. Le film a été écrit par Laurent Cantet qui est décédé avant le début du tournage mais se sachant condamné il avait demandé à son ami Robin Campillo de le tourner à sa place.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Cannes 2025 has at last arrived—and while news of standing ovations and walkouts, throwaway raves and pans, spit takes and hot takes flood your feed, you can count on our on-the-Croisette crew of Film Comment contributors to cut through the noise with thoughtful dispatches, interviews, and Podcasts. This year's festival is packed with exciting premieres, including new films from Richard Linklater, Lynne Ramsay, Kleber Mendonça Filho, Spike Lee, Bi Gan, Julia Ducournau, Wes Anderson, and many more. To kick off our patented daily Cannes Podcasts, Film Comment Editor Devika Girish gathered FC Podcast veterans Jonathan Romney and Guy Lodge to discuss the first day's offerings. Jonathan begins by describing the Opening Night selection, Amélie Bonnin's Leave One Day (7:00), before the group debates other early festival premieres like Robin Campillo's Enzo (11:20) and Mascha Schilinski's Sound of Falling (22:17).
Nos invités de la deuxième partie de C à Vous: Hafsja Herzi pour son film « la petite dernière » en compétition officielle et en salle le 1er octobre. nous recevons Eloy Pohu & Élodie Bouchez pour le film de Robin Campillo et Laurent Cantet « Enzo » qui sortira en salle le 18 juin et présenté à la Quinzaine des Cinéastes. Anouchka Delon nous parle de l'exposition à ciel ouvert dans les rues de Cannes « Delon & Elles ». Côté musique, la révélation de l'année, la québécoise Charlotte cardin nous fait partager sa folle réussite avec une tournée en France dont une date à l'Accor Arena le 30 avril 2026. Enfin on parle de l'émission spéciale « Les rencontres du Papotin au Festival de Cannes » qui sera diffusée vendredi 23 mai à 20h35 sur France 2 avec Raphaël Quenard, Elodie Bouchez, Diane Kruger, Claude Lelouch. On en parle avec le rédateur en chef du papotin, Julien Bancilhon et Gaspard, un des journalistes du journal. Bonne écoute!Avec comme chaque soir également l'œil de Pierre, le "Pas vu pas pris" de Mohamed Bouhafsi et bien entendu l'ABC de Bertrand Chameroy.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Ep. 313: Alison Willmore on Cannes 2025: Sound of Falling, Enzo, and a look at the lineup Welcome to The Last Thing I Saw, with your host, Nicolas Rapold. The 2025 Cannes Film Festival has begun and I'm back to talk about movies with another all-star cast of guests. To kick off this year's series, I'm delighted to welcome Alison Willmore of Vulture and New York Magazine for her debut on the podcast, starting with a bang: the first great movie at the festival, Sound of Falling, directed by Mascha Schilinski. We also rattle off a few probable attention-getters in this year's edition, and discuss another, intriguing early premiere, Enzo, a film by the late Laurent Cantet, directed by Robin Campillo. Please support the production of this podcast by signing up at: rapold.substack.com Photo by Steve Snodgrass
Notre critique du film "Enzo" réalisé par Laurent Cantet et Robin Campillo avec Eloy Pohu, Pierfrancesco Favino, Élodie Bouchez. Ce film est présenté à la Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes 2025Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast --- Titre : EnzoSortie : 18 juin 2025Réalisé par Laurent Cantet et Robin CampilloAvec : Eloy Pohu, Pierfrancesco Favino et Élodie Bouchez.Synopsis : Enzo, 16 ans, est apprenti maçon à La Ciotat. Pressé par son père qui le voyait faire des études supérieures, le jeune homme cherche à échapper au cadre confortable mais étouffant de la villa familiale. C'est sur les chantiers, au contact de Vlad, un collègue ukrainien, qu'Enzo va entrevoir un nouvel horizon.#Enzo #Cannes2025 #CINECASTHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Április 10-én bejelentették az idei cannes-i hivatalos program nagy részét, pár nappal később Onozó Robival kitárgyaltuk a versenyszekcióba került összes filmet, kitértünk a mellékszekciók felhozatalára, latolgattuk, hogy mi kerülhet még be, elmerengtünk azon, hogy mi történhetett a magyar filmekkel, illetve megvitattuk, hogy miket várunk a legjobban.Még két dolog.Itt lehet megnézni azt a kisfilmet, ami alapján a nyitófilm készült: https://www.arte.tv/en/videos/095687-000-A/bye-bye-partir-un-jour/Azóta kijött a Rendezők kéthete programja, Gregg Araki filmje nem került be, Christian Petzold és Robin Campillo filmje viszont igen.Ezt az adást egy konkrét rádióstúdióban vettük fel, több százezer forintos mikrofonokkal, mégis úgy hallatszik, mintha két damillal összekötött gyufásskatulyán keresztül beszélgetnénk. Sajnáljuk!Jó szórakozást az adáshoz, és ha tetszik, kérlek támogasd a Filmklub podcastot a Patreonon, egy dollár is nagy segítség! Ha a Patreon túl macerás, támogathatod a podcastot a PayPalon (@ferencv1976) vagy a Revoluton (@ferenc7drh) keresztül is. Nagyon köszönöm!
durée : 00:53:29 - Certains l'aiment Fip - Révélée par sa B.O d'"Eyes Wide Shut" de Kubrick, l'artiste qui a aussi composé pour Martin Scorsese, Robin Campillo, Laurent Cantet, Sébastien Lifshitz, Alice Winocour ou Laetitia Masson, est notre invitée pour nous parler de ses collaborations.
Si Act-Up n'est pas la seule association à lutter contre le VIH, ses membres pionniers ont su créer l'évènement dans les années 90, en imaginant des actions spectaculaires pour briser le tabou du SIDA. 40 ans après la découverte du virus VIH par l'Institut Pasteur, et alors que la maladie a fait plus de 36 millions de morts dans le monde, nous revenons sur les enjeux mémoriels autour de l'épidémie du VIH-SIDA, les traces laissées dans l'espace public et sur la transmission d'une histoire encore marginalisée.SIDA, des vies pour mémoire, un documentaire de Maxime Grember, réalisé par Sophie Janin, produit par Valérie Nivelon. (Rediffusion) Avec les témoignages de :- Christian de Leusse, fondateur de l'association marseillaise « Mémoires des sexualités »- Gérard Bénéteau, prêtre au sein de l'Église Saint-Eustache entre 1984 et 2000- Anne Rousseau Rambach, militante au sein d'Act Up-Paris entre 1991 et 1996, éditrice, romancière et scénariste- Christophe Broqua, anthropologue, chercheur au CNRS, auteur de la thèse en sociologie « Engagements homosexuels et lutte contre le sida au sein de l'association Act Up-Paris »- Fred Navarro, président d'Act Up-Paris entre 2012 et 2013. En 2017, le film de Robin Campillo 120 battements par minute marque un tournant dans la manière de représenter l'histoire du SIDA en France, et plus précisément celle d'Act Up-Paris, en apportant une visibilité nouvelle à la lutte qu'ont menée les premiers activistes du SIDA.Dernièrement, de grandes expositions comme celle du Mucem à Marseille en 2022, ou plus récemment celles du Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg ont montré qu'il y avait un besoin d'histoire, une nécessité à y revenir, à raconter ce qu'avait été l'épidémie du VIH-SIDA dans ses années les plus sombres.Mais malgré cette forme de patrimonialisation nouvelle, cette histoire reste encore méconnue du grand public, et finalement assez peu enseignée auprès des nouvelles générations chez qui le virus circule principalement aujourd'hui.Avec le temps, l'enjeu mémoriel autour du VIH-SIDA est devenu un enjeu politique. Que ce soit avec la pose de plaques de rues, la commande de fresques artistiques, ou encore la création du centre d'archives LGBTQI+ à Paris.Pour l'heure, un centre sans soutien réel des pouvoirs publics, ce qui amène bon nombre d'associations de lutte contre le SIDA à déposer de façon morcelée leurs archives sur l'ensemble du territoire français.Plus de 40 ans après les premiers morts du SIDA, les archives sont donc dispersées, les lieux de mémoire invisibilisés et les noms des disparus méconnus. Alors comment raconter cette histoire dont la liste des victimes s'allonge, bien que depuis 1996, les premiers traitements soient apparus et que la séropositivité n'est plus synonyme de condamnation à mort ? Archives :- « ZAP du 1er novembre 1991 devant la cathédrale Notre-Dame de Paris ». © Act Up-Paris. Vidéo déposée aux Archives Nationales- Interview de Christophe Martet, dans « Manifestations de Act Up », FR3 1992. © INA- Interview de Cleews Vellay, dans « Parlez-moi d'argent », France Inter 1993. © INA. Bibliographie :- « Act Up, Une histoire », de Didier Lestrade (La Découverte, 2022)- « Agir pour ne pas mourir ! Act Up, les homosexuels et le sida », de Christophe Broqua (Presses de Sciences Po, 2005) - « VIH/SIDA, L'épidémie n'est pas finie », catalogue de l'exposition du Mucem, ouvrage collectif. (Anamosa, 2021). Musiques :- Orgue de Saint-Eustache- « It's a sin » des Pet Shop Boys- « Live to Tell » de Madonna- « Toxic » de Britney Spears- « Hideous » d'Oliver Sim. Films :- « 120 battements par minute », (Robin Campillo, 2017)- « Portrait d'une présidente », (Brigitte Tijou, 1995)- « Act Up, Sida Guerilla », (Agence Capa, 1993). Ressources :- The Aids Memorial - Le collectif Archives LGBTQI+ de Paris. Remerciements :- L'association Act Up-Paris : Julien Bruneau- Les Archives Nationales : Lucile Douchin, Vanessa Szollosi et Sandrine Gill- L'École des Beaux-Arts de Paris : Sarah Pépin et Philippe Pucyclo- Gérard Beneteau, Anne Rousseau Rambach, Christophe Broqua, Fred Navarro, Christian de Leusse, Didier Lestrade, Lalla Kowska Régnier, Jean-Luc Armani, Mikael Zenouda, Michel Bourrelly, Clem Hue, Renaud Chantraine, Nicolas Hardy, Pauline Gallinari et Ania Szczepanska. Diaporama
Dans une scène marquante du film “120 battements par minutes” de Robin Campillo, des militants aspergent de faux sang les bureaux d'un laboratoire de recherche scientifique, avant d'être emmenés par la police. Cette action, comme d'autres représentées dans le film lauréat du Grand Prix à Cannes en 2017, a véritablement été menée par l'association Act Up. 'Maintenant vous savez' revient sur l'histoire des militants qui ont changé le regard du monde sur le VIH. Act Up commence à faire du bruit à New York en 1987 - 4 ans après la découverte du virus du SIDA. Elle est apparue quand, cette association ? Et quelles étaient ses actions ? Quelles ont été les victoires de l'association ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Antonella Francini. Première diffusion : 1 décembre 2022 À écouter aussi : Qu'est-ce que le chronoworking, qui vous rendrait plus efficace au travail ? Quelles sont les 3 techniques de manipulation les plus connues ? A quelle fréquence faut-il se laver les cheveux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
This week we're excited to present a conversation with Red Island director Robin Campillo from the 2024 edition of Rendez-Vous with French Cinema. Rendez-Vous and NYFF veteran Robin Campillo, whose 2017 period drama BPM: Beats Per Minute reconstructed and celebrated ACT UP's legacy of AIDS activism in France during the 1990s, once again draws on personal history with his latest film, reaching back further to evoke a sumptuously visualized 1970s childhood spent with his military family on Madagascar. Growing up on one of the last remaining French colonial bases on the island, young Thomas (Charlie Vauselle) keeps a curious and observant eye on the adults around him, not least his parents (Nadia Tereszkiewicz and Quim Guterriez). Bonding with young Suzanne (Cathy Pham) over the Fantômette comic books, Thomas's imagination and observational powers grow even as the world around him is about to die. Making striking use of a child's perspective, Campillo's carefully observed drama of a lost world is lyrical and clear-eyed in equal measure. This conversation was moderated by FLC Vice President of Programming Florence Almozini.
Le comédien âgé de 38 ans, césarisé en 2018 pour son interprétation dans « 120 battements par minute » et remarqué récemment dans « Anatomie d'une chute », nous reçoit au sein de l'école Duperré, à l'occasion de la première édition du festival Le Goût de M.Antoine Reinartz évoque son enfance en Lorraine auprès de parents vétérinaires et de six frères et sœurs. Il pratique le judo, écoute Starmania, dévore Agatha Christie et consacre du temps aux jeux de société. Très jeune, il se passionne pour la connaissance et pour le cinéma après sa découverte du magazine « Studio ». A 10 ans, il rêve d'être acteur mais ses études le mène vers la comptabilité et la finance jusqu'au déclic des « Chansons d'amour » de Christophe Honoré. Il se forme au conservatoire des arts dramatiques et obtient un des rôles principaux de « 120 battements par minute » de Robin Campillo. Le cinéma de Pedro Almodovar ou d'Arnaud Desplechin le passionne. Il s'enthousiasme pour les conversations qui ont accompagné la sortie d'« Anatomie d'une chute » et l'intelligence de l'objet qu'a su créer Justine Triet. Et, lui qui déteste faire la cuisine, défend son goût du sucre.Il revient aussi sur son amour pour Diane Keaton : « Elle est géniale dans “Le Parrain 2”. Après j'ai vu “Simples secrets” [1998], que personne ne connaît, avec Meryl Streep, Leonardo DiCaprio et Robert De Niro. Diane Keaton, elle y est bouleversante d'amour et de générosité. »Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project
Antoine Reinartz s'est longtemps rêvé comédien avant de sauter le pas. Il fait ses grands débuts dans 120 battements par minutes de Robin Campillo et enchaîne les rôles jusqu'à incarner un avocat général dans Anatomie d'une Chute, nommé 5 fois aux Oscars. Au micro d'Agathe le Taillandier il parle de son éthique de travail qui le caractérise depuis son adolescence, ses problèmes d'argent et de santé qui l'ont fait craindre pour sa carrière, et la part de chance que nécessite le métier. Il évoque aussi son rapport à la parentalité et au couple ainsi que ses réflexions sur la vérité, le mensonge, et la part de mystère qu'un acteur se doit de garder pour avancer.Pépites est un podcast d'interviews culturelles de Louie Media présenté par Agathe Le Taillandier et Sébastien Thème. Cet épisode a été tourné et monté par Agathe Le Taillandier. Il a été réalisé et mixé par le studio La Fugitive. La musique est de Michaël Liot. L'illustration est de Marie Guu. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale. Elsa Berthault est attachée à la production.--Cette saison de Pépites est rendue possible grâce au soutien de SNCF Connect. SNCF Connect, c'est l'appli de référence pour réserver et acheter tous vos trajets en trains, pour tous les jours, comme les grands jours. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au casting cette année encore de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette troisième émission, comme il n'y a pas que la France et les USA dans la vie, on cause des restes du monde.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.La suite, les indispensables bonus, sur notre chaine youtube.Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé)Jules TopokAntonin M.The Fabelmans de Steven Spielberg La montagne de Thomas Salvador Voyages en Italie de Sophie Letourneur The killer de David Fincher Les feuilles mortes d'Aki Kaurismaki Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan Yannick de Quentin Dupieux Vincent doit mourir de Stepahn Castang 20 days in Mariupol de Mstyslav Chernov Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (pas vu mais je suis sûr que c'est le meilleur film de l'année) The Fabelmans de Steven Spielberg Mad God de Phil Tippett Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand Misanthrope de Damián Szifron Le Gang des Bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Voyage en Italie de Sophie Letourneur The Killer de David Fincher Leo de Lokesh Kanagaraj Dunki de Rajkumar Hirani Vincent doit mourir de Stephan Castang Erwan CadoretThomas GombaudL'Enlèvement de Marco Bellochio The Fabelmans de Steven Spielberg Le Garçon et le héron d'Hayao Miyazaki La Femme de Tchaikovsky de Kirill Serebrennikov /Anatomie d'une chute de Justine TrietBurning Days d'Emin Alper /Le Gang des bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Limbo de Soi Cheang / Dernière nuit à Milan d'Andrea Di Stefano Mars Express de Jérémie Périn Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand L'Ile rouge de Robin Campillo / About Kim Sohee de July Jung Misanthrope de Damian Szifron /Sisu, de l'or & du sang de Jalmari Helander /Mad God de Phil Tippett The Fabelmans de Steven Spielberg Killers of the Flower Moon de Martin ScorseseJigardantha Double X de Karthik SubbarajEsterno Notte / L'Enlèvement de Marco BellochioLe Gang du Bois du temple de Rabah Ameur-ZaïmecheLes Reyes del Mundo de Laura Mora OrtegaEarwig de Lucile Hadzihalilovic) Napoleon de Ridley ScottLast Stop Larrimah de Thomas TancredLes Colons de Felipe GalvezEtienne C.Ne se prononce pas
Au casting cette année encore de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette troisième émission, comme il n'y a pas que la France et les USA dans la vie, on cause des restes du monde.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.La suite, les indispensables bonus, sur notre chaine youtube.Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé)Jules TopokAntonin M.The Fabelmans de Steven Spielberg La montagne de Thomas Salvador Voyages en Italie de Sophie Letourneur The killer de David Fincher Les feuilles mortes d'Aki Kaurismaki Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan Yannick de Quentin Dupieux Vincent doit mourir de Stepahn Castang 20 days in Mariupol de Mstyslav Chernov Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (pas vu mais je suis sûr que c'est le meilleur film de l'année) The Fabelmans de Steven Spielberg Mad God de Phil Tippett Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand Misanthrope de Damián Szifron Le Gang des Bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Voyage en Italie de Sophie Letourneur The Killer de David Fincher Leo de Lokesh Kanagaraj Dunki de Rajkumar Hirani Vincent doit mourir de Stephan Castang Erwan CadoretThomas GombaudL'Enlèvement de Marco Bellochio The Fabelmans de Steven Spielberg Le Garçon et le héron d'Hayao Miyazaki La Femme de Tchaikovsky de Kirill Serebrennikov /Anatomie d'une chute de Justine TrietBurning Days d'Emin Alper /Le Gang des bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Limbo de Soi Cheang / Dernière nuit à Milan d'Andrea Di Stefano Mars Express de Jérémie Périn Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand L'Ile rouge de Robin Campillo / About Kim Sohee de July Jung Misanthrope de Damian Szifron /Sisu, de l'or & du sang de Jalmari Helander /Mad God de Phil Tippett The Fabelmans de Steven Spielberg Killers of the Flower Moon de Martin ScorseseJigardantha Double X de Karthik SubbarajEsterno Notte / L'Enlèvement de Marco BellochioLe Gang du Bois du temple de Rabah Ameur-ZaïmecheLes Reyes del Mundo de Laura Mora OrtegaEarwig de Lucile Hadzihalilovic) Napoleon de Ridley ScottLast Stop Larrimah de Thomas TancredLes Colons de Felipe GalvezEtienne C.Ne se prononce pas
Au casting cette année encore de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette première émission, on cause d'un cinéma en voie du pays des Lumières et des droits du bonhomme.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.La suite (encore 2h30 de blabla) aux prochains épisodes...Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé) Jules TopokAntonin M.The Fabelmans de Steven Spielberg La montagne de Thomas Salvador Voyages en Italie de Sophie Letourneur The killer de David Fincher Les feuilles mortes d'Aki Kaurismaki Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan Yannick de Quentin Dupieux Vincent doit mourir de Stepahn Castang 20 days in Mariupol de Mstyslav Chernov Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (pas vu mais je suis sûr que c'est le meilleur film de l'année) The Fabelmans de Steven Spielberg Mad God de Phil Tippett Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand Misanthrope de Damián Szifron Le Gang des Bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Voyage en Italie de Sophie Letourneur The Killer de David Fincher Leo de Lokesh Kanagaraj Dunki de Rajkumar Hirani Vincent doit mourir de Stephan Castang Erwan CadoretThomas GombaudL'Enlèvement de Marco Bellochio The Fabelmans de Steven Spielberg Le Garçon et le héron d'Hayao Miyazaki La Femme de Tchaikovsky de Kirill Serebrennikov /Anatomie d'une chute de Justine TrietBurning Days d'Emin Alper /Le Gang des bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Limbo de Soi Cheang / Dernière nuit à Milan d'Andrea Di Stefano Mars Express de Jérémie Périn Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand L'Ile rouge de Robin Campillo / About Kim Sohee de July Jung Misanthrope de Damian Szifron /Sisu, de l'or & du sang de Jalmari Helander /Mad God de Phil Tippett The Fabelmans de Steven Spielberg Killers of the Flower Moon de Martin ScorseseJigardantha Double X de Karthik SubbarajEsterno Notte / L'Enlèvement de Marco BellochioLe Gang du Bois du temple de Rabah Ameur-ZaïmecheLes Reyes del Mundo de Laura Mora OrtegaEarwig de Lucile Hadzihalilovic) Napoleon de Ridley ScottLast Stop Larrimah de Thomas TancredLes Colons de Felipe GalvezEtienne CadoretNe se prononce pas
Au casting cette année encore de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette première émission, on cause d'un cinéma en voie du pays des Lumières et des droits du bonhomme.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.La suite (encore 2h30 de blabla) aux prochains épisodes...Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé) Jules TopokAntonin M.The Fabelmans de Steven Spielberg La montagne de Thomas Salvador Voyages en Italie de Sophie Letourneur The killer de David Fincher Les feuilles mortes d'Aki Kaurismaki Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan Yannick de Quentin Dupieux Vincent doit mourir de Stepahn Castang 20 days in Mariupol de Mstyslav Chernov Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (pas vu mais je suis sûr que c'est le meilleur film de l'année) The Fabelmans de Steven Spielberg Mad God de Phil Tippett Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand Misanthrope de Damián Szifron Le Gang des Bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Voyage en Italie de Sophie Letourneur The Killer de David Fincher Leo de Lokesh Kanagaraj Dunki de Rajkumar Hirani Vincent doit mourir de Stephan Castang Erwan CadoretThomas GombaudL'Enlèvement de Marco Bellochio The Fabelmans de Steven Spielberg Le Garçon et le héron d'Hayao Miyazaki La Femme de Tchaikovsky de Kirill Serebrennikov /Anatomie d'une chute de Justine TrietBurning Days d'Emin Alper /Le Gang des bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Limbo de Soi Cheang / Dernière nuit à Milan d'Andrea Di Stefano Mars Express de Jérémie Périn Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand L'Ile rouge de Robin Campillo / About Kim Sohee de July Jung Misanthrope de Damian Szifron /Sisu, de l'or & du sang de Jalmari Helander /Mad God de Phil Tippett The Fabelmans de Steven Spielberg Killers of the Flower Moon de Martin ScorseseJigardantha Double X de Karthik SubbarajEsterno Notte / L'Enlèvement de Marco BellochioLe Gang du Bois du temple de Rabah Ameur-ZaïmecheLes Reyes del Mundo de Laura Mora OrtegaEarwig de Lucile Hadzihalilovic) Napoleon de Ridley ScottLast Stop Larrimah de Thomas TancredLes Colons de Felipe GalvezEtienne CadoretNe se prononce pas
Au casting cette année encore de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette première émission, on cause d'un cinéma en voie de re-developpement (?), le Cinéma U.S.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.La suite (encore 3h30 de blabla) aux prochains épisodes...Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé)Jules TopokAntonin M.The Fabelmans de Steven Spielberg La montagne de Thomas Salvador Voyages en Italie de Sophie Letourneur The killer de David Fincher Les feuilles mortes d'Aki Kaurismaki Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan Yannick de Quentin Dupieux Vincent doit mourir de Stepahn Castang 20 days in Mariupol de Mstyslav Chernov Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (pas vu mais je suis sûr que c'est le meilleur film de l'année) The Fabelmans de Steven Spielberg Mad God de Phil Tippett Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand Misanthrope de Damián Szifron Le Gang des Bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Voyage en Italie de Sophie Letourneur The Killer de David Fincher Leo de Lokesh Kanagaraj Dunki de Rajkumar Hirani Vincent doit mourir de Stephan Castang Erwan CadoretThomas GombaudL'Enlèvement de Marco Bellochio The Fabelmans de Steven Spielberg Le Garçon et le héron d'Hayao Miyazaki La Femme de Tchaikovsky de Kirill Serebrennikov /Anatomie d'une chute de Justine TrietBurning Days d'Emin Alper /Le Gang des bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Limbo de Soi Cheang / Dernière nuit à Milan d'Andrea Di Stefano Mars Express de Jérémie Périn Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand L'Ile rouge de Robin Campillo / About Kim Sohee de July Jung Misanthrope de Damian Szifron /Sisu, de l'or & du sang de Jalmari Helander /Mad God de Phil Tippett The Fabelmans de Steven Spielberg Killers of the Flower Moon de Martin ScorseseJigardantha Double X de Karthik SubbarajEsterno Notte / L'Enlèvement de Marco BellochioLe Gang du Bois du temple de Rabah Ameur-ZaïmecheLes Reyes del Mundo de Laura Mora OrtegaEarwig de Lucile Hadzihalilovic) Napoleon de Ridley ScottLast Stop Larrimah de Thomas TancredLes Colons de Felipe GalvezEtienne C.Ne se prononce pas
Au casting cette année encore de notre marathon radiophonique annuel, notre intérimaire de choc (et collègue de bureau) Jules Topok, et deux immigrés clandestins en provenance directe de la célèbre émission En attendant Goldman, DocErwan Cadoret et Thomas Kiki Gombaud.Dans cette première émission, on cause d'un cinéma en voie de re-developpement (?), le Cinéma U.S.On en parle trop peu mais vous pouvez nous filer un peu de caillasse ici, ça nous permettra (entre autres choses) de boire des bières de meilleure qualité.La suite (encore 3h30 de blabla) aux prochains épisodes...Nos tops de l'année (cliquez sur les films pour écouter les émissions où on en a causé)Jules TopokAntonin M.The Fabelmans de Steven Spielberg La montagne de Thomas Salvador Voyages en Italie de Sophie Letourneur The killer de David Fincher Les feuilles mortes d'Aki Kaurismaki Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan Yannick de Quentin Dupieux Vincent doit mourir de Stepahn Castang 20 days in Mariupol de Mstyslav Chernov Cahiers Noirs de Shlomi Elkabetz (pas vu mais je suis sûr que c'est le meilleur film de l'année) The Fabelmans de Steven Spielberg Mad God de Phil Tippett Chien de la Casse de Jean-Baptiste Durand Misanthrope de Damián Szifron Le Gang des Bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Voyage en Italie de Sophie Letourneur The Killer de David Fincher Leo de Lokesh Kanagaraj Dunki de Rajkumar Hirani Vincent doit mourir de Stephan Castang Erwan CadoretThomas GombaudL'Enlèvement de Marco Bellochio The Fabelmans de Steven Spielberg Le Garçon et le héron d'Hayao Miyazaki La Femme de Tchaikovsky de Kirill Serebrennikov /Anatomie d'une chute de Justine TrietBurning Days d'Emin Alper /Le Gang des bois du temple de Rabah Ameur-Zaïmeche Limbo de Soi Cheang / Dernière nuit à Milan d'Andrea Di Stefano Mars Express de Jérémie Périn Chien de la casse de Jean-Baptiste Durand L'Ile rouge de Robin Campillo / About Kim Sohee de July Jung Misanthrope de Damian Szifron /Sisu, de l'or & du sang de Jalmari Helander /Mad God de Phil Tippett The Fabelmans de Steven Spielberg Killers of the Flower Moon de Martin ScorseseJigardantha Double X de Karthik SubbarajEsterno Notte / L'Enlèvement de Marco BellochioLe Gang du Bois du temple de Rabah Ameur-ZaïmecheLes Reyes del Mundo de Laura Mora OrtegaEarwig de Lucile Hadzihalilovic) Napoleon de Ridley ScottLast Stop Larrimah de Thomas TancredLes Colons de Felipe GalvezEtienne C.Ne se prononce pas
Si Act-Up n'est pas la seule association à lutter contre le VIH, ses membres pionniers ont su créer l'évènement dans les années 90, en imaginant des actions spectaculaires pour briser le tabou du SIDA. 40 ans après la découverte du virus VIH par l'Institut Pasteur, et alors que la maladie a fait plus de 36 millions de morts dans le monde, nous revenons sur les enjeux mémoriels autour de l'épidémie du VIH-SIDA, les traces laissées dans l'espace public et sur la transmission d'une histoire encore marginalisée. SIDA, des vies en mémoire, un documentaire de Maxime Grember, réalisé par Sophie Janin, produit par Valérie Nivelon.Avec les témoignages de :- Christian de Leusse, fondateur de l'association marseillaise « Mémoires des sexualités »- Gérard Bénéteau, prêtre au sein de l'Église Saint-Eustache entre 1984 et 2000- Anne Rousseau Rambach, militante au sein d'Act Up-Paris entre 1991 et 1996, éditrice, romancière et scénariste- Christophe Broqua, anthropologue, chercheur au CNRS, auteur de la thèse en sociologie « Engagements homosexuels et lutte contre le sida au sein de l'association Act Up-Paris »- Fred Navarro, président d'Act Up-Paris entre 2012 et 2013. En 2017, le film de Robin Campillo 120 battements par minute marque un tournant dans la manière de représenter l'histoire du SIDA en France, et plus précisément celle d'Act Up-Paris, en apportant une visibilité nouvelle à la lutte qu'ont menée les premiers activistes du SIDA.Dernièrement, de grandes expositions comme celle du Mucem à Marseille en 2022, ou plus récemment celles du Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg ont montré qu'il y avait un besoin d'histoire, une nécessité à y revenir, à raconter ce qu'avait été l'épidémie du VIH-SIDA dans ses années les plus sombres.Mais malgré cette forme de patrimonialisation nouvelle, cette histoire reste encore méconnue du grand public, et finalement assez peu enseignée auprès des nouvelles générations chez qui le virus circule principalement aujourd'hui.Avec le temps, l'enjeu mémoriel autour du VIH-SIDA est devenu un enjeu politique. Que ce soit avec la pose de plaques de rues, la commande de fresques artistiques, ou encore la création du centre d'archives LGBTQI+ à Paris.Pour l'heure, un centre sans soutien réel des pouvoirs publics, ce qui amène bon nombre d'associations de lutte contre le SIDA à déposer de façon morcelée leurs archives sur l'ensemble du territoire français.Plus de 40 ans après les premiers morts du SIDA, les archives sont donc dispersées, les lieux de mémoire invisibilisés et les noms des disparus méconnus. Alors comment raconter cette histoire dont la liste des victimes s'allonge, bien que depuis 1996, les premiers traitements soient apparus et que la séropositivité n'est plus synonyme de condamnation à mort ? Archives :- « ZAP du 1er novembre 1991 devant la cathédrale Notre-Dame de Paris ». © Act Up-Paris. Vidéo déposée aux Archives Nationales- Interview de Christophe Martet, dans « Manifestations de Act Up », FR3 1992. © INA- Interview de Cleews Vellay, dans « Parlez-moi d'argent », France Inter 1993. © INA. Bibliographie :- « Act Up, Une histoire », de Didier Lestrade (La Découverte, 2022)- « Agir pour ne pas mourir ! Act Up, les homosexuels et le sida », de Christophe Broqua (Presses de Sciences Po, 2005) - « VIH/SIDA, L'épidémie n'est pas finie », catalogue de l'exposition du Mucem, ouvrage collectif. (Anamosa, 2021). Musiques :- Orgue de Saint-Eustache- « It's a sin » des Pet Shop Boys- « Live to Tell » de Madonna- « Toxic » de Britney Spears- « Hideous » d'Oliver Sim. Films :- « 120 battements par minute », (Robin Campillo, 2017)- « Portrait d'une présidente », (Brigitte Tijou, 1995)- « Act Up, Sida Guerilla », (Agence Capa, 1993). Ressources :- The Aids Memorial - Le collectif Archives LGBTQI+ de Paris. Remerciements :- L'association Act Up-Paris : Julien Bruneau- Les Archives Nationales : Lucile Douchin, Vanessa Szollosi et Sandrine Gill- L'École des Beaux-Arts de Paris : Sarah Pépin et Philippe Pucyclo- Gérard Beneteau, Anne Rousseau Rambach, Christophe Broqua, Fred Navarro, Christian de Leusse, Didier Lestrade, Lalla Kowska Régnier, Jean-Luc Armani, Mikael Zenouda, Michel Bourrelly, Clem Hue, Renaud Chantraine, Nicolas Hardy, Pauline Gallinari et Ania Szczepanska. Diaporama
Con la lluvia, menos horas de luz y el frío, llegan los festivales de otoño con la Seminci, el certamen de Valladolid afronta su renovación con la dirección de José Luis Cienfuegos y una programación con el mejor cine de autor y muchas películas españolas. Nos pasamos por allí y también confesamos a varios directores en este episodio. La culpa y la memoria vertebran las películas de Martin Scorsese, el gran estreno de la semana, y también la de Robin Campillo. El francés bucea en sus recuerdos de niño en Madagascar para hablar del colonialismo en ‘La Isla roja'. Tenemos también ciencia ficción, herencias envenenadas y muchas series
Exclusive interview with Robin Campillo and Nadia Tereszkiewicz, director and protagonist of "L'Île Rouge", the first film by the french director in competition at San Sebastian. The post “L’Île Rouge”, interview with director Robin Campillo and actress Nadia Tereszkiewicz appeared first on Fred Film Radio.
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Exclusive interview with Robin Campillo and Nadia Tereszkiewicz, director and protagonist of "L'Île Rouge", the first film by the french director in competition at San Sebastian. The post “L’Île Rouge”, interview with director Robin Campillo and actress Nadia Tereszkiewicz appeared first on Fred Film Radio.
Entrevista exclusiva a Quim Gutiérrez, actor en "La isla roja" de Robin Campillo y rey de la comedia romántica en el cine español. The post “La isla roja”, entrevista al actor Quim Gutiérrez appeared first on Fred Film Radio.
Emission catalogue : On y cause du (très très) bon Misanthrope de Damiàn Szifron, de L'île Rouge de Robin Campillo, mais aussi du magnifique Astérix et l'Empire du milieu passé un peu trop inaperçu en salle il y a quelques mois.A vos agendas !Focus Lumet au Cinéma Arvor :Dimanche 11/06, 18h : A bout de Course (trop tard!)Dimanche 18/06, 18h : Daniel Dimanche 25/06, 20h15, Le Film du Dimanche Soir: Un Après-midi de chienCycle estival :La moitié poilue de l'émission s'occupe de votre été à Rennes avec un cycle Vamos a la Playa ! : Kechiche, Guiraudie, Spielberg, Murnau, Lean, Rohmer, Bigelow, Fellini, etc... + Courez voir les Jean Eustache en salle !
Emission catalogue : On y cause du (très très) bon Misanthrope de Damiàn Szifron, de L'île Rouge de Robin Campillo, mais aussi du magnifique Astérix et l'Empire du milieu passé un peu trop inaperçu en salle il y a quelques mois.A vos agendas !Focus Lumet au Cinéma Arvor :Dimanche 11/06, 18h : A bout de Course (trop tard!)Dimanche 18/06, 18h : Daniel Dimanche 25/06, 20h15, Le Film du Dimanche Soir: Un Après-midi de chienCycle estival :La moitié poilue de l'émission s'occupe de votre été à Rennes avec un cycle Vamos a la Playa ! : Kechiche, Guiraudie, Spielberg, Murnau, Lean, Rohmer, Bigelow, Fellini, etc... + Courez voir les Jean Eustache en salle !
Emission catalogue : On y cause du (très très) bon Misanthrope de Damiàn Szifron, de L'île Rouge de Robin Campillo, mais aussi du magnifique Astérix et l'Empire du milieu passé un peu trop inaperçu en salle il y a quelques mois.A vos agendas !Focus Lumet au Cinéma Arvor :Dimanche 11/06, 18h : A bout de Course (trop tard!)Dimanche 18/06, 18h : Daniel Dimanche 25/06, 20h15, Le Film du Dimanche Soir: Un Après-midi de chienCycle estival :La moitié poilue de l'émission s'occupe de votre été à Rennes avec un cycle Vamos a la Playa ! : Kechiche, Guiraudie, Spielberg, Murnau, Lean, Rohmer, Bigelow, Fellini, etc... + Courez voir les Jean Eustache en salle !
durée : 00:54:18 - Le masque et la plume - par : Jérôme Garcin - Vos critiques s'expriment sur "L'Amour et les forêts" de Valérie Donzelli, "L'Ile rouge" de Robin Campillo, "Omar la fraise" d'Elias Belkeddar, "Renfield" de Chris McKay, "La Petite sirène" de Rob Marshall, "L'Improbable voyage d'Harold Fry" d'Hettie MacDonald. - réalisé par : Xavier PESTUGGIA
Émission du 7 juin 2023 (00:00) - La scène de la semaine : "L'Île aux chiens" de Wes Anderson(01:35) - L'ouverture(07:14) - News Dans cette 37ème émission de l'année : (21:52) - "Spider-Man : Across the Spider-Verse" de Joaquim Dos Santos, Kemp Powers & Justin K. Thompson(46:03) - "Renfield" de Chris McKay(56:42) - "L'Île rouge" de Robin Campillo(1:05:42) - "Bop To The Top !" (1:07:20) - La carte blanche : Les "films passerelles" (1:17:12) - Quiz "Les vampires" (1:32:54) - Les Recos de l'équipe (1:36:37) - Le générique de fin
Émission c'est la merde, c'est de la merde et ici cé lé paradis. Tu surgis de l'oubli, ton paysage nait dans les nuages, fille de l'infini, narguant la mer, narguant le ciel d'étoiles, oh Ile...And on da tube:Au programme cette semaine:* L'Ile Rouge, de Robin Campillo. Révéler l'invisible.* Renfield, de Chris McKay. Nic Cage a l'époque de sa memification technique. Les copains de Discordia poncent depuis des mois la filmographie de Nic Cage. Faites que cet homme n'arrête jamais de tourner, ils seront obligés de continuer à le commenter.* Medellin, de Franck Gastambide. Plus il a d'argent, moins c'est soigné.______PUBLIC SERVICE ANNOUNCEMENT: Le Film du Dimanche Soir, dernière projo de la saison, Un après-midi de chien. ______Coups de cœurs:THOMAS: Riski - Paris vaut bien une messe + Kuma No Motor THIBAUT: Pepi, Luci, Bom et autres filles du quartier (Almodóvar)DOC ERWAN: Tina Turner - Tina Turns the Country On !PLAYLISTPrégénérique / Extrait Vampire's kissNo Filter / Ne pense pas à demainRiski / Bicci (Livin)
durée : 00:58:40 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui dans Plan Large nous recevons le cinéaste Robin Campillo pour 'L'Île rouge", et le réalisateur et monteur Fabrice Aragno pour le dernier film, inédit, de Jean-Luc Godard, "Film annonce du film qui n'existera jamais : « Drôles de guerres »", et aussi Sophie-Catherine Gallet. - invités : Robin Campillo Réalisateur français; Fabrice Aragno Réalisateur, monteur et directeur de la photographie; Sophie-Catherine Gallet Collaboratrice à France Culture, critique de cinéma à Revus et corrigés, cinéaste
On parle souvent de l'enfance comme d'un paradis perdu : celui de l'insouciance, des premières découvertes, des rêves et des jeux. Quand ces premières années de vie se déroulent dans une nature luxuriante et la chaleur des Tropiques, le départ peut être déchirant et la perte douloureuse. Sauf peut-être si ce paradis perdu était un paradis volé. Ce que montre un film en salles depuis mercredi (31 mai 2023): l'Ile Rouge de Robin Campillo. Le réalisateur (120 battements par minute, Eastern boys…) montre le quotidien de Français expatriés à Madagascar, vivant sur la base militaire aérienne au début des années 70.Un film à hauteur d'enfant (Thomas, le petit héros) avant que ne le rattrape la réalité, et que l'on ait le point de vue des jeunes Malgaches, d'un pays post-indépendance.
Entretien avec Robin Campillo, réalisateur de "L'île rouge" revue.negatif.co/entretien/robin-campillo-l-ile-rouge RÉSUMÉ Après Les Revenants (2004), Eastern Boys (2014) et 120 Battements par minute (2017), Robin Campillo signe avec L'île rouge son quatrième long-métrage. Son dernier film en date était à la fois un film sur une époque, au sens historique, et un film sur un moment important de sa vie personnelle : les années 1990, votre engagement militant auprès d'Act Up et ces années de lutte pour combattre l'épidémie du sida. Avec L'île rouge, Robin Campillo prolonge ce double geste initié dans 120 BPM, mêlant cette fois-ci une forme du fin du colonialisme de la France au tournant des années 1970, une époque où il était enfant dans l'ex-colonie française de Madagascar. Son père était sous-officier dans l'armée de l'air alors que la France possédait toujours une base sur le territoire malgache devenu indépendant. Une base militaire qui devient le terrain d'exploration de l'alter ego du cinéaste : le jeune Thomas, qui y habitait avec sa famille. Robin Campillo filme un crépuscule (celui d'un monde, celui du couple de ses parents, incarnés par Nadia Tereszkiewicz et Quim Gutierrez) et la naissance, voire la métamorphose d'un regard. Autofiction plus qu'autobiographie, L'île rouge puise dans les souvenirs multiples du jeune Robin pour entremêler des lignes narratives multiples à la fois autonomes et interdépendantes. ambitionne de dresser un portrait de groupe alliant intime et politique : une articulation proprement politique. Dans cet entretien, Robin Campillo raconte comment il s'est projeté et a projeté ce qu'il était enfance pour créer une matière filmique propre ; son rapport au réel et à l'imaginaire ; le scénario comme puzzle ; mais aussi comment faire la révolution à l'intérieur de son propre film. LES CHAPITRES 00:01:18 – Lutter contre la sédentarité00:03:44 – Réalité hirsute et scénarios contradictoires00:07:47 – Le tournage hante l'écriture00:12:03 – La politique : de l'intime au collectif00:15:58 – Du portrait de groupe00:20:14 – Son enfance comme ressource formelle00:24:44 – Rendre le film aux malagasy00:31:20 – Découvrir de nouveaux mondes00:33:57 – « Veloma » par Mahaleo POUR NOUS SUIVRE️ Audio # http://anchor.fm/negatif iTunes # https://apple.co/2Fiv8rJ Spotify # https://spoti.fi/2M54naQ YouTube # https://youtu.be/39Iu0qUG4fs
S07E30 - Dans cet épisode, Aline vous parle de 120 Battements par minute, de Robin Campillo et de l'association Sidaction
Dans une scène marquante du film “120 battements par minutes” de Robin Campillo, des militants aspergent de faux sang les bureaux d'un laboratoire de recherche scientifique, avant d'être emmenés par la police. Cette action, comme d'autres représentées dans le film lauréat du Grand Prix à Cannes en 2017, a véritablement été menée par l'association Act Up. À l'occasion du 1er décembre pour la journée mondiale de lutte contre le SIDA, Maintenant vous savez revient sur l'histoire des militants qui ont changé le regard du monde sur le VIH. Act Up commence à faire du bruit à New York en 1987 - 4 ans après la découverte du virus du SIDA. Elle est apparue quand, cette association ? Et quelles étaient ses actions ? Quelles ont été les victoires de l'association ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Antonella Francini. À écouter aussi : Qu'est-ce que le projet VOILAT, qui milite pour l'inclusion des femmes lesbiennes et bisexuelles au travail ? Pourquoi le mouvement Just Stop Oil s'en prend-il aux musées ? Qu'est-ce que la désobéissance civile ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
BPM (Beats Per Minute) discussion with director Robin Campillo and actors Nahuel Pérez Biscayart and Arnaud Valois on October 22, 2017 at the Samuel Goldwyn Theater. Moderated by Sudeep Sharma.
Rebels! You know that exhausting friend who travels to a different country and thinks they've come back "cultured?" Well that's what life with ME is like now, as we kick off "August Abroad" with the drama loosely based on real events "BPM" (2017).BPM (2017) Written and Directed by Robin Campillo. Staring Nahuel Pérez Biscayart, Arnaud Valois and Adèle Haenel. Members of the advocacy group ACT UP Paris demand action by the government and pharmaceutical companies to combat the AIDS epidemic in the early 1990s.For more information on ACT visit www.actoronto.orgHear this episode early on Patreon! http://patreon.com/rwacpodRWACpod on Facebook: https://www.facebook.com/groups/rwacpodFollow on IG: @RWACpodWhere to find the Rebels:Stefan: @sjmaroni on IGBearSailorMoon: @bearsailormooonon all social mediaCarlotta Carlisle: @carlottacarlisle on IG / Carlotta1987 on RedBubbleChad: @cski01 on IGPJ: @xndra_design on IGStu: @janikon_ on IG & TikTokSupport the show (https://www.patreon.com/rwacpod)Support the show
27 de junio | Nueva YorkLeer esta newsletter te llevará 12 minutos y 54 segundos.📬 Mantente informado con nuestras columnas de actualidad diarias. Tienes un ejemplo en este boletín que enviamos el pasado miércoles sobre la victoria de Gustavo Petro en Colombia. Puedes suscribirte a través de este enlace:No todas nadan bien. Bienvenido a La Wikly.⚖️ Una amenaza realLo importante: el Tribunal Supremo estadounidense puso fin este pasado viernes al derecho constitucional al aborto al anular un par de sentencias previas de la Corte, sacudiendo a millones de estadounidenses que creen que este es solo el primero de más retrocesos.La decisión Dobbs v. Jackson Women's Health amenaza con poner peligro otros derechos reconocidos por el tribunal, incluidos aquellos que protegen las libertades que la comunidad LGBTQ ha conquistado en las últimas décadas.Contexto: el Tribunal Supremo está ahora mismo formado por seis jueces conservadores y tres progresistas, lo que desequilibra la balanza de forma trascendental y abre la veda a que la mayoría conservadora atente contra derechos que se creían asegurados.La composición actual de la Corte es algo en lo que el movimiento judicial conservador de Estados Unidos lleva luchando desde hace décadas. Emilio repasó la historia de ese proceso en un artículo para Newtral.Explícamelo: la base argumentativa de la sentencia que el Supremo publicó este viernes se puede leer en decisiones judiciales del Supremo que se remontan a mediados del siglo XX. Si ha caído el aborto, otros derechos fijados por la Corte hace años podrían estar ahora en peligro.En esta newsletter, explicamos cuál es la base argumentativa que reconoció el derecho al aborto, por qué es controvertida y qué implica que la mayoría conservadora actual del tribunal haya arremetido contra ella de forma tan contundente.📜 El quid constitucionalLa sentencia Roe v. Wade de 1973 es parte de una serie de decisiones del Supremo que interpretaban la Constitución de una forma desconocida en los primeros 100 años de historia de Estados Unidos. Y todo tiene que ver con un extracto de la Sección Primera de la Decimocuarta Enmienda de su Constitución:“Ningún estado podrá […] privar a una persona de su vida, libertad o propiedad, sin un debido proceso legal”.La Decimocuarta Enmienda es una de llamadas Enmiendas de la Reconstrucción aprobadas tras el final de la Guerra Civil que enfrentó a los Estados Confederados que defendían la Esclavitud contra la Unión que encabezaba el gobierno federal.El objetivo de la Enmienda era proteger los derechos de los antiguos esclavos. Tanto su ratificación como la interpretación que los tribunales han hecho de sus cláusulas ha sido motivo de debates constitucionales profundamente controvertidos.En particular, la llamada Cláusula del Debido Proceso que hemos detallado arriba se ha litigado de forma constante en el último siglo de historia. Y todo tiene que ver con los derechos que la cláusula garantiza en todos los estados del país, según un análisis del Constitution Center:Protecciones procesales. Por ejemplo, requieren que el estado notifique acordemente a un ciudadano si va a dejar de percibir un seguro médico público y que facilite una audiencia en la que ese ciudadano pueda argumentar por qué debe seguir recibiendo ese seguro.Derechos individuales listados en la Carta de Derechos como la libertad de expresión, la libertad de religión o la libertad de prensa.Derechos fundamentales que no están específicamente enumerados en otras partes de la Constitución, incluidos el derecho al matrimonio, el derecho al uso de anticonceptivos o, hasta este pasado viernes, el derecho al aborto.La Quinta Enmienda ya protegía esos derechos, pero solo aplicaba contra el gobierno federal, con lo que los estados podían seguir vulnerándolos tal y como ocurría con la Esclavitud. La Decimocuarta incorporaba esos derechos contra los estados.Eso incluía los derechos protegidos bajo el debido proceso sustantivo, la categoría en la que se enmarcan los derechos no enumerados en la Constitución.Y cabe señalar que la Novena Enmienda sugiere que los derechos enumerados en la Constitución no niegan “otros retenidos por el pueblo”.La base de la controversia de ese debido proceso sustantivo es que los jueces de la Corte pueden concluir que un derecho emana de la Constitución pese a que no esté específicamente mencionado en el texto. Es de ahí que algunas de las decisiones más polémica del Supremo basen parte de su argumentación en ello:En Griswold v. Connecticut (1965), la Corte anuló las prohibiciones al uso de anticonceptivos en los estados porque entendía que estaban vulnerando el derecho a la privacidad de las parejas.El Supremo determinó que ese derecho no estaba explícitamente mencionado en la Constitución, pero que podía inferirse de otros derechos como el de reunión, protegido en la Primera Enmienda; el de acuartelar soldados en tiempos de paz, protegido por la Tercera; y el de ser libre de registros irrazonables del hogar, protegido por la Cuarta.En las décadas posteriores, el Supremo también usó en parte el debido proceso sustantivo para proteger el derecho al matrimonio entre parejas interraciales (1967), el derecho a que personas no casadas usaran métodos anticonceptivos (1972), el derecho al aborto (1973), el derecho a mantener conductas sexuales íntimas (2003) y el derecho al matrimonio para parejas del mismo sexo (2015).🏛 Una corte conservadoraEl reciente fallo de Dobbs v. Jackson Women's Health no solo deja de reconocer el aborto como un derecho constitucional, sino que también abre la puerta a cambios en la forma en que la Corte Suprema venía interpretando la Cláusula del Debido Proceso de la Decimocuarta Enmienda.Hasta ahora, el debido proceso sustantivo era interpretado como la garantía de protección constitucional a derechos que no necesariamente están explícitos en la Constitución o que son estrictamente procesales.En la opinión mayoritaria de la Corte, el juez Samuel Alito escribe que “nada en esta opinión debe entenderse como que pone en duda los precedentes que no tienen que ver con el aborto”. Sin embargo, el razonamiento legal que esgrime la mayoría para revocar Roe v. Wade y Planned Parenthood v. Casey podría aplicarse a otros fallos.El principal argumento de Alito es que no existe una protección constitucional explícita para el derecho al aborto, y que cualquier derecho no enumerado explícitamente en la Constitución debe estar “profundamente arraigado en la historia y tradición de esta nación” y estar “implícito en el concepto de libertad ordenada” para poder acogerse al amparo constitucional.Los requisitos de este método, que a menudo se conoce como la prueba Glucksberg por el fallo Washington v. Glucksberg (1997), impiden inferir la constitucionalidad del derecho al aborto.Ante este razonamiento, el juez Clarence Thomas advirtió en una opinión concurrente del fallo que, bajo ese razonamiento, el derecho al aborto no es el único que ha sido mal protegido. Fallos como Lawrence v. Texas (2003), que ampara constitucionalmente la libertad de personas del mismo sexo a mantener relaciones sexuales consentidas, serían susceptibles de revocación.“En casos futuros, debemos reconsiderar todos los precedentes sustantivos del debido proceso de este Tribunal, incluidos Griswold, Lawrence y Obergefell. Debido a que cualquier decisión enmarcada en el debido proceso sustantivo es “evidentemente errónea”, tenemos el deber de “corregir el error” establecido en esos precedentes”, dice un pasaje de la concurrencia de Thomas.Aunque el razonamiento del juez Thomas es mucho más extremo que el de la mayoría de los jueces, su lógica muestra que es difícil marcar el límite en los derechos que revierte este fallo cuando estos se encuentran conectados por la misma lógica de interpretación. Este es, a la vez, uno de los argumentos que esgrime la minoría liberal de la Corte, disidente del fallo.“No fue hasta Roe, argumenta la mayoría, que la gente pensó que el aborto estaba dentro de la garantía de libertad de la Constitución. Sin embargo, lo mismo podría decirse de la mayoría de los derechos que la mayoría afirma que no está manipulando. La mayoría podría escribir una opinión igual de larga mostrando, por ejemplo, que hasta mediados del siglo XX, “no había apoyo en la ley estadounidense para un derecho constitucional a obtener [anticonceptivos]”. Así que una de las dos cosas debe ser cierta. O bien la mayoría no cree realmente en su propio razonamiento. O si lo hace, todos los derechos que no tienen una historia que se remonta a mediados del siglo XIX son inseguros. O la mayor parte de la opinión de la mayoría es hipocresía, o los derechos constitucionales adicionales están bajo amenaza”, declaran en conjunto los jueces progresistas Elena Kagan, Stephen Breyer y Sonia Sotomayor.🧑⚖️ Base de arenaDurante muchos años, el juez Anthony Kennedy fue la figura fundamental en la lucha legal por la igualdad de los homosexuales. En Obergefell v. Hodges (2015) y United States v. Windsor (2013), la Corte sostuvo que el gobierno federal debe reconocer los matrimonios entre personas del mismo sexo.Ambas fueron decisiones 5-4 escritas por Kennedy, como resultado de su incómoda alianza con los cuatro jueces liberales.En ese tipo de casos, cuando las opiniones están muy divididas, a menudo se asigna la redacción de la sentencia mayoritaria al juez más indeciso. Sigue la teoría de que es poco probable que dicho juez cambie su voto si puede adaptar la opinión de la mayoría a sus propios puntos de vista.El resultado es que las argumentaciones que esgrimió Kennedy para la defensa de estos derechos no son muy sólidas. Ignoran doctrinas que podrían haber fundamentado una prohibición de discriminación por motivos de orientación sexual y se centran en defender que son derechos constitucionales no enumerados amparados por la doctrina del debido proceso sustantivo.Algo que, como vimos con Roe v. Wade, deja al fallo más vulnerable a ser anulado por una mayoría conservadora dedicada.El fallo Dobbs de Alito y su confianza exclusiva en el marco de Glucksberg para determinar qué derechos no enumerados están protegidos por la Constitución puede interpretarse como una estrategia del juez a largo plazo. Es decir, podría estar usando una terminología jurídica que pueda usarse para justificar otra victoria conservadora en el futuro.A esto se suma que Alito protagonizó una de las opiniones contrarias al fallo de Obergefell que reconocía el derecho al matrimonio homosexual.Con aquella argumentación, demostró su nivel de desdén por los derechos LGBTIQ+ con una elección retórica que lo apartó incluso de varios de sus compañeros jueces conservadores.La decisión de Obergefell “se utilizará para vilipendiar a los estadounidenses” que creen que las parejas del mismo sexo no merecen los mismos derechos y las personas que expresan puntos de vista anti-LGBTQ “correrán el riesgo de ser etiquetadas como intolerantes”, sostuvo Alito.¿Entiendes ahora el miedo de la comunidad LGBTQ+ a perder derechos?¿Desea saber más? Los artículos del Constitution Center sobre la Decimocuarta Enmienda son muy esclarecedores. Y los análisis judiciales de SCOTUSblog sobre las sentencias del Supremo son al mismo tiempo profundas pero fáciles de leer para no-expertos.🎬 Una recomendaciónCon la colaboración de FilminBy Emilio Doménech120 pulsaciones por minuto es una película francesa de 2017 dirigida por Robin Campillo. Cuenta la historia de un grupo de activistas galos a primeros de los 90 en su lucha por reivindicar los derechos LGBTQ en el contexto de la epidemia del SIDA.La película ganó el Gran Premio del Jurado y el premios FIPRESCI de la crítica en el Festival de Cannes de su año. Acabaría arrasando en los Premios César franceses con seis galardones entre los que se incluyeron Mejor Película, Mejor Actor de Reparto y Mejor Guion Original.Campillo logra una pieza que se siente a la vez informativa, pedagógica y profundamente emocional. Porque pese a retratar el día a día del activismo, con reuniones y debates ideológicos que a priori pueden resultar poco atractivos para el espectador, en realidad el filme hace un trabajo fantástico equilibrando dosis de intensidad dramática con episodios de exploración temática que inspiran por su lucidez.Cero sorpresas con que Campillo se llevara el premio al Mejor Montaje en los César, pues la labor de edición es el logro más incontestable del filme.Campillo era editor antes de ser director. Y también fue el guionista de una película con la que 120 pulsaciones por minuto comparte esa facilidad para convertir conversaciones con sustancia informativa, histórica y discursiva en diálogos que también tienen peso dramático: la extraordinaria La clase, de Laurent Cantet, ganadora de la Palma de Oro en Cannes en 2008.En una era en la que la comunidad LGBTQ+ en países como Estados Unidos teme por sufrir un retroceso en materia de derechos, largometrajes como el de Campillo ilustran lo difícil que fue luchar por conseguirlos.Y en la historia de los personajes de 120 pulsaciones por minuto están también la de otras tantas miles de personas que reivindicaron su igualdad en tiempos bastante más oscuros, pues la película muestra los coletazos más duros del SIDA.120 pulsaciones por minuto está disponible en Filmin.🥊 Otro récord de IbaiBy Marina EnrichLo importante: Ibai organizó este pasado sábado La velada del año 2, una noche dedicada al boxeo y a la música en el Palau Olímpic de Badalona (Barcelona) en la que varios streamers combatieron entre sí. Ah, y David Bustamante, también.La clave. Ibai logró el récord histórico de 3,3 millones de espectadores simultáneos en el stream (2,4 millones de media). El récord anterior lo tenía TheGrefg, otro streamer español, con un pico de 2,5 millones de espectadores cuando presentó su skin de Fortnite (un ‘look’ que había diseñado para el juego online).Ten en mente que el minuto de oro en la televisión española el pasado viernes se lo llevó Pasapalabra con 2,7 millones de espectadores, mientra que la Voz Kids congregó una media de 1,3 millones de espectadores durante la noche.Los highlights.Ibai anunciando dos días antes la escaleta del evento vía Twitch usando Paint. Ni comunicados de prensa, ni publicaciones estándares para sus seguidores. Lo que nos gusta.Las actuaciones de Bizarrap, Nicki Nicole, Duki o Rels B. Puedes verlas aquí.La asistencia de AuronPlay o ElRubius, sobre todo porque nunca suelen ir a este tipo de eventos.
We have two movies to discuss this week! First, we cover Bretten Hannam's Two-Spirit Indigenous drama WILDHOOD (2:39), a road trip film coming to Hulu about two brothers, one of whom is searching for his long-lost birth mother. Along the way he finds himself by connecting with his heritage and comes out through a relationship with someone he meets along the way. Next is Phil Tippett's MAD GOD (22:52), an unsettling stop-motion-animated horror film on Shudder that's 30 years in the making. It's easy to describe visually, but hard to describe narratively. And in this week's Patreon exclusive audio, we talk about the winner of our Pride Month poll, Robin Campillo's drama 120 BPM, which chronicles the work ACT UP Paris did in the early 90s to fight the AIDS epidemic.
Transmission (10/10) : de la house music à l'activisme LGBT Didier Lestrade, écrivain, journaliste et cofondateur d'Act Up-Paris a signé une des pages les plus importantes du militantisme français en tant que figure majeure du mouvement LGBT. Né en Algérie en 1958, il grandit dans la campagne de la vallée du Lot avant de rejoindre Paris à 19 ans, sans le baccalauréat, à la conquête d'un nouveau monde. Un monde où l'on se sent moins seul pour partager et vivre ses désirs et ses amours. Il cultive un goût prononcé pour l'univers et l'esthétique gay qu'il concrétise en lançant à 22 ans la revue « Magazine » qui lui ouvre la voie vers le métier de journaliste, collaborant avec la presse homosexuelle de l'époque ainsi qu'au quotidien Libération où il chronique la Dance Music(1). Une culture musicale issue de la communauté gay outre-atlantique et qui fait des ravages dans les boites gay parisiennes qu'il fréquente assidument. L'époque de la libération (sexuelle) sera de courte durée. L'épidémie du Sida commence à frapper et il n'est pas épargné : en 1986, alors âgé de 28 ans Didier Lestrade apprend qu'il est séropositif. Dans un geste qu'il explique comme « le besoin de donner quelque chose en retour à sa communauté » , il co-fonde en 1989 , avec ses amis Pascal Loubet et Luc Coulavin , Act Up-Paris, association militante de lutte contre le Sida issue de la communauté homosexuelle suivant le modèle américain né deux ans plus tôt. Pour lutter contre l'indifférence générale, un âpre combat est alors livré par l'association contre l'Etat mais aussi contre l'industrie pharmaceutique pour la prise en charge des malades. Ce combat est une épopée majeure dans l'histoire de la désobéissance civile, c'est aussi une avancée décisive pour l'accompagnement des malades dont chacun profite aujourd'hui. La guerre est menée tambour battant, actions coups de poing d'un côté, recherches médicales de l'autre, comme en témoigne le magnifique film de Robin Campillo «120 battements par minute » sorti en 2017, et dont Didier Lestrade a inspiré un des personnages principaux. Rescapé, survivant de la maladie, Didier Lestrade est aujourd'hui installé à la campagne , où il vit de peu et prône la décroissance(2). Auteur de plusieurs livres dont « Act Up, une histoire » (Denoel, 2000) qui relate les premières années de l'association, Didier Lestrade est un conteur fabuleux à la mémoire précise et au verbe sincère. Toujours fidèle à la communauté qui l'a construit, il raconte avec générosité sa vie de justes combats et de passions durables.(1) Chroniques cultes sur la House Music dont une sélection a été publiée sous le titre "Chroniques du dance floor. Libération 1988-1999", Ed. Singulier, 2010.(2) "Cheikh. Journal de campagne", Flammarion, 2007."I love porn" sortira le 2 septembre 2021 aux éditions du Détour. Pourquoi ces morceaux ont compté pour Didier Lestrade :- BRONSKI BEAT : « Need A man Blues » : "Tout le premier album de Bronski Beat (1984) est unique dans le sens où le groupe était ouvertement gay quand beaucoup d'artistes pop cachaient encore leur sexualité". - ARETHA FRANKLIN : « Say A Little Prayer » : "Première chanteuse noire découverte dans la collection de disques de mon père". - WINGS: « Wild Life » : "Un des premiers morceaux à aborder la condition animale et l'écologie". - MARSHALL JEFFERSON @ TRUTH : « Open your Eyes » : "Premier disque de deep house (1988) avec un fort message spirituel et politique". La playlist "dance music" des sons rythmant l'épisode est disponible sur Deezer et Spotify. Aude Lavigne : Journaliste et productrice à Radio France de 1999 à 2020, elle a animé de nombreuses émissions culturelles sur France Culture et France Musique. De 2010 à 2020, elle a présenté l'émission « Les carnets de la création» consacrée à la découverte de jeunes artistes dans toutes les disciplines. En parallèle elle a réalisé des documentaires de société pour les émissions « Surpris par la nuit », « Les pieds sur terre » ou « Sur les docks » pour France Culture. Par ailleurs, elle a collaboré avec le Théâtre de la Bastille au titre de conseillère artistique. Elle mène actuellement pour le Théâtre Nanterre-Amandiers le podcast «radio amandiers - revue sonore » avec Alexandre Plank et Making Waves. Le podcast TransmissionBrigitte Fontaine, Marsu (Bérurier Noir), Patrice Leconte, Pierre Lescure, Lio… Musiciens, écrivains, producteur ou directeur de chaîne, ils ont bousculé l'écriture, dynamité le rock, émancipé la chanson ou oxygéné la télé. Seuls ou en bande, dans une galaxie alors privée d'Internet, ils ont remué la France avec des rythmes nouveaux et des styles audacieux. Leurs trajectoires illustrent le bien-fondé de la révolte et de la quête de nouveauté. Ces pionniers de la pop culture se racontent dans Transmission, podcast mensuel coproduit par ARTE Radio et La Fab. – fonds de dotation agnès b. Archives et musiques originales enrichissent ces récits à la première personne, menés par des intervieweurs complices mais pas trop, tels que Thomas Baumgartner, Laurence Garcia ou Étienne Menu. Un tête-à-tête d'une heure avec des parcours singuliers, défricheurs et inspirants pour réconcilier boomers et millennials. Enregistrements : 2020 - Prises de son : Nathalie Battus - Voix, entretien, montage : Aude Lavigne - Réalisation & mix : Charlie Marcelet - Illustrations : Hermione Volt - Production : ARTE Radio et la Fab.
The BFI Podcast: Hugh Grant, Rupert Everett and Robin Campillo We round up the highlights of BFI Flare, Europe's largest LGBTQ+ film festival, which included Rupert Everett instructing an audience on the fine art of re-creating Oscar Wilde's genitals, Robin Campillo explaining how his film, 120 BPM, carries the spirit of the French Aids activist group Act Up and Hugh Grant, reflecting on the experience of “playing gay” across the years and the time he snogged a Bear (Paddington Bear AKA Ben Whishaw ... in character ... for the BBC's upcoming Jeremy Thorpe biopic). The BFI podcast - four stories from across the British film industry - is written, presented and produced by Henry Barnes: twitter.com/henryhbarnes?lang=en.This episode contains clips from the following:- Maurice, directed by James Ivory and released in 1987 by Cinecom Pictures.- 120 BPM, directed by Robin Campillo and released in 2018 by Memento Films.- Torch Song Trilogy, directed by Paul Bogart and released in 1988 by New Line Cinema.- Three Men and a Baby, directed by Leonard Nimoy and released in 1987 by Buena Vista Pictures.- Modern Family – “The Wedding”, directed by Alisa Statman and released in 2014 by 20th Century Fox. This episode contains the following music, all used under license via Audio Network, unless otherwise stated:- Throwback Jack, written and performed by Tim Garland. Released in 2003.- Shortie, written and performed by Bob Bradley and Chris Egan. Released in 2002. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
120 BPM is a portrait of the early 90s Act Up AIDS activists in Paris and a stunningly intimate romance. It's one of the most critically acclaimed films of the last 12 months and it finally arrives on UK shores this week and we were lucky enough to speak to its director, Robin Campillo. Joining Sam in the studio to discuss the film are Irene Musumeci and Julien Allen (Reverse Shot)As the AIDS epidemic tears through their community, the members of ACT UP Paris are fighting for survival. While they battle against governmental apathy, pharmaceutical greed and public ignorance, they also go out partying, debate politics and, occasionally, fall in love. One day, as outspoken radical Sean (Nahuel Pérez Biscayart) strikes up a conversation with shy newcomer Nathan (Arnaud Valois), they have no idea that their lives are about to change forever.Based on the director's own experiences, this vibrant and deeply emotional drama rushes with youthful energy, balancing powerful themes of social justice with euphoric moments of spine-tingling sensuality. Urgent and affecting, it's a film about life, death, love, tragedy – and, above all, the will to survive.Follow the team here:Sam Howlett @SamHowlett_1Irene Musumeci @byronicJulien Allen @JulesArkJake Cunningham @CunninghamJHProduced and edited by Jake CunninghamBuy tickets for 120 BPM here: https://www.curzoncinemas.com/film-info/120-bpm Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
In episode five of movies imo., Ben, Brandon, and Daniel yell over each other about Robin Campillo's BPM (BEATS PER MINUTE) and connect it to other activism films. They also briefly discuss Ruben Östlund's THE SQUARE and the first trailer for Steven Spielberg's THE POST. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.