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Today, the Spotlight shines On Claire Cope. This British composer crafts music that combines the freedom of jazz with the precision of classical music, drawing inspiration from women whose stories are often overlooked in history books.Caire's new album Every Journey dropped in March to coincide with International Women's Day. On it, she expanded her original septet to an 11-piece band, giving her more colors to paint with as she tells stories of female explorers and their brave first steps.Claire's writing has been described as “beautiful and reflective,” earning praise for how she creates space for each musician to shine within these rich musical landscapes.(The musical excerpts heard in the interview are from Ensemble C's album Every Journey)–Dig Deeper• Visit Claire Cope's official website at clairecopemusic.com• Listen to Claire Cope's Ensemble C on Bandcamp, Qobuz, and your streaming platform of choice• Claire's new album Every Journey was released on March 7, 2025 via Adhyâropa Records• Listen to Michael Brecker's "Wide Angles" album that influenced Claire's approach to ensemble composition• Follow vocalist Brigitte Beraha, a key collaborator in Ensemble C• Listen to tenor saxophonist Matt Carmichael's "Dancing with Embers" album that Claire recommends• Explore composer Mark-Anthony Turnage's "Blood on the Floor", which combines classical and jazz elements• Dig into this episode's complete show notes at spotlightonpodcast.com–• Did you enjoy this episode? Please share it with a friend! You can also rate Spotlight On ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ and leave a review on Apple Podcasts.• Subscribe! Be the first to check out each new episode of Spotlight On in your podcast app of choice.• Looking for more? Visit spotlightonpodcast.com for bonus content, web-only interviews + features, and the Spotlight On email newsletter. You can also follow us on Bluesky, Mastodon, YouTube, and LinkedIn.• Be sure to bookmark our new online magazine, The Tonearm! → thetonearm.com Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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Le spatial comme levier de développement durable ? La question est ouverte à Dakar lors de la 1ère édition de la Senegal Space Week, après la création de l'agence spatiale africaine annoncée au Caire. Pourquoi et comment développer le potentiel spatial de l'Afrique ? Bienvenue chers amis, auditrices et auditeurs, les pieds sur la terre de la Teranga et la tête dans les étoiles pour une émission qui devrait tous nous faire décoller, enregistrée à Dakar pendant le symposium spatial qui clôt la Senegal Space Week. Il s'agissait de la 1ère édition organisée par Maram Kairé, l'astronomique directeur de l'Agence sénégalaise des études spatiales (ASES). Ce chasseur d'étoiles dont un astéroïde porte le nom, s'est donné pour mission de promouvoir l'astronomie et les sciences spatiales dans son pays et de positionner le Sénégal comme un leader africain dans le domaine spatial...Avec Maram Kairé, directeur de l'Agence sénégalaise des études spatiales (ASES). Et en éclairage - Ibrahima Camara, chercheur au Laboratoire physique de l'atmosphère et de l'océan à l'École Polytechnique de l‘Ucad sur l'importance des satellites pour observer Océan et climat- Le professeur Baidi Demba Diop de l'Association sénégalaise de promotion de l'astronomie.Musiques diffusées pendant l'émissionAnaké – Maram KairéSouad Massi – Une seule étoile.
Le spatial comme levier de développement durable ? La question est ouverte à Dakar lors de la 1ère édition de la Senegal Space Week, après la création de l'agence spatiale africaine annoncée au Caire. Pourquoi et comment développer le potentiel spatial de l'Afrique ? Bienvenue chers amis, auditrices et auditeurs, les pieds sur la terre de la Teranga et la tête dans les étoiles pour une émission qui devrait tous nous faire décoller, enregistrée à Dakar pendant le symposium spatial qui clôt la Senegal Space Week. Il s'agissait de la 1ère édition organisée par Maram Kairé, l'astronomique directeur de l'Agence sénégalaise des études spatiales (ASES). Ce chasseur d'étoiles dont un astéroïde porte le nom, s'est donné pour mission de promouvoir l'astronomie et les sciences spatiales dans son pays et de positionner le Sénégal comme un leader africain dans le domaine spatial...Avec Maram Kairé, directeur de l'Agence sénégalaise des études spatiales (ASES). Et en éclairage - Ibrahima Camara, chercheur au Laboratoire physique de l'atmosphère et de l'océan à l'École Polytechnique de l‘Ucad sur l'importance des satellites pour observer Océan et climat- Le professeur Baidi Demba Diop de l'Association sénégalaise de promotion de l'astronomie.Musiques diffusées pendant l'émissionAnaké – Maram KairéSouad Massi – Une seule étoile.
Un autre fiasco informatique. Les demandeurs d’asile devant la Cour suprême. Pause des tarifs avec la Chine en vigueur aujourd’hui. Nouvelle tournée pour Juste Pour Rire ! Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
« En un instant, mon coeur fut touché et je crus ». Ces paroles de Paul Claudel résonnent dans le coeur de Frère Adrien Candiard, l'auteur du livre « Maman voudrait que je croie en Dieu » (Cerf). Originaire de Paris, le brillant Dominicain a étudié l'histoire et les sciences politiques avant d'entrer au noviciat à l'âge de vingt-trois ans. À l'issue de son cursus, il est missionné pour mener des travaux sur l'islam et intègre l'Institut dominicain d'études orientales, au Caire, où il est également curé de la paroisse francophone. Adrien Candiard est connu pour ses ouvrages à succès de méditation, de théologie, ses livres fins et pédagogiques ; accompagnant les jeunes dans leurs parcours de foi, il connait les parcours qui mènent à la foi adulte, et les mots qui touchent. Il nous plonge aujourd'hui, grâce à ce roman, dans le bouillonnement spirituel de l'adolescence, la recherche de la propre relation avec Dieu.
durée : 00:53:49 - Questions d'islam - par : Ghaleb Bencheikh - L'aventure orientale de Bonaparte est relue par l'historien administrateur de l'Institut d'Égypte Ahmed Youssef. Et justement, au-delà de la campagne d'Egypte, il s'intéresse aux liens qui unissent Napoléon à l'islam et en tire une analyse aussi passionnante que paradoxale. - réalisation : François Caunac - invités : Ahmed Youssef Ecrivain, historien, membre du conseil d'administration de l'Institut d'Égypte au Caire
REDIFF - C'était il y a trente-cinq ans dans un village tranquille des Alpes-de-Haute-Provence, La Motte-du-Caire, 500 habitants. S'est déroulé ici un crime qui, malgré le temps, hante toujours les mémoires, et qui a fait date dans l'histoire de la justice. La mort abominable de la petite Céline Jourdan, six ans et demi, arrachée à sa famille un soir d'été, violée et tuée selon un scénario qui ne relève que de la barbarie. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - C'était il y a trente-cinq ans dans un village tranquille des Alpes-de-Haute-Provence, La Motte-du-Caire, 500 habitants. S'est déroulé ici un crime qui, malgré le temps, hante toujours les mémoires, et qui a fait date dans l'histoire de la justice. La mort abominable de la petite Céline Jourdan, six ans et demi, arrachée à sa famille un soir d'été, violée et tuée selon un scénario qui ne relève que de la barbarie. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - C'était il y a trente-cinq ans dans un village tranquille des Alpes-de-Haute-Provence, La Motte-du-Caire, 500 habitants. S'est déroulé ici un crime qui, malgré le temps, hante toujours les mémoires, et qui a fait date dans l'histoire de la justice. La mort abominable de la petite Céline Jourdan, six ans et demi, arrachée à sa famille un soir d'été, violée et tuée selon un scénario qui ne relève que de la barbarie. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est demain, à Rome, qu'auront lieu les funérailles du pape François. Et parmi les hommages au souverain pontife, il y a celui d'une personnalité musulmane qui l'a rencontré il y a dix ans en Centrafrique. À l'époque, le Sénégalais Abdoulaye Bathily était le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en Afrique centrale. Aujourd'hui, il est l'envoyé spécial du président du Sénégal auprès du Mali, du Niger et du Burkina Faso. Quel souvenir garde-t-il du pape François ? Le professeur Bathily témoigne au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Pourquoi voulez-vous rendre hommage au pape François ? Abdoulaye Bathily : Eh bien, le pape François n'a pas été que le chef de l'Eglise catholique. En Afrique, il a joué un rôle très important dans certains conflits. J'ai été témoin de l'un en particulier : en novembre 2015, comme vous le savez, il a visité la République centrafricaine et le pape ne s'est pas simplement occupé de sa mission pastorale… Il a tenu à aller même jusqu'à la mosquée de Bangui, dans le quartier PK5, qui regroupait beaucoup de musulmans. Et il est resté avec nous à la mosquée. Il s'est entretenu avec les chefs religieux musulmans, avec tous les acteurs de Centrafrique. Ce geste m'a particulièrement marqué. Et il faut dire que c'est ce passage du pape qui nous a permis, vraiment, de donner une accélération au processus politique en Centrafrique, qui a abouti ? pour la première fois dans l'histoire de la Centrafrique, à l'organisation d'élections libres, démocratiques et transparentes [en décembre 2015]. Et bien entendu, je suis navré que cette œuvre du souverain pontife n'ait pas été suivie, quand je vois ce qui se passe aujourd'hui, les tentatives de troisième mandat, source encore d'instabilité pour ce pays.Donc, ce que vous avez vu à Bangui, ce n'est pas seulement un pape, c'est aussi un homme avec ses qualités ?Un homme avec ses qualités. Il a une vision œcuménique de l'humanité. Le pape François est un humaniste. Et malheureusement, quand on voit les tourments du monde actuel au moment où il quitte cette terre, il y a de quoi vraiment le regretter profondément.Regrettez-vous qu'il s'en aille au moment où arrive Donald Trump ? En tout cas, aujourd'hui, la scène internationale manque d'une voix forte, une voix morale. Le souverain pontife François a donné cet exemple et nous souhaitons que cette crise de leadership puisse être surmontée le plus rapidement possible parce que le monde est en manque de leadership. Aujourd'hui, il y a une véritable crise de leadership de qualité.Alors, dans leur document commun de 2019 pour la fraternité, le pape et le grand imam de la mosquée Al-Azhar du Caire écrivent « Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine par laquelle Dieu a créé les êtres humains », sous-entendu, Dieu s'exprime à travers plusieurs religions. Vous qui êtes musulman, comment vous avez réagi à ce document ? Il n'y a pas plus sage que ces termes-là. C'est magnifique, ce qui est dit là. Et l'avenir du monde est dans ces propos. Sinon, c'est l'aventure, c'est le chaos. C'est pourquoi nous avons plus que jamais besoin d'un leadership responsable.Vous rendez donc hommage à François, le pape du dialogue… Mais vous aussi, à votre niveau, vous êtes un homme de dialogue puisque Bassirou Diomaye Faye vous a nommé l'an dernier envoyé spécial de la présidence sénégalaise auprès du Burkina Faso, du Niger et du Mali. Mais cette semaine, à Accra, au Ghana, pour les 50 ans de la Cédéao, aucun ministre de ces trois pays n'est venu. La cassure entre l'Alliance des Etats du Sahel et la Cédéao est donc manifeste. Est-ce que vous n'êtes pas découragé ? Le découragement n'est pas une option pour moi. Je suis venu justement à Accra, ici, pour remettre un message de solidarité et d'espoir. Un message qui témoigne de la volonté des deux chefs d'Etat, Bassirou Diomaye Faye du Sénégal et John Dramani Mahama du Ghana, de continuer, aux côtés de leurs autres collègues de notre région ouest-africaine, le dialogue, la négociation, la discussion pour que l'Afrique de l'Ouest soit restaurée dans sa stabilité, dans ses perspectives de développement. Voilà pourquoi je suis là aujourd'hui. Oui, mais la rupture est consommée, non ? Je ne suis pas du même avis que vous. Les peuples veulent rester ensemble. L'histoire et la géographie nous le commandent et nous y arriverons.Est-ce qu'avec les contacts que vous avez établis et qui sont solides avec Bamako, Niamey, Ouagadougou, vous avez l'espoir que d'ici le 29 juillet, la date limite, il soit possible de trouver un accord entre l'AES et la Cédéao ? L'histoire est une course de fond, ce n'est pas une course de vitesse. Je suis optimiste et les peuples de l'Afrique de l'Ouest veulent rester ensemble pour construire des espaces de paix et de solidarité.
Nuestros amigos y pareja favorita, Stephie Caire y Jorge Blanco, nos visitaron en cabina para platicar un poco más de cómo inició su relación, cómo ha sido crecer frente al ojo público. También platicamos sobre nuestras películas infantiles favoritas e hicimos un reto de “frases de películas que viven en nuestra cabeza”. Cuéntanos ¿Cuál es tu película infantil favorita?See omnystudio.com/listener for privacy information.
Alain Defremont chroniqueur cinématographique de l'UFAL vous présente les films :« La rose pourpre du Caire », « Out of Africa », « Jeremiah Jonson », « Juré n° 2 », « le bon , la brute et le truand », « GranTorino ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
'He demonstrated through his leadership great humility and service - he was a voice for those who had no voice - Jane Mellet from Trócaire spoke to Frank about how Pope Francis showed the 'compassion, mercy and joy Christians are called to live' Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
▶️ Dans cet épisode, on vous dévoile la nouvelle formule du podcast. Désormais, nous serons 4 autour de la table : un·e invité·e et deux chroniqueur·euse·s qui animeront la discussion à mes côtés. On fait donc connaissance avec l'équipe : Nina Aguillon, Ayman Moussa et Nastassia Pouradier Duteil, tous membres du laboratoire Jacques-Louis Lions.
La guerre au Soudan, deux ans après son déclenchement, est en grande partie passée sous les radars médiatiques, sauf peut-être cette semaine. Ces deux ans de guerre ont été l'occasion de réunir une conférence à Londres coorganisée par le Royaume-Uni, l'Union européenne, l'Allemagne, la France et l'Union africaine, organisation dont le Soudan est membre, même si son gouvernement, l'un des belligérants, n'était pas convié. Alors, au-delà des 800 millions d'euros d'aide promise, cette rencontre a été utile pour jeter un coup de projecteur sur ce qui est, selon l'ONU, « la pire crise humanitaire au monde ».En deux ans de combats entre les forces armées soudanaises du général Al-Bourhane, qui a repris Khartoum, et les paramilitaires des Forces de soutien rapide du général « Hemedti », qui vient d'annoncer un gouvernement rival, on compte plus de 150 000 morts, 13 millions de personnes déplacées et une situation de famine qui menace la moitié de la population. Et face à cela, on peut dire que le monde regarde ailleurs. Un seul exemple, sur toute l'année 2024, TF1, la plus grande chaîne d'Europe, n'a mentionné le Soudan que trois fois dans ses journaux télévisés, d'après l'INA.Témoigner et informer malgré l'exilCe ne sont pas seulement les médias d'information internationale qui documentent sur l'horreur de la guerre. Ce sont d'abord tous ces civils qui témoignent par des vidéos en filmant les exactions, comme on a pu encore le voir dimanche lors des massacres de Zamzam, près d'Al Fasher, opéré par les Forces de soutien rapide. Ce sont ensuite tous ces journalistes qui poursuivent leur travail en exil. Selon Reporters sans frontières, ils sont 431 à avoir fui vers les pays voisins, pour les trois quarts en Égypte, et on compte une dizaine de médias soudanais qui continue de couvrir ce conflit sans avoir de bureaux et en étant sous la menace constante d'une expulsion. Ils sont implantés au Caire, mais aussi en Ouganda, au Kenya ou au Rwanda. En Égypte, des conditions de travail problématiquesProblématiques parce que l'Égypte du maréchal Abdel Fattah Al-Sissi soutient de façon inconditionnelle le régime officiel du général Abdel Fattah Al-Bourhane. Il y a près d'un an, la chaîne Sudania 24 a dû par exemple interrompre ses émissions depuis le Caire quand un opposant à la guerre, issu d'une coalition civile, s'est exprimé. La chaîne a pu ensuite les reprendre, mais le programme politique « Derayat al-Hadath » a été définitivement arrêté en décembre. Depuis, l'équipe subit des intimidations qui prennent la forme d'expulsions du pays, mais aussi de menaces de mort ou de campagnes de diffamation quand elle n'est pas obligée lire des communiqués de soutien à l'armée soudanaise.À lire aussiSoudan: des centaines de réfugiés au Caire cherchent à rejoindre Khartoum en bus
Juan Caire is Co-Founder and CEO of Alliance BPO Services, based in Hermosillo, Sonora, Mexico. Jim Farnsworth is the CEO and Founder of Octayne Ventures, based in Denver, Colorado. Peter recently visited Hermosillo and talked to Juan and Jim about the potential for growth in the BPO industry and the importance of value over cost in outsourcing. The event in Hermosillo also emphasized the strategic partnerships Alliance BPO has formed globally to enhance service delivery. An important part of the discussion was also focused on looking beyond the major BPO delivery cities and finding new talent and value in other locations. https://www.linkedin.com/in/juancaire/ https://alliancebpo.net/#home https://www.linkedin.com/in/jifarnsworth/ https://www.linkedin.com/company/octayne/
Véronique Bougardier est l'invitée de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, la fondatrice du Cabinet Bougardier explique comment le crédit hypothécaire permet de mobiliser son patrimoine sans le vendre. Vous avez toujours pensé que l'hypothèque était réservée aux situations d'urgence ? Détrompez-vous. “C'est un prêt comme un autre, mais qui ouvre des horizons”, précise Véronique Bougardier . Aider ses enfants, investir, payer des droits de succession : les usages sont multiples.
Le président français Emmanuel Macron s'est rendu à Al-Arich, l'avant poste égyptien du soutien humanitaire à Gaza, pour appeler à une reprise de l'aide dans l'enclave palestinienne bloquée par Israël qui a repris ses opérations militaires. Cette rare visite d'un chef d'État européen à proximité de Gaza en compagnie du président égyptien Sissi intervient au lendemain d'une réunion avec le roi Abdallah II de Jordanie au Caire. Au même moment, Donald Trump recevait Benyamin Netanyahu à la Maison blanche.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Gaza au cœur des échanges politiques ce lundi, Israël en parle avec les États-Unis, la France avec l'Egypte. Reportage au Caire dans cette édition.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Gaza au cœur des échanges politiques ce lundi, Israël en parle avec les États-Unis, la France avec l'Egypte. Reportage au Caire dans cette édition.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Gaza au cœur des échanges politiques ce lundi, Israël en parle avec les États-Unis, la France avec l'Egypte. Reportage au Caire dans cette édition.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le débat sur l'euthanasie arrive à l'Assemblée nationale, Donald Trump se moque que les droits de douane qu'il a décidé d'imposer au monde sèment le chaos économique et le futur musée du Caire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Goma, le directeur de l'ONG internationale OXFAM pour le Congo lance un cri d'alarme : « Si Donald Trump ne rouvre pas l'USAID pour le Congo-Kinshasa, quatre millions de personnes vont être en situation de détresse et de nombreux enfants vont mourir de maladie et de malnutrition ». Autre fléau à venir, une épidémie de choléra. Cinq cents cas sont déjà signalés dans la capitale du Nord-Kivu. Le docteur Manenji Mangundu est le directeur d'OXFAM pour la RDC. Actuellement en mission dans l'Est du pays, en ligne de Goma, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Manenji Mangundu, vous êtes à Goma. Deux mois après la décision de Donald Trump, est-ce que vous en sentez déjà les premiers effets sur le terrain ?Manenji Mangundu : oui, on est à Goma. Après la fin du financement de l'USAID, on réalise véritablement comment la population est dans le besoin. La situation est très précaire, parce que la population n'a pas accès à l'eau. C'est difficile d'accéder aux soins et aux médicaments. Les hôpitaux étaient financés par le Bureau Humanitaire d'Assistance, GHA, qui fait partie de l'USAID. Les populations souffrent de la pénurie de nourriture, ce qui inquiète énormément. La progression du taux de malnutrition inquiète beaucoup les femmes par rapport à leurs enfants qui sont très mal nourris. L'autre chose, c'est le choléra. L'absence d'eau potable provoque des cas de choléra qui sont en nette augmentation. Par exemple, on a presque 500 cas de choléra à Goma. Cela nous inquiète beaucoup.Quelle était jusqu'à présent la contribution de l'USAID pour nourrir toutes ces populations ?Leur contribution, c'était 70% du financement total pour l'œuvre humanitaire. C'est-à- dire, 900 millions de dollars américains étaient financés par l'USAID.900 millions de dollars américains par an ?Oui, par an.Et si le gel de l'USAID devient définitif, est-ce qu'il y a des personnes au Nord-Kivu, au Sud-Kivu qui vont être en danger de mort ? Oui. On constate déjà des cas de morts. Il y a beaucoup d'enfants qui sont mal nourris, mais ils n'accèdent pas aux médicaments. Ils n'accèdent pas à la nourriture, ils n'accèdent pas à l'eau potable, ils sont en train de mourir. Mais maintenant, tu vois, avec les difficultés d'accéder à certains villages, il est même difficile d'avoir les statistiques. Mais beaucoup d'enfants sont en train de mourir.À lire aussiEst de la RDC: «Plus de 900 corps ont été enterrés par la Croix-Rouge et le CICR»Et ces enfants qui meurent, c'est dans la ville de Goma ou bien dans la montagne autour de Goma ?Certains, c'est dans la ville de Goma et d'autres autour de Goma. Il y a beaucoup d'endroits comme dans la zone de Masisi, la zone de Mweso et la zone de Minova vers Akalé au Sud-Kivu. Il y a aussi la zone de Rutshuru.Quelle est la situation, docteur, dans les hôpitaux de Goma ?Il y a beaucoup de malades qui sont là ! Il y a beaucoup de gens qui sont en train de chercher les médicaments.Jusqu'à présent, de nombreux malades du SIDA recevaient des antirétroviraux grâce à la Fondation Bill Clinton, qui était financée par l'USAID. Est-ce que beaucoup de gens risquent aujourd'hui de mourir du SIDA faute de traitements ?Oui, je pense que les gens courent ce risque. Parce que si le financement venait à être suspendu pour les médicaments du sida, s'ils ne peuvent pas y accéder, ils vont mourir.Est-ce que vous pouvez évaluer le nombre de personnes qui risquent de mourir de faim et de maladie si l'USAID reste suspendue ?Avec les financements humanitaires, ce sont 6,5 millions de personnes qui étaient assistées.Six millions et demi ?Oui. Maintenant, si on regarde, 70% du financement, c'était l'USAID. C'est-à- dire, 70% des 6,5 millions de personnes sont à risque.Elles sont directement impactées, ce qui fait plus de 4 millions de personnes, c'est ça ?Oui.Donc, vous estimez que, dans l'Est de la RDC, au moins 4 millions de personnes risquent d'être impactées par la suspension de l'USAID, c'est ça ?Affirmatif.Alors, c'est à la fin du mois de janvier que le président Trump a annoncé la suspension de l'USAID pour 3 mois, c'est-à-dire jusqu'à la fin du mois d'avril. Est-ce que vous avez l'espoir que cette aide reprenne, ou est-ce qu'aujourd'hui, vous êtes désespéré, est-ce que vous n'y croyez plus ?Nous, on l'espère. Parce qu'on est en train de passer le message pour dire que vraiment la population a besoin de l'aide. Et vraiment, si on ne peut pas les aider, c'est comme si on était en train de les laisser mourir. Ils n'ont pas accès à l'eau potable, or, ils ont besoin de ça. Et tous les malades, avec lesquels on a discuté, souffrent des épidémies de choléra, de Mpox, et peut-être d'Ebola. S'ils n'accèdent pas à l'eau potable, c'est un problème. C'est le moment de vraiment appuyer la population. Parce que c'était d'abord la guerre qui les a impactées et maintenant, c'est la suspension des autres financements qui a amené un très gros impact. Si on avait seulement la guerre et la disponibilité des financements, ce serait un peu mieux.Non seulement il y a la guerre, mais en plus, il y a la rupture de l'aide américaine ?Exact.Et pour les populations, c'est terrible ?Oui.À lire aussiÀ la Une: Goma coupée du monde
En 1250, lors de la septième croisade, le roi de France Louis IX, futur Saint Louis, est fait prisonnier par les troupes égyptiennes à la suite de la désastreuse bataille de Mansourah, en Égypte. À la tête d'une armée chrétienne venue libérer Jérusalem, Louis avait tenté de prendre la ville du Caire, mais son expédition tourne rapidement au désastre. Son armée affaiblie par la maladie et la faim, il est capturé avec une partie de ses chevaliers par les Mamelouks.C'est une première dans l'histoire de la royauté française : le roi lui-même est prisonnier d'un pouvoir musulman. Pour le libérer, les Mamelouks exigent une rançon colossale : 400 000 livres tournois, soit plus d'une fois et demie les revenus annuels de la Couronne. Une somme astronomique, inimaginable pour l'époque.Et pourtant, cette somme est réunie en un temps record. Comment un royaume médiéval parvient-il à mobiliser autant de fonds aussi rapidement ?Tout d'abord, la régente du royaume en l'absence du roi, Blanche de Castille, sa mère, prend en main la gestion de la crise. Elle lance une campagne d'emprunts massifs auprès des villes, des marchands et des ordres religieux. Les Templiers, puissants banquiers de l'époque, jouent un rôle central dans la logistique du paiement. Des impôts exceptionnels sont également levés, notamment la "dîme du roi", un prélèvement direct sur les revenus de l'Église, accepté par le clergé dans un effort patriotique. Les élites nobles, bien qu'ébranlées par la captivité du roi, participent aussi à l'effort.Une partie de la rançon est versée en nature, notamment sous forme d'argent fondu. La monnaie est frappée sur place en Égypte avec l'aide des Templiers, qui assurent aussi la sécurité des transferts.Finalement, Louis IX est libéré après un mois de captivité, mais il choisit de ne pas rentrer immédiatement en France. Il reste encore quatre ans en Terre sainte pour tenter, malgré tout, de sauver les objectifs de la croisade.Cette libération spectaculaire, orchestrée avec une efficacité remarquable, montre à quel point la monarchie capétienne disposait déjà d'un appareil administratif solide, capable de mobiliser tout le royaume en période de crise. C'est aussi l'un des rares cas où un roi de France fut littéralement "acheté" pour revenir sur son trône. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant la Première Guerre mondiale, les reportages du journaliste américain Lowell Thomas firent la notoriété de Thomas Edward Lawrence, écrivain et officier de liaison britannique durant la grande révolte arabe de 1916-1918. Après la guerre, la version abrégée de son témoignage sur cette campagne, Les Sept Piliers de la sagesse, qui en décrit le caractère aventureux, fut un succès de librairie. La version intégrale, publiée cinquante ans après sa mort, confirma son talent littéraire. Le film Lawrence d'Arabie, réalisé par David Lean en 1962 avec Peter O'Toole dans le rôle-titre, acheva de le faire entrer dans la légende...À l'aube de la Première guerre mondiale, le bureau arabe de l'armée de Grande-Bretagne, basé au Caire, se voit confier une mission cruciale. Au sein d'une Égypte sous mandat Britannique, l'État-major doit rallier les peuples arabes dispersés contre un ennemi commun : l'Empire Ottoman. Si ce dernier venait à remporter la guerre, les intérêts britanniques seraient compromis dans tout le Moyen-Orient. Une situation que l'Empire colonial d'alors ne peut se permettre. C'est pour mener à bien cette tâche que les équipes du renseignement font appel à un certain Thomas Edward Lawrence dès 1914.
durée : 00:46:20 - La 20e heure - par : Eva Bester - À deux semaines d'intervalle, la romancière Catherine Cusset publie deux livres complémentaires : un essai très personnel sur Marcel Proust et une édition illustrée de son roman "Vie de David Hockney". Deux créateurs fascinés par le temps, celui de l'écriture et celui de la peinture.
Merci Seb ! À découvrir :
À la Une de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. : - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. ; - Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5è et 6è journées, enjeux et présentation des matches. ; - Retour sur la 14è Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA. ; - Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. Opposés au FC Barcelone dimanche soir lors de la 28e journée, les Colchoneros qui menaient 2-0 à 20 minutes du terme de la rencontre, ont été renversés par les Catalans. Après l'élimination des Madrilènes en Ligue des champions, les joueurs de Diego Simeone ont presque tout perdu en l'espace de 4 jours. Côté Liga, la défaite à Getafe le 9 mars, et le revers face au Barça a fait perdre du terrain aux hommes du « Cholo », désormais à 4 points des Blaugranas. Le « cholismo touche-t-il à sa fin ? - Griezmann : 520 matches en Liga, mais l'ex-Bleu est dans une période plus compliquée. Les Matelassiers retrouvent le Barça dans une semaine en Coupe du Roi ! - Le Real reste au contact du rival barcelonais, le doublé express de Kylian Mbappé au stade de la Ceramica peut valoir cher en fin de saison.- Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5e et 6e journées, enjeux et présentation des matches. Certaines équipes ont l'occasion de renforcer leur position (Côte d'Ivoire, Maroc, Égypte, Tunisie), d'autres doivent se relancer (Sénégal, RDC, Burkina Faso). Le Cameroun, leader du groupe D, affronte l'Eswatini en Afrique du Sud ce mercredi. L'adjoint de Marc Brys, Joachim Mununga n'est toujours pas sur la feuille de match. Nouvelles tensions en perspective ?- Retour sur la 14e Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA.- Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. La « Pulga »n'est pas dans la liste de Scaloni contre l'Uruguay puis le Brésil. son pote sera forfait aussi contre la Colombie et l'Albiceleste. Avec Olivier Pron : Patrick Juillard, Hervé Penot et Étienne Moatti. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
À la Une de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. : - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. ; - Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5è et 6è journées, enjeux et présentation des matches. ; - Retour sur la 14è Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA. ; - Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. Opposés au FC Barcelone dimanche soir lors de la 28e journée, les Colchoneros qui menaient 2-0 à 20 minutes du terme de la rencontre, ont été renversés par les Catalans. Après l'élimination des Madrilènes en Ligue des champions, les joueurs de Diego Simeone ont presque tout perdu en l'espace de 4 jours. Côté Liga, la défaite à Getafe le 9 mars, et le revers face au Barça a fait perdre du terrain aux hommes du « Cholo », désormais à 4 points des Blaugranas. Le « cholismo touche-t-il à sa fin ? - Griezmann : 520 matches en Liga, mais l'ex-Bleu est dans une période plus compliquée. Les Matelassiers retrouvent le Barça dans une semaine en Coupe du Roi ! - Le Real reste au contact du rival barcelonais, le doublé express de Kylian Mbappé au stade de la Ceramica peut valoir cher en fin de saison.- Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5e et 6e journées, enjeux et présentation des matches. Certaines équipes ont l'occasion de renforcer leur position (Côte d'Ivoire, Maroc, Égypte, Tunisie), d'autres doivent se relancer (Sénégal, RDC, Burkina Faso). Le Cameroun, leader du groupe D, affronte l'Eswatini en Afrique du Sud ce mercredi. L'adjoint de Marc Brys, Joachim Mununga n'est toujours pas sur la feuille de match. Nouvelles tensions en perspective ?- Retour sur la 14e Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA.- Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. La « Pulga »n'est pas dans la liste de Scaloni contre l'Uruguay puis le Brésil. son pote sera forfait aussi contre la Colombie et l'Albiceleste. Avec Olivier Pron : Patrick Juillard, Hervé Penot et Étienne Moatti. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Pour Samuel Eto'o, c'est la « remontada ». Après une année 2024 très éprouvante, l'ancienne star du football camerounais revient en force cette année. Hier, mercredi 12 mars, au Caire, il a été élu au comité exécutif de la CAF, la Confédération africaine de football. Il devient donc l'un des 21 patrons du football africain. Comment a-t-il réussi ? Jusqu'où peut-il aller ? Le journaliste sénégalais Abdoulaye Thiam, qui travaille à Sud Quotidien, préside la section Afrique de l'Association internationale de la presse sportive. En ligne du siège de la CAF, au Caire, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : L'élection de Samuel Eto'o au comité exécutif de la CAF, c'était loin d'être gagné il y a encore une semaine, comment a-t-il réussi finalement ? Abdoulaye Thiam : Écoutez, vous avez parfaitement raison. C'est une très belle « remontada » comme d'ailleurs a l'habitude de faire son ancien club, le FC Barcelone. La vie de Samuel Eto'o fils, comme vous le savez aussi, a été parsemée d'embûches, mais il a toujours su tirer son épingle du jeu. Ce n'était pas facile. Il menait une bataille d'abord contre l'ancien président du comité de normalisation de son pays, Seidou Mbombo Njoya, mais aussi contre le ministre des Sports, mais également contre la Confédération africaine de football qui l'avait déclaré inéligible. Mais Samuel Eto'o étant Samuel Eto'o, il a poursuivi l'affaire jusqu'au TASS qui lui a donné finalement raisonLe TASS, qui lui a donné raison, c'est donc le Tribunal arbitral des sports. Mais en janvier dernier, comme vous l'avez dit, la CAF avait refusé qu'il soit candidat en prétextant « qu'il avait gravement violé les principes d'éthique, d'intégrité et d'esprit sportif en acceptant de devenir l'ambassadeur d'une société de paris sportifs ». Comment a-t-il réussi cette remontada finalement ? C'est tout à fait simple parce qu'il a saisi le TASS, il a amené tous ses dossiers, il a pris de bons avocats, il a défendu son dossier. Le TASS lui a donné raison. Il appartenait à la CAF de prendre une seule mesure, c'est-à-dire d'aller saisir ce qu'on appelle la Cour fédérale suisse. Mais la CAF était obligée, compte tenu de cette situation de fait qui s'imposait à elle, d'accepter cette candidature-là. Et Samuel Eto'o a fini par être élu. Il fallait le voir ici, au Caire, tout souriant, parce qu'il n'avait aucune pression. Il était sûr de passer. Il est passé comme une lettre à la poste.Et il a été élu par acclamation, c'est ça ?Absolument. Il a été élu par acclamation, comme plusieurs autres membres aussi de différentes zones. Et quand ils ont projeté la photo de Samuel Eto'o, effectivement, il y a eu quand même beaucoup plus de salves d'applaudissements comparé aux autres candidats. Donc, il reste toujours populaire, plus populaire même que le président de la Confédération africaine de football. Donc c'est de bonne guerre qu'il y ait une salve d'applaudissements quand on a cité le nom de Samuel Eto'o et surtout quand on a projeté son image au niveau de l'écran géant.Alors, vous l'avez dit, derrière la décision anti Samuel Eto'o du mois de janvier dernier, beaucoup, à tort ou à raison, ont vu la main du ministre camerounais des Sports, Narcisse Mouelle Kombi et du Camerounais qui siégeait jusqu'ici au comité exécutif de la CAF, Seidou Mbombo Njoya. Mais est ce que le président de la CAF, le Sud-Africain Patrice Motsepe lui-même, ne manœuvrait pas lui aussi en coulisse contre Samuel Eto'o ? Je n'irai pas jusque-là. D'autant plus que les organes qui s'occupent de l'éligibilité des candidats sont des organes indépendants. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'au niveau de ces organes, tous, ont déclaré Samuel Eto'o fils inéligible. Toutefois, il a poursuivi donc son combat jusqu'au niveau du Tribunal arbitral des sports. Il a obtenu gain de cause. Aujourd'hui, il est là. Reste à savoir maintenant si dans les quatre prochaines années, il envisagera de briguer la présidence de la Confédération africaine de football et pourquoi pas devenir président, par exemple, là où Michel Platini a échoué à l'Euro ?Oui. Vous dites qu'il peut viser dans quatre ans la succession de Patrice Motsepe ? Pourquoi pas ? Parce que c'est quelqu'un qui a beaucoup d'ambition. Quelqu'un qui est courageux. Beaucoup de gens le pensent ici, dans les coulisses. Samuel Eto'o pourrait être candidat. Pourquoi pas en 2029.Hier, au Caire, ont été élus également les six nouveaux représentants de la CAF au Conseil permanent de la FIFA. Et là, il y a de sacrées surprises, Abdoulaye Thiam ? Absolument. Il y a de sacrées surprises. D'abord, c'est le fait de voir Amaju Melvin Pinnick du Nigeria qui n'a pas été reconduit. Mais la plus grosse surprise, c'est Me Augustin Senghor, premier vice-président de la Confédération africaine de football, qui termine sixième sur six. Sur 53 voix, il n'a pu obtenir que treize. Là quand même, il y avait une grosse surprise, d'autant plus que partout en Afrique, on entend de lui que c'est quelqu'un qui est doté d'une probité intellectuelle et morale sans commune mesure.Est-ce à dire que pour être élu, il faut non seulement avoir un bon programme, mais manœuvrer en coulisse, avec peut-être des méthodes pas toujours orthodoxes ?De toute façon, ce sont des lobbys qui se saisissent de la CAF, de la FIFA, du CIO. Un peu partout, on constate qu'il y a des lobbys. Quand on regardait le dépouillement, on se rendait compte qu'on avait donné une liste à l'avance pour qui voter. Donc il y a trop d'arrangements dans les votes. Mais ça aussi, ce n'est pas l'apanage de la CAF. Je le dis et je le répète, que ça soit à la FIFA, que ça soit au CIO. Et c'est vraiment dommage, parce que la conséquence immédiate c'est qu'Augustin Senghor a remis sa démission à Patrice Motsepe, il ne va plus être premier vice-président de la Confédération africaine de football parce qu'il ne bénéficie plus de la confiance de ses pairs.À lire aussiPatrice Motsepe réélu président de la CAF, Eto'o au comex, Yahya à la Fifa
durée : 00:06:43 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Suzette Baker, ex-bibliothécaire de 57 ans, qui avait lancé un procès pour licenciement abusif après avoir refusé de retirer des livres sur l'histoire des Noirs Américains et des personnages LGBT+, a obtenu un accord avec son ancien employeur, le comté de Llano, au Texas.
An feachtas Trócaire don Charghas le tosú arís amárach.
durée : 01:59:59 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine dans les Matins du samedi, nous nous intéressons à la décision du tribunal administratif concernant l'annulation du projet de l'A69 ; nous faisons le point sur la situation Israël/Gaza après un mois de trêve ; et nous recevons Jeanne Balibar pour son nouveau film "Le système Victoria". - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Dorian Guinard Enseignant-chercheur et maître de conférence en droit public à Sciences Po Grenoble ; Sylvaine Bulle Sociologue française spécialiste de la conflictualité, chercheuse au Laboratoire d'anthropologie du politique (CNRS-EHESS); Sarah Daoud Docteure en sciences politiques associée au CERI de Sciences-Po et au CEDEJ du Caire.; Jeanne Balibar Comédienne, chanteuse
durée : 00:39:02 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Alors que la première phase de la trêve à Gaza est censée se terminer ce samedi 1er mars, que peut-on en conclure ? Et surtout, qu'est-ce que cela suppose pour la suite des négociations et la seconde phase de la trêve ? - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Sylvaine Bulle Sociologue française spécialiste de la conflictualité, chercheuse au Laboratoire d'anthropologie du politique (CNRS-EHESS); Sarah Daoud Docteure en sciences politiques associée au CERI de Sciences-Po et au CEDEJ du Caire.
Elias Makos is joined by Justine McIntyre, strategic consultant and former city councillor and Raphaël Melançon, a political analyst for Noovo and CTV Montreal News at 5 and the president and founder of Trafalgar Strategies. At another one of his never-ending media availabilities yesterday, Trump was asked about Canada, fentanyl and tariffs. He’s adamant it’s about the deaths. Mark Carney has not been seen or heard from since Tuesday’s night’s post-debate press conference, where he played fast and loose with the truth about whether or not he was at Brookfield when they moved their headquarters to the U.S. Éric Caire has resigned over the SAAQclic scandal.
Éric Caire a démissionné de ses fonctions de ministre de la Cybersécurité et du Numérique, dans la foulée du fiasco de SAAQclic. La transition numérique de la Société de l'assurance automobile du Québec a coûté un demi-milliard de dollars de plus que ce qui était prévu.
durée : 00:06:18 - La Revue de presse internationale - par : Mélanie Kuszelewicz - Laila Soueif a commencé une grève de la faim il y a près de 5 mois pour demander la libération de son fils, Alaa Abdel Fattah, emprisonné au Caire. Elle a été hospitalisée à Londres cette semaine.
Musiques du monde arabe Episode 1 Oum Kalsoum, Asmahan, Nazem El Ghazali, Chekha Rimitti, Rachid Taha, Sabreen… C'est un grand et beau voyage au cœur des musiques du monde arabe que nous allons entreprendre, un voyage à la rencontre de ces rythmes et de ces mélodies qui transcendent les générations, les milieux sociaux, les frontières et les nationalités de cette vaste région que l'on appelle le monde arabe. Dans ce premier épisode, on va tenter de percevoir les liens qui existent entre, par exemple, les rythmes dansants des montagnes kurdes et les mélodies des salons du Caire. En d'autres mots, en quoi les musiques jouées et écoutées dans une région aussi vaste que le monde arabe participent-elles à un répertoire commun ? L'invitée de Jonathan Remy, Coline Houssais, spécialisée sur les musiques de monde arabe, elle enseigne les liens entre musique, société et politique dans le monde arabe à Sciences Po à Paris. Elle a publié un livre aux éditions le mot et le reste, intitulé « Musiques du monde arabe – une anthologie en 100 artistes ». Sujets traités : Oum Kalsoum, Asmahan, Nazem El Ghazali, Chekha Rimitti, Rachid Taha, Sabree, rythme, mélodie, arabe, Caire, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Nous sommes en décembre 1919. A proximité de la ville d'Hermopolis, à 300 km du Caire. C'est à cette époque que l'équipe de l'égyptologue Gustave Lefèvre fait une découverte qui va s'avérer de la plus haute importance. Il s'agit du tombeau d'un prêtre, important, nommé Petosiris. Dans son rapport, Lefèvre écrira : « Dans les derniers jours de novembre, un habitant d'Ashmounein informait la Direction du Service des Antiquités qu'il connaissait un ma'bad (càd un temple) dans la montagne de Derouah, et sollicitait l'autorisation d'y pratiquer une fouille de dix jours. Sans donner suite à cette demande, nous prescrivîmes à notre inspecteur Antoun Effendi Youse de faire redoubler de vigilance (…) et de nous renseigner éventuellement sur l'existence et la nature du monument signalé. Quelques jours plus tard, le chef du district, passant à Tounah, recueillait de la bouche d'un paysan de ce village des informations qui corroboraient les dires de l'homme d'Ashmounein : comme on offrait cette fois de nous révéler contre récompense, l'emplacement du "temple", je pressai Antoun d'aller vérifier sur place le renseignement. Le 27 décembre, il se rendit donc à la montagne, accompagné de l'indicateur" de Tounah, fit des sondages à l'endroit que cet homme lui désigna, et dégagea, après quelques coups de pioche, les assises supérieures de deux murs d'angle dudit ma'bad, qui était en réalité un tombeau, le Tombeau de Petosiris. Les fouilles méthodiques se poursuivirent, sous ma direction, jusqu'au 8 mars 1920, date à laquelle j'avais terminé le déblaiement du Tombeau et des chapelles voisines, la copie des inscriptions, l'étude sommaire des textes et des bas-reliefs, tout résultats que je fis connaître immédiatement dans un Rapport préliminaire », rapporte-t-on donc l'égyptologue. Aujourd'hui, ce qui frappe encore à la vue des reliefs du tombeau, ce sont des images tantôt représentées à l'égyptienne, tantôt à la grecque, tantôt à la perse. Car si l'on connait l'Égypte par ses temples, ses dieux, ses momies, on parle peu de ses échanges avec le monde qui l'entoure. En outre l'édifice met en évidence l'importance grandissante d'Isis, dans tout le bassin méditerranéen, en tant que déesse qui sauve et promet un avenir post-mortem, comme le fera un certain Jésus. Plongeons-nous donc dans les mystères du tombeau de Petosiris… Invité :Elias Constas, historien de l'art et égyptologue ainsi que comme fondateur d'une agence de tourisme culturelle appelée AETOS TRAVEL Sujets traités : Petosiris, Gustave Lefèvre, Antiquité, temple, civilisation, tombeau, Egypte Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
The British Government has announced that it's cutting Foreign Aid in order to boost Defence spending. This follows Donald Trump's dismantling of USAID, the US Agency for International Development. So what's the likely impact? Caoimhe de Barra, CEO of Trocáire, joins us in studio to explain...
C dans l'air du 18 février 2025 - Trump-Poutine : les nouveaux alliés ?À chaque jour son lot de surprises sur l'Ukraine. Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a déclaré ce matin que Vladimir Poutine était prêt à négocier avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky "si nécessaire". Une déclaration encore impensable il y a quelques semaines. Pendant ce temps, les chefs de la diplomatie russe et américain, Sergueï Lavrov et Marco Rubio, se réunissaient aujourd'hui à Riyad, en Arabie Saoudite, pour parler des négociations de paix en Ukraine. "L'Union européenne devra être à la table à un moment donné parce qu'ils ont aussi des sanctions [contre la Russie]", a déclaré Marco Rubio à la presse. Hier, une dizaine de chefs de gouvernement européens se sont réunis à l'Élysée pour discuter de l'Ukraine, mais les Européens avancent encore en ordre dispersé. Si la présidente de la Commission européenne s'est dite prête, hier, "à faire plus" dans l'aide militaire à l'Ukraine, d'autres comme le Royaume-Uni et la Suède envisagent déjà d'envoyer des troupes au sol en cas de cessez-le-feu, tandis que le chancelier allemand Olaf Scholz, a affirmé qu'il était opposé à une "paix de diktat imposée" à Kiev.Dimanche, Marco Rubio s'est aussi déplacé à Jérusalem où il a rencontré le Premier ministre Netanyahou et défendu le projet de Donald Trump de transformer la bande de Gaza en "riviera", et de déplacer ses habitants vers l'Égypte et la Jordanie. "Nous nous efforcerons de faire en sorte que cette vision devienne réalité", a déclaré l'Israélien. De leur côté, la Jordanie, dont plus de la moitié de la population est d'origine palestinienne, et l'Égypte sont vent debout contre cette proposition. Lors d'une rencontre au Caire, le roi jordanien Abdallah II et le président égyptien al-Sissi ont redit leur soutien à la création d'un état palestinien sur les frontières de 1967 avec Jérusalem-est comme capitale. Un sommet d'urgence entre les pays arabes doit se tenir en Égypte le 27 février pour poursuivre les discussions sur Gaza.Aux Etats-Unis, un vent de contestation commence doucement à souffler contre la nouvelle administration américaine. Hier, des milliers de personnes ont manifesté à travers le pays contre le limogeage des employés fédéraux, le non-respect de l'équilibre des pouvoirs et l'influence grandissante d'Elon Musk. L'appel avait été lancé par le collectif "50501", né fin janvier sur le réseau social Reddit. Le 5 février, plusieurs dizaines de milliers de personnes avaient participé aux premiers rassemblements dans une quarantaine d'états. "La révolution contre Donald Trump et Elon Musk commence ici", a déclaré depuis Boston le sénateur du Massachusetts Ed Markey.Quel avenir pour Volodymyr Zelensky si les négociations pour la paix en Ukraine aboutissent ? Les pays arabes peuvent-ils contrarier les plans de Donald Trump pour Gaza ? Et les manifestations contre Trump et Musk aux Etats-Unis peuvent-elles inquiéter la nouvelle administration américaine ?Les experts :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU - Auteur de "D'un monde à l'autre"- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Patricia ALLEMONIÈRE - Grand reporter – Spécialiste des questions internationales- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie – Le MondePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:12:52 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Après que le Hamas a libéré trois nouveaux otages israéliens ce samedi, la trêve à Gaza semble plus fragile que jamais. Hier, une frappe aérienne a été menée par l'armée israélienne au sud du territoire. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Sarah Daoud Docteure en sciences politiques associée au CERI de Sciences-Po et au CEDEJ du Caire.
durée : 00:39:12 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le mercredi 5 février, Donald Trump a annoncé un projet controversé pour Gaza : faire de l'enclave une destination touristique, tout en déportant sa population. Ce plan, soutenu par Israël, suscite des accusations de nettoyage ethnique et soulève des inquiétudes sur le droit des Palestiniens. - réalisation : François Richer - invités : Nitzan Perelman-Becker Docteure en sociologie politique à l'Université Paris Cité, ingénieure d'études au CNRS; Sarah Daoud Docteure en sciences politiques associée au CERI de Sciences-Po et au CEDEJ du Caire.
Les armes se sont tues hier dimanche dans le Sud-Kivu après l'appel au cessez-le-feu lancé la veille lors du sommet conjoint de la Communauté de l'Afrique de l'est et la Communauté de développement de l'Afrique australe.Un sommet qui a abouti à un « service minimum » estime Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC. Il y a comme une impression de « déjà-vu » : « La résolution principale appelle à un “cessez-le-feu immédiat et inconditionnel“ et à la fin des hostilités. Le texte prévoit également la “sécurisation de la ville de Goma“ et la réouverture de l'aéroport et des voies d'approvisionnement de la capitale du Nord-Kivu. Des mesures prises devant l'urgence humanitaire de la situation à Goma ».Dos au mur…En fait, analyse Afrikarabia, « les résolutions de Dar es Salam posent plus de questions qu'elles n'apportent de réponses. Aucun élément n'est donné sur la manière dont le cessez-le-feu peut être imposé sachant qu'aucun d'entre eux n'a été respecté jusque-là. Personne n'explique qui sécurisera la ville de Goma, aujourd'hui entièrement occupée par le M23 et l'armée rwandaise : la Monusco, qui a brillé par son absence lors de la prise de Goma ? La SADC que le Rwanda considère désormais comme une force belligérante ? ».En tout cas, estime encore Afrikarabia, « Félix Tshisekedi est désormais dos au mur. (…) La question n'est plus de savoir si le président congolais va négocier avec le M23, il n'a plus le choix. La difficulté est de savoir ce qu'il peut encore négocier et avec qui ? Car pour mettre fin au conflit, il faudra, à la fois trouver un terrain d'entente avec Kigali, mais aussi avec le M23 et l'AFC, qui, même téléguidés par le voisin rwandais, possèdent une certaine autonomie d'action ».« Il en faudra plus pour faire taire les armes… »« RDC : Gesticulation et paralysie », renchérit La Libre Afrique, le site du quotidien belge La Libre Belgique consacré à l'actualité africaine.« Deux semaines après la chute de Goma, la grande ville de la province du Nord-Kivu, les sanctions se font attendre. Et les rebelles congolais continuent leur progression avec, cette fois, en ligne de mire, la ville de Bukavu, la capitale du Sud-Kivu ».Dubitatif également, WakatSéra au Burkina Faso : « ce sommet extraordinaire conjoint SADC-EAC, n'a été qu'une rencontre supplémentaire, car il en faudra plus pour faire taire les armes, et le cas échéant, obtenir le retrait du M23 qui tient des positions solides ».Attention, prévient également Le Pays, « si les engagements pris à Dar es Salam, ne sont pas respectés, il faudra craindre pour la suite des évènements. Car, l'appétit venant en mangeant, le M23, fort de sa victoire militaire sur le terrain, promet, après la prise de Goma, de continuer sa progression vers Kinshasa. Quant au président Paul Kagamé, il ferait mieux d'arrêter de jouer les pyromanes au prétexte que son pays, en s'engageant aux côtés du M23, cherche à se défendre ». Nord-Mali : attaque meurtrièreÀ la Une également, cette attaque vendredi dans le Nord-Mali d'un convoi civil escorté par des militaires.« Le drame s'est déroulé près du village de Kobe, relate Afrik.com, à une trentaine de kilomètres de Gao. Le convoi, imposant, (qui se rendait sur un site d'orpaillage) rassemblait 22 minibus, 6 gros bus et 8 camions. Il bénéficiait d'une escorte militaire composée d'une dizaine de véhicules des FAMa, les Forces armées maliennes, et de membres du groupe Wagner. Mais cela n'a pas suffi à dissuader les attaquants qui ont surgi des deux côtés de la route et ouvert le feu sans sommation sur les civils et les militaires ».Le bilan reste incertain, souligne Afrik.com : « l'armée malienne évoque 25 morts, “terroristes“ et civils confondus, ainsi que 13 blessés, principalement des orpailleurs étrangers. Un responsable local contredit ces chiffres, attestant du transport d'au moins 56 corps à l'hôpital de Gao ».Commentaire du site panafricain :« un bilan, contesté donc entre l'armée et les sources hospitalières, un bilan qui illustre la fragilité sécuritaire persistante dans le nord du Mali et l'importance de la communication pour le gouvernement malien ».Justement la presse malienne, notamment le site Sahel Tribune, rapporte le communiqué victorieux de l'armée qui fait état d'une « riposte immédiate des FAMa. (…) Les opérations de ratissage toujours en cours ont permis de retrouver 19 corps de terroristes et 4 blessés et de récupérer plusieurs armes et matériels de guerre ».
durée : 00:57:39 - Toute une vie - par : Camille Renard - Celle que l'on surnomme "la Voix des Arabes", des rues du Caire aux cafés de Rabat, et jusqu'aux salons de Beyrouth, la chanteuse Oum Kalsoum, concentre une unanimité inégalée parmi les Arabes de tous les pays et auprès de toutes les catégories sociales. - réalisation : Lionel Quantin - invités : Alaa Al-Aswany Écrivain; Amir Ramsès Cinéaste; Ysabel Saïah Baudis Journaliste et écrivaine; Frédéric Lagrange Arabisant, université Paris IV-La Sorbonne; Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre Auteur, metteur en scène et comédien.; Lisa Pajon Comédienne.
Le calme semble être de retour à Goma en RD Congo, mais il est précaire. Les combats se poursuivent dans le nord de la ville, et les rebelles du M23 continuent d'avancer sur un autre front dans la province du Sud-Kivu.
Tá go leor oibre ar bun ag eagraíochtaí deonacha le cúnamh a chur ar fáil do mhuintir Ghaza ó cuireadh sos comhraic i bhfeidhm Dé Domhnaigh.
En 2009, Chantal Anglade apprend que sa fille de 14 ans a été blessée lors d'un attentat terroriste au Caire, en Egypte. La professeure de lettres décide alors de participer à la fondation de l'Association française des victimes du terrorisme, afin de sensibiliser le grand public et d'aider les victimes dans leur parcours administratif et juridique. Détachée de l'Education nationale, Chantal Anglade propose depuis 2018 des rencontres pédagogiques entre des élèves et des victimes du terrorisme afin d'initier un dialogue. Elle a notamment mené des ateliers au sein du collège du Bois d'Aulne, dans les Yvelines, où Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie, a été assassiné le 16 octobre 2020, et elle a emmené plusieurs classes de lycéens au procès de son assassinat, qui se tenait à Paris en novembre et décembre. Chantal Anglade témoigne au micro de Barbara Gouy.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clémentine Spiler, Clara Garnier-Amouroux et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archive : France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.