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Stéphane Bern raconte le destin de Mazarin, le cardinal italien, principal ministre du royaume sous la régence d'Anne d'Autriche puis sous le règne de Louis XIV, et ses nièces dont il a fait les instruments de son ambition… Comment les 7 nièces du cardinal Mazarin l'ont-elles servi ? En quoi l'avenir de ces 7 jeunes filles était-il lié à celui de leur oncle ? Que devaient lui rapporter les unions matrimoniales qu'il nourrissait pour elles ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Evelyne Lever, historienne et auteure de "Les Princesses Mazarines, la gloire du cardinal" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteure du récit : Charlotte Chaulin. Journaliste : Clara Leger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte le destin de Mazarin, le cardinal italien, principal ministre du royaume sous la régence d'Anne d'Autriche puis sous le règne de Louis XIV, et ses nièces dont il a fait les instruments de son ambition… Comment les 7 nièces du cardinal Mazarin l'ont-elles servi ? En quoi l'avenir de ces 7 jeunes filles était-il lié à celui de leur oncle ? Que devaient lui rapporter les unions matrimoniales qu'il nourrissait pour elles ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Evelyne Lever, historienne et auteure de "Les Princesses Mazarines, la gloire du cardinal" (Tallandier, collection Texto) Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Pierre Cazalot. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteure du récit : Charlotte Chaulin. Journaliste : Clara Leger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:16:15 - Disques de légende du mercredi 02 avril 2025 - Luigi Rossi introduisit la musique italienne en France, en 1646, lors de sa venue à la demande du cardinal Mazarin. Néanmoins, Geoffroy Jourdain met de côté cet aspect des œuvres de Rossi quand il enregistre en 2012 Memento Mori.
durée : 00:16:15 - Disques de légende du mercredi 02 avril 2025 - Luigi Rossi introduisit la musique italienne en France, en 1646, lors de sa venue à la demande du cardinal Mazarin. Néanmoins, Geoffroy Jourdain met de côté cet aspect des œuvres de Rossi quand il enregistre en 2012 Memento Mori.
Stéphane Bern raconte le destin de celui qui fut à la fois cousin et rival du Roi-Soleil : Louis II de Bourbon, duc d'Enghien, prince de Condé, resté dans l'Histoire comme un héros et un grand chef de guerre, pourtant parti dans les bras de l'ennemi, sous le nom de “Grand Condé"
Stéphane Bern raconte le destin de celui qui fut à la fois cousin et rival du Roi-Soleil : Louis II de Bourbon, duc d'Enghien, prince de Condé, resté dans l'Histoire comme un héros et un grand chef de guerre, pourtant parti dans les bras de l'ennemi, sous le nom de “Grand Condé"
Zzzz . . . Doze away to this Sherlock Holmes short story by Arthur Conan Doyle – "The Adventure of the Mazarin Stone" zzz For an ad-free version of Sleepy, go to patreon.com/sleepyradio and donate $2! Or click the blue Sleepy logo on the banner of this Spotify page. Awesome Sleepy sponsor deals: ButcherBox: Sign up at butcherbox.com/sleepy and use code "sleepy" OneSkin: Get 15% off OneSkin with the code SLEEPY at https://www.oneskin.co/ #oneskinpod GhostBed: Go to GhostBed.com/sleepy and use promo code “SLEEPY” at checkout for 50% off! Shopify: Sign up for your one-dollar-per-month trial period at Shopify.com/otis Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Solve crimes with the great detective in "Sherlock Holmes Short Stories." Featuring classic tales by Arthur Conan Doyle, this podcast brings you the brilliant deductions and thrilling adventures of Sherlock Holmes and Dr. Watson. Whether you're a longtime fan or new to the world of Holmes, these timeless mysteries will keep you captivated.
In this conversation, Will Wright interviews Joshua Mazarin, author of 'Led by the Immaculata', exploring the profound themes of Marian consecration, the role of Mary in the life of the Church, and her unique relationship with the Holy Spirit. Joshua shares his inspiration for writing the book, the theological foundations of Marian devotion, and how it serves as a practical guide for living out one's faith. The discussion emphasizes the importance of entrusting oneself to Mary and understanding her as a mediator of grace, ultimately leading to a deeper relationship with Christ.St. Maximilian Kolbe is one of the most well-known and well-loved saints of all time. Many are familiar with the story of his selfless act at Auschwitz, where he sacrificed his own life to save a man who was a husband and father. But do you know about Kolbe's deep love for Mary, whom he called the Immaculata? How he surrendered everything to Our Lady to grow in holiness and align his will to the will of God? How he consecrated his life to Mary?In Led by the Immaculata, Joshua Mazrin, a Kolbe devotee and Mariology expert, will* introduce you to St. Maximilian Kolbe,* explain the meaning of consecration and the objectives of the Knights of the Immaculata,* walk you through the fourteen doable and practical steps of the consecration, and* provide a step-by-step plan for completing the consecration.Kolbe taught that by giving our lives completely to Mary, the Immaculata, she would direct our will to the will of the Holy Spirit—that is, the will of God. Kolbe wanted this message shared far and wide and so founded the Knights of the Immaculata with the goal of consecrating as many people as possible to Mary and her son.Each step of the consecration journey is explained in practical and theological terms, making it accessible to all, regardless of vocation or age. While Kolbe initially targeted men, the principles of holiness are equally relevant to women. The book concludes by empowering you—men and women alike—to be evangelists for the Immaculata and the Gospel and to be spiritual leaders in your family, workplace, and community.Led by the Immaculata invites you to embrace a deeper devotion to Mary and emulate Kolbe's path to holiness through the practical application of the fourteen steps in your daily life.Buy it today! - https://www.avemariapress.com/products/led-by-the-immaculataThanks for listening to Good Distinctions! Subscribe for free to receive new posts and support my work. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit www.gooddistinctions.com
Nous vivons dans un rêve, celui de Richelieu, architecte de l'État moderne. Face aux guerres de religion et aux régicides, il crée une machine aveugle et impitoyable : l'État, sacralisé comme une nouvelle religion avec le dieu Politique, son fils le Monarque absolu, et leur Saint-Esprit, l'ordre centralisé. Richelieu affaiblit magistrats, seigneurs et maintient le peuple dans la pauvreté, car, selon lui, "un peuple trop à l'aise échappe à son devoir". Ce cynisme, pierre angulaire des politiques d'austérité, forge une société contrôlée par la contrainte économique. Dieudonné, futur Louis XIV, est l'héritier de ce rêve, incarnant la raison d'État. Mais après la mort de Richelieu (1642) et Louis XIII (1643), la régence de Mazarin et Anne d'Autriche fait vaciller le pouvoir. Le peuple, les magistrats et les seigneurs se rebellent : c'est la Fronde. Au cœur du chaos surgit un personnage imprévu : Paul de Gondi, le cardinal de Retz, maître de la "bordélisation". Un chapitre clé, mêlant révolte et stratégie politique. Nouvel épisode de L'Empire n'a jamais pris fin, par Pacôme Thiellement.
Virginie Girod raconte l'ascension de Jean-Baptiste Lully (1632-1687), compositeur italien devenu maître des fêtes de la Cour à Versailles, dans un double récit inédit d'Au cœur de l'Histoire. Né à Florence, en Italie, Giovanni Battista Lully arrive en France en 1645, alors qu'il entre au service de la Grande Mademoiselle, cousine du roi Louis XIV. Remarqué par ce dernier, il mène une carrière florissante à la Cour de Versailles, jusqu'à se voir confier le poste clé de surintendant de la musique.
Elle faisait partie de la petite fratrie des nièces de Mazarin : la comtesse de Soissons, accusée d'empoisonnement à tort ou à raison, aura passé toute la fin de sa vie à errer. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode de Chiffon, je reçois un jeune homme qui a une vraie passion pour les bijoux. Je l'ai rencontré lors d''un dîner dans lequel il présentait sa marque de joaillerie, Mazarin, qu'il a co créée avec son amie Louise de Rothschild. J'ai tout de suite été séduite par son univers et son charisme. Keagan Ramsamy a grandi à l'Île Maurice dans une famille qui a soutenu sa passion pour l'art et la création. Son univers ? Un mix entre l'Orient et l'Occident. Pour lui, un bijou est comme un "vêtement.. c'est un message". Il aime les femmes libres et qui osent !Je ne vous en dis pas plus. Bonne écoute ! https://mazarin-paris.com/Si vous souhaitez rencontrer Keagan... rdv au 1er étage des Galeries Lafayette jusqu'au 3 janvier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parmi les serpents de mer de l'histoire, cette question récurrente et néanmoins piquante : la régente Anne d'Autriche et son ministre principal, le cardinal Mazarin, ont-ils été amants ? Peut-être la question mérite-telle d'être posée autrement…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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En mars 1652 neuf cavaliers traversent la France incognito pour renverser Mazarin. Parmi eux, le prince de Condé. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Choice Classic Radio presents Sherlock Holmes, which aired from 1939 to 1950. Today we bring to you the episode titled “The Mazarin Stone.” Please consider supporting our show by becoming a patron at http://choiceclassicradio.com We hope you enjoy the show!
Jules Mazarin est l'un des hommes politiques les plus accomplis de son temps. Sans naissance ni fortune, son charme et son ambition lui permettent pourtant de faire carrière chez les plus grands : d'abord au service de la papauté, il conseille ensuite Anne d'Autriche, mère de Louis XIV. Redouté par ses adversaires politiques, celui qu'on surnomme “le gredin de Sicile” va faire du royaume de France la plus grande puissance au monde. "Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Antoine de Meaux. Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras
Alors que Louis XIV est encore enfant, la Fronde éclate, représentant l'un des plus grands défis politiques pour Mazarin. En raison de son statut d'étranger, il suscite haine et méfiance, et on le rend responsable de presque tous les maux du royaume. Cependant, lorsque le conflit s'apaise, Mazarin en ressort renforcé et utilise sa position pour favoriser sa famille."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Antoine de Meaux. Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras
Devant une guerre contre l'Espagne sans fin et épuisant les ressources des deux nations, Jules Mazarin instigue une paix à travers le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Espagne. Politicien rusé mais rarement honnête, le cardinal n'hésite pas à détourner les fonds de l'État pour servir ses ambitions. "Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Antoine de Meaux. Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras
En 1624, âgé de 37 ans, Armand Jean Du Plessis, cardinal de Richelieu (1585-1642) devient le principal ministre du roi Louis XIII. Jusqu'à leur mort, tous deux forment, selon l'historienne Françoise Hildesheimer, “un couple politique sans plaisir”. Infatigable serviteur de l'État, doté d'une habileté politique certaine, Richelieu va imposer l'obéissance aux grands du royaume, réinventer les alliances politiques et faire naître l'État moderne.Quels ont été les grands axes de la politique qu'il a menée pendant 18 ans ? Quels parallèles peut-on établir entre Richelieu et Mazarin, son successeur ? Comment la légende noire de l'homme en rouge s'est-elle construite ?Pour en parler, Virginie Girod reçoit le journaliste François-Guillaume Lorrain, rédacteur en chef des pages Histoire du Point et auteur, notamment, du roman Le temps des trahisons (XO éditions).Thèmes abordés : absolutisme, État, XVIIe siècle, monarchie Au cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
Good evening and a huge welcome back to the show, I hope you've had a great day and you're ready to kick back and relax with another episode of Brett's old time radio show. Hello, I'm Brett your host for this evening and welcome to my home in beautiful Lyme Bay where it's just perfect. I hope it's just as nice where you are. You'll find all of my links at www.linktr.ee/sundaynightmystery A huge thankyou for joining me once again for our regular late night visit to those dusty studio archives of Old Time radio shows right here at my home in the united kingdom. Don't forget I have an instagram page and youtube channel both called brett's old time radio show and I'd love it if you could follow me. Feel free to send me some feedback on this and the other shows if you get a moment, brett@tourdate.co.uk #sleep #insomnia #relax #chill #night #nighttime #bed #bedtime #oldtimeradio #drama #comedy #radio #talkradio #hancock #tonyhancock #hancockshalfhour #sherlock #sherlockholmes #radiodrama #popular #viral #viralpodcast #podcast #podcasting #podcasts #podtok #podcastclip #podcastclips #podcasttrailer #podcastteaser #newpodcastepisode #newpodcast #videopodcast #upcomingpodcast #audiogram #audiograms #truecrimepodcast #historypodcast #truecrime #podcaster #viral #popular #viralpodcast #number1 #instagram #youtube #facebook #johnnydollar #crime #fiction #unwind #devon #texas #texasranger #beer #seaton #seaside #smuggler #colyton #devon #seaton #beer #branscombe #lymebay #lymeregis #brett #brettorchard #orchard #greatdetectives #greatdetectivesofoldtimeradio #detectives #johnnydollar #thesaint #steptoe #texasrangers sleep insomnia relax chill night nightime bed bedtime oldtimeradio drama comedy radio talkradio hancock tonyhancock hancockshalfhour sherlock sherlockholmes radiodrama popular viral viralpodcast podcast brett brettorchard orchard east devon seaton beer lyme regis village condado de alhama spain murcia The New Adventures of Sherlock Holmes is a radio drama series which aired in the USA from 1939 to 1950, it ran for 374 episodes, with many of the later episodes considered lost media. The series was based on the Sherlock Holmes stories by Arthur Conan Doyle. Some of the surviving episode recordings may be found online, in various audio quality condition. For most of the show's run, the program starred Basil Rathbone as Sherlock Holmes and Nigel Bruce as Dr. Watson. Other actors played Holmes and Watson in later seasons. Production From the outset of the show, the series was billed in different listings under various titles including Sherlock Holmes, Sherlock Holmes and Doctor Watson, and other titles. The most popularly remembered title is The New Adventures of Sherlock Holmes. On occasion, the title of a radio episode differs from that of its original story – for example, the radio adaption of "The Adventure of the Red Circle" is entitled "Mrs. Warren's Lodger". From 1939 until 1943, episodes were adapted or written by Edith Meiser[4] who had written the earlier series The Adventures of Sherlock Holmes which aired from 1930 to 1935. Meiser left the show after disagreements with a sponsor over the amount of violence in the program. It is also reported that Meiser left the show to focus on other projects. From 1943 onward, most episodes were written by the team of Denis Green and Anthony Boucher with some early episodes written by Green and Leslie Charteris. Edith Meiser returned to write for the show for its seventh season. Max Ehrlich and Howard Merrill wrote the episodes of season 8. Denis Green returned as a writer for the last season. Originally, the show starred Basil Rathbone as Sherlock Holmes and Nigel Bruce as Doctor Watson. Together, they starred in 220 episodes which aired weekly on Mondays from 8:30 to 9:00 pm. Basil Rathbone's last episode as the famous detective was "The Singular Affair of the Baconian Cipher". He was eager to separate himself from the show to avoid being typecast in the role. Tom Conway replaced him in the starring role, though Nigel Bruce got top billing. The new series lasted 39 episodes, and Bruce and Conway then left the series. From then until 1950 the series continued with various actors playing the two principal parts. The show first aired on the Blue Network but later moved to the Mutual Broadcasting System. The show moved to Mutual in 1943 at the start of its fourth season. The series was originally broadcast from Hollywood. During World War II, the show was also broadcast overseas through the Armed Forces Radio Service. The program aired on ABC instead of Mutual for its sixth and ninth seasons. Many episodes were recorded in front of a live audience. Cast Sherlock Holmes: Basil Rathbone (1939–1946) Tom Conway (1947) John Stanley (1947–1949) Ben Wright (The Singular Affair of the Ancient Egyptian Curse in 1947, as stand-in for Tom Conway, 1949–1950 as a regular) Dr. Watson: Nigel Bruce (1939–1947) Joseph Kearns (The Haunting of Sherlock Holmes in 1946, stand-in for Nigel Bruce) Alfred Shirley (1947–1948) Ian Martin (1948) Wendell Holmes (credited as "George Spelvin") (1948–1949) Eric Snowden (The Terrifying Cats in 1946, as a stand-in for Nigel Bruce, 1949–1950 as a regular) There is only a limited amount of information available about additional cast members, since complete cast lists are available only for a handful of episodes. In multiple episodes, Mary Gordon played Mrs. Hudson, a role she also played in the 1939–1946 Sherlock Holmes film series featuring Rathbone and Bruce. Professor Moriarty was played by multiple actors in the radio series, including Joseph Kearns (who also played Watson) and Lou Merrill. Frederick Worlock played Inspector Lestrade in at least three known episodes. Worlock also played different roles in multiple films in the 1939–1946 film series, such as the role of Geoffrey Musgrave in Sherlock Holmes Faces Death. Lestrade was played by Bernard Lenrow in the seventh season and Horace Braham in the eighth season. Rex Evans played Mycroft Holmes in at least two known episodes. Evans played an assassin in the Sherlock Holmes film Pursuit to Algiers. In each episode, the announcer would be presented as arriving at the home of Dr. Watson, then retired, who would share a story about Holmes and his adventures. The announcer for the first three seasons of the show was Knox Manning. In various episodes of the fourth season, the announcers were Owen Babbe, Marx Hartman, and Bob Campbell. Harry Bartell became the announcer for the fifth season. The announcer for the sixth season was Joseph Bell. Bell had previously been the announcer for The Adventures of Sherlock Holmes. Cy Harrice took over the role for the seventh and eighth seasons. Herb Allen was the announcer for the ninth season.[28] Actors who performed in multiple roles on the show include Verna Felton, Paula Winslowe, Carl Harbord (who also played Inspector Hopkins in the Sherlock Holmes film Dressed to Kill), Herbert Rawlinson, Paul Frees, Theodore von Eltz, and June Foray. Sponsors The show's announcer acted as the spokesman for the sponsor. Grove's Bromo Quinine sponsored the show for the first three seasons. Petri Wine was the sponsor for the fourth and fifth seasons. Petri Wine stopped sponsoring the show after the end of the fifth season. While Rathbone left the show at the same time, the reason Petri ceased their sponsorship was unconnected to Rathbone's departure according to one source, which states that the decision was made because it was more affordable for Petri to sponsor the radio series The Casebook of Gregory Hood instead. The sponsor for the series was Kreml Hair Tonic for the show's sixth season, and the Trimount Clothing Co. for the seventh season. Trimount renewed their sponsorship for the eighth season. Petri Wine returned as the sponsor for the ninth season. By May 1950, it was confirmed that Petri did not plan to renew their sponsorship if the series continued. Episodes Season 1 (October 2, 1939 – March 11, 1940; 24 episodes) started with an adaptation of "The Adventure of the Sussex Vampire" and ended with an adaptation of "The Adventure of the Retired Colourman". The last episode of the season was originally intended to be an adaptation of "The Final Problem". It is not known why the change was made, but it may be because "The Final Problem" had already been used on radio several times. It was announced on the penultimate show that "The Final Problem" would be the last episode; in the final episode, Watson said he had changed his mind about which story he was going to tell. Season 2 (September 29, 1940 – March 9, 1941; 24 episodes) started with an adaptation of "The Adventure of the Empty House". The last episode was an adaptation of "The Adventure of Shoscombe Old Place". The season included a six-episode serial adapted from The Hound of the Baskervilles. Season 3 (5 October 1941 – March 1, 1942; 22 episodes) started with an adaptation of "The Adventure of the Illustrious Client" and ended with an episode titled "The Giant Rat of Sumatra". An episode also titled "The Giant Rat of Sumatra", inspired by a reference in "The Adventure of the Sussex Vampire", had previously aired in 1932 in the second season of the radio series The Adventures of Sherlock Holmes. Season 4 (May 7, 1943 – May 28, 1945; 109 episodes) started with a dramatization of "The Adventure of the Copper Beeches". The last episode of the season is titled "Dance of Death". According to the Pittsburgh Press, Nigel Bruce "astounded sound engineers" by imitating the sound of a seagull required for the episode "Death in Cornwall", which aired on February 7, 1944. Some episodes in this season and the following two seasons were novelized by H. Paul Jeffers in his 2005 book The Forgotten Adventures of Sherlock Holmes. Season 5 (September 3, 1945 – May 27, 1946; 39 episodes) started with an episode titled "The Case of the Limping Ghost", based on an incident in "The Adventure of the Crooked Man". The last episode of the season was "The Singular Affair of the Baconian Cipher", suggested by an incident in The Sign of Four. This was the last season with Basil Rathbone playing Sherlock Holmes.[42] Rathbone and Bruce also appeared on the CBS radio program Request Performance in November 1945, and swapped roles as Holmes and Watson in a short sketch performance on the program. Some of the episodes in this season were novelized by Ken Greenwald in his book The Lost Adventures of Sherlock Holmes (1989). Season 6 (October 12, 1946 – July 7, 1947; 39 episodes) started with the episode "The Adventure of the Stuttering Ghost", suggested by an incident in "The Adventure of the Noble Bachelor". The season ended with "The Adventure of the Iron Maiden".[45] This was the last season with Nigel Bruce playing Watson. Season 7 (September 28, 1947 – June 20, 1948; 39 episodes) started with "The Case of the Dog Who Changed His Mind" and ended with an adaptation of "The Adventure of the Veiled Lodger". Season 8 (September 12, 1948 – June 6, 1949; 39 episodes) started with an episode titled "The Case of the Unwelcome Ambassador" and ended with an episode titled "The Adventure of the Red Death". Season 9 (September 21, 1949 – June 14, 1950; 39 episodes) started with an episode with an unknown title. The second episode, which aired on September 28, 1949, was titled "The Eloquent Corpse". Many of this season's episodes, including the last two episodes, have unknown titles. The last episode with a known title is "Command Performance", which aired on May 31, 1950. Sherlock Holmes is a fictional detective created by British author Arthur Conan Doyle. Referring to himself as a "consulting detective" in his stories, Holmes is known for his proficiency with observation, deduction, forensic science and logical reasoning that borders on the fantastic, which he employs when investigating cases for a wide variety of clients, including Scotland Yard. The character Sherlock Holmes first appeared in print in 1887's A Study in Scarlet. His popularity became widespread with the first series of short stories in The Strand Magazine, beginning with "A Scandal in Bohemia" in 1891; additional tales appeared from then until 1927, eventually totalling four novels and 56 short stories. All but one[a] are set in the Victorian or Edwardian eras, between about 1880 and 1914. Most are narrated by the character of Holmes's friend and biographer Dr. John H. Watson, who usually accompanies Holmes during his investigations and often shares quarters with him at the address of 221B Baker Street, London, where many of the stories begin. Though not the first fictional detective, Sherlock Holmes is arguably the best known. By the 1990s, there were already over 25,000 stage adaptations, films, television productions and publications featuring the detective, and Guinness World Records lists him as the most portrayed human literary character in film and television history. Holmes' popularity and fame are such that many have believed him to be not a fictional character but a real individual; numerous literary and fan societies have been founded on this pretence. Avid readers of the Holmes stories helped create the modern practice of fandom. The character and stories have had a profound and lasting effect on mystery writing and popular culture as a whole, with the original tales as well as thousands written by authors other than Conan Doyle being adapted into stage and radio plays, television, films, video games, and other media for over one hundred years. Inspiration for the character Sir Arthur Conan Doyle (1859–1930), Sherlock Holmes's creator, in 1914 Edgar Allan Poe's C. Auguste Dupin is generally acknowledged as the first detective in fiction and served as the prototype for many later characters, including Holmes. Conan Doyle once wrote, "Each [of Poe's detective stories] is a root from which a whole literature has developed ... Where was the detective story until Poe breathed the breath of life into it?" Similarly, the stories of Émile Gaboriau's Monsieur Lecoq were extremely popular at the time Conan Doyle began writing Holmes, and Holmes's speech and behaviour sometimes follow those of Lecoq. Doyle has his main characters discuss these literary antecedents near the beginning of A Study in Scarlet, which is set soon after Watson is first introduced to Holmes. Watson attempts to compliment Holmes by comparing him to Dupin, to which Holmes replies that he found Dupin to be "a very inferior fellow" and Lecoq to be "a miserable bungler". Conan Doyle repeatedly said that Holmes was inspired by the real-life figure of Joseph Bell, a surgeon at the Royal Infirmary of Edinburgh, whom Conan Doyle met in 1877 and had worked for as a clerk. Like Holmes, Bell was noted for drawing broad conclusions from minute observations.[13] However, he later wrote to Conan Doyle: "You are yourself Sherlock Holmes and well you know it". Sir Henry Littlejohn, Chair of Medical Jurisprudence at the University of Edinburgh Medical School, is also cited as an inspiration for Holmes. Littlejohn, who was also Police Surgeon and Medical Officer of Health in Edinburgh, provided Conan Doyle with a link between medical investigation and the detection of crime. Other possible inspirations have been proposed, though never acknowledged by Doyle, such as Maximilien Heller, by French author Henry Cauvain. In this 1871 novel (sixteen years before the first appearance of Sherlock Holmes), Henry Cauvain imagined a depressed, anti-social, opium-smoking polymath detective, operating in Paris. It is not known if Conan Doyle read the novel, but he was fluent in French.[19] Similarly, Michael Harrison suggested that a German self-styled "consulting detective" named Walter Scherer may have been the model for Holmes. Fictional character biography Family and early life Magazine cover featuring A Study in Scarlet, with drawing of a man lighting a lamp The cover page of the 1887 edition of Beeton's Christmas Annual, which contains Holmes's first appearance (A Study in Scarlet) Details of Sherlock Holmes' life in Conan Doyle's stories are scarce and often vague. Nevertheless, mentions of his early life and extended family paint a loose biographical picture of the detective. A statement of Holmes' age in "His Last Bow" places his year of birth at 1854; the story, set in August 1914, describes him as sixty years of age.[21] His parents are not mentioned, although Holmes mentions that his "ancestors" were "country squires". In "The Adventure of the Greek Interpreter", he claims that his grandmother was sister to the French artist Vernet, without clarifying whether this was Claude Joseph, Carle, or Horace Vernet. Holmes' brother Mycroft, seven years his senior, is a government official. Mycroft has a unique civil service position as a kind of human database for all aspects of government policy. Sherlock describes his brother as the more intelligent of the two, but notes that Mycroft lacks any interest in physical investigation, preferring to spend his time at the Diogenes Club. Holmes says that he first developed his methods of deduction as an undergraduate; his earliest cases, which he pursued as an amateur, came from his fellow university students. A meeting with a classmate's father led him to adopt detection as a profession. Life with Watson Holmes (in deerstalker hat) talking to Watson (in a bowler hat) in a railway compartment Holmes (right) and Watson in a Sidney Paget illustration for "The Adventure of Silver Blaze" In the first Holmes tale, A Study in Scarlet, financial difficulties lead Holmes and Dr. Watson to share rooms together at 221B Baker Street, London. Their residence is maintained by their landlady, Mrs. Hudson. Holmes works as a detective for twenty-three years, with Watson assisting him for seventeen of those years. Most of the stories are frame narratives written from Watson's point of view, as summaries of the detective's most interesting cases. Holmes frequently calls Watson's records of Holmes's cases sensational and populist, suggesting that they fail to accurately and objectively report the "science" of his craft: Detection is, or ought to be, an exact science and should be treated in the same cold and unemotional manner. You have attempted to tinge it [A Study in Scarlet] with romanticism, which produces much the same effect as if you worked a love-story or an elopement into the fifth proposition of Euclid. ... Some facts should be suppressed, or, at least, a just sense of proportion should be observed in treating them. The only point in the case which deserved mention was the curious analytical reasoning from effects to causes, by which I succeeded in unravelling it. Nevertheless, when Holmes recorded a case himself, he was forced to concede that he could more easily understand the need to write it in a manner that would appeal to the public rather than his intention to focus on his own technical skill. Holmes's friendship with Watson is his most significant relationship. When Watson is injured by a bullet, although the wound turns out to be "quite superficial", Watson is moved by Holmes's reaction: It was worth a wound; it was worth many wounds; to know the depth of loyalty and love which lay behind that cold mask. The clear, hard eyes were dimmed for a moment, and the firm lips were shaking. For the one and only time I caught a glimpse of a great heart as well as of a great brain. All my years of humble but single-minded service culminated in that moment of revelation. After confirming Watson's assessment of the wound, Holmes makes it clear to their opponent that the man would not have left the room alive if he genuinely had killed Watson. Practice Holmes' clients vary from the most powerful monarchs and governments of Europe, to wealthy aristocrats and industrialists, to impoverished pawnbrokers and governesses. He is known only in select professional circles at the beginning of the first story, but is already collaborating with Scotland Yard. However, his continued work and the publication of Watson's stories raise Holmes's profile, and he rapidly becomes well known as a detective; so many clients ask for his help instead of (or in addition to) that of the police that, Watson writes, by 1887 "Europe was ringing with his name" and by 1895 Holmes has "an immense practice". Police outside London ask Holmes for assistance if he is nearby. A Prime Minister and the King of Bohemia visit 221B Baker Street in person to request Holmes's assistance; the President of France awards him the Legion of Honour for capturing an assassin; the King of Scandinavia is a client; and he aids the Vatican at least twice. The detective acts on behalf of the British government in matters of national security several times and declines a knighthood "for services which may perhaps some day be described". However, he does not actively seek fame and is usually content to let the police take public credit for his work. The Great Hiatus Holmes and Moriarty wrestling at the end of a narrow path, with Holmes's hat falling into a waterfall Holmes and archenemy Moriarty struggle at the Reichenbach Falls; drawing by Sidney Paget The first set of Holmes stories was published between 1887 and 1893. Conan Doyle killed off Holmes in a final battle with the criminal mastermind Professor James Moriarty[ in "The Final Problem" (published 1893, but set in 1891), as Conan Doyle felt that "my literary energies should not be directed too much into one channel". However, the reaction of the public surprised him very much. Distressed readers wrote anguished letters to The Strand Magazine, which suffered a terrible blow when 20,000 people cancelled their subscriptions to the magazine in protest. Conan Doyle himself received many protest letters, and one lady even began her letter with "You brute". Legend has it that Londoners were so distraught upon hearing the news of Holmes's death that they wore black armbands in mourning, though there is no known contemporary source for this; the earliest known reference to such events comes from 1949. However, the recorded public reaction to Holmes's death was unlike anything previously seen for fictional events. After resisting public pressure for eight years, Conan Doyle wrote The Hound of the Baskervilles (serialised in 1901–02, with an implicit setting before Holmes's death). In 1903, Conan Doyle wrote "The Adventure of the Empty House"; set in 1894, Holmes reappears, explaining to a stunned Watson that he had faked his death to fool his enemies. Following "The Adventure of the Empty House", Conan Doyle would sporadically write new Holmes stories until 1927. Holmes aficionados refer to the period from 1891 to 1894—between his disappearance and presumed death in "The Final Problem" and his reappearance in "The Adventure of the Empty House"—as the Great Hiatus. The earliest known use of this expression dates to 1946. Retirement In His Last Bow, the reader is told that Holmes has retired to a small farm on the Sussex Downs and taken up beekeeping as his primary occupation. The move is not dated precisely, but can be presumed to be no later than 1904 (since it is referred to retrospectively in "The Adventure of the Second Stain", first published that year). The story features Holmes and Watson coming out of retirement to aid the British war effort. Only one other adventure, "The Adventure of the Lion's Mane", takes place during the detective's retirement. Personality and habits Holmes examining a bicycle with Watson standing behind in "The Adventure of the Priory School" from 1904. Sidney Paget's illustrations in The Strand Magazine iconicised both characters. Watson describes Holmes as "bohemian" in his habits and lifestyle.[54] Said to have a "cat-like" love of personal cleanliness, at the same time Holmes is an eccentric with no regard for contemporary standards of tidiness or good order. Watson describes him as in his personal habits one of the most untidy men that ever drove a fellow-lodger to distraction. [He] keeps his cigars in the coal-scuttle, his tobacco in the toe end of a Persian slipper, and his unanswered correspondence transfixed by a jack-knife into the very centre of his wooden mantelpiece. ... He had a horror of destroying documents. ... Thus month after month his papers accumulated, until every corner of the room was stacked with bundles of manuscript which were on no account to be burned, and which could not be put away save by their owner. While Holmes can be dispassionate and cold, during an investigation he is animated and excitable. He has a flair for showmanship, often keeping his methods and evidence hidden until the last possible moment so as to impress observers. His companion condones the detective's willingness to bend the truth (or break the law) on behalf of a client—lying to the police, concealing evidence or breaking into houses—when he feels it morally justifiable. Except for that of Watson, Holmes avoids casual company. In "The Gloria Scott", he tells the doctor that during two years at college he made only one friend: "I was never a very sociable fellow, Watson ... I never mixed much with the men of my year." The detective goes without food at times of intense intellectual activity, believing that "the faculties become refined when you starve them". At times, Holmes relaxes with music, either playing the violin[62] or enjoying the works of composers such as Wagner and Pablo de Sarasate. Drug use Holmes in a blue bathrobe, reclining against a pillow and smoking his pipe 1891 Paget portrait of Holmes smoking his pipe for "The Man with the Twisted Lip" Holmes occasionally uses addictive drugs, especially in the absence of stimulating cases. He sometimes used morphine and sometimes cocaine, the latter of which he injects in a seven-per cent solution; both drugs were legal in 19th-century England. As a physician, Watson strongly disapproves of his friend's cocaine habit, describing it as the detective's only vice, and concerned about its effect on Holmes's mental health and intellect. In "The Adventure of the Missing Three-Quarter", Watson says that although he has "weaned" Holmes from drugs, the detective remains an addict whose habit is "not dead, but merely sleeping". Watson and Holmes both use tobacco, smoking cigarettes, cigars, and pipes. Although his chronicler does not consider Holmes's smoking a vice per se, Watson—a physician—does criticise the detective for creating a "poisonous atmosphere" in their confined quarters. Finances Holmes is known to charge clients for his expenses and claim any reward offered for a problem's solution, such as in "The Adventure of the Speckled Band", "The Red-Headed League", and "The Adventure of the Beryl Coronet". The detective states at one point that "My professional charges are upon a fixed scale. I do not vary them, save when I remit them altogether." In this context, a client is offering to double his fee, and it is implied that wealthy clients habitually pay Holmes more than his standard rate. In "The Adventure of the Priory School", Holmes earns a £6,000 fee (at a time where annual expenses for a rising young professional were in the area of £500). However, Watson notes that Holmes would refuse to help even the wealthy and powerful if their cases did not interest him. Attitudes towards women As Conan Doyle wrote to Joseph Bell, "Holmes is as inhuman as a Babbage's Calculating Machine and just about as likely to fall in love." Holmes says of himself that he is "not a whole-souled admirer of womankind", and that he finds "the motives of women ... inscrutable. ... How can you build on such quicksand? Their most trivial actions may mean volumes". In The Sign of Four, he says, "Women are never to be entirely trusted—not the best of them", a feeling Watson notes as an "atrocious sentiment". In "The Adventure of the Lion's Mane", Holmes writes, "Women have seldom been an attraction to me, for my brain has always governed my heart." At the end of The Sign of Four, Holmes states that "love is an emotional thing, and whatever is emotional is opposed to that true, cold reason which I place above all things. I should never marry myself, lest I bias my judgement." Ultimately, Holmes claims outright that "I have never loved." But while Watson says that the detective has an "aversion to women",[85] he also notes Holmes as having "a peculiarly ingratiating way with [them]". Watson notes that their housekeeper Mrs. Hudson is fond of Holmes because of his "remarkable gentleness and courtesy in his dealings with women. He disliked and distrusted the sex, but he was always a chivalrous opponent." However, in "The Adventure of Charles Augustus Milverton", the detective becomes engaged under false pretenses in order to obtain information about a case, abandoning the woman once he has the information he requires. Irene Adler Irene Adler is a retired American opera singer and actress who appears in "A Scandal in Bohemia". Although this is her only appearance, she is one of only a handful of people who best Holmes in a battle of wits, and the only woman. For this reason, Adler is the frequent subject of pastiche writing. The beginning of the story describes the high regard in which Holmes holds her: To Sherlock Holmes she is always the woman. I have seldom heard him mention her under any other name. In his eyes she eclipses and predominates the whole of her sex. It was not that he felt any emotion akin to love for Irene Adler. ... And yet there was but one woman to him, and that woman was the late Irene Adler, of dubious and questionable memory. Five years before the story's events, Adler had a brief liaison with Crown Prince of Bohemia Wilhelm von Ormstein. As the story opens, the Prince is engaged to another. Fearful that the marriage would be called off if his fiancée's family learns of this past impropriety, Ormstein hires Holmes to regain a photograph of Adler and himself. Adler slips away before Holmes can succeed. Her memory is kept alive by the photograph of Adler that Holmes received for his part in the case. Knowledge and skills Shortly after meeting Holmes in the first story, A Study in Scarlet (generally assumed to be 1881, though the exact date is not given), Watson assesses the detective's abilities: Knowledge of Literature – nil. Knowledge of Philosophy – nil. Knowledge of Astronomy – nil. Knowledge of Politics – Feeble. Knowledge of Botany – Variable. Well up in belladonna, opium, and poisons generally. Knows nothing of practical gardening. Knowledge of Geology – Practical, but limited. Tells at a glance different soils from each other. After walks, has shown me splashes upon his trousers, and told me by their colour and consistence in what part of London he had received them. Knowledge of Chemistry – Profound. Knowledge of Anatomy – Accurate, but unsystematic. Knowledge of Sensational Literature – Immense. He appears to know every detail of every horror perpetrated in the century. Plays the violin well. Is an expert singlestick player, boxer, and swordsman. Has a good practical knowledge of British law. In A Study in Scarlet, Holmes claims to be unaware that the Earth revolves around the Sun since such information is irrelevant to his work; after hearing that fact from Watson, he says he will immediately try to forget it. The detective believes that the mind has a finite capacity for information storage, and learning useless things reduces one's ability to learn useful things. The later stories move away from this notion: in The Valley of Fear, he says, "All knowledge comes useful to the detective", and in "The Adventure of the Lion's Mane", the detective calls himself "an omnivorous reader with a strangely retentive memory for trifles". Looking back on the development of the character in 1912, Conan Doyle wrote that "In the first one, the Study in Scarlet, [Holmes] was a mere calculating machine, but I had to make him more of an educated human being as I went on with him." Despite Holmes's supposed ignorance of politics, in "A Scandal in Bohemia" he immediately recognises the true identity of the disguised "Count von Kramm". At the end of A Study in Scarlet, Holmes demonstrates a knowledge of Latin. The detective cites Hafez,[98] Goethe,[99] as well as a letter from Gustave Flaubert to George Sand in the original French. In The Hound of the Baskervilles, the detective recognises works by Godfrey Kneller and Joshua Reynolds: "Watson won't allow that I know anything of art, but that is mere jealousy since our views upon the subject differ." In "The Adventure of the Bruce-Partington Plans", Watson says that "Holmes lost himself in a monograph which he had undertaken upon the Polyphonic Motets of Lassus", considered "the last word" on the subject—which must have been the result of an intensive and very specialized musicological study which could have had no possible application to the solution of criminal mysteries. Holmes is a cryptanalyst, telling Watson that "I am fairly familiar with all forms of secret writing, and am myself the author of a trifling monograph upon the subject, in which I analyse one hundred and sixty separate ciphers." Holmes also demonstrates a knowledge of psychology in "A Scandal in Bohemia", luring Irene Adler into betraying where she hid a photograph based on the premise that a woman will rush to save her most valued possession from a fire. Another example is in "The Adventure of the Blue Carbuncle", where Holmes obtains information from a salesman with a wager: "When you see a man with whiskers of that cut and the 'Pink 'un' protruding out of his pocket, you can always draw him by a bet ... I daresay that if I had put 100 pounds down in front of him, that man would not have given me such complete information as was drawn from him by the idea that he was doing me on a wager." Maria Konnikova points out in an interview with D. J. Grothe that Holmes practises what is now called mindfulness, concentrating on one thing at a time, and almost never "multitasks". She adds that in this he predates the science showing how helpful this is to the brain. Holmesian deduction Colour illustration of Holmes bending over a dead man in front of a fireplace Sidney Paget illustration of Holmes examining a corpse for "The Adventure of the Abbey Grange" Holmes observes the dress and attitude of his clients and suspects, noting skin marks (such as tattoos), contamination (such as ink stains or clay on boots), emotional state, and physical condition in order to deduce their origins and recent history. The style and state of wear of a person's clothes and personal items are also commonly relied on; in the stories, Holmes is seen applying his method to items such as walking sticks, pipes, and hats. For example, in "A Scandal in Bohemia", Holmes infers that Watson had got wet lately and had "a most clumsy and careless servant girl". When Watson asks how Holmes knows this, the detective answers: It is simplicity itself ... my eyes tell me that on the inside of your left shoe, just where the firelight strikes it, the leather is scored by six almost parallel cuts. Obviously they have been caused by someone who has very carelessly scraped round the edges of the sole in order to remove crusted mud from it. Hence, you see, my double deduction that you had been out in vile weather, and that you had a particularly malignant boot-slitting specimen of the London slavey. In the first Holmes story, A Study in Scarlet, Dr. Watson compares Holmes to C. Auguste Dupin, Edgar Allan Poe's fictional detective, who employed a similar methodology. Alluding to an episode in "The Murders in the Rue Morgue", where Dupin determines what his friend is thinking despite their having walked together in silence for a quarter of an hour, Holmes remarks: "That trick of his breaking in on his friend's thoughts with an apropos remark ... is really very showy and superficial."[112] Nevertheless, Holmes later performs the same 'trick' on Watson in "The Cardboard Box" and "The Adventure of the Dancing Men". Though the stories always refer to Holmes's intellectual detection method as "deduction", Holmes primarily relies on abduction: inferring an explanation for observed details. "From a drop of water," he writes, "a logician could infer the possibility of an Atlantic or a Niagara without having seen or heard of one or the other." However, Holmes does employ deductive reasoning as well. The detective's guiding principle, as he says in The Sign of Four, is: "When you have eliminated the impossible, whatever remains, however improbable, must be the truth." Despite Holmes's remarkable reasoning abilities, Conan Doyle still paints him as fallible in this regard (this being a central theme of "The Yellow Face"). Forensic science See caption 19th-century Seibert microscope Though Holmes is famed for his reasoning capabilities, his investigative technique relies heavily on the acquisition of hard evidence. Many of the techniques he employs in the stories were at the time in their infancy. The detective is particularly skilled in the analysis of trace evidence and other physical evidence, including latent prints (such as footprints, hoof prints, and shoe and tire impressions) to identify actions at a crime scene, using tobacco ashes and cigarette butts to identify criminals, utilizing handwriting analysis and graphology, comparing typewritten letters to expose a fraud, using gunpowder residue to expose two murderers, and analyzing small pieces of human remains to expose two murders. Because of the small scale of much of his evidence, the detective often uses a magnifying glass at the scene and an optical microscope at his Baker Street lodgings. He uses analytical chemistry for blood residue analysis and toxicology to detect poisons; Holmes's home chemistry laboratory is mentioned in "The Naval Treaty". Ballistics feature in "The Adventure of the Empty House" when spent bullets are recovered to be matched with a suspected murder weapon, a practice which became regular police procedure only some fifteen years after the story was published. Laura J. Snyder has examined Holmes's methods in the context of mid- to late-19th-century criminology, demonstrating that, while sometimes in advance of what official investigative departments were formally using at the time, they were based upon existing methods and techniques. For example, fingerprints were proposed to be distinct in Conan Doyle's day, and while Holmes used a thumbprint to solve a crime in "The Adventure of the Norwood Builder" (generally held to be set in 1895), the story was published in 1903, two years after Scotland Yard's fingerprint bureau opened. Though the effect of the Holmes stories on the development of forensic science has thus often been overstated, Holmes inspired future generations of forensic scientists to think scientifically and analytically. Disguises Holmes displays a strong aptitude for acting and disguise. In several stories ("The Sign of Four", "The Adventure of Charles Augustus Milverton", "The Man with the Twisted Lip", "The Adventure of the Empty House" and "A Scandal in Bohemia"), to gather evidence undercover, he uses disguises so convincing that Watson fails to recognise him. In others ("The Adventure of the Dying Detective" and "A Scandal in Bohemia"), Holmes feigns injury or illness to incriminate the guilty. In the latter story, Watson says, "The stage lost a fine actor ... when [Holmes] became a specialist in crime." Guy Mankowski has said of Holmes that his ability to change his appearance to blend into any situation "helped him personify the idea of the English eccentric chameleon, in a way that prefigured the likes of David Bowie". Agents Until Watson's arrival at Baker Street, Holmes largely worked alone, only occasionally employing agents from the city's underclass. These agents included a variety of informants, such as Langdale Pike, a "human book of reference upon all matters of social scandal", and Shinwell Johnson, who acted as Holmes's "agent in the huge criminal underworld of London". The best known of Holmes's agents are a group of street children he called "the Baker Street Irregulars". Combat Long-barreled revolver with a black handle British Army (Adams) Mark III, the type probably carried by Watson Pistols Holmes and Watson often carry pistols with them to confront criminals—in Watson's case, his old service weapon (probably a Mark III Adams revolver, issued to British troops during the 1870s).[139] Holmes and Watson shoot the eponymous hound in The Hound of the Baskervilles, and in "The Adventure of the Empty House", Watson pistol-whips Colonel Sebastian Moran. In "The Problem of Thor Bridge", Holmes uses Watson's revolver to solve the case through an experiment. Other weapons As a gentleman, Holmes often carries a stick or cane. He is described by Watson as an expert at singlestick, and uses his cane twice as a weapon. In A Study in Scarlet, Watson describes Holmes as an expert swordsman, and in "The Gloria Scott", the detective says he practised fencing while at university.[59] In several stories ("A Case of Identity", "The Red-Headed League", "The Adventure of the Six Napoleons"), Holmes wields a riding crop, described in the latter story as his "favourite weapon". Personal combat Holmes fighting Holmes outfighting Mr Woodley in "The Solitary Cyclist" The detective is described (or demonstrated) as possessing above-average physical strength. In "The Yellow Face", Holmes's chronicler says, "Few men were capable of greater muscular effort." In "The Adventure of the Speckled Band", Dr. Roylott demonstrates his strength by bending a fire poker in half. Watson describes Holmes as laughing and saying, "'If he had remained I might have shown him that my grip was not much more feeble than his own.' As he spoke he picked up the steel poker and, with a sudden effort, straightened it out again." Holmes is an adept bare-knuckle fighter; "The Gloria Scott" mentions that Holmes boxed while at university. In The Sign of Four, he introduces himself to McMurdo, a prize fighter, as "the amateur who fought three rounds with you at Alison's rooms on the night of your benefit four years back". McMurdo remembers: "Ah, you're one that has wasted your gifts, you have! You might have aimed high if you had joined the fancy." In "The Yellow Face", Watson says: "He was undoubtedly one of the finest boxers of his weight that I have ever seen." In "The Solitary Cyclist", Holmes visits a country pub to make enquiries regarding a certain Mr Woodley which results in violence. Mr Woodley, Holmes tells Watson, ... had been drinking his beer in the tap-room, and had heard the whole conversation. Who was I? What did I want? What did I mean by asking questions? He had a fine flow of language, and his adjectives were very vigorous. He ended a string of abuse by a vicious backhander, which I failed to entirely avoid. The next few minutes were delicious. It was a straight left against a slogging ruffian. I emerged as you see me. Mr. Woodley went home in a cart. Another character subsequently refers to Mr Woodley as looking "much disfigured" as a result of his encounter with Holmes. In "The Adventure of the Empty House", Holmes tells Watson that he used a Japanese martial art known as baritsu to fling Moriarty to his death in the Reichenbach Falls. "Baritsu" is Conan Doyle's version of bartitsu, which combines jujitsu with boxing and cane fencing. The Golden Age of Radio Also known as the old-time radio (OTR) era, was an era of radio in the United States where it was the dominant electronic home entertainment medium. It began with the birth of commercial radio broadcasting in the early 1920s and lasted through the 1950s, when television gradually superseded radio as the medium of choice for scripted programming, variety and dramatic shows. Radio was the first broadcast medium, and during this period people regularly tuned in to their favourite radio programs, and families gathered to listen to the home radio in the evening. According to a 1947 C. E. Hooper survey, 82 out of 100 Americans were found to be radio listeners. A variety of new entertainment formats and genres were created for the new medium, many of which later migrated to television: radio plays, mystery serials, soap operas, quiz shows, talent shows, daytime and evening variety hours, situation comedies, play-by-play sports, children's shows, cooking shows, and more. In the 1950s, television surpassed radio as the most popular broadcast medium, and commercial radio programming shifted to narrower formats of news, talk, sports and music. Religious broadcasters, listener-supported public radio and college stations provide their own distinctive formats. Origins A family listening to the first broadcasts around 1920 with a crystal radio. The crystal radio, a legacy from the pre-broadcast era, could not power a loudspeaker so the family must share earphones During the first three decades of radio, from 1887 to about 1920, the technology of transmitting sound was undeveloped; the information-carrying ability of radio waves was the same as a telegraph; the radio signal could be either on or off. Radio communication was by wireless telegraphy; at the sending end, an operator tapped on a switch which caused the radio transmitter to produce a series of pulses of radio waves which spelled out text messages in Morse code. At the receiver these sounded like beeps, requiring an operator who knew Morse code to translate them back to text. This type of radio was used exclusively for person-to-person text communication for commercial, diplomatic and military purposes and hobbyists; broadcasting did not exist. The broadcasts of live drama, comedy, music and news that characterize the Golden Age of Radio had a precedent in the Théâtrophone, commercially introduced in Paris in 1890 and available as late as 1932. It allowed subscribers to eavesdrop on live stage performances and hear news reports by means of a network of telephone lines. The development of radio eliminated the wires and subscription charges from this concept. Between 1900 and 1920 the first technology for transmitting sound by radio was developed, AM (amplitude modulation), and AM broadcasting sprang up around 1920. On Christmas Eve 1906, Reginald Fessenden is said to have broadcast the first radio program, consisting of some violin playing and passages from the Bible. While Fessenden's role as an inventor and early radio experimenter is not in dispute, several contemporary radio researchers have questioned whether the Christmas Eve broadcast took place, or whether the date was, in fact, several weeks earlier. The first apparent published reference to the event was made in 1928 by H. P. Davis, Vice President of Westinghouse, in a lecture given at Harvard University. In 1932 Fessenden cited the Christmas Eve 1906 broadcast event in a letter he wrote to Vice President S. M. Kinter of Westinghouse. Fessenden's wife Helen recounts the broadcast in her book Fessenden: Builder of Tomorrows (1940), eight years after Fessenden's death. The issue of whether the 1906 Fessenden broadcast actually happened is discussed in Donna Halper's article "In Search of the Truth About Fessenden"[2] and also in James O'Neal's essays.[3][4] An annotated argument supporting Fessenden as the world's first radio broadcaster was offered in 2006 by Dr. John S. Belrose, Radioscientist Emeritus at the Communications Research Centre Canada, in his essay "Fessenden's 1906 Christmas Eve broadcast." It was not until after the Titanic catastrophe in 1912 that radio for mass communication came into vogue, inspired first by the work of amateur ("ham") radio operators. Radio was especially important during World War I as it was vital for air and naval operations. World War I brought about major developments in radio, superseding the Morse code of the wireless telegraph with the vocal communication of the wireless telephone, through advancements in vacuum tube technology and the introduction of the transceiver. After the war, numerous radio stations were born in the United States and set the standard for later radio programs. The first radio news program was broadcast on August 31, 1920, on the station 8MK in Detroit; owned by The Detroit News, the station covered local election results. This was followed in 1920 with the first commercial radio station in the United States, KDKA, being established in Pittsburgh. The first regular entertainment programs were broadcast in 1922, and on March 10, Variety carried the front-page headline: "Radio Sweeping Country: 1,000,000 Sets in Use." A highlight of this time was the first Rose Bowl being broadcast on January 1, 1923, on the Los Angeles station KHJ. Growth of radio Broadcast radio in the United States underwent a period of rapid change through the decade of the 1920s. Technology advances, better regulation, rapid consumer adoption, and the creation of broadcast networks transformed radio from a consumer curiosity into the mass media powerhouse that defined the Golden Age of Radio. Consumer adoption Through the decade of the 1920s, the purchase of radios by United States homes continued, and accelerated. The Radio Corporation of America (RCA) released figures in 1925 stating that 19% of United States homes owned a radio. The triode and regenerative circuit made amplified, vacuum tube radios widely available to consumers by the second half of the 1920s. The advantage was obvious: several people at once in a home could now easily listen to their radio at the same time. In 1930, 40% of the nation's households owned a radio,[8] a figure that was much higher in suburban and large metropolitan areas. The superheterodyne receiver and other inventions refined radios even further in the next decade; even as the Great Depression ravaged the country in the 1930s, radio would stay at the centre of American life. 83% of American homes would own a radio by 1940. Government regulation Although radio was well established with United States consumers by the mid-1920s, regulation of the broadcast medium presented its own challenges. Until 1926, broadcast radio power and frequency use was regulated by the U.S. Department of Commerce, until a legal challenge rendered the agency powerless to do so. Congress responded by enacting the Radio Act of 1927, which included the formation of the Federal Radio Commission (FRC). One of the FRC's most important early actions was the adoption of General Order 40, which divided stations on the AM band into three power level categories, which became known as Local, Regional, and Clear Channel, and reorganized station assignments. Based on this plan, effective 3:00 a.m. Eastern time on November 11, 1928, most of the country's stations were assigned to new transmitting frequencies. Broadcast networks The final element needed to make the Golden Age of Radio possible focused on the question of distribution: the ability for multiple radio stations to simultaneously broadcast the same content, and this would be solved with the concept of a radio network. The earliest radio programs of the 1920s were largely unsponsored; radio stations were a service designed to sell radio receivers. In early 1922, American Telephone & Telegraph Company (AT&T) announced the beginning of advertisement-supported broadcasting on its owned stations, and plans for the development of the first radio network using its telephone lines to transmit the content. In July 1926, AT&T abruptly decided to exit the broadcasting field, and signed an agreement to sell its entire network operations to a group headed by RCA, which used the assets to form the National Broadcasting Company. Four radio networks had formed by 1934. These were: National Broadcasting Company Red Network (NBC Red), launched November 15, 1926. Originally founded as the National Broadcasting Company in late 1926, the company was almost immediately forced to split under antitrust laws to form NBC Red and NBC Blue. When, in 1942, NBC Blue was sold and renamed the Blue Network, this network would go back to calling itself simply the National Broadcasting Company Radio Network (NBC). National Broadcasting Company Blue Network (NBC Blue); launched January 10, 1927, split from NBC Red. NBC Blue was sold in 1942 and became the Blue Network, and it in turn transferred its assets to a new company, the American Broadcasting Company on June 15, 1945. That network identified itself as the American Broadcasting Company Radio Network (ABC). Columbia Broadcasting System (CBS), launched September 18, 1927. After an initially struggling attempt to compete with the NBC networks, CBS gained new momentum when William S. Paley was installed as company president. Mutual Broadcasting System (Mutual), launched September 29, 1934. Mutual was initially run as a cooperative in which the flagship stations owned the network, not the other way around as was the case with the other three radio networks. Programming In the period before and after the advent of the broadcast network, new forms of entertainment needed to be created to fill the time of a station's broadcast day. Many of the formats born in this era continued into the television and digital eras. In the beginning of the Golden Age, network programs were almost exclusively broadcast live, as the national networks prohibited the airing of recorded programs until the late 1940s because of the inferior sound quality of phonograph discs, the only practical recording medium at that time. As a result, network prime-time shows would be performed twice, once for each coast. Rehearsal for the World War II radio show You Can't Do Business with Hitler with John Flynn and Virginia Moore. This series of programs, broadcast at least once weekly by more than 790 radio stations in the United States, was written and produced by the radio section of the Office of War Information (OWI). Live events Coverage of live events included musical concerts and play-by-play sports broadcasts. News The capability of the new medium to get information to people created the format of modern radio news: headlines, remote reporting, sidewalk interviews (such as Vox Pop), panel discussions, weather reports, and farm reports. The entry of radio into the realm of news triggered a feud between the radio and newspaper industries in the mid-1930s, eventually culminating in newspapers trumping up exaggerated [citation needed] reports of a mass hysteria from the (entirely fictional) radio presentation of The War of the Worlds, which had been presented as a faux newscast. Musical features The sponsored musical feature soon became one of the most popular program formats. Most early radio sponsorship came in the form of selling the naming rights to the program, as evidenced by such programs as The A&P Gypsies, Champion Spark Plug Hour, The Clicquot Club Eskimos, and King Biscuit Time; commercials, as they are known in the modern era, were still relatively uncommon and considered intrusive. During the 1930s and 1940s, the leading orchestras were heard often through big band remotes, and NBC's Monitor continued such remotes well into the 1950s by broadcasting live music from New York City jazz clubs to rural America. Singers such as Harriet Lee and Wendell Hall became popular fixtures on network radio beginning in the late 1920s and early 1930s. Local stations often had staff organists such as Jesse Crawford playing popular tunes. Classical music programs on the air included The Voice of Firestone and The Bell Telephone Hour. Texaco sponsored the Metropolitan Opera radio broadcasts; the broadcasts, now sponsored by the Toll Brothers, continue to this day around the world, and are one of the few examples of live classical music still broadcast on radio. One of the most notable of all classical music radio programs of the Golden Age of Radio featured the celebrated Italian conductor Arturo Toscanini conducting the NBC Symphony Orchestra, which had been created especially for him. At that time, nearly all classical musicians and critics considered Toscanini the greatest living maestro. Popular songwriters such as George Gershwin were also featured on radio. (Gershwin, in addition to frequent appearances as a guest, had his own program in 1934.) The New York Philharmonic also had weekly concerts on radio. There was no dedicated classical music radio station like NPR at that time, so classical music programs had to share the network they were broadcast on with more popular ones, much as in the days of television before the creation of NET and PBS. Country music also enjoyed popularity. National Barn Dance, begun on Chicago's WLS in 1924, was picked up by NBC Radio in 1933. In 1925, WSM Barn Dance went on the air from Nashville. It was renamed the Grand Ole Opry in 1927 and NBC carried portions from 1944 to 1956. NBC also aired The Red Foley Show from 1951 to 1961, and ABC Radio carried Ozark Jubilee from 1953 to 1961. Comedy Radio attracted top comedy talents from vaudeville and Hollywood for many years: Bing Crosby, Abbott and Costello, Fred Allen, Jack Benny, Victor Borge, Fanny Brice, Billie Burke, Bob Burns, Judy Canova, Eddie Cantor, Jimmy Durante, Burns and Allen, Phil Harris, Edgar Bergen, Bob Hope, Groucho Marx, Jean Shepherd, Red Skelton and Ed Wynn. Situational comedies also gained popularity, such as Amos 'n' Andy, Easy Aces, Ethel and Albert, Fibber McGee and Molly, The Goldbergs, The Great Gildersleeve, The Halls of Ivy (which featured screen star Ronald Colman and his wife Benita Hume), Meet Corliss Archer, Meet Millie, and Our Miss Brooks. Radio comedy ran the gamut from the small town humor of Lum and Abner, Herb Shriner and Minnie Pearl to the dialect characterizations of Mel Blanc and the caustic sarcasm of Henry Morgan. Gags galore were delivered weekly on Stop Me If You've Heard This One and Can You Top This?,[18] panel programs devoted to the art of telling jokes. Quiz shows were lampooned on It Pays to Be Ignorant, and other memorable parodies were presented by such satirists as Spike Jones, Stoopnagle and Budd, Stan Freberg and Bob and Ray. British comedy reached American shores in a major assault when NBC carried The Goon Show in the mid-1950s. Some shows originated as stage productions: Clifford Goldsmith's play What a Life was reworked into NBC's popular, long-running The Aldrich Family (1939–1953) with the familiar catchphrases "Henry! Henry Aldrich!," followed by Henry's answer, "Coming, Mother!" Moss Hart and George S. Kaufman's Pulitzer Prize-winning Broadway hit, You Can't Take It with You (1936), became a weekly situation comedy heard on Mutual (1944) with Everett Sloane and later on NBC (1951) with Walter Brennan. Other shows were adapted from comic strips, such as Blondie, Dick Tracy, Gasoline Alley, The Gumps, Li'l Abner, Little Orphan Annie, Popeye the Sailor, Red Ryder, Reg'lar Fellers, Terry and the Pirates and Tillie the Toiler. Bob Montana's redheaded teen of comic strips and comic books was heard on radio's Archie Andrews from 1943 to 1953. The Timid Soul was a 1941–1942 comedy based on cartoonist H. T. Webster's famed Caspar Milquetoast character, and Robert L. Ripley's Believe It or Not! was adapted to several different radio formats during the 1930s and 1940s. Conversely, some radio shows gave rise to spinoff comic strips, such as My Friend Irma starring Marie Wilson. Soap operas The first program generally considered to be a daytime serial drama by scholars of the genre is Painted Dreams, which premiered on WGN on October 20, 1930. The first networked daytime serial is Clara, Lu, 'n Em, which started in a daytime time slot on February 15, 1932. As daytime serials became popular in the early 1930s, they became known as soap operas because many were sponsored by soap products and detergents. On November 25, 1960, the last four daytime radio dramas—Young Dr. Malone, Right to Happiness, The Second Mrs. Burton and Ma Perkins, all broadcast on the CBS Radio Network—were brought to an end. Children's programming The line-up of late afternoon adventure serials included Bobby Benson and the B-Bar-B Riders, The Cisco Kid, Jack Armstrong, the All-American Boy, Captain Midnight, and The Tom Mix Ralston Straight Shooters. Badges, rings, decoding devices and other radio premiums offered on these adventure shows were often allied with a sponsor's product, requiring the young listeners to mail in a boxtop from a breakfast cereal or other proof of purchase. Radio plays Radio plays were presented on such programs as 26 by Corwin, NBC Short Story, Arch Oboler's Plays, Quiet, Please, and CBS Radio Workshop. Orson Welles's The Mercury Theatre on the Air and The Campbell Playhouse were considered by many critics to be the finest radio drama anthologies ever presented. They usually starred Welles in the leading role, along with celebrity guest stars such as Margaret Sullavan or Helen Hayes, in adaptations from literature, Broadway, and/or films. They included such titles as Liliom, Oliver Twist (a title now feared lost), A Tale of Two Cities, Lost Horizon, and The Murder of Roger Ackroyd. It was on Mercury Theatre that Welles presented his celebrated-but-infamous 1938 adaptation of H. G. Wells's The War of the Worlds, formatted to sound like a breaking news program. Theatre Guild on the Air presented adaptations of classical and Broadway plays. Their Shakespeare adaptations included a one-hour Macbeth starring Maurice Evans and Judith Anderson, and a 90-minute Hamlet, starring John Gielgud.[22] Recordings of many of these programs survive. During the 1940s, Basil Rathbone and Nigel Bruce, famous for playing Sherlock Holmes and Dr. Watson in films, repeated their characterizations on radio on The New Adventures of Sherlock Holmes, which featured both original stories and episodes directly adapted from Arthur Conan Doyle's stories. None of the episodes in which Rathbone and Bruce starred on the radio program were filmed with the two actors as Holmes and Watson, so radio became the only medium in which audiences were able to experience Rathbone and Bruce appearing in some of the more famous Holmes stories, such as "The Speckled Band". There were also many dramatizations of Sherlock Holmes stories on radio without Rathbone and Bruce. During the latter part of his career, celebrated actor John Barrymore starred in a radio program, Streamlined Shakespeare, which featured him in a series of one-hour adaptations of Shakespeare plays, many of which Barrymore never appeared in either on stage or in films, such as Twelfth Night (in which he played both Malvolio and Sir Toby Belch), and Macbeth. Lux Radio Theatre and The Screen Guild Theater presented adaptations of Hollywood movies, performed before a live audience, usually with cast members from the original films. Suspense, Escape, The Mysterious Traveler and Inner Sanctum Mystery were popular thriller anthology series. Leading writers who created original material for radio included Norman Corwin, Carlton E. Morse, David Goodis, Archibald MacLeish, Arthur Miller, Arch Oboler, Wyllis Cooper, Rod Serling, Jay Bennett, and Irwin Shaw. Game shows Game shows saw their beginnings in radio. One of the first was Information Please in 1938, and one of the first major successes was Dr. I.Q. in 1939. Winner Take All, which premiered in 1946, was the first to use lockout devices and feature returning champions. A relative of the game show, which would be called the giveaway show in contemporary media, typically involved giving sponsored products to studio audience members, people randomly called by telephone, or both. An early example of this show was the 1939 show Pot o' Gold, but the breakout hit of this type was ABC's Stop the Music in 1948. Winning a prize generally required knowledge of what was being aired on the show at that moment, which led to criticism of the giveaway show as a form of "buying an audience". Giveaway shows were extremely popular through 1948 and 1949. They were often panned as low-brow, and an unsuccessful attempt was even made by the FCC to ban them (as an illegal lottery) in August 1949.[23] Broadcast production methods The RCA Type 44-BX microphone had two live faces and two dead ones. Thus actors could face each other and react. An actor could give the effect of leaving the room by simply moving their head toward the dead face of the microphone. The scripts were paper-clipped together. It has been disputed whether or not actors and actresses would drop finished pages to the carpeted floor after use. Radio stations Despite a general ban on use of recordings on broadcasts by radio networks through the late 1940s, "reference recordings" on phonograph disc were made of many programs as they were being broadcast, for review by the sponsor and for the network's own archival purposes. With the development of high-fidelity magnetic wire and tape recording in the years following World War II, the networks became more open to airing recorded programs and the prerecording of shows became more common. Local stations, however, had always been free to use recordings and sometimes made substantial use of pre-recorded syndicated programs dist
Parvenu au pouvoir, le cardinal Mazarin fait venir ses neveux et nièces d'Italie, pour qu'ils bénéficient de sa fortune. Parmi eux, Anne-Marie Martinozzi s'apprête à faire le plus incroyable des mariages… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "Timeline 5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le château de Vincennes est un lieu magique, un site unique où dialoguent les souvenirs de dix siècles d'histoire de France. Il est aussi un des grands centres de pouvoir où s'est construit l'État. Au fil d'une trentaine de dates clés, on découvre le cadre prestigieux de Vincennes, les événements qui s'y sont déroulés – de la guerre de Cent Ans à la libération de Paris – ainsi que les personnalités liées au château, qu'il s'agisse de Charles V, de Mazarin, du marquis de Sade, de Napoléon Ier ou du duc d'Enghien. Thierry Sarmant tire parti des recherches les plus récentes sur le château et apporte des informations inédites sur les projets d'installation de la présidence de la République à Vincennes lors du premier mandat de Charles de Gaulle. Il propose avec ce livre la première synthèse d'ensemble consacrée à un château qui, par son importance historique et artistique, égale Fontainebleau et Versailles. Thierry Sarmant est notre invité
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
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La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
For this episode of the Global Exchange podcast, Colin Robertson talks with Solange Marquez and Andres Rozental about the recent Mexican election and how the new administration might impact North American relations. // Participants' bios - Solange Marquez is a professor at the Law School of the National Autonomous University of Mexico (UNAM). A former VP of the Mexican Council on International Affairs (Comexi) she is its representative in Canada. Solange is also a CGAI Fellow. - Andres Rozental served as Mexico's ambassador to Sweden and the United Kingdom and as deputy foreign minister. He is the Founding President of the Mexican Council on Foreign Relations. He holds the lifetime rank of eminent ambassador of Mexico. // Host bio: Colin Robertson is a former diplomat and Senior Advisor to the Canadian Global Affairs Institute, www.cgai.ca/colin_robertson // Read & Watch: - "Grands Diplomates: Les maîtres des relations internationales de Mazarin à nos jours, by Hubert Védrine: https://www.lisez.com/livre-grand-format/grands-diplomates/9782262101398 - "Atlas of AI: Power, Politics, and the Planetary Costs of Artificial Intelligence", by Kate Crawford: https://yalebooks.yale.edu/book/9780300264630/atlas-of-ai/ // Recording Date: June 19, 2024.
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Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ En 1648, les traités de Westphalie et de Munster font entrer l'Europe dans une nouvelle ère, celle de l'équilibre des puissances. Aux rêves hégémoniques de la papauté en crise se substitue la recherche d'équilibres afin de maintenir la paix en Europe. Visionnaire génial, le cardinal de Richelieu est le précurseur de ce nouvel âge selon les termes d'Henry Kissinger, à la fois père de l'Etat moderne et vulgarisateur de la raison d'Etat. Mazarin et Kaunitz, Choiseul et Pitt, Metternich et Bismarck sont ainsi les fils spirituels de "l'homme rouge". Au service du prince, ils ont promu une vision politique réaliste de la politique étrangère. Dans ce Grand entretien, Hubert Védrine nous présente les caractéristiques de ce nouvel âge politique, la grandeur de la diplomatie et ce qui, aujourd'hui, contribue à une remise en cause de son efficacité. L'invité : L'engagement d'Hubert Védrine sur la scène internationale a été et reste considérable. Il a été successivement conseiller diplomatique, porte-parole et secrétaire général de l'Élysée durant les deux septennats de François Mitterrand. Conseiller d'Etat en 1986, il devient ministre des Affaires étrangères (1997-2002) sous la présidence de Jacques Chirac. Aujourd'hui, Hubert Védrine mène des activités de conseil en géopolitique. Auteur de nombreux ouvrages sur la question, il vient aussi de publier Camus, notre rempart (Plon, 128 p., 18€) et de diriger Grands diplomates. Les maîtres des relations internationales de Mazarin à nos jours (Perrin, 416 p., 25€). Ce dernier ouvrage rassemble les contributions de vingt historiens et journalistes sur les grands négociateurs et diplomates de l'époque moderne et contemporaine. *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
L'opéra raconte une histoire, celle imaginée par le livret, mise en musique par un compositeur et interprétée par des chanteurs lyriques. Il s'agit donc d'un spectacle complet, porté par les accents de l'orchestre.Le théâtre grec, dans l'Antiquité, et certains ballets de cour, à l'époque de la Renaissance, ont pu donner un avant-goût de l'opéra, dont la naissance remonte au début du XVIIe siècle.C'est en effet à ce moment que ce type de spectacle apparaît à Florence, capitale du grand-duché de Toscane. On le doit aux initiatives d'un petit groupe d'artistes et d'intellectuels, la "Camerata fiorentina" ou "Camerata de Bardi".Les musicologues s'interrogent sur le premier opéra à avoir été écrit. Les avis divergent à ce sujet. Si l'on se fonde sur la composition même de l'œuvre, il semble bien que "La Dafne", du compositeur italien Jacopo Peri, ait été le premier opéra jamais composé.En effet, il en écrit la musique, sur un livret d'Ottavio Rinuccini, à l'occasion du carnaval florentin de 1597. Le même musicien compose la musique d'un autre opéra trois ans plus tard, en 1600, sur un texte dû au même librettiste. Il s'agit d'"Euridice", d'après le mythe d'Orphée, qui sera représenté pour la première fois en octobre 1600 au palais Pitti de Florence.Si l'on prend comme critère la représentation de l'œuvre, "Euridice" peut encore être considéré comme le premier opéra. D'autant que Jacopo Peri a introduit dans sa partition des éléments, comme les duos, les chœurs ou les solos, que l'on retrouvera dans tous les opéras à venir.Pour certains, cependant, la première œuvre musicale méritant vraiment le nom d'opéra est l'"Orfeo" de Claudio Monteverdi, sur un livret d'Alessandro Striggio. Créé en février 1607 à Mantoue, cet opéra marque la transition entre la musique de la Renaissance et celle de l'époque baroque.L'opéra italien sera introduit en France, dès le milieu du XVIIe siècle, grâce à Mazarin qui, fin mélomane, fait représenter plusieurs de ces œuvres à la Cour de France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Charles options in 1645 were increasingly limited, as Fairfax and Cromwell closed down garrison after garison, and parliament defeated the few remaining royalist field armies. In Ireland he sent an envoy with secret instructions to the Confederate Association - maybe new concessions would a fresh army of 10,000 men to turn things around? Or in Scotland, Montrose was still ripping Covenanter armies to pieces - and had marched into Glasgow and called a new Scottish parliament. Or maybe France would help? Jean de Montereul, Mazarin's diplomat, was making nice noises. Surely all was not yet over? After all, he was God's annointed facing mere rebels. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Les Rois de France étaient des personnages publics, dont les moindres gestes étaient scrutés par les courtisans. On peut donc penser qu'on n'ignore aucun détail de leur vie.Et pourtant, bien des éléments échappent aux historiens. Ainsi, on ne connaît pas avec certitude la taille d'un Roi aussi célèbre que Louis XIV, qui avait pourtant fait de son existence un spectacle permanent.On a longtemps prétendu qu'il était plutôt petit, du moins pour nous. Il n'aurait pas dépassé 1,65 m, ou un peu plus, ce qui correspondait d'ailleurs à une taille moyenne pour l'époque.L'un des arguments invoqués est la petite taille des lits où dormait l'illustre monarque. Mais rappelons qu'à cette époque les nobles dormaient en position demi assise, la position couchée étant réservée aux malades.Par ailleurs, l'apparence de certains des vêtements qu'aurait portés le Roi témoigne plutôt en faveur d'une grande taille. Dans une récente biographie, un historien prétend même que Louis XIV mesurait 1,84 m.Ce qui une très haute taille pour l'époque. Sauf si l'on tenait compte, dans ces mensurations, de la perruque et des talons. En effet, le souverain arborait une haute perruque, dite "à la royale", qui pouvait atteindre 15 centimètres.Et il portait des talons qui avaient 10 à 12 centimètres de hauteur. Ces talons de bois, recouverts de cuir rouge, étaient alors à la mode chez les grands. La taille du Roi était donc rehaussée de 20 à 25 centimètres supplémentaires.Si on les ajoute à la taille qu'on lui attribue souvent (1,65 m), on arrive à 1,85-1,90 m. Et si Louis XIV avait mesuré 1,84 m sans sa perruque et ses talons, il serait alors apparu, aux yeux de ses courtisans, comme un véritable géant de plus de 2 mètres !Il est vrai qu'à cet égard, les témoignages divergent. Si Mme de Motteville, dame d'honneur d'Anne d'Autriche, la mère de Louis XIV, donnait au Roi une tête de plus qu'à Mazarin, pourtant assez grand, la Palatine, la belle-sœur du Roi, qui le voyait tous les jours, le trouvait trop petit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Rois de France étaient des personnages publics, dont les moindres gestes étaient scrutés par les courtisans. On peut donc penser qu'on n'ignore aucun détail de leur vie. Et pourtant, bien des éléments échappent aux historiens. Ainsi, on ne connaît pas avec certitude la taille d'un Roi aussi célèbre que Louis XIV, qui avait pourtant fait de son existence un spectacle permanent. On a longtemps prétendu qu'il était plutôt petit, du moins pour nous. Il n'aurait pas dépassé 1,65 m, ou un peu plus, ce qui correspondait d'ailleurs à une taille moyenne pour l'époque. L'un des arguments invoqués est la petite taille des lits où dormait l'illustre monarque. Mais rappelons qu'à cette époque les nobles dormaient en position demi assise, la position couchée étant réservée aux malades. Par ailleurs, l'apparence de certains des vêtements qu'aurait portés le Roi témoigne plutôt en faveur d'une grande taille. Dans une récente biographie, un historien prétend même que Louis XIV mesurait 1,84 m. Ce qui une très haute taille pour l'époque. Sauf si l'on tenait compte, dans ces mensurations, de la perruque et des talons. En effet, le souverain arborait une haute perruque, dite "à la royale", qui pouvait atteindre 15 centimètres. Et il portait des talons qui avaient 10 à 12 centimètres de hauteur. Ces talons de bois, recouverts de cuir rouge, étaient alors à la mode chez les grands. La taille du Roi était donc rehaussée de 20 à 25 centimètres supplémentaires. Si on les ajoute à la taille qu'on lui attribue souvent (1,65 m), on arrive à 1,85-1,90 m. Et si Louis XIV avait mesuré 1,84 m sans sa perruque et ses talons, il serait alors apparu, aux yeux de ses courtisans, comme un véritable géant de plus de 2 mètres ! Il est vrai qu'à cet égard, les témoignages divergent. Si Mme de Motteville, dame d'honneur d'Anne d'Autriche, la mère de Louis XIV, donnait au Roi une tête de plus qu'à Mazarin, pourtant assez grand, la Palatine, la belle-sœur du Roi, qui le voyait tous les jours, le trouvait trop petit. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Qui ne connaît d'Artagnan, le fringant gascon mis en scène par Alexandre Dumas dans son célèbre roman "Les trois mousquetaires" ? Mais, ce qu'on sait moins, c'est que ce valeureux soldat a bel et bien existé.Il est né, vers 1615, au château de Castelmore, sur le territoire de la petite commune de Lupiac, dans le Gers. Le visiteur se promenant dans la région peut encore apercevoir le manoir qui, hélas, ne se visite pas.Le héros de Dumas se nommait Charles de Batz de Castelmore, mais se faisait appeler d'Artagnan, du nom d'une seigneurie possédée par les Montesquiou, la famille de sa mère. La famille paternelle, assez modeste, était de noblesse récente.Le jeune d'Artagnan monte à Paris, vers 1630, pour y faire, comme certains de ses frères, une carrière militaire. Il y est d'abord engagé dans le régiment des Gardes Françaises qui, comme son nom l'indique, était chargé d'assurer la sécurité du Roi.Puis, comme dans le roman, il intègre le corps d'élite des mousquetaires, créé en 1622 par Louis XIII. Peu à peu, d'Artagnan va devenir un collaborateur apprécié du cardinal Mazarin, auquel il reste fidèle durant la Fronde, puis de Louis XIV.Il se voit alors attribuer des missions de confiance. Promu, en 1658, au commandement effectif des mousquetaires, supprimés un temps par Mazarin, d'Artagnan est en effet chargé, en 1661, d'arrêter, dans le plus grand secret, le surintendant Fouquet, dont l'ascension et la munificence avaient indisposé le Roi.C'est lui qui conduit l'illustre prisonnier vers ses divers lieux de détention, dont la forteresse de Pignerol, aujourd'hui en Italie. Marque insigne de faveur, d'Artagnan devient le geôlier de Fouquet durant trois ans.En 1660, il avait déjà accompagné Louis XIV vers le Pays Basque, où il devait épouser l'Infante d'Espagne Marie-Thérèse. Il était désormais un homme riche et considéré, qui possédait un hôtel particulier à Paris.C'est en participant au siège de Maastricht, en 1673, lors de la guerre de Hollande, que d'Artagnan est fauché par un tir de mousquet qui le tue sur le coup. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qui ne connaît d'Artagnan, le fringant gascon mis en scène par Alexandre Dumas dans son célèbre roman "Les trois mousquetaires" ? Mais, ce qu'on sait moins, c'est que ce valeureux soldat a bel et bien existé. Il est né, vers 1615, au château de Castelmore, sur le territoire de la petite commune de Lupiac, dans le Gers. Le visiteur se promenant dans la région peut encore apercevoir le manoir qui, hélas, ne se visite pas. Le héros de Dumas se nommait Charles de Batz de Castelmore, mais se faisait appeler d'Artagnan, du nom d'une seigneurie possédée par les Montesquiou, la famille de sa mère. La famille paternelle, assez modeste, était de noblesse récente. Le jeune d'Artagnan monte à Paris, vers 1630, pour y faire, comme certains de ses frères, une carrière militaire. Il y est d'abord engagé dans le régiment des Gardes Françaises qui, comme son nom l'indique, était chargé d'assurer la sécurité du Roi. Puis, comme dans le roman, il intègre le corps d'élite des mousquetaires, créé en 1622 par Louis XIII. Peu à peu, d'Artagnan va devenir un collaborateur apprécié du cardinal Mazarin, auquel il reste fidèle durant la Fronde, puis de Louis XIV. Il se voit alors attribuer des missions de confiance. Promu, en 1658, au commandement effectif des mousquetaires, supprimés un temps par Mazarin, d'Artagnan est en effet chargé, en 1661, d'arrêter, dans le plus grand secret, le surintendant Fouquet, dont l'ascension et la munificence avaient indisposé le Roi. C'est lui qui conduit l'illustre prisonnier vers ses divers lieux de détention, dont la forteresse de Pignerol, aujourd'hui en Italie. Marque insigne de faveur, d'Artagnan devient le geôlier de Fouquet durant trois ans. En 1660, il avait déjà accompagné Louis XIV vers le Pays Basque, où il devait épouser l'Infante d'Espagne Marie-Thérèse. Il était désormais un homme riche et considéré, qui possédait un hôtel particulier à Paris. C'est en participant au siège de Maastricht, en 1673, lors de la guerre de Hollande, que d'Artagnan est fauché par un tir de mousquet qui le tue sur le coup. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! L'héritage de Vauban est monumental. Mais que connaissez-vous de la vie de l'ingénieur militaire qui a conçu toutes ces fortifications le long des frontières françaises ? Dans un récit inédit en deux parties, Virginie Girod vous plonge au cœur des batailles du XVIIIe siècle, à la rencontre du marquis de Vauban ! Sébastien Le Prestre de Vauban voit le jour dans la petite noblesse du Morvan en 1633, sous le règne de Louis XIII. Dix ans plus tard, Louis XIV lui succède. Le nouveau souverain doit bientôt affronter la Fronde, une révolte du Parlement et d'une partie de la haute noblesse. C'est au service du principal ennemi du roi de France, le Prince de Condé, que Vauban commence sa carrière militaire. Sur le champ de bataille, il se distingue pour sa bravoure : au siège de Sainte-Ménéhould, il va jusqu'à traverser une rivière à la nage, sous le feu des troupes royales ennemies ! Fait prisonnier, Vauban fait la rencontre du cardinal de Mazarin, premier ministre de Louis XIV. Alors que la Fronde s'achève, Vauban bascule au service du roi de France, et y restera toute sa vie. Homme de combat, féru de mathématiques et de dessin, il se spécialise dans la poliorcétique : l'art du siège. Son talent lui vaut d'être remarqué par le jeune Louis XIV qui le recrute pour mener le siège de Montmédy en 1657. La prise de la ville, qui aurait dû être une formalité, se transforme en un bain de sang de 46 jours. Vauban est le seul ingénieur survivant. Des victoires au prix de nombreuses vies humaines, il n'en veut plus. Convaincu qu'avec une approche plus rationnelle, le siège aurait pu être plus court et moins sanglant, sa vision est néanmoins à rebours de l'idéal chevaleresque qui méprise la mort. La paix ne dure jamais longtemps avec Louis XIV, qui entre en conflit avec les Habsbourg. Vauban va pouvoir révolutionner l'art de la guerre. Thèmes abordés : guerre de siège, Vauban, fortifications, Louis XIV "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier et Camille Bichler- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
Stéphane Bern raconte un maître des relations internationales, un homme politique qui a fait sa loi, celui que l'histoire a surnommé le “pèlerin de la paix”. Ou la véritable histoire d'Aristide Briand, le brillant diplomate… Justement, quelle loi emblématique de notre République lui doit-on ? Quel rôle a-t-il joué durant la Première Guerre mondiale ? Comment a-t-il œuvré pour la paix entre les Nations ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Gérard Unger, vice-président du CRIF, auteur d'une biographie d'Aristide Briand et d'un chapitre consacré à Aristide Briand dans l'ouvrage "Grands diplomates : les maîtres des relations internationales de Mazarin à nos jours" (Perrin)
La plupart de nos Rois de France ont hérité de surnoms. Mais il est rare qu'ils se les soient attribués eux-mêmes. C'est pourtant le cas de Louis XIV, qui a adopté, de façon délibérée, le surnom de "Roi-Soleil".Il symbolisait en effet sa conception du pouvoir. En 1661, après la mort du cardinal Mazarin, son parrain et son mentor en politique, Louis XIV indique sa volonté de prendre le pouvoir personnellement et de se passer désormais de Premier ministre.Cette date marque donc la véritable mise en place de la Monarchie absolue, dans laquelle tout vient du Roi et tout s'y rapporte. Comme le Soleil, autour duquel gravitent les autres planètes, est au centre du système solaire, le Roi est au centre du système gouvernemental et les ministres ne dépendent que de lui.Ce surnom de Roi-Soleil trouve une autre de ses résonances dans l'organisation de la Cour. Traumatisé par l'expérience de la Fronde, durant laquelle la famille royale avait dû fuir Paris, le Roi s'était juré de mettre la noblesse au pas.Il avait donc obligé ces fiers seigneurs, qui l'avaient jadis humilié, à paraître à Versailles et à participer à l'immuable cérémonial de la Cour. Si les nobles voulaient conserver places et pensions, il leur fallait assister au lever du Roi qui, comme le Soleil dispensait la lumière, accordait les grâces et les faveurs dont vivait la noblesse.Tout ce minutieux système, réglé par une étiquette implacable, gravitait autour du Roi, comme les planètes autour du Soleil. Ce n'est donc pas pour rien qu'en 1662, au cours d'un célèbre ballet, Louis XIV, qui se piquait de danser, apparut vêtu en Soleil.Même si le surnom de Roi-Soleil est le plus connu, le souverain en eut d'autres. En raison de sa naissance inespérée, sa mère, Anne d'Autriche n'étant tombée enceinte qu'après plus de 20 ans de mariage, on l'appela Louis "Dieudonné".Quant à son autre surnom de "Louis le Grand", elle s'explique, là encore, par sa prétention à gouverner en Roi absolu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La plupart de nos Rois de France ont hérité de surnoms. Mais il est rare qu'ils se les soient attribués eux-mêmes. C'est pourtant le cas de Louis XIV, qui a adopté, de façon délibérée, le surnom de "Roi-Soleil". Il symbolisait en effet sa conception du pouvoir. En 1661, après la mort du cardinal Mazarin, son parrain et son mentor en politique, Louis XIV indique sa volonté de prendre le pouvoir personnellement et de se passer désormais de Premier ministre. Cette date marque donc la véritable mise en place de la Monarchie absolue, dans laquelle tout vient du Roi et tout s'y rapporte. Comme le Soleil, autour duquel gravitent les autres planètes, est au centre du système solaire, le Roi est au centre du système gouvernemental et les ministres ne dépendent que de lui. Ce surnom de Roi-Soleil trouve une autre de ses résonances dans l'organisation de la Cour. Traumatisé par l'expérience de la Fronde, durant laquelle la famille royale avait dû fuir Paris, le Roi s'était juré de mettre la noblesse au pas. Il avait donc obligé ces fiers seigneurs, qui l'avaient jadis humilié, à paraître à Versailles et à participer à l'immuable cérémonial de la Cour. Si les nobles voulaient conserver places et pensions, il leur fallait assister au lever du Roi qui, comme le Soleil dispensait la lumière, accordait les grâces et les faveurs dont vivait la noblesse. Tout ce minutieux système, réglé par une étiquette implacable, gravitait autour du Roi, comme les planètes autour du Soleil. Ce n'est donc pas pour rien qu'en 1662, au cours d'un célèbre ballet, Louis XIV, qui se piquait de danser, apparut vêtu en Soleil. Même si le surnom de Roi-Soleil est le plus connu, le souverain en eut d'autres. En raison de sa naissance inespérée, sa mère, Anne d'Autriche n'étant tombée enceinte qu'après plus de 20 ans de mariage, on l'appela Louis "Dieudonné". Quant à son autre surnom de "Louis le Grand", elle s'explique, là encore, par sa prétention à gouverner en Roi absolu. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La plupart de nos Rois de France ont hérité de surnoms. Mais il est rare qu'ils se les soient attribués eux-mêmes. C'est pourtant le cas de Louis XIV, qui a adopté, de façon délibérée, le surnom de "Roi-Soleil".Il symbolisait en effet sa conception du pouvoir. En 1661, après la mort du cardinal Mazarin, son parrain et son mentor en politique, Louis XIV indique sa volonté de prendre le pouvoir personnellement et de se passer désormais de Premier ministre.Cette date marque donc la véritable mise en place de la Monarchie absolue, dans laquelle tout vient du Roi et tout s'y rapporte. Comme le Soleil, autour duquel gravitent les autres planètes, est au centre du système solaire, le Roi est au centre du système gouvernemental et les ministres ne dépendent que de lui.Ce surnom de Roi-Soleil trouve une autre de ses résonances dans l'organisation de la Cour. Traumatisé par l'expérience de la Fronde, durant laquelle la famille royale avait dû fuir Paris, le Roi s'était juré de mettre la noblesse au pas.Il avait donc obligé ces fiers seigneurs, qui l'avaient jadis humilié, à paraître à Versailles et à participer à l'immuable cérémonial de la Cour. Si les nobles voulaient conserver places et pensions, il leur fallait assister au lever du Roi qui, comme le Soleil dispensait la lumière, accordait les grâces et les faveurs dont vivait la noblesse.Tout ce minutieux système, réglé par une étiquette implacable, gravitait autour du Roi, comme les planètes autour du Soleil. Ce n'est donc pas pour rien qu'en 1662, au cours d'un célèbre ballet, Louis XIV, qui se piquait de danser, apparut vêtu en Soleil.Même si le surnom de Roi-Soleil est le plus connu, le souverain en eut d'autres. En raison de sa naissance inespérée, sa mère, Anne d'Autriche n'étant tombée enceinte qu'après plus de 20 ans de mariage, on l'appela Louis "Dieudonné".Quant à son autre surnom de "Louis le Grand", elle s'explique, là encore, par sa prétention à gouverner en Roi absolu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La plupart de nos Rois de France ont hérité de surnoms. Mais il est rare qu'ils se les soient attribués eux-mêmes. C'est pourtant le cas de Louis XIV, qui a adopté, de façon délibérée, le surnom de "Roi-Soleil". Il symbolisait en effet sa conception du pouvoir. En 1661, après la mort du cardinal Mazarin, son parrain et son mentor en politique, Louis XIV indique sa volonté de prendre le pouvoir personnellement et de se passer désormais de Premier ministre. Cette date marque donc la véritable mise en place de la Monarchie absolue, dans laquelle tout vient du Roi et tout s'y rapporte. Comme le Soleil, autour duquel gravitent les autres planètes, est au centre du système solaire, le Roi est au centre du système gouvernemental et les ministres ne dépendent que de lui. Ce surnom de Roi-Soleil trouve une autre de ses résonances dans l'organisation de la Cour. Traumatisé par l'expérience de la Fronde, durant laquelle la famille royale avait dû fuir Paris, le Roi s'était juré de mettre la noblesse au pas. Il avait donc obligé ces fiers seigneurs, qui l'avaient jadis humilié, à paraître à Versailles et à participer à l'immuable cérémonial de la Cour. Si les nobles voulaient conserver places et pensions, il leur fallait assister au lever du Roi qui, comme le Soleil dispensait la lumière, accordait les grâces et les faveurs dont vivait la noblesse. Tout ce minutieux système, réglé par une étiquette implacable, gravitait autour du Roi, comme les planètes autour du Soleil. Ce n'est donc pas pour rien qu'en 1662, au cours d'un célèbre ballet, Louis XIV, qui se piquait de danser, apparut vêtu en Soleil. Même si le surnom de Roi-Soleil est le plus connu, le souverain en eut d'autres. En raison de sa naissance inespérée, sa mère, Anne d'Autriche n'étant tombée enceinte qu'après plus de 20 ans de mariage, on l'appela Louis "Dieudonné". Quant à son autre surnom de "Louis le Grand", elle s'explique, là encore, par sa prétention à gouverner en Roi absolu. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Depuis son château de Vaux-le-Vicomte, Nicolas Fouquet a marqué de son empreinte le règne de Louis XIV. Dans ce récit inédit, Virginie Girod vous raconte l'ascension et la chute de cet homme influent, qui s'est brûlé les ailes à voler trop près des rayons du Roi-Soleil.Nicolas Fouquet vient d'une famille bourgeoise qui rêve d'ascension sociale, comme le rappelle leur emblème, un écureuil assorti de la devise “Quo non ascendet”, “Jusqu'où ne montera-t-il pas ?”. C'est en tant que procureur au Parlement de Paris que Fouquet se fait remarquer. Lors des troubles de la Fronde, il s'illustre par son soutien infaillible à la famille royale. En 1653, il est nommé Surintendant des Finances par le Cardinal Mazarin. Fouquet est alors l'homme le plus puissant de France après le cardinal. Il a pour mission de renflouer les caisses du Royaume, ruiné par la Fronde et la guerre contre l'Espagne. Grâce à ses relations avec des financiers et son crédit personnel, Fouquet maintient la monarchie hors de la faillite, et en profite pour s'enrichir au passage.A la mort de Mazarin en 1661, la charge de principal ministre est libre. Fouquet va tout faire pour impressionner le jeune souverain et devenir son plus proche conseiller. Dans l'ombre, son rival, Jean-Baptiste Colbert, œuvre à sa chute. Colbert a décidé de faire tomber le surintendant des finances pour malversations financières et met Louis XIV de son côté. Ce dernier est jaloux de Fouquet, trop puissant à son goût. Versé dans la finance, Nicolas Fouquet est aussi un mécène influent, proche de Molière, Corneille, La Fontaine ou encore de la marquise de Sévigné. Le 17 août 1661, Fouquet organise une fête somptueuse dans son domaine de Vaux-Le-Vicomte, qui est alors le plus beau château de France. S'en est trop pour le roi, qui, humilié, est bien décidé à faire tomber son surintendant des finances.C'est le capitaine des mousquetaires en personne qui arrête Fouquet à Nantes en septembre 1661. Après un procès de plus de ans, Nicolas Fouquet est condamné au bannissement hors du royaume de France et à la confiscation de ses biens. Louis XIV commue cette sentence en une peine de prison à perpétuité dans la citadelle de Pignerol, où il serait mort en 1680.Thèmes abordés : Louis XIV, complot, Fronde, Colbert, Vaux le Vicomte 'Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler - Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix- Visuel : Sidonie Mangin
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Depuis son château de Vaux-le-Vicomte, Nicolas Fouquet a marqué de son empreinte le règne de Louis XIV. Dans ce récit inédit, Virginie Girod vous raconte l'ascension et la chute de cet homme influent, qui s'est brûlé les ailes à voler trop près des rayons du Roi-Soleil. Nicolas Fouquet vient d'une famille bourgeoise qui rêve d'ascension sociale, comme le rappelle leur emblème, un écureuil assorti de la devise 'Quo non ascendet', 'Jusqu'où ne montera-t-il pas ?'. C'est en tant que procureur au Parlement de Paris que Fouquet se fait remarquer. Lors des troubles de la Fronde, il s'illustre par son soutien infaillible à la famille royale. En 1653, il est nommé Surintendant des Finances par le Cardinal Mazarin. Fouquet est alors l'homme le plus puissant de France après le cardinal. Il a pour mission de renflouer les caisses du Royaume, ruiné par la Fronde et la guerre contre l'Espagne. Grâce à ses relations avec des financiers et son crédit personnel, Fouquet maintient la monarchie hors de la faillite, et en profite pour s'enrichir au passage. À la mort de Mazarin en 1661, la charge de principal ministre est libre. Fouquet va tout faire pour impressionner le jeune souverain et devenir son plus proche conseiller. Dans l'ombre, son rival, Jean-Baptiste Colbert, œuvre à sa chute. Colbert a décidé de faire tomber le surintendant des finances pour malversations financières et met Louis XIV de son côté. Ce dernier est jaloux de Fouquet, trop puissant à son goût. Versé dans la finance, Nicolas Fouquet est aussi un mécène influent, proche de Molière, Corneille, La Fontaine ou encore de la marquise de Sévigné. Le 17 août 1661, Fouquet organise une fête somptueuse dans son domaine de Vaux-Le-Vicomte, qui est alors le plus beau château de France. S'en est trop pour le roi, qui, humilié, est bien décidé à faire tomber son surintendant des finances. C'est le capitaine des mousquetaires en personne qui arrête Fouquet à Nantes en septembre 1661. Après un procès de plus de ans, Nicolas Fouquet est condamné au bannissement hors du royaume de France et à la confiscation de ses biens. Louis XIV commue cette sentence en une peine de prison à perpétuité dans la citadelle de Pignerol, où il serait mort en 1680. Thèmes abordés : Louis XIV, complot, Fronde, Colbert, Vaux le Vicomte 'Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler - Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix- Visuel : Sidonie Mangin
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Écoutez la deuxième partie de la vraie histoire de D'Artagnan, racontée par Virginie Girod. Venu de Gascogne, ce jeune aristocrate s'impose à Paris comme mousquetaire, corps militaire d'élite au service du roi. C'est un serviteur zélé de Louis XIII, Mazarin puis Louis XIV. Ce dernier décide de refonder la Compagnie des Grands Mousquetaires du roi. D'Artagnan en est le sous-lieutenant, soit le numéro 2 de la Compagnie.Mais dans les faits, c'est bien d'Artagnan qui gère les Mousquetaires. Leur devise n'est pas 'Un pour tous, tous pour un' mais 'Quo ruit et letum'en latin ce qui donne en français : 'où elle tombe, la mort aussi'. Ce 'elle', on comprend de quoi il s'agit en regardant le dessin qui accompagne la devise : c'est un boulet de canon tiré par la compagnie des mousquetaires. En 1659, D'Artagnan se marie avec une veuve richissime, Anne-Charlotte de Chanlecy. Mazarin et Louis XIV en personne assistent à la cérémonie. C'est dire l'estime que le cardinal et le souverain lui portent.Le roi incarne le retour de la paix et de la prospérité. A la mort de Mazarin, Louis XIV amorce son virage absolutiste : il veut gouverner seul. C'est D'Artagnan qui est mandaté pour arrêter et surveiller de près le puissant surintendant des finances Nicolas Fouquet. En 1667, il reçoit enfin sa récompense suprême : il obtient la charge de Capitaine-Lieutenant de la première compagnie des Mousquetaires. D'Artagnan va retrouver le champ de bataille. En 1673, il participe au siège de Maastricht, dans les Pays-Bas actuels. Louis XIV veut agrandir son royaume et faire de la France la première puissance européenne. La ville est prise en deux semaines, mais D'Artagnan y laisse la vie.Vers 1700, un jeune mousquetaire, Gatien de Courtilz de Sandras, prétend écrire une biographie du célèbre capitaine-lieutenant des mousquetaires grâce à ses papiers personnels. En réalité, il n'a aucune archive. A partir de ces mémoires romancées, Alexandre Dumas écrit au XIX siècle sa trilogie sur d'Artagnan : Les trois mousquetaires ; 20 ans après ; et le Vicomte de Bragelonne. La légende du mousquetaire est née.Thèmes abordés : mousquetaires, Louis XIV, Fronde, D'Artagnan 'Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud- Rédaction et diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix - Visuel : Sidonie Mangin
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! La saga cinématographique 'Les Trois Mousquetaires' de Martin Bourboulon, dont le deuxième volet sort en salles le 13 décembre 2023, n'est que la dernière adaptation en date de l'œuvre de Dumas. Ces adaptations ont contribué à faire de D'Artagnan et ses compagnons des personnages de fiction presque légendaires. Mais que connaissez-vous du vrai d'Artagnan, celui qui a commencé sa carrière sous Louis XIII, qui a servi personnellement Louis XIV ? Dans ce récit inédit en deux parties, Virginie Girod vous raconte son histoire !À l'aube du XVIIe siècle, la Gasconne est une région pauvre. Même la noblesse y est modeste. C'est là, dans le château de Castelmore, que le Charles de Batz de Castelmore, le futur D'Artagnan, grandit. Vers l'âge de 18 ans, les garçons de la région montent à Paris pour faire carrière, gagner de l'argent, se couvrir d'honneur et si possible, faire un mariage avantageux. Le jeune Charles rêve de devenir mousquetaire. Fondése par le roi Louis XIII en 1622, les mousquetaires sont un corps militaire d'élite directement au service du roi. Ils tirent leur nom de l'imposante arme à feu qu'ils manient : le mousquet.Charles Batz de Castelmore monte donc à Paris dans le courant des années 1630 pour y rencontrer le capitaine-lieutenant des mousquetaires. Monsieur de Tréville l'envoie d'abord se former chez les cadets. Au bout de quelques années, le petit Gascon réalise enfin son rêve : monsieur de Tréville l'incorpore aux mousquetaires.C'est à cette époque qu'on commence à l'appeler d'Artagnan, nom qui lui vient de la famille de sa mère. Mais il ne rejoindra jamais Athos, Portos et Aramis. Selon les archives, il y aurait bien trois hommes qui répondent à des noms proches de ceux-là mais ils sont bien plus âgés que d'Artagnan. Ce dernier s'impose comme un homme de confiance de la famille royale, qui traverse une période difficile à la mort de Louis XIII. Son fils qui lui succède, le jeune Louis XIV, n'a que 5 ans. La reine Anne d'Autriche prend la régence et s'appuie sur le cardinal de Mazarin pour gouverner. Mais ils doivent bientôt faire face à la Fronde, une rébellion simultanée de la bourgeoisie et de l'aristocratie, qui demandent moins d'impôts et plus de pouvoirs.C'est D'Artagnan qui assure la sécurité du jeune Louis XIV, notamment lors de l'épisode de la nuit des rois, où la famille royale doit fuir Paris pour se réfugier à Saint Germain en Laye. La Fronde est matée en 1653 et l'année suivante, d'Artagnan a le privilège d'assister au sacre de Louis XIV à Reims. Le roi, qui a pu constater la loyauté du Gascon, n'est pas ingrat et s'apprête à remercier d'Artagnan en lui proposant une nouvelle fonction.Thèmes abordés : mousquetaires, Louis XIV, Fronde, D'Artagnan 'Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud- Rédaction et diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix - Visuel : Sidonie Mangin
Christine de Suède a quelque peu bousculé le XVIIème siècle et lorsqu'elle arrive à Paris en 1656, Louis XIV et Mazarin ne sont pas au bout de leurs surprises. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.