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durée : 00:25:23 - Serge Koussevitzky, de la contrebasse du Bolchoï au podium de Boston - par : Anne-Charlotte Rémond - Du jeu en amateur dans des petits orchestres klezmer au podium de l'Orchestre de Boston, Serge Koussevitzky est devenu l'un des chefs d'orchestre les plus renommés de son époque, travaillant notamment avec Igor Stravinsky. - réalisé par : Philippe Petit
En Russie, la présidentielle va se tenir mi-mars, et Vladimir Poutine devrait se déclarer candidat à un 5ᵉ mandat d'ici à quelques jours. Le résultat du scrutin, de l'aveu même du Kremlin, ne soulève pas de doute. Mais le pouvoir tient à garder les apparences d'une compétition et va sélectionner des candidats autorisés à se présenter. Faut-il jouer le jeu et saisir une occasion de s'exprimer, au risque de légitimer un pouvoir qui empile à vitesse accélérée les lois répressives ? Le débat est particulièrement aigu cette année. De notre correspondante à Moscou,Tous les derniers jeudis soir du mois, ils peuvent se retrouver ici, dans les locaux moscovites du parti libéral Iabloko. Habitués depuis presque un an ou tout nouveaux, ils sont plusieurs dizaines dans une grande salle, assis par groupes à de grandes tables. Studieux souvent, bavards parfois, ils écrivent sur papier libre ou, plus souvent, au dos d'une carte postale à un prisonnier politique. Petites lunettes sur le nez, Elena Viktorovna participe à sa deuxième séance.« Je suis retraitée, j'ai 70 ans. J'écris à l'artiste Sasha Skochilenko, qui est persécutée pour ses positions anti-guerre. Et de mon côté, je pense que ce qu'il se passe dans notre État est inacceptable, cette opération spéciale, puisqu'il faut l'appeler comme ça. Tous les gens à qui nous écrivons sont emprisonnés, justement pour leur désaccord avec cette politique de l'État, et avec ce qu'il se passe ». L'émotion passe sur son visage et elle ajoute : « Ma cousine vit à Odessa. Je commence chacune de mes journées, absolument chacune, avec les informations sur ce qu'il se passe là-bas ; et mes sentiments sont sans aucune ambiguïté. » Ces Moscovites anti-guerre, ils sont loin d'avoir tous vu dans l'entrée des locaux, pour la première fois, des affiches du potentiel candidat du parti à la présidentielle, Grigori Iavlinski. Le congrès de Iabloko doit se prononcer ce week-end. L'issue pour les observateurs semble déjà scellée : les médias russes avaient déjà fait état il y a quelques semaines d'une rencontre de ce candidat avec Vladimir Poutine.« Sur le principe, pour moi, ça ne rendra pas les choses pires qu'elles ne le sont déjà. Après, le pouvoir a les moyens d'obtenir le résultat qui lui convient », observe avec détachement Alexander, 40 ans. Ce cadre dans les ressources humaines ne manque aucune séance depuis le début. Il en est à sa 11ᵉ soirée et dit « suivre le sujet des prisonniers politiques depuis longtemps », plus exactement après les manifestations contestant le retour au pouvoir de Vladimir Poutine à l'hiver 2011-2012. « Une parente allait aux procès des manifestants, et elle transcrivait les échanges. Elle n'avait pas assez de temps pour le faire, alors elle m'avait demandé de l'aider. »Aucun changement à l'issue de l'élection« Au début, ces soirées attiraient des personnes qui étaient déjà liées à des différents groupes militants et de soutien », explique une des organisatrices, Anna Chatounovskaya-Burno, militante du parti. « Ici, nous accueillons des gens de gauche, des gens de droite... Iabloko est devenue une sorte d'arche qui accepte les gens quels que soient leurs points de vue, à partir du moment où ils soutiennent les prisonniers politiques. Il est important que chaque personne qui vient ici sente qu'elle n'est pas seule à être dissidente. Les gens qui viennent ici reçoivent une charge d'optimisme. »« J'aime venir ici », dit Sergueï comme en écho. « Ça me fait du bien de voir qu'il y a des jeunes et des beaucoup moins jeunes, qui ne sont pas d'accord avec ce qu'il se passe. »Pas facile dans une période où le pouvoir verrouille tout. Cet été, le porte-parole du Kremlin qualifiait l'élection présidentielle à venir « d'opération administrative qui coûte cher à l'État pour un résultat à 90% en faveur de Vladimir Poutine. »Du haut de ses 17 ans, Anna, étudiante en design venue d'une petite ville à une centaine de kilomètres de Moscou, a décidé de ne pas se laisser impressionner. « Je suis radicalement opposée à ce qu'il se passe dans le pays, et je voudrais changer les choses par tous les moyens possibles. Mais comme il n'y en a pas beaucoup, je fais ce que je peux. J'apporte ici du soutien aux gens qui sont en prison à cause de ce qu'il se passe, et dans ma ville natale, je vais à des rassemblements politiques et je colle des autocollants anti-guerre, précise la jeune femme. Le renversement d'un gouvernement peut arriver quand le peuple réalise qu'il est chancelant, faible, qu'il a perdu la main et le contrôle. Une période électorale, c'est le meilleur moment pour cela. Moi, je crois que si on ne vote pas, alors on ne change jamais rien. »Le pouvoir, lui, veut de la participation aux élections, mais aucune contestation, et surtout pas de la jeunesse.Il y a quelques semaines, lors d'une interview au média étudiant d'une prestigieuse université de la capitale russe, Dmitri Peskov déclarait : « si ce n'est pas Poutine, ce sera un autre. Mais ce sera exactement le même ». Manière de souligner qu'il ne faut espérer aucun changement en Russie.À lire aussiRussie: un fidèle du Kremlin nommé à la tête du Bolchoï
En Russie, la présidentielle va se tenir mi-mars, et Vladimir Poutine devrait se déclarer candidat à un 5ᵉ mandat d'ici à quelques jours. Le résultat du scrutin, de l'aveu même du Kremlin, ne soulève pas de doute. Mais le pouvoir tient à garder les apparences d'une compétition et va sélectionner des candidats autorisés à se présenter. Faut-il jouer le jeu et saisir une occasion de s'exprimer, au risque de légitimer un pouvoir qui empile à vitesse accélérée les lois répressives ? Le débat est particulièrement aigu cette année. De notre correspondante à Moscou,Tous les derniers jeudis soir du mois, ils peuvent se retrouver ici, dans les locaux moscovites du parti libéral Iabloko. Habitués depuis presque un an ou tout nouveaux, ils sont plusieurs dizaines dans une grande salle, assis par groupes à de grandes tables. Studieux souvent, bavards parfois, ils écrivent sur papier libre ou, plus souvent, au dos d'une carte postale à un prisonnier politique. Petites lunettes sur le nez, Elena Viktorovna participe à sa deuxième séance.« Je suis retraitée, j'ai 70 ans. J'écris à l'artiste Sasha Skochilenko, qui est persécutée pour ses positions anti-guerre. Et de mon côté, je pense que ce qu'il se passe dans notre État est inacceptable, cette opération spéciale, puisqu'il faut l'appeler comme ça. Tous les gens à qui nous écrivons sont emprisonnés, justement pour leur désaccord avec cette politique de l'État, et avec ce qu'il se passe ». L'émotion passe sur son visage et elle ajoute : « Ma cousine vit à Odessa. Je commence chacune de mes journées, absolument chacune, avec les informations sur ce qu'il se passe là-bas ; et mes sentiments sont sans aucune ambiguïté. » Ces Moscovites anti-guerre, ils sont loin d'avoir tous vu dans l'entrée des locaux, pour la première fois, des affiches du potentiel candidat du parti à la présidentielle, Grigori Iavlinski. Le congrès de Iabloko doit se prononcer ce week-end. L'issue pour les observateurs semble déjà scellée : les médias russes avaient déjà fait état il y a quelques semaines d'une rencontre de ce candidat avec Vladimir Poutine.« Sur le principe, pour moi, ça ne rendra pas les choses pires qu'elles ne le sont déjà. Après, le pouvoir a les moyens d'obtenir le résultat qui lui convient », observe avec détachement Alexander, 40 ans. Ce cadre dans les ressources humaines ne manque aucune séance depuis le début. Il en est à sa 11ᵉ soirée et dit « suivre le sujet des prisonniers politiques depuis longtemps », plus exactement après les manifestations contestant le retour au pouvoir de Vladimir Poutine à l'hiver 2011-2012. « Une parente allait aux procès des manifestants, et elle transcrivait les échanges. Elle n'avait pas assez de temps pour le faire, alors elle m'avait demandé de l'aider. »Aucun changement à l'issue de l'élection« Au début, ces soirées attiraient des personnes qui étaient déjà liées à des différents groupes militants et de soutien », explique une des organisatrices, Anna Chatounovskaya-Burno, militante du parti. « Ici, nous accueillons des gens de gauche, des gens de droite... Iabloko est devenue une sorte d'arche qui accepte les gens quels que soient leurs points de vue, à partir du moment où ils soutiennent les prisonniers politiques. Il est important que chaque personne qui vient ici sente qu'elle n'est pas seule à être dissidente. Les gens qui viennent ici reçoivent une charge d'optimisme. »« J'aime venir ici », dit Sergueï comme en écho. « Ça me fait du bien de voir qu'il y a des jeunes et des beaucoup moins jeunes, qui ne sont pas d'accord avec ce qu'il se passe. »Pas facile dans une période où le pouvoir verrouille tout. Cet été, le porte-parole du Kremlin qualifiait l'élection présidentielle à venir « d'opération administrative qui coûte cher à l'État pour un résultat à 90% en faveur de Vladimir Poutine. »Du haut de ses 17 ans, Anna, étudiante en design venue d'une petite ville à une centaine de kilomètres de Moscou, a décidé de ne pas se laisser impressionner. « Je suis radicalement opposée à ce qu'il se passe dans le pays, et je voudrais changer les choses par tous les moyens possibles. Mais comme il n'y en a pas beaucoup, je fais ce que je peux. J'apporte ici du soutien aux gens qui sont en prison à cause de ce qu'il se passe, et dans ma ville natale, je vais à des rassemblements politiques et je colle des autocollants anti-guerre, précise la jeune femme. Le renversement d'un gouvernement peut arriver quand le peuple réalise qu'il est chancelant, faible, qu'il a perdu la main et le contrôle. Une période électorale, c'est le meilleur moment pour cela. Moi, je crois que si on ne vote pas, alors on ne change jamais rien. »Le pouvoir, lui, veut de la participation aux élections, mais aucune contestation, et surtout pas de la jeunesse.Il y a quelques semaines, lors d'une interview au média étudiant d'une prestigieuse université de la capitale russe, Dmitri Peskov déclarait : « si ce n'est pas Poutine, ce sera un autre. Mais ce sera exactement le même ». Manière de souligner qu'il ne faut espérer aucun changement en Russie.À lire aussiRussie: un fidèle du Kremlin nommé à la tête du Bolchoï
durée : 01:28:27 - Les voix de Rachmaninov (2/2) - par : François-Xavier Szymczak - Si son nom est synonyme de piano virtuose, Rachmaninov fut aussi un grand créateur pour les voix. Mélodies, chants orthodoxes, cantates et opéras sont à l'honneur chez cet ancien directeur musical du Bolchoï.
durée : 01:28:21 - Les voix de Rachmaninov (1/2) - par : François-Xavier Szymczak - Si son nom est synonyme de piano virtuose, Rachmaninov fut aussi un grand créateur pour les voix. Mélodies, chants orthodoxes, cantates et opéras sont à l'honneur chez cet ancien directeur musical du Bolchoï
- Les prix suisses du design décernés à une icône de la mode, une architecte d'intérieur et un photographe. - Noureev viré du Bolchoï. -Le film documentaire suisse à l'honneur du Dok Fest de Munich.
Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine, de nombreux artistes russes ont été déprogrammés d'évènements culturels. C'est le cas des chefs d'orchestre Valery Gergiev et Tugan Sokhiev, ou encore de la soprano Anna Netrebko. Des représentations du ballet du Bolchoï prévues cet été au Royal Opera House à Londres ont également été annulées. Par ailleurs, la Russie a été exclue du concours de l'Eurovision. En Ukraine, un mouvement de cinéastes appelle au boycott total du cinéma russe.
Dans l'atelier de Boulet, deuxième épisode. Avec les réponses aux questions qu'on se pose tous. Y aurat-il un douzième tome de Notes? L'univers du Bolchoï est-il fini? C'est quoi les Rogatons? La quiche est-elle réussie?
L'art de donner un ton à sa vie ! Par/avec Marc Baillet Peut-on diviser le monde en trois catégories de personnes : les entrepreneurs, les managers, les artistes ? Sans doute serait-ce trop simple ! Chacun n'est-il pas l'artiste de sa propre vie ? Né à Paris en 1975 d'un père violoniste prodige, Godefroy Vujicic commence très jeune ses études musicales. Son grand-père lui offre un violoncelle, acheté en Serbie, le jour de son baptême. L'instrument ne quittera plus ses mains virtuoses pendant de nombreuses années. Son travail lui permet d'obtenir successivement deux premiers prix en violoncelle et en musique de chambre au Conservatoire de Versailles, deux premiers prix « avec distinction » dans les mêmes disciplines au Conservatoire Royal de Bruxelles puis le Diplôme de Formation Supérieure au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Violoncelle solo (soliste) lors de la Première de la création du « Clair ruisseau » de Dimitri Chostakovitch pour le Bolchoï à l'Opéra de Paris en 2004, Godefroy Vujicic se fait remarquer par Mstislav Rostropovitch. Le maître du violoncelle, présent dans la salle du Palais Garnier, demande à le féliciter. Sa riche et charismatique personnalité franco-slave le pousse à être sans cesse en quête de nouveaux phrasés, au service d'une interprétation qui repose sur une particularité qu'est la variété de sa palette sonore, saluée à maintes reprises par la critique, notamment lors des concerts proposant l'intégrale des Suites de Bach. Par ailleurs, sa vive curiosité le mène tout naturellement à explorer différents domaines de l'activité musicale. C'est ainsi qu'il s'intéresse à la direction d'orchestre et à la direction de chœur sans oublier les innombrables possibilités qu'offre la musique de chambre : sonate, trio, sextuor… ainsi que l'ultime et fascinante expérience qu'est l'écriture. Dans cet épisode, Godefroy viens nous parler de l'art de donner un ton à sa vie ! Du voyage, du chemin de la vie créative et de l'artiste, des épreuves, du courage que cela requiert. Mais également de ce que cela signifie qu'être le héros de sa propre vie. Et bien plus encore ! Vous souhaitez prendre une dose d'inspiration et de conseils concrets pour "Donner un ton à votre vie"? Ne ratez pas cette conversation inspirante avec Godefroy Vujicic ! C'est ici ! Mettez le son ! *** Si vous avez apprécié le Podcast, laissez-moi un commentaire et quelques étoiles ici https://podcasts.apple.com/fr/podcast/heroic-people-podcast/id1510935846?mt=2&ls=1 ! Cela prend 60 secondes et permet de convaincre les invités du podcast ! Retrouvez-nous sur www.heroicpeople.fr pour découvrir le podcast plus en détails, la newsletter, mon livre, nos services d'accompagnement et de coaching d'équipe.
On continue de lire des comics VF, puis de vous en parler dans les micros de nos podcasts. C'est le principe de notre émission Back Issues, placée là pour titiller votre curiosité et vous donner quelques envies de lecture ! Au programme, une émission qui fait quelques petits détours de notre ligne éditoriale comics sensu stricto en allant aussi regarder ce qui se fait du côté de la production made in France. BD de genre qui plaira aux lecteurs de comics VF C'est notre pari avec First Print également : vous faire découvrir des BD produites par chez nous, mais qui ont des inspirations ou des thématiques qui vous rappelleront les comics américains. Depuis nos débuts, vous savez par exemple que l'on suit le Label 619 au plus près, mais nous avons eu droit également à quelques autres exemples comme l'anthologie Punch! de Kinaye ou Big G chez Fluide Glacial. C'est pour cela que L'Ogre Lion et Bolchoï Arena s'inviteront dans vos oreilles, en compagnie de deux incontournables d'Ed Brubaker, un auteur qu'il est bien s'il en est. Comme toujours, on vous rappelle que le plus important pour nos podcasts est de les partager, partout, tout le temps, quand vous le pouvez, sur vos réseaux sociaux. En vous souhaitant une bonne écoute, et potentiellement de bonnes lectures ! Le programme Les liens vous renvoient chez notre partenaire Comics Zone. Une commande chez eux marquera votre soutien à un libraire indépendant, et nous filera aussi un petit coup de pouce ! LowReader #1 - 01:50 L'Ogre Lion Tome 1 - 17:00 Bolchoï Arena Tome 3 - 27:34 Reckless : l'Envoyé du Diable - 46:05 Velvet Intégrale - 56:35 -- Soutenez nous sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/first-print Ne manquez aucun rendez-vous : https://podcast.ausha.co/firstprintfra Retrouvez nous sur Facebook : https://facebook.com/FirstPrintFRA sur Instragram : https://www.instagram.com/firstprintfra et sur Twitter : https://twitter.com/FirstPrintFRA
durée : 00:58:18 - Les 2 amours de Tugan Sokhiev : Moscou et Toulouse - par : Aurélie Moreau - Son charme, sa fantaisie, sa franchise ont conquis l'Orchestre National du Capitole de Toulouse et le Théâtre Bolchoï. - réalisé par : Vivian Lecuivre
Replongez au cœur des Jeux Olympiques d'hiver 2014 de Sotchi à travers le souvenir et l'expérience de Ben Barnier. Ce dernier est journaliste à France Info, chaîne d'information de France Télévisions, et romancier. Découvrez son histoire qui le mènera au match Canada - Norvège dans l'enceinte du sublime Palais des glaces Bolchoï.
durée : 01:29:12 - Tchaïkovski et le Bolchoï (5/5) - par : François-Xavier Szymczak - En russe, « bolchoï » veut dire « grand ». C’est donc au « grand théâtre » de Moscou que nous avons rendez-vous cette semaine, en compagnie de Piotr Ilyitch Tchaïkovski. - réalisé par : Emmanuel Benito
durée : 01:28:30 - Tchaïkovski et le Bolchoï (4/5) - par : François-Xavier Szymczak - En russe, « bolchoï » veut dire « grand ». C’est donc au « grand théâtre » de Moscou que nous avons rendez-vous cette semaine, en compagnie de Piotr Ilyitch Tchaïkovski. - réalisé par : Emmanuel Benito
durée : 01:28:35 - Tchaïkovski et le Bolchoï (3/5) - par : François-Xavier Szymczak - En russe, « bolchoï » veut dire « grand ». C’est donc au « grand théâtre » de Moscou que nous avons rendez-vous cette semaine, en compagnie de Piotr Ilyitch Tchaïkovski. - réalisé par : Emmanuel Benito
durée : 01:28:14 - Tchaïkovski et le Bolchoï (2/5) - par : François-Xavier Szymczak - En russe, « bolchoï » veut dire « grand ». C’est donc au « grand théâtre » de Moscou que nous avons rendez-vous cette semaine, en compagnie de Piotr Ilyitch Tchaïkovski. - réalisé par : Emmanuel Benito
durée : 01:28:51 - Tchaïkovski et le Bolchoï (1/5) - par : François-Xavier Szymczak - En russe, « bolchoï » veut dire « grand ». C’est donc au « grand théâtre » de Moscou que nous avons rendez-vous cette semaine, en compagnie de Piotr Ilyitch Tchaïkovski. - réalisé par : Emmanuel Benito
durée : 00:28:40 - Avec Bruno Monsaingeon - par : Philippe Venturini - "En 2000, je fus nommé pour la dernière fois directeur musical du Théâtre Bolchoï. Le premier spectacle que j’y ai dirigé remonte à 1952, il y a plus de 60 ans. Moi-même, j’ai du mal à y croire, car, selon toutes les normes du métier, je ne devrais plus être en état de diriger..." G. Rojdestvensky - réalisé par : Laurent Lefrançois
durée : 00:03:11 - Classique info du mercredi 12 août 2020 - par : Florian Royer - Ce matin, nous apprenons que le Ballet du Bolchoï aurait un potentiel malade du Coronavirus dans ses rangs. Le Mariinsky est également touché par le virus. Egalement, des voleurs d'instruments ont été arrêtés à Lyon. Enfin, une guitare de Jimi Hendrix est vendu 153 000 € aux enchères.
Née en Russie soviétique, historienne des langues et littératures scandinaves, Elena Balzamo prend un aller simple pour la France en 1981. Après avoir passé sa thèse sur le conte scandinave, elle s’attèle à la traduction d’un certain nombre d’auteurs du suédois au français : August Strindberg, père du théâtre moderne et écrivain, Hjalmar Söderberg, Jonas Karlsson… Primée en tant que traductrice (Prix de l’Académie suédoise en 2001 et Sévigné en 2010-2011), elle est également collaboratrice au Monde des Livres, et aussi auteure de plusieurs ouvrages, dont Cinq histoires russes (éd. Noir sur Blanc) et, plus récemment, un récit personnel intitulé Triangle isocèle, publié aux éditions Marie Barbier. « Récemment, je me suis rendue compte d’un fait étrange : j’ai beau être née et avoir grandi dans un pays communiste, les membres du Parti que j’ai connus se comptent sur les doigts d’une main. Comment est-ce possible ? ». De cet étonnement, pas si anodin qu’il y paraît, l’auteur remonte ses souvenirs et questionne le rapport des autres et le sien, à l’endoctrinement. Ces invités de « marque », par exemple, venus se ressourcer au Bolchoï ou ce digne instituteur français, communiste de père en fils. Cet aventurier d’une autre époque, aussi, père d’une amie, qui a sans doute fait bien plus pour le Parti que ses reportages vantant les bienfaits des plans quinquennaux en Iakoutie ! Cette réflexion, Elena Balzamo la mène en l’associant à son propre parcours. Une trajectoire qui, de l’Oural à l’Atlantique, en passant par ses lectures d’enfance, prend la forme d’un certain triangle isocèle… (Présentation de l'éditeur) (Rediffusion du 27 juillet 2019)
durée : 00:25:10 - Tchaikovsky, "le Lac des cygnes" - par : Anne-Charlotte Rémond - Le 20 février 1877, la création à Moscou d'un ballet écrit spécialement pour le Bolchoï, fait figure d'événement. En effet, la ville ne monte en général que des ouvrages créés à Saint-Petersbourg, la capitale. L'oeuvre est signée Tchaikovski. Il a 36 ans et Le Lac des Cygnes est son premier ballet. - réalisé par : Philippe Petit
durée : 01:28:43 - Le Ballet du Bolchoï (5/5) - par : François-Xavier Szymczak - Dernier volet de notre évocation des Ballets du Bolchoï - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 01:28:35 - Le Ballet du Bolchoï (4/5) - par : François-Xavier Szymczak - La Russie impériale est emportée dans les tempêtes de l’histoire, mais la grande tradition des ballets du Bolchoï se perpétue, tout en s’adaptant au monde soviétique, avec Roméo et Juliette de Prokofiev ou la Danse du sabre de Khatchaturian. - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 01:28:38 - Le Ballet du Bolchoï (3/5) - par : François-Xavier Szymczak - Bolchoï, en russe, veut dire « le grand ». - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 01:28:19 - Le Ballet du Bolchoï (2/5) - par : François-Xavier Szymczak - Suite de notre exploration des ballets du Bolchoï, des Polonaises de Boris Godounov au Capriccio espagnol de Rimsky-Korsakov, en passant par les Danses polovtsiennes du Prince Igor de Borodine. - réalisé par : Romain Masson
durée : 01:28:47 - Le Ballet du Bolchoï (1/5) - par : François-Xavier Szymczak - En partenariat avec l’opération « Le Ballet du Bolchoï au cinéma » sur de nombreux écrans, nous explorons la riche discographie de cette grande institution moscovite. - réalisé par : Céline Parfenoff
Durée : 2:48 - Lucienne Chapé vous recommande ce week-end Bolchoï Confidentiel, de Simon Morrison (Belfond).
Les achats de cadeaux au temps des Fêtes:Discussion - L’impact économique de la crise des gilets jaunes:Entrevue avec Frédéric Devaux - L'état des lieux du journalisme avec Jasmin Lavoie er Christophe Deloire - Entrevue avec Marc Roche auteur du livre le Brexit va réussir - Table ronde sur le curling avec Meeker Guerrier et la famille St-Georges - À venir à Midi info avec Michel C. Auger - Entrevue avec Guillaume Côté, le premier danseur québécois au Bolchoï de Moscou - Revue des magazines par Davide Gentile
Entrevue avec Guillaume Côté, premier Québécois à danser avec le célèbre Bolchoï de Moscou. Chronique avec Master Bouggarici, designer Vêtements Bougaricci Inc. : Rétrospective de l’année 2018. Chronique avec Isabelle Gonthier : L'intimidation. Une production de QUB radio Décembre 2018
Un épisode spécial pour fêter les 100.000 écoutes de Riviera Détente, en terrasse, et avec pas moins de trois coanimateurs : Patrick Patrick, Marie Sinclair et Raphaël « El Chinito ». Dans un cadre sobre et nocturne, nous parlons de péages d’autoroutes, d’anecdotes portuaires incroyables, de sexy stories, de Pokemon Go, de réalité augmentée, nous méditerons également avec une technologie inédite, et ferons rivaliser l’Auberge de la Patchole avec le Bolchoï.