Six pieds sur Terre est le podcast de Courrier international et ID4D, le média du développement durable, consacré aux grands défis de la planète. Chaque série explore une question et y répond en 5 épisodes avec 5 intervenants différents : philosophe, scientifique, anthropologue, artiste, acteur ou actrice du terrain… Effondrement du vivant, dérèglement climatique, creusement des inégalités, apparition de nouveaux virus… Face à l’ampleur des désordres globaux et la nécessité d’explorer de nouvelles pistes, nous vous proposons d’aller voir comment pensent les autres ! Chaque mardi, à partir du 21 septembre, rendez-vous avec une personnalité pour converser sur le monde. Un podcast produit par les rédactions d’ID4D et de Courrier international, avec la participation d’Anna Sylvestre-Treiner, Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Virginie Lepetit, Thomas Hofnung, Antoine Dabrowski, Pascale Boyen, Joffrey Ricome et Claire Carrard.
Courrier International et iD4D
Cette semaine, c'est au photographe franco-brésilien Sebastião Salgado, grand défenseur de la forêt, que nous avons laissé la parole. En 1998, il fonde avec sa femme Lélia Deluiz Wanick Salgado l'Instituto Terra, une expérience évolutive dont le but initial est de replanter les arbres de la vallée du Rio Doce au Brésil. Cette région, à l'origine couverte par la mata atlantica, la forêt atlantique, avait subi plusieurs décennies de lourdes dégradations. Vingt-cinq ans plus tard, quel est le bilan ? Trois millions d'arbres plantés, 2 000 sources d'eau récupérées et le retour de la biodiversité, pour un coût d'environ 20 millions d'euros, calcule Sebastião Salgado.Pour cet ancien économiste devenu artiste, nous détruisons les écosystèmes amazoniens à grande vitesse et le compte n'y est pas. Plutôt que de regarder le coût des arbres mis à terre, il faudrait plutôt prêter attention à celui des arbres à replanter. “Il faut au moins 2 000 euros pour refaire 1 hectare de forêt, qu'il faut ensuite multiplier par les millions d'hectares abattus”, récapitule-t-il.Nous avons à l'échelle mondiale les ressources nécessaires pour lutter contre la déforestation, mais nous ne les utilisons pas à bon escient, assure Sebastião Salgado. Une première étape, selon lui, serait d'inviter ceux qui connaissaient la terre, les paysans, à participer aux discussions internationales.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tirée de l'album Orchestra de Worakls Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce quatrième épisode, nous nous intéressons aux ONG. Comment lèvent-elles des fonds, et à quelles conditions ?Le 27 février, nous célébrerons la Journée mondiale des ONG. Elles sont actuellement plus de 70 000 dans le monde, selon l'Union des associations internationales. Et certaines, Amnesty international, la Croix-Rouge ou plus récemment l'ONG russe Memorial ont même obtenu le prix Nobel de la paix. Mais quelles que soient leur taille et leur mission (humanitaire, environnementale, économique), elles dépendent du bon vouloir des bailleurs de fonds. Comment cela fonctionne-t-il ? Comment renverser le rapport de force entre certains bailleurs de fonds et les plus petites des ONG ? Emilie Pradichit, fondatrice de l'ONG Manushaya, nous répond.La fondation Manushaya est une fondation féministe, régionale, basée à Bangkok, qui veut défendre les droits des communautés autochtones, des femmes, des minorités LGBTQI et des défenseurs de l'environnement. L'un de ses projets concerne actuellement des agricultrices autochtones de Thaïlande. Pour mener à bien ses missions, Manushaya, comme toute ONG, doit lever des fonds, qui financeront des aides et des actions sur le terrain, mais paieront aussi les salaires des gens qui travaillent pour l'association.Cette recherche permanente d'argent occupe une grande part du temps d'Emilie Pradichit. Et beaucoup d'énergie aussi. Les grands bailleurs de fonds imposent souvent leur point de vue. Trop paternaliste et trop néocolonialiste, avance Émilie Pradichit. “On a l'impression d'être traités comme des juristes ou travailleurs de troisième classe parce que nous sommes sur le terrain, dit-elle. Et cela doit vraiment changer !” C'est pour cela qu'elle a rejoint le mouvement #ShiftThePower, qui a réuni en décembre plusieurs associations à Bogota, en Colombie. Sous l'égide du manifeste Shift The Power, elles cherchent à instaurer de nouvelles relations entre les associations de terrain et les puissants bailleurs de fonds. Le but : changer de paradigme pour aller vers des relations plus équitables.Entretien, écriture et présentation : Virginie LepetitRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tiré de l'album Orchestra de Worakls Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et s'il était temps de parler d'argent ? Climat, éducation, égalité femmes-hommes, biodiversité… Pour aller vers un monde bas carbone, plus juste et plus résilient, il faut mieux mobiliser les ressources publiques et privées. Dans cette nouvelle série consacrée au financement durable, nous interrogerons des chercheuses, des militants, des bailleurs de fonds et des artistes pour répondre à la question : comment financer un monde plus juste ?Cette semaine, pour notre troisième épisode, Assata Doumbia, qui dirige une grande coopérative ivoirienne de producteurs de cacao, détaille le fonctionnement de cette structure de commerce équitable. Cette coopérative, qui a commencé il y a vingt ans avec 87 producteurs et rassemble aujourd'hui 3 000 producteurs (dont plus de 700 femmes) fonctionne sur le mode de la démocratie participative et de la mutualisation des moyens. Les agricultrices y ont des responsabilités, une voix à faire entendre, et peuvent récupérer les fruits de leur travail. Ce qui est rare dans le monde agricole – en Afrique comme ailleurs.Ces agriculteurs doivent relever plusieurs défis : les fluctuations du cours du cacao, dont les prix sont sont fixés unilatéralement par les grands acheteurs internationaux ; celles du prix des engrais, lié aux incertitudes géopolitiques ; mais aussi des cahiers des charges contraignants ; et évidemment le changement climatique.Entretien, écriture et présentation : Hassina MechaïRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tiré de l'album Orchestra de Worakls Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et s'il était temps de parler d'argent ? Climat, éducation, égalité femmes-hommes, biodiversité… Pour aller vers un monde bas carbone, plus juste et plus résilient, il faut mobiliser les ressources publiques et privées. Dans cette nouvelle série consacrée au financement durable, nous interrogerons des chercheuses, des militants, des bailleurs de fonds et des artistes pour répondre à la question : comment financer un monde plus juste ?Pour ce deuxième épisode, nous nous intéressons aux banques de développement. Elles seraient plus de 500 aujourd'hui dans le monde et financeraient environ 10 % des investissements mondiaux, soit plus de 2 000 milliards d'euros chaque année. Des financements qui répondent notamment aux défis posés par le réchauffement climatique.C'est ce que nous raconte Kampeta Pitchette Sayinzoga, directrice générale de la Banque rwandaise de développement (BRD). Elle revient sur le choix du Rwanda de se développer “en passant directement à des solutions durables” dans l'énergie, les transports, l'agriculture, l'adaptation au changement climatique…Autant de domaines dans lesquels les projets nécessitent souvent une prise de risque et un accès à des technologies coûteuses qui peuvt dissuader le secteur privé. C'est là qu'intervient la Banque de développement du Rwanda, explique Kampeta Pitchette Sayinzoga. En fournissant des prêts à des taux favorables, des dons ou une expertise technique, elle cherche à permettre aux entreprises privées d'investir dans ces secteurs prioritaires pour l'État. Cette banque dite “verte”, adossée à l'État, est en train de devenir un outil incontournable pour le Rwanda afin de soutenir sa transition vers une économie durable.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tirée de l'album Orchestra de Worakls Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et s'il était temps de parler d'argent ? Climat, éducation, égalité femmes-hommes, biodiversité... Pour aller vers un monde bas-carbone, plus juste et plus résilient, il faut mobiliser les ressources publiques et privées. Dans cette nouvelle série consacrée au financement durable, nous interrogerons des chercheuses, des activistes, des bailleurs de fonds et des artistes, pour répondre à la question : comment financer un monde plus juste ?Pour notre premier épisode, Diana Cárdenas Monar, chercheuse à l'Institut pour l'économie du climat (I4CE) et spécialiste de la finance climatique, nous raconte comment rendre les flux financiers mondiaux compatibles avec les objectifs climatiques de l'Accord de Paris. Pour elle, cela signifie que tous les flux financiers, publics et privés, y compris ceux dédiés au développement, doivent aller dans le sens d'un avenir bas carbone et résilient. Les défis sont de taille pour les pays des Suds, plus vulnérables aux effets du changement climatique, et qui non seulement manquent de ressources financières, mais doivent faire face au problème de la dette... Mais des pistes existent pour penser un avenir commun plus juste du point de vue climatique, dit-elle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et s'il était temps de parler d'argent ? Climat, éducation, égalité femmes-hommes, biodiversité... Pour aller vers un monde bas-carbone, plus juste et plus résilient, il faut mobiliser les ressources publiques et privées. Dans cette nouvelle série consacrée au financement durable, nous interrogerons des chercheuses, des activistes, des bailleurs de fonds et des artistes, pour répondre à la question : comment financer un monde plus juste ? À écouter sur toutes les plateformes dès le 29 janvier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce dernier épisode, nous donnons la parole à Nadia Khiari, la dessinatrice de Willis from Tunis : un chat né en janvier 2011, pendant les “printemps arabes”, qui commente l'actualité tunisienne et mondiale dans les pages de Siné Mensuel, mais aussi, régulièrement, dans celles de Courrier international. “Un chat plutôt gentil et mignon, mais qui, régulièrement, sort ses griffes”, souligne Nadia Khiari.“Faire un dessin, c'est créer des questionnements, c'est développer l'esprit critique, c'est contrer un pouvoir surpuissant. C'est révéler aussi les discours formatés des politiques, rappelle-t-elle. On a besoin du dessin de presse, mais le monde se ferme de plus en plus. Et le danger qui nous guette, c'est d'être virés de nos journaux parce qu'on dérange.”Malgré le bref espoir apporté par les “printemps arabes” en 2011, la vie démocratique en Tunisie est à nouveau verrouillée par le pouvoir. Le président Kaïs Saïed reprend à son compte de vieilles méthodes liberticides : la publication récente du décret 54, censé lutter contre les fake news, représente en fait un danger réel pour la liberté d'expression, souligne la dessinatrice.“Moi, je me considère comme une citoyenne tunisienne qui lutte pour que son pays aille mieux. Et mon moyen de communiquer, c'est le dessin. C'est celui dans lequel je me sens le plus à l'aise. C'est une manière de parler de sujets importants : si l'on ne remet pas en question l'ordre établi, on n'avance pas, et la société n'évolue pas”, conclut Nadia Khiari. “Le dessin de presse et le journalisme sont indispensables à l'évolution et à la santé d'une démocratie.” Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce quatrième épisode nous emmène au Niger, avec Ibrahim Diallo, fondateur d'Aïr Info. Loin de la capitale, Niamey, le magazine et le site, et désormais la radio Sahara FM – et leurs 20 journalistes –, apportent une information de proximité, ancrée dans le Sahel nigérien.Dans cet entretien enregistré en juin, avant le coup d'État au Niger, les craintes du terrorisme et celles de connaître le sort des États voisins se font déjà sentir. “La paix est en train de faire naufrage partout autour de nous au Niger. Notre région est comme une île au milieu des remous des océans”, constatait alors Ibrahim Diallo.“Nous couvrons énormément l'actualité sécuritaire du Sahel, relate Ibrahim Diallo. Nous sommes un média indépendant, nous pesons chaque mot, car une erreur peut nous coûter cher. Ainsi, en 2007, Ibrahim Diallo a été emprisonné quatre mois après des accusations de liens avec la rébellion touareg.Aïr Info et Sahara FM souhaitent aussi œuvrer à un travail de sensibilisation en direction de la jeunesse de la région, parfois tentée par un embrigadement dans les différents groupes armés qui sévissent dans la région. “Il faut que les autorités favorisent l'éclosion de médias de proximité. Ça peut aider à sensibiliser et à stabiliser la région, affirme Ibrahim Diallo. Pour stabiliser, il faut sensibiliser, sensibiliser et encore sensibiliser”.Les Sentinelles est un podcast produit par Courrier international et l'AFD, avec la participation de Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Hassina Mechaï, Antoine Dabrowski, Pascale Boyen et Virginie Lepetit. Chaque série explore une question et y répond en cinq épisodes avec cinq intervenants différents : philosophe, scientifique, anthropologue, artiste, acteur ou actrice de terrain…Entretien, écriture et présentation : Hassina MechaïRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tiré de l'album Orchestra, de WoraklsAbonnez-vous à notre podcast. Vous pouvez notamment nous retrouver sur Apple Podcasts, Spotify et Deezer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Les Sentinelles”. Denis Kataev : “C'est impossible aujourd'hui d'être un journaliste en Russie”Société, environnement, genre, économie… Après “Six pieds sur Terre”, “Courrier international” et l'Agence française de développement présentent leur nouveau podcast, “Les Sentinelles”, des voix d'ailleurs pour un monde en commun. Dans cette première série consacrée à la liberté de la presse, le journaliste russe en exil Denis Kataev raconte comment il exerce son métier hors de son pays.Mis à jour le 18.08.2023 à 17h19CCe troisième épisode donne la parole à Denis Kataev. Ce journaliste russe travaille depuis douze ans pour la chaîne Dojd, une chaîne d'information indépendante qui, depuis le 24 février 2022 et l'invasion de l'Ukraine par la Russie, s'est exilée dans deux bureaux principaux, à Riga et à Amsterdam. Il nous raconte ce que c'est, aujourd'hui, de travailler comme journaliste en exil, en France, alors que son pays est en guerre. De parler de la Russie sans y être. Mais toujours, “de garder les liens avec la Russie”, où se trouvent 70 % des spectateurs de la chaîne, souligne-t-il.Les Sentinelles est un podcast produit par Courrier international et l'AFD, avec la participation de Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Hassina Mechaï, Antoine Dabrowski, Pascale Boyen et Virginie Lepetit. Chaque série explore une question et y répond en cinq épisodes avec cinq intervenants différents : philosophe, scientifique, anthropologue, artiste, acteur ou actrice de terrain…Entretien, écriture et présentation : Virginie LepetitRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tiré de l'album Orchestra, de Worakls Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode, Artur Romeu, directeur du bureau régional de Reporters sans frontières pour l'Amérique latine, installé à Rio.Originaire du Brésil, ce spécialiste de la politique des droits de l'homme et des enjeux humanitaires estime que pour aller plus loin dans les débats liés au développement durable, nous devons avoir accès à une information de qualité, une information de confiance qui n'est permise que si la presse est réellement libre. Il décrypte les principaux enseignements pour l'Amérique latine du classement 2023 pour la liberté de la presse, dévoilé le 3 mai.“Les Sentinelles” est un podcast produit par Courrier international et l'Agence Française de Développement, avec la participation de Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Hassina Mechai, Antoine Dabrowski, Pascale Boyen et Virginie Lepetit.Entretien, écriture et présentation : Carole LembezatRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tiré de l'album Orchestra, de Worakls Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce premier épisode nous emmène au lac Tchad, bordé par le Niger, le Nigeria, le Cameroun et le Tchad. Une immense région où se concentre une population très jeune et où l'on manque d'infrastructures, tandis que la pression des groupes armés ne cesse de grandir, de même que la tentation de la violence face à des avenirs bouchés. C'est là que Radio Ndarason Internationale travaille et émet, en ondes courtes, dans les trois langues principales de la région : le kanembou, le kanouri et le boudouma. Née en 2015, elle compte 7,5 millions d'auditeurs quotidiens.David Smith, initiateur du projet, et Haoua, journaliste reporter de langue kanembou, nous racontent comment ils conçoivent au jour le jour cette radio “d'utilité publique”, qui parle aussi bien d'agriculture et des droits des femmes que de religion, de politique ou des conflits qui sévissent dans la région. Et tout cela dans les langues locales.Les Sentinelles est un podcast produit par Courrier international et l'AFD, avec la participation de Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Hassina Mechaï, Antoine Dabrowski, Pascale Boyen et Virginie Lepetit. Chaque série explore une question et y répond en cinq épisodes avec cinq intervenants différents : philosophe, scientifique, anthropologue, artiste, acteur ou actrice de terrain…Entretien, écriture et présentation : Hassina MechaïRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : Nikki, tirée de l'album Orchestra, de WoraklsAbonnez-vous à notre podcast. Vous pouvez notamment nous retrouver sur Apple Podcasts, Spotify et Deezer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Société, environnement, genre, économie... Après Six pieds sur Terre, Courrier international et l'Agence française de développement présentent leur nouveau podcast, Les Sentinelles, des voix d'ailleurs pour un monde en commun.Pour notre première série, nous sommes allés interroger des journalistes, des dessinateurs de presse, des créateurs de radios, pour qu'ils nous donnent le pouls de la liberté de la presse. Leurs réponses en cinq épisodes : du Tchad au Brésil, en passant par la Russie ou la Tunisie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le dernier épisode de notre série “L'Appel de la forêt”, la photographe Andréa Olga Mantovani nous emmène dans l'une des dernières forêts primaires d'Europe : la forêt de Bialowieza. Une immersion sensible, entre le réel et l'imaginaire, aux côtés des activistes qui la défendent.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Carole Lembezat, Virginie Lepetit, Pascale Boyen Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Donner à la forêt amazonienne une chance de s'étendre à nouveau, c'est l'un des objectifs du projet TerrAmaz. Dans ce quatrième épisode de notre série “L'Appel de la forêt”, la coordonatrice du projet, l'économiste Marie-Gabrielle Piketty, nous explique où et comment la reforestation est possible au Brésil. Et aussi pourquoi la forêt peut cohabiter avec l'agriculture.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien et écriture : Virginie LepetitPrésentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Carole Lembezat, Pascale Boyen Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le bassin du Congo abrite la deuxième plus grande forêt tropicale de la planète, après celle du bassin de l'Amazone. Mais cet écosystème forestier est menacé. Dans le troisième épisode de notre série, “L'Appel de la forêt”, George Akwah, coordinateur FSC pour le bassin du Congo, explique en quoi la certification du bois est une solution pour préserver les forêts.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Carole Lembezat, Virginie Lepetit, Pascale Boyen Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les forêts de Nouvelle-Calédonie sont menacées par la sécheresse, les incendies et la main de l'homme. Dans ce deuxième épisode de notre série, “L'Appel de la forêt”, Emma Do Khac, coordinatrice des programmes sur les forêts au WWF France en Nouvelle-Calédonie, nous explique comment on peut encore les protéger.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Carole LembezatRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Flora Trouilloud, Virginie Lepetit, Pascale Boyen Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les forêts disparaissent peu à peu. Or elles sont vitales pour notre planète… Et pour nous ! Comment protéger ce grand organisme naturel ? Comment le gérer ? Pour ce premier épisode de notre série “L'Appel de la forêt”, nous avons invité l'ingénieur forestier suisse Ernst Zürcher à nous présenter la forêt et ses richesses.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Virginie LepetitRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Flora Trouilloud, Carole Lembezat, Pascale Boyen Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment manger mieux ? Plus local ? Sans gaspillage ? Dans ce dernier épisode de notre série “Demain, dans nos assiettes”, la cheffe franco-brésilienne Alessandra Montagne met en pratique des solutions dans ses deux restaurants parisiens : le Nosso et le Dana.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Virginie LepetitRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Pascale Boyen, Joffrey Ricome Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans beaucoup de cultures, bien manger, c'est manger avec d'autres, nous rappelle Damien Conaré, secrétaire général de la chaire Unesco Alimentations du monde. Et chaque jour, les repas que nous prenons nous connectent au monde, affirme-t-il dans ce quatrième épisode de notre série “Demain, dans nos assiettes”.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Virginie Lepetit, Carole Lembezat, Pascale Boyen, Joffrey Ricome Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Les algues sont déjà présentes dans notre alimentation, mais elles pourraient représenter une part plus importante de nos menus. C'est l'ambition de Mounir Boulkout, qui cultive ces végétaux marins en Tunisie et à Zanzibar. Il nous fait part de son expérience dans ce troisième épisode de notre série “Demain, dans nos assiettes”.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, rédaction et présentation : Carole LembezatRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Virginie Lepetit, Flora Trouilloud, Pascale Boyen, Joffrey Ricome Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pourquoi ne pas manger davantage d'insectes ? Selon l'entomologiste canadienne Christine Picard, ils sont l'une des clés de notre futur système alimentaire. Elle nous explique comment et pourquoi dans le deuxième épisode de notre série “Demain, dans nos assiettes”.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Virginie LepetitRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Pascale Boyen, Joffrey Ricome Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Que mangerons-nous demain ? Partout le même menu, composé de nourriture industrielle ultratransformée ? Ou bien faut-il, comme le préconise le chercheur Malek Batal, nous réapproprier nos assiettes ? Et revenir aux fondamentaux : une nourriture locale, maîtrisée. En un mot : choisie.Ce podcast est coproduit par Courrier international et l'AFD.Entretien, écriture et présentation : Flora TrouilloudRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Virginie Lepetit, Carole Lembezat, Pascale Boyen, Joffrey Ricome Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le monde sous-marin résonne en permanence. De sons produits par les espèces qui le peuplent, mais aussi de ceux engendrés par l'activité humaine. Le producteur Maximes Dangles s'est emparé de ces bruits pour un projet combinant art et science. Une création sonore qu'il nous raconte dans ce dernier épisode de notre série consacrée aux océans.Les océans recouvrent près de 71 % de la surface de notre planète. Ils nous nourrissent, ils régulent la température et le climat de la Terre. Mais ils sont menacés.Pour ce cinquième et dernier épisode de notre série “Les Océans, sanctuaires ou eldorado ?”, nous avons donné la parole à Maxime Dangles, producteur de musique électronique.Depuis quatre ans, cet artiste originaire de Valence, en France, participe à Sonars, un projet qui combine art et science, en partenariat entre La Carène, salle des musiques actuelles de Brest métropole, et le laboratoire franco-québécois BeBEST.À partir des bruits enregistrés sous l'eau par les chercheurs – en particulier dans les régions arctiques –, il produit des œuvres et lives en son spatialisé. Pour lui, il ne s'agit pas seulement de rendre compte des paysages sonores sous-marins perturbés par le dérèglement climatique, mais aussi de provoquer des émotions. C'est sa mission, nous dit-il. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour ce quatrième épisode de notre série Les océans, sanctuaires ou eldorado ?, nous avons donné la parole à l'homme politique et écologiste sénégalais Haïdar El Ali.Né dans une famille aux racines libanaises, c'est par la plongée qu'il découvre l'océan et le poids que l'homme fait peser sur ce milieu. Directeur de l'Océanium de Dakar, il multiplie les combats environnementaux dès les années 1980, et son engagement l'amène à occuper le poste de ministre de l'Environnement du Sénégal. Un itinéraire militant qui se poursuit aujourd'hui dans le projet de reforestation de la Grande Muraille verte au Sahel.Pour Haïdar El Ali, il faut se rappeler que la mer n'est pas immortelle ; elle est “un organisme vivant qui peut être blessé et en mourir”. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour ce troisième épisode de notre série “Les océans, sanctuaires ou eldorado ?”, nous avons donné la parole à Sam Dupont. Ce biologiste marin, coauteur du dernier rapport du Giec, est professeur à l'université de Göteborg, en Suède. Il étudie les effets du réchauffement climatique sur les milieux marins. Et notamment l'acidification des océans.Selon les dernières études, un tiers environ du CO2 émis par l'homme depuis le début de l'ère industrielle a été absorbé par les océans. Un service qui a un prix : la chimie des océans change profondément, ils deviennent plus acides… Avec des conséquences sur de nombreux organismes, comme les mollusques ou les coraux.Peut-on encore lutter contre ce phénomène ? Quelles sont les solutions ? Sam Dupont nous répond. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
L'étude des animaux marins est indispensable pour apprécier leur intelligence, leur sensibilité, et respecter leurs conditions de vie. Certaines espèces sont bien connues des scientifiques, mais n'en demeurent pas moins mystérieuses. C'est le cas de la seiche, Sepia officinalis, un céphalopode aux capacités cognitives surprenantes, comme les pieuvres et les calamars. Que peut bien nous apprendre la rencontre avec une seiche sur la protection des océans et de ceux qui l'habitent ?Dans ce deuxième épisode de notre série, la biologiste Laure Bonnaud-Ponticelli nous parle de ses recherches pour appréhender les capacités d'apprentissage et de mémorisation des seiches. Mieux connaître leurs capacités implique aussi une plus grande responsabilité vis-à-vis de leur bien-être, dit-elle. Une connaissance indispensable alors que, dans les océans, les pollutions d'origine humaine se multiplient. C'est notamment le cas de la pollution sonore, à laquelle les céphalopodes sont particulièrement sensibles.Bonne écoute ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Les océans recouvrent près de 71 % de la surface de notre planète. Ils nous nourrissent, ils absorbent une bonne partie du CO2 produit par les activités humaines, ils régulent la température et le climat de la Terre, ils regorgent de ressources. Pourtant, ils sont menacés.Comment protéger nos océans ? Doivent-ils devenir un sanctuaire ? Pour cette saison 2, ce sont ces questions que nous avons choisi de mettre au cœur de notre première série, intitulée “Les océans, sanctuaires ou eldorado ?”Et pour ce premier épisode, nous plongeons dans les abysses avec Roberto Danovaro. Depuis plus de trente ans, ce biologiste, aujourd'hui président de la station zoologique Anton Dohrn, près de Naples, en Italie, explore les grands fonds. Il s'intéresse en particulier aux régions situées au-delà de 200 mètres de profondeur, qui abritent entre 90 et 95 % de la biosphère.Mais ces profondeurs représentent aussi une autre opportunité : à 4 000, 5 000 mètres de profondeur se trouvent des minerais et des métaux précieux qui pourraient répondre à nos besoins grandissants en ressources minérales. De quoi susciter des convoitises… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pianiste, compositeur et producteur luxembourgeois, Francesco Tristano est un amoureux des grandes villes. Il a conçu son album Tokyo Stories comme un hommage personnel à la capitale nippone. Une ville immense, faite de contradictions, traditionnelle et archaïque, tout en étant technologique. Toutes les villes sont sonores, nous dit-il. D'ailleurs, l'architecture et la musique sont intimement liées. Mais lorsque les sons urbains deviennent assourdissants, et les villes inabordables, la campagne peut offrir un refuge et du silence. Le modèle des grandes villes serait-il à bout de souffle ?Bonne écoute. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Demain, à quoi ressembleront les villes ? Sont-elles vouées à durer des siècles ou disparaîtront-elles dans quelques décennies, submergées par les eaux ?Pour ce quatrième épisode de notre série consacrée aux villes de demain, nous partons en Indonésie, et plus précisément à Jakarta, une gigantesque mégapole de 35 millions d'habitants, qui va bientôt perdre son statut de capitale du pays. Notre guide : Christine Cabasset. Cette géographe est la directrice adjointe de l'Institut de recherche sur l'Asie du Sud-Est contemporaine. Elle nous explique pourquoi et comment Jakarta s'enfonce peu à peu sous l'eau. Et comment lutter contre ce phénomène de subsidence, qui concerne bien d'autres villes à travers le monde. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans ce troisième épisode de notre série consacrée aux villes du futur, l'historien brésilien Rafael Soarez Gonçalves nous emmène à Rio, dans les favelas, où, nous dit-il, l'informalité peut aussi être une ressource. Délaissés par l'État, les habitants des favelas ont pris l'habitude de s'auto-organiser. Ils innovent pour garantir un accès aux services, et entretiennent des réseaux de solidarité qui se sont révélés essentiels pour lutter contre le Covid-19. Les favelas sont aussi vivantes culturellement, et militent maintenant pour préserver la mémoire de leur histoire. En un mot, résume-t-il, elles sont créatives et devraient être mieux reconnues comme actrices de la ville de demain.Bonne écoute. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Les villes ont-elles un genre ? En tout cas, ceux qui les ont construites sont majoritairement des hommes, rappelle la géographe Corinne Luxembourg. Elle décrypte dans ce deuxième épisode les liens entre genre et espace urbain… et nous donne les clés de villes plus inclusives. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Quelles villes pour demain ?” Après le vivant et l'eau, cette troisième série de notre podcast scrute les défis que les villes devront relever pour être plus accessibles, vivantes, vivables, et résilientes face au changement climatique.Dans ce premier épisode, nous voyageons à Bruxelles avec le dessinateur et scénographe belge François Schuiten. Avec son comparse Benoît Peeters, il met en scène dans ses bandes dessinées des villes futuristes, mystérieuses et fascinantes. Le fil rouge de son œuvre : travailler l'imaginaire, et utiliser la fiction pour se projeter dans des villes désirables et propices au rêve.Les voitures volantes n'ont pas encore été inventées, nous dit-il, mais l'utopie urbaine est nécessaire. Tout comme la dystopie, qui permet de voir toutes la complexité de l'espace urbain. Il est urgent de donner envie aux enfants de vivre en 2050.Bonne écoute. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans ce dernier épisode de notre série “De l'eau pour tous ?”, l'artiste sonore et plasticienne Azadeh Nilchiani nous emmène en Iran. Et plus précisément à Ispahan, dans les jardins aquatiques. Un lieu où l'eau, omniprésente, apporte non seulement la vie et la beauté, mais aussi une certaine liberté de parole. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans ce quatrième épisode de notre série “De l'eau pour tous ?”, le spécialiste danois de la gestion de l'eau Peter Gammeltoft nous raconte la grande crise de l'eau qu'a connue São Paulo, la plus grande ville du Brésil et d'Amérique du Sud, en 2014. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans le troisième épisode de notre série “De l'eau pour tous ?”, l'écrivain congolais Emmanuel Dongala nous raconte la vie sur les rives du fleuve Congo, où la population ne cesse de courir après l'eau potable. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans le deuxième épisode de notre série “De l'eau pour tous? “, le journaliste québécois et agroéconomiste Nicolas Mesly nous raconte comment l'eau, sur le continent nord-américain, se négocie désormais à la bourse de Chicago. Une financiarisation inquiétante… Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Bienvenue dans la deuxième série de Six pieds sur Terre, le podcast qui donne à entendre d'autres voix sur le développement durable ! Après avoir exploré le vivant, nous nous sommes intéressés à l'eau, cet élément vital, précieux… Avec cette question : y aura-t-il de l'eau pour tous ? D'Ispahan à Brazzaville en passant par Rio, cette question traverse tous les continents.Mais pour ce premier épisode, nous partons sur les bords du Nil, en compagnie du grand écrivain égyptien Alaa El-Aswany, qui, depuis son exil américain, nous raconte ce fleuve. Un fleuve qui est toute l'Égypte.Bonne écoute. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Cinquième épisode de notre série, en immersion dans les paysages enregistrés par un audio-naturaliste passionné : Marc Namblard. S'enfoncer dans les forêts pour capter des sons naturels, c'est s'extraire du monde des humains, et plonger dans une autre temporalité. C'est aussi se décentrer, s'accorder à la palpitation du monde, et finalement se sentir chez soi, parmi les animaux : vivant parmi les vivants. Un épisode coproduit par Courrier international et ID4D, le média du développement durable.Entretien : Anna Sylvestre-Treiner Écriture et présentation : Thomas HofnungRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Flora Trouilloud, Carole Lembezat, Joffrey Ricome, Pascale Boyen, Claire Carrard, Virginie Lepetit. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Dans le quatrième épisode de notre série, une idée qui vient du continent américain et progresse en Europe : le « réensauvagement ». Sanctuariser des espaces naturels, accepter de ne rien toucher, laisser la faune et la flore évoluer en toute liberté, et advienne que pourra. Avec Béatrice Kremer-Cochet, naturaliste, qui prône la politique du laisser-faire pour mieux protéger le vivant. Un épisode coproduit par Courrier international et ID4D, le média du développement durable.Entretien : Flora TrouilloudÉcriture et présentation : Thomas HofnungRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Anna Sylvestre-Treiner, Carole Lembezat, Joffrey Ricome, Pascale Boyen, Claire Carrard, Virginie Lepetit See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Troisième épisode de notre série. Nous sommes à la Fabrique de Souza, à quelques kilomètres de Douala, au Cameroun. Dans ce lieu d'expérimentation en pleine nature, on cultive la terre et on réfléchit à d'autres manières de vivre avec le vivant. A l'origine de ce projet hors-norme : Marème Malong Samb, une galeriste franco-sénégalaise touche-à-tout.Un épisode coproduit par Courrier international et ID4D, le média du développement durable.Entretien : Anna Sylvestre-Treiner Écriture et présentation : Thomas HofnungRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Flora Trouilloud, Carole Lembezat, Joffrey Ricome, Pascale Boyen, Claire Carrard, Virginie Lepetit See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Deuxième épisode de notre série où nous prenons conscience que vivre avec le vivant, c'est vivre aussi avec ces milliards de micro-organismes, dont la plupart nous sont bénéfiques... sauf quand le changement climatique s'en mêle et accélère la diffusion des maladies infectieuses sur la planète. Avec Patrick Mavingui, chercheur au CNRS sur l'île de la Réunion, spécialiste des maladies tropicales. Un épisode coproduit par Courrier international et ID4D, le média du développement durable.Entretien : Carole LembezatÉcriture et présentation : Thomas HofnungRéalisation : Antoine DabrowskiMusique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Flora Trouilloud, Anna Sylvestre-Treiner, Joffrey Ricome, Pascale Boyen, Claire Carrard, Virginie Lepetit. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Comment vivre avec le vivant ?Épisode 1 : avec Vinciane Despret, philosophe et psychologuePremier épisode de la série “Comment vivre avec le vivant ?”, où nous redécouvrons que nous sommes une partie vulnérable du vivant, une parmi d'autres, et que nous devons prendre soin des autres pour exister. Avec Vinciane Despret, philosophe et psychologue.Un épisode coproduit par Courrier international et ID4D, le média du développement durable.Écriture et présentation : Thomas HofnungRéalisation : Antoine DabrowskiEntretien : Flora Trouilloud Musique : album Kagabas, de Lion's DrumsAvec la participation de : Claire Carrard, Virginie Lepetit, Pascale Boyen, Joffrey Ricome, Anna Sylvestre-Treiner. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Six pieds sur Terre est le podcast de Courrier international et ID4D, le média du développement durable, consacré aux grands défis de la planète. Chaque série explore une question et y répond en 5 épisodes avec 5 intervenants différents : philosophe, scientifique, anthropologue, artiste, acteur ou actrice du terrain… Effondrement du vivant, dérèglement climatique, creusement des inégalités, apparition de nouveaux virus… Face à l'ampleur des désordres globaux et la nécessité d'explorer de nouvelles pistes, nous vous proposons d'aller voir comment pensent les autres ! Chaque mardi, à partir du 21 septembre, rendez-vous avec une personnalité pour converser sur le monde. Un podcast produit par les rédactions d'ID4D et de Courrier international, avec la participation d'Anna Sylvestre-Treiner, Carole Lembezat, Flora Trouilloud, Virginie Lepetit, Thomas Hofnung, Antoine Dabrowski, Pascale Boyen, Joffrey Ricome et Claire Carrard. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.