Austrian dynastic family
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À l'occasion de la diffusion de la série "Carême", Virginie Girod vous propose de redécouvrir la véritable histoire de l'alliance entre le chef Carême et le diplomate Talleyrand. En 1814, s'ouvre le congrès de Vienne, réunissant les grandes puissances européennes pour réorganiser l'Europe après la chute de Napoléon Ier. Parmi les nombreux plénipotentiaires affluant dans la capitale des Habsbourg, se trouve Charles Maurice de Talleyrand Périgord (1754-1838), représentant de la France. Dans ses valises, il emmène Antonin Carême (1783-1833), le plus grand cuisinier de son temps. Sollicité par de nombreuses têtes couronnés, ce dernier fut surnommé "le roi des chef et le chef des rois".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Turc mécanique est l'une des plus grandes supercheries de l'histoire des automates. Conçu par Wolfgang von Kempelen en 1769, cet automate d'échecs était censé être capable de battre n'importe quel joueur humain. Pendant plus de 80 ans, il a trompé le monde entier, défiant et battant certains des plus grands esprits de l'époque.Une invention pour impressionner l'impératriceWolfgang von Kempelen, un inventeur et fonctionnaire hongrois au service de la cour des Habsbourg, créa le Turc mécanique pour impressionner l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche. Il s'agissait d'un automate en forme de mannequin vêtu à la mode ottomane, assis devant un échiquier. Le Turc portait un turban et une longue robe orientale, d'où son nom.L'appareil était constitué d'un grand meuble en bois avec plusieurs compartiments. Avant chaque démonstration, Kempelen ouvrait les portes pour montrer un mécanisme complexe d'engrenages et de rouages, suggérant que le Turc fonctionnait grâce à une ingénierie avancée.Un automate qui défiait les plus grands joueursLors de ses performances, le Turc mécanique semblait capable de jouer aux échecs avec une intelligence surprenante. Il pouvait déplacer les pièces avec sa main articulée et effectuer des coups brillants. Il était même capable de réagir aux tentatives de triche en remettant correctement les pièces sur l'échiquier.Le Turc connut un immense succès à travers l'Europe. Il affronta de nombreux adversaires prestigieux, dont Benjamin Franklin, le philosophe et scientifique américain, et même Napoléon Bonaparte, qu'il aurait battu en quelques coups.Le secret du Turc mécaniqueEn réalité, le Turc mécanique n'était pas un véritable automate. Un joueur d'échecs humain était caché à l'intérieur du meuble ! Un système ingénieux de faux compartiments permettait à un maître des échecs de se dissimuler et de manipuler les mouvements du Turc grâce à des leviers.Kempelen garda son secret toute sa vie. Après sa mort, l'invention fut vendue à Johann Nepomuk Mälzel, qui continua les démonstrations aux États-Unis jusqu'à ce que le Turc soit détruit dans un incendie en 1854.Une supercherie légendaireLe Turc mécanique reste un symbole de l'illusion et de l'ingéniosité humaine. Il a inspiré des recherches sur les automates et l'intelligence artificielle, et son histoire est encore racontée comme l'un des plus grands mystères de la science et du divertissement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:55:22 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - L'archiduc François-Ferdinand est assassiné le 28 juin 1914 à Sarajevo. Les 2 coups de pistolet tirés par le nationaliste serbe Gavrilo Princip n'ont pas tué seulement l'héritier des Habsbourg et son épouse, mais aussi dix millions d'hommes et de femmes, en déclenchant la Première Guerre mondiale... - invités : Jean Yves LE NAOUR - Jean-Yves Le Naour : Historien, spécialiste de la Première Guerre mondiale, scénariste de bandes dessinées et de films documentaires - réalisé par : Anne WEINFELD
Le Turc mécanique est l'une des plus grandes supercheries de l'histoire des automates. Conçu par Wolfgang von Kempelen en 1769, cet automate d'échecs était censé être capable de battre n'importe quel joueur humain. Pendant plus de 80 ans, il a trompé le monde entier, défiant et battant certains des plus grands esprits de l'époque.Une invention pour impressionner l'impératriceWolfgang von Kempelen, un inventeur et fonctionnaire hongrois au service de la cour des Habsbourg, créa le Turc mécanique pour impressionner l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche. Il s'agissait d'un automate en forme de mannequin vêtu à la mode ottomane, assis devant un échiquier. Le Turc portait un turban et une longue robe orientale, d'où son nom.L'appareil était constitué d'un grand meuble en bois avec plusieurs compartiments. Avant chaque démonstration, Kempelen ouvrait les portes pour montrer un mécanisme complexe d'engrenages et de rouages, suggérant que le Turc fonctionnait grâce à une ingénierie avancée.Un automate qui défiait les plus grands joueursLors de ses performances, le Turc mécanique semblait capable de jouer aux échecs avec une intelligence surprenante. Il pouvait déplacer les pièces avec sa main articulée et effectuer des coups brillants. Il était même capable de réagir aux tentatives de triche en remettant correctement les pièces sur l'échiquier.Le Turc connut un immense succès à travers l'Europe. Il affronta de nombreux adversaires prestigieux, dont Benjamin Franklin, le philosophe et scientifique américain, et même Napoléon Bonaparte, qu'il aurait battu en quelques coups.Le secret du Turc mécaniqueEn réalité, le Turc mécanique n'était pas un véritable automate. Un joueur d'échecs humain était caché à l'intérieur du meuble ! Un système ingénieux de faux compartiments permettait à un maître des échecs de se dissimuler et de manipuler les mouvements du Turc grâce à des leviers.Kempelen garda son secret toute sa vie. Après sa mort, l'invention fut vendue à Johann Nepomuk Mälzel, qui continua les démonstrations aux États-Unis jusqu'à ce que le Turc soit détruit dans un incendie en 1854.Une supercherie légendaireLe Turc mécanique reste un symbole de l'illusion et de l'ingéniosité humaine. Il a inspiré des recherches sur les automates et l'intelligence artificielle, et son histoire est encore racontée comme l'un des plus grands mystères de la science et du divertissement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment défendre nos racines européennes dans un monde en mutation ?Dans cet entretien passionnant, Hélène de Lauzun, journaliste, historienne et spécialiste de l'Autriche, partage son regard unique sur les défis contemporains de l'Europe et du conservatisme. Fondatrice d'un bal viennois à Paris, elle mêle une perspective intellectuelle riche et une vision enracinée, inspirée par les grandes figures historiques comme Marie-Thérèse d'Autriche.
L'histoire de la barbe de François Ier est aussi étonnante qu'inattendue. Si le roi de France est souvent représenté avec une barbe soigneusement taillée, c'est en réalité pour dissimuler une cicatrice au menton, vestige d'un incident marquant de sa vie.En 1521, François Ier est engagé dans un duel amical avec le duc de Bourbon. Lors d'un échange un peu trop vigoureux, l'épée de son adversaire lui entaille profondément le menton. La blessure, bien que non mortelle, laisse une cicatrice visible. Or, à l'époque, l'apparence physique des souverains est d'une grande importance : leur visage reflète leur puissance et leur prestige. François Ier, soucieux de son image, décide alors de porter une barbe pour masquer cette marque indésirable.Ce choix stylistique, dicté par la nécessité, va rapidement devenir une véritable mode. Avant cela, les rois de France étaient plutôt imberbes, suivant l'exemple de Louis XI ou de Charles VIII. Mais en laissant pousser sa barbe, François Ier impose une nouvelle tendance à la cour. Très vite, ses nobles et courtisans adoptent également cette mode, par mimétisme et pour montrer leur fidélité au souverain.Loin d'être un simple effet de mode, la barbe devient un symbole de virilité et d'autorité. Elle confère à François Ier une allure plus imposante, renforçant son image de monarque puissant et charismatique. De plus, elle le distingue nettement de son grand rival, Charles Quint, qui, lui, reste fidèle au visage glabre des Habsbourg.Cette nouvelle mode dépasse même les frontières de la France et influence d'autres monarques européens. Henri VIII d'Angleterre, par exemple, adopte lui aussi la barbe, contribuant ainsi à la diffusion de cette tendance à travers l'Europe du XVIe siècle.Ainsi, ce qui n'était au départ qu'une solution pour cacher une cicatrice est devenu un phénomène esthétique et politique marquant. Loin d'être un simple détail, la barbe de François Ier témoigne de la manière dont un simple événement personnel peut façonner durablement l'histoire de la mode et de la représentation du pouvoir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode revient sur l'histoire de l'invasion française du Mexique dans les années 1860, en compagnie des archéologues Rosario Acosta Nieva et Éric Taladoir. Cette expédition militaire orchestrée par Napoléon III visait à installer un empereur Habsbourg sur le trône mexicain.Découvrez les ambitions géopolitiques de la France, alors que les États-Unis étaient en pleine guerre de Sécession. Apprenez comment Benito Juárez, figure emblématique de la résistance mexicaine, s'est élevé pour faire face à cette ingérence européenne.Explorez les dynamiques entre les jeunes démocraties du Nouveau Monde et les vieilles monarchies européennes, et les conséquences de ce conflit sur les relations franco-mexicaines. Malgré les violences, une fascination mutuelle s'est installée, comme en témoigne l'arrivée du cinéma français au Mexique.Découvrez les batailles emblématiques de Puebla et Camerone, ainsi que les échecs français face à la détermination du peuple mexicain. Comment Napoléon III a-t-il finalement abandonné Maximilien, le souverain qu'il avait convaincu de régner ?Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Nous sommes le 29 janvier 1848. Alexis de Tocqueville, philosophe, voyageur, auteur d'un ouvrage majeur de la pensée politique intitulé « De la démocratie en Amérique », Tocqueville acteur des événements révolutionnaires qui secouent la France et l'Europe à cette époque, s'adresse aux députés. Dans son ouvrage intitulé « Souvenirs », il rapporte son discours. Il dit : « Est-ce que vous ne ressentez pas, par une sorte d'intuition instinctive qui ne peut pas s'analyser, mais qui est certaine, que le sol tremble de nouveau en Europe ? Est-ce que vous ne sentez pas… que dirais-je ?… un vent de révolution qui est dans l'air ? (…) ma conviction profonde et arrêtée, c'est que les mœurs publiques se dégradent ; c'est que la dégradation des mœurs publiques vous amènera dans un temps court, prochain peut-être, à des révolutions nouvelles. Est-ce donc que la vie des rois tient à des fils plus fermes et plus difficiles à briser que celle des autres hommes ? » En février 1848, en effet, une révolution chasse Louis-Philippe du trône de France. Dans la foulée, les autres monarchies européennes vacillent. C'est ce que l'on appelle le « printemps des peuples » qui s'étend de l'Allemagne à l'Italie, en passant par l'empire des Habsbourg. Au milieu de la tourmente, la Belgique, indépendante depuis seulement dix-huit ans, reste un pays en paix, avec une constitution libérale et quelques réformes sociales inédites. Le premier roi des Belges a-t-il jouer un rôle déterminant ? Léopold Ier a-t-il évité l'annexion à la France ? Comment la Belgique a-t-elle gardé le cap dans un océan de tempêtes ? Avec nous : François Roelants du Vivier, ancien député européen, député bruxellois et sénateur. « L'année du roi, 1848 – Léopold Ier, l'apogée d'un règne » ; éd.Mols Sujets traités : Léopold 1er, Alexis de Tocqueville, révolution, Louis-Philippe, trône, monarchie, Belgique, roi Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Aux 16e et 17e siècles, les Pays-Bas méridionaux font partie d'un ensemble politique planétaire, celui de la couronne d'Espagne et de l'Empire habsbourgeois, de Bruxelles à Lima en passant par Madrid. Une puissante zone tampon entre les royaumes de France et d'Angleterre et, à partir de 1581, les Provinces Unies. Quels sont les mécanismes de définition des individus dans cet espace frontalier original et mouvant au gré des conflits, relevant de l'empire mondial et composite des Habsbourg, à la croisée des tensions confessionnelles et internationales des XVIe et XVIIe siècles ? Réponse avec Marie Kervyn, professeur d'Histoire Moderne à l'ULB Sujets traités : Alexandre Le Grand, Perse, Babylone, cité Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Nous sommes dans les premières années du XXe siècle, à Vienne. C'est la capitale de l'Autriche-Hongrie et de son empereur, François-Joseph, un Habsbourg. À l'époque, cette ville traversée par le Danube est un petit New York. Il y a 12 nationalités différentes dans l'Empire austro-hongrois dans les années 1900 et elles sont toutes représentées dans la capitale. Vienne est une cité cosmopolite, moderne, un haut lieu de la vie musicale et intellectuelle.Dans ce nouvel épisode du Moment Histoire, Guillaume Perrault, rédacteur en chef au Figaro, vous plonge dans l'atmosphère du Vienne du début du XXe siècle et son célèbre Café Central !Vous pouvez retrouver le Moment Histoire sur Apple Podcast, Spotify, Deezer, Amazon Music et toutes les plateformes d'écoutes.Montage : Antoine Lion-RantyHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en janvier 1777. Dans un mémoire ayant pour objet l'obtention de lettres noblesses, rédigé à l'initiative de Dominique de Lesseps, diplomate, au service de la France, en poste à Bruxelles, on peut lire : « On peut juger (…) d'après la guerre survenue contre l'Angleterre et le roi de Prusse (…) ce qu'a dû mettre d'activité et de zèle le sieur Lesseps pendant treize années d'une telle surcharge d'affaires politiques et militaires, et dans un pays intermédiaire comme Bruxelles, qui était l'entrepôt des correspondances les plus intéressantes au service du roi, ainsi que de l'approvisionnement et du passage presque continu des armées de sa Majesté. » Sous l'Ancien Régime, la Belgique (moins la principauté de Liège) fait partie de l'Empire des Habsbourg, sur un territoire qu'on appelle alors les Pays-Bas, et qui subit de plein fouet la rivalité entre les Bourbons de France et la Maison d'Autriche. La situation change en 1756 lorsque Louis XV et Marie-Thérèse décident de s'allier. Cette entente est une véritable « révolution diplomatique » tant elle renverse l'équilibre européen et ouvre une période de paix qui va durer une cinquantaine d'années et dont le succès dépend beaucoup des diplomates envoyés par la France à Bruxelles. Qu'est-ce qu'un diplomate à Bruxelles au XVIIIe siècle ? Quelles sont ses missions ? A quoi ressemblent ses réseaux d'information ? A-t-il des espions à sa solde ? Comment s'insère-t-il dans le tissu sociale et culturelle ? Bruxelles est-elle aussi attrayante que Londres ou Rome ? Quel langage vont-ils utiliser, inventer pour construire la paix ? Avec nous : Jean-Charles Speeckaert, historien moderniste, titulaire d'un doctorat de Sorbonne Université et de l'Université libre de Bruxelles. « Un ballet diplomatique au service de la paix – Les ministres de France à Bruxelles dans la seconde moitié du XVIIIe siècle » ; Sorbonne Université Presses. Sujets traités : Dominique de Lesseps, Versailles, Roi, Ancien Régime, Habsbourg, Louis XV, Marie-Thérèse, révolution, diplomate, paix Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Virginie Girod raconte le congrès de Vienne, marqué par l'alliance entre un diplomate et un cuisinier entrés dans l'Histoire.En novembre 1814 s'ouvre à Vienne, en Autriche, un congrès réunissant les grandes puissances européennes afin de réorganiser l'Europe après la chute de Napoléon Bonaparte. Parmi les nombreux plénipotentiaires affluant dans la capitale des Habsbourg, se trouve Charles Maurice de Talleyrand Périgord (1754-1838), représentant de la France. Dans ses valises, il emmène Antonin Carême (1783-1833), le plus grand cuisinier de son temps. Sollicité par de nombreuses têtes couronnés, ce dernier fut surnommé "le roi des chef et le chef des rois".A Vienne, le diplomate et le chef subjuguent les officiels de tous bords, organisant des dîners de légende dans le palais de Kaunitz. Alors que les papilles se délectent, les langues se délient... Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation et écriture : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition du générique : Julien Tharaud- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie :Marie-Pierre Rey, Le premier des chefs. L'exceptionnel destin d'Antonin Carême, Flammarion, 2021 Ressources en ligne :Le Congrès de Vienne et le nouveau visage de l'Europe après Napoléon Ier - Site de la Fondation Napoléon Dans les pas d'Antonin Carême - Le blog Gallica Le Congrès de Vienne - Napoleonica® la chaîne, de la Fondation Napoléon Talleyrand au Congrès de Vienne - Revue des Deux Mondes Sources :La pâtissier royal parisien - Antonin Carême
Nous sommes le 5 janvier 1515, en la grande salle du palais du Coudenberg à Bruxelles. Charles de Habsbourg atteint sa majorité politique et devient pleinement souverain des Anciens Pays-Bas. Son ascension sera fulgurante, son envergure continentale. De quelle manière les contemporains du futur Charles Quint ont-ils rendu compte de ce parcours hors normes ? Pour le comprendre, nous allons nous plonger dans l'œuvre d'un certain Rémi Dupuis, le dernier « indiciaire de Bourgogne », une sorte de super chroniqueur. Il est le témoin privilégié du passage de la dynastie de Bourgogne-Habsbourg à une échelle de pouvoir plus grande encore. Rémi Dupuis commente autant qu'il « fictionnalise » l'avènement de Charles, les funérailles de son grand-père Ferdinand d'Aragon et le premier voyage du monarque dans ses royaumes ibériques. Peut-on parler de communication politique ? Avec nous : Jonathan Dumont (Université de Liège). « Ecrire un avènement – Charles de Habsbourg dans l'œuvre de l'indiciaire Rémi Dupuis » ; Droz. Sujets traités : Charles de Habsbourg, Coudenberg, Charles Quint, Pays-Ba, Rémi Dupuis, Bourgogne, erdinand d'Aragon Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Elevée, comme toutes les infantes d'Espagne au XVIIe siècle, dans la rigide étiquette Habsbourg, Marie-Thérèse, épouse de Louis XIV, doit composer avec les moeurs nettement plus flottantes de la cour de France.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Journée mondiale des Pauvres, en réponse à l'exhortation du Pape François de bâtir une Eglise pour et avec les pauvres et rendez-vous incontournable depuis 9 ans, aura lieu ce 17 novembre partout en France. A cette occasion, témoignez ce soir de vos engagements auprès des plus démunis. Que faites-vous pour les pauvres autour de vous ? Pour participer, appelez au 01 56 56 44 00. Avec Joseph de Habsbourg, chargé de projets au sein de l'équipe Fratello et deux colocataires à l'APA (Association Pour l'Amitié). Ecoute dans la Nuit, c'est votre émission de libre antenne du lundi au vendredi, de 21 heures à 22 heures 30. 90 minutes de partage, d'échanges et de confidences.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes au milieu du dix-neuvième siècle. Dans un ouvrage consacré à Philippe de Marnix, baron de Sainte-Aldegonde, un héros de l'histoire de nos régions, au temps des Pays-Bas sous les Habsbourg, l'écrivain, historien et homme politique français Edgar Quinet écrit : « Les peuples ont leurs moments de lâcheté ou de stupeur; ni les paroles ni les actions n'ont plus de prise sur eux, et tout serait perdu si le salut devait venir de l'élan de la conscience publique. Attendre que les masses se réveillent d'elles-mêmes, ce serait attendre l'impossible: mais alors il y a des individus qui veillent pour tout un peuple, et c'est pour ces temps-là que les héros sont faits; en se conservant intacts, ils parviennent à ranimer les autres. » Dans un autre livre consacré à la Révolution de 1789, le républicain anticlérical écrit : « S'il est difficile d'empêcher de penser les peuples qui y sont accoutumés, il est cent fois plus difficile de forcer à penser ceux qui l'ont oublié ou désappris. » Alors, qui était Edgar Quinet ? Pour beaucoup : un inclassable à l'instar de Montaigne, Pascal ou Jean-Jacques Rousseau. S'il a donné son nom à des rues et à des écoles de la IIIe République, il est depuis bien oublié. Il fut pourtant l'un des maîtres de la jeunesse des années 1840 celle qui allait faire la révolution de 1848. « Ne faites pas au monde l'extrême plaisir de lui demander l'impossible pour qu'il s'autorise à vous refuser le nécessaire », alertait-il encore. Éclairons-nous au lumières d'Edgar Quinet… Invité : Vincent Genin, docteur en histoire, chercheur à l'Ecole pratique des Hautes études de Paris. Sujets traités : Edgar Quinet, Habsbourg, révolution, Montaigne, Pascal, Jean-Jacques Rousseau, IIIe République Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Pour lutter contre son parrain le roi Louis XI, Marie scelle une alliance avec l'Empire des Habsbourg en épousant Maximilien d'Autriche. Si leur mariage est d'abord une union de raison, l'amour s'installe progressivement, et une véritable complicité naît entre eux. "Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Juliette Guerin.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Camille Legras
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
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Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
Pour écouter l'émission en entier et sans pub, c'est ici : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
Pour écouter l'émission en entier et sans pub, c'est ici : https://m.audiomeans.fr/s/P-icMGxvaX La Guerre de Trente Ans (1618-1648) aura été un conflit complexe et dévastateur impliquant la plupart des grandes puissances européennes de l'époque. Commencée principalement comme une guerre religieuse entre les protestants et les catholiques dans le Saint-Empire romain germanique, elle a évolué rapidement en une lutte de pouvoir politique plus large impliquant divers États européens. Les origines du conflit remontent à la tension croissante entre les princes protestants et l'empereur catholique du Saint-Empire. La Défenestration de Prague en 1618, où des représentants impériaux furent jetés par une fenêtre par des nobles protestants, est souvent citée comme le déclencheur immédiat de la guerre. Cette action provoqua une rébellion en Bohême qui s'étendit rapidement. La guerre s'est divisée en plusieurs phases distinctes. La phase bohémienne-palatine (1618-1625) vit la défaite des forces protestantes bohémiennes par les armées impériales et catholiques. La phase danoise (1625-1629) commença lorsque le roi protestant Christian IV de Danemark intervint, mais fut également vaincue par les forces impériales dirigées par le général Albrecht von Wallenstein. La phase suédoise (1630-1635) fut marquée par l'intervention du roi protestant Gustave II Adolphe de Suède, qui remporta plusieurs victoires importantes avant de mourir au combat en 1632. La phase française (1635-1648) vit la France catholique, sous Richelieu puis Mazarin, entrer en guerre contre les Habsbourg pour affaiblir la puissance impériale, malgré l'opposition religieuse apparente. Le conflit dévasta une grande partie de l'Europe centrale, particulièrement les territoires allemands du Saint-Empire, où des villes entières furent détruites et des populations massacrées. La guerre causa la mort de millions de personnes, en grande partie en raison des combats, des famines et des épidémies qu'elle provoqua. Le traité de Westphalie, signé en 1648, mit fin à la guerre. Il restructura profondément la carte politique et religieuse de l'Europe. La paix de Westphalie établit un nouveau cadre pour les relations internationales basé sur la souveraineté des États et la reconnaissance mutuelle. Les termes du traité affaiblirent significativement le pouvoir de l'empereur du Saint-Empire et confirmèrent la souveraineté des princes allemands, permettant ainsi à la France et à la Suède de devenir des puissances dominantes en Europe. La Guerre de Trente Ans laissa une empreinte durable sur l'Europe, à la fois en termes de destruction matérielle et de changements politiques et sociaux. Elle est souvent vue comme la fin des guerres de religion en Europe et le début d'une nouvelle ère de conflits principalement politiques et territoriaux. C'est sur cet épisode de notre Histoire européenne que nous revenons, en compagnie de Claire Gantet, historienne et grande spécialiste du sujet, venue spécialement démêler pour nous cette période agitée. En fin d'émission, pour les abonnés Premium, quelques minutes d'actualité historique, concernant une découverte récente.
Seconde épouse de François Ier, la reine Éléonore de Habsbourg est presque rayée de l'Histoire de France dès la mort du monarque : on ne lui pardonne pas d'être la soeur chérie du plus grand adversaire du royaume à l'époque : Charles Quint. Et pourtant ! Quelle femme admirable, quelle souveraine digne d'occuper le trône de France ! En plus de jouer le rôle d'une mère de substitution pour les enfants de son époux, elle se révèle une mécène avisée et une grande diplomate oeuvrant toujours pour la paix : une grande dame à laquelle j'ai souhaité rendre justice.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en septembre 1634, dans la ville de Kirchberg an der Jagst, au sud de l'Allemagne. Les 5 et 6 du mois, à une septantaine de kilomètres, a eu lieu la bataille de Nördlingen. Cette bataille constitue le premier revers des Suédois face au Saint-Empire, dans ce qu'on appellera la guerre de Trente Ans. Dans son journal intime, le cordonnier Hans Heberle qui, comme tant d'autres a du fuir face à la violence des combats, note : « Il y a un désespoir et une misère, la disette et la mort. Nous sommes allongés les uns sur les autres dans un état lamentable. En plus, les prix augmentent et la disette se développe parmi nous, et après la mauvaise maladie, la pestilence. Plusieurs centaines de personnes meurent durant cette année. » Entre 1618 et 1648, l'Europe est ravagée par une série de conflits qui impliquent les Habsbourg de Vienne et d'Espagne, des princes du Saint-Empire, la papauté, le Danemark, l'Angleterre, la Suède, la France. Durant trois décennies, dévastations et pillages se multiplient aggravés par les épidémies. 15 à 20 % de la population du Saint-Empire auraient été décimés. La paix reviendra avec les traités de Westphalie qui seront les bases d'un nouveau système international en redéfinissant les relations entre puissances européennes jusqu'aux guerres du XXe siècle. Les enseignements de la guerre de Trente ans ont-ils été vains ? Avec nous : Claire Gantet, professeure d'histoire moderne à l'Université de Fribourg et présidente de la Société suisse pour l'étude du XVIIIe siècle. « La Guerre de Trente ans » éditions Tallandier. Sujets traités : Allemagne, Saint-Empire, guerre, Trente Ans, Habsbourg ,Vienne , Espagne, papauté,Danemark, Angleterre, Suède, France, traités, Westphalie, paix Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Éléonore de Habsbourg. Un nom mystérieusement oublié, un règne rayé de l'histoire. Je vous emmène à la découverte du destin extraordinaire de cette femme qui mérite qu'on lui rende ses lettres de noblesse. Bénéficiant d'une éducation humaniste, Éléonore est la descendante d'une dynastie surpuissante en Europe. Petite-fille d'empereur, soeur d'empereur, elle sert la politique de sa famille (celle de Charles Quint) et embrasse chacun de ses rôles avec finesse et intelligence : d'abord reine de Portugal en 1518, elle devient reine de France en épousant le roi François Ier en 1526. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoire Vivante s'intéresse à notre rapport à l'argent, en avoir ou pas, ses usages, sa matérialité. Dans ce premier épisode, nous commençons ici, en Suisse. Au Moyen-âge, les cantons situés au cœur de ce qui allait devenir la Suisse occupent une place stratégique en Europe, au croisement des voies commerciales et militaires. Une position très appréciée par les grandes puissances voisines : Le Saint Empire Germanique, les Habsbourg, la France, la Bourgogne, L'Espagne, les Pays-Bas. Une position qui en rapporte, de l'argent. On commence au XVème siècle, pour comprendre qui en a justement de l'argent à cet endroit et à cette époque-là, parce que les choses s'apprêtent à changer… Explications de l'historien André Holenstein qui a consacré un ouvrage à ces rapports complexes entre les cantons suisses et les grandes puissances européennes dont la traduction française « Au coeur de l'Europe, une histoire de la suisse entre ouverture et repli » publié par les éditions Antipodes. Un entretien d'Etienne Duval.
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! L'héritage de Vauban est monumental. Mais que connaissez-vous de la vie de l'ingénieur militaire qui a conçu toutes ces fortifications le long des frontières françaises ? Dans un récit inédit en deux parties, Virginie Girod vous plonge au cœur des batailles du XVIIIe siècle, à la rencontre du marquis de Vauban ! Sébastien Le Prestre de Vauban voit le jour dans la petite noblesse du Morvan en 1633, sous le règne de Louis XIII. Dix ans plus tard, Louis XIV lui succède. Le nouveau souverain doit bientôt affronter la Fronde, une révolte du Parlement et d'une partie de la haute noblesse. C'est au service du principal ennemi du roi de France, le Prince de Condé, que Vauban commence sa carrière militaire. Sur le champ de bataille, il se distingue pour sa bravoure : au siège de Sainte-Ménéhould, il va jusqu'à traverser une rivière à la nage, sous le feu des troupes royales ennemies ! Fait prisonnier, Vauban fait la rencontre du cardinal de Mazarin, premier ministre de Louis XIV. Alors que la Fronde s'achève, Vauban bascule au service du roi de France, et y restera toute sa vie. Homme de combat, féru de mathématiques et de dessin, il se spécialise dans la poliorcétique : l'art du siège. Son talent lui vaut d'être remarqué par le jeune Louis XIV qui le recrute pour mener le siège de Montmédy en 1657. La prise de la ville, qui aurait dû être une formalité, se transforme en un bain de sang de 46 jours. Vauban est le seul ingénieur survivant. Des victoires au prix de nombreuses vies humaines, il n'en veut plus. Convaincu qu'avec une approche plus rationnelle, le siège aurait pu être plus court et moins sanglant, sa vision est néanmoins à rebours de l'idéal chevaleresque qui méprise la mort. La paix ne dure jamais longtemps avec Louis XIV, qui entre en conflit avec les Habsbourg. Vauban va pouvoir révolutionner l'art de la guerre. Thèmes abordés : guerre de siège, Vauban, fortifications, Louis XIV "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier et Camille Bichler- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
Le 30 janvier 1869 à Mayerling, en Autriche, a lieu un drame qui va beaucoup inspirer la littérature et le cinéma. Ce jour là, deux coups de feu retentissent dans un pavillon de chasse. On retrouve les corps sans vie de l'archiduc Rodolphe de Habsbourg et de sa jeune maîtresse, Marie Vetsera. C'est un coup de tonnerre. Rodolphe était l'avenir de l'empire, l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie, le seul fils de François Joseph et de son épouse Elisabeth, qui n'est autre que Sissi. Mais que s'est-il passé ? Du lundi au vendredi, Lorànt Deutsch vous donne rendez-vous dans la matinale de RTL. Chaque jour, l'animateur de "Entrez dans l'histoire" revient sur ces grands moments qui ont façonné notre pays.
Né en 1500, Charles de Habsbourg avait de bonnes chances de régner sur le Saint-Empire germanique. Mais voilà : l'Espagne est aussi tombée dans son escarcelle. Sur son empire, le soleil ne se couchait jamais… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Cette semaine, Histoire Vivante sʹintéresse à notre rapport à lʹargent, en avoir ou pas, ses usages, sa matérialité. Dans ce premier épisode, nous commençons ici, en Suisse. Au Moyen-âge, les cantons situés au cœur de ce qui allait devenir la Suisse occupent une place stratégique en Europe, au croisement des voies commerciales et militaires. Une position très appréciée par les grandes puissances voisines : Le Saint Empire Germanique, les Habsbourg, la France, la Bourgogne, L'Espagne, les Pays-Bas. Une position qui en rapporte, de lʹargent. On commence au XVème siècle, pour comprendre qui en a justement de lʹargent à cet endroit et à cette époque-là, parce que les choses sʹapprêtent à changer… explications de l'historien André Holenstein qui a consacré un ouvrage à ces rapports complexes entre les cantons suisses et les grandes puissances européennes dont la traduction française " Au coeur de lʹEurope, une histoire de la suisse entre ouverture et repli " publié par les éditions Antipodes. Un entretien dʹEtienne Duval.
Stéphane Bern raconte un événement dramatique survenu à Mayerling en Autriche, lorsque l'archiduc héritier Rodolphe, fils de l'empereur François-Joseph Ier d'Autriche et de l'impératrice Sissi, a été retrouvé mort dans son lit en compagnie de sa maîtresse. Ou la véritable histoire du drame de Mayerling.Que s'est-il réellement passé dans le pavillon de chasse de Mayerling cette nuit de janvier 1889 ? Est-ce un suicide ou un complot ? Qui a bien pu vouloir la peau du jeune Rodolphe de Habsbourg ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit le journaliste et écrivain François Varay, auteur de “Mayerling, la vérité révélée” (Editions Michel de Maule)
Stéphane Bern, s'amuse avec l'Histoire – la grande, la petite, la moyenne… - et retrace les destins extraordinaires de personnalités qui n'auraient jamais pu se croiser, pour deux heures où le savoir et l'humour avancent main dans la main. Aujourd'hui, la mort de l'archiduc Rodolphe, l'héritier et le fils de l'empereur François-Joseph Ier d'Autriche et de l'impératrice Sissi dans ce que l'on retient avec le nom de drame de Mayerling.
Découvrez le destin d'Anne d'Autriche, mère du Roi Soleil, raconté par l'historienne Virginie Girod dans un récit inédit en deux parties. Anne d'Autriche descend de la lignée des Habsbourg d'Espagne. La jeune fille grandit dans l'optique de représenter son pays dans une cour étrangère, lorsqu'elle se mariera. Et justement, il est décidé qu'Anne sera mariée au premier fils d'Henri IV, le futur Louis XIII. A seulement 13 ans, la jeune fille rejoint la cour de France. Mais c'est une désillusion pour elle. Anne sent qu'elle n'a aucune influence sur son mari, et ce dernier la délaisse. Alors que le rôle principal d'une souveraine est de donner naissance à un héritier, le mariage d'Anne d'Autriche et de Louis XIII reste stérile. Au sein de la cour, manipulation et complot politique vont bon train. Malgré elle, Anne d'Autriche est victime de l'un d'eux, ce qui la fragilise grandement au sein de la cour.Sujets abordés : Royaume - Reine - Complot - Mariage - Louis XIII "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio. Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler (avec Florine Silvant)- Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Visuel : Sidonie Mangin
durée : 00:59:34 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Voyage dans le monde d'hier pour réfléchir au monde de demain... Quelles leçons l'Union européenne peut-elle tirer de la fin de l'Empire austro-hongrois ? - invités : Caroline de Gruyter journaliste et politologue néerlandaise
Après deux ans de pandémie, les Viennois sont heureux de retrouver les bals qui animent, chaque hiver, la capitale autrichienne. Chaque corporation ou association a son propre bal. Vous pouvez ainsi vous rendre au bal des cafetiers, à celui de la communauté LGBT ou encore au bal des chasseurs. Une tradition bien vivante qui alimente toute une économie. Chaque·hiver,·plus·de·450·bals·se·tiennent·dans·la·capitale·autrichienne.·Une·tradition·qui·remonte·au·XVIIIe·siècle,·lorsque·les·bals·de·Cour·des·Habsbourg·ne·se·sont·plus·limités·uniquement·à·l'aristocratie,·mais·se·sont·ouverts·au·reste·de·la·société·viennoise.·Le·rituel·est·depuis·inchangé,·à·commencer·par·l'ouverture·du·bal,·confiée·à·de·jeunes·couples·qu'on·appelle·les·débutants.␣¶ Ce·soir,·les·débutants·ouvrent·le·bal·des·confiseurs,·sous·le·regard·attentif·des·quelque·3·000·convives.·Après·leur·prestation,·Sara·et·Robert,·deux·jeunes·étudiants,·sont·soulagés.·«␣Tout·s'est·très·bien·passé,·explique·Sara.␣Maintenant·je·vais·profiter·de·cette·occasion·pour·danser·et·m'amuser·avec·mes·amis␣!␣»·«␣Nous·avons·déjà·beaucoup·d'expérience,·car·nous·prenons·des·cours·de·danse·depuis·six·ans,·ajoute·Robert.·Quand·on·vit·à·Vienne,·c'est·presque·un·devoir·de·participer·à·un·bal·et·de·faire·vivre·cette·tradition␣!·Et·c'est·amusant·de·ne·pas·le·faire·qu'une·seule·fois,·mais,·au·contraire,·de·revenir·chaque·année␣!␣»¶ «␣C'est·quelque·chose·qu'il·faut·voir·une·fois·dans·sa·vie␣» Le·signal·est·enfin·donné·pour·l'ensemble·des·convives·qui·peuvent,·à·leur·tour,·rejoindre·la·piste·pour·plusieurs·heures·de·danse.·D'autres·préfèrent·se·promener·dans·les·allées·du·palais·impérial·de·la·Hofburg,·à·l'instar·de·Franziska,·une·jeune·Autrichienne·dont·c'est·le·premier·bal.¶ «␣Tout·est·élégant·et·somptueux·dans·ce·bâtiment·historique,·où·se·déroule·le·bal,·comme·à·l'époque·de·l'empereur.·Dans·les·bals·viennois,·on·danse,·on·boit·et·surtout·on·s'amuse␣!·C'est·quelque·chose·qu'il·faut·voir·une·fois·dans·sa·vie,·s'enthousiasme·Franziska.·Bien·sûr,·on·rencontre·ici·des·personnes·éminentes,·si·on·peut·dire,·mais·pas·que␣!·Tous·ceux·qui·s'intéressent·aux·bals·et·veulent·en·faire·l'expérience·peuvent·venir.␣»¶ Il·y·a·en·effet,·d'autres·salles·dans·le·palais·qui·jouent·des·styles·de·musique·plus·contemporaine·et·accueilleront·les·danseurs·jusqu'à·cinq·heures·du·matin.·Un·mélange·des·genres·qui·plait·à·Caroline,·une·Suissesse·installée·à·Vienne.¶ De·l'hôtellerie·aux·couturiers,·la·saison·des·bals·fait·vivre·toute·une·économie.·La·chambre·de·commerce·s'attend·à·170␣millions·d'euros·de·recettes·cette·saison,·un·record.¶
Historiquement Vôtre réunit des princes pas vraiment charmants : le prince Rodolphe de Habsbourg, le fils de Sissi (oui oui…) à qui on a prêté bien des faiblesses. Un prince retrouvé mort dans son lit au côté de sa maîtresse. Qui l'a tué ? Pendant près de 150 ans, l'Histoire a cherché. Et a priori, désormais - grâce à un livre qui révèle le secret, on sait… Puis on sait aussi que lui avait la pire des réputations : le prince et futur roi Louis XI qui, avant d'être un souverain détestable, a été un prince ingérable, prêt au pire pour remplacer au plus vite son père Charles VII sur le trône de France. Et un prince saoudien qui n'était en réalité ni prince, ni saoudien, mais un escroc qui l'a longtemps fait croire (et beaucoup l'ont cru!) : Anthony Gignac.
Stéphane Bern, entouré de ses chroniqueurs historiquement drôles et parfaitement informés, s'amuse avec l'Histoire – la grande, la petite, la moyenne… - et retrace les destins extraordinaires de personnalités qui n'auraient jamais pu se croiser, pour deux heures où le savoir et l'humour avancent main dans la main. Aujourd'hui, Rodolphe de Habsbourg.
A priori, rien ne prédestinait l'archiduc Maximilien de Habsbourg et sa charmante épouse, Charlotte de Belgique, à régner. Et pourtant, les subtils jeux de la diplomatie européenne vont les hisser jusqu'à un trône, et quel trône : celui du Mexique ! Situation flatteuse en apparence, en réalité dangereuse… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Dans Historiquement Vôtre, Clémentine Portier-Kaltenbach vous raconte le destin tragique d'un prince de la maison Habsbourg. Premier fils du roi d'Espagne Philippe II, Don Carlos (1545-1568) souffre de nombreuses affections physiques et psychologiques dûes à la consanguinité entre les Habsbourg. Jeune garçon, il torture des animaux et se montre cruel envers ses valets avant de sombrer dans la démence. Impuissant, Philippe II se résout à rayer son fils de sa succession. Don Carlos est fait prisonnier d'état et meurt seul et oublié de tous à l'âge de 23 ans.
Entre François Ier et Soliman le Magnifique se dresse l'immense empire des Habsbourg dirigé par Charles Quint. L'empereur et roi régnait sur l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Espagne. Mais saviez-vous qu'il formait le rêve d'un Empire universel, un Empire romain ressuscité ? Un rêve qui pourrait bien devenir réalité si la France devait s'effondrer face à la puissance militaire ennemie. Et voici qu'à la bataille de Pavie, en 1525, le drame se produit : François Ier est fait prisonnier par Charles Quint à l'issue d'une défaite cinglante pour les Français. La mère du roi de France, Louise de Savoie, devient alors régente et elle a une idée : demander l'aide de Soliman. Ecoutez Entrez dans l'Histoire avec Lorànt Deutsch du 17 décembre 2022
Le damier est le blason qui figure sur le drapeau bleu-blanc-rouge de la Croatie. Treize carreaux rouges et douze blancs, symbolisant les armoiries historiques de cet état indépendant depuis seulement 31 ans. À la fin du 15ᵉ siècle, la Croatie passe sous le contrôle de la monarchie des Habsbourg et dépend donc du royaume d'Autriche, dont le drapeau est rouge et blanc. Tous les jours à 8h35 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée au foot.
Pour découvrir le podcast "Dodo, sons de la nature et bruit blanc":Apple Podcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/dodo/id1609342835Spotify:https://open.spotify.com/show/5Y9yr2NlSPEX7mPbNiEWIfDeezer:https://deezer.page.link/v9kNaNjzDEjE1jfq9Google Podcast:https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5hY2FzdC5jb20vcHVibGljL3Nob3dzL2RvZG8tZGVzLW1vdHMtcG91ci1zZW5kb3JtaXI?ep=14-------------------------------------------En France, comme ailleurs, les services postaux ont leurs particularités. Ainsi, il est recommandé de mettre une adresse à l'intérieur des colis. Par ailleurs, le jaune, qui est la couleur de la Poste, a sa petite histoire.Une précaution supplémentaireQuand vous adressez un colis à quelqu'un, vous indiquez sur le paquet l'adresse de votre destinataire. Mais la Poste vous recommande de mettre aussi cette adresse à l'intérieur du colis.En effet, l'adresse extérieure peut s'effacer ou, si vous l'avez collée sur le paquet, sous forme d'autocollants, elle peut se détacher. Dans ce cas, le colis sera dirigé sur la ville de Libourne.C'est là, en effet, qu'aboutissent les paquets sans adresse visible, mal emballés ou dont le destinataire n'habite pas à l'endroit indiquée. Dans ce service, les employés sont habilités à ouvrir les colis.S'ils trouvent l'adresse du destinataire à l'intérieur, ou tout autre indice qui permettrait de le retrouver, le paquet sera expédié au bon endroit. Mais, dans le cas contraire, le contenu du colis sera mis en vente au cours d'enchères organisées par les services postaux.Et les colis vendus de la sorte ne sont pas rares, car, sur 470 millions de colis expédiés chaque année, environ 750.000 ne parviennent pas à leur destinataire.Pour éviter les accidentsLes véhicules de la Poste qui acheminent ces colis, avec ou sans une adresse à l'intérieur, sont d'un jaune éclatant. Mais il n'en a pas toujours été ainsi. Jusqu'en 1962, en effet, les véhicules postaux étaient plutôt gris ou bleus.Mais, à cette date, le jaune s'impose. Comme d'ailleurs en Espagne ou en Grèce. Cette couleur était déjà celle du premier véritable service postal européen, qui fonctionna, à partir de la fin du XVe siècle, dans l'Empire des Habsbourg.Mais si cette couleur éclatante a été adoptée, c'est avant tout pour des raisons de sécurité. En effet, les voitures grises ou bleues de la Poste ne se distinguaient pas très bien par mauvais temps et elles furent impliquées dans plusieurs accidents. Pour éviter cet inconvénient, un jaune vif fut spécialement créé pour la Poste. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour découvrir le podcast "Dodo, sons de la nature et bruit blanc": Apple Podcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/dodo/id1609342835 Spotify: https://open.spotify.com/show/5Y9yr2NlSPEX7mPbNiEWIf Deezer: https://deezer.page.link/v9kNaNjzDEjE1jfq9 Google Podcast: https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5hY2FzdC5jb20vcHVibGljL3Nob3dzL2RvZG8tZGVzLW1vdHMtcG91ci1zZW5kb3JtaXI?ep=14 ------------------------------------------- En France, comme ailleurs, les services postaux ont leurs particularités. Ainsi, il est recommandé de mettre une adresse à l'intérieur des colis. Par ailleurs, le jaune, qui est la couleur de la Poste, a sa petite histoire. Une précaution supplémentaire Quand vous adressez un colis à quelqu'un, vous indiquez sur le paquet l'adresse de votre destinataire. Mais la Poste vous recommande de mettre aussi cette adresse à l'intérieur du colis. En effet, l'adresse extérieure peut s'effacer ou, si vous l'avez collée sur le paquet, sous forme d'autocollants, elle peut se détacher. Dans ce cas, le colis sera dirigé sur la ville de Libourne. C'est là, en effet, qu'aboutissent les paquets sans adresse visible, mal emballés ou dont le destinataire n'habite pas à l'endroit indiquée. Dans ce service, les employés sont habilités à ouvrir les colis. S'ils trouvent l'adresse du destinataire à l'intérieur, ou tout autre indice qui permettrait de le retrouver, le paquet sera expédié au bon endroit. Mais, dans le cas contraire, le contenu du colis sera mis en vente au cours d'enchères organisées par les services postaux. Et les colis vendus de la sorte ne sont pas rares, car, sur 470 millions de colis expédiés chaque année, environ 750.000 ne parviennent pas à leur destinataire. Pour éviter les accidents Les véhicules de la Poste qui acheminent ces colis, avec ou sans une adresse à l'intérieur, sont d'un jaune éclatant. Mais il n'en a pas toujours été ainsi. Jusqu'en 1962, en effet, les véhicules postaux étaient plutôt gris ou bleus. Mais, à cette date, le jaune s'impose. Comme d'ailleurs en Espagne ou en Grèce. Cette couleur était déjà celle du premier véritable service postal européen, qui fonctionna, à partir de la fin du XVe siècle, dans l'Empire des Habsbourg. Mais si cette couleur éclatante a été adoptée, c'est avant tout pour des raisons de sécurité. En effet, les voitures grises ou bleues de la Poste ne se distinguaient pas très bien par mauvais temps et elles furent impliquées dans plusieurs accidents. Pour éviter cet inconvénient, un jaune vif fut spécialement créé pour la Poste. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices