Ecouter le Monde évoque les cultures, les langues et les imaginaires à travers des sons d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Europe, d’Océanie. Une matinée parisienne dans le brouhaha du métro avec ses portillons qui claquent, une autre au marché de Bobo-Dioulasso avec les harangues des vendeurs, un voy…
Des éclats de rire, de mains, des voix composent ce voyage sonore en langue Joola. Au Sénégal, dans la commune d'Enampor à une dizaine de kilomètres de Ziguinchor, dans les sociétés villageoises Joola, chaque évènement de la vie est ponctué par un chant. Il accompagne des rites aussi bien sacrés que profanes. Très présent au quotidien, le chant brosse aussi le portrait des habitants, entonné et inventé spontanément par l'un, repris par l'autre, il devient mémoire collective et est porté par toute une communauté au jour le jour. Cet épisode a été réalisé dans le cadre d'une résidence d'artiste de Monica Fantini à l'Alliance Française de Ziguinchor en mars 2023.Il a été enregistré dans les villages de Badiatte, et de Seleky dans la commune d'Enampor à une dizaine de kilomètres de Ziguinchor.Merci à toutes les personnes qui ont entonnés leur chant : Daouda Dièmé son fils Mandjiki DièméSialobo Diatta.Équipe de production : Montage, mixage : Monica Fantini Prise de son : Monica Fantini et Yaya Goudiaby, ingénieur du son à l'Alliance Française de Ziguinchor Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de créationÀ la fois émission de radio diffusée chaque samedi dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son.Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés.
Hélène Thiao aime prononcer des mots par cœur en langue sérère, sa langue maternelle. Depuis la ville de Ziguinchor, où elle vit, l'évocation d'une petite bribe d'un chant entendu au village, suffit à faire surgir des émotions éprouvées au temps de l'enfance insouciante. Cet épisode a été réalisé dans le cadre d'une résidence d'artiste de Monica Fantini à l'Alliance Française de Ziguinchor en mars 2023.Écouter le monde, tout le monde Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des cinq continents. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur le site de RFI, tandis que la plateforme participative www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'« Écouter le monde » font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés.
Inspirés par « Ecouter le monde » , de jeunes auditeurs au Japon ont décidé à leur tour de tenter l'expérience en enregistrant les sons de la rue. Avec leurs enseignants, ces élèves d'une classe élémentaire de Tokyo ont capté des bribes de leur vie de tous les jours pour en partager le récit. Ils ont donc écouté leur monde au fil d'une traversée : de la cour de l'école, où résonne la balle des joueurs de baseball, au parc d'Asukayama, et du centre commercial avec sa salle de jeux à la gare d'Ōji. Une carte postale sonore vivante à hauteur d'enfant, le long de la rivière Shakujii. Genèse de « Tokyo dans les oreilles des enfants »La classe de CM2 E du lycée français international de Tokyo (membre de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger) a participé à cet atelier sonore proposé par Frédéric Sancy, responsable de la webradio LFI Tokyo au sein de l'école, et par Vanessa Bartagnon, enseignante.De l'écoute à la captation et jusqu'à la création sonore, l'atelier, inspiré par l'émission « Écouter le monde », a donné lieu à un premier récit sonore publié sur la plateforme Audio blog d'ARTE Radio. Sollicitée pour y participer à distance, Monica Fantini a par la suite composé cet épisode à partir des enregistrements envoyés du quartier Kita à Tokyo.Écouter le monde, tout le monde Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des cinq continents. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur le site de RFI, tandis que la plateforme participative www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'« Écouter le monde » font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés.
Cigales, grillons, mouches, papillons de nuit, blattes, libellules, abeilles, chauve-souris... bourdonnent, tambourinent, soufflent, vrombissent, trémulent... mais les entendons-nous ? Les êtres humains peuvent-ils tout entendre ? Le bio-acousticien et éco-acousticien Jérôme Sueur évoque des mondes sonores inconnus. « L'inconnu » est le deuxième épisode de la série « Voix animale », un inventaire non exhaustif des multiples manières de prêter l'oreille au monde sauvage. Elle a été conçue en écho à l'exposition MUSICANIMALE, LE GRAND BESTIAIRE SONORE, présentée à la Philharmonie de Paris du 20 septembre 2022 au 29 janvier 2023. Jérôme Sueur y a contribué en tant que conseiller scientifique.Tous les épisodes de la série :Voix animale – La rencontre Voix animale – L'inconnu Voix animale – Les interprétations Voix animale – Le vivantÉcouter le monde : une plateforme participativeÉcouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute et la création sonore. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Équipe de productionConception, montage, mixage, prise de son : Monica FantiniImprovisations musicales : Christophe RosenbergAide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
« Être animal », au plus proche de ses sens, dans le vent, les cris des grenouilles peintes, des zèbres, des lions, des hippopotames, c'est le credo de l'audio-naturaliste Fernand Deroussen. Son écoute amoureuse du monde sauvage est un éloge du vivant. «Le vivant » est le quatrième épisode de la série Voix animale, un inventaire non exhaustif des multiples manières de prêter l'oreille au monde sauvage. Elle a été conçue en écho à l'exposition Musicanimale, le grand bestiaire sonore, présentée à la Philharmonie de Paris du 20 septembre 2022 au 29 janvier 2023. L'audio-naturaliste Fernand Deroussen y présente ses captations sonores du monde. Loin du tumulte des humains, l'audio-naturaliste Fernand Deroussen parcourt la planète depuis plus de trente ans. Un microphone à la main, il arpente les espaces sauvages, capte les chants, les stridulations, les crépitements, les feulements et autres bruissements du monde.Tous les épisodes de la série : Voix animale – La rencontre Voix animale – L'inconnu Voix animale – Les interprétations Voix animale – Le vivant Écouter le monde : une plateforme participativeÉcouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute et la création sonore. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Équipe de productionConception, montage, mixage, prise de son : Monica FantiniAide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Les cerfs brament, les hyènes ricanent, les girafes meuglent, les colibris zinzinulent… Nous savons nommer les voix animales, mais savons-nous les entendre ? Du chant mythique des baleines, en passant par celui familier du grillon et jusqu'au chant du rossignol, petit inventaire non exhaustif de nos manières de prêter l'oreille au monde sauvage. « Les interprétations » est le troisième épisode de la série « Voix animale », conçue en écho à l'exposition MUSICANIMALE, LE GRAND BESTIAIRE SONORE, présentée à la Philharmonie de Paris du 20 septembre 2022 au 29 janvier 2023. Au sein de l'exposition, des centaines d'œuvres sonores, visuelles et plastiques, montrent l'influence des voix animales dans l'histoire de l'art et de la musique. Le catalogue de l'exposition retrace les thèmes du parcours sous forme d'abécédaire sonore et donne la parole aux historiens de l'art, aux scientifiques, aux artistes… cette chronique s'est inspirée de leurs contributions.Merci tout particulièrement à Olivier Adam, bio-acousticien spécialiste des cétacés, professeur à Sorbonne Université ; Federica Tamarozzi, ethnologue, responsable du département Europe au Musée d'ethnographie de Genève et au compositeur Christophe Rosenberg.Tous les épisodes de la série :Voix animale – La rencontre Voix animale – L'inconnu Voix animale – Les interprétations Voix animale – Le vivantÉcouter le monde : une plateforme participativeÉcouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute et la création sonore. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Équipe de productionConception, montage, mixage, prise de son : Monica FantiniImprovisations musicales : Christophe RosenbergAide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFI
Prêter l'oreille au monde animal, est-ce prêter aussi sa voix ? La performeuse et artiste Violaine Lochu, quant à elle, sait bourdonner avec les abeilles, chanter avec le rossignol, hululer avec le lama, caqueter avec les canards ou turluter avec l'alouette... Elle pratique une « écoute entière », celle qui transforme et donne de soi. « La rencontre » est le premier épisode de la série « Voix animale », un inventaire non exhaustif des multiples manières de prêter l'oreille au monde sauvage. Elle a été conçue en écho à l'exposition « Musicanimale, le grand bestiaire sonore », présentée à la Philharmonie de Paris du 20 septembre 2022 au 29 janvier 2023. Violaine Lochu y a exposé ses œuvres.Se déployant entre les champs de l'art contemporain, de la musique expérimentale et de la poésie sonore, le travail de Violaine Lochu est une exploration de la voix et du langage. Lors de longues périodes d'immersion dans des milieux spécifiques, elle collecte des éléments pour créer des performances, des pièces sonores, des installations et des publications. U-Ululer et Hybird ont été composées à partir de chants d'oiseauxTous les épisodes de la série :Voix animale – La rencontre Voix animale – L'inconnu Voix animale – Les interprétations Voix animale – Le vivantÉcouter le monde : une plateforme participativeÉcouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute et la création sonore. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons de la plateforme.Équipe de productionConception, montage, mixage, prise de son : Monica FantiniImprovisations musicales : Christophe RosenbergAide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFIÉcouter le monde sur : ► Apple Podcast► Google Podcast► Spotify
Telles des ritournelles certains sons se gravent dans la mémoire. Ils apaisent, bousculent ou renforcent l'esprit. Pour la psychologue vénitienne Tiziana Gavagnin, la rumeur qui berce son existence depuis l'enfance et résiste à l'oubli est celle de la mer. Tous les épisodes de la série « Le son qui reste »Le son qui reste – Drapeaux au vent - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Calle Paradiso - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Mosaïques des langues - Écouter le monde (rfi.fr) Tout à la fois émission de radio diffusée chaque samedi dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.Équipe de production : Conception, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son : Raphaël Cousseau (RFI Labo) Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Lorsque retentit la sirène de la grande usine de Ziguinchor, les habitants savent qu'il est sept heures trente. La ville s'éveille. Quittant le rivage encore alangui, les pirogues filent naviguer à travers les bolongs du fleuve Casamance. Peu à peu, les rues s'animent, envahies par les travailleurs et résonnant alors de l'agitation des marchés. Jusqu'au soir, quand la cité s'apaise au chant des prières. Cet épisode a été réalisé dans le cadre d'une résidence d'artiste de Monica Fantini à l'Alliance Française de Ziguinchor en mars 2023.À la fois émission de radio diffusée chaque samedi dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son.Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés.Équipe de production : Montage, mixage : Monica Fantini Prise de son : Monica Fantini et Yaya Goudiaby, ingénieur du son à l'Alliance Française de Ziguinchor Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
À Madagascar, au bord du canal du Mozambique, la vie va et bat en cadence douce. Jour après jour, ce village de pêcheurs se réveille au chant des oiseaux avant de s'animer du labeur des hommes. Parfois, s'élève de l'église la voix des jeunes filles en chœur. Le soir venu, la plage résonne des cris des petits footballeurs, quand les plus vieux se retrouvent pour un domino avant la nuit. À la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son.Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d'Écouter le monde.Équipe de production : Montage, mixage : Monica Fantini et François Porcheron Prise de son : François Porcheron Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Comment sonne Venise de l'aube à la nuit ? Les premières notes du petit matin sont données par les éboueurs : ils sonnent aux portes, récupèrent les poubelles et repartent avec leurs chariots. S'ensuivent les chants des hirondelles, les déplacements en bateaux, les traversées à pieds des sites touristiques fréquentés, puis des sites calmes et désertés, où toutes les voix résonnent. À la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son.Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d'Écouter le monde.Équipe de production : Conception, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son : Monica Fantini, Raphaël Cousseau (RFI Labo) et Victor Nebbiolo di Castri Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
« Le souvenir est ce qui résiste au temps », dit Ephie Raikopoulou, professeur de lettres. Dans sa langue maternelle, elle récite par cœur un poème en grec. Entremêlés, ses souvenirs tissent des liens entre l'écoute et la mémoire, entre les cultures et les langues. Extrait par cœur de cet épisode : « Le Rocher et la vague », poème allégorique écrit par Aristotélis Valaoritis en 1863.La série « Par cœur » souhaite susciter des réflexions et réaliser des créations autour des mémoires sonores et des cultures orales du monde. Quels mots, poèmes, berceuses, slogans, chansons... retient-on par cœur ? Quels sons nous ont marqués, sommes-nous capables d'imiter de vive voix ? En apparence sans importance, ces fragments que nous gardons au fond de nous et savons réciter, avec notre propre voix, constituent des archives vivantes de ce que l'on retient, volontairement ou pas, de notre monde comme et surtout de celui des autres. Tous les épisodes de la série Par cœur – La langue perdue - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La chambre noire - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La phrase inoubliable - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – L'absurde - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Mémoire Palace - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le poème en grec - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le mystère - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le jardin intérieur - Écouter le monde (rfi.fr) Qu'est-ce que vous n'oubliez pas ?Que reste-t-il de tout ce que nous entendons, qu'est-ce que nous n'oublions pas ? Monica Fantini souhaite multiplier nos perceptions et écoutes du monde et aller à la rencontre de tout le monde. Elle collecte et enregistre des textes, des sons, des chansons appris par cœur auprès de personnes de langues, de milieux et d'âges différents en évoquant le contexte et les souvenirs qu'ils font surgir... Assemblés et entremêlés, ces fragments composeront aussi des mosaïques sonores des mémoires des cinq continents dans le cadre d'installations sonores en Europe et en Afrique.Et vous, qu'est-ce que vous n'oubliez pas ? Si vous souhaitez participer et rencontrer Monica Fantini, vous pouvez écrire à cette adresse : info@ecouterlemonde.netÉcouter le monde, tout le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Quels sons nous ont marqués, que nous sommes capables d'imiter de vive voix ? Que nous reste-t-il en mémoire et pourquoi ? Le musicien et compositeur Christophe Rosenberg récite par et avec cœur les sons infimes découverts à l'adolescence dans une minuscule chambre noire. La série PAR CŒUR souhaite susciter des réflexions et réaliser des créations autour des mémoires sonores et des cultures orales du monde. Quels mots, poèmes, berceuses, slogans, chansons retient-on par cœur ? Quels sons nous ont marqués, sommes-nous capables d'imiter de vive voix ? En apparence sans importance, ces fragments que nous gardons au fond de nous et savons réciter, avec notre propre voix, constituent des archives vivantes de ce que l'on retient, volontairement ou pas, de notre monde comme et surtout de celui des autres. Tous les épisodes de la série Par cœur – La langue perdue - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La chambre noire - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La phrase inoubliable - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – L'absurde - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Mémoire Palace - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le poème en grec - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le mystère - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Mosaïques des langues - Écouter le monde (rfi.fr) Qu'est-ce que vous n'oubliez pas ?Que reste-t-il de tout ce que nous entendons, qu'est-ce que nous n'oublions pas ? Monica Fantini souhaite multiplier nos perceptions et écoutes du monde et aller à la rencontre de tout le monde. Elle collecte et enregistre des textes, des sons, des chansons appris par cœur auprès de personnes de langues, de milieux et d'âges différents en évoquant le contexte et les souvenirs qu'ils font surgir... Assemblés et entremêlés, ces fragments composeront aussi des mosaïques sonores des mémoires des cinq continents dans le cadre d'installations sonores en Europe et en Afrique.Et vous, qu'est-ce que vous n'oubliez pas ? Si vous souhaitez participer et rencontrer Monica Fantini, vous pouvez écrire à cette adresse : in@ecouterlemonde.netÉcouter le monde, tout le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Peut-on se souvenir d'une langue inconnue ? De quoi se compose notre mémoire sonore et comment nous construit-elle ? Léa Seide se souvient d'une ritournelle, quelques mots qui chantent sa petite enfance dans sa langue maternelle perdue. Extrait par cœur de cet épisode : Yalla tnam.LA SÉRIE PAR CŒUR souhaite susciter des réflexions et réaliser des créations autour des mémoires sonores et des cultures orales du monde. Quels mots, poèmes, berceuses, slogans, chansons... retient-on par cœur ? Quels sons nous ont marqués, que nous sommes capables d'imiter de vive voix ? En apparence sans importance, ces fragments que nous gardons au fond de nous et savons réciter avec notre propre voix, constituent des archives vivantes de ce que l'on retient, volontairement ou pas, de notre monde comme et surtout de celui des autres.Tous les épisodes de la série Par cœur – La langue perdue - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La chambre noire - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La phrase inoubliable - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – L'absurde - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Mémoire Palace - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le poème en grec - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le mystère - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le jardin intérieur - Écouter le monde (rfi.fr) QU'EST-CE QUE VOUS N'OUBLIEZ PAS ? Que reste-t-il de tout ce que nous entendons, qu'est-ce que nous n'oublions pas ? Monica Fantini souhaite multiplier nos perceptions et écoutes du monde et aller à la rencontre de tout le monde. Elle collecte et enregistre des fragments sonores appris par cœur auprès de personnes de langues, de milieux et d'âges différents en évoquant le contexte et les souvenirs qu'ils font surgir... Assemblés et entremêlés, ces fragments composeront aussi des mosaïques sonores des mémoires des cinq continents dans le cadre d'installations sonores en Europe et en Afrique. ÉCOUTER LE MONDE, TOUT LE MONDE Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Quel bruit fait le temps ? Quelle est sa cadence ? Le temps, c'est aussi une affaire de sensibilité : il s'étire, galope, s'enfuit selon les ressentis. Il est long à passer, vite passé. Composition polyphonique autour de l'onomatopée « tic-tac » et toutes ses résonances. Cet épisode a été réalisé en septembre 2023, dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini avec dix personnes étrangères apprenant le français au Greta (Groupement d'établissements publics locaux d'enseignements), à la médiathèque Maurice Genevoix, située à Blois, en France.Les illustrations de l'épisode ont été réalisées dans le cadre de l'atelier d'art graphique et dessin dirigé par Frédéric Chailleux avec les élèves de l'école de design Etic. Les élèves ont suivi et traduit en images toutes les étapes de l'atelier de création sonore.Merci aux participants : les élèves du cours de français Gayane Barkhudarova, Sahra Polat, Zainab Jalloh, Metin Kaya, Asma Djelil, Anintr Segaud, Veronika Prasolova ; Naïma Lazri, Elif Yalvac, Esra Yalvac. Merci également à Aurélie Venot, professeur de français et à Catherine Laveau, bibliothécaire à la Médiathèque Maurice Genevoix. Deux citations de poètes composent l'épisode :« Nous passons notre vie à écouter le tic-tac du temps… » Michèle Voltaire Marcelin« L'exil du temps est plus impitoyable que celui de l'espace. Mon enfance me manque plus cruellement que mon pays. » Dany LaferrièreLa médiathèque Maurice Genevoix est située à Blois, au cœur d'une des plus grandes ZUP de France, dont elle est une des structures culturelles essentielles, notamment auprès du public jeunesse, scolaire et familial. Elle a également une portée à visée sociale pour tenir compte de la grande mixité de la population, des langues parlées et de la richesse interculturelle. L'enjeu premier est de désacraliser le lieu de la bibliothèque, de le rendre engageant et socialisant, avec une attention particulière portée sur les ressources français langue étrangère (FLE). La médiathèque Maurice Genevoix est inscrite dans le réseau des bibliothèques de la communauté d'agglomération de Blois-Agglopolys.Le Greta Val de Loire de Blois est centre de formation pour adultes de l'Éducation nationale. Il dispense des formations de français langue étrangère d'une durée de deux mois à des adultes étrangers aux profils très variés (demandeurs d'asile, personnes vivant en France depuis de nombreuses années ou récemment arrivées sur le territoire, déplacés ukrainiens...). Le groupe ayant participé à l'atelier compte neuf femmes et un homme, âgés de 19 à 48 ans. Ils viennent de Turquie, de Thaïlande, d'Ukraine, du Maroc, d'Algérie et de Sierra Leone. Tous souhaitent développer leurs compétences en français afin de trouver un premier emploi, reprendre des études en France, réaliser une reconversion ou exercer le métier qu'ils avaient dans leur pays d'origine.Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'« Écouter le monde », Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquements des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquements des glaciers en Patagonie, roulements des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
Comment les sons racontent-ils une époque ? Des scènes de la vie quotidienne enregistrées dans la capitale de Madagascar en 1989 font surgir une ville en partie disparue. Si les cris des marchands du mythique marché Zoma ne sont plus que des souvenirs, il est encore possible de se promener dans la gare centrale et de croiser, à quelques heures de là, le lémurien au chant si singulier. Traversée sonore d'Antananarivo du passé au présent. Cet épisode a été réalisé à partir d'enregistrements sonores captés par Christophe Campens et Jacques Maunick et édités par Radio France Internationale en 1989 dans le vinyle « Bruitages d'océan Indien ». ÉCOUTER LE MONDE À la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d'Écouter le monde. ÉQUIPE DE PRODUCTIONMontage, mixage : Monica FantiniPrise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Comment les sons racontent-ils une époque ? Ils deviennent tour à tour témoins du présent ou traces du passé. Certaines scènes de la vie quotidienne enregistrées dans les années 1970 à Dakar s'entendent encore aujourd'hui dans ses rues, d'autres font désormais partie de sa mémoire. Le passage du train et son sifflet ne sont plus que des souvenirs, absents de la gare ferroviaire d'aujourd'hui, complétement renouvelée. Le port de la ville est en pleine mutation, mais les Dakarois le reconnaitront encore, tout comme les gestes des sculpteurs de tam-tams dans les allées des marchés. Traversée sonore de Dakar du passé au présent Dakar – Du passé au présent a été réalisé à partir d'extraits sonores du vinyle : Bruitages d'Afrique - Archives radiophoniques édité par la RTF. Il a été enregistré dans les années 1960 et 1970 par José Pivin, Pierrette Perrono et Christian Grelon.Les ambiances sonores de Dakar qui composent cet épisode sont les suivantes : Gare ferroviaire de Dakar - ambiance sur le quai Marché de Dakar sculpteurs de tam-tams Port de Dakar-déchargement de bateaux ÉCOUTER LE MONDE À la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d'Écouter le monde. ÉQUIPE DE PRODUCTIONMontage, mixage : Monica FantiniPrise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Au Niger, dans la région du Sahel, des scènes de la vie quotidienne enregistrées dans les années 1970 se perpétuent encore aujourd'hui. Les sons du passé sont toujours présents : les chants des oiseaux au bord de la Mékrou, les éclats de voix des femmes lavant leur linge au fleuve Niger à Ségou, les coups de marteaux et le soufflet de forgerons Touaregs au marché d'Ayorou, les musiques des griots haoussa au petit marché de Niamey… « Au Sahel – Du passé au présent » a été réalisé à partir d'extraits sonores du vinyle : « Bruitages d'Afrique - Archives radiophoniques » édité par la RTF. Il a été enregistré dans les années 1960 et 1970 par José Pivin, Pierrette Perrono et Christian Grelon.Les ambiances sonores du Niger qui composent cet épisode sont les suivantes : Réveil de la nature à six heures du matin au bord de la Mékrou : chants des oiseaux (Parc animalier du W.) Femmes lavant du linge au bord du fleuve Niger à Ségou. Au marché d'Ayourou dans la forge des Touaregs : coups de marteaux, soufflet, conversations entre les forgerons et les clients. Au petit marché de Niamey avec les griots haoussa, au printemps, à la fin des récoltes et de la saison des pluies.Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures du monde à travers des sons du quotidien. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que sa plateforme participative propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Les poèmes appris par cœur surgissent en nous par bribes, à l'improviste, au hasard des rencontres, quelques mots imprimés dans la mémoire résonnent avec les sons du monde. Au fracas des vagues s'entremêle un fragment du poème Le craquement du corps fracassé. Litanies à la mémoire de Pier Paolo Pasolini de Biagio Marin. La série " Paroles de poètes "Pourquoi la poésie s'invite-t-elle dans l'émission d' Écouter le monde ? Parce que les paroles des poètes signifient tout en sonnant. La poésie est aussi une musique. Comme le son, elle convoque un imaginaire, parle du monde et l'interroge en se gardant de l'expliquer. Elle offre une saillie du monde libérée de tout discours formaté. Les sons du quotidien résonnent dans les mots des poètes, qui souvent évoquent l'écoute.Tous les épisodes de la sérieParoles de poètes – SoufflesParoles de poètes – La mer ÉCOUTER LE MONDE À la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d'Écouter le monde.
À São Paulo, au marché de Pinheiros tous les jeudis se croisent : les chanteurs de rue, les réparateurs de cocotte-minute, les affûteurs de couteaux, mais aussi les vendeurs de bananes sucrées, de foies frais et des citrons pas chers…Tous vantent leurs marchandises. C'est un concours à qui criera le plus fort. Les captations sonores de cet épisode ont été réalisées par Lionel Rivière, étudiant et fidèle auditeur de RFI, il a envoyé sa « valise sonore » de la mégapole brésilienne, sa ville de cœur. Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures du monde à travers des sons du quotidien. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Que reste-t-il de tout ce que nous entendons ? En apparence sans importance, les fragments sonores de la vie quotidienne qui s'impriment dans notre mémoire, constituent des archives de notre monde comme de celui des autres. Pour Nuria Schoenberg-Nono, les souvenirs sonores ont un rythme et une forte résonance avec sa philosophie de la vie. Nuria Schoenberg-Nono est la présidente de la Fondation Archivio Luigi Nono à Venise. Fondée en1993 à son initiative, cette institution se donne pour mission de recueillir, conserver et promouvoir les œuvres et les écrits du compositeur Luigi Nono.Tous les épisodes de la série "Le son qui reste"Le son qui reste – Drapeaux au vent - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Calle Paradiso - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Mosaïques des langues - Écouter le monde (rfi.fr) Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Au marché de Sabra, à côté des établis libanais, palestiniens et syriens, passent, s'installent et travaillent les migrants d'Éthiopie, du Sri Lanka, des Philippines et du Bangladesh. De nouvelles langues et de nouvelles voix se greffent dans un espace déjà saturé. Au marché de Sabra, les langues s'imposent par bribes. Sabra c'est Babel. Cet épisode a été enregistré en 2016 et réalisé avec Nicolas Puig, anthropologue à l'Institut de recherche pour le développement, unité de recherche migrations et société. Pour aller plus loin :- Le marché de Sabra à Beyrouth par l'image et le son. Retour sur une enquête intensive ÉCOUTER LE MONDE Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Comment prêter l'oreille aux sons du quotidien ? Comment raconter son territoire par les sons ? La porte claque, la sonnerie retentit, les pas crissent, les voix grouillent… Quels sons emplissent la vie d'un établissement scolaire ? Portrait sonore du collège Berthelot au Mans par ses élèves. Cet épisode a été réalisé dans le cadre de l'édition 2024 du Festival Le Mans Sonore - Biennale internationale du son, à l'initiative de Caroline Venaille, enseignante-chercheuse en didactique des langues à l'université Le Mans. Au collège Berthelot, des équipes enseignantes et leurs élèves ont réfléchi aux sons qui caractériseraient leur territoire commun. Cette recherche a abouti à une création collective orchestrée et enregistrée par Delphine Duchemin de la radio CARTABLES FM et avec l'accompagnement de Monica Fantini. LA RADIO CARTABLES FM Créée en 1998, CARTABLES FM est une radio associative en milieu scolaire installée au Collège Berthelot au Mans. Elle émet 24h/24, 7 jours/7, en FM sur le 93.3 et en DAB+.L'une de ses missions essentielles est de privilégier la parole des élèves (de la maternelle à l'université) et des jeunes en général (centres de loisirs, IME, etc.), en leur offrant une formation à l'animation et/ou à la technique et un temps de parole à l'antenne.Média de proximité, CARTABLES FM diffuse les informations locales à caractère culturel et accorde une place importante au tissu associatif local. En dehors des temps d'émissions, CARTABLES FM propose une programmation musicale éclectique.Merci aux participants : Abdel-Kader, Aleesha, An Incha, Berina, Bilel, Capucine, Carlos, Daphnée, Léo, Lina, Louisa, Lucia, Macire, Mohamed, N'fansoumana, Nhu-Ngoc, Nils, Rayane, Rozette, Samy, Sena, Skander, Valentin, Zainab et le groupe d'UPE2A, Ani, Anderson, Dwayne, Dwight, Josaphate, Lina, Malik, Mayas, Mohamed, Mou Oumin, Nhu Ngoc, Zénaba et l'équipe enseignante Lenaïk Charlot, Anne Gernais, Edith Guéranger, Fadela Boussaid, Aline Quatravaux, Hanh Baillat, Eric Hertault, Sébastien Valentin.ÉCOUTER LE MONDE Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Comment sonne le monde ? Quels bruits bercent nos existences au crépuscule ? Au moment où l'un entend des hululements au loin sur la plaine au Venezuela, comment l'autre finit sa journée avec les oiseaux du soir sous un arbre aux Seychelles ? Quelles voix endorment les enfants au Timor et en Guyane ? Comment sonne le monde à la tombée de la nuit ? Ecouter le monde à la tombée de la nuit a été enregistré par Felix Blume au Venezuela, Xabier Erkizia au Timor et Francis Mazière en Guyane.Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Liens :Retrouvez sur le site du CREM, centre de recherche en Ethnomusicologie lesenregistrements sonores collectés en Amérique du Sud en 1951 et 2011, sélectionnés et repérés par Renaud Brizard : Felix Blume, Venezuela, 2011, la nuit est tombée sur la plaine : Francis Mazière, Guyane, 1951, berceuse (interprète inconnue) extrait du disque Musiques populaires de Guyane, BAM, Paris 1952Équipe de productionConception, montage, mixage : Monica Fantini.Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création.
Un chat dans l'escalier, des enfants sur la plaine de jeu, la voix de l'appel à la prière de la Mosquée bleue, les wagons sur les rails du tram 1, les vagues sous le pont du métro aérien de la Corne d'or, les musiciens de rue à Istiklal Caddesi… L'ingénieur du son Flavien Gillié nous invite à une traversée de la ville d'Istanbul, de l'aube à la nuit. Ingénieur du son à BNA-BBOT, Flavien Gillié est un contributeur d'Écouter le monde, la plateforme participative dédiée à la création sonore et à l'écoute. Ses prises de sons de la ville d'Istanbul réalisées dans le cadre de la résidence d'artiste Europalia, sont toutes cartographiées sur La carte des sons d'Écouter le monde.Initié par Radio France Internationale, le Conservatoire de musique Benedetto Marcello de Venise, l'E-Jicom de Dakar (École supérieure de journalisme, des métiers de l'internet et de la communication) et l'association bruxelloise BNA-BBOT « Bruxelles nous appartient », Écouter le monde a pour vocation de raconter le monde par le son, écho vivant du quotidien, de nos territoires. Au travers d'enregistrements de la vie ici et là et de créations sonores, cette plateforme se propose de collecter, d'éditer, d'archiver et d'exploiter un patrimoine.
Quels bruits montent de la rue jusqu'aux fenêtres grandes ouvertes ? Au Caire, à Quito, à Hanoï, à Naples, les voix des vendeurs ambulants et des passants s'étirent, s'interpellent, résonnent. Aux croisements de quatre continents, en Égypte, en Équateur, au Vietnam et en Italie, déploiement sonore des voix qui portent loin. Écouter le monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores d'Arnaud Soulier à Hanoï, Olivier Féraud à Naples, Vincent Battesti au Caire et Deborah Gros à Quito.Équipe de productionConception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini.Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création.
Une traversée sonore de la capitale sénégalaise de l'aube à la nuit : sur les toits de la ville au petit matin, au marché aux poissons de Pikine, sur le car rapide, le minibus bariolé le plus populaire de la ville, aux bords de l'océan, sur la plage de Yoff… Cet épisode a été réalisé dans le cadre de l'atelier Écouter pour informer, réalisé en mai 2017 avec les étudiants de l'école de journalisme E-jicom de Dakar, partenaire d'Écouter le monde.Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.Écouter le monde est un projet cofinancé par le programme Europe Créative de l'Union européenne.
Dès le matin, aux pieds de l'église Saint-Roch, puis au carrousel de la place du Grand Sablon à la sortie de l'école, et dans les rames du métro… Une plongée dans la vie de Bruxelles, de l'aube à la nuit. Cet épisode a été réalisé avec Séverine Janssen et Flavien Gillié de BNA-BBOT, partenaire d'Écouter le monde.Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.
Quelle est la rumeur du monde au réveil ? Du chant des oiseaux d'Andavadoaka, en passant par une volée de cloches à Paris, des voix des premières prières du jour à Dakar, jusqu'aux cris des oiseaux au bord de la rivière Mékrou… pièce sonore à l'aube du monde. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Écouter le monde à l'aube a été enregistré par Michel Créïs à Paris et à Dakar, François Porcheron à Andavadoaka, un auteur inconnu au bord de la rivière Mékrou.Équipe de productionConception, écriture, montage, mixage : Monica FantiniPrise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Que reste-t-il de tout ce que nous entendons, qu'est-ce que nous n'oublions pas ? Pourquoi apprendre par cœur ? Et si avoir des morceaux d'inoubliables dans la tête était un choix, une possibilité d'accéder à sa guise, à ses souvenirs ? La flûtiste Federica Lotti évoque sa mémoire du corps et du cœur. Performeuse et interprète d'un vaste répertoire classique et contemporain, la flûtiste Federica Lotti a joué en tant que soliste avec des orchestres du monde entier : au Théâtre La Fenice à Venise, au Centre Pompidou à Paris, à l'Académie Chopin de Varsovie, et encore à Oslo, au Texas, à Tokyo… Professeure au Conservatoire Benedetto Marcello de Venise, elle est aussi l'initiatrice de nombreux projets culturels en lien avec les plus importantes institutions de la ville. Elle se consacre aussi à la diffusion de l'œuvre de Lorenzo Da Ponte et met sa créativité musicale au service des projets qui traitent des thèmes éthiques, écologiques et interculturels.Extrait par cœur de cet épisode : Concert en Do majeur K299 pour flûte,harpe et orchestre de Mozart.La série « PAR CŒUR » souhaite susciter des réflexions et réaliser des créations autour des mémoires sonores et des cultures orales du monde. Quels mots, poèmes, berceuses, slogans, chansons... retient-on par cœur ? Quels sons nous ont marqués, sommes-nous capables d'imiter de vive voix ? En apparence sans importance, ces fragments que nous gardons au fond de nous et savons réciter avec notre propre voix, constituent des archives vivantes de ce que l'on retient, volontairement ou pas, de notre monde comme et surtout de celui des autres. Tous les épisodes de la série Par cœur – La langue perdue - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La chambre noire - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – La phrase inoubliable - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – L'absurde - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Mémoire Palace - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le poème en grec - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le mystère - Écouter le monde (rfi.fr)Par cœur – Le jardin intérieur - Écouter le monde (rfi.fr)Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.Équipe de productionInterview, montage, mixage : Monica FantiniPrise de son : Raphaël Cousseau – RFI LaboAide au mixage : Laurence Allanic eT Pascal Boungo – Unité de créationÉcouter le monde surApple PodcastGoogle PodcastSpotify
La nuit, quand Venise est presque désertée par ses habitants et surtout par ses hordes de touristes, la nature se donne à entendre. Les vagues déferlent, les embarcadères grincent, craquent, s'entrechoquent. Au loin, des rares voix se mêlent aux grillons et à la « Marangona », seule cloche à sonner minuit dans la ville. Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. Équipe de productionConception, montage, mixage : Monica FantiniPrise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic – Unité de créationÉcouter le monde surApple PodcastGoogle PodcastSpotify
Comment les sons de la vie quotidienne résonnent-ils dans les paroles des poètes ? Comment les poètes écoutent-ils le monde ? Guetteurs d'inaperçus, ils suggèrent bien souvent des manières inattendues et profondes d'y prêter l'oreille. « Écoute plus souvent les Choses que les Êtres... », écrit le poète sénégalais Birago Diop dans Souffles. Éclats de voix d'un poème aimé et remémoré. Cet épisode a été enregistré lors d'un atelier d'improvisation et interprétation dirigé par Monica Fantini dans le cadre d'une résidence d'artiste à l'Alliance Française de Ziguinchor, au Sénégal, en mars 2023. Merci aux participants en résidence : le poète Chehem Watta, la dramaturge et comédienne Danielle Lyse Itoumba Mbeng et l'écrivain et metteur en scène Luc Alanda Koubidina.ÉCOUTER LE MONDE, EN BREFÀ la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d'information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs. De leur collecte à la création d'œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d'artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l'ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l'écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s'adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d'Écouter le monde font régulièrement l'objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d'expositions, de colloques et d'événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d'Écouter le monde.
C'est le chœur de Naples : voix de marché et de voisinage, voix des rues et des vendeurs ambulants, voix de fenêtres et de bavardages, de crieurs aux poissons, aux citrons ou aux parapluies, crieuses de tombola et de tous les jours. Cet épisode a été réalisé avec Olivier Féraud, anthropologue et luthier, et en collaboration avec Milson, un programme du Centre de recherche en ethnomusicologie (CNRS) qui étudie et raconte la diversité des sociétés du monde à travers ses milieux sonores.Liens - Le site d'Olivier Féraud - Le site Milson, les anthropologues des milieux sonoresLes cris de Naples a été adapté par RFI Labo en version binaurale de synthèse (AUDIO 3D, à écouter au casque). Il fait partie d' Écouter le monde avec Milson, une série de 11 pièces sonoresqui souhaite transmettre de façon vivante, dans des pièces de 2 minutes 30 secondes, des fragments d'enquêtes ethnographiques au long cours menées en différents pays du monde à l'époque actuelle, mais aussi dans le passé grâce aux archives sonores du CNRS/Musée du l'Homme. De l'Asie à l'Europe, en passant par l'Afrique et une brève incursion en Amérique du Sud.Edité par RFI, le coffret-audio qui présente les 11 pièces sonores et retrace dans un livret, l'expérience de travail entre Monica Fantini et les anthropologues du collectif MILSON, est disponible surwww.ecouterlemonde.net
De Birmanie, le créateur sonore Stéphane Marin est revenu avec une valise remplie de sonorités lointaines. Le bruit berçant et métallique du chemin de fer, les cris aigus des vendeurs ambulants, la douceur des chants à la pagode, le tintamarre de klaxons à la gare routière… Ici, il nous invite à un voyage sonore dans la ville de Rangoun. Stéphane Marin, auteur, concepteur et metteur en son, crée la compagnie Espaces Sonores en 2008. Il engage dès lors plus radicalement son travail de création à explorer les frontières entre l'écoute du paysage sonore in situ et la composition.Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.Auteure et coordinatrice d'« Écouter le monde », Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
De quoi se compose notre mémoire sonore ? Avec dix personnes âgés de 19 à 48 ans, originaires de Turquie, Thaïlande, Ukraine, Maroc, Algérie et Sierra Leone, nous avons partagé des souvenirs sonores en plusieurs langues. Des fragments de mémoire s'entremêlent aux questions qu'ils font surgir… Cet épisode a été réalisé en septembre 2023, dans le cadre d'ateliers de création sonore dirigés par Monica Fantini avec dix personnes étrangères apprenant le français au GRETA (Groupement d'établissements publics locaux d'enseignements), à la Médiathèque Maurice Genevoix, située à Blois, en France.Les illustrations de l'épisode ont été réalisées dans le cadre de l'atelier d'art graphique et dessin dirigé par Frederic Chailleux avec les élèves de l'école de design Etic. Les élèves ont suivi et traduit en images toutes les étapes de l'atelier de création sonore.Merci aux participants : les élèves du cours de français : Gayane Barkhudarova, Sahra Polat, Zainab Jalloh, Metin Kaya, Asma Djelil, Anintr Segaud, Veronika Prasolova ; Naïma Lazri, Elif Yalvac, Esra Yalvac. Merci également à Aurélie Venot, professeur de français et à Catherine Laveau, bibliothécaire à la Médiathèque Maurice Genevoix.La médiathèque Maurice Genevoix est située à Blois, au cœur d'une des plus grandes ZUP de France dont elle est une des structures culturelles essentielles, notamment auprès du public jeunesse, scolaire et familial. Elle a également une portée à visée sociale pour tenir compte de la grande mixité de la population, des langues parlées et de la richesse interculturelle. L'enjeu premier est de désacraliser le lieu de la bibliothèque, de le rendre engageant et socialisant avec une attention particulière portée sur les ressources Français langue étrangère (FLE). La Médiathèque Maurice-Genevoix est inscrite dans le réseau des Bibliothèques de la communauté d'agglomération de Blois-Agglopolys.Le GRETA (Groupement d'établissements publics locaux d'enseignements) Val de Loire de Blois, est centre de formation pour adultes de l'Éducation nationale. Il dispense des formations de Français langue étrangère d'une durée de deux mois à des adultes étrangers aux profils très variés (demandeurs d'asile, personnes vivant en France depuis de nombreuses années ou récemment arrivées sur le territoire, déplacés ukrainiens...). Le groupe ayant participé à l'atelier, compte 9 femmes et un homme âgés de 19 à 48 ans qui viennent de Turquie, Thaïlande, Ukraine, Maroc, Algérie et Sierra Leone. Tous souhaitent développer leurs compétences en français afin de trouver un premier emploi, reprendre des études en France, réaliser une reconversion ou exercer le métier qu'ils avaient dans leur pays d'origine. Tous les épisodes de la série Le son qui reste – Drapeaux au vent - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Calle Paradiso - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Mosaïques des langues - Écouter le monde (rfi.fr)Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'« Écouter le monde », Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.
Que disent les voix métropolitaines ? Elles sont litaniques, solitaires, naturelles, mécaniques, omniprésentes, imprévisibles. Du matin au soir, elles résonnent sous le pavé de la capitale et accompagnent les millions de franciliens qui, tous les jours, empruntent les transports en commun. Écouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast sur cette page, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute et la création sonore. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons de la plateforme. Équipe de productionConception, montage, mixage, prise de son : Monica FantiniAide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFIÉcouter le monde sur :► Apple Podcast► Google Podcast► Spotify
Quand il flâne dans la Sérénissime, l'anthropologue Marc Higgin ne s'arrête pas n'importe où. C'est une ruelle longue et étroite face à la mer qui a retenu toute son attention ; un point d'ouïe extraordinaire où l'acoustique de la ville, ses résonances et ses réverbérations se donnent à entendre. Pour lui, les sons de Venise qui restent gravés dans la mémoire, se trouvent à calle Paradiso. Marc Higgin est anthropologue et chercheur au « Centre de Recherche sur l'Espace Sonore et l'environnement urbain » (CRESSON), à l'École nationale supérieure d'architecture de Grenoble. Ses recherches portent sur les pratiques quotidiennes de la vie sociale et les relations des humains avec leur environnement, la nature, les animaux. Il s'intéresse aux manières dont les vivants habitent le monde et aux chorégraphies qu'ils inventent dans leurs actions.Tous les épisodes de la série Le son qui reste – Drapeaux au vent - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Calle Paradiso - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Mosaïques des langues - Écouter le monde (rfi.fr) Écouter le mondeÉcouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast sur cette page, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute et la création sonore. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons de la plateforme.Équipe de productionConception, montage, mixage, prise de son : Monica FantiniAide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création – RFIÉcouter le monde sur : ► Apple Podcast► Google Podcast► Spotify
Que reste-t-il de tout ce que nous entendons ? Qu'est-ce que nous n'oublions pas ? Pour la chercheuse en sciences sociales Perrine Poupin, le son qui reste en mémoire est une trace ténue de la vie quotidienne, elle fait lien et écho, contredit les idées reçues, provoque les pensées... Perrine Poupin est sociologue, chargée de recherche au CNRS. Elle travaille au laboratoire « Ambiance, Architecture, Urbanité » au « Centre de Recherche sur l'Espace Sonore et l'environnement urbain » (CRESSON), à l'Ecole Nationale Supérieure d'architecture de Grenoble. Après avoir vécu quinze ans en Ukraine, elle continue ses recherches en sciences sociales, s'intéressant aux conflits at aux mouvements de résistance, notamment en collaborant avec l'ingénieur du son Andrii Nidzelski. Depuis le début de la guerre en Ukraine, il documente par le son, la vie au quotidien à Kiev et ses alentours.Tous les épisodes de la série Le son qui reste – Drapeaux au vent - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Calle Paradiso - Écouter le monde (rfi.fr)Le son qui reste – Mosaïques des langues - Écouter le monde (rfi.fr) Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'« Écouter le monde », Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.Écouter le monde surApple PodcastGoogle PodcastSpotify
Comment résonne le monde dans les cafés ? Au Caire, le café est une institution ouverte sur la ville, à Paris des bruits d'assiettes, fourchettes, tasses, bonjours, bonsoirs, se répètent en boucle comme dans une pièce de théâtre, tandis que dans le petit boui-boui au bord de la route à Vientiane, le boucan des motos s'entremêle aux voix de manière aléatoire. De l'Égypte, en passant par la France et jusqu'au Laos, petit tour sonore des bistrots du monde. Ecouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Vincent Battesti au Caire, Monica Fantini à Paris, Igor Strauss à Vientiane.
Voix criées et scandées, gaillardes et chantantes, graves et aigues… Tous les marchés du monde donnent-ils de la voix ? De Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, en passant par Milan en Italie et jusqu'à Téhéran en Iran, polyphonie sonore d'un grand marché imaginaire. Écouter le monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Monica Fantini à Bobo-Dioulasso et à Milan et de Nicolas Falez à Téhéran.Équipe de productionConception, écriture, montage, mixage : Monica FantiniPrise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de créationÉcouter le monde surApple PodcastGoogle PodcastSpotify
Comment se déplace-t-on dans le monde et comment cela s'entend-il ? Les clapotements bercent les vénitiens sur leurs barques à rames. Les claquements des sabots rythment le quotidien des Dakarois : les calèches tirées par les chevaux y transportent tout type de matériaux. Et enfin les vrombissements des tuk-tuk à trois roues de Prey Nup accompagnent les voyageurs. De l'Italie, en passant par le Sénégal et jusqu'au Cambodge, périple sonore sur trois continents. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons.Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Monica Fantini à Venise, Michel Créïs à Dakar, et François Porcheron à Prey Nup.Équipe de productionConception, écriture, montage, mixage : Monica FantiniPrise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Loin de « clichés entendus », certaines sonorités vénitiennes résonnent dans la ville depuis des siècles : le bruit des métiers à tisser de la Maison Luigi Bevilacqua, où l'on fabrique des tissus précieux pour le monde entier ou encore minuit sonné par la « Marangona », la cloche que l'on entend partout à travers la ville… Écouter le monde à Venise Invitée par la Fondazione Bevilacqua La Masa, Monica Fantini présente à Venise l'installation sonore « Venezia – il suono che resta », une traversée sonore de la ville et des mémoires de ses habitants, dans le cadre de l'exposition collective « Listening Post. Dalle pratiche di ascolto alla sound art », à la Galleria di Piazza San Marco, 71/c, Venezia, du 22 juillet au 10 septembre 2023.« Venezia – il suono che resta » se décline en plusieurs formats et propose plusieurs écoutes : Sur cette page, chaque semaine de l'été, par fragments et en écho à l'exposition, retrouvez des épisodes d'« Écouter le monde » consacrés à Venise. À Venise, à la Fondazione Bevilacqua La Masa – Galleria di Piazza San Marco, 71/c, du 22 juillet au 10 septembre 2023, pour une écoute spatialisée et immersive dans la galerie de la Fondation Bevilacqua La Masa, réalisée avec Raphaël Cousseau de RFI Labo. Ici, en version binaurale et en italien, pour une écoute immersive au casque où que vous soyez.Écouter le mondeTout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans plusieurs journaux d'information de RFI et plateforme participative, « Écouter le monde » donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'émissions sont à écouter en podcast sur cette page, tandis que la plateforme participative et évolutive www.ecouterlemonde.net propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès. Auteure et coordinatrice d'« Écouter le monde », Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise… Autant d'éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.Pour aller plus loin : Site de la Maison Luigi Bevilacqua
Quelle est la rumeur du monde au réveil ? Du chant des oiseaux d'Andavadoaka, en passant par une volée de cloches à Paris, des voix des premières prières du jour à Dakar, jusqu'aux cris des oiseaux au bord de la rivière Mékrou… pièce sonore à l'aube du monde. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Écouter le monde à l'aube a été enregistré par Michel Créïs à Paris et à Dakar, François Porcheron à Andavadoaka, un auteur inconnu au bord de la rivière Mékrou. Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Perçantes, assurées, chaudes, fluides, douces, éclatantes, éraillées, gouailleuses, les voix de rue emplissent les villes. Des cris des vendeurs au Caire, en passant par les exclamations des porteurs de produits frais à Naples, jusqu'au chant de l'enfant qui joue à répéter les mots du muezzin à Bruxelles, petite polyphonie des voix du monde. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Ecouter les voix ambulantes du monde a été enregistré par Vincent Battesti au Caire, Olivier Féraud à Naples et le collectif BNA-BBOT à Bruxelles. Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
À quoi joue le monde ? En Afrique, en passant par l'Europe et jusqu'en Asie, des espaces publics se prêtent au jeu. Enfants et adultes, amateurs et professionnels, se donnent rendez-vous sur un terrain de foot à Bamako au Mali, au stade Vicente Calderón de Madrid en Espagne et enfin sur le ring de muay-thaï, la boxe thaïlandaise, dans la province de Chachoengsao. Ecouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. « Écouter le monde jouer » a été réalisé avec les contributions sonores de Stéphane Rennesson en Thaïlande, Déborah Gros en Espagne, et par RFI en Afrique. Équipe de production : Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini. Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création.
Au moment où l'un se rend au travail à Chennai, comment l'autre commence-t-il sa journée à Dakar ou à Venise ? Quels bruits accompagnent les usagers des transports en commun du monde ? À bord d'un train indien, d'un vaporetto italien et d'un car rapide sénégalais, voyage sonore sur les routes de trois continents. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. « Écouter le monde dans les transports en commun » a été enregistré par Christine Guillebaud à Chennai, Michel Créïs à Venise et Monica Fantini à Dakar.
Quels bruits montent de la rue jusqu'aux fenêtres grandes ouvertes ? Au Caire, à Quito, à Hanoï, à Naples, les voix des vendeurs ambulants et des passants s'étirent, s'interpellent, résonnent. Aux croisements de quatre continents, en Égypte, en Équateur, au Vietnam et en Italie, déploiement sonore des voix qui portent loin. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Arnaud Soulier à Hanoï, Olivier Féraud à Naples, Vincent Battesti au Caire et Deborah Gros à Quito. Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Comment se déplace-t-on dans le monde et comment cela s'entend-il ? Les clapotements bercent les vénitiens sur leurs barques à rames. Les claquements des sabots rythment le quotidien des Dakarois : les calèches tirées par les chevaux y transportent tout type de matériaux. Et enfin les vrombissements des tuk-tuk à trois roues de Prey Nup accompagnent les voyageurs. De l'Italie, en passant par le Sénégal et jusqu'au Cambodge, périple sonore sur trois continents. Écouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Monica Fantini à Venise, Michel Créïs à Dakar, et François Porcheron à Prey Nup. Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Voix criées et scandées, gaillardes et chantantes, graves et aigues… Tous les marchés du monde donnent-ils de la voix ? De Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, en passant par Milan en Italie et jusqu'à Téhéran en Iran, polyphonie sonore d'un grand marché imaginaire. Écouter le monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Monica Fantini à Bobo-Dioulasso et à Milan et de Nicolas Falez à Téhéran. Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création Écouter le monde sur Apple Podcast Google Podcast Spotify
Comment résonne le monde dans les cafés ? Au Caire, le café est une institution ouverte sur la ville : même les cris des vendeurs ambulants y entrent ; à Paris des bruits d'assiettes, fourchettes, tasses, bonjours, bonsoirs, se répètent en boucle comme dans une pièce de théâtre, tandis que dans le petit boui-boui au bord de la route à Vientiane, le boucan des motos s'entremêle aux voix de manière aléatoire. De l'Égypte, en passant par la France et jusqu'au Laos, petit tour sonore des bistrots du monde. Ecouter Le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme sonore participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Vincent Battesti au Caire, Monica Fantini à Paris, Igor Strauss à Vientiane. Écouter le monde sur Apple Podcast Google Podcast Spotify Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création
Comment les sons sacrés du monde résonnent-ils entre eux ? Comment emplissent-ils l'espace public au quotidien ? Du chant du soir à la mosquée al Moultazam de Dakar, aux volées des cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris, jusqu'aux tintements des clochettes de la cérémonie religieuse du bouddhisme tibétain au monastère de Likir en Inde, les sons sacrés se répandent. Ecouter le Monde est une émission radiophonique en réécoute en podcast ici, mais aussi une plateforme participative consacrée à l'écoute. Elle archive et met à disposition en libre accès plus de 200 enregistrements sonores envoyés du monde entier, à retrouver sur La carte des sons. Cet épisode a été réalisé avec les contributions sonores de : Olivier Féraud au Likir, Xavier Gibert à Paris, Monica Fantini à Dakar. Écouter le monde sur Apple Podcast Google Podcast Spotify Équipe de production Conception, écriture, montage, mixage : Monica Fantini Prise de son de la voix et aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création