Swedish scientist
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Han hade ett finger med i varenda spel i Sverige, vare sig det gällde inrikespolitik eller forskning, säger författaren Jan Malmborg som skrivit den nya biografin Svante Arrhenius : nobelpristagare, kosmopolit och klimatpionjär Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Svante Arrhenius (1859-1927) var Sveriges ledande forskare kring förra sekelskiftet och 1903 blev han också Sveriges förste nobelpristagare. Han förknippas idag främst med att ha påvisat växthuseffekten men han forskade framförallt kring elektricitet.Nu kommer den första stora boken om Arrhenius som är en historia om en stridbar och folklig forskare som efter en kämpig start på karriären blev en av Sveriges mäktigaste och mest kända personer. Och en globalt känd forskare, som inte minst i nobelsammanhang hade en mycket stark ställning i flera decennier.Medverkar gör bokens författare Jan Malmborg samt Agnes Wold, professor i klinisk bakteriologi och dotterdotter till Svante Arrhenius. Programledare:Mats Carlsson-Lenart mats.carlsson-lenart@sverigesradio.seProducent:Lars Broströmlars.brostrom@sverigesradio.se
Quand on évoque les origines scientifiques de l'effet de serre, les noms de John Tyndall et de Svante Arrhenius viennent naturellement à l'esprit. Mais que dire d'Eunice Newton Foote, scientifique américaine et militante des droits des femmes, dont les travaux précurseurs ont été éclipsés par l'histoire ?En 1856, soit trois ans avant les recherches de Tyndall, Eunice Foote a démontré que des concentrations accrues de dioxyde de carbone dans l'atmosphère pouvaient provoquer un réchauffement climatique significatif. Avec des moyens modestes — deux cylindres en verre, des thermomètres et une pompe à vide — elle a isolé des gaz et mesuré leur capacité à retenir la chaleur sous les rayons du soleil. Elle théorisa que l'atmosphère terrestre, enrichie en CO₂, entraînerait une hausse des températures. Ce qu'elle décrivait alors n'était autre que l'effet de serre.Mais à cette époque, les femmes étaient exclues des cercles scientifiques. Lors d'un congrès de l'Association américaine pour l'avancement des sciences, ses travaux furent présentés par un homme, Joseph Henry, et publiés dans l'anonymat presque total. Résultat, son nom sombra dans l'oubli tandis que les recherches masculines prenaient toute la lumière. Foote, cependant, n'était pas qu'une scientifique. Militante féministe, elle fut une figure clé de la Convention de Seneca Falls en 1848, première assemblée dédiée aux droits des femmes. Une vie à la croisée des sciences et des luttes sociales. Aujourd'hui, reconnaître son apport, sans minimiser les découvertes de Tyndall, c'est rendre justice à une femme dont les travaux ont ouvert la voie à la compréhension moderne du climat. Une héroïne méconnue d'une science qui continue, encore aujourd'hui, à révéler les liens entre humanité et atmosphère. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A is for Arrhenius - Who? What? We start our trip through the alphabet as we have 28 days (and change) to the U.S. election. Swedish scientist, Svante Arrhenius, starting in 1894, constructed the first climate model which showed the effects that CO2 has on the atmosphere. It's a good place to start as everything on and enveloping earth connects to carbon. And Christ, "through who all things were made" is there in the midst of the "building blocks" that are carbon connected molecules. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/presence/support
In her new book H Is for Hope, author Elizabeth Kolbert explores the landscape of climate change in a series of 26 animated essays arranged in alphabetical order-from "A", for Svante Arrhenius, who created the world's first climate model in 1894, to "Z", for the Colorado River Basin, ground zero for climate change in the United States. Kolbert is a staff writer for The New Yorker and author of several books, most notably Pulitzer Prize winner The Sixth Extinction: An Unnatural History, which chronicled previous mass extinction events and compared them to the accelerated, widespread extinctions of our present time.
Les spécialistes du climat ne cessent de tirer la sonnette d'alarme : si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites de manière significative, le réchauffement de la planète continuera de provoquer des événements climatiques extrêmes.Mais au XIXe siècle et au début du siècle suivant, la majorité des scientifiques ne voyaient pas les choses ainsi. Pour eux, le principal danger auquel était confrontée l'humanité était le refroidissement de la Terre.Il fallait donc trouver d'urgence des moyens pour la réchauffer et rendre ainsi la vie plus supportable sur notre planète. C'était notamment la conviction d'un certain William Lamont Abbott.Cet ingénieur respecté, membre du conseil de l'université d'Illinois, n'était pas un fantaisiste ni un illuminé. Pourtant, ce qu'il proposait, à la fin des années 1920, pour assurer l'avenir de la planète, ferait bondir d'indignation les écologistes d'aujourd'hui.En effet, pour réchauffer la planète, il préconisait de brûler toutes ses réserves de charbon. La combustion de toutes ces ressources fossiles ferait aussitôt remonter les températures moyennes. Ce serait la meilleure manière d'éviter cet inéluctable refroidissement de la planète qui, selon les contemporains de l'ingénieur, représentait, pour l'avenir de l'humanité, le péril le plus grave.Objet de toutes nos craintes, ce réchauffement de la planète était alors vu comme un moyen d'accroître la surface cultivable de la Terre. Même les régions polaires, devenues plus tempérées, se mettraient à produire du blé ou des légumes.Brûler toutes les réserves de charbon aurait encore une autre vertu. Elle permettrait d'éviter le spectre de la faim, dans un contexte de très forte augmentation de la population mondiale.William Lamont Abbott exhortait donc tous les gouvernements à recenser les ressources de leur sous-sol et à mettre le feu sans tarder à tout le charbon découvert.Si quelques scientifiques ont tenté d'alerter sur les dangers d'une telle théorie, d'autres, comme le physicien suédois Svante Arrhenius, ont également fait un lien entre l'émission de C02 et l'amélioration du sort de l'humanité. Ses travaux lui ont même valu un prix Nobel en 1903. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les spécialistes du climat ne cessent de tirer la sonnette d'alarme : si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites de manière significative, le réchauffement de la planète continuera de provoquer des événements climatiques extrêmes. Mais au XIXe siècle et au début du siècle suivant, la majorité des scientifiques ne voyaient pas les choses ainsi. Pour eux, le principal danger auquel était confrontée l'humanité était le refroidissement de la Terre. Il fallait donc trouver d'urgence des moyens pour la réchauffer et rendre ainsi la vie plus supportable sur notre planète. C'était notamment la conviction d'un certain William Lamont Abbott. Cet ingénieur respecté, membre du conseil de l'université d'Illinois, n'était pas un fantaisiste ni un illuminé. Pourtant, ce qu'il proposait, à la fin des années 1920, pour assurer l'avenir de la planète, ferait bondir d'indignation les écologistes d'aujourd'hui. En effet, pour réchauffer la planète, il préconisait de brûler toutes ses réserves de charbon. La combustion de toutes ces ressources fossiles ferait aussitôt remonter les températures moyennes. Ce serait la meilleure manière d'éviter cet inéluctable refroidissement de la planète qui, selon les contemporains de l'ingénieur, représentait, pour l'avenir de l'humanité, le péril le plus grave. Objet de toutes nos craintes, ce réchauffement de la planète était alors vu comme un moyen d'accroître la surface cultivable de la Terre. Même les régions polaires, devenues plus tempérées, se mettraient à produire du blé ou des légumes. Brûler toutes les réserves de charbon aurait encore une autre vertu. Elle permettrait d'éviter le spectre de la faim, dans un contexte de très forte augmentation de la population mondiale. William Lamont Abbott exhortait donc tous les gouvernements à recenser les ressources de leur sous-sol et à mettre le feu sans tarder à tout le charbon découvert. Si quelques scientifiques ont tenté d'alerter sur les dangers d'une telle théorie, d'autres, comme le physicien suédois Svante Arrhenius, ont également fait un lien entre l'émission de C02 et l'amélioration du sort de l'humanité. Ses travaux lui ont même valu un prix Nobel en 1903. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Si les événements météorologiques extrêmes provoqués par le changement climatique inquiètent de nos jours, les croyances étaient très différentes au début du 20e siècle d'après l'historien Thomas Moynihan. Ce dernier a raconté à la BBC qu'un ingénieur américain, William Lamont Abbott avait développé l'hypothèse selon laquelle le charbon était une substance essentielle pour améliorer la vie humaine. En conséquence, les gouvernements du monde entier devaient brûler tout le charbon enfoui sous terre. Ce progressisme était basé sur une théorie de la libération énergétique et ignorait la catastrophe potentielle que ce système créerait. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette idée s'inscrivait parfaitement dans son temps.À cette époque, la science commençait à peine à faire le lien entre le développement industriel et l'augmentation des émissions de dioxyde de carbone (CO2). Sauf que les croyances étaient encore marquées par les connaissances du XIXe siècle, où les physiciens pensaient que la Terre se refroidissait inexorablement. À la fin des années 1920, William Lamont Abbott expliquait à qui voulait bien l'entendre, que le CO2 était associé à l'augmentation des surfaces agricoles à mesure que les régions polaires se transformaient. Selon lui, la combustion du charbon répondait également aux besoins liés à l'explosion démographique. Selon les Nations Unies, la population avant la Seconde Guerre mondiale était d'environ 2 milliards de personnes, soit environ un quart de la population actuelle. Bien que ses théories soient aujourd'hui mal vues, d'autres scientifiques vantent également l'utilisation intensive du charbon comme faisant partie de la transformation positive de la société moderne.Comme le rappelle Thomas Moynihan, le physicien suédois Svante Arrhenius qui a vécu entre 1859-1927 est également intervenu en faveur du réchauffement climatique. Ses travaux sur l'augmentation du dioxyde de carbone ont fait de lui un pionnier dans la communauté scientifique, lui offrant même un prix Nobel de chimie en 1903. Seules quelques voix minoritaires osaient s'opposer à cela à l'époque, notamment le géologue Thomas Crowder Chamberlin (1843-1928) qui avait déjà défendu le principe de précaution et exhortait le monde, déjà à l'époque, à reduire ses émissions de dioxyde de carbone. Un avertissement qu'il accompagnait d'un discours positif, estimant que la population pouvait renverser le cours des événements, en particulier le réchauffement climatique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si les événements météorologiques extrêmes provoqués par le changement climatique inquiètent de nos jours, les croyances étaient très différentes au début du 20e siècle d'après l'historien Thomas Moynihan. Ce dernier a raconté à la BBC qu'un ingénieur américain, William Lamont Abbott avait développé l'hypothèse selon laquelle le charbon était une substance essentielle pour améliorer la vie humaine. En conséquence, les gouvernements du monde entier devaient brûler tout le charbon enfoui sous terre. Ce progressisme était basé sur une théorie de la libération énergétique et ignorait la catastrophe potentielle que ce système créerait. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette idée s'inscrivait parfaitement dans son temps. À cette époque, la science commençait à peine à faire le lien entre le développement industriel et l'augmentation des émissions de dioxyde de carbone (CO2). Sauf que les croyances étaient encore marquées par les connaissances du XIXe siècle, où les physiciens pensaient que la Terre se refroidissait inexorablement. À la fin des années 1920, William Lamont Abbott expliquait à qui voulait bien l'entendre, que le CO2 était associé à l'augmentation des surfaces agricoles à mesure que les régions polaires se transformaient. Selon lui, la combustion du charbon répondait également aux besoins liés à l'explosion démographique. Selon les Nations Unies, la population avant la Seconde Guerre mondiale était d'environ 2 milliards de personnes, soit environ un quart de la population actuelle. Bien que ses théories soient aujourd'hui mal vues, d'autres scientifiques vantent également l'utilisation intensive du charbon comme faisant partie de la transformation positive de la société moderne. Comme le rappelle Thomas Moynihan, le physicien suédois Svante Arrhenius qui a vécu entre 1859-1927 est également intervenu en faveur du réchauffement climatique. Ses travaux sur l'augmentation du dioxyde de carbone ont fait de lui un pionnier dans la communauté scientifique, lui offrant même un prix Nobel de chimie en 1903. Seules quelques voix minoritaires osaient s'opposer à cela à l'époque, notamment le géologue Thomas Crowder Chamberlin (1843-1928) qui avait déjà défendu le principe de précaution et exhortait le monde, déjà à l'époque, à reduire ses émissions de dioxyde de carbone. Un avertissement qu'il accompagnait d'un discours positif, estimant que la population pouvait renverser le cours des événements, en particulier le réchauffement climatique. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Redan i slutet av 1800-talet förstod Svante Arrhenius att människan värmer upp jordklotet. Under ett år räknade han för hand och skapade världens första klimatmodell. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. I serien Klimatinsikten från 2020 berättar vi historien om hur kunskapen om klimatförändringen växte fram. Första delen tar dig 200 år bakåt i tiden. Det var då forskare förstod att något i atmosfären håller kvar värme. Det som vi idag kallar växthuseffekten.Den svenske forskaren Svante Arrhenius var sedan först med att foga ihop kunskapen om klimatet till en teori, som står sig än idag. Men han var inte det minsta bekymrad över uppvärmningen – tvärt om välkomnade han den.I programmet medverkar Henning Rodhe, professor vid meteorologiska institutionen vid Stockholms universitet, och Sverker Sörlin, idéhistoriker och professor i miljöhistoria vid Kungliga tekniska högskolan.Programmet är en repris från 27 jan 2020.ProgramledareMalin AveniusProducentPeter Normarkpeter.normark@sverigesradio.seLjudteknikerOlof Sjöström
In which we hear about 19th-century observations on the heat-capacity of gases, starting with Eunice Foot in 1856 and John Tyndall a few years later. Then we get to the first mathematical modeling of Earth's climate and how concentration of certain gases affects the climate, as done by Svante Arrhenius in 1896. Then we change to leaded gasoline in the 1920s, as promoted by General Motors and its employee, Thomas Midgely, Jr. Finally, we hear of the first of four pollution diseases of Japan, Itai-Itai, discovered in 1912 as a result of mining for silver in Toyama Prefecture, but only recognized as such a half-century later.Support the show Support my podcast at https://www.patreon.com/thehistoryofchemistry Tell me how your life relates to chemistry! E-mail me at steve@historyofchem.com Get my book, O Mg! How Chemistry Came to Be, from World Scientific Publishing, https://www.worldscientific.com/worldscibooks/10.1142/12670#t=aboutBook
Before net zero, climate policy was all about contraction and convergence of emissions between rich and poor to achieve, in the words of the Rio Convention, “stabilization of greenhouse gas concentrations in the atmosphere” at a safe level. But scientists struggled to establish what that “safe” level was, making little progress in over a quarter of a century. And it was not because we were incompetent: for fundamental reasons in physics and probability theory, we were asking the wrong question.A lecture by Myles AllenThe transcript and downloadable versions of the lecture are available from the Gresham College website: https://www.gresham.ac.uk/watch-now/atmospheric-zeroGresham College has offered free public lectures for over 400 years, thanks to the generosity of our supporters. There are currently over 2,500 lectures free to access. We believe that everyone should have the opportunity to learn from some of the greatest minds. To support Gresham's mission, please consider making a donation: https://gresham.ac.uk/support/Website: https://gresham.ac.ukTwitter: https://twitter.com/greshamcollegeFacebook: https://facebook.com/greshamcollegeInstagram: https://instagram.com/greshamcollege
The Maxwell-Boltzmann distribution explains the behavior of gases nicely, and went well with the Ideal Gas Law of Clapeyton, until van der Waals modified the Ideal Gas Law a bit. We learn about absolute temperature and Lord Kelvin. Van 't Hoff connects the gas laws to osmotic pressure and ionic solutions. We hear of Raoult's Law and freezing-point depression. Finally we arrive at Svante Arrhenius's (barely passing) doctoral dissertation on ionic dissociation, and his activation energy for reactions.Support the show
In this episode we discuss the efforts of three scientists–Svante Arrhenius, Guy Callendar, and Charles David Keeling–to figure out exactly what fossil fuel emissions might be doing to the atmosphere and the global temperature. Surprisingly, Arrhenius and other early climate scientists didn't necessarily think that global warming would be…such a bad thing? But by the 1970s scientists began to push for more concerted efforts to research the effects of increasing carbon dioxide concentrations in the atmosphere. We'll pick up that part of the story in the next episode. You'll also hear about Guy Callendar's contributions to climate science. Guy was a fellow who held no academic degrees in science but did live through a dangerous childhood. We'll conclude with Charles Keeling and his famous curve showing how the CO2 concentration in the atmosphere began increasing at an accelerating rate during the twentieth century.
Nombreuses sont les théories scientifiques cherchant à comprendre comment la vie a pu apparaître et se développer à la surface de la Terre. La panspermie est l'une d'entre elles.La vie venue d'une autre planèteLa panspermie est une théorie selon laquelle les premiers micro-organismes vivants viendraient de l'espace et auraient été apportés sur Terre par divers moyens.Une telle idée avait déjà été exprimée, voilà environ 2.500 ans, par le philosophe grec Anaxagore. La théorie est ensuite un peu délaissée, pour ne réapparaître qu'au XIXe siècle.Le physicien anglais Lord Kelvin imagine alors que, sous l'effet d'une collision avec d'autres corps célestes, des morceaux de roche aient pu se détacher d'une planète où la vie serait apparue. De petits organismes, enfermés dans ces roches, auraient pu voyager dans l'espace et atterrir sur notre planète.Au début du XXe siècle, le chimiste suédois Svante Arrhenius donne plus de consistance à cette théorie, en rappelant que certains micro-organismes ont survécu dans un bain d'azote liquide et que le souffle provoqué par la lumière des étoiles aurait pu propulser des particules de vie dans l'espace.La panspermie est moins mise en avant de nos jours, même si elle a encore des adeptes, dont certains imaginent même que des maladies ont pu être apportées sur Terre par des virus venus de l'espace.Une théorie qui se défendMême s'ils ne sont pas très nombreux, les tenants de la panspermie ont pourtant des arguments à faire valoir. En premier lieu, une telle théorie rendrait mieux compte de l'apparition de la vie sur Terre.En effet, pour certains scientifiques, le temps qui s'est écoulé entre la formation de la Terre et celle des premiers organismes vivants ne serait pas assez long pour permettre la mise en place d'un processus aussi complexe.Par ailleurs, il n'est pas impossible que certaines planètes proches de la Terre, comme Mars, aient pu accueillir la vie à un moment de leur histoire. Enfin, les comètes et certains astéroïdes pourraient se révéler d'excellents véhicules pour le transport intersidéral de ces particules de vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nombreuses sont les théories scientifiques cherchant à comprendre comment la vie a pu apparaître et se développer à la surface de la Terre. La panspermie est l'une d'entre elles. La vie venue d'une autre planète La panspermie est une théorie selon laquelle les premiers micro-organismes vivants viendraient de l'espace et auraient été apportés sur Terre par divers moyens. Une telle idée avait déjà été exprimée, voilà environ 2.500 ans, par le philosophe grec Anaxagore. La théorie est ensuite un peu délaissée, pour ne réapparaître qu'au XIXe siècle. Le physicien anglais Lord Kelvin imagine alors que, sous l'effet d'une collision avec d'autres corps célestes, des morceaux de roche aient pu se détacher d'une planète où la vie serait apparue. De petits organismes, enfermés dans ces roches, auraient pu voyager dans l'espace et atterrir sur notre planète. Au début du XXe siècle, le chimiste suédois Svante Arrhenius donne plus de consistance à cette théorie, en rappelant que certains micro-organismes ont survécu dans un bain d'azote liquide et que le souffle provoqué par la lumière des étoiles aurait pu propulser des particules de vie dans l'espace. La panspermie est moins mise en avant de nos jours, même si elle a encore des adeptes, dont certains imaginent même que des maladies ont pu être apportées sur Terre par des virus venus de l'espace. Une théorie qui se défend Même s'ils ne sont pas très nombreux, les tenants de la panspermie ont pourtant des arguments à faire valoir. En premier lieu, une telle théorie rendrait mieux compte de l'apparition de la vie sur Terre. En effet, pour certains scientifiques, le temps qui s'est écoulé entre la formation de la Terre et celle des premiers organismes vivants ne serait pas assez long pour permettre la mise en place d'un processus aussi complexe. Par ailleurs, il n'est pas impossible que certaines planètes proches de la Terre, comme Mars, aient pu accueillir la vie à un moment de leur histoire. Enfin, les comètes et certains astéroïdes pourraient se révéler d'excellents véhicules pour le transport intersidéral de ces particules de vie. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On today's ID the Future astrobiologist Guillermo Gonzalez and host Casey Luskin discuss the idea of undirected panspermia. Gonzalez explains the basic idea and what the best current evidence says about its plausibility. The occasion is his chapter on panspermia in the new anthology A Comprehensive Guide to Science and Faith, co-edited by Casey Luskin, associate director of Discovery Institute's Center for Science and Culture. Undirected panspermia is the idea that the first life on our planet came from outer space, carried by chance processes from a faraway living planet on space dust, asteroids, or comets either from within our solar system, or from another star system to here. The idea of panspermia was inspired by the extreme difficulty of Read More › Source
"Das Klima”, der Podcast zur Wissenschaft hinter der Krise. Wir lesen den aktuellen Bericht des Weltklimarats und erklären den aktuellen Stand der Klimaforschung. Wir sind bei Kapitel 3 des IPCC-Berichts angekommen und damit dem, was wir Menschen so getrieben haben. Nix gutes, was das Klima angeht, das kann man sich denken. Um das ganze aber auch wissenschaftlich seriös abzusichern, geht es um dritten Kapitel ganzt explizit darum, welchen Anteil die diversen menschlichen Aktivitäten an den beobachteten Änderungen in allen Bereichen des Klimasystems haben. Darum klären wir zuerst einmal, wie man das eigentlich ausrechnet (Spoiler: Man braucht jede Menge Methoden mit seltsamen Akronymen). Danach schauen wir ein bisschen im Detail auf die Mechanismen des Klimawandels und vor allem zurück in die Geschichte seiner Erforschung. Wie lange wissen wir eigentlich schon, dass wir das Klima verändern? Und wer hat das rausgefunden? Am Ende erklärt Claudia noch ganz konkret, was an menschengemachten Veränderungen in der Atmosphäre stattfgefunden hat. Inklusive chaotischer Variabilitäten, der überraschenden Verbindung zwischen Monsun und Mikrochips und dem - zu Recht! - vernachlässigten Wasserdampf. Außerdem: Geht zur Wahl! Und zum Klimastreik!
In this episode I want to cover this topic of the 2000 Watt Society, what that actually means, and why it is an extremely important topic. In episode #3 titled How Much Should One Person Be Allowed to Use, I touched on this topic. Additionally, this topic is closely related to episode #2 The Most Sustainable Countries. But I want to go much more in-depth this time around because I think this is a very important topic and it is one of the pillars to our sustainable future.Okay for a minute here I want you to put aside your opinion about the whole topic of global warming and climate change. There are still many, many people that think this is all a trumped up myth by environmental activists and we have nothing to worry about. Yet all you have to do is listen to episode #25 The Keystone Life of Coral, and you will have a clear example of the reality of the environmental change we now face. There was a scientist named Svante Arrhenius, that published a seminal paper in 1896 where he clearly expounded on the science of global warming. Now this is a man whose lifetime work spanned nearly 50 years and delved into numerous scientific disciplines. In 1903 he was awarded the Nobel Prize for some of his work. Toward the middle of his career he became interested in the role of carbon dioxide in climate control. That was about the time he published his paper. But, it wasn't until 2004 that Vice-President Al Gore thrust the topic of global warming into the public arena. Prior to that this topic had been mostly ignored for almost 80 years. So I think this is typical for most of the human race. We get our first warning in 1896. So here we are 125 years later and people are still balking at the concept of global warming and excess carbon emissions.This model of the 2000 Watt society is simply a model. It does have some limitations. However, it does put a clear figure on what a sustainable lifestyle means for everyone. After all, every human being has the same right to use the resources that the Earth provides. So applying the 2000 watt society model means a more equal world as well as a sustainable one. There is no doubt that we will continue to see climate change in the coming decades. We can slow that down and even reverse this process but we must take action. As I have said before, I cannot fight the oil industry. I cannot fight the federal government. I cannot change the world. But what I can do is address the very way that I live everyday. And you can as well. Listen to this episode and learn all about a proven process of courageous climate change. Always live sustainably because this is how we build a better future. Patrick
Did you know? Each day, over 10,000 times the total energy used by humanity comes down from the sunDr. Lawrence Krauss is an internationally-known theoretical physicist and the author of hundreds of articles and more than ten books. He received his PhD from M.I.T. in 1982 and was subsequently selected by the Harvard Society of Fellows for his exceptional scholarship. He spent nearly four decades teaching at several of the nation’s finest universities and currently serves as President of The Origins Project Foundation.In this episode, we sit down with Lawrence to discuss his new book, “The Physics of Climate Change.” In this eye-opening conversation we discuss the carbon cycle, the history of climate science, the near-term and long-term effects of carbon emissions, potential tipping points, and the path forward. ==================== 0:00 – Intro 1:31 – Mekong River as a microcosm of climate change 05:24 – Recent realizations of the severity of sea-level change 06:55 – It’s in the developed world’s self-interest to mitigate climate change09:06 – The potential future of metropolitan coastal cities 09:57 – A summary of the carbon cycle and the early role of carbon dioxide13:53 – Climate science is not new 16:42 – The reason why time is of the essence with carbon emissions 18:55 – Carbon in the atmosphere has been measured every day since 195822:32 – Who was Svante Arrhenius?24:59 – Who was Newt Angstrom? 26:36 – Why excess carbon dioxide leads to excess radiation absorption on Earth29:53 – Correlation is not causation 30:39 – Solar energy32:21 – Why the “greenhouse effect” is a misnomer 35:42 – Nearly certain predictions vs. potential future tipping points 44:48 – Addressing the climate change deniers 50:53 – The oceans’ role in climate change 54:43 – Our best bet is reduction in energy use and harnessing clean energy01:01:51 – Lawrence’s initiative to get his book into the hands of Congress01:13:33 – One final question==================== References: The Physics of Climate Change by Lawrence Krauss Purchase here: https://amzn.to/2PJl1lWClimate Education for Congress Initiative GoFundMe: https://www.gofundme.com/f/s9sb4-climate-education-for-congress==================== To help make a difference, follow us for weekly episodes! Search for books by our guests on our website and sign up for the “Rising Weekly” to receive a Friday email “where we enrich episodes”. If you believe our podcast has ever shifted your perspective, please share it with someone you know and rate us. Thank you so much for tuning in and we welcome you back to our next episode. ==================== Instagram: https://www.instagram.com/risinglaterally/Twitter: https://twitter.com/RisingLaterallyApple Podcasts: https://podcasts.apple.com/us/podcast/rising-laterally/id1524717120 Spotify: https://open.spotify.com/show/3hbMEHVOZJVMdCZBhthTIh YouTube: https://www.youtube.com/channel/UCaIDpt943-sihvPBxX7oXaw
Halo Gêni@s! No QuimiCast de hoje, falamos sobre Svante Arrhenius. De teoria de dissociação iônica, teoria ácido-base até avaliação da emissão de gases estufas. Um pouco da história do pai da Físico-Química. Inscrições para o III CONDEQUI: http://bit.ly/3qz0EFU REFERÊNCIAS E LEITURAS SUGERIDAS Svante Arrhenius – Facts. NobelPrize.org. Nobel Media AB 2021. https://www.nobelprize.org/prizes/chemistry/1903/arrhenius/facts/ Crawford, E. "Svante Arrhenius". Encyclopedia Britannica. Atualizado em 15 Fev. 2021. Disponível em: https://www.britannica.com/biography/Svante-Arrhenius. “Svante August Arrhenius” Science History Institute. Atualizado em 14 nov. 2019. Disponível em: https://www.sciencehistory.org/historical-profile/svante-august-arrhenius Svante Arrhenius – Biographical. NobelPrize.org. Nobel Media AB 2021. Disponível em: https://www.nobelprize.org/prizes/chemistry/1903/arrhenius/biographical/ COMO CITAR O PODCAST EM SEU TRABALHO QuimiCast 47 - Svante Arrhenius. Loucação de: Vinício Francisco. [S. l.]: Produção independente, 19 fev. 2021. Podcast. Disponível em: https://anchor.fm/quimicast. Acesso em: (data em que ouviu o episódio) LINKS ÚTEIS INSTAGRAM: https://www.instagram.com/quimicocomico/ FACEBOOK: https://www.facebook.com/quimicocomico/ TWITTER: https://www.twitter.com/quimico_comico/ E-MAIL: oquimicocomico@gmail.com com assunto "QuimiCast" Envie dúvidas, sugestões, elogios, críticas, caneladas desse episódio, todo feedback é bem-vindo!
Opera divulgativa su temi collegati all'astronomia, alla cosmologia, alla geologia ed alla chimica. Svante Arrhenius scrisse questo libro qualche anno dopo aver vinto il premio Nobel per la Chimica.
Svante Arrhenius scrisse questo libro qualche anno dopo aver vinto il premio Nobel per la Chimica. Con il titolo Das Werden der Welten, il libro comparve nel 1908; l’edizione qui digitalizzata è del 1921, nella traduzione dovuta ad Augusto Levi. Si tratta di un’opera divulgativa in cui il celebre autore illustra alcune scoperte sue e […]
Redan i slutet av 1800-talet förstod Svante Arrhenius att människan värmer upp jordklotet. Under ett år räknade han för hand och skapade världens första klimatmodell. Första delen av Klimatinsikten tar dig 200 år bakåt i tiden. Det var då forskare förstod att något i atmosfären håller kvar värme. Det som vi idag kallar växthuseffekten. Den svenske forskaren Svante Arrhenius var sedan först med att foga ihop kunskapen om klimatet till en teori, som står sig än idag. Men han var inte det minsta bekymrad över uppvärmningen tvärt om välkomnade han den. I programmet medverkar Henning Rodhe, professor vid meteorologiska institutionen vid Stockholms universitet, och Sverker Sörlin, idéhistoriker och professor i miljöhistoria vid Kungliga tekniska högskolan. Programledare Malin Avenius Producent Peter Normark peter.normark@sverigesradio.se Ljudtekniker Olof Sjöström
Vi tar oss an naturvetenskapen bakom klimatförändringarna. Det börjar år 1896 med den svenske forskaren Svante Arrhenius och det här med koldioxid i atmosfären. Har du koll på vad "klimatförändring", "global uppvärmning" och "växthuseffekten" egentligen innebär? Några som inte har det; klimatskeptiker. I veckans avsnitt tar vi upp 4 vanliga klimatmyter som vi bemöter med vad forskningen egentligen säger. Av: Jonna Elofsson Bjesse och Melanie Olsson I samarbete med föreningen Medveten Konsumtion Poddmelodi kommer från låten ‘Something Elated’ av Broke for Free (CC by 3.0). Instagram: @dujagochjorden Facebook: Du, jag och Jorden Email: dujagochjorden@gmail.com Gillar du det vi gör? Stötta oss gärna på Patreon: https://www.patreon.com/dujagochjorden
Many think they know how life can to be, but the truth is one does for certain. A perfect topic for the very first Naturalish: Nights! Scienceman Alex Duckles and producer Ben Schultz explore popular philosophical, religious, and scientific theories throughout the ages - with special attention paid to those that are out of this world... We're talking panspermia, folks! And it's an idea more ancient -and plausible- than you might think. Science in the News covers the waking of Opportunity on Mars as well as the discovery of water and possibility for extraterrestrials on Jupiter. This week we liked Johannes Kepler and The RFK Tapes. Big-ish shout outs to Prometheus, Svante Arrhenius, Francis Crick, Anaxagoras, Elton John, Gov. Dan Aykroyd, the Copernican Model, hypnosis, tardigrades, and our creator(s), whether godly, alien, or soupy. Check out the article that inspired this podcast on Medium! Science-y words: primordial soup, evolution, biblical creationism, cosmic pluralism, intelligent design, spontaneous generation, abiogenesis, biogenesis, ancient astronaut theory, water bear
Este episodio explora la naturaleza del efecto invernadero descubierto por Joseph Fourier y Svante Arrhenius y las evidencias de un calentamiento global causado por la influencia humana. Estudiaremos el caso de marte y veremos el efecto en cascada del incremento del Dióxido de Carbono en la Tierra. También repasaremos la historia del aprovechamiento de las energías renovables y como podríamos detener el calentamiento global.
Este episodio explora la naturaleza del efecto invernadero descubierto por Joseph Fourier y Svante Arrhenius y las evidencias de un calentamiento global causado por la influencia humana. Estudiaremos el caso de marte y veremos el efecto en cascada del incremento del Dióxido de Carbono en la Tierra. También repasaremos la historia del aprovechamiento de las energías renovables y como podríamos detener el calentamiento global.
The sun radiates energy toward the earth, and the earth radiates much of that energy back. But some of it is blocked by carbon dioxide (CO2). The Swedish scientist Svante Arrhenius theorized changing amounts of CO2 could therefore change the earth’s surface temperature. Now, the equator is warm and the poles are cold, and we can demonstrate why this is by using a heat-sensitive ball and a hot light bulb. This is a major piece of the climate puzzle which we’ll connect in the coming segments.