POPULARITY
Categories
Aujourd'hui, avec Pierre, on se pose la question des bûches, des log flumes, des attractions a-feur-tiques, aquatiques, bref, des BÛCHES quoi !De quand ça date ? Pourquoi ? Pourquoi c'est trop bien ? Pourquoi c'est ptet un peu ringard ? Surfait ? C'est quoi qu'est bien dans les bûches, c'est quoi qu'est raté ? Pourquoi y a une certaine compagnie qui semble avoir du mal à les amener là où elles devraient être ? Est-ce que ça a un avenir, des évolutions ? Est-ce que le roi lion c'est une bonne nouvelle que ce soit des bûches ? Est-ce que c'est vraiment des bûches ? Et puis les bouées dans tout ça ? Et les water coasters ? Bref plein de CHOSES ! Soutenez-nous sur Patreon ! https://www.patreon.com/c/rienquedypenser
On dit souvent que nous vivons une époque marquée par des enjeux sociaux de plus en plus complexes. Heureusement, des organismes à but non lucratif (OBNL) agissent sur le terrain pour soutenir les personnes les plus vulnérables. Mais ces organismes, à leur tour, ont souvent besoin d'aide — notamment pour mieux structurer leur gestion. C'est pourquoi, dès 1990, Peter Drucker publiait Managing the Non-Profit Organization, un ouvrage devenu une référence incontournable. Drucker, grand penseur du management moderne, a largement contribué à humaniser la gestion. On lui doit aussi la popularisation des fameux objectifs SMART. Selon lui, les OBNL, bien qu'ils ne poursuivent pas de but lucratif, doivent néanmoins être rigoureux, performants et guidés par des indicateurs clairs. Ils ont une mission vitale pour la société et méritent qu'on les accompagne avec compétence et respect. Pour discuter de ces enjeux, j'ai le plaisir d'accueillir à nouveau mon fils, Zachary Guénette, CPA et fondateur du cabinet Les Bâtisseurs CPA, spécialisé dans l'accompagnement des OBNL. Cette clientèle s'est imposée à lui presque naturellement, et il a choisi d'approfondir cette relation en développant une approche humaine, rigoureuse et adaptée à leurs réalités. Dans cet épisode, nous abordons plusieurs dimensions de la gestion dans les OBNL : finances, gouvernance, relation avec le conseil d'administration, lien à la communauté, marketing de collecte de fonds, gestion des ressources humaines (salariés et bénévoles), ainsi que le développement continu des leaders. Notre ambition : offrir des pistes concrètes et inspirantes pour que ces organismes puissent encore mieux remplir leur mission. Ordre du jour 0m23: Introduction 18m23: Présentation du livre 25m07: 1. La mission d'abord: et votre rôle comme leader 34m13: 2. De la mission à la performance: marketing, innovation et développement des fonds 40m31: 3. Gérer pour la performance: comment la définir, comment la mesurer 46m56: 4. Les personnes et les relations: employés, bénévoles, CA, communauté 1h04m38: 5. Développe-toi: comme personne, comme dirigeant, comme leader 1h14m43: Échange avec Zachary Guénette 1h26m42: Réflexion personnelle Pour encore plus de détails, consulte la page web de l'épisode
Nombreux sont ceux pour qui l'absence de Richard Cœur-de-Lion, parti guerroyer en Terre sainte, était une aubaine. Et pour qui son retour serait une catastrophe… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de la série sur les petits gestes qu'on banalise en obstétrique… mais pas que ! Aujourd'hui, je ne vous parle pas du corps des femmes, mais de celui des bébés. Parce que oui, eux aussi, on leur impose des gestes systématiques, protocolaires, sans toujours que ce soit vraiment nécessaire.Et j'ai eu envie d'en parler après avoir accompagné une famille qui avait choisi de quitter l'hôpital avant les 48h de vie de leur bébé. Normalement, c'est la sage-femme à domicile qui fait le test de Guthrie… Mais là, la maternité avait déjà fait un "pré-Guthrie", “au cas où”. Résultat ? Deux piqûres pour un tout petit bébé, alors qu'une seule suffisait largement. Pourquoi ? Parce que c'est le protocole, “c'est comme ça”.Mais se faire piquer, même quand on est bébé, ce n'est pas rien. C'est douloureux, c'est une effraction. Et pourtant, on fait ça par réflexe, par peur que les parents ne le fassent pas, ou que la sage-femme à domicile oublie. C'est une manière de se couvrir. Et au fond, qui protège-t-on réellement ? Le bébé ? Ou l'hôpital ?Je partage aussi mon expérience personnelle, où on a prélevé mon bébé contre mon gré, simplement parce que "c'est obligatoire". Pourtant, rien ne l'était, si ce n'est un protocole déconnecté de la clinique et du bon sens.Dans cet épisode, je questionne cette obsession du chiffre : le taux de bilirubine qu'on contrôle par prise de sang alors que la clinique est rassurante, les ponctions lombaires systématiques quand un bébé est légèrement fébrile… On préfère la statistique à l'observation, la procédure à la confiance.Je ne dis pas qu'il ne faut jamais faire de test. Mais quand c'est nécessaire. Pas par peur. Pas pour couvrir l'hôpital. Et surtout : en expliquant aux parents, en les intégrant, en les écoutant. Parce que ce sont eux, les meilleurs experts de leur bébé.Ce que je vous propose ici, c'est de remettre de la conscience dans nos pratiques. De ne pas piquer par automatisme. Et de faire confiance à la clinique, à la sage-femme qui va suivre à la maison, aux parents. Car oui, les mamans savent. Elles sentent quand ça ne va pas. Il suffit parfois de les écouter.Liens vers les profils de médias sociaux- Instagram : https://www.instagram.com/sage_femme_authentique/?hl=fr- Site Web: www.sagefemmeauthentique.com-Blog: www.sagefemmeauthentique.com/blog- email: melyssa@sagefemmeauthentique.com- La Bulle Maison de Naissance :- Facebook : https://www.facebook.com/labulle.mdn- Instagram : https://www.instagram.com/labulle.mdn/?hl=frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Les béarnais vont animer les fêtes de Bayonne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le raid aérien américain « Midnight hammer », les 21 et 22 juin dernier a frappé trois sites nucléaires en Iran, Natanz, Ispahan et Fordo. Si l'étendue des dégâts n'a pas été encore complétement établie, la manœuvre a mis en exergue la puissance aérienne des États-Unis, dont le bras armé fut les bombardiers B-2 Spirit. Des bombardiers furtifs encore nimbés de mystère. 21 juin, 6h01 du matin, sept bombardiers B-2 Spirit quittent la base de Whiteman dans le Missouri, pour un vol transatlantique. Signe qu'ils décollent à pleine charge, ils ravitaillent aussitôt. L'escadrille de Northrop Spirit se dilue dans les hautes altitudes à environ 15 000 mètres, et survole le Maghreb, sans qu'aucun pays ne décèle leur présence. 23 heures, après 17 heures de vol ils font la jonction avec le Centcom de la base américaine d'Al-Udeid au Qatar. Minuit les bombardiers entrent dans l'espace aérien iranien, prêts à lâcher les GBU-57, des bombes de plus de 13 tonnes. « C'est pour ces différentes raisons que c'est cet appareil qui a été utilisé pour pouvoir frapper dans la profondeur iranienne sans se faire détecter et larguer ces bombes qui sont uniques au monde, qui sont absolument gigantesques parce que tout simplement aucun autre appareil n'aurait été capable de les délivrer et d'arriver si loin dans la profondeur iranienne sans être détectée. Même si aujourd'hui il faut être clair, Israël avait quand même préparé le terrain en détruisant notamment tous les radars utilisés par l'Iran », explique Xavier Tytelman expert aéronautique Vingt minutes de frappes avant un repli à 1h du matin dimanche 22 juin, vers les États-Unis. 37 heures de vol sans jamais avoir été détecté. Un appareil furtif pour les missions incroyablement longues Aucun autre appareil au monde n'est capable d'une telle endurance, souligne Xavier Tytelman : « L'avion est entouré d'énormément de secrets, on sait qu'il y a deux personnes à bord avec beaucoup d'automatismes, des appareils qui sont capables d'être pilotés finalement avec une seule personne à la fois et donc quand ils font des vols qui vont dépasser les quarante heures, ils ont des médicaments qui leur permettent de rester éveillés. Ils ont a priori des lunettes qui éclairent la rétine avec un certain angle, avec une certaine fréquence ce qui évite la sécrétion des hormones de la fatigue. Et donc à l'intérieur de l'avion, il y a quand même une petite cuisine, il y a de quoi dormir, donc c'est organisé pour faire des missions qui sont incroyablement longues. Etant donné la sensibilité de l'appareil, il n'y a qu'une poignée de bases dans le monde qui peuvent l'accueillir. Et donc il va décoller soit des États-Unis, soit de Diego Garcia, base américaine de l'océan Indien. Et à partir de ces bases, les B-2 vont être capables de toucher quasiment l'intégralité de la terre avec les ravitaillements en vol ». Les B-2 ont révélés leurs capacités en Afghanistan pour frapper les grottes, les tunnels, les repaires enterrés du réseau al-Qaïda. Mais à l'origine ils ont été conçus pour porter le fer et le feu contre l'Union soviétique. Avec 54 mètres d'envergure et dépourvus de dérive, les toujours très modernes B-2 sont le fruit de la Guerre froide, dit Xavier Tytelman « À la fin des années 80, les États-Unis avaient pour objectif d'avoir un avion furtif parce qu'ils avaient des moyens technologiques très supérieurs aux Soviétiques. Les américains avaient des composants que les soviétiques n'étaient pas capables de détecter. Ils ont donc développé le B-2 qui devait sortir juste au moment de la fin de l'URSS. Or justement, avec l'effondrement du bloc soviétique, l'US Air Force a renoncé à avoir une flotte pléthorique. Plus d'une centaine d'avions étaient commandés et ils ont réduit la commande à seulement une vingtaine d'appareils. C'est pour ça que le coût unitaire des avions est autour de trois milliards de dollars aujourd'hui avec l'inflation. Mais, cet appareil, est en train d'évoluer, il aura un successeur qui va s'appeler le B-21 Raider » Midnight Hammer, raid aérien contre les installations nucléaires iraniennes, est aussi un signalement stratégique. Un message envoyé à la Chine. « Anytime, Anywhere », avec les B-2, les États-Unis peuvent frapper partout, en passant sous les radars. À lire aussiIran: les bombardiers américains B-2 ciblés par la désinformation
Les enquêtes montrent combien le désir d'enfant persiste chez les jeunes. Mais passer de l'intention à la réalisation, voilà le pas qui leur semble, aujourd'hui plus qu'hier, si ardu à franchir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Joëlle Dago-Serry et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
802 bébés morts en un peu moins de quarante ans derrière les hauts murs d'un orphelinat catholique, à Tuam, une petite ville du centre de l'Irlande. Des enfants oubliés, le plus souvent anonymes, morts avant d'être jetés dans une sinistre fosse commune. Une histoire tabou, dont on ne parlait pas jusqu'à ce que le scandale émerge. Et que ces morts confidentielles soient présentées comme des crimes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les bénédictions de l'unité - Pst Stephanie
65 -Evènementiel et culture du 23 au 30/06/2025 5° Festival « L'Offrande Musicale » du 29/6 au 11/7 Le festival – L'Offrande MusicaleLe 29/6 au Parvis, conférence à 18h15 « Le rêve romantique de grandeur » avec Corinne SHNEIDER et à 20h concert avec Insula Orchestra, Laurence EQUILBEY et David FRAYLe 30/6 au Parvis à 20h Insula Orchestra, Laurence EQUILBEY et David FRAYFestival Paroles d'exils 2025 du 25 au 28/6 en vallées des gaves www.accueilazun.comJournées du Patrimoine de Pays et des Moulins les 28 et 29/6 – thématique « Terre à terre »Argelès, Bonnemazon, St Lézer, St Sever de Rustan, Trie/Baïse, etc (détails podcast)Bicentenaire du Braille Expositions les 28 et 29/6 à l'Espace Emilien Frossard, Bagnères de BigorreItinérantes 2025 d'Arcane 17Le 25/6 à 18h30, présentation du livre-mémoire de Jack RALITE au CAC de Séméac50 ans de la Loi Veil - Médiathèque Simone Veil Bagnères :Le 24/6 à 9h atelier d'arpentageLe 26/6 à 20h projection-débat « Il suffit d'écouter les femmes », cinéma MaintenonLe 27/6 à 18h15 Conférence gesticulée Présentation programme 2025/2026 UTL le 23/6 à 14h au STAPSConférences« La production de l'usine MORANE-SAULNIER (1940-45) » le 25/6 à 18h30, Musée Déportation et Résistance« Histoire du rail en Hte-Bigorre et projet de relance de la ligne Tarbes-Bagnères » par Alain DUCOURRET le 24/6 à 18h au Casino de Bagnères et le 26/6 à 18h à la CCI« Les vicissitudes de l'histoire » par A-Jacques LEVRIER-MUSSAT au Pari le 26/6 à 19hLa culture aux jardins du 28/6 au 27/7 au Jardin Massey :Le 28/6 à 16h « Jugement dernier du cochon »(marionnettes) au Théâtre de verdureLe 29/6 à 15h Jack Le Bourgeois Orchestre et à 16h Les Musiciens du Soir au KiosqueFête de l'Agriculture et Fest'in Marcat du 27 au 29/6 à Rabastens de Bigorre Fête de l'Agriculture 2025 - Rabastens de Bigorre« Les Tablées de Vic » du 26 au 29/6, Place de la HalleThéâtre :-« Gaston Fébus se la raconte » le 26/6 à 17h et « Séance de nuit et les Pavés de l'Ours » le 26/6 à 20h30, Salle Madison, Capvern les Bains-- « Le Spectacle » le 28/6 à 20h30 au Théâtre des NouveautésConcerts :« De la France à l'Amérique » avec Claire BENOIT le 25/6 à 18h, salle conf. Mairie St LaryValéry ORLOV le 25/6 et « Les Bérets Bleus » le 27/6 à 21h, église St LaryEdmond DUPLAN le 25/6à 20h30, péristyle Musée Salies BagnèresHarmonie Bagnéraise le 27/6 à 20h30, Halle aux Grains« NAOS » avec les Conférences vocales le 28/6 à 20h, église St J-Baptiste Lannemezan et le 29/6 à 17h30 au Monastère des Carmes Trie/BaïseAutres concerts dans podcastCinéma : « Fête du cinéma » du 29/6 au 2/7, 5 €/placeExpositions dans podcastConsultez la page des PODCASTS de l'UTL-TB : https://www.utl-tb.info/page/2238064-rubriques-radioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les chrétiens d'aujourd'hui sont devenus faible parce que nous négligeons la pleinitude de l'onction du Saint Esprit en nous, avec nous et sur nous, qui est une capacité divine dans l'Homme pour faire des choses que Dieu seul peut faire comme Jésus a fait. Découvrons les bénéfices d'être rempli de l'onction du Saint Esprit dans cette leçon. TEXTES BIBLIQUES :LUC 3 :21-22, LUC 4 :31-35, 1 CORINTHIENS 12 :7-11.
Ce n'est pas tous les jours que l'on fête un anniversaire à deux chiffres... surtout quand on parle d'une émission de radio scientifique ! Mais vous savez-quoi ? Cette année 2025 : le labo des savoirs a 15 ans ! Alors on a invité les bénévoles en studio pour une méga émission nostalgie, love, témoignages et QUIZ ! Entre questions pièges, vieux jingles et instants d'émotions, venez écouter les bénévoles de cette saison raconter les coulisses de l'association et de l'émission ! Avec : Lila, Pierre, Aurore, Mohamed, Julie, Jérémy, Cécile et Étienne. Restez jusqu'au bout ! On en profite pour annoncer deux surprises : un RDV très important à la rentrée, et un cadeau estival à écouter ! Une émission préparée et animée par Sophie Podevin. Merci à nouveau aux bénévoles de cette saison 2024 / 2025 : Sacha, Mélissa, Célie, Pierre, Aurore, Nolwenn, Cécile, Marie, Julie, Jérémy, Charlotte, Fabien , Chaymaa, Florian, Mohand, Claire, Nesrine, Valentin, Maël, Lila, Étienne et Mohamed !
Jean-Baptiste Landes, fondateur de Cactil, transforme toitures et façades en réservoirs d'eau de pluie pour répondre aux défis climatiques. Un projet innovant salué par Point P, alliant performance, écologie et design urbain. Plongez dans cette aventure entrepreneuriale au service de la planète !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Baptiste Landes, fondateur de Cactil, transforme toitures et façades en réservoirs d'eau de pluie pour répondre aux défis climatiques. Un projet innovant salué par Point P, alliant performance, écologie et design urbain. Plongez dans cette aventure entrepreneuriale au service de la planète !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:30:07 - « Ce que disent les bêtes - Equal no more » de Olivier Calmel - par : Anne Montaron - Cette semaine, avec le concours des violoncellistes Xavier Phillips, Anne Gastinel, Héloïse Luzzati et Patrick Langot, le pianiste-compositeur Olivier Calmel nous propose un écho sonore au roman d'Orwell La Ferme des animaux. - réalisé par : Olivier Guérin
durée : 00:30:07 - « Ce que disent les bêtes - Equal no more » de Olivier Calmel - par : Anne Montaron - Cette semaine, avec le concours des violoncellistes Xavier Phillips, Anne Gastinel, Héloïse Luzzati et Patrick Langot, le pianiste-compositeur Olivier Calmel nous propose un écho sonore au roman d'Orwell La Ferme des animaux. - réalisé par : Olivier Guérin
durée : 00:02:54 - Est-ce que les bâtiments de Toulouse sont assez bien entretenus ?
Bienvenue à l'écoute de ce nouvel épisode d'Éclairons La Retraite ! Aujourd'hui, nous allons nous intéresser aux contrats d'assurance vie et à leurs bénéficiaires. Plus précisément, nous allons mettre en lumière la fiscalité due par les bénéficiaires en cas de décès de l'assuré. Pour nous y aider, nous recevons Ariane Bouloumié, Juriste Epargne Patrimoniale chez BNP Paribas Cardif.Pour en savoir plus, suivez les liens : · Sur BNP Paribas Cardif · Sur notre expertise en épargne et en retraite Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:26 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire de "la planète des sciences" cette semaine : des capucins kidnappeurs, une empreinte digitale de plus de 43 000 ans qui interroge sur les capacités d'abstraction des Néandertaliens et le chacal doré qui étend son territoire en France...
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:27 - Le Zoom de France Inter - Dans le Var, la zone de cantonnement de pêche du Cap Roux est un havre de paix pour la biodiversité marine. Depuis plus de 20 ans, la pêche y est strictement interdite pour protéger la ressource. Zoom, à l'occasion de la Journée spéciale "L'océan peut-il nous sauver ?" sur France Inter.
« Tandis qu'il les bénissait, il était emporté au ciel » (Lc 24, 46-53)Méditation par le Père Michel Quesnel Chant Final : "Chant pour la fête de l'Ascension" de l'Ensemble vocal Hilarium · Michel Duvet · Bertrand LemaireDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Il y a une sorte de naissance différée quand on est un bébé hospitalisé… il faut une force de conviction très forte du monde pour les convaincre que ça va valoir le coup de vivre."Qu'est-ce que les nouveau-nés en néonatologie ont à nous dire ? Que deviennent ces premiers jours arrachés à la normalité, quand la vie commence dans l'univers brut et suspendu de la néonatologie ?Dans cet épisode, mon invitée Clémentine Goldszal nous plonge dans la vie des bébés hospitalisés, souvent oubliés de nos récits culturels.Clémentine est journaliste et critique littéraire, autrice du livre "Premiers cris". Elle s'est immergée pendant six mois dans le service de néonatologie de l'hôpital Necker à Paris. À travers son regard et sa plume, elle questionne l'invisibilisation systématique des nouveau-nés dans la société et les médias, et explique les enjeux éthiques, psychiques, mais aussi organisationnels du soin néonatal en France.Nous abordons :1️⃣ Le quotidien en réanimation néonatale2️⃣ L'enjeu de la douleur chez le bébé : comment est-elle reconnue et soulagée ?3️⃣ La place des parents auprès des tout-petits à l'hôpital et l'importance accordée au lien4️⃣ Les dilemmes éthiques, la charge émotionnelle des soignants et les conséquences d'une institution sous pression5️⃣ Ce que deviennent ces « adultes de demain » qui ont connu l'extrême prématurité ou l'hospitalisation à la naissanceAu programme :(00:00) Genèse du projet(02:01) Devenir mère et questionner le "récit impossible" de la naissance(05:38) Le silence autour de la mortalité néonatale en France(07:03) Pourquoi les nouveaux-nés sont-ils invisibles dans la culture ?(10:00) Comprendre la communication non verbale des bébés(11:48) Un quotidien hors-normes en néonatologie(14:11) Le choc psychique pour les familles et le vécu des parents(17:09) La question de la douleur chez le nouveau-né(20:18) Place des parents auprès de leur bébé à l'hôpital et retour à la maison(27:20) Système hospitalier sous tension et souffrance des soignantsRessources de l'épisode :Livre : "Premiers cris", Clémentine Goldszal, Éditions du SeuilInstagram @clementine.goldszalLivre "4.1", A.Cortez et S.Leurquin, Éditions Buchet-ChastelUn épisode essentiel pour mieux comprendre ce que vivent les tout-petits dans la plus grande des vulnérabilités, ouvrir les yeux sur l'invisibilisation de leur expérience et questionner, à travers eux, notre rapport collectif à l'accompagnement du tout début de la vie.
Bienvenue dans ce Mangacast Mini Omake n°73. Aujourd'hui, on vous parle d'un titre des éditions Kana: Soara et les bâtisseurs fantastiques !
durée : 00:04:27 - La BO du monde - C'est l'histoire d'un artiste libanais qui enjambe les frontières. De Beyrouth à Lisbonne où il vit aujourd'hui, Charif Megarbane nourrit sa musique instrumentale de multiples influences, tel un Ennio Morricone du Moyen Orient.
durée : 00:58:55 - Être et savoir - par : Louise Tourret - Natalité, démographie et politiques publiques - réalisation : Peire Legras - invités : Clelia Gasquet Maitresse de conférence HDR en Géographie à l'EHESP, attachée au Laboratoire CNRS Espaces et Sociétés de l'Université de Rennes 2; Claudia Senik Professeure d'économie à Sorbonne Université et à l'École d'économie de Paris (PSE), et directrice de l'Observatoire du bien-être au Cepremap
Isabelle shares her big news! Join us while we dive into the differences in pregnancy and motherhood in France versus the United States. We'll compare and contrast our own experiences about having kids in two different countries.Don't forget to subscribe, rate & review and follow us on Instagram @coucou.pod.
#️⃣ "Savez-vous que le rire est 30 fois plus efficace que la caféine pour relancer votre cerveau après une réunion ennuyeuse?"Quand j'ai démarré ma carrière au siècle dernier (oui, ça ne me rajeunit pas
"Les Bàrbares" es una obra teatral que reúne a tres actrices excepcionales: María Pujalte, Cristina Plazas y Francesca Piñón, quienes nos presentan a tres amigas que se reúnen para afrontar las últimas voluntades de Bárbara, quien les pide que pongan sobre la mesa sus visiones sobre el trabajo, la maternidad y el feminismo, así como sus percepciones sobre ellas mismas y las unas a las otras. En el Teatro Borrás, hasta el 27 de abril, estas intérpretes dan vida a una pieza que aborda temas profundos y relevantes con una perspectiva única.Escuchar audio
Le spasme du sanglot est une réaction impressionnante qui touche les bébés après une émotion forte, comme une peur, une frustration ou une douleur. L'enfant se met à pleurer, retient sa respiration, devient parfois bleu et peut même perdre connaissance quelques secondes avant de reprendre son souffle. Heureusement, malgré son aspect alarmant, le spasme du sanglot est totalement bénin et ne laisse aucune séquelle. Il s'agit d'un réflexe involontaire du système nerveux qui disparaît généralement avec l'âge. Aujourd'hui dans Maintenant vous savez, on a décidé de vous parler de ce trouble médical méconnu. Comment réagir lorsqu'un épisode survient ? Pourquoi le spasme du sanglot se produit-il ? Est-ce courant ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le syndrome du bébé secoué ? Peut-on vraiment savoir pourquoi un bébé pleure ? Comment fait-on jouer les bébés au cinéma ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Episode 58 is the thrilling finale episode for these 2 stories. Starting us off is Nikki ending the Les-B-Inn. So much drama has gone down in sapphic paradise, how will it end up for Nora? And the Inn?! Listen in, and stay tuned for the final show of your one and only lesbian radio station WLEZ by Monte! Bombshells were dropped on the last show by Casey; will the station survive as it hangs in the balance!? Find out!
durée : 00:04:23 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire de La planète des sciences cette semaine : une nouvelle étude sur la mémoire des bébés, les plus longues molécules organiques jamais détectées sur Mars et une pieuvre qui chevauche un requin sous le regard médusé des chercheurs...
Les bébés sont des êtres merveilleux et pourtant si complexes à décoder.On aimerait au premier coup d'œil, comprendre tous leurs signaux. Dans ce monde intense où l'accès à l'information est démultiplié, j'ai voulu reprendre les bases. Si ces thèmes ont déjà été évoqués dans divers épisodes, on n'avait jamais pris le temps de s'intéresser à ce sujet sous cet angle.Erik Gustafsson est éthologue, mais aussi enseignant chercheur.S' il a longtemps étudié les grands singes, depuis une dizaine d'années il se dédie aux bébés et à leurs signaux sonores.Ce qui est fascinant dans cet entretien, c'est que Erik peut nous parler de son expérience avec d'autres mammifères.En vrai scientifique, il a épluché toutes les études pour parler éducation, sommeil, pleurs, nourriture, fessée et bien d'autres sujets.Dans cet épisode on vous parle aussi des sociétés de chasseurs cueilleurs et de leur façon de faire famille. Je vous souhaite une bonne écoute
Dans une interview réalisée ce 25 avril à Libreville par RFI et France 24, le général Oligui Nguema, qui a renversé Ali Bongo le 30 août 2023 et qui est candidat à la présidentielle du 12 avril, affirme qu'il ne veut pas être porté par un parti ou un clan, mais par le peuple gabonais. Interrogé sur l'exclusion de plusieurs figures de l'opposition à cette élection, il répond que c'est la loi et qu'un général qui a fait le « coup de libération » du 30 août 2023 ne peut pas avoir peur d'un Ondo Ossa, d'un Maganga Moussavou ou d'un Jean-Rémy Yama. Suite au renversement d'Ali Bongo, il affirme que le procès de sa femme Sylvia et de son fils Noureddin aura lieu et sera équitable, au terme des deux ans d'enquête maximum que prévoit le Code pénal gabonais. Il ajoute que la justice a la preuve que Sylvia signait des documents officiels à la place d'Ali, car les enquêtes détiennent notamment un cachet. France 24 : Il y a 19 mois, à la tête de la garde présidentielle, vous avez renversé Ali Bongo. Vous avez promis aux Gabonais une nouvelle ère. Vous avez promis de remettre le pouvoir aux civils. Or, vous êtes candidat pour la prochaine élection présidentielle qui est prévue le 12 avril. Pourquoi ce revirement ? Qu'est-ce qui vous a poussé à prendre cette décision ? Brice Oligui Nguema : Ali Bongo Ondimba a été renversé effectivement le 30 août 2023. Et je l'ai dit dans mon discours à la nation lorsque j'ai prêté serment : nous allons organiser des élections libres, transparentes et apaisées en vue de rendre le pouvoir aux civils. Je ne suis pas resté figé dans mes bottes de militaire. Et vous parlez français aussi bien que moi. Cette phrase est différente que de dire : Je ne serai pas candidat. Ce sont deux phrases différentes. J'ai laissé l'ouverture au peuple. Le jour où le peuple a besoin de moi et qu'il m'appelle, je répondrai, comme ce fut le cas aujourd'hui, en respectant les règles de droit. J'ai renoncé à mon statut de militaire. Je concours en tant que civil. Et pour preuve, vous ne m'avez pas appelé général. Vous avez dit Brice Clotaire Oligui Nguema C'est dire que le titre de général a disparu. Je suis un civil, tout comme les autres.RFI : Alors, sur votre premier bilan, Monsieur le Président, puisque voilà 19 mois que vous êtes au pouvoir, il y a des avis partagés. C'est vrai, il y a des choses qui vont mieux : les frais de scolarité sont pris en charge, les pensions de retraite sont à nouveau versées. Mais 40 % des jeunes sont au chômage, la dette atteint 70 % du PIB, les coupures d'électricité se multiplient, notamment ici à Libreville. Est-ce que ces difficultés de la vie quotidienne ne risquent pas de ternir ce bilan ? Les difficultés de la vie quotidienne, nous les avons héritées du système déchu et aujourd'hui, nous faisons des efforts. Le chômage, comme vous l'avez dit, a baissé de 12 % parce que nous avons mis le pays en chantier. Effectivement, la dette, elle est là, elle existe. Ce n'est pas moi qui ai créé cette dette, je l'ai héritée, c'est le passif. Et en tant que chef, il faut assumer le passif des autres. C'est aussi ça la responsabilité d'un chef d'État. Oui, elle est là, mais nous arrivons à nous en sortir. Pour preuve, j'ai payé l'AFD, j'ai payé l'échéance de la Banque mondiale, le FMI, je ne dois pas. J'ai payé la Bad, j'ai payé la Bird, j'ai payé l'Afreximbank. Je vais aux élections et j'ai réglé mes échéances. C'est vrai que la dette est là et que la notation du Gabon a baissé. Mais c'est aussi en partie à cause de vos entreprises qui me payent en retard. Comment voulez-vous que je sois à l'heure dans mes échéances quand mes dividendes et mes impôts, mes revenus sont payés en retard ? Donc cette dégradation de la note, on doit tous se la partager et l'assumer.France 24 : Depuis le 30 août 2023, vous l'avez dit, vous avez refusé le terme de coup d'État, vous dites « coup de libération ». Vous avez aussi opté pour une transition courte. Ça devait être deux ans, ça va même être moins. Les élections vont avoir lieu en avril. C'est quand même très différent de ce qui se passe au Sahel. Je vois que vous souriez. Vous ne souhaitez pas qu'on vous compare aux putschistes du Sahel ? Putschistes, je dis que le mot est un peu trop fort. Ce n'est pas un terme que je vais employer pour mes collègues militaires. Ce n'est pas la peine à chaque fois de jeter la pierre sur les autres. Je vous le dis, ce sont mes frères d'armes. Nous ne sommes pas dans la rupture avec les grandes puissances. Pour preuve, les Français au Gabon, les autres, personne n'a été inquiété.RFI : Alors justement, dans les trois pays de l'Alliance des États du Sahel qui ont connu, eux aussi, un putsch, les militaires français ont été expulsés et la France est maintenant accusée de tous les maux et notamment de néocolonialisme. Est-ce que vous n'êtes pas tenté, vous aussi, Monsieur le Président, de suivre ce chemin qui pourrait plaire peut-être à une partie de votre opinion ? Je vous l'ai dit, je suis inclusif, je ne suis aucun chemin et aucun pays au monde ne s'est construit sans alliés, sans pays amis. Je travaille avec tout le monde. Je suivrai le chemin que me guide mon peuple. Je n'ai pas un chemin de rupture avec tout le monde. Non.RFI : Et avec la France ? Avec la France, nous entretenons de bonnes relations. Vous le savez. Vous l'avez vu. Des relations d'État à État. J'ai été invité en France à quatre reprises. Une visite officielle avec le président Macron, un tête-à-tête à l'Élysée, ce sont des relations entre hommes d'État. Et j'ai été invité aux Jeux olympiques. J'ai été invité au Sommet de la Francophonie. J'ai été invité à l'ouverture de Notre-Dame de Paris. Nous avons de très bonnes relations. Et la France est notre partenaire historique.France 24 : Mais en dehors des trois États du Sahel dont on a déjà parlé, si on mentionne le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Tchad, partout, les militaires français quittent l'Afrique, sauf ici au Gabon. Pourquoi cette exception gabonaise ? Et est-ce que vous pensez aussi qu'il faut que les militaires français partent à terme ? C'est vous qui le pensez.France 24 : Je vous pose la question. Les Français sont bienvenus ici. Les Russes, peut-être demain, s'ils veulent venir, seront peut-être aussi les bienvenus. Je vous l'ai dit, je suis inclusif, je ne chasse personne. Les Chinois sont bienvenus ici. Ils font des affaires ici. Toutes les communautés sont les bienvenues ici. Donc je ne fais pas de distinction. Pour ce qui est de la base française, nous avons mis en place une commission mixte entre la France et le Gabon pour essayer de trouver de meilleurs accords. Et on est parvenu à ce que le camp de Gaulle ne soit plus appelé camp de Gaulle. Nous allons trouver un nom gabonais pour rebaptiser le camp de Gaulle.France 24 : Vous avez une idée ? Peut-être un général. Pourquoi pas Boulingui [le général Nazaire Boulingui, 1918 -1984] ? Ils sont plusieurs. Et nous sommes tombés d'accord sur la réduction des effectifs. Nous allons quitter les 300 effectifs fantassins pour 150 effectifs instructeurs partagés entre la moitié de Français et l'autre moitié de Gabonais. Le camp ne sera plus un poste opérationnel avancé, mais un pôle de formation sous-régional. À l'intérieur, il y aura deux écoles, l'école d'administration et l'école de protection de l'environnement. Je pense que c'est le meilleur équilibre. Il n'y aura plus de blindés, de chars français ici à Libreville, mais il y aura des instructeurs. C'est le meilleur équilibre que nous avons trouvé ensemble. Nous ne sommes pas dans la rupture. Aucun pays au monde ne s'est développé seul.France 24 : Alors, vous avez parlé d'Ali Bongo. Aujourd'hui, il n'est ni poursuivi ni maltraité, visiblement. Son épouse Sylvia, son fils Noureddin, par contre, sont en prison depuis 18 mois, poursuivis pour des malversations financières. Un de leurs avocats affirme qu'ils sont détenus illégalement, et même torturés, il y a une plainte qui a été déposée en France. Un juge enquête sur ces faits parce que, je le rappelle, ils ont aussi la nationalité française. Votre réaction ? Au Gabon, nous sommes un pays respectueux des droits de l'Homme. Si on a réussi à faire un coup d'État sans effusion de sang, ce n'est pas deux individus qui seront torturés dans ce pays. J'en doute fort. La preuve, c'est que vous avez vos responsables à l'ambassade qui leur rendent visite en prison. Posez-leur la question. Il n'y a aucune marque de torture sur leurs corps. Et laissez la justice faire son travail, c'est tout. Il y a le temps de la justice.France 24 : Monsieur le Président, le problème, c'est que le temps s'étire. Ça fait 18 mois qu'ils sont en prison. Alors, est-ce qu'il va y avoir un procès ? Quand y aura-t-il un procès ? Ou est-ce que vous songez, éventuellement, après l'élection, peut-être à les libérer ? Je ne songe à rien faire. Il y a une justice qui fera son travail. Le procès aura lieu et il sera équitable je pense. Selon le code gabonais, pour des crimes, on peut aller jusqu'à deux ans d'enquête et les enquêtes se poursuivent.France 24 : On y est presque donc. Vous le dites.RFI : Dans une interview à Jeune Afrique, Ali Bongo a déclaré il y a quelques semaines : « Tout ce dont on accuse mon épouse, les détournements, les nominations à ma place… Tout cela est faux ! »Vous savez, c'est toujours facile pour un voleur de dire : « Je suis innocent ». Il y a des preuves dans le dossier chez le juge d'instruction. Laissez la justice faire son travail.RFI : Est-ce que vous avez des éléments concrets qui prouvent que madame Bongo signait des documents officiels à la place de son mari ? Je l'ai dit. Les juges ont des preuves. Qu'est-ce que vous n'arrivez pas à comprendre ?RFI : Et vous avez des preuves de ce que... Posez la question àAli Bongo Ondimba. Et je le sais pour l'avoir vu. Après son AVC, je m'excuse, son bras, il était paralysé. Et je l'ai vu. Il ne signait aucun document.RFI : Mais cela ne prouve pas que son épouse signait à sa place, Monsieur le Président. Je vous ai dit que la justice a des preuves. Après chaque Conseil des ministres, les parapheurs étaient transférés à son domicile. Donc vous comprenez qui signait à son domicile.France 24 : Son épouse ?C'est vous qui le dites.France 24 : C'est vous qui le suggérez. Non, non, c'est la justice. Et qui le sait ? Parce qu'il y a des preuves, qu'ils ont. C'est un cachet. Et merci.France 24 : Alors beaucoup de caciques de l'ancien régime, on vient de parler des deux personnes poursuivies, peu sont poursuivies d'ailleurs, mais beaucoup se sont ralliés à votre candidature. L'ancien parti au pouvoir, symbole de l'ère Bongo, le PDG, va aussi se rallier à vous. Alors qu'est-ce que vous répondez à ceux qui disent que finalement vous ne faites que perpétuer le système qui était en place ? Qu'en somme, vous faites du Bongo sans Bongo ? Je vais aux élections, j'ai mis une plateforme en place, Les Bâtisseurs, tout comme le président Macron l'avait fait, avec La République en Marche. Je n'ai pas de parti politique, je n'ai pas d'association parce que je ne veux pas être tenu par un parti politique ou par une quelconque association. Je veux être élu par le peuple gabonais. Je veux être porté par le peuple gabonais, pas par un groupe ou un clan.RFI : Alors pour cette présidentielle, il y a huit candidats. Mais les règles sont tellement restrictives qu'en dehors de l'ancien Premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze, aucun poids lourd ne peut se présenter contre vous. Du coup, on se demande si vous n'avez pas sciemment exclu le professeur Albert Ondo Ossa, qui est le vrai vainqueur d'août 2023, Pierre Claver Maganga Moussavou et le syndicaliste Jean-Rémy Yama, parce qu'ils pouvaient peut-être vous battre, ou au moins vous forcer à un deuxième tour ? Alors, au-delà de 70 ans, on ne peut plus être candidat. C'est le choix des Gabonais. Ce n'est pas mon choix. Je n'exclus personne. Avez-vous vu un général qui a peur de quelqu'un ? Quelqu'un qui fait un coup de libération et qui va avoir peur d'un Ondo Ossa, d'un Maganga Moussavou ou de quelqu'un d'autre ? C'est de la manipulation politique. Qu'on respecte pour une fois ce que les Gabonais veulent et ce que la Constitution a demandé ou exigé. Pour le cas de celui que vous avez aussi évoqué, Jean-Rémy Yama, l'inclusivité ne veut pas dire le non-respect des procédures. Ce pays doit changer et il va changer. En France, on ne respecte pas les lois ? Dites-moi.France 24 : On essaye. Les candidats ne respectent pas les lois ? Aux élections présidentielles, ils ne fournissent pas des dossiers ? Et pourquoi voulez-vous que ce soit en Afrique qu'on doive tout le temps accepter ces erreurs que nous voulons changer ?
durée : 00:04:36 - La lutte enchantée - par : Camille Crosnier - Chaque hiver, des millions de bécassines viennent se nourrir en France, avant de repartir vers d'autres contrées. Mais quelques couples nichent dans l'hexagone, et ils sont de moins en moins nombreux, menacés par la chasse. Un chercheur lutte pour sauver ces individus !
Épisode 1284 : Un bâton c'est universel, c'est palpable, ça nous rattache tous à l'Enfance, à la nature et même rien qu'e. Le regardant, en le touchant, il peut faire travailler notre imagination. Quand j'étais gosse, un bâton devenait une épée, un fusil, un club de golf, ça c'était mon histoire perso, mais qu'en est-il de tous les autres, tous ceux qui ont une affinité pour les bâtons au travers du monde ? Et bien quelque part sur Instagram, une communauté les réunit tous: La Stick NationUne communauté née dans la forêt… et sur InternetTout a commencé avec un seul bâton trouvé sur le bord d'un sentier de l'Utah en 2023. Boone Hogg et Logan Jugler trouve le bâton parfait. « un excellent grain dessus » et une « bonne adhérence ». Il décide de créer un compte pour les collectionneurs de bâtons. En quelques jours, d'autres collectionneurs sortent de l'ombre. Ils exposent leurs plus belles trouvailles.Aujourd'hui « Stick Nation » c'est un mouvement mondial rassemblant plusieurs millions de personnes. Sur Instagram le compte @officialstickreview publie les vidéos de ses membres et de leurs bâtons.—Langage commun et folklore partagéComme toute vraie communauté, la Stick Nation a ses codes, son vocabulaire, ses running jokes.On ne parle pas de “branches”, mais de “sticks”. On ne jette pas un stick, on le “libère dans la nature”. Il existe des catégories : le “Wizard Stick” (long et tordu, parfait pour un cosplay de Gandalf), le “Stubby Stick” (petit mais costaud), ou encore le “Sentinel Stick” (garde la maison).—StickNation c'est une vraie communauté au sens anthropologiqueUne communauté, c'est plus que des gens qui aiment la même chose. C'est un groupe structuré autour d'une culture partagée.Les anthropologues comme Howard Rheingold ou Henry Jenkins parlent de “communautés intentionnelles” : elles se forment autour d'un intérêt commun, mais se développent grâce à des rituels, un langage, une mythologie.—Pourquoi ça marche ? Parce que c'est absurde ET communautaireLe succès de la Stick Nation repose sur un équilibre savoureux entre ironie et sincérité.D'un côté, on est dans le second degré. Oui, c'est “juste” des bouts de bois. Mais en faire un objet de culte, c'est drôle. C'est l'anti-bling, l'anti-contenu parfait.Mais de l'autre, on sent aussi une vraie envie de partage. Un besoin de connexion simple et tangible. Le bâton devient un prétexte à la rencontre, au récit, à la créativité.C'est une forme de slow content. On prend le temps de chercher, de regarder, de raconter.—La preuve que même les idées les plus WTF peuvent fédérerLa Stick Nation, c'est aussi une leçon pour les marques et les créateurs de contenu. Il ne faut jamais sous-estimer la puissance du collectif.À l'heure où les algorithmes poussent à l'uniformisation, ces micro-communautés sont des bulles d'authenticité. Et elles peuvent avoir une influence immense.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 2024, une flambée de cas de méningite à méningocoques a provoqué plusieurs décès, notamment à Rennes et Montpellier. La Haute autorité de santé a élargi les recommandations vaccinales, incluant les bébés, les enfants de moins de 2 ans et les jeunes de 15-24 ans, pour lutter contre cette épidémie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Episode 57 is about to crank up the drama. You'll be yelling, Wait, what just happened? Monte kicks it off with Les-B-Inn, diving back into exes chaos, but hold up, Nora's got her eye on someone new. Then Nikki's digging into history, both American and personal - and Cookie and Bubba? Totally blinsided.
Avec Sandra Potié et le Père Ange N'Gamo
durée : 00:06:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - A Pékin, des femmes enceintes et des bébés présentent des taux de lithium anormalement élevés, jusqu'à 20 fois supérieurs à ceux d'autres villes industrielles chinoises.
Les-B-INN, written by Nikki, has a dramatic twist that nobody sees coming. Then WLEZ, written by Monte, talks politics and radicalization!
De plus en plus de jeunes parents se laissent tenter par l'ostéopathie pour les tous petits. On se dit que ça va les soulager, leur faire du bien, leur permettre de mieux dormir... Mais attention, la pratique est de plus en plus contestée... Ecoutez Ca va beaucoup mieux avec Agathe Landais du 26 février 2025.
Vous attendiez ce jour plus que tout au monde, il est arrivé : Camille termine tous les ups et downs qu'elle a un jour commencé !Sinon, cette semaine, on est partenaire de la merveilleuse plateforme audio érotique FEMTASY, qui place le désir des meufs au premier plan !!! Et avec le code 4QDH, vous économisez 45% sur l'abonnement annuel. POUR ÉCOUTER LE 5ème QUART D'HEURE, Abonnez-vous à Acast+ comme ceci :Téléchargez une application de podcasts (Apple Podcasts, Podcast Addict, Castbox...) : elles sont toutes gratuites ! (l'abonnement ne fonctionne pas sur les applications de streaming : Spotify, Deezer, Amazon Music). Cliquez sur le lien suivant : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheure.Attention, les formules d'abonnement proposées sont hors TVA.Dans cet épisode, on parle de ça :Une étude en rouge, de Arthur Conan DoyleLa version de Sherlock Holmes de la BBCFargo, sur Canal+Columbo, de Richard LevinsonRoger Hanin qui crie sur Isabelle MergaultL'hôtel Monsieur AristideLes ups and downs :Le down de Camille : oublier la moitié des choses qu'elle veut raconter dans 4QDHLe up de Louise : Sherlock HolmesLe down de Alix : être adulteLe up de Kalindi : dormir à l'hôtel dans sa propre villeSuivez-nous sur Instagram :Louise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnKalindi : @kalramphulCamille : @camille.lorente Abonnez-vous au 5ème Quart d'heure ici : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:42 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de La Terre au carré, une Lutte enchantée par le créateur de contenus Le Jeune Engagé, la Une des médias d'Olivier Monod, journaliste à Libération et vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
Les bénéfices d'apprendre une langue – 5 minutes de français Dans cet épisode de 5 Minutes de français, Sébastien et Judith explorent les nombreux […] L'article Les bénéfices d'apprendre une langue – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.