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Marie de Hennezel nous invite à méditer amoureusement sur notre solitude. Qu'elle soit subie ou choisie, la solitude est le propre de l'être humain. Une expérience impartageable, que nous rencontrons tous dans nos vies. Pour réussir ce qu'elle appelle notre voyage vers notre intériorité, Marie de Hennezel nous offre de nombreuses clés. Pour sa quatrième participation à Zeteo, elle commente certains extraits de son nouveau livre : Dans son très riche Dictionnaire amoureux de la solitude, elle apporte son regard personnel et profond, fruit d'une "longue promenade solitaire", éclairée par de nombreux personnalités marquantes, artistes, écrivains, religieux, héros du quotidien, artistes... À tous les âges, la solitude nous accompagne au quotidien. Quand elle est subie, après une rupture, un deuil, avec la maladie ou avec le grand-âge. Il s'agit alors de l'isolement, un véritable fléau qu'il faut combattre personnellement et solidairement pour en soulager les plus fragiles. Quand elle est accueillie et même attendue. La solitude est le lieu indispensable pour le dialogue intérieur, celui du ressourcement psychologique, de l'inspiration personnelle, de l'écoute de notre voix intérieure, de nos rêves et de nos désirs. La solitude est aussi un lieu de rencontre, pour nous connecter aux grands courants de sagesse et de spiritualité, avec les maîtres que sont les artistes comme les mystiques, avec les réalités spirituelles, dont les entités invisibles, et même l'ange gardien sur lequel Marie de Hennezel aime se pencher particulièrement. Une exploration intime et apaisante, pour aller aux sources de notre être, pour éclairer les zones d'ombres qui obstruent souvent notre liberté intérieure, et pour aller ainsi au devant de tous nos prochains avec harmonie et puissance. Pour lire le Dictionnaire amoureux de la solitude, le nouveau livre de Marie de Hennezel, cliquer ici. POUR QUE ZETEO PASSE L'ÉTÉ Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Comme chaque année à la même période, nous voyons arriver l'été avec la joie de la perspective des beaux jours, des temps de repos et des retrouvailles avec ceux qui nous sont chers, des voyages… et, nous l'espérons aussi, du ressourcement personnel. Celui auquel nous invite Marie de Hennezel dans l'épisode que nous diffusons dès aujourd'hui. Avec l'intelligence, la profondeur et la grâce que nous lui connaissons, elle nous propose une exploration intérieure au plus intime de chacun de nous. Pour y rencontrer la paix, la libération, l'estime de soi, et l'élan pour aller, renouvelés, vers les autres. Nous avons une pensée pour tous ceux pour qui la saison estivale n'est pas synonyme de vacances. Particulièrement ceux qui sont malades, ceux qui souffrent, ceux qui vivent dans des conditions difficiles voire impossibles (notamment ceux qui subissent les guerres tout autour de nous), ceux qui sont seuls… Cet épisode est aussi pour eux. Il révèle bien des ressources indispensables à tous, notamment ceux qui sont fragiles. Pour Zeteo, à cette période de l'année, nous sommes un peu comme celui qui contemple la traversée qui l'attend. Une traversée riche en aventures et en rencontres : Comme chaque année, nous n'interromperons pas nos diffusions, et nous vous proposerons chaque semaine de nouveaux épisodes. Les temps que nous vivons sont intenses. Nous ressentons un réel besoin d'apporter chaque semaine la Bonne Nouvelle. Heureusement, elle ne part jamais en vacances. Et nous voulons au contraire profiter de cette période estivale propice à la réflexion pour continuer de la faire vivre et de la diffuser : nos audiences en été sont toujours élevées. Cette traversée est toujours incertaine. Au cours des semaines à venir, notre effort ne faiblira pas. Notre besoin de soutien ne diminuera non plus. Il se prononcera peut-être avec plus d'importance : Au cœur de l'été, il est fréquent que les donateurs se raréfient. D'où ce message et cet appel, cette semaine, particulièrement à ceux qui apprécient Zeteo, qui peuvent contribuer à notre effort et prendre ainsi une part décisive pour permettre la diffusion gratuite de tous nos contenus. Comme à ceux qui ont déjà aidé par le passé, et qui pouraient à nouveau nous faire profiter de leur générosité. Nous sommes dans la confiance, l'accueil et la gratitude de ce qui surviendra. Et nous profitons de ce message pour remercier ceux qui ont récemment fait un don à Zeteo. Belle entrée dans l'été 2025 à tous ! Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Telio, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Au lendemain du meurtre de Mélanie G., 31 ans et surveillante dans un collège à Nogent, une cellule psychologique a été mise en place. Elle permet aux élèves de l'établissement de venir se confier sur le drame qui s'est produit, pour certains sous leurs yeux.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au lendemain du meurtre de Mélanie G., 31 ans et surveillante dans un collège à Nogent, une cellule psychologique a été mise en place. Elle permet aux élèves de l'établissement de venir se confier sur le drame qui s'est produit, pour certains sous leurs yeux.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au lendemain du meurtre de Mélanie G., 31 ans et surveillante dans un collège à Nogent, une cellule psychologique a été mise en place. Elle permet aux élèves de l'établissement de venir se confier sur le drame qui s'est produit, pour certains sous leurs yeux.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Drame en pleine matinée dans un collège de Haute-Marne. Une surveillante de 31 ans a été poignardée à mort par un élève de 14 ans. Le collégien a été interpellé alors que des gendarmes contrôlaient les sacs à l'entrée de l'établissement. Son profil interroge : élève sans antécédent judiciaire, issu d'une famille sans difficulté, et même ambassadeur contre le harcèlement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 11 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Drame en pleine matinée dans un collège de Haute-Marne. Une surveillante de 31 ans a été poignardée à mort par un élève de 14 ans. Le collégien a été interpellé alors que des gendarmes contrôlaient les sacs à l'entrée de l'établissement. Son profil interroge : élève sans antécédent judiciaire, issu d'une famille sans difficulté, et même ambassadeur contre le harcèlement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Drame en pleine matinée dans un collège de Haute-Marne. Une surveillante de 31 ans a été poignardée à mort par un élève de 14 ans. Le collégien a été interpellé alors que des gendarmes contrôlaient les sacs à l'entrée de l'établissement. Son profil interroge : élève sans antécédent judiciaire, issu d'une famille sans difficulté, et même ambassadeur contre le harcèlement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nanarland, le podcast - Les mauvais films sympathiques en audio
Prêts aux pires cruautés pour le profit malhonnête, soumis à leurs appétits grotesques et aimant par dessus tout emmerder le monde, ce sont les méchants !Ce coup ci nous nous penchons sur trois films qui se démarquent par leurs antagonistes, entre plans diaboliques et looks infernaux.Mathilde revient sur Beowulf, qui oppose Christophe Lambert à des effets spécieux.Fabien est lui aussi parti pour un vol au dessus d'un nid de CriCri avec Gideon. Et Julien dévoile un terrible complot antipakistanais qui verse dans le satanique autant que dans l'absurde. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Direction les États-Unis pour une remise de diplômes très particulière cette année dans la prestigieuse université de Harvard, au moment où Donald Trump tente d'interdire la présence d'étudiants étrangers...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Éric de Kermel est journaliste, écrivain et éditeur. Il est l'auteur d'une dizaine de romans où la présence de la nature et des jardins reflète l'engagement important de sa vie pour la cause écologique. Éric de Kermel nous invite ici à un voyage à la fois géographique et intérieur. Dans son nouveau roman, L'archipel de Claire, il nous mène à la découverte de l'île enchanteresse de Bréhat. Avec les femmes qui sont les personnages de son récit, il nous mène à la rencontre de figures marquantes, aux profils dont la dimension psychologique, humaine, poétique et spirituelle touchera autant les auditrices que les auditeurs. Ce désir d'une île, inscrit quelque part en chacun de nous, il est celui de Claire. À Bréhat, elle a trouvé le lieu qui lui a permis d'accepter l'épreuve du deuil, de se reconnaître fragile, de savoir se mettre à distance, avant de se relever et de se reprendre. Sur l'île de Bréhat, Claire est psy, elle aide ses patientes à défaire les pelotes emmêlées de leurs vies pour les retricoter plus librement. La géographie d'une île se prête sans doute mieux au travail de guérison des âmes et des corps. Elle offre le contact d'une nature belle et généreuse, la protection de la mer, et l'absence des bruits et des lumières de la ville. Les couleurs sont très présentes dans l'univers d'Éric de Kermel. En particulier celles de la nuit. Libérée des éclairages nocturnes, elle permet aux étoiles et aux nuages d'exercer leurs bienfaits sur le cœur des hommes. « Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, c'est en plongeant dans son obscurité ». Cette citation de Carl Jung employée par Éric de Kermel illustre le travail de Claire, qui écoute les nuits, attend leurs révélations, parce qu' « elles ont ce silence que n'ont pas les jours ». Autour de Claire, l'archipel est composé d'autres femmes dont Sidonie, boulangère et libraire, passionnée par l'alchimie de la fabrication du pain, et Aëlwenn, ethnologue attirée et tiraillée en même temps par la puissance merveilleuse du vivant. L'Archipel de Claire est un hymne à la guérison. Il va au cœur de l'âme humaine, en explorant aussi les mystères des secrets de famille, de leurs poids, et de la possibilité de s'en libérer grâce à une démarche de psychanalyse transgénérationnelle. En choisissant des femmes comme héroïnes de son livre, Éric de Kermel poursuit cette conviction que leur profondeur, leur disponibilité et leur lien immédiat avec le vivant font d'elles les premières médiatrices de la guérison et de révélation de la beauté de la vie. Pour faire face aux enjeux, aux épreuves, aux souffrances et aux maladies, Éric de Kermel invite à vivre au quotidien ce qui l'anime : « Se lever chaque jour prêt à embrasser ce qui vient, l'attraper à bras le cœur, à bras le corps. Parfois lutter, s'adapter, faire avec, espérant par-dessus tout s'émerveiller jusqu'au bout ». Et il ajoute : « La seule promesse qui ne cesse de tenir la vie, c'est de multiplier les imprévus. » Pour lire L'archipel de Claire, le livre de Éric de Kermel, cliquer ici. LES UNS AVEC LES AUTRES Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Les semaines se suivent, les épisodes actuels de Zeteo sont tous reliés par un fil inattendu. Depuis la rencontre avec Sandrine Chenivesse au début de cette année, certains de nos invités ont évoqué en profondeur l'importance de nos histoires familiales. N'avons-nous pas tous dans nos histoires familiales des figures marquantes dont l'empreinte a influencé des générations ? Oubliés dans les plis du temps, il y a souvent aussi des drames ou des accidents qui ont été cachés. Pour libérer nos âmes et nos cœurs des douleurs psychologiques et morales de la vie, le recours si nécessaire à la psychanalyse est souvent insuffisant. Éric de Kermel pointe du doigt ses limites. Surtout, Il révèle les perspectives d'une approche transgénérationnelle : « La seule interrogation des conditions de notre enfance ne suffit pas à éclairer les greniers de notre âme, remonter plus loin à la recherche de la mémoire imprimée dans nos cellules comme dans notre esprit. » À son tour, après Sandrine Chenivesse, Charles Wright et Jean-Philippe de Tonnac, Éric de Kermel nous invite à explorer nos histoires familiales. À la clé, une libération. Pour les vivants, le moyen de sortir de schémas de l'échec, de destinées pré-écrites. Et, peut-être aussi, pour les défunts qui attendent notre démarche pour partir en paix. Nous souhaitons à tous de pouvoir rencontrer cette paix personnelle qui va avec l'apaisement des relations familiales. Cette démarche transgénérationnelle a des effets inattendus. Comme l'écrit encore Éric de Kermel, « il y a toujours un effet domino quand un secret est mis en lumière. » Il y a d'autres liens, que beaucoup appelleraient des synchronicités, qui ont rapproché les invités cités ici et Zeteo. Nous allons continuer de les suivre dans les semaines et les mois qui viennent. Nous rendons grâce pour ces semaines passées ensemble, les lumières apportées par nos invités, et l'apaisement qui émane tellement d'eux. Nous rendons grâce pour ce chemin de Zeteo qui continue, qui emprunte parfois des sentiers inattendus, et tellement libérateurs ! Nous rendons grâce pour tous nos auditeurs, pour leurs messages si souvent bouleversants. Nous rendons grâce pour tous nos donateurs. Particulièrement ceux qui ont effectué un don récemment. Et ceux qui vont les rejoindre aujourd'hui et demain, si Dieu le veut ! Nous rendons grâce pour cette aventure vécue tous ensemble, les uns avec les autres. Nous avons tous besoin des autres, nous ne pouvons pas avancer les uns sans les autres, et nous sommes tous appelés à nous reconnaître, nous pardonner, et nous aimer sans limites, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Telio, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité politique. Ce soir, il reçoit la sénatrice des Hauts-de-Seine et porte-parole du Modem, Isabelle Florennes pour revenir sur l'audition de François Bayrou lors de la commission d'enquête Bétharram.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs à 20h30, Pierre de Vilno reçoit un invité qui fait l'actualité. Ce soir, il reçoit l'écrivain, auteur de Le bâtard du Roussillon (Fayard, paru le 30 avril dernier), Jacques de Villiers.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chicago a rendu hommage au nouveau pape avec une pizza. Danick l’ami des animaux: la grenouille qui vomit ses bébés. Danick en échappé: Aimer son travail, c’est finalement pas une bonne affaire. Notre metteur en ondes a vu en primeur le nouveau Mission Impossible: Bilan Final. La Zone à Marcoux: Les activités de fin d’année, c’était pas la même chose… dans le temps! La Minute à Martin: Le sujet de l’explosion du vol à l’étalage fait pogner les nerfs à Martin. Debout les Caves - Vos meilleures jokes du jour. On dévoile le grand gagnant de l’Open Mic Si t'as un enfant avec ton conjoint-e, ça pourrait avoir des conséquences importantes sur vos finances, votre maison… et même votre héritage ! CKOI qui goûte drôle: on mange des ramens secs avec du beurre d’arachides. Dans ta face Cloutier L’Instant Incroyable: Un musicien qui a fait un pacte avec le diable et qui est devenu le 1er musicien à lire partie du club des 27. Débat: Est-ce que tous les moyens de contraception devraient être gratuits? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
C'est une nouvelle guerre qui menace d'éclater. Un nouvel affrontement entre l'Inde et le Pakistan, deux ennemis jurés qui s'opposent, depuis presque 80 ans, sur le contrôle de la région du Cachemire. Dans la partie indienne, des hommes armés ont tué 26 touristes, mardi 22 avril. New Delhi accuse Islamabad d'être derrière cette attaque. Un énième incident dans l'histoire des deux pays, qui a rapidement fait monter les tensions et qui fait craindre le pire entre ces deux puissances nucléaires, dans un contexte régional et mondial déjà très compliqué. Comment expliquer une situation aussi inflammable ? Jusqu'où cette nouvelle escalade va-t-elle aller ? Quel rôle peut jouer la communauté internationale ? Avec notre invité Gilles Boquérat, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS).
Aux États-Unis, l'administration Trump poursuit sa politique d'expulsion à grande échelle. Des centaines de migrants accusés d'être membres de gangs ont ainsi été envoyés de manière expéditive dans une prison géante au Salvador. Partout dans le pays, les services de contrôle de l'immigration procèdent à des arrestations de migrants illégaux, d'autres voient leur statut de résident révoqué brutalement. À tel point qu'un climat de peur règne au sein de la communauté latino. Particulièrement au Texas où elle est très nombreuse. De notre correspondant à Houston,Devant l'université de Houston-Downtown, nous rencontrons Gladys, 21 ans dont 20 ans passés aux États-Unis. Mais elle n'a pas encore la nationalité puisqu'elle est née au Guatemala : « J'ai peur pour tous les sans-papiers. Ils vivent dans la peur. Les gens n'osent plus sortir dans la rue, quand on frappe à la porte, ils n'osent plus ouvrir de peur que ce soit la police de l'immigration. J'ai vu des gens emmener leur passeport ou la monnaie de leur pays d'origine sur eux au cas où ils se feraient expulser. » Et ces personnes planifient leur vie quotidienne comme si elles pouvaient être expulsées à tout moment. « Oui, à tout moment », confirme Gladys.Dans ce climat, on est surpris de la décontraction de Martin. « Je ne parle pas espagnol, lui pas très bien anglais, mais avec l'aide des mains, on arrive à se comprendre. » Cela fait 32 ans qu'il vend ses fruits et ses légumes sur ce marché de Houston, mais il n'a ni la nationalité américaine, ni de permis de résidence : « Non, pas de carte verte. Je suis Mexicain. Il n'y a pas de problème ! Ça fait 32 ans que je suis ici, et je n'ai jamais eu de problème avec les services de l'immigration. »À lire aussiLes États-Unis mettent fin au statut légal de plus de 500 000 étrangers et leur ordonnent de quitter le paysPeur d'être arrêté à tout momentSur le parking du marché, Maria remplit son coffre. Elle a trois enfants, trois garçons. Eux ont la nationalité américaine. Pas elle. Alors le simple fait de sortir faire des courses est une source d'angoisse : « J'ai très peur. On ne sait jamais ce qui peut se passer en cas de contrôle routier. C'est très effrayant. Imaginer que je puisse être détenue alors que mes enfants sont à l'école, c'est… ». Elle s'arrête un instant puis reprend : « Le beau-père de mon frère a été arrêté la semaine dernière avec d'autres membres de sa famille. Et on ne sait rien, on ne peut même pas leur rendre visite. Ils sont seuls et personne ne sait ce qui va leur arriver. »Les papiers de Gladys sont en règle alors, elle joue parfois les éclaireurs : « J'ai une amie mexicaine qui m'a appelée un jour pour me demander d'aller voir si ICE [les services de contrôle de l'immigration, NDLR] était près d'un magasin. Je suis allée voir et c'était vrai : il y avait quatre voitures des services de l'immigration ! Les gens couraient de peur d'être arrêtés et expulsés. J'ai prévenu mon amie, et comme son appartement se trouve juste derrière ce magasin, elle n'a pas osé sortir de la journée. Elle n'est même pas allée travailler ce jour-là. »À lire aussiÉtats-Unis: l'administration Trump prive des milliers d'immigrés de la sécurité sociale en les déclarant morts
Aux États-Unis, l'administration Trump poursuit sa politique d'expulsion à grande échelle. Des centaines de migrants accusés d'être membres de gangs ont ainsi été envoyés de manière expéditive dans une prison géante au Salvador. Partout dans le pays, les services de contrôle de l'immigration procèdent à des arrestations de migrants illégaux, d'autres voient leur statut de résident révoqué brutalement. À tel point qu'un climat de peur règne au sein de la communauté latino. Particulièrement au Texas où elle est très nombreuse. De notre correspondant à Houston,Devant l'université de Houston-Downtown, nous rencontrons Gladys, 21 ans dont 20 ans passés aux États-Unis. Mais elle n'a pas encore la nationalité puisqu'elle est née au Guatemala : « J'ai peur pour tous les sans-papiers. Ils vivent dans la peur. Les gens n'osent plus sortir dans la rue, quand on frappe à la porte, ils n'osent plus ouvrir de peur que ce soit la police de l'immigration. J'ai vu des gens emmener leur passeport ou la monnaie de leur pays d'origine sur eux au cas où ils se feraient expulser. » Et ces personnes planifient leur vie quotidienne comme s'ils pouvaient être expulsés à tout moment. « Oui, à tout moment », ajoute Gladys.Dans ce climat, on est surpris de la décontraction de Martin. « Je ne parle pas espagnol, lui pas très bien anglais, mais avec l'aide des mains, on arrive à se comprendre. » Cela fait 32 ans qu'il vend ses fruits et ses légumes sur ce marché de Houston, mais il n'a ni la nationalité américaine ni permis de résidence :« Non, pas de carte verte. Je suis mexicain. Il n'y a pas de problème ! Ça fait 32 ans que je suis ici, et je n'ai jamais eu de problème avec les services de l'immigration. »À lire aussiLes États-Unis mettent fin au statut légal de plus de 500 000 étrangers et leur ordonnent de quitter le paysPeur d'être arrêté à tout momentSur le parking du marché, Maria remplit son coffre. Elle a trois enfants, trois garçons. Eux ont la nationalité américaine. Pas elle. Alors le simple fait de sortir faire des courses est une source d'angoisse : « J'ai très peur. On ne sait jamais ce qui peut se passer en cas de contrôle routier. C'est très effrayant. Imaginer que je puisse être détenue alors que mes enfants sont à l'école, c'est… ». Elle s'arrête un instant puis reprend : « Le beau-père de mon frère a été arrêté la semaine dernière avec d'autres membres de sa famille. Et on ne sait rien, on ne peut même pas leur rendre visite. Ils sont seuls et personne ne sait ce qui va leur arriver. »Les papiers de Gladys sont en règle alors, elle joue parfois les éclaireurs : « J'ai une amie mexicaine qui m'a appelée un jour pour me demander d'aller voir si ICE [les services de contrôle de l'immigration, NDLR] était près d'un magasin. Je suis allée voir et c'était vrai : il y avait quatre voitures des services de l'immigration ! Les gens couraient de peur d'être arrêtés et expulsés. J'ai prévenu mon amie, et comme son appartement se trouve juste derrière ce magasin, elle n'a pas osé sortir de la journée. Elle n'est même pas allée travailler ce jour-là. »À lire aussiÉtats-Unis: l'administration Trump prive des milliers d'immigrés de la sécurité sociale en les déclarant morts
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Dans un paysage de la chasse de tête sinistré, marqué par une chute d'activité de 17% en 2024, et une vague de consolidation une agence fait figure d'exception : AFemaleAgency, cofondée par Sarah Huet. Leur secret ? Une radicalité assumée : ne recruter que des femmes pour les postes de direction.Ancienne du fonds Partech, Sarah Huet a quitté le monde feutré du capital-risque pour transformer un secteur figé depuis les années 1960. Exit les Egon Zehnder et consorts, place à une approche "B2C" disruptive : AFemaleAgency chasse pour un réseau de 4 000 talents féminins européens et internationaux, bâtie depuis un simple compte Instagram devenu véritable vivier. Résultat : 200 femmes placées en quatre ans, et une croissance insolente de 30 % en 2023.Particulièrement efficace dans le domaine de la Tech, le modèle est simple, mais redoutable : cooptation, accompagnement individualisé et outils maison pour sourcer les profils. Une réponse concrète au plafond de verre qui fracture les parcours féminins autour de 35 ans. Alors que les femmes représentent à peine 18 % des dirigeants en France, leur présence s'efface aux étages du pouvoir. Et dans un marché au ralenti, leur modèle détonne : parce qu'il redonne aussi du sens à un métier devenu mécanique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:06 - Un trésor dans la piscine d'Évron - Une chasse aux œufs originale ce mercredi dans la piscine d'Évron. Les enfants ont plongé dans le bassin pour trouver des indices et répondre à des énigmes. On a suivi cette chasse aux œufs avec les petits détectives.
Augmentation du dividende, rachat d'actions : le spécialiste des arômes et ingrédients naturels Robertet a présenté ses résultats 2024. Quelles sont ses perspectives pour 2025 ? Comment appréhende-t-il la guerre commerciale ? Jérôme Bruhat, directeur général de Robertet, entreprise cotées sur le SBF120, était l'invité de l'émission Ecorama du 16 avril 2025, présentée par Aude Kersulec sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:29:26 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Olivier Grondeau était détenu par la République islamique d'Iran depuis le 12 octobre 2022. Il a été libéré le 20 mars 2025. Nous avions commencé un dialogue avec lui, il y a quelques mois, depuis sa prison à Téhéran. Dans cet épisode, il nous raconte sa vie en prison et ses conditions de détention. - réalisation : Emmanuel Geoffroy - invités : Olivier Grondeau Ancien otage détenu par la République Islamique d'Iran
durée : 00:29:26 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Olivier Grondeau était détenu par la République islamique d'Iran depuis le 12 octobre 2022. Il a été libéré le 20 mars 2025. Nous avions commencé un dialogue avec lui, il y a quelques mois, depuis sa prison à Téhéran. Dans cet épisode, il nous raconte sa vie en prison et ses conditions de détention. - réalisation : Emmanuel Geoffroy - invités : Olivier Grondeau Ancien otage détenu par la République Islamique d'Iran
C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir.
Nathalie Renoux passe une heure avec Riss, auteur de "Ainsi soient-ils... A la recherche de la foi", un film et un livre dans lequel le dessinateur s'interroge sur le divin, le blasphème, et l'humour dans les trois grandes religions monothéistes. Ecoutez Le Journal Inattendu avec Nathalie Renoux du 12 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est une lecture de ma newsletter disponible ici. Vous pouvez retrouver la vidéo de cet épisode sur Youtube sur la chaîne de Vlan!Dans cette époque particulièrement dystopique, la gentillesse trône au sommet de la hiérarchie des vertus recherchées.On la réclame, on la valorise, on l'érige en panacée contre toutes les violences contemporaines. Partout, on implore la bonté, on quémande la générosité, on s'abreuve avidement aux sources des énergies positives.Et je m'y plie avec dévotion depuis ma plus tendre enfance.Je me suis toujours défini comme un « gentil » et c'est probablement ainsi que mon entourage me décrirait sans hésiter quoique c'est sans doute présomptueux de ma part. Mais cette vertu tant louée dissimule-t-elle des zones d'ombre que je refuse obstinément de reconnaître ou plutôt contre lesquelles je ne travaille pas assez?Il y a quelques mois, le jour de mon anniversaire, une amie autrice britannique, Taiye Selasi, m'a lancé cette phrase qui m'a ébranlé : « The problem, Greg, is that you are a nice guy when you should be kind instead ».Encore une fois, une nuance linguistique anglaise qui m'échappait. Car comme vous sans doute, à cet instant précis, j'étais incapable de distinguer entre « nice » et « kind », les deux se fondant dans le même mot français : « gentil ». Je lui ai donc demandé d'éclairer ma lanterne.Gentil ou authentique : le dilemme qui vous détruitElle m'a expliqué que « kind » incarnait une forme de bienveillance et de bonté du cœur qui circule dans les deux sens – envers les autres, mais aussi, et c'est crucial, envers soi-même.Une personne « kind » connaît intimement ses propres limites et pose des frontières claires aux autres. Tandis qu'une personne « nice » serait rongée par un besoin viscéral d'être aimée, au point que toutes ses barrières s'effondrent – transformant cette prétendue qualité en authentique défaut.Elle m'a alors recommandé la lecture de « No More Mister Nice Guy » de Robert Glover, que j'ai reçu sans tarder sur Vlan !L'épisode étant en anglais, j'ai décidé d'en faire cette newsletter pour vous expliquer pourquoi ce sujet me touche personnellement, et partager avec vous ce que j'en retire.Il y a tant de personnes méchantes et sournoises dans ce monde, pourquoi donc questionner la gentillesse ?Existe-t-il véritablement un « syndrome du gentil » ?La gentillesse pourrait-elle cacher des faces obscures ? Comment être gentil de manière juste ? Doit-on adhérer entièrement à la réflexion de Robert Glover ? Quelles critiques peut-on lui adresser ?La gentillesse comme bouclier contre les coupsPour saisir pourquoi ce sujet me touche particulièrement, je dois vous embarquer dans la construction de mon identité, et je pressens que cela résonnera avec certains d'entre vous.Ma mère n'était pas fondamentalement maltraitante, mais elle nous battait, mon frère et moi, de façon régulière (oui j'ai traité le sujet avec elle depuis).J'ai donc appris très tôt cette équation fatale : pour être aimé, il fallait être gentil, se plier en quatre pour tenter désespérément de faire plaisir.Bien sûr, je suis naturellement doté d'une bonté et d'une générosité profonde, mais vous remarquerez sans doute que la gentillesse dans laquelle je me suis enfermé n'était pas authentiquement la mienne. J'y reviendrai.Mon objectif premier ? Éviter les coups, tout simplement, mais surtout – gagner l'amour de ma mère. Cela implique que j'ai également intégré l'idée que les coups pouvaient s'entrelacer à l'amour – mais c'est un autre sujet que j'explorerai en temps voulu.Mon enfance s'est structurée sur ces fondations : la gentillesse comme mécanisme instinctif de protection et le rire comme échappatoire vitale. Comment refuser d'aimer une personne gentille ? Une personne qui s'évertue à devancer vos moindres attentes ?Au fil des années, je me suis métamorphosé en véritable caméléon, tentant de devenir ce que j'imaginais que les autres attendaient de moi, fuyant le conflit comme la peste.“Qu'est-ce qu'ils vont penser ?” : le mantra des dominésIl y a évidemment une part naturelle de socialisation et un besoin viscéral d'appartenance dans tout cela.Particulièrement quand, comme moi, vous êtes métis sans racines solides d'un côté puisque « descendant d'esclaves », portant le fardeau de la culpabilité d'être différent, écrasé par la pression sociétale d'être un « bon français », ce qui en France, avec notre modèle d'intégration républicaine, suppose d'être « plus blanc que blanc ».Ma mère nous a inculqué très tôt l'obligation d'être plus polis, plus irréprochables que quiconque, nous martelant régulièrement cette question : « qu'est-ce qu'ils vont penser ? ».Déjà qu'on nous montrait du doigt dans le village de mes grands-parents paternels – il semblait évident qu'on devait faire profil bas.Cqfd : cette stratégie est vouée à l'échec. On vous reprochera toujours votre couleur de peau jusqu'à ce que vous vous intégriez socialement, c'est-à-dire jusqu'à ce que vos revenus ou votre statut vous permettent de transcender cette réalité.Et même dans ce cas, dans certains contextes, cela reste illusoire.Pour être sincère, les gens tombent toujours des nues quand j'évoque le racisme ordinaire qui a jalonné mon existence, car après tout « on ne dirait pas vraiment que tu es noir toi, on pourrait penser que tu es italien, israélien, libanais, marocain, etc. ».J'ai entendu cette phrase un nombre incalculable de fois et ma réponse reste invariablement la même : « ce qui est certain, c'est que je ne suis pas blanc, et je peux t'assurer que la rue, la police, les institutions me le rappellent régulièrement ». Je vous le confie ici : je suis né d'un père bourguignon et d'une mère martiniquaise, elle-même métisse noire et indienne – et aujourd'hui, j'en porte fièrement l'héritage.Par ailleurs, il faut savoir qu'une règle tacite règne presque universellement (y compris sur les continents africain et asiatique) : plus la peau est claire, plus on vous valorise – le noir occupant le bas de l'échelle, particulièrement pour les femmes malheureusement pour elles, les études sont unanimes.Je vous raconte tout cela car ce phénomène a exacerbé un complexe qui grandissait insidieusement en moi.Votre gentillesse vous étouffe - et les autres le sententComme Robert Glover l'explique, être un "nice guy" suppose de dissimuler sa véritable nature pour éviter de froisser quiconque.Cette dynamique rappelle étrangement le "doublethink" décrit par Orwell dans "1984" – cette capacité à maintenir simultanément deux croyances contradictoires. D'un côté, notre authenticité profonde, et de l'autre, l'image que nous projetons pour être acceptés.Le terme qui définirait le plus justement ce type de gentillesse serait peut-être « débonnaire », qui signifie selon le Larousse « être bon jusqu'à la faiblesse ».Un terme rarement utilisé mais qui capture parfaitement ce que Robert Glover décrit, et que j'adopterai désormais dans cette newsletter pour définir ce type de « gentillesse ».Cela me permet en outre de préserver le terme « gentil » qui me semble fondamentalement précieux.Les débonnaires, donc, sont tellement obsédés par la dissimulation de leur véritable nature et par les désirs des autres qu'ils en oublient leurs propres aspirations.Une voix intérieure nous souffle : « ça sera plus simple comme ça, sinon ça va créer du conflit et on doit pouvoir l'éviter ». Deux scénarios se présentent alors : soit notre interlocuteur, presque malgré lui, repousse les limites et devient maltraitant – un comportement infantile qui révèle le besoin que quelqu'un fixe des frontières.Soit le débonnaire accumule tant de frustrations qu'il finit par exploser, provoquant précisément les tensions qu'il s'efforçait d'éviter.Dans les deux cas, nous sommes inéluctablement perdants.Je suis gentil, donc je ne suis pasSelon Robert Glover, la débonnaireté s'enracine dans deux terrains principaux : une honte toxique accompagnée d'une petite voix intérieure qui murmure « je ne suis pas assez bien comme je suis » ou simplement « je ne suis pas assez », et une angoisse dévorante d'être abandonné ou blessé.On retrouve ici les personnes avec un attachement anxieux. J'ai d'ailleurs consacré un épisode de Vlan ! à ce sujet, si vous souhaitez l'approfondir.En deux mots, la théorie de l'attachement, développée par John Bowlby, distingue trois types principaux d'attachement : anxieux, sécurisé et évitant. Ces modèles d'attachement se forgent généralement durant l'enfance.L'attachement anxieux se développe lorsque la réponse aux besoins émotionnels de l'enfant est imprévisible ou incohérente.En grandissant, ces individus vivent dans la crainte perpétuelle de perdre l'affection ou l'attention d'autrui, cherchant à compenser cette insécurité fondamentale par des comportements de dépendance affective marqués.Une personne ayant développé un attachement anxieux sera particulièrement vulnérable à la codépendance.Elle s'enferme dans une dynamique où ses besoins, ses désirs et son équilibre émotionnel dépendent étroitement du regard et de l'attention de l'autre.Cette dépendance excessive engendre souvent un cercle vicieux : plus la personne s'accroche, plus elle risque d'éloigner l'autre, confirmant ainsi sa peur primordiale de l'abandon.Vivre par procuration : l'existence fantômeLa codépendance est un concept initialement forgé dans le contexte des addictions, spécifiquement pour décrire le comportement des proches de personnes dépendantes à l'alcool ou à des substances. Il émerge aux États-Unis dans les années 1970, en parallèle de la prise de conscience des dynamiques relationnelles au sein des familles d'alcooliques.Originellement, être codépendant signifiait adopter un comportement centré sur l'autre, jusqu'à s'oublier soi-même, dans une tentative désespérée de contrôler, sauver ou protéger la personne dépendante.Au fil du temps, le concept de codépendance a transcendé le cadre strict des addictions pour décrire des relations affectives marquées par une anxiété relationnelle intense. Aujourd'hui, la codépendance désigne une tendance à s'investir excessivement dans les relations, à dépendre viscéralement de l'approbation d'autrui pour nourrir son estime de soi, et à éprouver une anxiété dévorante liée à la peur de l'abandon ou du rejet.Prendre conscience de ces mécanismes permet de mieux comprendre et d'apaiser ces dynamiques relationnelles en travaillant notamment sur la sécurisation de son attachement et sur l'affirmation de soi.Personnellement, je ne pense pas avoir vécu de véritable codépendance, mais j'ai longtemps navigué avec un attachement anxieux que j'ai laborieusement travaillé en thérapie, me permettant d'atteindre aujourd'hui un attachement bien plus sécurisé. D'ailleurs, plus que de codépendance, Robert Glover préfère parler de « fonctionnement emprunté » (« borrowed functioning »).Ce concept décrit une situation où l'on s'appuie excessivement sur les compétences, les émotions ou la validation d'autrui pour fonctionner quotidiennement, faute de pouvoir mobiliser ses propres ressources intérieures. Cette perspective souligne l'importance cruciale de cultiver une véritable autonomie émotionnelle plutôt que de vivre par procuration.Le contrat invisible qui pourrit vos relationsCette démarche, observée avec recul, recèle une dimension profondément auto-centrée : la personne cherche avant tout à éviter l'abandon, à s'assurer d'être aimée – il s'agit fondamentalement d'elle-même, non de l'autre.Comme l'explique Robert Glover, cela revient implicitement à dire : « regarde comme je suis gentil, regarde tout ce que je fais pour toi, regarde comme il n'y a jamais de problème avec moi ».L'injustice fondamentale de cette approche réside dans le contrat tacite que le débonnaire établit : « si j'agis ainsi pour toi, alors tu dois agir ainsi pour moi » – mais l'autre ignore tout de ce contrat implicite, et l'émetteur lui-même n'en a souvent pas conscience.J'évoquais plus haut l'effet « cocotte-minute » des débonnaires, un phénomène que je m'efforce d'éviter mais auquel je me dois d'avour que je succombe encore régulièrement.Robert Glover explique que cela peut culminer en un véritable déversement victimaire : « regarde comme tu me traites alors que moi, j'ai fait tout cela pour toi, et moi, et moi... »L'injustice fondamentale tient au fait que le débonnaire incrimine l'autre pour des choses qu'elle n'a jamais explicitement demandées.Parfois, ce comportement sabote la relation elle-même : à force de vouloir éviter de heurter qui que ce soit, on finit par causer des blessures bien plus profondes.Le paradoxe fatal : blesser en voulant protégerJe me souviens d'une situation emblématique entre une amie très proche, de passage à Paris, et ma nouvelle compagne de l'époque, il y a 15 ou 20 ans.Toutes deux souhaitaient me voir au même moment, et je désirais les voir toutes les deux.Plutôt que d'aborder franchement la situation avec l'une ou l'autre, j'ai tenté de les voir toutes les deux, résultant en une double frustration : aucune n'avait eu suffisamment de mon temps.Sur le moment, j'ai trouvé leur réaction profondément injuste, alors qu'il aurait suffi d'exprimer clairement la situation, sans craindre un désaccord imaginaire, pour que tout se résolve naturellement.En réalité, nous présupposons les réactions des autres sans jamais solliciter leur avis – c'est l'un des travers majeurs des débonnaires, qui deviennent ainsi, paradoxalement, manipulateurs.Le paradoxe, c'est que j'apprécie profondément cette facette de ma personnalité : ma générosité, mon empathie, ma nature accommodante.La question n'est évidemment pas de renier ces qualités, mais plutôt d'apprendre à reconnaître ce qui nous dérange, à l'exprimer sereinement et à établir des limites claires.Dit ainsi, cela semble simple – mais je sais pertinemment qu'on ne réalise souvent qu'après coup qu'on n'a pas respecté ses propres limites.Vers une gentillesse authentique : pistes de reconstructionComment s'extraire de ces mécanismes, ou comment accompagner quelqu'un qui s'y reconnaît ?Je crois que l'essentiel réside dans la communication ouverte, la compréhension des traumas sous-jacents, puis un travail personnel, en couple et généralement avec un thérapeute in fine.Un conseil précieux que j'ai reçu et que je m'efforce d'appliquer : quand on est fondamentalement cérébral, il peut être révélateur de se tourner vers des approches thérapeutiques centrées sur le corps – et inversement.Notre tendance naturelle nous pousse vers des thérapies qui font écho à notre fonctionnement, mais l'inverse peut s'avérer profondément transformateur.J'ai d'ailleurs consacré plusieurs épisodes au corps, notamment sur la posture juste avec Thierry Janssen, chirurgien devenu thérapeute, sur le nerf vague avec Ludovic Leroux, ou encore sur l'intelligence corporelle avec Eve Berger.On peut commencer par cultiver l'affirmation de soi, apprendre l'art du refus, exprimer clairement ses ressentis, et privilégier son bien-être personnel.S'exercer simplement à dire « non » dans des contextes peu menaçants pour renforcer progressivement sa confiance.C'est en tout cas, ce que je m'assigne à faire.Parallement, si cela peut résonner avec vous, consignez régulièrement dans un journal les situations où vous avez peiné à établir vos limites, en identifiant précisément ce que vous auriez préféré dire ou faire.Une thérapie cognitive comportementale (TCC) peut également vous aider à repérer vos schémas de pensée automatiques et à les remplacer par des perspectives plus réalistes et affirmées.De mon côté, je crois que je vais aller avec un thérapeute somatique pour terminer le travail déjà bien débuté.Si vous n'êtes pas concernée mais que vous côtoyez une personne encline à cette gentillesse excessive, vous pouvez l'aider délicatement à prendre conscience de ses propres limites.Au lieu d'entretenir indirectement ce déséquilibre, encouragez-la à exprimer clairement ses désirs et besoins, même lorsqu'ils diffèrent des vôtres.Proposez-lui des échanges réguliers où elle peut s'exercer à l'affirmation de soi, dans un espace sécurisant où elle peut librement exprimer ses véritables émotions.Évitez tout jugement ou culpabilisation, mais valorisez chaque avancée, même infime, vers l'affirmation personnelle.La question de la masculinité : limite de l'approche de GloverJe diverge de Robert Glover concernant sa vision des relations de genre – son livre s'adresse aux hommes et soutient l'idée que la masculinité serait menacée.Dans notre conversation, il explique qu'historiquement, en raison du patriarcat, les femmes dépendaient financièrement de leurs maris puisqu'elles ne travaillaient pas (ce qui, soit dit en passant, est inexact pour le Moyen Âge).Selon lui, la situation s'est inversée : les femmes seraient devenues plus compétitrices que les hommes.Ces derniers seraient plus passifs, se retrouveraient en position de dépendance, cherchant désespérément à séduire et à plaire.Il dépeint également les réseaux sociaux et les services comme Uber ou Deliveroo comme des « assassins de la masculinité », renforçant prétendument la passivité masculine.Pendant ce temps, les femmes seraient constamment dans la prise de décision et l'action. Elles travaillent majoritairement et, de retour au foyer, assument l'essentiel de la charge mentale et des responsabilités parentales (école, médecin, anticipation des besoins...) – toutes ces activités s'inscrivant dans une dynamique d'action associée, selon lui, à une énergie « masculine ».Selon lui, elles auraient besoin qu'on honore leur féminité, tandis que les hommes devraient reprendre les rênes décisionnelles et l'initiative, sans pour autant chercher à contrôler leurs partenaires.Je ne m'oppose pas totalement à ces pensées mais n'ayant pas approfondi cette dimension avec lui, je peine à cerner pleinement sa penséeToutefois, il me semble important de mentionner que certains lui reprochent une approche qualifiée de masculiniste.Je consacrerai prochainement une newsletter à la masculinité – un sujet fascinant, tant je constate la désorientation de nombreux hommes face à des demandes féminines parfois contradictoires, qu'elles soient conscientes ou non.Être vrai avant d'être gentil : le nouveau contrat social"Si la gentillesse demeure une valeur cardinale, elle doit s'exercer dans un respect égal de soi-même et d'autrui. Comme l'écrivait George Orwell à propos de son engagement contre le fascisme durant la guerre civile espagnole : « Si vous m'aviez demandé pourquoi j'avais rejoint la milice, j'aurais répondu : 'Pour lutter contre le fascisme', et si vous m'aviez demandé pour quoi je me battais, j'aurais répondu : 'Pour la décence commune'. »Cette « décence commune » pourrait bien constituer la clé d'une gentillesse authentique – non pas une gentillesse qui mendie l'approbation à tout prix, mais une bienveillance ancrée dans l'intégrité personnelle, consciente de ses propres limites tout en s'ouvrant généreusement aux autres.Le chemin est sinueux, semé d'obstacles, mais chaque pas vers cette authenticité représente une victoire.Car être véritablement gentil, c'est avant tout être vrai. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #171 Mieux se connaitre pour trouver une posture juste avec Thierry Janssen (https://audmns.com/jeikAHO) Vlan #135 Se reconnecter à l'intelligence du corps avec Eve Berger Grosjean (https://audmns.com/ETKQSfx) #288 le remède miracle contre le stress avec Ludovic Leroux (https://audmns.com/aHHEdaH)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dès leur arrivée à Ua Pou, le ton est donné avec une piste d'atterrissage réputée pour sa difficulté et un pilote local au sens de l'humour. Leur premier jour a été une immersion douce dans le village de Hakahau où ils ont exploré un centre d'artisanat local, découvrant sculptures sur bois et colliers de graines marquisiens. Un moment fort de découverte culturelle et un excellent moyen de se plonger dans la vie locale.La famille a aussi eu la chance de découvrir la pierre fleurie, un galet particulier qui révèle des motifs floraux une fois poli. Camille recommande la découverte des sites archéologiques où l'esprit du lieu, le mana, se fait sentir puissamment.Pour écouter l'épisode en entier
durée : 00:07:45 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - D'après un sondage Ifop pour la fondation Jean-Jaurès, publié mi-octobre, 18 % des Françaises ont été victimes de harcèlement sexuel ou de sexisme au travail l'année précédente. Le milieu du cinéma n'échappe pas à cette réalité. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Gwenaële Rot Professeure des universités à Sciences Po Paris, membre du Centre de sociologie des organisations (CNRS), autrice de Planter le décor. Une sociologie des tournages, Paris, Presses de Sciences Po, 2019
durée : 02:31:07 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Mylène Jaccoud Professeure à l'école de criminologie de l'université de Montréal ; Gwenaële Rot Professeure des universités à Sciences Po Paris, membre du Centre de sociologie des organisations (CNRS), autrice de Planter le décor. Une sociologie des tournages, Paris, Presses de Sciences Po, 2019; Dominique Simonnot Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL); Karine Tuil Ecrivaine; Claire Marin Philosophe, professeure de philosophie en classe préparatoire et écrivaine; Jean-Pierre Siméon Poète, romancier, dramaturge, directeur du Printemps des Poètes
durée : 00:05:28 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - La collaboration internationale "Glambie" fait le point sur la disparition des glaciers du monde entier dans une publication parue dans Nature.
durée : 00:19:40 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Dans "Nos cœurs déracinés", à paraître le 5 mars chez Grasset, la journaliste, productrice et réalisatrice dévoile l'histoire de ses grands-parents juifs venus d'Europe de l'Est et s'interroge sur sa propre identité. - invités : Marie DRUCKER - Marie Drucker : Journaliste
durée : 00:19:40 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Dans "Nos cœurs déracinés", à paraître le 5 mars chez Grasset, l'autrice et scénariste dévoile l'histoire de ses grands-parents juifs venus d'Europe de l'Est et s'interroge sur sa propre identité. - invités : Marie DRUCKER - Marie Drucker : Journaliste
Thank you to one of our patrons Lorenzo for the recommendationThis week, we're diving into the sensual, stylish, and oh-so-French world of Extases très particulières (LaVorace) (1981)—a film that delivers everything you'd expect from early ‘80s European erotica: sleek cinematography, decadent settings, and a whole lot of lust. A story packed with steamy encounters, undeniable chemistry, and that distinct Parisian charm. We follow Clochette, the daughter of a French prostitute who becomes increasingly curious about her mother's profession. Left alone during the day, she begins to explore her own desires, encountering various people who introduce her to different perspectives on love, relationships, and desire. We're peeling back the layers on this classic, from its sumptuous visuals to its unforgettable performances—because when it comes to vintage erotica, the French do it differently. What makes La Vorace stand out? Is it any good ? Lets find out...Don't forget to follow us: https://linktr.ee/Bowchickawowwow
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
durée : 00:08:45 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - L'ONG Transparency Watch vient de publier son Indice de Perception de la Corruption 2024, et la France a dégringolé dans le classement de manière inédite : elle tombe en 25ᵉ position. Comment expliquer ce déclassement ? La classe politique française est-elle particulièrement corrompue ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Béatrice Guillemont Docteure en droit, chercheuse associée au laboratoire CERCCLE de l'Université de Bordeaux, membre de L'Observatoire de l'éthique publique
durée : 00:58:18 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1940, près de 15 000 soldats juifs sont faits prisonniers de guerre par l'armée allemande. Transférés vers des camps aux côtés des autres soldats, ils échappent à la politique d'extermination nazie. Comment expliquer ces trajectoires et cette mémoire singulières ? - réalisation : Thomas Beau, Anna Holveck - invités : Delphine Richard Docteur en histoire
La remontée du chômage se confirme en France avec une forte hausse du nombre de demandeurs d'emploi au quatrième trimestre 2024. Les jeunes de moins de 25 ans sont les principaux concernés.
Malgré les campagnes de prévention, l'alcool continue de faire des ravages. Particulièrement en France, où la consommation est très ancrée dans nos pratiques culturelles. En 2019, 3,5 milliards de bouteilles ont été consommées, ce qui fait de nous le deuxième consommateur mondial de vin, juste derrière les Etats-Unis. En 2019, l'alcool aurait entraîné la mort de 41000 personnes dont 16 000 cas de cancer, selon les chiffres de Santé Publique France. Parfois, sans s'en rendre compte, certains flirtent avec la dépendance. On parle alors d'alcoolisme mondain. La consommation ne dépasse pas quelques verres par jour mais presque tous les jours. Dans ce cas, la régularité devient problématique. Comment savoir si on consomme trop d'alcool ? Comment faire pour résister ? Et que faire en cas de perte de contrôle ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". "Maintenant Vous Savez" c'est également deux autres podcasts qui décryptent la culture avec "Maintenant Vous Savez - Culture" et la santé avec "Maintenant Vous Savez - Santé". Quatre fois par semaine, nous vous proposons de découvrir les meilleurs épisodes. Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Olivia Villamy. A écouter aussi : Quels sont les 3 conseils pour allaiter son bébé ? Quels sont les 3 bienfaits de l'amitié sur notre santé ? Quand faut-il s'inquiéter de la chute de nos cheveux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Date de première diffusion : 2 aout 2022 En partenariat avec Flipboard, votre magazine social. Abonnez-vous pour ne manquer aucun contenu ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Alors que l'Inde devient une démocratie, Gayatri Devi maintient sa position politique en étant élue au Parlement. Particulièrement populaire, elle marque durablement le paysage politique indien."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Vanessa Pontet.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Cyprille-Anne LigerMontage : Johanna Lalonde Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:06:47 - L'invité de 6h20 - Brigitte Autran, directrice du Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (Covars) est l'invitée de Mathilde Munos, alors que de plus en plus d'hôpitaux ont déclenché ces derniers jours des plans blancs, pour faire face à un afflux soudain de patients lié aux épidémies hivernales. - invités : Brigitte Autran - Brigitte Autran : Professeure émérite d'immunologie à Sorbonne Université, et présidente du comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (Covars).
durée : 00:05:48 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Ce matin, notre décryptage économique s'intéresse à la vie chère dans les départements d'outre-mer. Dont certains ont connu ces derniers mois des émeutes et des manifestations. Particulièrement en Nouvelle-Calédonie, et en Martinique.
durée : 00:02:02 - Le vrai ou faux - Selon le décompte, que franceinfo a pu consulter, 36 permanences de députés ont été prises pour cible. Les deux partis les plus visés, à égalité, sont le Rassemblement national et le Parti socialiste.
durée : 00:05:52 - Le Journal de l'éco - Ce lundi 9 décembre 2024, c'est la journée internationale de la lutte contre la corruption. Son but : sensibiliser le monde à ce fléau. Particulièrement ancré sur le continent africain où la corruption prive les populations de nombreuses opportunités et ralentit le développement.
durée : 00:09:43 - L'interview de Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT - Dans le film documentaire « Etudiantes en terrain miné » (diffusé sur LCP), Charlotte Espel donne la parole à des étudiantes ou doctorantes victimes d'agressions sexuelles ou de viols, qui parlent pour que ces violences ne soient pas passées sous silence. Elle est l'invitée de Secrets d'info.
Parmi les serpents de mer de l'histoire, cette question récurrente et néanmoins piquante : la régente Anne d'Autriche et son ministre principal, le cardinal Mazarin, ont-ils été amants ? Peut-être la question mérite-telle d'être posée autrement…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.