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Cette semaine en Turquie, Recep Tayyip Erdogan pourrait perdre la présidentielle face à son sérieux rival Kemal Kilicdaroglu. En Russie, Vladimir Poutine a célébré, le 9 mai, le jour de la Victoire. Au même moment à Kiev, Volodymyr Zelensky recevait Ursula von der Leyen pour la journée de l'Europe. Toujours en Ukraine, le chef du groupe Wagner accuse de nouveau l'armée russe de fuir le front de Bakhmout. Enfin, après 11 ans de rupture, l'Arabie Saoudite rétablit ses relations avec la Syrie.
durée : 00:55:16 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du mardi 9 mai 2023.
Arrêté fin mars par les autorités russes et accusé d'espionnage, ce qu'il dément fermement, le journaliste américain Evan Gershkovich est un reporter tout-terrain qui vit en Russie depuis 2017. Ce fils d'émigrés soviétiques, parfaitement russophone, est resté à Moscou au début de l'invasion de l'Ukraine, contrairement à de nombreux journalistes américains. “Evan, c'est quelqu'un qui croit vraiment à la mission du journalisme”, explique son amie et ancienne collègue de l'AFP Andrea Palasciano. Correspondant du prestigieux quotidien américain Wall Street Journal, Evan Gershkovich a donc continué à raconter la Russie, malgré les risques. Il a été arrêté alors qu'il semblait enquêter sur l'industrie de l'armement et le groupe paramilitaire Wagner dans l'est de la Russie, à Ekaterinbourg. A l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, Jeanne Cavelier, responsable du bureau Europe de l'Est et Asie centrale pour Reporters Sans Frontières, décrit une Russie où le travail des journalistes russes et maintenant étrangers est de plus en plus difficile. Interview et réalisation : Antoine Boyer Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Et si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Ce lundi 1er mai, les raisons du blocage des dividendes des entreprises d'hydrocarbures indiennes en Russie ont été abordées par Laura Cambaud dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Stéphane Pedrazzi, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En Russie, le départ de McDonald's avait rapidement été compensé par l'ouverture dans les mêmes locaux d'une chaîne de hamburgers « made in Russia ». L'opération a été un peu plus lente pour Ikea. Le géant du meuble d'origine suédoise a totalement fermé l'été dernier et ce n'est qu'il y a 10 jours qu'une boutique baptisée « La maison suédoise » a ouvert ses portes à Moscou, suscitant des réactions contrastées. De notre correspondante à Moscou, Même centre commercial dans la banlieue de Moscou, même emplacement, même code couleur entre le bleu, le blanc et le jaune. À part sa taille, trois fois plus petite, au premier abord, « La maison suédoise » a tout d'une jumelle de son prédécesseur Ikea. Cela suffit à l'enthousiasme d'une cliente qui ressort avec un achat qu'elle juge prometteur. « J'ai acheté ces bougies, car elles brûlent durant 4 heures. Toutes les autres, c'est seulement deux heures. C'est le même fabricant qu'avant et je pense qu'elles dureront tout autant. » Son attente risque d'être pourtant très vite déçue. « Les [employés] de la boutique ont copié les bougies d'avant. Sauf que le prix est nettement plus élevé et qu'au vu de l'épaisseur de ces bougies, c'est sûr qu'au mieux, elles brûleront pendant 3 heures, maximum trois heures et demie. La qualité est donc déjà beaucoup moins bonne », explique Aram. « Tout est dans les détails » À 34 ans, ce barbu souriant est un ancien designer d'Ikea. Depuis l'ouverture de sa copie, il publie sur son compte Instagram à 15 000 abonnés de petites vidéos le plus souvent critiques sur la nouvelle offre. Aram a accompagné RFI à « la maison suédoise ». Premier arrêt, à quelques pas de l'entrée, le rayon vaisselle. « Regardez ces assiettes que je tiens dans mes mains : la copie est défectueuse. Il ne devrait pas y avoir de marques à cet endroit, les proportions n'ont pas été faites correctement. Tout est dans les détails. De plus, leur revêtement est douteux. On ne sait pas bien combien de temps, il va tenir... », observe-t-il. « Ikea a toujours donné une très bonne garantie de durée avec le lave-vaisselle et le micro-ondes. Ici, je ne sais pas ce qui serait possible, si ça ne tient effectivement pas longtemps comme je le pense. Je pense que probablement, il n'y aura pas de bon service après-vente », estime Aram. « Ikea devrait revenir » Quelques pas plus loin, arrêt devant une commode à vêtements blanche : « Le prix est presque deux fois plus élevé que le modèle original. Et là aussi, regardez les détails de ce tiroir », indique Aram. « Sur le modèle, c'est le style traditionnel, donc à l'intérieur, lorsque vous l'ouvrez, vous voyez une doublure avec un joli graphisme avec des rayures, c'est très beau. Ici, ils n'ont rien copié, c'est juste blanc. De plus, dans l'original, le tiroir est construit de telle manière que même s'il est plein, vous pouvez ouvrir et fermer, il ne se cassera pas. Et regardez, si vous ouvrez le tiroir, il tombe déjà, alors qu'il est encore vide. » Un jeune couple venu de Novossibirsk, troisième ville du pays, se montre lui plus mesuré : « dans notre ville, Ikea a fermé et il n'y a pas de boutiques de remplacement », explique la jeune femme. « Alors nous avons profité de nos vacances à Moscou pour venir regarder ce qu'il y avait ici. C'est déjà bien qu'il y ait une offre de substitution ». Ce couple n'a rien acheté ce jour-là, mais envisage de le faire à l'avenir. Cela ne semble pas l'option majoritaire chez les Moscovites. Certains repartent avec des emplettes, mais beaucoup les mains vides : « La boutique ne nous a vraiment pas impressionné. Nous ne reviendrons certainement pas ici une deuxième fois, nous n'avons pas aimé », souffle une mère de famille. Un autre client lâche simplement en partant « Ikea devrait revenir ». Comme si personne à Moscou n'avait fait encore le deuil du départ de la chaîne. Sur les plateformes internet russes, les produits Ikea originaux se revendent déjà beaucoup plus cher qu'à l'achat. Des filières d'approvisionnement parallèles semblent aussi se mettre en place. Ont-elles un avenir ? En tout cas, les copies sur les nouvelles collections sont peu probables, juge Aram : « Tout ce qui est présenté à la vente ici, ce sont des produits qui se vendent très bien depuis de nombreuses années, certains depuis plus de dix ans. Il est peu probable que quelque chose de nouveau soit mis dans les rayons, car ce n'est pas rentable de fabriquer à partir de zéro ». ► À lire aussi : En Russie, McDonald's rouvre sous le nom «Vkusno i tochka»
Ce vendredi 7 avril, les enseignes d'habillement de l'espagnol Inditex qui passent sous pavillon des Émirats arabes unis en Russie ont été abordées par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : Pourquoi RFI dit ça ? « président de la transition » ou « chef de la junte » ? Clément de Douala nous interpelle sur les terminologies « chef de la junte » et « président de la transition ». Il constate que lorsque nous parlons du général Mahamat Idriss Déby au Tchad, nous le présentons comme le président de la transition. Mais lorsqu'il s'agit du colonel Goïta au Mali, du capitaine Traoré au Burkina Faso ou du colonel Doumbouya en Guinée, nous les qualifions de « chef de la junte ». Avec Christophe Boisbouvier, adjoint à la directrice de RFI, en charge de l'Afrique. Mali : démission du chef de poste du Haut Conseil pour l'unité de l'Azawad Dans un communiqué, Idrissa Ag Intagarass du Haut-Conseil pour l'Unité de l'Azawad a annoncé sa démission et celle de tous ses combattants. Cette information est-elle vérifiée ? Si oui, pourquoi ont-ils pris cette décision ? Cette décision peut-elle avoir une incidence sur la stabilité du nord du pays ? Avec Serge Daniel, correspondant pour le Sahel de RFI, basé à Dakar. Russie : que sait-on du blogueur militaire russe tué dans un attentat à la bombe ? Dimanche (2 avril 2023), le blogueur russe Vladlen Tatarsky, spécialiste des questions militaires, a été tué dans l'explosion d'un café de Saint-Pétersbourg. Quel était le profil de ce blogueur ? Quelles étaient ses publications sur la guerre en Ukraine ? Que sait-on des motivations de la suspecte interpellée ? Avec Anissa El Jabri, correspondante permanente de RFI à Moscou. Royaume-Uni : des personnalités issues de la diversité à des postes-clé Humza Yousaf, d'origine pakistanaise, a été nommé Premier ministre d'Écosse. Après le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, c'est un nouvel homme sud-asiatique qui a accédé à de hautes fonctions au Royaume-Uni. Comment expliquer l'avènement de dirigeants politiques issus de la diversité ? Réponse en deuxième partie d'émission avec Vincent Latour, professeur de Civilisation britannique à l'Université Toulouse-Jean Jaurès, spécialiste des questions d'immigration et de diversité au Royaume-Uni. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
En visite en Chine, E Macron veut encourager Pékin à jouer un rôle dans le conflit en Ukraine. Mais la visite d'État de trois jours de Xi Jinping en Russie a montré Pékin et Moscou alliés contre l'Occident. En Russie, l'enseignement du chinois a lui fortement progressé depuis un an. De notre correspondante à Moscou, Fin d'après-midi dans une école de langues dans la banlieue est de Moscou. C'est l'heure de l'effervescence : on entre, on sort, on attrape un gobelet à la machine à café avant d'ouvrir ses cahiers dans une des nombreuses salles. Le logo de cet établissement d'un réseau de 12 dans l'agglomération a beau préciser « anglais, allemand, espagnol », depuis un an, ce qui résonne davantage dans les salles de cours, y compris chez les plus jeunes élèves de Ekaterina, c'est le chinois. « C'est intéressant de noter que ce sont les enfants eux-mêmes qui veulent apprendre le chinois, ils disent qu'ils ont vu des choses qui leur plaisent sur Internet. Des photos de la Chine, de la publicité. La culture chinoise est très promue, et il y a même beaucoup de dessins animés liés à la Chine qui sortent en Russie. Et les enfants les regardent, ils aiment ça aussi. Ils veulent la même chose », nous explique cette professeure de chinois et espagnol depuis quatre ans Une demande croissante de la demande de cours de chinois En douze mois, toutes les plateformes occidentales comme Facebook, Instagram, YouTube ont été bannies. Et la Russie intensifie depuis début 2023 sa lutte contre les VPN qui permettent d'y accéder. Quant au cinéma, Hollywood s'est retiré du marché dès début mars 2022. Résultat : un large espace s'est ouvert pour le soft power chinois. Pour Anna Peunova, vice-directrice de l'école, les conséquences ont été immédiates : « Si on compare mars de l'année dernière et mars de cette année, nous avons une croissance de la demande de cours de chinois de plus de 60 % », explique-t-elle. « De plus, tous nos professeurs de langue chinoise ont un niveau assez élevé et ils ont tous effectué au moins un stage en Chine. On ne peut pas en dire autant de tous nos professeurs d'anglais. » Et cela ne va pas s'arranger. Les portes des universités européennes sont fermées quand celles de la Chine sont grandes ouvertes aux Russes. Même chose pour le marché du travail : en un an, les annonces demandant des compétences en chinois ont explosé. L'économie russe a entamé ce « pivot vers l'Asie » que Vladimir Poutine vante tant, et les sites de petites annonces ont vu exploser les offres de postes demandant une pratique du chinois. La difficulté des adultes à rester assidus aux cours Natalia, qui enseigne le chinois en ligne, a vu en un an le nombre de ses clients doubler. « Bien sûr, en raison des événements récents qui ont eu lieu au cours de l'année écoulée, il y a plus d'intérêt pour le chinois chez les adultes. J'ai eu ainsi le cas de quelqu'un qui a du mal à trouver un emploi parce que les entreprises européennes ont quitté le marché russe. Des profils comme ceux-là s'intéressent à la possibilité de faire des affaires avec la Chine et, par conséquent, se disent qu'il peut être très utile d'apprendre la langue. » Un intérêt qui fait parfois long feu explique cependant Natalia. « Malheureusement, beaucoup de gens arrêtent d'apprendre la langue très rapidement », souligne-t-elle. «Beaucoup de gens pensent que c'est comme l'anglais, qu'ils vont étudier quelques mots pendant un moment, lire un peu de grammaire, et que tout sera facile. Je parle toujours de ces questions aux adultes qui travaillent déjà, je leur dis qu'apprendre la langue chinoise prend beaucoup de temps, qu'à cause des particularités de la langue, et notamment de l'alphabet, l'apprentissage de la langue est très difficile. Malheureusement, tout le monde n'a pas autant de temps à disposition et de nombreux adultes abandonnent ». Motivés par l'emploi, souvent démotivés par la difficulté... Sur un total de 10 nouveaux inscrits au cours des derniers mois, il ne reste déjà à Natalia que quatre étudiants. Les employeurs russes qui ont besoin de sinophones rapidement, eux, s'arrachent les cheveux.
Mandawuy Yunupingu, figure du militantisme aborigène, est mort à l'âge de 74 ans. En Russie, un blogueur militaire proche du pouvoir tué par une explosion à Saint-Petersbourg. En France, la convention citoyenne, favorable à l'aide active à mourir, remet ses conclusions à Emmanuel Macron.
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Un enfant placé dans un orphelinat pour un dessin anti-guerre, et son père arrêté ; un journaliste américain accusé d'espionnage ; et Poutine qui admet que les sanctions vont affecter l'économie russe… Un an de guerre pèse sur la société russe en pleine régression.
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Un enfant placé dans un orphelinat pour un dessin anti-guerre, et son père arrêté ; un journaliste américain accusé d'espionnage ; et Poutine qui admet que les sanctions vont affecter l'économie russe… Un an de guerre pèse sur la société russe en pleine régression.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 29 mars 2023 avec Philippe Caverivière.
durée : 00:14:35 - Les Enjeux internationaux - par : Baptiste Muckensturm - Hier, en marge de la visite de Xi Jing Ping à Moscou, GazProm a annoncé des livraisons de gaz j records à la Chine. La visite du président chinois vise à renforcer les liens économiques et projets énergétiques entre Pékin et Moscou. Et parmi eux, des projets d'exploitations gazières en Sibérie... - invités : Emmanuel Véron Géographe, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'école navale et à l'INALCO, membre de l'Institut Français de Recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE)
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : Guerre en Ukraine: vers une médiation de la Chine ? Par Anissa El-Jabri, correspondante de RFI à Moscou. Royaume-Uni - Rwanda : où en est l'accord migratoire controversé ? Par Charlotte Boitiaux, rédactrice adjointe du site Infomigrants. Foot : M'bappé désigné capitaine de l'Equipe de France. Par Antoine Grognet, journaliste au service des sports de France. Stormy Daniels : l'affaire qui menace Donald Trump. Par Jean-Eric Branaa, maître de conférences à l'Université Paris 2 Panthéon-Assas, spécialiste des Etats-Unis. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
Ce mardi 21 mars, la rencontre entre Vladimir Poutine et Xi Jinping avec le chef de l'État russe qui souhaite protéger un rapport d'égal à égal a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Alors que ces deux pays ne se sont jamais entendus durablement, la Chine et la Russie continuent d'échanger sur le plan commercial.
durée : 00:14:29 - Les Enjeux internationaux - par : Baptiste Muckensturm - Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le pouvoir de Vladimir Poutine a connu un nouveau durcissement autoritaire que relèvent tous les observateurs. - invités : Gilles Favarel-Garrigues Chercheur au Centre d'études et de recherches internationales (CERI/Sciences Po, Paris)
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Heure de culture française - La civilisation russe : La franc-maçonnerie en Russie (1ère diffusion : 10/12/1962 France III Nationale)
Ce vendredi 3 mars, le phénomène des adolescents qui sèment le désordre dans les centres commerciaux des grandes villes de Russie a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Stéphane Pedrazzi, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 23 février, le rapprochement entre la Chine et la Russie qui se poursuit avec l'annonce de Vladimir Poutine selon laquelle son homologue chinois allait se rendre à Moscou a été abordé par Laura Cambaud dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Stéphanie Coleau et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En Russie les informations sur le conflit ukrainien sont écrasées par le rouleau compresseur de la propagande du Kremlin et la peur. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Benjamin Quénelle décrypte depuis Moscou le climat qui règne dans la population alors que les cercueils des soldats russes affluent.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Michèle Warnet. Cet épisode a été enregistré en février 2023. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Benjamin Quénelle (correspondant des « Echos » à Moscou). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Evgenia Novozhenina/Reuters. Sons : TF1, Le Figaro, Arte, IC3PEAK « La Marche » (2020), RTL. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La surveillance et le contrôle des populations grâce à la reconnaissance faciale n'est plus l'apanage de la Chine, dont les entreprises exportent largement les technologies permettant d'identifier passants… ou d'opposants dans des dizaines de pays. En Iran, elle serait désormais utilisée pour identifier des femmes qui ne portent pas le voile obligatoire dans la république islamique. En Russie, la reconnaissance faciale permettrait de traquer les opposants, notamment lorsqu'ils participent à des manifestations interdites, voire même les conscrits qui n'ont pas répondu à la mobilisation pour la guerre en Ukraine. C'est ce que dénoncent plusieurs ONG de défense des droits humains, dont Amnesty international, qui craint l'instauration de véritables dictatures orwelliennes grâce à ces technologies. Amnesty demande également aux autorités françaises de renoncer à mettre en place des caméras permettant de détecter des comportements suspects pour renforcer la sécurité des Jeux Olympiques de Paris en 2024, même si le gouvernement assure qu'il ne s'en servira pas à des fins de reconnaissance faciale. Décryptage avec Katia Roux, responsable de plaidoyer au sein d'Amnesty International France, Azadeh Kharazi, professeure auxiliaire à l'Université de Twente aux Pays-Bas, spécialiste de la transformation numérique et des technologies de surveillance, Sarkis Darbinyan, co-fondateur de l'ONG Russe RoskomSvoboda, de défense des droits numériques, et Steven Feldstein, chercheur Carnegie Endowment for International Peace et auteur de “The Rise of Digital Repression: How Technology is Reshaping Power, Politics, and Resistance”. Réalisation: Michaëla Cancela-Kieffer. Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Tchad : ouverture d'une ambassade en Israël, quels domaines de coopération entre les deux États ? Par Sami Boukhelifa, envoyé spécial permanent de RFI à Jérusalem France : bientôt dans la Constitution, la « liberté » pour les femmes à avorter ? Par Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI Turquie/Syrie : pourquoi les sismologues n'ont-ils pas vu venir le séisme de très grande ampleur ? Par Jérôme Vergne, sismologue à l'École et Observatoire des Sciences de la Terre à Strasbourg Russie : pourquoi le FMI prévoit une croissance de son économie ? Par Christophe Boucher, professeur d'économie à l'Université de Paris Nanterre, membre du Laboratoire Economix. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
durée : 00:11:05 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Kirill Serebrennikov, réalisateur, est l'invité de 7h50 pour son film "La Femme de Tchaïkovski".
Depuis le début de la guerre, les autorités ukrainiennes dénoncent un système de déportation de ses enfants, orchestré par Moscou. Une politique illégale considérée comme un crime contre l'humanité selon l'association française Pour l'Ukraine, pour leur liberté et la nôtre, en décembre 2022. Du lundi au jeudi, Marion Calais revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Le vendredi, c'est "Focus Culture" avec Anthony Martin et l'équipe de "Laissez-vous tenter". Et chaque dimanche, dans "Focus Dimanche" Mohamed Bouhafsi donne la parole à ceux qui la font.
Ce vendredi 20 janvier, les vrais chiffres sur le retrait de la Russie des entreprises occidentales ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'émission 28 Minutes du 07/01/2023 Au programme de l'émission du 7 janvier 2023 ⬇ Le samedi, 28 Minutes continue avec Renaud Dély, Nadia Daam et Jean-Mathieu Pernin ! Hiver anormalement chaud : les solutions de François Gemenne, l'hyperactif du climat Des chaleurs extrêmes et des incendies en série, des inondations meurtrières et des ouragans violents… L'année 2022 a été marquée par de nombreuses catastrophes naturelles aux quatre coins de la planète. Face à l'urgence climatique, le politologue François Gemenne fait pourtant un triste constat : “l'écologie n'est pas un consensus” — titre de son nouvel essai (éditions Fayard). Si le dérèglement climatique fait l'actualité, les solutions proposées depuis des années ne parviennent pas à dépasser les clivages politiques et les intérêts personnels — ni même les frontières. Alors que l'écologie peine à fédérer, François Gemenne décrypte l'échec de nos politiques environnementales et explore d'autres voies pour lutter efficacement et universellement contre le dérèglement climatique. Découvrez son portrait signé Philippe Ridet et lu par Sandrine Le Calvez. Crise des systèmes de santé : c'est toute l'Europe qui est malade ? Alors que les médecins généralistes poursuivent leur grève dans l'espoir de doubler le tarif des consultations, les hôpitaux sous tension appellent à leur tour à “une grève illimitée” à partir du 10 janvier. Face à des conditions de travail difficiles, des services d'urgences débordés et un manque de soignants, toute la politique de santé française est remise en question. Chez nos voisins européens, la situation est également critique : au Royaume-Uni, en Espagne, en Allemagne et en Italie, les professionnels de santé dénoncent un burn out général. Alors que la population européenne vieillit, nos systèmes malades peuvent-ils encore garantir des soins de qualité ? Revers pour son armée en Ukraine : Poutine est-il affaibli en Russie ? Vladimir Poutine souffrirait d'un cancer et serait mourant. C'est en tout cas ce que laisse entendre une rumeur lancée au début de la guerre, récemment renforcée par les propos du chef du renseignement militaire ukrainien. Si les Russes et la CIA démentent évidemment l'information, le bombardement de la ville de Makiïvka — survenu la nuit du 31 décembre au 1er janvier — a sans aucun doute affaibli politiquement le dirigeant. 400 jeunes russes appelés y auraient péri, alors que les autorités du pays en reconnaissent seulement 89. Un bombardement qui remet également en cause la stratégie du Kremlin et témoigne, selon le général Dominique Trinquand, de “l'amateurisme des forces russes”. Assistons-nous à un revers dans le conflit ? Les ultras du régime pourraient-ils profiter de la situation ? Tabernacle ! Céline Dion ne fait pas partie des 200 plus grandes stars de tous les temps, selon le magazine “Rolling Stone”. Gaël Legras raconte le vif émoi provoqué par ce classement dans tout le Québec et parmi les fans de la chanteuse iconique. Sans oublier la question très intéressante de David Castello-Lopes, la chronique de Marie Bonnisseau et un retour sur le temps fort de la semaine. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 7 janvier 2023 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
C'est le grand titre de Libération qui revient sur le bombardement meurtrier ce week-end d'un bâtiment occupé par des militaires russes à Makiïvka ou Makeïevka, dans la région de Donetsk. Dans un premier temps, Moscou avait annoncé un bilan de 63 morts, puis ce mardi matin, les autorités russes donnent le chiffre de 89 morts. Le bilan de ce bombardement est sous doute beaucoup plus lourd : « Selon l'état-major ukrainien, relate Libération, près de '500 militaires auraient été blessés ou tués et 'jusqu'à 10 véhicules militaires de tous types' détruits. » Et Libération de s'interroger : « est-ce que cette hécatombe peut pousser le Kremlin à reconsidérer ses plans ? Probablement pas dans l'immédiat, au contraire. Mais l'amateurisme des commandants russes, l'infériorité de leur armement et le manque de discipline de leurs troupes ont été exposés au monde entier, y compris en Russie. Dans cette guerre pourtant déjà riche en enseignements, il y aura un avant et un après Makiïvka. » Les erreurs de l'armée russe Libération a interrogé Yohann Michel, chercheur analyste à l'International Institute for Strategic Studies. Pour lui, « la réussite d'une telle frappe s'explique par l'importance de l'aide militaire fournie à Kiev par les Occidentaux, mais aussi par les multiples problèmes structurels auxquels continue de faire face l'armée russe près d'un an après le début de l'invasion. » En effet, précise-t-il, « l'accumulation des erreurs est étonnante. L'état-major russe ne semble pas avoir pris en compte les mesures de sécurité à adopter depuis les livraisons des batteries de missiles américains Himars. Des dépôts logistiques ou de munitions laissés à l'air libre à quelques kilomètres du front ont déjà été frappés à plusieurs reprises dans le passé. La défense antiaérienne russe est parfois défaillante. Il y a une forte probabilité que ces erreurs soient liées au mépris de l'état-major russe envers son adversaire. » Pas de révolte en vue… En Russie, relève pour sa part Le Figaro, plusieurs blogueurs mettent en cause la hiérarchie militaire. « Toutefois, remarque le journal, ce revers visiblement terrible pour le camp de Poutine, ne se traduit nullement par une montée en puissance de l'indignation contre la guerre elle-même, mais seulement contre les erreurs des responsables militaires. » En effet, pour l'opposant Andreï Illarionov, interrogé par Le Figaro, « il n'y a pas de révolte russe en vue, malgré la répression politique et les ordres de mobilisation qui concernent un pourcentage de plus en plus élevé de la population. Le peuple continue de plier sous le joug du pouvoir et de la censure. Il faut se rendre à l'évidence, affirme-t-il encore, le changement décisif ne viendra pas de l'intérieur mais de l'armée ukrainienne. » France : l'immobilier en baisse pour la première fois depuis dix ans On reste avec Le Figaro qui fait son grand titre sur l'immobilier : « les prix commencent à baisser », annonce le journal. « La hausse des taux d'intérêts, le durcissement de l'accès au crédit et les pressions sur le pouvoir d'achat pèsent sur le marché, qui recule pour la première fois depuis dix ans. » En effet, complète Le Monde, « Selon le réseau d'agences Century 21, le nombre de transactions immobilières a reculé de plus de 4 % l'an dernier (en France). Si les prix ont atteint un record durant l'été, ils ont commencé à décroître au second semestre et pourraient décliner de 5 % à 10 % en cette année 2023. » Les boulangers… et les autres… Enfin, ce cri d'alarme à la Une du Parisien : « il faut sauver les boulangers ! » « Les boulangers qui sonnent l'alarme sur la hausse de leurs factures. (…) Depuis la guerre en Ukraine, les notes d'électricité exorbitantes pleuvent et les artisans lève-tôt tirent la langue. On ne compte plus les appels à l'aide de pétrisseurs exsangues. Les plus acculés crient à la 'catastrophe' et préparent une manifestation le 23 janvier à Paris. Pour tenter de régler la crise, et éviter l'émergence de 'nouveaux Gilets jaunes', le gouvernement a dégainé une série de réponses hier. » Il annonce le report du paiement des impôts et cotisations sociales et demande des concessions aux fournisseurs d'énergie… Alors, commente Le Parisien, « les boulangers sont les derniers en date à bénéficier de la sollicitude du gouvernement. Sollicitude d'autant plus forte qu'ils sont à la fois les symboles de la France qui se lève tôt pour bosser, les détenteurs d'un savoir-faire gastronomique identitaire, et qu'ils sont en contact avec des millions de clients chaque jour. Ils viennent après les enseignants, les infirmiers, les travailleurs ayant besoin de leur voiture, les étudiants boursiers, les propriétaires d'une maison mal isolée, d'un véhicule électrique ou d'une chaudière à bois. À chaque fois (ou presque), il existe des raisons bien légitimes de leur porter attention. Mais, problème, constate Le Parisien : plus la liste s'allonge, plus les oubliés s'exclament 'et moi !' et réclament à leur tour un chèque-ceci, une prime-cela, une hausse de salaire ou d'allocation, une exonération ou un guichet unique. Un piège pour l'exécutif. »
À en croire la propagande russe, les sanctions européennes n'ont aucun impact sur le quotidien des Russes. Alors après 10 mois de conflit, on a voulu vérifier et en savoir plus.
durée : 00:04:18 - Le zoom de la rédaction - En Russie, malgré les sanctions, le luxe est toujours en vitrine à Moscou. Les produits passent toujours les frontières du pays, et les grandes maisons se disent impuissantes face aux multiples voies de contournement des sanctions.
durée : 00:02:41 - Le monde est à nous - L'industrie automobile russe vient de sortir fièrement un nouveau véhicule... qui n'a, en réalité, rien de russe. Une façon pour les autorités de tenter de donner le change, malgré les conséquences économiques de la guerre en Ukraine.
durée : 00:11:08 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Dmitri Mouratov, rédacteur en chef du journal indépendant russe "Novaïa Gazeta" et prix Nobel de la Paix 2021, est l'invité du 7 h 50. Il revient sur la censure des médias en Russie, et la propagande menée par le pouvoir.
durée : 00:11:08 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Dmitri Mouratov, rédacteur en chef du journal indépendant russe "Novaïa Gazeta" et prix Nobel de la Paix 2021, est l'invité du 7 h 50. Il revient sur la censure des médias en Russie, et la propagande menée par le pouvoir.
Voilà neuf mois que les pays occidentaux, États-Unis et Union européenne en tête, soumettent la Russie à un régime de sanctions inédit par son ampleur. Mais la guerre de Moscou contre l'Ukraine continue, toujours plus destructrice. De quoi relancer le débat sur l'effet des sanctions. Comment stopper la machine de guerre russe lancée à l'assaut de l'Ukraine depuis le 24 février 2022 ? Les Européens et leurs alliés soutiennent militairement Kiev. Ils ont adopté, en parallèle, des mesures de rétorsion économique massives contre Moscou. Espérant faire s'effondrer l'économie russe et pousser ainsi les dirigeants à stopper cette guerre. Embargo énergétique, restrictions financières, interdictions de voyages pour les personnalités du régime et leurs proches. Mais, pour les Européens, l'embargo énergétique reste une équation à mille inconnues. Même désireux de punir le régime de Vladimir Poutine, ils restent dépendants de leur grand voisin. Sont-elles une arme à double-tranchant ? Comment juger de leur efficacité ? Quels dommages causent-elles vraiment à la Russie et aux autres économies, si imbriquées ? Quelles transformations vont-elles engendrer, ou accélérer ? Nos invités : - Agathe Demarais, directrice des prévisions mondiales à l'Economist Intelligence Unit, le Centre de recherche indépendant du magazine The Economist à Londres. Son livre sur les effets des sanctions américaines: «Backfire: How Sanctions Reshape the World Against U.S. Interests» vient de paraître. - Julien Nocetti, enseignant-chercheur à l'Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan et chercheur associé à l'Institut français des Relations internationales (IFRI) et au Centre de recherche GEODE de l'Université Paris 8. Notre reportage : Exclu des sanctions, le gaz continue de transiter bon an mal an entre la Russie et l'Europe, avec des prix qui tutoient des sommets et affectent les particuliers et les entreprises européennes. Alexis Bedu est allé à la rencontre d'industriels français en quête de solution face à l'augmentation de leur facture d'électricité et de gaz. Notre entretien : En Russie même, on ressent les effets des sanctions, mais parce que les exportations de matières premières se poursuivent, l'économie est encore loin « d'être à genoux », comme nous le raconte Jean-Didier Revoin, l'un des correspondants de RFI à Moscou. Retrouvez-nous sur Facebook et Twitter.
Voilà neuf mois que les pays occidentaux, États-Unis et Union européenne en tête, soumettent la Russie à un régime de sanctions inédit par son ampleur. Mais la guerre de Moscou contre l'Ukraine continue, toujours plus destructrice. De quoi relancer le débat sur l'effet des sanctions. Comment stopper la machine de guerre russe lancée à l'assaut de l'Ukraine depuis le 24 février 2022 ? Les Européens et leurs alliés soutiennent militairement Kiev. Ils ont adopté, en parallèle, des mesures de rétorsion économique massives contre Moscou. Espérant faire s'effondrer l'économie russe et pousser ainsi les dirigeants à stopper cette guerre. Embargo énergétique, restrictions financières, interdictions de voyages pour les personnalités du régime et leurs proches. Mais, pour les Européens, l'embargo énergétique reste une équation à mille inconnues. Même désireux de punir le régime de Vladimir Poutine, ils restent dépendants de leur grand voisin. Sont-elles une arme à double-tranchant ? Comment juger de leur efficacité ? Quels dommages causent-elles vraiment à la Russie et aux autres économies, si imbriquées ? Quelles transformations vont-elles engendrer, ou accélérer ? Nos invités : - Agathe Demarais, directrice des prévisions mondiales à l'Economist Intelligence Unit, le Centre de recherche indépendant du magazine The Economist à Londres. Son livre sur les effets des sanctions américaines: «Backfire: How Sanctions Reshape the World Against U.S. Interests» vient de paraître. - Julien Nocetti, enseignant-chercheur à l'Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan et chercheur associé à l'Institut français des Relations internationales (IFRI) et au Centre de recherche GEODE de l'Université Paris 8. Notre reportage : Exclu des sanctions, le gaz continue de transiter bon an mal an entre la Russie et l'Europe, avec des prix qui tutoient des sommets et affectent les particuliers et les entreprises européennes. Alexis Bedu est allé à la rencontre d'industriels français en quête de solution face à l'augmentation de leur facture d'électricité et de gaz. Notre entretien : En Russie même, on ressent les effets des sanctions, mais parce que les exportations de matières premières se poursuivent, l'économie est encore loin « d'être à genoux », comme nous le raconte Jean-Didier Revoin, l'un des correspondants de RFI à Moscou. Retrouvez-nous sur Facebook et Twitter.
durée : 00:41:35 - Un jour dans le monde - Comment vit la société russe depuis le début de la guerre en Ukraine ? On en parle avec l'écrivain Boris Akounine qui a quitté la Russie depuis l'invasion de la Crimée, il raconte ce qu'il pense de Poutine et comment il arrive à entrer en contact avec ses compatriotes.
durée : 00:41:35 - Un jour dans le monde - Comment vit la société russe depuis le début de la guerre en Ukraine ? On en parle avec l'écrivain Boris Akounine qui a quitté la Russie depuis l'invasion de la Crimée, il raconte ce qu'il pense de Poutine et comment il arrive à entrer en contact avec ses compatriotes.
Olivier Delacroix rencontre Sylvie, une femme qui a adopté une petite fille en Russie. Lorsque Sylvie a décidé de se tourner vers l'adoption à l'âge de 45 ans, elle ne s'attendait pas à ce qu'on lui propose la garde d'une fillette de neuf ans. Sylvie réalise vite que cela complique les choses. Elle remarque que sa fille a du mal à s'intégrer avec les autres enfants, et qu'elle a des comportements très virulents. Elle dit aussi être hantée par une voix qui lui suggère de "rejoindre" sa mère biologique décédée… Comment construire une nouvelle vie, une nouvelle famille pour un enfant avec un lourd passé ? Dans ce nouvel épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" adapté par Europe 1 Studio, Sylvie confie son histoire à Olivier Delacroix. Elle raconte le premier contact qu'elle a eu avec sa fille dans son pays natal, et comment leur relation a évolué au fil des ans.Sujets abordés : adoption en France et à l'étranger - famille d'accueil - relations familiales - troubles de la personnalité
300.000 enfants enfants ukrainiens ont été envoyés de force en Russie depuis le début du conflit. Beaucoup sont orphelins, d'autres séparés temporairement de leur famille par la guerre, d'autre encore ont été envoyés gratuitement en Russie, officiellement pour les vacances, mais ne sont jamais revenus. Kidnappés puis adoptés, au mépris de toutes les lois en vigueur, certains ne reverront sans doute jamais leurs proches.
Interview de Ekaterina Glikman, journaliste à Novaya Gazeta Europe
Des mariages groupés, c'est la nouvelle tendance en Russie... Mobilisation oblige, la loi a récemment changée en matière d'union.
Cette semaine d'actualités internationales a été rythmée par le débat présidentiel au Brésil qui a opposé le président sortant Jair Bolsonaro et l'ancien président de gauche Lula da Silva. En Russie, Vladimir Poutine a officialisé l'annexion de 4 régions ukrainiennes, après les référendums jugés illégitimes par l'Occident. Enfin, les italiens ont une nouvelle Première ministre: Giorgia Meloni, cheffe du Parti d'extrême-droite Fratteli d'Italia, tandis que les manifestations en Iran continuent.
En Russie, l'annonce de la mobilisation de 300.000 réservistes pour aller combattre en Ukraine a provoqué une onde de choc. Des manifestations aux cris de “pas de guerre” ont eu lieu à travers le pays. La mobilisation est immédiate : de nombreux hommes reçoivent leur convocation pour rejoindre les rangs de l'armée. Que sait-on exactement de cette mobilisation partielle ? Quel est l'état de l'armée russe ? Décryptage avec Didier Lauras, journaliste AFP au pôle international, spécialiste des questions de défense. Interview et réalisation : Antoine Boyer Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Nous aimons avoir de vos nouvelles. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Ne manquez pas nos épisodes inédits de "Slow fil", la version longue de Sur le fil.
durée : 00:19:52 - Journal de 18h - En Russie, l'annonce de la mobilisation des réservistes provoque un début de panique : certains hommes qui craignent d'être envoyés en Ukraine décident de fuir le pays. Dans les aéroports, les vols à destination de l'Arménie, de la Serbie ou de la Turquie affichent complet.
L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h30-8h30), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Aujourd'hui, Sur le fil vous emmène en Russie, où l'opposition politique est muselée. Quand les médias traditionnels, comme la télévision, parlent de la guerre en Ukraine, ils s'alignent sur la propagande du Kremlin. Nos collègues du bureau de Moscou ont recueilli un témoignage rare, celui de deux opposantes : Elizaveta et Anastassia. En mars, ces jumelles de 18 ans manifestent leur opposition à l'invasion de l'Ukraine. Au même moment, leur père est sur le front. Il est rentré en juin, “brisé” selon ses filles. Romain Colas, qui les a rencontrées, vous raconte leur histoire et ce que dit cette histoire de la société russe. Sur le terrain : Romain COLAS, Olga MALTSEVA et Alexander ZHDANOV Interview et réalisation : Antoine Boyer Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Nous aimons avoir de vos nouvelles. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Ne manquez pas nos épisodes inédits de "Slow fil", la version longue de Sur le fil.
Le vent tourne en Ukraine. Une contre-offensive de l'armée ukrainienne face à l'envahisseur russe force un autre regard sur cette guerre sanglante. La journaliste indépendante Alexandra Szacka nous explique l'effet de ce revirement sur les visées militaires de la Russie et de son président.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Pétition d'élus locaux contre Poutine, appels à l'escalade de propagandistes du régime… Les nouvelles de la déroute de l'armée russe dans le nord-est de l'Ukraine mettent le président russe sous pression.