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Pour écouter mon podcast Choses à Savoir:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------En Russie, aucune communication sur la mystérieuse explosion d'un silo militaire à Tambov. Les médias locaux évoquent des victimes, mais le Kremlin reste muet.Traduction :No word from the Kremlin on a mysterious blast at a military silo in Tambov. Local outlets report casualties, but Moscow stays silent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le journal Le Monde, à Paris, nous raconte l'histoire de Dosseh. Un jeune togolais de 27 ans, originaire d'un village proche d'Aného. Elève brillant, il obtient une licence d'histoire à l'université de Lomé, cherche ensuite à partir pour gagner plus de sous. Il tente sa chance au Canada, puis en France, mais aucun pays ne l'accepte.Aucun, sauf la Russie ! Il part donc étudier à l'Université d'État de Saratov, mais en février, plus de nouvelles. Sa famille s'inquiète et ce n'est qu'un mois après qu'il réapparait dans une vidéo YouTube, interviewé par un ukrainien. « Il porte une combinaison bleu marine et se contente de hocher la tête pour signifier qu'il comprend son interlocuteur », décrit le quotidien français.Il raconte les derniers mois : ces policiers qui lui font signer un contrat en russe, langue qu'il ne sait pas lire, avant d'être conduit dans un camp à Donetsk pour y suivre une formation militaire et ensuite être envoyé sur le front où il sera capturé.Le Monde n'a pas réussi à s'entretenir avec Dosseh, mais son frère Michel l'assure, il n'est pas allé faire la guerre volontairement : « Même quand il était au Togo, on lui a proposé de rejoindre l'armée et il a dit non. Dosseh n'est pas un militaire. Alors pourquoi là-bas il accepterait ? À quel prix ? ». Le prix, on le connaît pour les jeunes hommes recrutés : 200 000 roubles, soit plus de 2130 euros pour se battre pour un pays qui n'est pas le sien et risquer sa vie sur le champ de bataille.Facebook et Instagram, peut-être bientôt fermés au Nigéria…« La confrontation vient de prendre une tournure critique » écrit le Financial Afrik. Alors que Méta, la maison mère des deux réseaux sociaux s'est vue infliger une amende de près de 290 millions de dollars et menace maintenant de les fermer dans le pays. Un bras de fer qui « soulève des questions fondamentales sur la souveraineté numérique, la régulation des entreprises technologiques globales et la protection des consommateurs dans les économies émergentes », selon le journal.Le Nigéria compte 30 millions d'utilisateurs Facebook, 12 millions 600 mille pour Instagram et 51 millions pour WhatsApp ! Alors qui gagnera ce combat qui implique d'un côté, un pays qui insiste sur le respect des lois et de l'autre, un géant du web qui menace de perturber des millions de personnes et de petites entreprises ? Une chose est sûre dit le Financial Afrik : « L'issue de ce bras de fer façonnera inévitablement le paysage de la régulation numérique pour les années à venir ».À la veille du début du conclave, à Rome, pour élire un nouveau Pape, à Kigali, le New Times se félicite de la présence d'un cardinal rwandaisAntoine Kambanda, 66 ans, archevêque de Kigali. C'est la première fois que cela arrive. « Cette inclusion est plus que symbolique », affirme le journal, « elle témoigne de la diversité croissante de l'Église catholique et du rôle essentiel que joue l'Afrique dans l'avenir de la foi », ajoute-t-il, tout en plaidant pour l'élection d'un Pape réformateur, audacieux, qui s'attaquera aux abus, à la corruption et qui fera entendre la voix du Sud.Le New Times attend donc beaucoup du futur souverain pontife et conclut : « L'Église – et le monde – méritent un pape pour demain, et non pour hier ».« God Protect Ibrahim Traoré »Ce serait le nom de la dernière chanson de Beyoncé, publiée il y a peu sur internet.Problème, c'est faux ! La chanteuse, actuellement en tournée, ne l'a jamais chantée, et pour cause, c'est une intelligence artificielle qui l'a créé. C'est ce que nous rapporte Jeune Afrique : la naissance de vraies-fausses chansons à la gloire de ! « Ainsi a-t-on vu fleurir les titres "Victory" d'un avatar de Gims et même un prétendu duo entre Drake et Shakira : "Tribute to Burkina Faso & Captain Ibrahim Traoré officiel 2025" ».Ce qui effraie le plus sans doute, c'est la crédulité de certains internautes : « brave fille d'Afrique et d'Amérique » commente l'un… « Hommage bien mérité à notre capitaine » réagit un second… Mais, comme le dit Jeune Afrique : « difficile de savoir si ces posts ne sont pas eux-mêmes rédigés par des manipulateurs » avant de conclure « un outil artificiel qui profite à un camp finit par servir l'autre ».
Le journal Le Monde, à Paris, nous raconte l'histoire de Dosseh. Un jeune togolais de 27 ans, originaire d'un village proche d'Aného. Elève brillant, il obtient une licence d'histoire à l'université de Lomé, cherche ensuite à partir pour gagner plus de sous. Il tente sa chance au Canada, puis en France, mais aucun pays ne l'accepte.Aucun, sauf la Russie ! Il part donc étudier à l'Université d'État de Saratov, mais en février, plus de nouvelles. Sa famille s'inquiète et ce n'est qu'un mois après qu'il réapparait dans une vidéo YouTube, interviewé par un ukrainien. « Il porte une combinaison bleu marine et se contente de hocher la tête pour signifier qu'il comprend son interlocuteur », décrit le quotidien français.Il raconte les derniers mois : ces policiers qui lui font signer un contrat en russe, langue qu'il ne sait pas lire, avant d'être conduit dans un camp à Donetsk pour y suivre une formation militaire et ensuite être envoyé sur le front où il sera capturé.Le Monde n'a pas réussi à s'entretenir avec Dosseh, mais son frère Michel l'assure, il n'est pas allé faire la guerre volontairement : « Même quand il était au Togo, on lui a proposé de rejoindre l'armée et il a dit non. Dosseh n'est pas un militaire. Alors pourquoi là-bas il accepterait ? À quel prix ? ». Le prix, on le connaît pour les jeunes hommes recrutés : 200 000 roubles, soit plus de 2130 euros pour se battre pour un pays qui n'est pas le sien et risquer sa vie sur le champ de bataille.Facebook et Instagram, peut-être bientôt fermés au Nigéria…« La confrontation vient de prendre une tournure critique » écrit le Financial Afrik. Alors que Méta, la maison mère des deux réseaux sociaux s'est vue infliger une amende de près de 290 millions de dollars et menace maintenant de les fermer dans le pays. Un bras de fer qui « soulève des questions fondamentales sur la souveraineté numérique, la régulation des entreprises technologiques globales et la protection des consommateurs dans les économies émergentes », selon le journal.Le Nigéria compte 30 millions d'utilisateurs Facebook, 12 millions 600 mille pour Instagram et 51 millions pour WhatsApp ! Alors qui gagnera ce combat qui implique d'un côté, un pays qui insiste sur le respect des lois et de l'autre, un géant du web qui menace de perturber des millions de personnes et de petites entreprises ? Une chose est sûre dit le Financial Afrik : « L'issue de ce bras de fer façonnera inévitablement le paysage de la régulation numérique pour les années à venir ».À la veille du début du conclave, à Rome, pour élire un nouveau Pape, à Kigali, le New Times se félicite de la présence d'un cardinal rwandaisAntoine Kambanda, 66 ans, archevêque de Kigali. C'est la première fois que cela arrive. « Cette inclusion est plus que symbolique », affirme le journal, « elle témoigne de la diversité croissante de l'Église catholique et du rôle essentiel que joue l'Afrique dans l'avenir de la foi », ajoute-t-il, tout en plaidant pour l'élection d'un Pape réformateur, audacieux, qui s'attaquera aux abus, à la corruption et qui fera entendre la voix du Sud.Le New Times attend donc beaucoup du futur souverain pontife et conclut : « L'Église – et le monde – méritent un pape pour demain, et non pour hier ».« God Protect Ibrahim Traoré »Ce serait le nom de la dernière chanson de Beyoncé, publiée il y a peu sur internet.Problème, c'est faux ! La chanteuse, actuellement en tournée, ne l'a jamais chantée, et pour cause, c'est une intelligence artificielle qui l'a créé. C'est ce que nous rapporte Jeune Afrique : la naissance de vraies-fausses chansons à la gloire de ! « Ainsi a-t-on vu fleurir les titres "Victory" d'un avatar de Gims et même un prétendu duo entre Drake et Shakira : "Tribute to Burkina Faso & Captain Ibrahim Traoré officiel 2025" ».Ce qui effraie le plus sans doute, c'est la crédulité de certains internautes : « brave fille d'Afrique et d'Amérique » commente l'un… « Hommage bien mérité à notre capitaine » réagit un second… Mais, comme le dit Jeune Afrique : « difficile de savoir si ces posts ne sont pas eux-mêmes rédigés par des manipulateurs » avant de conclure « un outil artificiel qui profite à un camp finit par servir l'autre ».
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la rédaction - Des peuples autochtones et minorités nationales de Russie sont mobilisés de façon disproportionnée, parfois de force, pour la guerre en Ukraine. Des ONG locales de défense des droits de l'homme dénoncent cette situation, bien qu'elles soient qualifiées de "terroristes" par le pouvoir.
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la rédaction - Des peuples autochtones et minorités nationales de Russie sont mobilisés de façon disproportionnée, parfois de force, pour la guerre en Ukraine. Des ONG locales de défense des droits de l'homme dénoncent cette situation, bien qu'elles soient qualifiées de "terroristes" par le pouvoir.
durée : 00:04:25 - Le Reportage de la rédaction - Des peuples autochtones et minorités nationales de Russie sont mobilisés de façon disproportionnée, parfois de force, pour la guerre en Ukraine. Des ONG locales de défense des droits de l'homme dénoncent cette situation, bien qu'elles soient qualifiées de "terroristes" par le pouvoir.
durée : 00:04:25 - Le Reportage de la rédaction - Des peuples autochtones et minorités nationales de Russie sont mobilisés de façon disproportionnée, parfois de force, pour la guerre en Ukraine. Des ONG locales de défense des droits de l'homme dénoncent cette situation, bien qu'elles soient qualifiées de "terroristes" par le pouvoir.
(00:00:45) En Russie, une nouvelle élite qui ne connaît pas la crise (00:05:44) Les réfugiés soudanais privés de soins médicaux en Egypte, interview de Laetitia Qabbani-Rouget (00:13:32) En Birmanie, reportage rare dans les zones rebelles livrées à elles-mêmes après le séisme
Les infos aléatoires du monde by Salomé, c'est tous les matins à 8h10.
Chaque week-end, dans Europe 1 midi week-end, Lenaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les penchants russes du Hell’s le plus puissant du Québec. Le juge Gallant doit-il se récuser? Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le sort du cessez-le-feu suspendu aux deux heures de conversations téléphoniques entre Trump et Poutine ? Ecoutez l'analyse de Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie et auteur de "Vivre avec Poutine", aux éditions Temporis. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 19 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sort du cessez-le-feu suspendu aux deux heures de conversations téléphoniques entre Trump et Poutine ? Ecoutez l'analyse de Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie et auteur de "Vivre avec Poutine", aux éditions Temporis. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 19 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:39 - L'INVITE franceinfo soir - L'ancien ambassadeur de France en Russie Jean de Gliniasty était l'invité de franceinfo soir, mardi 18 mars 2025.
Y aura-t-il un cessez-le-feu en Ukraine ? Kiev et Washington veulent y croire au lendemain des négociations en Arabie saoudite, mais pour l'instant Moscou botte en touche... Si le Kremlin a salué les avancées de ses troupes dans la région russe de Koursk, il n'a pas dit grand chose de cette proposition de trêve négociée à Djedda, se contentant d'expliquer qu'il attendait d'en être informé par les États-Unis. coutez l'analyse de Sylvie Bermann, ancien ambassadeur de France en Russie et en Chine.
Y aura-t-il un cessez-le-feu en Ukraine ? Kiev et Washington veulent y croire au lendemain des négociations en Arabie saoudite, mais pour l'instant Moscou botte en touche... Si le Kremlin a salué les avancées de ses troupes dans la région russe de Koursk, il n'a pas dit grand chose de cette proposition de trêve négociée à Djedda, se contentant d'expliquer qu'il attendait d'en être informé par les États-Unis. coutez l'analyse de Sylvie Bermann, ancien ambassadeur de France en Russie et en Chine.
Y aura-t-il un cessez-le-feu en Ukraine ? Kiev et Washington veulent y croire au lendemain des négociations en Arabie saoudite, mais pour l'instant Moscou botte en touche... Si le Kremlin a salué les avancées de ses troupes dans la région russe de Koursk, il n'a pas dit grand chose de cette proposition de trêve négociée à Djedda, se contentant d'expliquer qu'il attendait d'en être informé par les États-Unis. coutez l'analyse de Sylvie Bermann, ancien ambassadeur de France en Russie et en Chine.
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Julie jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
La scène a fait le tour du monde en quelques heures : Volodymyr Zelensky et Donald Trump assis côte à côte devant la cheminée de la Maison Blanche, le président ukrainien essayant tant bien que mal d'endiguer le flot de paroles du président américain, qui n'hésite pas à se rapprocher de lui, à le menacer du doigt… De Paris à New Delhi, en passant par Washington et Pékin, la scène sidère, choque, interpelle pour le moins… À commencer par la presse américaine bien sûr. Le New York Times commente sobrement : « Le président Trump et le vice-président JD Vance accusent le président Volodymyr Zelensky d'être « ingrat » vis-à-vis des États-Unis et de l'aide qu'ils ont fourni à l'Ukraine ». Leur altercation « menace les espoirs de paix », ajoute le Wall Street journal, le président Trump a accusé le président ukrainien de jouer « à la troisième guerre mondiale ». Plus crûment, le Devoir parle d'une « engueulade qui pourrait changer le monde ». « Jamais l'élégant Bureau ovale de la Maison-Blanche n'avait été témoin d'une telle scène », remarque le quotidien canadien. « Devant les caméras du monde entier, le président Donald Trump a rabroué publiquement son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, dans une prise de bec musclée qui pourrait bien changer le cours de la guerre ».EmbuscadeEn Europe aussi, l'altercation entre les présidents de deux pays jusqu'à présent alliés, fait la Une de la presse. Pour le Soir, Zelensky a été « piégé par Trump ». Le quotidien belge estime que le « clash survenu hier a fait tomber les masques » et qu'il « projette en pleine lumière le fossé grandissant entre l'Amérique de Trump et l'Europe ». De son côté, le Temps parle d'une « embuscade ». « Censé venir signer un accord sur les minerais, le président ukrainien s'est fait humilier et sermonner » ajoute le quotidien suisse. En France, le Monde voit plus loin et estime qu'après l'altercation entre Trump et Zelensky, « les Européens sont contraints d'accélérer leur calendrier face au risque de lâchage des États-Unis ». Le journal allemand die Welt estime lui aussi que « l'Europe ne peut plus compter sur les États-Unis de Donald Trump. Non seulement pour la défense de l'Ukraine, mais aussi pour la défense des valeurs qui définissent l'Occident libre ». En Russie, le journal Moskovski Komsomolets, se montre plutôt sobre, mais assure tout de même que « selon les médias américains, Zelensky n'a pas décidé de quitter la Maison Blanche de lui-même, mais qu'il a été expulsé par Trump ».Moment passionnantUne altercation également remarquée sur le continent africain. « La rencontre a accouché d'une souris », estime Africanews, qui met l'accent sur les réactions en Europe, et notamment sur celle de la présidente de la Commission Européenne. Ursula von der Leyen, « a salué la dignité » du dirigeant ukrainien et lui a « réitéré le soutien de l'Union Européenne ». En Asie, le Japan Times rappelle qu'avant leur rencontre, Donald Trump annonçait « un moment passionnant », et que « moins de deux heures plus tard, Zelensky sortait en trombe de l'aile ouest, sa relation avec son allié le plus important étant en lambeaux (…) Les perspectives d'une cérémonie de signature – et encore moins d'un accord historique avec la Russie mettant fin à trois ans de conflit – se sont évanouies », estime le quotidien japonais. Le Times of India, de son côté, cite la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, selon laquelle Donald Trump et le vice-président JD Vance ont fait preuve « d'un miracle de retenue, en s'abstenant de frapper Volodymyr Zelensky ». Enfin à Pékin, le Global Times reprend lui aussi les propos de la porte-parole du ministère russe des affaires étrangères et parle d'un « feu d'artifice », ajoutant « qu'il reste encore un long chemin à parcourir avant d'amener la Russie et l'Ukraine, à la table des négociations ».
Dans cet extrait, Olga Brochard nous parle de ses études en Russie et du parcours académique qu'elle a du emprunter pour travailler en France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:23 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Attirées, via les réseaux sociaux, par des promesses de formation et de vie meilleure en Russie, de jeunes femmes Africaines partent en Russie, pensant travailler dans l'hôtellerie ou la restauration notamment mais elles se retrouvent dans des usines de fabrication de drones.
La "drogue Crocodile", aussi appelée krokodil (ou desomorphine), est un opioïde synthétique extrêmement puissant et dangereux. Elle est apparue en Russie au début des années 2000 comme un substitut bon marché à l'héroïne, notamment en raison de la hausse des prix de cette dernière. Son usage s'est depuis étendu à d'autres pays, notamment en Europe de l'Est et en Amérique du Nord.Composition et fabrication artisanaleLe krokodil est fabriqué de manière clandestine à partir de codéine, un opioïde en vente libre dans certains pays sous forme de sirop contre la toux. Les consommateurs le synthétisent en y ajoutant divers produits toxiques comme :- Essence ou dissolvant (comme solvant)- Iode (qui accentue la toxicité)- Acide chlorhydrique (pour la réaction chimique)- Phosphore rouge (provenant d'allumettes)Le mélange ainsi obtenu est injecté directement dans les veines, créant un effet euphorisant proche de celui de l'héroïne mais bien plus court (1h30 à 2h contre 4 à 6 heures pour l'héroïne). Cependant, il est beaucoup plus destructeur pour l'organisme.Effets sur le corps et symptômes visiblesLe nom "Crocodile" vient des effets visibles qu'il provoque sur la peau :- Après injection, les veines se nécrosent rapidement.- La peau devient verte et écailleuse, semblable à celle d'un crocodile.- Des ulcères et infections se développent, pouvant aller jusqu'à des gangrènes nécessitant des amputations.Outre ces effets externes, la drogue provoque des dommages internes sévères :- Insuffisance rénale et hépatique- Destruction des muscles et des tissus sous-cutanés- Ostéonécrose (nécrose des os)- Détérioration du cerveau, entraînant des troubles cognitifs irréversiblesDépendance et espérance de vieLe krokodil est extrêmement addictif, encore plus que l'héroïne, car il agit très rapidement et nécessite des injections fréquentes. La dépendance s'installe en quelques semaines et le sevrage est terriblement douloureux.L'espérance de vie d'un utilisateur régulier est de 1 à 3 ans seulement, en raison des infections, septicémies et arrêts cardiaques fréquents.Un problème social et sanitaire majeurLa diffusion du krokodil est liée à la précarité et au manque d'accès aux traitements de substitution. En Russie, la répression des drogues dures a poussé les usagers à se tourner vers cette alternative dangereuse. Malgré des efforts pour restreindre l'accès à la codéine, la production artisanale de krokodil persiste, causant des ravages chez les populations vulnérables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:13 - Journal de 9h - En Russie, la mort du principal ennemi de Vladimir Poutine a été annoncée il y a un an exactement : Alexeï Navalny, décédé dans une prison de l'Arctique russe. Malgré la répression menée contre ses proches, des partisans de l'homme politique continuent de fleurir sa tombe près de Moscou.
En Russie, les indicateurs économiques se sont fortement dégradés et fait inhabituel, même Vladimir Poutine l'admet.La classe moyenne trinque, et des grands patrons grognent. L'inflation a atteint 9% à la fin de l'année, la croissance qui affichait des niveaux insolents en dépit des sanctions, se tarit. Enfin, le cours du rouble est tombé à son plus bas depuis les premières semaines de l'invasion de l'Ukraine il y a trois ans.Alors certains se prennent à espérer que ces difficultés, en partie liées aux sanctions occidentales, puissent faciliter un arrêt des hostilités en Ukraine. Pas si simple, car la Russie a une économie largement dévouée à la guerre et une nouvelle catégorie de Russes y trouve aussi son compte.Pour en parler Sur le Fil part à Moscou et dans sa banlieue, avec Andrey Borodulin sur le terrain. Nous avons aussi appelé Robin Bjalon, journaliste de l'AFP à Varsovie chargé de suivre l'économie russe. Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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L’armée ukrainienne tue un général de haut rang en Russie. L’Allemagne entre en élections en février. La Commission européenne lance une enquête sur TikTok. L’Iran renonce temporairement à imposer une loi drastique sur le voile. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 11 décembre 2024.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 11 décembre 2024.
durée : 00:05:53 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des rues de Moscou à Séoul, en passant par les champs de bataille de l'Ukraine, les narcotrafiquants russes prospèrent sur le darknet (la face sombre du web), avec paiements en cryptomonnaie et commercialisation physique. Ce système pourrait servir de modèle à d'autres régions du monde.
Vera Bogdanova est née en 1986 à Moscou. Élevée par sa grand-mère, elle a suivi des études d'anglais et séjourné à New York avant de se lancer dans l'écriture de textes de science-fiction. En Russie, son premier roman dystopique paraît en 2021, suivi par «Saison toxique pour les fœtus», en 2022, publié récemment en français aux éditions Actes Sud. Vera Bogdanova vit entre Moscou et Bakou en Azerbaïdjan. Roman traduit du russe par Laurence Foulon."Nous sommes en Russie, la datcha de la grand-mère est toujours le refuge des familles dont parlait Tolstoï, « qui sont malheureuses chacune à sa façon ». Ici les parents ont vu disparaître l'Union soviétique et ont droit, à la place d'un avenir radieux, au capitalisme sauvage et aux attentats terroristes.Tout commence en 1995, Jénia a onze ans, elle est en vacances chez sa grand-mère où vient aussi son cousin Ilia, qui en a treize. Cinq ans plus tard, ils boivent de l'alcool pour la première fois, se baladent à moto et sortent en boîte… Encore cinq ans et c'est le premier baiser, la certitude d'être faits l'un pour l'autre malgré tous les obstacles. Les temps ont changé, mais pas les mentalités, pas les parents. Il y a aussi Dacha, la petite sœur d'Ilia, mal-aimée par une mère à la beauté ravageuse « qui ne sait pas choisir les hommes » et qui, comme trop de femmes russes, sera victime de violences conjugales exacerbées par l'alcool.Portrait sans fard d'une époque, paru en 2022, ce roman aux multiples nuances de noir est devenu la référence de la génération Y." (Présentation des éditions Actes Sud)
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Jean-Loup Bonnamy et Maryeme Bouslam débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans "Patriote", ses mémoires qui viennent de paraître, Alexeï Navalny raconte les conditions de vie inhumaines dans lesquelles il a vécu pendant son emprisonnement. Du centre de détention provisoire aux colonies pénitentiaires, comment sont traités les prisonniers russes ? Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Sophie Joussellin du 24 octobre 2024.
durée : 00:19:26 - Journal de 18h - Les Occidentaux en sont désormais convaincus : la Corée du Nord a envoyé en Russie des milliers de soldats. Les deux pays ont accéléré leur coopération militaire depuis l'invasion de l'Ukraine. Reste à savoir si ces soldats seront déployés sur le front ukrainien pour soutenir l'armée russe.
durée : 00:19:26 - Journal de 18h - Les Occidentaux en sont désormais convaincus : la Corée du Nord a envoyé en Russie des milliers de soldats. Les deux pays ont accéléré leur coopération militaire depuis l'invasion de l'Ukraine. Reste à savoir si ces soldats seront déployés sur le front ukrainien pour soutenir l'armée russe.
durée : 00:06:14 - La Revue de presse internationale - La Corée du Sud s'inquiète de la présence de soldats nord-coréens en Russie. Le ministère des affaires étrangères sud-coréen a convoqué l'ambassadeur russe à Séoul, lui demandant un retrait immédiat des troupes envoyées par Pyongyang.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - Le Sommet des BRICS qui s'ouvre demain à Kazan, en Russie, permet à Poutine de montrer qu'il n'est pas isolé. Mais c'est surtout le pouvoir d'attraction de ce « club » des pays émergents qu'il faut voir, dans un monde dominé par les Occidentaux depuis 1945 et qui a du mal à évoluer.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - Le Sommet des BRICS qui s'ouvre demain à Kazan, en Russie, permet à Poutine de montrer qu'il n'est pas isolé. Mais c'est surtout le pouvoir d'attraction de ce « club » des pays émergents qu'il faut voir, dans un monde dominé par les Occidentaux depuis 1945 et qui a du mal à évoluer.
Recherche des disparus, maintien des liens familiaux… Ces missions traditionnelles du Comité international de la Croix Rouge (CICR), le cœur de son mandat issu des Conventions de Genève, ont depuis le lancement de ses opérations en mars 2022 sur le conflit en Ukraine une ampleur inédite pour l'organisation. Le CICR a ouvert pour la première fois les portes de son siège moscovite à un média. De notre correspondante à Moscou, À proximité de trois gares, le siège du CICR à Moscou voit désormais arriver des familles entières ayant passé la nuit dans un train. Parfois dès 7 heures, elles attendent l'ouverture des locaux de l'organisation. Ces familles se rendent dans la capitale russe à la recherche d'informations sur leurs proches disparus. L'essentiel du travail des salariés du CICR se passe pourtant entre des murs où règne un silence épais, concentré, à peine troublé, régulièrement, par les appels. Au bout de la ligne, casque sur la tête derrière leur ordinateur, deux opératrices sont dédiées au travail en première instance, dont Marina, 24 ans, (son prénom, comme celui des autres salariées répondant aux appels, a été changé à sa demande). Elle explique :« Tous les premiers appels passent par moi et ma collègue. Nous recevons quotidiennement entre 50 et parfois jusqu'à 130 appels chacune. La durée dépend du type de question que se pose une personne. Parfois, vous pouvez résoudre une question en une minute, et parfois, vous devez y passer 15 minutes. Nous recevons toutes sortes d'appels. La plupart du temps, ce sont des personnes très polies et respectueuses dans leur communication. Bien sûr, elles sont très souvent dans un état psychologique très difficile car elles sont déjà allées dans de nombreux endroits, parce qu'elles n'ont pas pu obtenir de réponses à leurs questions depuis très longtemps, et parce qu'elles ne savent toujours pas où se trouve leur proche. »Parfois, les familles ont un doute sur qui a pu prendre contact avec elles, explique aussi Marina : « Il y a des familles qui reçoivent des appels d'arnaqueurs et elles sont très inquiètes parce qu'on leur dit, par exemple, que leur proche est en captivité et en danger, et on demande à la famille d'envoyer urgemment de l'argent à quelqu'un. » Quelle que soit la situation évoquée, ces appels charrient leurs lots d'émotions. « Principalement de la frustration, parce que les gens ne savent rien, détaille Marina. Ils sont donc très fatigués, extrêmement traumatisés. Il y a des moments où ils se mettent très en colère, et c'est normal. Nous comprenons pourquoi cela se produit. » Au CICR, le personnel soutient de multiples façons les familles de disparus Avec l'accord des familles et la garantie d'une confidentialité totale, Marina et sa collègue établissent ensuite tous les premiers éléments concrets pour établir une demande de recherche : photos, tatouages… Ce sont d'autres collègues, ensuite, qui prennent le relais, et gardent le lien. « Il y a plusieurs possibilités, détaille Elena. La première est lorsque nous recevons des informations dans notre système selon lesquelles une personne est confirmée comme prisonnier de guerre par les autorités ukrainiennes : dans ce cas, nous appelons le numéro de téléphone de contact que le demandeur nous a laissé, et l'informons que son proche est prisonnier de guerre. La deuxième option est lorsque nous recevons de courts messages verbaux ou des messages Croix-Rouge d'un prisonnier de guerre pour ses proches : dans ce cas, le prisonnier de guerre laisse les coordonnées des proches à qui il souhaite transmettre un court message. Bien sûr, les réactions varient, des larmes aux cris de joie au téléphone. » Annoncer une bonne nouvelle, par exemple qu'on a retrouvé la trace d'un soldat capturé, reste rare, mais dans ces cas-là, le sentiment d'être utile est particulièrement fort. Il y a aussi les paroles des familles. Maria se souvient, avec une émotion discrète : « Une fois, on m'a envoyé une capture d'écran d'un groupe qui s'appelle ''Parents de personnes disparues pendant le conflit'', qui s'échange des informations sur les réseaux sociaux. Quelqu'un a conseillé de contacter la Croix-Rouge internationale en disant qu'on y expliquait bien les choses. Dans des moments comme ça, on se sent fier de ce qu'on fait dans l'organisation. » Reste que bien souvent, avec l'installation du conflit, dit Maria, les problèmes s'accumulent. « Certains vivent dans la région de Belgorod, à la frontière, ils sont donc aussi dans une zone de conflit. Donc, en plus du fait qu'ils ont perdu trace de leurs proches, ce qui est déjà une tragédie, ils ont beaucoup d'autres problèmes et ils se sentent souvent seuls, abandonnés. Quand nous n'avons pas appelé depuis un moment, des familles nous contactent en utilisant notre e-mail ou notre numéro d'assistance téléphonique gratuit pour savoir s'il y a des nouvelles ou non, car elles sont inquiètes, explique Maria. Dans un tel cas, bien sûr, nous répondons rapidement, et clarifions toutes les informations nécessaires. Malheureusement, en raison du grand nombre de dossiers que nous avons, il n'est pas toujours possible d'être en contact avec chacun. Mais nous comprenons que notre tâche principale est de fournir toutes sortes de soutien, y compris un soutien psychologique. Parfois, il est important pour une personne de juste pouvoir parler. » En plein affrontement, la tâche du CICR est titanesque, d'autant que la longueur de la ligne de front et la violence des combats sont aussi des obstacles majeurs pour récupérer les blessés, ramener les morts et mener les identifications. 36 000 dossiers de recherche sont encore ouverts Les derniers chiffres de l'organisation, au bout de plus de deux ans et demi de conflit, donnent, eux, le vertige. Pour des raisons évidentes de confidentialité et de neutralité – c'est d'ailleurs dans son mandat –, l'organisation donne des chiffres globaux d'actions menées, et non pas pays par pays. Fin septembre 2024, le CICR avait décompté environ 230 000 appels, courriels ou visites de familles à la recherche de disparus. 10 000 familles sont informées du sort ou de la localisation de leur proche. On compte 36 000 dossiers de recherche de disparus ouverts. « Le cas typique, ce sont les familles de soldats et de civils qui ont perdu le contact avec leur proche, dit Pamela Ongoma, responsable de la protection des liens familiaux à la délégation régionale du CICR à Moscou. Parfois, nous avons aussi des cas de familles qui savent par d'autres soldats que leur proche a été fait prisonnier. Ils prennent contact avec nous pour l'ouverture d'une demande de recherche, pour que nous puissions l'inclure dans nos bases, parce qu'ils savent que nos activités sont disséminées, et que cela peut leur permettre de recevoir des nouvelles. » C'est une disposition du droit international humanitaire : les parents de disparus ont le « droit de savoir ». Pour mener à bien cette tâche, le dispositif du CICR est le plus massif depuis la Seconde Guerre mondiale : 50 sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge sont mises à contribution, ainsi que 27 délégations du comité international. Les demandes peuvent en effet être déposées par des familles qui se sont réfugiées loin du conflit. Au cœur de cette machine, une structure a été créée spécialement : le « bureau de l'Agence centrale de recherches pour le conflit armé international entre la Fédération de Russie et l'Ukraine ». Il est installé à Genève, avec des antennes à Kiev et à Moscou. L'ampleur et la durée du conflit exigent de plus en plus d'effectifs, explique Pamela Ongoma : « En 2022, l'équipe qui s'occupait du suivi des familles était encore d'une taille réduite. Elle a graduellement augmenté. Nous avons fait beaucoup de recrutements et désormais multiplié les effectifs par quatre par rapport au début ; nous sommes aujourd'hui 38 dédiés à la protection des liens familiaux. Et nous avons aussi d'autres départements, qui sont, par exemple, en charge de délivrer les messages des familles. Je pense qu'au vu de la charge de travail, nous allons continuer à recruter. » Selon les Conventions de Genève, les échanges de prisonniers, eux, ne sont pas une obligation des parties. Dans ce conflit, ils sont négociés sans le CICR, directement entre Kiev et Moscou. À l'abri des regards.
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Le Journal en français facile du mercredi 14 août 2024, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AsIh.A
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Le Journal en français facile du vendredi 9 août 2024, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/ArU8.A