Capital of Colombia
POPULARITY
Categories
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur l'affaire des traitements illégaux des eaux minérales par la multinationale Nestlé en France, la reprise extrêmement limitée de l'aide humanitaire à Gaza et le rapprochement entre la Chine et l'Amérique latine dans le cadre du projet commercial des « nouvelles routes de la soie ». Trump-Ramaphosa : un tête-à-tête sous tensionAux États-Unis pour une visite de quatre jours, le président Cyril Ramaphosa doit s'entretenir avec son homologue Donald Trump. Le face-à-face entre les deux hommes s'annonce tendu tant les relations entre Washington et Pretoria se sont dégradées ces derniers mois. Que faut-il attendre de cette rencontre ? Avec Valentin Hugues, correspondant de RFI à Johannesburg. France : le scandale des eaux minérales naturelles Révélée il y a un an et demi, l'affaire des traitements illégaux des eaux minérales par la multinationale Nestlé a été délibérément dissimulée par l'État français, selon une commission d'enquête sénatoriale. Pourquoi l'État a-t-il choisi de garder le silence ? Maintenant que les sénateurs disposent d'assez d'éléments, des poursuites judiciaires pourraient-elles être engagées ? Avec Aurélien Devernoix, journaliste au service politique de RFI. Gaza : une reprise très limitée de l'aide humanitaire Alors qu'une vaste opération terrestre israélienne est en cours dans la bande de Gaza, Benyamin Netanyahu a autorisé la reprise de l'aide humanitaire. Pourquoi après plus de deux mois de blocus, l'aide ne rentre qu'au compte-gouttes dans l'enclave palestinienne ? La France, le Royaume-Uni et le Canada ont annoncé qu'ils ne « resteraient pas les bras croisés », qu'est-ce que cela signifie ? Avec Jean-Paul Chagnollaud, président d'honneur de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient (Iremmo) et professeur émérite des Universités. Amérique latine : nouveau champ de bataille entre Pékin et Washington ? Pékin et Bogota ont conclu un accord visant à intégrer la Colombie dans le mégaprojet commercial des « nouvelles routes de la soie » lancé en 2013. Pourquoi la Chine se rapproche-t-elle autant de l'Amérique latine ? Est-ce une manière de concurrencer l'économie américaine dans ce contexte de guerre commerciale entre Pékin et Washington ? Avec Marie-Françoise Renard, professeure d'Économie émérite à l'Université Clermont-Auvergne, spécialiste de la Chine.
Les experts et journalistes de RFI répondent aussi à vos questions sur la demande de levée d'immunité de Joseph Kabila en examen, la victoire du candidat pro-européen en Roumanie et le rapprochement de la Chine avec l'Amérique latine. Tchad : que sait-on de l'audio qui met en cause Succès Masra ? Accusé d'être à l'origine d'un audio qui a déclenché un massacre dans le village de Mandakao, dans le sud du Tchad, l'opposant et ancien Premier ministre Succès Masra a été arrêté pour « incitation à la haine ». Pourquoi ses avocats font-ils référence à un audio datant de 2023 ? Que disait cet enregistrement ? Quelle sera maintenant la stratégie de la défense ?Avec Victor Mauriat, correspondant de RFI à N'Djamena. RDC : vers une levée de l'immunité de Joseph Kabila ? La commission spéciale du Sénat chargée d'examiner la demande de levée d'immunité de l'ancien président Joseph Kabila a commencé ses travaux. Quelle est sa composition politique ? Quelles seraient les conséquences pour l'ancien chef de l'Etat si le Sénat décidait de lui retirer son immunité ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Roumanie : défaite surprise du candidat d'extrême-droite Le maire de Bucarest pro-Europe, Nicosar Dan, a remporté la présidentielle avec 54% des voix. Pourtant, le candidat d'extrême-droite George Simion s'était largement imposé au premier tour. Comment expliquer ce revirement de situation ? Y a-t-il eu des ingérences lors de ce second tour comme ce fut le cas en novembre dernier lors de l'élection annulée par la Cour constitutionnelle ?Avec Catherine Durandin, professeure émérite à l'Inalco. Amérique latine : nouveau champ de bataille entre Pékin et Washington ? Pékin et Bogota ont conclu un accord visant à intégrer la Colombie dans le mégaprojet commercial des « nouvelles routes de la soie » lancé en 2013. Pourquoi la Chine se rapproche-t-elle autant de l'Amérique latine ? Est-ce une manière de concurrencer l'économie américaine dans ce contexte de guerre commerciale entre Pékin et Washington ?Avec Marie-Françoise Renard, professeure d'économie émérite à l'université Clermont-Auvergne, spécialiste de la Chine.
L'eau, nous la buvons évidemment mais nous la mangeons aussi. Savez-vous par exemple que pour produire 1kg de bœuf, nous avons besoin de 15 000 litres d'eau, au passage, c'est 150 fois plus que pour faire pousser un kilo de légumes ! L'eau : nous la portons aussi : la fabrication d'un jean, du champ à nos jambes, consomme 11 000 litres. La production de notre smartphone absorbe aussi de l'eau : de l'extraction des matières premières à son assemblage, ce petit objet nécessite en moyenne 13 000 litres !!! Nos besoins ne cessent d'augmenter mais la ressource, elle n'est pas illimitée. Et en 2025 : 2,5 mds de personnes n'ont toujours pas accès à une eau potable de qualité et 5 milliards à un assainissement sain.Il va donc falloir apprendre à optimiser nos consommations et à faire des choix car déjà dans certaines régions, chaque goutte compte. Nous vous emmènerons en Colombie où malgré des ressources en eau généreuse la consommation d'eau pour les 8 millions d'habitants de sa capitale Bogota a été rationnée pendant 1 an. La situation est revenue à la normale mais il a fallu faire preuve d'ingéniosité comme vous le découvrirez avec le reportage de Najet Benrabaa dans un instant.Reportage de Najet Benrabaa sur les pénuries d'eau en Colombie. Avec l'éclairage de Yves Tramblay, hydrologue à l'IRD.
L'eau, nous la buvons évidemment mais nous la mangeons aussi. Savez-vous par exemple que pour produire 1kg de bœuf, nous avons besoin de 15 000 litres d'eau, au passage, c'est 150 fois plus que pour faire pousser un kilo de légumes ! L'eau : nous la portons aussi : la fabrication d'un jean, du champ à nos jambes, consomme 11 000 litres. La production de notre smartphone absorbe aussi de l'eau : de l'extraction des matières premières à son assemblage, ce petit objet nécessite en moyenne 13 000 litres !!! Nos besoins ne cessent d'augmenter mais la ressource, elle n'est pas illimitée. Et en 2025 : 2,5 mds de personnes n'ont toujours pas accès à une eau potable de qualité et 5 milliards à un assainissement sain.Il va donc falloir apprendre à optimiser nos consommations et à faire des choix car déjà dans certaines régions, chaque goutte compte. Nous vous emmènerons en Colombie où malgré des ressources en eau généreuse la consommation d'eau pour les 8 millions d'habitants de sa capitale Bogota a été rationnée pendant 1 an. La situation est revenue à la normale mais il a fallu faire preuve d'ingéniosité comme vous le découvrirez avec le reportage de Najet Benrabaa dans un instant.Reportage de Najet Benrabaa sur les pénuries d'eau en Colombie. Avec l'éclairage de Yves Tramblay, hydrologue à l'IRD.
Les bonnes feuilles du livre-choc consacré à l'état de santé de l'ancien président replongent l'opposition dans le marasme politique. Son déclin cognitif, ses absences, l'acteur George Clooney qu'il n'a pas reconnu lors d'une soirée alors que les deux hommes se fréquentent depuis 20 ans, sa démarche chancelante, son futur fauteuil roulant… L'ouvrage des journalistes Alex Thompson (Axios) et Jake Tapper (CNN), à paraître le 20 mai, démontre une fois encore comment l'entourage de Biden a tout fait pour couvrir les affres du grand âge. Et à quel point le président sortant, en se retirant si tard de la course, a précipité la chute des démocrates à la dernière présidentielle. À la lumière de ces dernières révélations, POLITICO nous raconte que les cadres du parti n'ont qu'une phrase à la bouche, « il faut aller de l'avant ». Sauf que l'inventaire n'a pas été fait, et qu'il y a « encore un déni majeur au sein de notre formation à propos de l'ampleur de la défaite, soupire un élu du Massachussetts. Ceux qui veulent absolument passer à autre chose sont précisément ceux qui refusent encore d'accepter que nous avons perdu ».L'opposition reste aux prises avec ses questions existentielles malgré un agenda politique très chargé : parmi tant d'autres dossiers brûlants, cet échange tendu à la Chambre des Représentants hier, relaté par USA Today. La Commission de contrôle des services d'immigration a entendu le patron de l'agence ICE, le bras armé de la répression migratoire ordonnée par Donald Trump, qui veut expulser un million de personnes des États-Unis. Questionné par les parlementaires démocrates, Todd Lyons a fini par lâcher un chiffre : depuis l'investiture du président le 20 janvier, neuf migrants sont morts à la suite de leur placement en centre de rétention. L'administration Trump promet une enquête approfondie sur les causes de chacun de ces décès. La saison des décisions judiciaires commence aujourd'huiLa Cour Suprême se dépêche de statuer avant la pause estivale et il y a de lourds dossiers sur sa table. Peut-on interdire aux médecins de prescrire des traitements hormonaux aux mineurs qui entament une transition de genre ? Les mesures de vérification de l'âge des internautes sur les sites pornographiques sont-elles constitutionnelles ? Faut-il étendre l'usage des tests ADN aux condamnés à mort afin qu'ils puissent prouver leur innocence ? Liste quasiment exhaustive à lire dans The Hill. La plus haute juridiction américaine doit se pencher sur un minimum d'une vingtaine de procédures d'ici la fin du mois de juin. Les territoires perdus de la République d'HaïtiComme chaque jeudi, retour sur l'actualité haïtienne avec Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, le plus ancien quotidien de Port-au-Prince. Plongée en Une dans la commune de Mirebalais et tant d'autres territoires passés sous le contrôle des gangs armés. Situation observée de très près par la République dominicaine voisine. Dans son éditorial, Frantz Duval fait le récit de la réunion qui s'est déroulée, hier, entre l'actuel président dominicain, Luis Abinader, et ses prédécesseurs, sur fond de politique ultra-répressive envers les Haïtiens présents sur le territoire dominicain. Poison ou bénédiction ? Le rapprochement sino-colombien divise les éditorialistes La Colombie a bel et bien rejoint les nouvelles routes de la Soie, l'immense programme d'investissements porté par la Chine depuis une dizaine d'années. Pékin va soutenir l'économie colombienne en important datage de produits colombiens, et investir tous azimuts sur le sol colombien (infrastructures, santé, agro-industrie ou l'intelligence artificielle). El Tiempo y voit un choix « judicieux », mais attention, écrit le journal, « à la perception que pourraient avoir les États-Unis de ce texte signé avec Pékin. En pleine guerre commerciale, « le gouvernement Petro va devoir faire preuve de la plus grande sensibilité pour protéger les intérêts de la Colombie dans ses futurs rapports avec la Maison Blanche ».Pour le verre à moitié vide, lire la tribune explosive de Sofy Casas dans Semana. « Ce n'est pas une exagération, ce n'est pas de la rhétorique. C'est la réalité. Petro livre la Colombie à la Chine. Ce qui s'est déjà produit au Venezuela est sur le point de se répéter dans notre pays, avec le même scénario, les mêmes acteurs et la même tragédie. La Chine n'est pas un allié. C'est le propriétaire silencieux du Venezuela. La Chine a prêté plus de 60 milliards de dollars au Venezuela depuis 2007, non par générosité, mais pour le lier à une dette impayable, devenant ainsi le créancier, le protecteur et le marionnettiste du régime. » Or, poursuit Sofy Casas, le président colombien Gustavo Petro lui aussi « est allé mettre le pays en gage pour se débarrasser des États-Unis ». Selon elle, il y a désormais entre Pékin et Bogota « un alignement idéologique, la consolidation d'un modèle autoritaire soutenu par l'argent du régime chinois et un silence diplomatique complice ».Le procès historique de l'ancien président colombien Alvaro Uribe C'est le premier passage en jugement d'un ancien chef d'État en Colombie : Alvaro Uribe est poursuivi au pénal pour subornation de témoins. Et même si ses deux mandats sont déjà loin (de 2002 à 2010), il est encore aujourd'hui la figure tutélaire du camp conservateur, et l'un des hommes politiques les plus influents du pays. Son procès retransmis en direct par tous les médias provoque un vif débat et irrigue la vie quotidienne. Dossier signé Najet Benrabaa à retrouver dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreFusillades, exécutions en plein jour et en pleine rue, la violence semble avoir atteint un niveau inédit ces derniers temps en Martinique.
The Light Gate Welcomes GUEST: Paola “Poly” Rottermann Date: May 12, 2025 Time: 5-7 pm pacific / 8-10 pm eastern Episode 107 Discussion: The UFO/ET Experiences and Research of Poly Rottermann Tonight, “The Light Gate,” welcomes: experiencer, researcher, investigative journalist and podcaster, Paola (Poly) Rottermann. Poly was born in 1976 in South America (Bogota, Colombia) and is the eldest of four sisters. She studied in a French school in Bogota, where she learned both French and English. When she was seven years old, Poly experienced what she describes as a "download," after seeing a picture of an E.T. craft in a book. That day her research on the E.T. phenomenon started. She felt lonely in a city and family where no one talked about non-human intelligence. Poly soon began to have recurrent experiences during her sleep, where she was taken inside a craft to be part of what appears to be a hybridization program. After graduating from school, Poly received a B.A. in Journalism and Social Communication. At the age of 21, she left Colombia and went to live in Israel in 1999. Her sightings started about three years ago, together with her son. Poly shares E.T. content in many social media platforms around the world, and in the last year she became a member of the UFO MAN Podcast Team in YouTube. You can find her content on Facebook groups such as “Bob Lazar and Beyond,” “UFO/UAP Disclosure Australia,” “NHI Realities, Ascension and Beyond,” “UFO Man Nation,” and more. One of her favorite sayings is: “One second it takes, for your life to break. Life must fly, as a Dragon in the sky.” LINKS: YouTube: https://www.youtube.com/@PolyRottermann Facebook: https://www.facebook.com/paola.rottermann Facebook UFO MAN: https://www.facebook.com/groups/708136426487929 Instagram: https://www.instagram.com/polyrottermann/
Sermons: Church of God Ministry of Jesus Christ International | CGMJCI
Sermon: Matthew 20By Sister Maria Luisa Piraquive, worldwide leader of the ChurchLocation: La Colina, Bogota, ColombiaStreamed on April 27, 2025Church of God Ministry of Jesus Christ Internationalhttps://idmji.org/en#IDMJI #CGMJCI #MariaLuisaPiraquive #Piraquive
Hebreos.12.15 “ Mirad bien, no sea que alguno deje de alcanzar la gracia de Dios; que brotando alguna raíz de amargura, os estorbe, y por ella muchos sean contaminados”.Hebreos 12:15 (NTV) “Cuídense unos a otros, para que ninguno de ustedes deje de recibir la gracia de Dios. Tengan cuidado de que no brote ninguna raíz venenosa de amargura, la cual los trastorne a ustedes y envenene a muchos”.El alma está formada por la mente, la voluntad, los sentimientos y las emociones. A veces las emociones y los sentimientos nos dominan y no logramos controlarlas, sino cuidamos ni limpiamos lo que hay en nuestra alma todo lo que hay en el alma empieza a afectar todo nuestro ser: cuerpo, mente y espíritu.La amargura es un espíritu que se arraiga en el alma y lo envenena, con el tiempo, se nota en todo: en lo que sientes, piensas y haces.Para vencer la amargura no basta con tratar los síntomas; hay que ir a la raíz del problema y eliminarla desde ahí:La amargura es una de las mayores causas por la cual muchos creyentes están en miseria, enfermos, e incluso, apartados de la gracia del Señor. La amargura desarrolla raíces con ella, tales como: ira, enojo y maledicencia. Es una puerta abierta para que los espíritus inmundos atormenten a la persona.La amargura es una angustia del alma; Es cómo se siente el alma por circunstancias que nos sobrecogen y que no podemos controlar ni cambiar; es tener una profunda tristeza y resentimiento acompañada de hostilidad e ira reprimida y se convierte en un veneno para el alma.La amargura hace olvidar toda buena obra de Dios haya hecho en nosotros.La amargura es el semillero fértil del enemigo, si no se trata a tiempo crece, se multiplica y madura produciendo raíces que ahogan la vida de Dios en nosotros.Causas:Cuando se nos ha quitado algo o hemos perdido algo. Siempre que algo grande o importante es quitado de nuestra vida, el enemigo enviará un espíritu de amargura. En la Biblia hay un registro de una mujer llamada Noemí, Rut 1:13 “… No, hijas mías; que mayor amargura tengo yo que vosotras, pues la mano de Jehová ha salido contra mí”; al perder a su esposo y a sus hijos entró en su alma una raíz de amargura contra Dios, ella pensaba que Dios le había quitado sus mas preciados tesoros; de aquí que la persona con raíz de amargura tiene la capacidad de vivir amargados toda la vida y siempre estar recordando y repitiendo lo que le hicieron y lo que le fue quitado.Cuando tenemos circunstancias que no podemos cambiar. Cuando una persona se encuentra bajo una circunstancia difícil y que no puede cambiar, le viene el desánimo, la angustia, el desespero y se siente sin esperanza.Cuando alguien nos ha herido emocionalmente. Una de las razones por las cuales viene la amargura es por las heridas que nos causaron en el alma; El ciclo de las heridas emocionales son: La Ofensa, Falta de perdón, Resentimiento, Amargura, Raíz de amargura, Odio, Rencor y termina con la Cauterización de la conciencia (Siente, Piensa y actúa manipulado por el espíritu de amargura). Consecuencias:Nos aparta de Dios. La amargura tiene la capacidad de apartarnos de la fe, Hebreos 12:15 “Mirad bien, no sea que alguno deje de alcanzar la gracia de Dios…”.La amargura nos encierra en una prisión. Hechos 8:23 “porque en hiel de amargura y en prisión de maldad veo que estás”. Es la causante de muchas enfermedades emocionales, mentales, físicas y espirituales. Quiero hacer una aparte, porque aquí está el meollo del asunto, las enfermedades físicas, emocionales, mentales y económicas que miles de millares de cristianos están padeciendo hoy en día es por causa de este veneno que fluye por el torrente sanguíneo llamado “Amargura”.Las enfermedades de este siglo son producidas por el alto nivel de estrés que maneja el ser humano, a esto añada las heridas emocionales, enfermedades mentales, la falta de perdón y la deficiencia nutricional en los alimentos que consumimos diariamente.El salmista hizo una declaración en el Salmo 32:3-4 “Mientras callé, se envejecieron mis huesos En mi gemir todo el día. Porque de día y de noche se agravó sobre mí tu mano; Se volvió mi verdor en sequedades de verano”; esa expresión tiene un significado espiritual muy profundo y es “falta de perdón…”, por tal razón levantarse para pedir y otorgar perdón es clave para sanar muchas enfermedades.Todo el veneno del alma llamada amargura, resentimiento y falta de perdón impregnado en el cuerpo viene de un alma envenenada que al vivirlo y experimentarlo a través de emociones fuertes como el estrés, el miedo y la incertidumbre hace que el cuerpo libere una hormona llamada cortisol, el cual se convierte en un veneno para el cuerpo.El cortisol es una hormona imprescindible para nuestro cuerpo. Interviene en la regulación del metabolismo, es la encargada de ponernos en marcha todas los días y nos prepara para responder a los desafíos físicos y mentales que la vida nos presenta; desempeña un papel crucial en la regulación del metabolismo de los carbohidratos, favorece la formación de glucosa, aumenta la presión arterial, la frecuencia cardíaca y respiratoria, entre otras, pero también el exceso de cortisol en la sangre es un veneno que produce enfermedades crónicas. El cortisol producido por el veneno que se encuentra en el alma debido a la continua ira, falta de perdón, enojo, maledicencia, discusiones, peleas, contiendas, genera enfermedades tales como: osteoporosis, osteomielitis, cáncer óseo, artrosis, artritis, y otras enfermedades tales como la fibromialgia, migrañas, problemas digestivos, cáncer generalizado, diabetes entre otros; Los niveles elevados de cortisol se han asociado con el desarrollo de trastornos mentales como la depresión y el estrés, además, pueden contribuir al desarrollo de problemas físicos como la obesidad, la diabetes, la hipertensión arterial, los trastornos del sueño entre otras.Ministración: Pasar la gente al altar y ministrar sanidad y libertadJesús advirtió a aquellos que se sentían cansados y agobiados a venir a Él para descansar y encontrar alivio de sus cargas. En Mateo 11:28-30, dijo: "Venid a mí todos los que estáis cansados y agobiados, y yo os haré descansar. Llevad mi yugo sobre vosotros y aprended de mí, que soy manso y humilde de corazón; y hallaréis descanso para vuestras almas. Porque mi yugo es suave y mi carga ligera". Mateo 6:25-27 “Por tanto os digo: No os afanéis por vuestra vida, qué habéis de comer o qué habéis de beber; ni por vuestro cuerpo, qué habéis de vestir. ¿No es la vida más que el alimento, y el cuerpo más que el vestido? Mirad las aves del cielo, que no siembran, ni siegan, ni recogen en graneros; y vuestro Padre celestial las alimenta. ¿No valéis vosotros mucho más que ellas? ¿Y quién de vosotros podrá, por mucho que se afane, añadir a su estatura un codo?”. Pablo enseñó en Filipenses 4:31-32 “Quítense de vosotros toda amargura, enojo, ira, gritería y maledicencia, y toda malicia. Antes sed benignos unos con otros, misericordiosos, perdonándoos unos a otros, como Dios también os perdonó a vosotros en Cristo”..Saca algo bueno de todo lo malo que nos haya sucedido, Jeremías 15.18-19 “¿Por qué fue perpetuo mi dolor, y mi herida desahuciada no admitió curación? ¿Serás para mí como cosa ilusoria, como aguas que no son estables? Por tanto, así dijo Jehová: Si te convirtieres, yo te restauraré, y delante de mí estarás; y si entresacares lo precioso de lo vil, serás como mi boca. Conviértanse ellos a ti, y tú no te conviertas a ellos” Dios le dijo a Jeremías: Si miras lo bueno y...
Travel Planning: Part 1 Colombia In this episode: Where an I heading series: Part 1 Today's Mistake- avoiding potholes and buying new tires Travel Advice: Safety and security tip FAQ: How do you use SERVAS? I use Servas International to help me plan my trips. You sign up on the website, and a representative will contact you and interview you. They will make sure you are a real person and check references. Then, you get a Letter of Engagement, and you can contact hosts and day hosts. Today's destination: Planning my trip to Colombia Friends to meet in Bogota. Peace Servas Secretary Colombia. She said YES! Reach out to her with my dates and any needs. I am friends with Fanny Vico. Flights: Given your preference for flying over driving, consider booking internal flights between major cities like Bogotá, Medellín, and Cartagena. Airlines such as Avianca and LATAM offer frequent domestic routes. Accommodation: Opt for reputable hostels or budget hotels in safe neighborhoods. For instance, Selina offers locations in Bogotá's La Candelaria and Cartagena's Getsemaní, both known for their vibrant culture and relative safety. .sojournies.com
State of the Arts Episode 232 The Mother's Day Special now available on Spotify! In a touching interview, Naida Minaya, a mother of two adorable boys, speaks with me about modeling, acting, beauty pageants and being a security guard. This dynamic mom manages to juggle motherhood, working toward a position in a mall K-9 unit and a side hustle as a hair/makeup model on a regular basis. She was selected to compete in the Miss New York beauty pageant in Albany and was at one time a model for Columbian designer brand “Bogota.” With an interest in acting, she made her silver screen debut in my recent pet documentary “Angels in Our Midst.” The audience was introduced to her precious little feathered friend CoCo, whom she has trained very well. CoCo comforted Naida after the passing of her mother and is a sweet companion to her best friend Brandy Renee Baker's group of birds. This episode is heartfelt tribute to an incredible mom and inspirational career woman.
Victoria was never meant to come to Colombia, in fact, had things gone according to plan she would be in China right now. But, fate had a different path in mind for this native of a small town near to the city of Perm in Siberia, Russia. And so, on this week's Colombia Calling podcast, we hear from a Tatar far from her birthplace near to the Ural Mountains and find out how she ended up in the town of Tabio, 45km north of Bogota. Our conversation takes in her life as a language teacher (English, German and Russian), her arrival in Colombia, her beginner mistakes upon arriving in Colombia, life hacks that we all need here, her cultural adaptation, family traditions, body positivity in Colombia, love and relationships and her life now. Tune in to hear from someone who has truly embraced a new life in Colombia in what is an incredibly upbeat and positive episode of the Colombia Calling podcast. And if you fancy some language classes, check out: @tabiunarusa on Instagram.
(00:00:00) Episodio 1553 (00:06:57) Silverton, Oregon (00:11:47) Dinámica de fluidos (00:14:23) En Los Álamos (00:28:08) Astronauta (00:34:11) Entrenamiento (00:37:21) La primera misión (00:49:10) Saturday Morning Science (00:57:09) Tragedia del Columbia y regreso en Soyuz fallando (01:07:18) Fotografía a 28.000 km/h (01:17:29) Ciencia de oportunidad (01:22:32) Angry Birds en órbita (01:29:11) Pasos en el vacío (01:43:16) Café sin gravedad (01:50:34) La captura del dragón (02:01:20) La Luna: nuestro trampolín espacial (02:12:14) Expedición a los 69 (02:18:56) Cumpleaños 70 cayendo del cielo (02:23:39) La curiosidad no se jubila (02:25:54) Créditos El astronauta que cumplió 70 años al volver a la Tierra: La vida de Don Pettit, el inventor que atrapó un dragón en el espacio. ¿Qué se siente celebrar 70 años... cayendo del cielo sobre las estepas de Kazajistán? Esta es la historia de Don Pettit, un ingeniero curioso que se convirtió en astronauta, fotógrafo de auroras, inventor de tazas espaciales y cazador de cápsulas. Desde su infancia entre los bosques de Silverton, Oregon, hasta sus caminatas en el vacío, sus experimentos de ciencia casera en microgravedad y su histórica captura del primer Dragon de SpaceX, acompañamos a Pettit en un viaje donde la curiosidad nunca envejece.
(00:00:00) Episodio 1553 (00:06:57) Silverton, Oregon (00:11:47) Dinámica de fluidos (00:14:23) En Los Álamos (00:28:08) Astronauta (00:34:11) Entrenamiento (00:37:21) La primera misión (00:49:10) Saturday Morning Science (00:57:09) Tragedia del Columbia y regreso en Soyuz fallando (01:07:18) Fotografía a 28.000 km/h (01:17:29) Ciencia de oportunidad (01:22:32) Angry Birds en órbita (01:29:11) Pasos en el vacío (01:43:16) Café sin gravedad (01:50:34) La captura del dragón (02:01:20) La Luna: nuestro trampolín espacial (02:12:14) Expedición a los 69 (02:18:56) Cumpleaños 70 cayendo del cielo (02:23:39) La curiosidad no se jubila (02:25:54) Créditos El astronauta que cumplió 70 años al volver a la Tierra: La vida de Don Pettit, el inventor que atrapó un dragón en el espacio. ¿Qué se siente celebrar 70 años... cayendo del cielo sobre las estepas de Kazajistán? Esta es la historia de Don Pettit, un ingeniero curioso que se convirtió en astronauta, fotógrafo de auroras, inventor de tazas espaciales y cazador de cápsulas. Desde su infancia entre los bosques de Silverton, Oregon, hasta sus caminatas en el vacío, sus experimentos de ciencia casera en microgravedad y su histórica captura del primer Dragon de SpaceX, acompañamos a Pettit en un viaje donde la curiosidad nunca envejece.
Marcos 5:35 “Y mientras él aún hablaba, vinieron de la casa del principal de la sinagoga, diciendo: Tu hija ha muerto, ¿para qué molestas más al Maestro?”.IntroducciónLa pregunta que sale desde nuestra paciencia, fe, amor, y confianza en Dios, es: “Cuando es el tiempo de Dios, llevo mucho tiempo pidiéndole esto o lo otro, y si Dios no me responde, ocurrirá esto o lo otro, y ya no habrá solución para mí”.¿Para que debemos esperar el tiempo del Señor? Para recibir lo mejor que El tiene preparado para nosotros, asi que, debemos estar dispuestos a esperar a que actúe a nuestro favor:Si andamos en la voluntad de Dios, Él obrará en situaciones y en la vida de otros para que su plan se cumpla en nosotros. Al estar dispuestos a esperar, demostramos que valoramos lo que Dios desea darnos y no nuestra voluntad.Cuando Dios no concede nuestras peticiones, debemos examinarnos, para así saber si hemos pedido lo que es correcto, o si lo hemos hecho por razones egoístas. El Señor anhela que los deseos de nuestro corazón estén acorde con el propósito de Dios para nuestras vidas.La mas grande demostración del amor de Dios se manifiesta cuando Dios comienza a enderezar nuestros caminos torcidos, su meta es transformarnos. Salmos 31:15 "En tu mano están mis tiempos”, es tiempo de cumplimiento, es tiempo de cosas nuevas, que Dios hará, y en un instante, Dios, El Todopoderoso cumplirá Su propósito en ti. Levanta una oración: Daniel 2:20-21 “Sea bendito el nombre de Dios de siglos en siglos, porque suyos son el poder y la sabiduría. Él muda los tiempos y las edades; quita reyes, y pone reyes; da la sabiduría a los sabios, y la ciencia a los entendidos”. Dios hará cosas grandes, ya llega el tiempo de Dios para ayudarte, levantarte y bendecirte, tu lamento será cambiado en baile, en Dios están tus tiempos.Ser fiel a Dios, Su Palabra y Su iglesia: para poder ver cumplido el milagro de Dios en tu vida.No dudes, no temas: tan solo cree en Dios y en su poder para ayudarte y bendecirte.Bien dice en su palabra que, “Todo tiene su tiempo, y todo lo que se quiere debajo del cielo tiene su hora…” Eclesiastés 3:1. Las manifestación del poder de Dios no son al azar, son antecedidos por el silencio de Dios, ese momento en que todo parece que no tiene solución, donde nos quedamos sin fuerzas o simplemente pensamos que estamos solos, cuando ya no podemos utilizar nuestras fuerzas, ni nuestro mérito, sino solo la gracia y la misericordia de Dios obrando en nuestras dificultades, en los procesos y en nuestro carácter.Dios hace que las cosas sucedan en el tiempo justo, tu trabajo no es averiguar cuándo, sino tomar la decisión que no te darás por vencido hasta que cumplas tu propósito y estés viviendo en las bendiciones de Dios, mientras más confíes en Dios y mantengas tus ojos puestos en Él más vida tendrás. Confiar en Dios trae vida, el creer trae descanso, así que deja de intentar resolverlo todo y deja que Dios obre en tu vida, a partir de hoy prepara tu vida, tu hogar y tu descendencia para recibir una RESPUESTA DE DIOS, una intervención Divina no programada, ni esperada donde Dios va a intervenir de manera sobrenatural, de manera Inesperada sin previo aviso, a esto llamamos “El Tiempo de Dios” y se ejecuta en nuestras vidas gracias al favor y la gracia de Dios.En la Palabra de Dios existen tres clases de tiempos:Tiempo general o tiempo calendario. En griego es “Kronos”, Hechos 1:7 “Y les dijo: No os toca a vosotros saber los tiempos o las sazones, que el Padre puso en su sola potestad”, "Jesús les respondió: Sólo Dios decide cuándo llevar a cabo lo que piensa hacer”.Tiempo oportuno o determinado. En griego es “Kairos” Génesis 18:14 “¿Hay para Dios alguna cosa difícil? Al tiempo señalado volveré a ti, y según el tiempo de la vida, Sara tendrá un hijo”.Tiempo del cumplimiento En griego es “Pieroó”, Gálatas 4:4 “Pero, cuando llegó el día señalado por Dios, él envió a su Hijo, que nació de una mujer y se sometió a la ley de los judíos”.Hoy es el día en el cual Dios confirma que traerá Repentes a tu vida, tu hogar y tu descendencia.Hoy es el día:De salir del Kronos e ir al “tiempo de fe”, tiempo oportuno o determinado por Dios.Experimentar el Kairos de tu vida, para traer bendición, sanidad, milagros y prodigios.Se manifieste el Pieroó de Dios, el tiempo del cumplimiento de las promesas.Oraciones respondidas - Dos historias (La mujer del flujo de sangre y la hija de Jairo resucita)Ante el fracaso, el dolor, las situaciones críticas, buscamos la salida de emergencia, la mas rápida para intentar “salvarnos”, pero al mismo tiempo experimentamos diversas reacciones: lloro, decepción, tristeza. ¿Por qué pasa esto? Más bien debemos decir ¿Para qué? Dios nos enseña en estos tiempos algunas cosas como: confiar más en él, madurar, humildad de corazón, fortalecer nuestro débil carácter, ejercitarnos en la obediencia.De toda crisis, prueba o dificultad, de la mano de Dios salimos fortalecidos, más maduros en Cristo, y con una fe que nos anima a seguir y amar a Dios en todo tiempo, pues ¿a quién más iremos? solo en él tenemos palabras de vida eterna.Debemos reflexionar cuando estas cosas suceden, pues hay grandes y profundas enseñanzas en medio de todas estas situaciones. Este es el caso de Jairo, tenía una niña de 12 años al borde de la muerte, sin posibilidad de un tratamiento médico; vino a Jesús como un último recurso y se postró ante Él; El dolor y el sufrimiento tienen la capacidad de doblegar nuestros egos, De rodillas es nuestra posición mas segura de acercarnos a Dios para que Él escuche nuestras súplicas, Jairo llegó con Un corazón contrito y humillado delante de Dios.Jesús accede ir con el a su casa y se le atraviesa una mujer con un flujo de sangre que llevaba 12 años enferma y había gastado todo su dinero intentando sanar su enfermedad, esta mujer tocó el manto de Jesús y ocurrió un milagro, quedó sana.Ahora imaginemos a Jairo, colócate en sus zapatos, desesperado por el estado de su hija y ahora “otra demora” sin embargo Jairo no se quejó, el sabia que dependía de Jesús. Llegaron de su casa para informarle que “su hija había muerto, que no molestara mas al maestro” ¿y ahora que hago?Cuando no sabemos que hacer, debemos ir al maestro.Cuando vamos delante de Él, debemos ir con un corazón contrito y humillado, sin cuestionar, sin demandar, debemos someternos a sus designios.Recuerda que Dios siempre sabe lo que está haciendo.Jesús conoce tu condición aún antes que tu le cuentes.Pero una cosa si era cierta… La hija de Jairo, murió. No se cual sea tu situación, ve donde Dios y dile “Yo no se que hacer, pero vengo y pongo mis ojos en ti, mi confianza está en ti para que tu hagas como solo tu sabes hacerlo en mi vida”.Sin embargo Jesús le dice a Jairo “no temas, cree solamente”; el temor es el peor enemigo de la fe, la fe debe curar tu temor, muchas veces nos convertimos en creyentes incrédulos y por eso optamos por una “Salida de emergencia”, recuerda que la incredulidad aumenta el temor”.Jesús entra en escena y solo permitió que estuvieran con Él los mas cercanos, Pedro, Juan y Jacobo y con ellos los padres de la niña… Cuando la vida (Jesús) se hace presente, la muerte huye… La expresión de Jesús fue “Talita cumi”… “Niña a ti te digo, levántate”; no existe una salida de emergencia, solo tenemos que ir a Él, las mejores cosas ocurr...
There are bakeries, cafes, bars and restaurants around the world which don't just exist to serve up food and drink – they're on a mission to rebuild lives. Ruth Alexander hears the stories of risk, reward and redemption from three businesses on three different continents: At The Dusty Knuckle bakery in London, the trainee programme manager Charlie Atkinson explains why she thinks a cafe and bakery is the perfect place to foster team spirit. Reporter Gideon Long visits La Trocha in Bogota, Colombia, a bar and cultural centre run by a group of former Farc rebels. Rob Perez and Mindy Street of DV8 Kitchen in Lexington, Kentucky, US, talk about how they've won over customers. Producers: Hannah Bewley and Sam Clack If you would like to get in touch with the show, please email: thefoodchain@bbc.co.uk(Image: hands kneading dough. Credit: Getty Images/ BBC)
Samuel 17:25-27 “Y cada uno de los de Israel decía: ¿No habéis visto aquel hombre que ha salido? Él se adelanta para provocar a Israel. Al que le venciere, el rey le enriquecerá con grandes riquezas, y le dará su hija, y eximirá de tributos a la casa de su padre en Israel. Entonces habló David a los que estaban junto a él, diciendo: ¿Qué harán al hombre que venciere a este filisteo, y quitare el oprobio de Israel? Porque ¿quién es este filisteo incircunciso, para que provoque a los escuadrones del Dios viviente? Y el pueblo le respondió las mismas palabras, diciendo: Así se hará al hombre que le venciere”David era muy valiente. Fue un luchador desde el principio. Pero antes de matar a un gigante o de liderar ejércitos en batalla, el fue un pastor y protegía a las ovejas que cuidaba. El mató a los leones y osos que amenazaban a su rebaño.Cuando el profeta Samuel visitó a su familia, durante una misión para encontrar y ungir al futuro rey de Israel, el padre de David, Isaí, ni siquiera pensó en pedirle que volviera del pastoreo. Estaba seguro de que Samuel tenía a uno de sus hijos mayores en mente. ¿De qué le serviría al profeta conocer al joven pastor?Pero David tenía algo especial desde el principio y Samuel insistió en conocerlo. Al encontrarse con el joven, Samuel ungió la cabeza de David con aceite; esta fue la primera señal visible de que el muchacho estaba destinado para algo grande.Una batalla en particular le otorgó a David su lugar en la historia: Goliat, el gigante filisteo, había estado burlándose sin piedad de las tropas israelitas durante días; entonces, David se presentó trayendo comida para sus hermanos mayores que habían sido alistados como soldados.Cuando David escuchó a Goliat insultando a Israel, se indignó y se ofreció a aceptar el desafío propuesto por Goliat: que un soldado israelita se acercara a luchar contra él.Cuando Saúl, el rey israelita, se enteró que David deseaba enfrentarse a Goliat, se sintió reacio a permitirlo. Pero David estaba decidido. El rechazó la oferta de usar la armadura y la espada del rey, prefiriendo más bien enfrentarse a Goliat con solo una honda y cinco piedras.El joven giró su honda, apuntando a la frente del enemigo filisteo. Solo hizo falta una piedra y el gigante se estrelló contra la tierra. David corrió, tomó la propia espada de Goliat y le cortó la cabeza. Las tropas filisteas huyeron despavoridas y fueron destruidos por el ejército israelita.Hay algo en lo profundo de nuestra naturaleza que nos hace ir en busca de un premio, de una recompensa. Cuando una recompensa está en juego, muchas veces derramamos sangre, sudor y lágrimas para conseguirla. Los atletas llevan sus cuerpos al límite con la esperanza de ganar una medalla de oro. Los representantes de ventas hacen un esfuerzo adicional con el objetivo de conseguir una comisión generosa o un bono. Cuanto más valiosa sea la recompensa, más obstáculos estaremos dispuestos a superar y tendremos mejor enfoque. Las recompensas nos motivan y nos animan a la búsqueda.Sería de esperarse que, después de esta increíble victoria, David se convirtiera en el mejor amigo del rey Saúl. No fue así, aunque le dio a David su propia hija como esposa. Saúl pronto llegó a odiar a David debido a la atención que estaba recibiendo en su nuevo rol como jefe del ejército israelita. La popularidad de David y su talento natural como líder le otorgaron fácilmente el estatus de héroe de Israel y Saúl se sintió profundamente amenazado por ello.Como David continuaba ganando victorias militares, las mujeres de Israel comenzaron a cantar: "Saúl mató a sus miles, pero David, a sus diez miles" El celoso Saúl se enfureció aún más, con la ayuda del hijo de Saúl y el mejor amigo de David, Jonatán, David se enteró que la ira de Saúl no se aplacaría y huyó a esconderse.El rey Saúl pasó años persiguiendo a David y ofreció establecer una tregua entre los dos; la paz nunca se consolidó.Después de la muerte de Saúl durante una batalla, David fue ungido como su sucesor. El rey David luego conquistó Jerusalén. Él trajo de regreso el arca del pacto y estableció su reino, después de haber ascendido al trono.David continuó gobernando a Israel y eligió a su hijo Salomón para sucederlo en el trono, antes de morir pacíficamente a la edad de setenta años, habiendo reinado durante cuarenta años.A pesar de sus defectos, David era conocido como un "hombre conforme al corazón de Dios” y debido a esto fue recompensado, Dios hizo un pacto con Él, 2 Samuel 7 y Salmo 89. Después de cada error, el se arrepintió de su pecado y se volvió a Dios. David dejó plasmado su caminar con Dios en el libro de los Salmos. La Biblia lo describe como un rey ideal y dice que Jesús mismo vino de su linaje.La primera vez que la palabra "recompensa" se menciona en la Biblia es cuando Dios revela la mayor recompensa de la vida: Él mismo: Su presencia, su paz, su bendición, su sabiduría, su poder…etc.Dios le hizo varias promesas a Abram, pero la promesa máxima fue que Él sería la recompensa de Abram, Génesis 15:1 “Después de estas cosas vino la palabra de Jehová a Abram en visión, diciendo: No temas, Abram; yo soy tu escudo, y tu galardón será sobremanera grande”. En este fragmento aprendemos que aunque la vida en Dios es a veces difícil (y Abram se encontraba en medio de una época difícil), el premio mayor es Dios mismo. Porque cuando lo recibimos a Él, recibimos todo lo que Él es.Jesús confirma esta verdad en Mateo 6:33 “Mas buscad primeramente el reino de Dios y su justicia, y todas estas cosas os serán añadidas” Y más adelante en la Biblia, Pablo descubre esto en medio de mucho dolor y muchos obstáculos. El Nuevo Testamento está lleno de relatos donde lo golpearon, ridiculizaron, apedrearon, azotaron y hasta estuvo en un naufragio; sin embargo, aún estaba tan lleno de gozo y vida porque la recompensa de conocer íntimamente a Jesús lo motivaba.Es posible que ahora mismo estés en una época difícil, tal vez estés luchando por entender la instrucción de Dios o las dificultades que estás pasando, quizás estés preguntándote si esta vida cristiana vale la pena. Quiero animarte... resiste. Sí, vale la pena, al final serás recompensado.La Biblia dice que si buscas a Dios, serás recompensado, en Hebreos 11:6 “Pero sin fe es imposible agradar a Dios; porque es necesario que el que se acerca a Dios crea que le hay, y que es galardonador de los que le buscan”.Bendiciones que recibimos al buscar a Dios:Provisión abundante: Dios suple todas nuestras necesidades, 2 de Crónicas 17:3-5 “Y Jehová estuvo con Josafat, porque anduvo en los primeros caminos de David su padre, y no buscó a los baales, sino que buscó al Dios de su padre, y anduvo en sus mandamientos, y no según las obras de Israel. 5 Jehová, por tanto, confirmó el reino en su mano, y todo Judá dio a Josafat presentes; y tuvo riquezas y gloria en abundancia”.Favor: nos da buen nombre, reputación, lugares de privilegio y conexiones divinas, Salmo 5:11-12 “Pero alégrense todos los que en ti confían; Den voces de júbilo para siempre, porque tú los defiendes; En ti se regocijen los que aman tu nombre. Porque tú, oh Jehová, bendecirás al justo; Como con un escudo lo rodearás de tu favor”.Protección y refugio: Salmo 34:8-10 “Gustad, y ved que es bueno Jehová; Dichoso el hombre que confía en él. Temed a Jehová, vosotros sus santos, Pues nada falta a los que le temen. Los leoncillos necesitan, y tienen hambre; Pero los que buscan a Jehová no tendrán falta de ningún bien”.Fortaleza: Dios se convierte en nues...
Tamara and her husband recently took a couple's trip to Chile and this week on the podcast she shares her impressions, experiences, and tips for Santiago and Atacama Desert. In a future episode, she will talk about her week in Chile's Winelands. Episode Highlights Tamara flew Avianca Airlines on a flight deal from Boston to Bogota and Bogota to Santiago. Avianca Airlines business class is more like premium economy and not a very impressive business class but overall the flights went smoothly. She really enjoyed her stay at the Hyatt Centric Las Condes. Las Condes is a nice area to stay in Santiago. If you are visiting Santiago or Valparaiso, be on alert of pickpockets and petty crime and don't wear jewelry and keep your phone secure. Foodies would love the chef's tasting dinner at Borago in Santiago. To get to the Atacama Desert, you fly 1.5-2 hours to Calama and then it is a 1.5 hour drive to San Pedro de Atacama, which is the central hub for the region. Tamara stayed at the Nayara Alto Atacama, which provides a transfer to and from the airport. They offer an all-inclusive rate that includes food, drink, and group excursions. Other options include the Explora and the Tierra and the Awasi offers private excursions. She wouldn't recommend self-driving because there is very little cell service and getting to some of the attractions includes driving on dirt roads. The Atacama Desert is at a higher elevation so it is good to stay at least 3 nights so that you can do the higher elevation excursions later in your stay after you have time to acclimate. Nayara Alto Atacama is part of Virtuoso and booking through Tamara you can get perks that include a $100 spa credit. They did three excursions: Sunset excursion to the Valle de la Luna (Valley of the Moon) with some short hikes and finishing with a sundowner Salt Flats and Flamingo Reserve - the salt flats are not the flat white salt that you see in Bolivia or Utah, the salt is mixed with minerals and the flats looks a lot like a white lava field Rainbow Valley - not as dramatic as Rainbow Mountain in Peru but a great landscape with layers of red, white, and green rock Star gazing - the Atacama Desert is well-known for its dark skies and star gazing The food at the resort was fine but lunch was a three-course meal and if you want something more casual you can eat at the bar. The portions are small and there are only a few options per meal, but at least the menu changes every day. Make sure you get the correct adapter for electrical outlets. You need cash for small shops and some tips but you can mostly use a credit card or charge tips to your room Make sure you wear sunscreen and a hat because there is a high UV index Be sure to stay hydrated and bring lots of moisturizer and lip balm Bring plenty of layers because the desert gets cold at night Remember that it is in the Southern Hemisphere so the summer high season is December - March and winter is during our summer. Bring shoes with good traction.
Jueces 6:6 “De este modo empobrecía Israel en gran manera por causa de Madián; y los hijos de Israel clamaron a Jehová”Si estudiamos el significado de Madián, este nombre viene del original hebreo y significa: pleito, rencilla, contienda, pelea. Cuando hablamos del “espíritu de Madián” hablamos de un poder espiritual cuyo propósito es el de destruir, causar disensión, peleas, contiendas, temor. Cuando permitimos que este espíritu entre en nuestras vidas y en nuestras familias, viene pobreza y destrucción.Los madianitas eran una de las tribus del desierto, descendientes de Abraham y Cetura su segunda esposa, Génesis 25:2 “Abraham tomó otra mujer, cuyo nombre era Cetura, la cual le dio a luz a Zimram, Jocsán, Medán, Madián, Isbac y Súa”, por tanto medios hermanos de los israelitas.La Biblia narra como Madián se introdujo en la vida del pueblo de Dios para destruirlo en dos ocasiones: La primera ocurrió cuando los madianitas se habían unido a los moabitas para contratar a Balaam para que maldijese a Israel Números 22:5-6 “Por tanto, envió mensajeros a Balaam hijo de Beor, en Petor, que está junto al río en la tierra de los hijos de su pueblo, para que lo llamasen, diciendo: Un pueblo ha salido de Egipto, y he aquí cubre la faz de la tierra, y habita delante de mí. Ven pues, ahora, te ruego, maldíceme este pueblo, porque es más fuerte que yo; quizá yo pueda herirlo y echarlo de la tierra; pues yo sé que el que tú bendigas será bendito, y el que tú maldigas será maldito”, el Señor le dijo a Balaam que no maldijera al pueblo de Israel porque era un pueblo bendito, Números 22:12, luego, los Madianitas sedujeron al pueblo de Israel para que fornicara espiritualmente haciendo que adoraran sus dioses, Dios ordenó a Moisés a hostigar y herir a los madianitas, Números 25:16-18. Dios mandó a Moisés que saliese a luchar contra los madianitas, Moisés envió a doce mil hombres a la guerra, mil hombres de cada tribu, según las instrucciones recibidas, debían llevar los vasos del santuario y las trompetas (Shofares). Todo indica que esta era una guerra espiritual. Los reyes de Madián fueron muertos (5) a espada, y observamos aquí, la muerte de Balam el profeta. Los nombres de los reyes : Evi= “injusticia”; Requem= “De mil mascaras, Hipocresía”; Zur= “Acosador”; Hur= “Idolatría”; Reba= “Escasez”. (Estos son los espíritus inmundos que hay que derribar).La segunda ocurrió en el libro de Jueces 6 y 7, la cual muestra como Los Madianitas asediaban al pueblo de Israel hasta tal punto que se escondían en cuevas y cavernas, acampaban contra el pueblo de Dios y destruían los frutos de la tierra, los arruinaban, venían como langostas para devastar la tierra, traían para el pueblo temor y miseria y dice la palabra que el pueblo de Israel empobrecía Jueces 6:6. La desobediencia del pueblo, la adoración a los baales y las imágenes de Asera, fueron los motivos por los que Dios los entrego a los madianitas. Sobre el pueblo vino escasez, pobreza, miedo, temor, devastación, injusticia, opresión, peleas, iras, contiendas; son enemigos en las sombras que se levantan hoy en medio de nuestras vidas, hogares, familias.Dice la Palabra que los hijos de Israel clamaron al Señor… Aquí me voy a detener, en lo que llamamos “Clamor”, la clave para que se una el cielo con la tierra. Hoy es un día para clamar por libertad, por justicia, por bendición, por prosperidad, por conversión, por sanidad y por milagros.La Biblia registra muchos casos de clamor, de hecho Dios le enseñó a Jeremías 33:3 “Clama a mí, y yo te responderé, y te enseñaré cosas grandes y ocultas que tú no conoces”; pero el mas grande clamor ocurrió en un lugar llamado “Getsemaní”:El verdadero carácter y madurez de una persona se mide en la hora de la prueba. La forma cómo afrontamos el sufrimiento ciertamente revela las profundidades de nuestra mente y de nuestra alma. Getsemaní es el lugar donde podemos ver a Jesús alcanzar una de las cimas de su vida: sus actitudes, sus reacciones y su oración al Padre constituyen una guía para nosotros en la noche oscura de la prueba. Aquellas largas horas de agonía cargadas de gran intensidad emocional y espiritual. El acompañamiento fallido de los discípulos y la oración profunda de Jesús nos permiten apreciar una situación con la cual nos identificarnos todos. Hubo un solo Getsemaní en la historia, irrepetible; y cada uno de nosotros en algún momento de nuestra vida experimentará o hemos experimentado un “Getsemaní”, situaciones de prueba, tentación y peligro en las que se libran batallas decisivas para nuestra fe.Marcos 14;34 “Mi alma está muy triste, hasta la muerte”. Jesús tuvo que enfrentar en la máxima expresión de su humanidad, por un lado la muerte, por otro la responsabilidad de la misión que se le había encomendado. Lucas 22:44 “Y estando en agonía, oraba más intensamente; y era su sudor como grandes gotas de sangre que caían hasta la tierra”. La descripción que Jesús mismo hace de sus sentimientos es profundamente conmovedora: “Y tomó consigo a Pedro, a Jacobo y a Juan, y comenzó a entristecerse y a angustiarse. Y les dijo: Mi alma está muy triste, hasta la muerte; quedaos aquí y velad “, Marcos 14:33-34. El texto original nos revela una intensidad emocional creciente desde la ansiedad hasta la tristeza de muerte, Jesús sintió soledad extrema, abandono y desolación. La medicina nos explica que, en un estado de estrés muy intenso, la sangre puede salir de los pequeños vasos, los capilares, y producir micro hemorragias. El sudor de Jesús mezclado con sangre marca el clímax de aquella noche de gran clamor y lágrimas y nos revela con una crudeza conmovedora la intensidad de la lucha que estaba sosteniendo.Las grandes pruebas conllevan grandes lecciones porque Dios es especialista en transformar nuestras adversidades en oportunidades. Vemos dos lecciones que derivan de dos oraciones: la de los discípulos, una oración fracasada, y la de Jesús, un modelo de aceptación de la voluntad del Padre. Una oración fracasada: “Vino a sus discípulos y los halló durmiendo…”, Lucas 22:45, Jesús necesitaba mucho la oración en aquella larga noche; era arma vital en un contexto de lucha espiritual. Por ello busca el apoyo de tres discípulos amados, que ya le habían acompañado en otras situaciones especiales, y les ruega: “Quedaos aquí, y velad conmigo”, Mateo 26:38. Jesús como hombre, necesitaba sentir la cercanía y el apoyo de seres queridos en la hora de la prueba. Sin embargo, los discípulos, rendidos por el cansancio, se quedan dormidos y no una vez, sino tres veces, Mateo 26:44-45 “Y dejándolos, se fue de nuevo y oró por tercera vez, diciendo las mismas palabras. Entonces vino a sus discípulos y les dijo: Dormid ya, y descansad. He aquí ha llegado la hora, y el Hijo del Hombre es entregado en manos de pecadores”. Los suyos han vuelto a fallarle; Judas le había entregado horas antes, Pedro iba a negarle pronto y entremedio otra experiencia de frustración y soledad en el momento más necesario y por parte de aquellos en los que más confiaba. Una oración modelo: “Se postró en tierra, y oró que si fuese posible, pasase de él aquella hora” Marcos 14:35, Jesús nos deja otra lección memorable, un ejemplo de sumisión y aceptación de la voluntad del Padre. Es una oración modelo por su contenido y por su forma. Descubrimos en ella el reflejo de nuestras propias luchas espirituales y nos estimula a imitar al Maestro en nuestros “Getsemaní”. Jesús necesitaba llegar a la aceptación de todo lo que iba a suceder en Él. Aceptar sin embargo, no es algo inmediato; la aceptación genuina es un proceso costoso con varios pasos: ...
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show Notes Episode 489: We Built This City on Flake and Blow This week Host Dave Bledsoe puts on a Hawwian shirt, drops a Jimmy Buffett record on the turntable and mixes up a Bahama Mama before anyone figured out that he was not part of the wedding and threw him out of the venue. (This happens a lot.) On the show this week we head south to a city of sun, sand and billions of dollars worth of cocaine, we talk about the Miami Drug Wars! Along the way we discover that a television news man was the most trusted man in Dave's family. Then we dive right into the history of what would become Miami Florida, and the first snow birds who moved there after they retired. From there we get into how the CIA helped kick start the cocaine trade in America. (This isn't just something “funny” Dave said, this happened.) We learn how the Cubans were all murdered by the Colombians (Scarface was a documentary really) and took over the Miami trade for themselves. We meet the scariest woman in Miami (and Bogota, and, well everywhere) before we get down to the business of finding a way to take all the drug money and put it to work. (Real Estate baby!) Our Sponsor this week is Fast Eddie's Investment Services, investing involves risk and it doesn't get much riskier than Fast Eddie. We open with Miami news coverage of the drug wars and close with the T Sisters explaining big city commercial real estate. (If you hate the Starship version, you are REALLY going to hate the T Sisters!) Show Theme: Hypnostate Prelude to Common Sense The Show on Bluesky: https://bsky.app/profile/whatthehellpodcast.bsky.social The Show on Facebook: https://www.facebook.com/whatthehellpodcast/ The Show on Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCjxP5ywpZ-O7qu_MFkLXQUQ The Show on Instagram: https://www.instagram.com/whatthehellwereyouthinkingpod/ Our Discord Server: https://discord.gg/kHmmrjptrq Our Website: www.whatthehellpodcast.com Patreon: https://www.patreon.com/Whatthehellpodcast The Show Line: 347 687 9601 Closing Music: https://youtu.be/3JphLIPqhpg?si=QjZOk1u3m6IU_BoS Buy Our Stuff: https://www.seltzerkings.com/shop Citations Needed: KILLINGS IN FLORIDA OVER DRUGS ON RISE https://www.nytimes.com/1979/07/22/archives/killings-in-florida-over-drugs-on-rise-40-deaths-this-year.html MIAMI CRIME RISES AS DRUGS POUR IN https://www.nytimes.com/1981/08/12/us/miami-crime-rises-as-drugs-pour-in.html America's Drug War https://americanradioworks.publicradio.org/features/drug_wars/story3.html Miami flooded by cocaine cash https://www.upi.com/Archives/1990/02/11/Miami-flooded-by-cocaine-cash/8767634712400/ PBS Frontline: Drug Wars https://www.pbs.org/wgbh/pages/frontline/shows/drugs/interviews/mcdonald.html SUSPECT HELD ON $10 MILLION BOND IN A CRACKDOWN ON DRUGS IN MIAMI https://www.nytimes.com/1981/02/28/us/suspect-held-on-10-million-bond-in-a-crackdown-on-drugs-in-miami.html Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Tony brings a Late-Ass Album Review segment on Gil-Scott Heron's 1981 album, Reflections. Also, Jerry talks about his experience at Little Beer V in Duluth, GA, and Collin Zreet talks food pairing with American Amber Ale. We did have some garbles in the show due to connection issues. We tried to remove as much of that as possible and apologize for any interruption in your audio experience. Additional discussion notes Yukimi - For You Jack J - Opening the Door Smokin' George from Bluejacket (actually 6% abv) All About Beer Butcher Brown - Letters From the Atlantic Unknown Mortal Orchestra - IC 02 Bogota
Mateo 13:29 “Él les dijo: No, no sea que al arrancar la cizaña, arranquéis también con ella el trigo”.¿Alguna vez ha tenido que vivir o interactuar con una persona falsa? La gente falsa muestra algo que en realidad no es, aparenta ser lo que en realidad no es, cuantas veces le hemos abierto el corazón a una persona que se había presentado de una forma, pero con el tiempo nos damos cuenta que todo lo que mostró no era mas que una simple apariencia, ya que su esencia en realidad era otra, la gente falsa es la que nos ha causado los peores daños en nuestra vida.En la Biblia me encontré con una parábola en la cual Dios trata con las personas falsas, la manera como Dios ve a a ese tipo de personas que parecen ser pero en realidad no son.Mateo 13:24-30, la Biblia lo llama “Maleza o Cizaña”, ¿De donde salió? ¿Arrancamos la maleza?.Mediante esta parábola el Señor nos muestra como en la vida vamos a tener en nuestro alrededor e incluso en nuestra propia vida esa maleza (Cizaña) y esto impactó mi vida debido a que muchas veces confundimos lo que es real de lo que es falso; hay gente que no ha visto la bendición de Dios en su vida por la falsedad de vida que comenzaron a vivir y esto frenó la bendición.No hay nada mas poderoso en esta tierra que vivir de forma genuina, vivir una vida trasparente donde no haya nada escondido ni nada oculto y aunque estamos rodeados de tanta falsedad (No hay nada mas falso que las redes sociales) Dios nos enseña a ser gente trasparente, gente genuina, ya que si vivimos de esa manera vamos a ver las bendiciones de Dios sobre nuestras vidas.Echemos un vistazo a la parábola.y aprendamos de ella: Al ojo humano la Cizaña y el Trigo son extremadamente parecidos, la similitud entre estas dos plantas es tan grande, que en algunas regiones la cizaña suele denominarse "falso trigo.”, hoy el Señor le dice a Su Iglesia que es necesario que seamos diferencia en medio del mundo, porque muchas veces parecemos cizaña en vez de ser trigo; esta enseñanza que el Señor dejó escrita a través de una parábola nos enseña:Que hay siempre un poder hostil en el mundo buscando destruir la buena semilla.Es necesario probar los espíritus para poder distinguir la cizaña del trigo.No nos precipitemos en nuestros juicios, llegará el tiempo de la siega en el cual los ángeles del cielo descenderán y tomaran la cizaña y la colocarán en el horno de fuego y el trigo resplandecerá como el sol en el reino de Dios.¿Como se siembra la cizaña en medio de un campo de trigo?Muchas veces el fruto del Espíritu no puede estar en medio de nosotros, porque “otros espíritus” influencian nuestra vida con sus propios frutos y comienza a contaminar nuestro campo, nuestra tierra, nuestro hogar y por ende nuestra descendencia sembrando semilla de cizaña, escuche esto: “Todas las vivencias del alma desde el vientre hasta hoy, en el transcurrir de nuestra vida comienzan a formar el alma y cada una de las marcas emocionales (violencia, violaciones, relaciones malignas, pactos, maltratos, deshonra, etc), se abre una puerta para que entren espíritus inmundos y controle cada área de tu vida. Lo que está en nosotros, lo que manipula nuestras vidas, no nació en nosotros, fue adquirida, fue introducida por nuestra mente (alma) a través de nuestros sentidos y usando nuestro intelecto: El conocimiento sexual que adquirimos fue correcto o incorrecto.El conocimiento emocional (amor, benignidad, paciencia, fe, bondad, paz) o por el contrario (odio, maldad, ansiedad, incredulidad, perversidad, intranquilidad, orgullo).El conocimiento en el manejo de la economía fue el correctoEl conocimiento familiar, social, …. etc. Si no nació entonces fue introducido, adquirido, aceptado por nosotros por falta de conocimiento o por un conocimiento incorrecto, en otras palabras se transfirió, penetró, se introdujo en nuestra mente, intelecto, alma, corazón, emociones…etc, hubo una transferencia de ese(os) espíritu(s).Ahora bien, de quien o de que fuente provino… de lo que estaba más cercano a nosotros (Abuelos, Padres, Familiares, Profesores, en otras palabras… personas). La semilla es SEMBRADA MIENTRAS ESTAMOS DORMIDOS: Muchas veces permitimos ser una caneca de basura, o contenedor de maldiciones, las continuas palabras de maldición sembradas con odio, con rencor, con rabia en medio de nuestra vida, hogar y descendencia, esta ha sido sembrada en nosotros por el enemigo no para hacernos bien sino para traer maldición y destrucción a nuestras vidas, esto se denomina “transferencia de espíritus o espíritu de manipulación.La manipulación o “manejar o utilizar hábilmente; controlar o jugar a través del ingenio, de manera injusta o insidiosa, sobre todo para obtener ventaja; cambiar a través de medios ingeniosos o injustos, para propios propósitos.Esta es una de las mejores definiciones de la brujería: “La brujería es la autoridad espiritual falsificada. Es usar un espíritu que no es el Espíritu Santo, para dominar, manipular o controlar a otros. Cualquier autoridad o influencia que obtengamos por nuestra propia manipulación, o auto promoción, será una piedra de tropiezo, e impedirá nuestra habilidad de recibir la verdadera autoridad de Dios, por esta razón utiliza la manipulación, se convierten en brujos y hechiceros, parecen magos que utilizan la magia blanca, la adivinación y la agoreria hasta tal punto que dicen… Pacta la palabra, pacta con Dios, si traes un millón Dios te va a dar los diez millones que necesitas para pagar todas tus deudas y muchos se impresionan y dicen guau me dijo exactamente que tengo deudas… somos imbéciles el 90% de la gente tiene deudas y tu eres uno de esos, asi que ese hombre no recibió visión del Espiritu Santo, usó la adivinación para hablarte de tus deudas… Eso de: “Dios me muestra una persona que tiene cáncer de seno y Dios la va a sanar y pasan miles de mujeres que tienen cáncer en el seno y señala a una que a los tres meses muere… brujos y hechiceros cristianos que usan la bibliomancia a través de los 66 libros de la Biblia.Muchos andan aprovechándose de un espíritu controlador, para intentar ponerte bajo sus pulgares, manejarte o dirigir tus acciones. Necesitamos aprender y no solo discernir, cuando las personas están manipulándonos.SIRVEN DE TROPIEZO Y HACEN MALDAD: La MALDAD es la característica principal de aquel que se propone dañar a su prójimo sin razón genuina o de manera intencional, si alguien sembró mal en tu vida, eso no te da derecho a que devuelvas mal por mal porque está escrito : “Romanos 12:17-19: No paguéis a nadie mal por mal; procurad lo bueno delante de todos los hombres. Si es posible, en cuanto dependa de vosotros, estad en paz con todos los hombres. No os venguéis vosotros mismos, amados míos, sino dejad lugar a la ira de Dios; porque escrito está: Mía es la venganza, yo pagaré, dice el Señor.”.Parábola del trigo y la cizaña en Mateo 13:36-43. Señor muchos han sembrado cizaña en mi vida, mi hogar y mi descendencia y la cizaña ha crecido junto con el trigo, hoy es el día de mi libertad en el cual la cizaña va a ser arrancada y echada al fuego en el nombre de Jesús…
Listeners please if you've never cared about any other episode, please care about this one. We are recording this episode live from the flood in Bogota. We have taken the podcast outside of the No Limit Cafe and running everything on a generator to get this out to yall. Bogota is currently experiencing the worst flood in history and the community can use any help offered. We have set up a GoFundMe to help the flood victims. https://www.gofundme.com/f/bogota-area-flood-fundPlease find it in your heart to give, any donations will help the community start building back. One thing is true and that is the people of Bogota are fighters! We hope you enjoy this episode!
Colombia has emerged as the world's second-biggest exporter of cut flowers, and the largest supplier to the United States. Local growers suffered a scare this year when US president Donald Trump threatened to impose tariffs of 50% on imports from Colombia. The dispute was quickly resolved but, even so, the threat of tariffs remains. And the sector faces other challenges, particularly around sustainability. We visit a flower farm in Colombia and go to Bogota airport to see how the country exports this most delicate and perishable of goods. We also talk to an academic who says the industry is changing rapidly, with an emphasis on growing flowers locally rather than flying them around the world. If you would like to get in touch with the show, please email: businessdaily@bbc.co.ukPresented and produced by Gideon Long(Picture: A female employee handling roses at a flower farm, Flores de los Andes, near Bogotá, Colombia. Credit: BBC)
In this mini edition of Waterfall, Mike is joined by CCW's Ana-Maria Millan and Professor Luis Alejandro Camacho Botero of the Universidad de los Andes (Bogota) for an insightful conversation about Colombia's eventful water resource history. Delving into valuable lessons learnt from Bogota's 1997 water crisis that can be applied universally today. The full length edition of this episode was originally released on 20/10/2023.
Catherine, David and Matt discuss the start of the clay court season, headlined by victories for Jessica Pegula and Jenson Brooksby. Part one - WTA Results. Pegula shows her toughness and her variety to win the first clay court title of her career in Charleston over Sofia Kenin. We discuss her reascension to American number one and compare her career with players like Jelena Ostapenko and Sofia Kenin who have won a slam but don't have her consistency. Plus, Camila Osorio wins Bogota for the third time. Part two - ATP Results (from 30m). Brooskby saves match point in three different matches to win the first title of his career in Houston. We discuss his return to the tour, why we enjoy watching him play, and his final victory over Frances Tiafoe. There's also chat about Flavio Cobolli not only snapping his 8-match losing run, but doing so by winning the title in Bucharest. Part three - News (from 50m27s). Top players send a letter to the Grand Slams asking for more prize money, so what does that mean for the PTPA lawsuit? There's also change at the top of the ATP, Coco Gauff leaving Team8, and a look ahead to Monte Carlo and the Billie Jean King Cup qualifiers this week. Become a Friend of the Tennis Podcast to receive exclusive access to bonus podcasts, including Tennis Re-Lived episodes, Grand Slam Review Shows, and monthly Live Shows on YouTube. Friends also get access to The Barge, Hannah's Column, and an ad-free listening experience to all episodes of The Tennis Podcast. Talk tennis with Friends on The Barge! Sign up to receive our free Newsletter (daily at Slams and weekly the rest of the year, featuring Matt's Stat, mascot photos, Fantasy League updates, and more)Follow us on Instagram (@thetennispodcast)Subscribe to our YouTube channel.Check out our Shop - We have recently launched a range of caps! Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Clay season is upon us! Rejoice in the red (and green) dirt with Joel and Kim as they check in on the first week of action as part of the European / American Clay swing in the build up to the French Open at Roland Garros.It was an eventful seven days on the ATP and WTA Tours as Jessica Pegula clinched her first ever clay court title out in Charleston to put the disappointment of a final loss in Miami to Sabalenka behind her, whilst fellow American Jenson Brooksby fought his way to his maiden tour title in Houston as a qualifier wildcard saving multiple match points along the way! Italians Flavio Cobolli and Luciano Darderi also reversed their fortunes and won ATP 250 titles, whilst Camila Osorio defended her Bogota title on home turf at an event Joel questions whether should even exist in the first place.The duo also discuss the use of electronic line calling with Hawkeye on clay courts, upcoming development changes to Henman Hill for the 2027 Championships at Wimbledon, and recent calls for increased Grand Slam prize money from the ATP/WTA Top 20 players. Joel also teases Kim's knowledge again on singular Masters winners, and they reflect on Jannik Sinner's recent comments with Sky Italia about his ongoing ban from the Tour.Roland-Garros Hospitality with Sports, Travel and Hospitality GroupTo guarantee the best seats in the house with ticket-inclusive official hospitality, visit https://bit.ly/4j6RYBzSOCIALSFollow us on Twitter, Instagram, TikTok and YouTube, plus email the show tennisweeklypod@gmail.com.MERCHPurchase Tennis Weekly Merch through our Etsy store including limited edition designs by Krippa Design where all proceeds go towards the podcast so we can keep doing what we do!REVIEWS***Please take a moment to rate and review the show on Apple Podcasts, Spotify or wherever you get your pods. It really means a lot to us at HQ and helps make it easier for new listeners to discover us. Thanks!*** Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Marcos 9:24 “Al instante el padre clamó: Sí, creo, pero ayúdame a superar mi incredulidad“Servimos a un Dios poderoso y sobrenatural, y lo podemos experimentar al asomarnos a Su Palabra y ver todo los milagros y prodigios que hizo con muchos cuando estuvo en la tierra.El libro de Marcos narra la historia de un muchacho que le trajeron a Jesús porque estaba endemoniado, estaba siendo atormentado espiritualmente por demonios y se manifestaba en su vida personal, el papá del joven lo llevó a los discípulos y nada pudieron hacer, pero cuando se encontró con Jesús sucedieron cosas extraordinarias; en Marcos 9:23 Jesús le dice “Si puedes creer, al que cree todo le es posible” y el padre del muchacho le dice “Yo creo… ayuda mi incredulidad”; muchas veces nos sucede lo mismo, creémosles pero no siempre; muchas veces utilizamos “los peros” o el “obstáculo que hace que el milagro no suceda”.Además de “los peros, las dudas, la incredulidad” le sumamos que todo lo queremos “rápido” porque de lo contrario “no sirve”; tenemos que aprender que no existen los métodos que agilicen un milagro, no existen intercambios económicos ni materiales para obtener un milagro o que agilicen la fe, la fe no se vende, no se negocia, no existen formulas mágicas, no existen “Mesias” en esta tierra que te saquen de los problemas y las dificultades, le ponemos fe a los hombres creyendo que ellos tienen la solución; La razón por la cual hacemos todas estas cosas es porque “no nos gustan los procesos de Dios”; este es el momento de colocar nuestros ojos en Jesús el autor y consumador de la fe.Surgen dos preguntas que quiero resolver: ¿Tienes un fe que logre obtener los milagros del cielo? O ¿Quieres que Dios te ayude en la incredulidad? La respuesta de muchos de los que están aquí es exactamente la misma que declaró el papá del muchacho “Creo… Ayuda mi incredulidad”; te voy a enseñar ciertos principios, no métodos, no quiero informar, quiero enseñar con base en lo que he vivido y que he visto resultados:Disciplina y hábitos que debemos formar en nuestras vidas que nos van a ayudar a vivir mejor: Orar, comunicarse con Dios a diario; consultar la Palabra de Dios ya que la fe viene por el oír, el oír la Palabra de Dios, ore y adore al Señor, camine a diario con Él.Perseverar, no desmayar, Hebreos 10:36 "Porque les es necesaria la perseverancia para que, habiendo hecho la voluntad de Dios, obtengan lo prometido”.Póngase firme en la iglesia, juntémonos como un solo cuerpo al pie de la Cruz, ya que al estar con gente de fe, hace que nuestra fe crezcaQuiero enfocarme un poco en el poder de la Palabra, una vez recibimos al Señor en nuestras vidas la Palabra de Dios comienza a activarse, la Palabra de Dios está llena de poder y no muere con el tiempo, sino que permanece, es eterna y mora dentro de ti, Hebreos 4:12 “Porque la palabra de Dios es viva y eficaz, y más cortante que toda espada de dos filos; y penetra hasta partir el alma y el espíritu, las coyunturas y los tuétanos, y discierne los pensamientos y las intenciones del corazón”.La Palabra de Dios es viva y eficaz, está activa, no es palabra muerta, toda palabra de Dios siempre cumple el propósito para la cual ha sido enviada está escrito en el libro de Isaías 55:10-11 “Porque como desciende de los cielos la lluvia y la nieve, y no vuelve allá, sino que riega la tierra, y la hace germinar y producir, y da semilla al que siembra, y pan al que come, así será mi palabra que sale de mi boca; no volverá a mí vacía, sino que hará lo que yo quiero, y será prosperada en aquello para que la envié”.Dios te ha otorgado el poder para que esa Palabra que Dios te ha entregado se active en tu vida, se vuelva vida y eficaz en ti, no es solo para darnos el conocimiento, sino para producir resultados en nosotros, hoy es el día en el cual la Palabra de Dios que está inactiva en ti será activada y se desate el poder de la Palabra que Dios ha colocado en tu vida, que produzca fruto y fruto abundante. La Palabra de Dios es poderosa porque:Procede de Dios, tiene un origen divino, es toda verdad que ha salido de la boca de Dios, en varias ocasiones Dios juró por si mismo, el ejemplo con Abraham en Génesis 22:15-18 “Y llamó el ángel de Jehová a Abraham por segunda vez desde el cielo, y dijo: Por mí mismo he jurado, dice Jehová, que por cuanto has hecho esto, y no me has rehusado tu hijo, tu único hijo; de cierto te bendeciré, y multiplicaré tu descendencia como las estrellas del cielo y como la arena que está a la orilla del mar; y tu descendencia poseerá las puertas de sus enemigos. En tu simiente serán benditas todas las naciones de la tierra, por cuanto obedeciste a mi voz”, y lo sustenta Hebreos 6:13-14 "Porque cuando Dios hizo la promesa a Abraham, no pudiendo jurar por otro mayor, juró por sí mismo, diciendo: De cierto te bendeciré con abundancia y te multiplicaré grandemente”. La Palabra de Dios tiene poder creativo, crea cosas que no existen, hace posible lo imposible, Isaías 28:21 “Porque Jehová se levantará como en el monte Perazim, como en el valle de Gabaón se enojará; para hacer su obra, su extraña obra, y para hacer su operación, su extraña operación”. La Palabra de Dios operó en la creación del mundo en Génesis cuando el Señor abrió Su boca y salió aliento de Su boca, Su Palabra creó lo que no existía y produjo vida donde no había, esta es otra razón por la cual la Palabra de Dios es poderosa, porque es vida y produce vida, todo lo que está muerto vive, tiene el poder de transformar, de cambiar la vida de una persona, de cambiar su cuerpo, de cambiar las circunstancias, de cambiar diagnósticos, la Palabra de Dios da vida a lo que parece estar muerto, está escrito en Salmos 33:6 “Por la palabra de Jehová fueron hechos los cielos, y todo el ejército de ellos por el aliento de su boca”, Salmos 107:20 "Envió su palabra, y los sanó, y los libró de su ruina”.La Palabra de Dios es una verdad absoluta, no es de interpretación privada y proviene de la fuente que es toda verdad “Nuestro Padre Celestial”, el mundo está lleno de de opiniones y de perspectivas, de conocimiento humano, pero la Palabra de Dios es sólida, es eterna, es permanente, es confiable y siempre produce resultados, tiene el poder de sanar, tiene el poder de revelarnos Su propósito, tiene el poder de guiar nuestras vidas, tiene el poder de crear milagros, sanidades, prodigios, obras sobrenaturales y si Su Palabra vive en ti se hará verdad en tu vida porque nunca viene hacia, siempre cumple Su propósito, tiene el poder para ejecutar lo que Dios dijo que va a ejecutar y cuando se desata con tu boca, se ejecuta, porque si Dios lo dijo, se hará, Dios no miente, Números 23:19 "Dios no es hombre, para que mienta, ni hijo de hombre para que se arrepienta. Él dijo, ¿y no hará? Habló, ¿y no lo ejecutará?”, Números 11:23 “Entonces Jehová respondió a Moisés: ¿Acaso se ha acortado la mano de Jehová? Ahora verás si se cumple mi palabra, o no”.Debemos recuperar la fe y la esperanza para mirar las promesas que el Padre tiene para ti y el Padre va a comenzar con tu corazón espiritual el cual bombea la vida de Dios, la sangre de Jesús en medio de tu vida espiritual, Proverbios 4:23 “Sobre toda cosa guardada, guarda tu corazón; Porque de él mana la vida”, tu corazón va a ser clave en este tiempo porque el corazón espiritual se alimenta de nuestros sentidos, lo que vemos, lo que hablamos, lo que escuchamos y lo que hacemos es lo que alimenta nuestro corazón espiritual y esto produce un fruto visible a nuestra vida.
A few years ago, a Pasco friend retired in Colombia and kept bugging me to visit. I saw no reason to. South America was never on my travel radar. The food alone is enough to go back again and again. Whether it's pan de la abuela in Bogota or a peanut butter banana coffee smoothie in Medellin, I've got lots of places for you to try. But no matter what you do, make sure you get some pan de la abuela. It's what you see in the photo for this episode. It's my favorite food anywhere and it's criminally cheap. About $1.
Eclesiastés 12:13-14 "El fin de todo el discurso oído es este: Teme a Dios, y guarda sus mandamientos; porque esto es el todo del hombre. 14 Porque Dios traerá toda obra a juicio, juntamente con toda cosa encubierta, sea buena o sea mala”.Te has preguntado alguna vez ¿Que es lo que Dios quiere de ti?, ¿Que es lo que Dios quiere hacer con tu vida?, sería interesante que podamos conocer cuál es la voluntad de Dios para nuestras vidas, aunque sabemos que la voluntad de Dios es ”buena, agradable y perfecta” muchas veces no queremos conocerla, ni aceptarla y mucho menos ejecutarla, ya que, los procesos de Dios parecen que fueran difíciles de llevar.Encuentro dos maneras de conocer la voluntad de Dios para estos tiempos:La primera es a través de la Palabra; Aquí está buena parte de la voluntad de Dios para nuestra vida, lo que Dios quiere hacer, establecer, cómo quiere que vivamos y la manera correcta de vivir. En la Biblia no aparece cuál es la voluntad de Dios con tu trabajo, no aparece la mujer o el hombre con la que Dios quiere que se case, ni el nombre de la persona con quien va hacer un negocio, sin embargo, Dios tiene una voluntad al respecto de todas estas cosas que acabamos de mencionar: “Hacer siempre lo correcto con respecto a lo que dice Su Palabra”.Lo segundo es lo que se conoce como el propósito de Dios para nuestras vidas y es aquí donde me detengo un poco para mirar lo que ocurrió con ciertos personajes que se encuentran registrados en la Biblia y que lograron cumplir con el propósito que Dios les encomendó y que cada experiencia con Dios quedó plasmada para enseñanza de las próximas generaciones. Le menciono algunos nombres: Abraham, Jacob, José, Moisés, Josué y podríamos llegar a Jesús, todos tenían propósitos específicos para sus vidas. Hay un propósito que es únicamente para ti, no para mí, y sólo tú lo vas a cumplir, porque Dios te ha dotado de todo lo que necesitas para hacerlo; tu misión, tu responsabilidad en otras palabras: Hay un plan hecho por Dios para ti, para que lo cumplas.Hoy quiero enfocar esta enseñanza en la historia de un joven soñador, José: (10 minutos max).Dios usa lo improbable para cumplir su propósito, por esto surgen giros inesperados en nuestra vida con el fin de desarrollar una fe inquebrantable y una confianza única en el plan de Dios.José tuvo algunos sueños proféticos donde se veía como el líder de toda su familia y por causa de esos sueños y por ser el preferido de su padre Jacob y su madre Raquel, sus hermanos lo aborrecían hasta tal punto que lo arrojaron a una cisterna y lo vendieron como esclavo a unos mercaderes Ismaelitas que se dirigían a Egipto. Fue llevado a una tierra extranjera lejos de su familia, fue comprado como esclavo por Potifar, un oficial de faraón. A pesar de su condición de esclavo, José se mantuvo fiel a Dios, ganó la confianza de Potifar, y fue puesto a cargo de toda su casa. Sin embargo, la injusticia llegó a su vida, tras resistir las insinuaciones de la esposa de Potifar, fue falsamente acusado de intentar abusar de ella y terminó encarcelado. En la prisión nunca flaqueó, continuó sirviendo y Dios estaba con él dándole gracia ante el encargado de la cárcel.En prisión interpretó los sueños de 2 siervos de faraón, el copero y el panadero. Esta habilidad dada por Dios sería su puerta de salida de años de prueba al propósito que Dios había preparado para él. Años después, cuando el faraón tuvo sueños increíblemente inquietantes que nadie podía interpretar, el copero se acordó de José y José fue llamado ante Faraón, y con sabiduría divina reveló el significado de los sueños: siete años de abundancia serían seguidos por siete años de hambruna. Faraón no sólo creyó en José, sino que lo nombró gobernador de Egipto, el cual fue encargado de preparar el país para enfrentar la crisis; de esclavo injustamente Tratado, José se convirtió en el segundo hombre más poderoso de Egipto; Este fue parte del plan de Dios para preservar la descendencia de Jacob y cumplir sus promesas. José se casó con Asenat, hija de Potifera sacerdote de On, Génesis 41:45. Con todo esto, Dios estaba cumpliendo la promesa de bendecir a José en Tierra extranjera. Del matrimonio nacieron 2 hijos, Manasés y Efraín, nombres con profundo significado espiritual: Manasés “Dios me hizo olvidar todo mi sufrimiento y toda la casa de mi padre”, representaba la sanidad del peso emocional de sus traumas y Efraín “Dios me hizo prosperar en la Tierra de mi sufrimiento” con el cual celebraba la fidelidad de Dios transformando sus adversidades en bendición. La historia de José culmina con el reencuentro con su familia en medio de la hambruna que azotó toda la región, sus hermanos quienes lo habían vendido como esclavo llegaron a Egipto en busca del alimento, sin saber que aquel a quien se dirigían era el mismo hermano que habían vendido. La reacción de José fue de compasión, no de venganza, reconoció la soberanía de Dios en todos los eventos de su vida y declaró en Génesis 50:20 “Vosotros pensasteis mal contra mí, mas Dios lo encaminó a bien, para hacer lo que vemos hoy, para mantener en vida a mucho pueblo”. Gracias a la sabiduría de José, La familia de Jacob encontró refugio en Egipto y fue preservada durante los años de hambruna, Jacob, ya anciano y consiente que sus días estaban llegando a su fin, tomó la decisión de adoptar a sus dos nietos como si fueran sus propios hijos. Colocó a manasés y Efraín al mismo nivel de sus hijos, asegurándoles una parte de la herencia; en aquella época la primogenitura y la herencia estaban directamente relacionadas con la continuidad del pacto de Dios con Abraham, Isaac y Jacob; Manasés y Efraín formaron parte de la formación del pueblo de Israel, al incluirlos, Jacob restauraba completamente la conexión que se había perdido entre José y la línea de la promesa. Dios no actúa según la lógica humana. Jacob, siendo el menor, recibió la bendición de Isaac en lugar de Esaú el primogénito, así mismo ocurrió con los hijos de José, Jacob colocó la soberanía de Dios por encima de las tradiciones humanas. Rubén el primogénito, había perdido su lugar de honor al deshonrar a Jacob su padre, Génesis 35:22 “Aconteció que cuando moraba Israel en aquella tierra, fue Rubén y durmió con Bilha la concubina de su padre; lo cual llegó a saber Israel"; Simeón y Leví también habían cometido actos de violencia extrema.Al destacar a Manasés y a Efraín, Jacob estaba declarando, que Dios puede redimir historias y usar a quien él quiera para cumplir sus planes; Jacob destituye a Rubén su primogénito, y a Simeón el segundo en la línea de los descendientes, Rubén era su hijo mayor con lea y como primogénito debió haber heredado el rol del líder familiar, sin embargo pierde este privilegio debido al grave error de tener relaciones con Bilha, una de las concubinas de Jacob, su padre.En Génesis 49:3-4 “Rubén, tú eres mi primogénito, mi fortaleza, y el principio de mi vigor Principal en dignidad, principal en poder. Impetuoso como las aguas, no serás el principal, por cuanto subiste al lecho de tu padre; Entonces te envileciste, subiendo a mi estrado”. Jacob le habla de su falta de carácter y autoridad. Simeón y Levi cometieron errores públicos y violentos, lideraron una venganza brutal contra los hombres de Siquem tras el incidente con su hermana dina, violencia extrema y engaño, Génesis 49:5-7 “Simeón y Leví son hermanos; Armas de iniquidad sus armas. En su consejo no entre mi alma, ni mi espíritu se junte en su compañía. Porque en su furor mataron hombres, y en su temeridad desjarretaron toros. Maldito su furor, que fue fiero; Y su ira, que f...
Barry Max Wills, author of: "Better than Cocaine: Learning to Grow Coffee, and Live in Colombia," and Richard McColl of: "The Mompos Project: A Tale of Love, Hotels and Madness in Colombia," join editor Dan Cross on this week's Colombia Calling podcast. In a conversation that takes in the topics of culture and identity, immigrants to Colombia, writing about their adopted homeland, their books and the editing process, the triumvirate chats about the recent launch party and conversation event at Bookworm bookshop in Bogota. Enjoy this fun conversation! The Colombia Briefing is reported by Emily Hart, check out her substack: https://substack.com/@ehart And buy the books please: The Mompos Project: https://a.co/d/49iOsiz Better than Cocaine: https://a.co/d/7gAtzyR
Este episodio de 4 horas en “El Siglo 21 es Hoy” se centra en “La mitad de la ciencia”, un recorrido por las historias menos contadas de las mujeres en la ciencia y la influencia que sus logros han tenido en la innovación tecnológica. Analizamos cómo los sesgos históricos, la brecha de género y la discriminación algorítmica siguen presentes en la inteligencia artificial y la transformación digital.Conversamos con Linda Patiño, periodista y colaboradora de Google, sobre la inclusión digital, la brecha salarial, la equidad de género y la forma en que estas desigualdades impactan la participación de las mujeres en STEM. El episodio aborda el efecto Matilda, los sesgos en la IA, la invisibilidad de grandes científicas y los esfuerzos por visibilizar sus contribuciones.Toda la investigación, guion, narración, edición y musicalización de este pódcast son de Félix Riaño. Agradecemos también a Eulalia Pérez Sedeño y S. García Dauder, cuyas investigaciones inspiraron este contenido. Toda la música usada ha sido autorizada con licencia Audiio y Creative Commons.Este espacio busca reflexionar sobre el impacto de la desigualdad en la construcción del conocimiento y la necesidad de inclusión para generar cambios en la ciencia y la tecnología. Conoce experiencias reales, analiza la forma en que las nuevas tecnologías reproducen estereotipos y descubre las oportunidades que surgen cuando se rompe con las narrativas tradicionales.Capítulos:00:00:00 155200:04:38 Las mentiras científicas00:07:50 Advertencias00:09:16 Por qué lo oímos en voz de hombre00:13:29 Marinela Profi https://youtu.be/CovLICpc8Eo00:15:39 Rosalind Franklin y la Fotografía 5100:26:23 Darwin y el androcentrismo00:31:29 Neuromito de los hemisferios del cerebro00:35:05 Completitud e incompletitud00:37:26 Auditivas y kinestésicos00:41:43 Sesgos00:50:04 Sesgos en MIT00:56:14 Segos en Amazon01:00:38 Manels01:08:57 Kristi Boyd y la ceguera de datos https://youtu.be/T3iKQs2oKk401:13:59 Lise Meitner01:28:30 El "cerebro pequeño" de las mujeres01:36:50 Exagerar y minimizar01:44:01 Sex in education01:47:31 Histeria01:56:39 Efecto Mateo02:06:32 ENIAC y el efecto Matilda02:15:33 Nettie Maria Stevens02:19:10 Botazzi, Maathai, Youyou02:20:52 María Teresa Toral02:23:21 Jocelyn Bell Burnell02:30:29 Linda Patiño: Cuotas de género https://youtu.be/d4HdIfVv89E02:46:19 Puentes, no trincheras 02:59:02 Yo era una guardaespaldas chiquita 03:13:50 Me dijeron que apagara el computador 03:29:17 No podemos seguir hablando los mismos con los mismos 03:45:25 ¿Qué estoy haciendo yo en mi casa?Conviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/el-siglo-21-es-hoy--880846/support.
Salmos 40:2 “Y me hizo sacar del pozo de la desesperación, del lodo cenagoso; Puso mis pies sobre peña, y enderezó mis pasos”.Quiero comenzar con una promesa que se encuentra en Éxodo 34:10 “Y él contestó: He aquí, yo hago pacto delante de todo tu pueblo; haré maravillas que no han sido hechas en toda la tierra, ni en nación alguna, y verá todo el pueblo en medio del cual estás tú, la obra de Jehová; porque será cosa tremenda la que yo haré contigo”.Tal vez muchas cosas no han salido bien en tu vida, tu hogar y tu descendencia, pero, si todo lo que no esta funcionándoos bien lo colocas delante del Señor, Él es capaz de hacer de nuevo todas las cosas, porque Él es misericordioso; sus misericordias son nuevas cada mañana, Lamentaciones 3:19-23 “Acuérdate de mi aflicción y de mi abatimiento, del ajenjo y de la hiel; Lo tendré aún en memoria, porque mi alma está abatida dentro de mí; Esto recapacitaré en mi corazón, por lo tanto esperaré. Por la misericordia de Jehová no hemos sido consumidos, porque nunca decayeron sus misericordias. Nuevas son cada mañana; grande es tu fidelidad”, por lo tanto, “los errores, la torpeza, las malas decisiones, las caídas no son el final de tu vida”.Tenemos que reconocer nuestra condición terrenal: Somos hechos de barro, frágiles y de gran valor en las manos de Dios, Él no se equivocó al crearnos del polvo de la tierra y al colocarnos en la tierra puso propósito firme cada uno de nosotros, Salmos 139:13-16 “Porque tú formaste mis entrañas; Tú me hiciste en el vientre de mi madre. Te alabaré; porque formidables, maravillosas son tus obras; Estoy maravillado, y mi alma lo sabe muy bien. No fue encubierto de ti mi cuerpo, bien que en oculto fui formado, y entretejido en lo más profundo de la tierra. Mi embrión vieron tus ojos, y en tu libro estaban escritas todas aquellas cosas que fueron luego formadas, sin faltar una de ellas”.Dios nos creó con la intención de que fuéramos vasos de barro débiles y limitados, con el propósito de colocar Su poder en medio de nosotros, por lo tanto no podemos seguir “peleando con nuestro creador”; cuando el hombre se independiza de Dios, se separa de Dios, coloca a Dios a un lado, nada puede hacer, el libro de Romanos 9:20-21 lo reafirma “Mas antes, oh hombre, ¿quién eres tú, para que alterques con Dios? ¿Dirá el vaso de barro al que lo formó: Por qué me has hecho así? ¿O no tiene potestad el alfarero sobre el barro, para hacer de la misma masa un vaso para honra y otro para deshonra?” ¿Cómo el hombre va altercar con Dios si el mismo hombre es el responsable de su condición espiritual? ¿Cómo vamos a decir a Dios por qué me has hecho así cuando somos nosotros los que nos hemos echado a perder en sus manos?. Muchas personas aún conociendo el amor de Dios y el sacrificio de Cristo, están viviendo vidas vacías, vidas sin ningún propósito, estas personas se están echando a perder, se están convirtiendo en vasos de deshonra, vasos de ira; pero aún siendo vasos de ira, Dios los ama y los soporta con paciencia ¿por qué? Porque Dios NO quiere que NADIE se pierda, Dios quiere que sus vidas sean transformadas con el poder de su Amor, de su Gracia y de Su Espíritu. Dios quiere que los hijos de ira se conviertan en vasos de honra y misericordia, pero cuando los hombres persisten en ir en contra de la Palabra, Dios hace de ellos vasos de deshonra y de ira.La mayoría de nosotros necesita una nueva oportunidad para hacer las cosas bien. Dios está más que dispuesto a darnos esa oportunidad. Él es rico en misericordia, amor y gracia, especialmente se complace en la misericordia: “¿Qué Dios como tú, que perdona la maldad, y olvida el pecado del remanente de su heredad? No retuvo para siempre su enojo, porque se deleita en misericordia” Miqueas 7:18.Sin importar lo que hayamos hecho, podemos escuchar al Padre decir: “Solamente regresa. Mi amor es inquebrantable. Tú siempre serás bienvenido aquí. Regresa a casa. Hay suficiente pan en la mesa; suficiente para ti”. Dios ansía que la familia esté completa otra vez. Espera que tomemos el primer paso hacia Él, Apocalipsis 3:20 “He aquí, yo estoy a la puerta y llamo; si alguno oye mi voz y abre la puerta, entraré a él, y cenaré con él, y él conmigo”.Dios es un Dios paciente, “tardo para la ira y grande en misericordia y bondad”: “El Señor no retarda su promesa, según algunos la tienen por tardanza, sino que es paciente para con nosotros, no queriendo que ninguno perezca, sino que todos procedan al arrepentimiento” 2 Pedro 3:9. Desde luego, si recibiéramos lo que merecemos por nuestros pecados, seríamos rápidamente condenados, no habría una nueva oportunidad, pero Dios nos da gracia y tiempo para arrepentirnos, ya que desea que nadie se pierda eternamente, deja la puerta del arrepentimiento abierta para todos, el Señor quiere derramar vino nuevo dentro de nosotros, pero el vino nuevo no se puede derramar en vasijas viejas, quebradas, fisuradas por toda la basura, la maldición, el pecado, la enfermedad y la iniquidad… El vino nuevo se derramará y se perderá, lo dijo el mismo Señor Jesús en Marcos 2:22 “Y nadie echa vino nuevo en odres viejos; de otra manera, el vino nuevo rompe los odres, y el vino se derrama, y los odres se pierden; pero el vino nuevo en odres nuevos se ha de echar”.Dios es un Dios que permanece: Dios nunca dejará de creer en nosotros, incluso si nosotros dejamos de hacerlo, desea que regresemos a Él, permanece con nosotros, por tal razón debemos confiar en Su promesa: “No te desampararé, ni te dejaré”. Isaías 41:17-20 “Los afligidos y menesterosos buscan las aguas, y no las hay; seca está de sed su lengua; yo Jehová los oiré, yo el Dios de Israel no los desampararé. En las alturas abriré ríos, y fuentes en medio de los valles; abriré en el desierto estanques de aguas, y manantiales de aguas en la tierra seca. Daré en el desierto cedros, acacias, arrayanes y olivos; pondré en la soledad cipreses, pinos y bojes juntamente, para que vean y conozcan, y adviertan y entiendan todos, que la mano de Jehová hace esto, y que el Santo de Israel lo creó”.Jesús declaró en el sermón del monte, Mateo 5:8 “Bienaventurados los de limpio corazón porque -ellos- verán a Dios”, quienes son “ellos”, somos nosotros, los que hemos fallado, los que hemos pecado, los que hemos cometido muchos errores, los que nuestros corazones se llenaron de orgullo, vanagloria, pecado, los que decidimos decir “dame una nueva oportunidad, perdóname, hoy le pongo un alto al pecado, hoy le pongo un alto a las tinieblas”, los que decidimos regresar a la casa del Señor, decidimos regresar a la Palabra, veremos la gloria de Dios”.Ministración: Quiero enseñar tres principios para aquellos que necesitan una nueva oportunidad:Primer Principio: El tiene el poder de transformarlo todo: Dios, como un Alfarero, tomó el barro y formó al hombre. Ahora descendamos a la casa del alfarero y junto a Jeremías 18:1-6 "Palabra de Jehová que vino a Jeremías, diciendo: Levántate y vete a casa del alfarero, y allí te haré oír mis palabras. Y descendí a casa del alfarero, y he aquí que él trabajaba sobre la rueda. Y la vasija de barro que él hacía se echó a perder en su mano; y volvió y la hizo otra vasija, según le pareció mejor hacerla. Entonces vino a mí palabra de Jehová, diciendo: ¿No podré yo hacer de vosotros como este alfarero, oh casa de Israel? dice Jehová. He aquí que como el barro en la mano del alfarero, así sois vosotros en mi mano, oh casa de Israel”. Observemos como hace el alfarero: El alfarero tiene una rueda, oprime el pedal con su pie para hacer girar la rueda, al hacerlo, sus manos están trabajando el barro con destreza y hacer una vasija bien formada, con el carácter del alfarero. El alfarero tiene un poder absoluto sobre el barro y ese poder es ilimitado; Nadie puede d...
Paula Delgado-Kling joins Let's Talk Memoir for a conversation about how her research and reporting on child soldiers, drug trafficking, and the revolutionary armed forces of Columbia (FARC) led her to tell the story of one woman and her family, the relationships we forge with whom we write about, allowing memoir to answer our questions, negotiating language barriers and class differences, coming to truth and understanding, grounding ourselves, hitting upon the structure a book needs, searching for humanity amidst ongoing violence, and her new book Leonor: The Story of a Lost Childhood. Also in this episode: -working as a journalist -becoming embedded in the story we're covering -negotiating dangerous environments to gather information Books mentioned in this episode: Tastes Like War by Grace M. Cho It can take a really long time but that doesn't mean it isn't important or good. Paula Delgado-Kling holds degrees in comparative literature/French civilizations, international affairs, and creative writing from Brown University, Columbia University, and The New School, respectively. Leonor, for which she received two grants from the Canadian Council for the Arts, is her first book. Excerpts of this book have appeared in Narrative, The Literary Review, Pacifica Literary Review, and Happano.org in Japan. Her work for the Mexican monthly news magazine Gatopardo was nominated for the Simon Bolivar Award, Colombia's top journalism prize, and anthologized in Las Mejores Crónicas de Gatopardo (Random House Mondadori, 2006). Born in Bogota, Colombia and raised in Toronto, Canada, Delgado-Kling now splits her time between Boca Raton, FL and New York City. To learn more, please visit PaulaDelgadoKling.com or follow her on Instagram @PaulaDelgadoKling. Connect with Paula Website: http://pauladelgadokling.com/ Facebook: https://www.facebook.com/profile.php?id=100091961238236 Twitter: https://twitter.com/ColombiaTalk Instagram: https://www.instagram.com/pauladelgadokling/ Get the book: https://www.amazon.com/Leonor-Story-Childhood-Paula-Delgado-Kling/dp/1682194477?crid=1M4ML48WOEEV7&keywords=leonor&qid=1683308327&s=books&sprefix=leonor,stripbooks,97&sr=1-1&linkCode=sl1&tag=ongoicom-20&linkId=986106192c06afd126c43cfe6d22043d&language=en_US&ref_=as_li_ss_tl – Ronit's writing has appeared in The Atlantic, The Rumpus, The New York Times, Poets & Writers, The Iowa Review, Hippocampus, The Washington Post, Writer's Digest, American Literary Review, and elsewhere. Her memoir WHEN SHE COMES BACK about the loss of her mother to the guru Bhagwan Shree Rajneesh and their eventual reconciliation was named Finalist in the 2021 Housatonic Awards Awards, the 2021 Indie Excellence Awards, and was a 2021 Book Riot Best True Crime Book. Her short story collection HOME IS A MADE-UP PLACE won Hidden River Arts' 2020 Eludia Award and the 2023 Page Turner Awards for Short Stories. She earned an MFA in Nonfiction Writing at Pacific University, is Creative Nonfiction Editor at The Citron Review, and teaches memoir through the University of Washington's Online Continuum Program and also independently. She launched Let's Talk Memoir in 2022, lives in Seattle with her family of people and dogs, and is at work on her next book. More about Ronit: https://ronitplank.com Subscribe to Ronit's Substack: https://substack.com/@ronitplank Follow Ronit: https://www.instagram.com/ronitplank/ https://www.facebook.com/RonitPlank https://bsky.app/profile/ronitplank.bsky.social Background photo credit: Photo by Patrick Tomasso on Unsplash Headshot photo credit: Sarah Anne Photography Theme music: Isaac Joel, Dead Moll's Fingers
En este episodio, mis entrevistados son Laura Sofía Montoya Gómez y Carlos Alberto Montoya Correa. Carlos es arquitecto egresado de la Universidad Nacional sede Medellín. Experto en planificación, gestión y ejecución de proyectos de desarrollo urbano con énfasis en viviendas económicas en tratamientos de expansión urbana, consolidación, mejoramiento de barrios, renovación urbana y en zonas con restricciones geotécnicas. Ha participado como gestor en la ejecución de más de 50.000 viviendas económicas desde el sector público, en proyectos de cooperación internacional, de aplicación de políticas nacionales y de ejecución local en varias ciudades de Colombia (Bogotá, Medellín, Armenia, Bucaramanga, Rionegro y Bello). Ha sido docente en la Facultad de Arquitectura Universidad Nacional sede Medellín y ha participado de publicaciones colectivas de carácter técnico.Sofia es arquitecta egresada de la Universidad Pontificia Bolivariana. Magíster en Arquitectura, Crítica y Proyecto de la misma institución donde actualmente también es docente en el área de Taller de Proyectos. Ha participado durante más de 13 años de varias colectividades en la ciudad de Medellín, donde ha podido desarrollar proyectos de investigación en el área del patrimonio urbano-arquitectónico que han sido publicados mediante recursos financiados a través de los estímulos de la Secretaría de Cultura Ciudadana. Es cofundadora de la Corporación Proyecto NN, organización sin ánimo de lucro que acompaña procesos comunitarios y promueve la educación y la dignificación de los espacios de encuentro populares.Notas del EpisodioQue esta pasando en MedellinEl encaricimiento de la ciudadEl turismo sexual y el pueblo moralistaLa gentrificacion de Pablo EscobarLa construccion y venta de vivienda paisaResentimiento y el dios dineroLas mascaras del gobierno“No se puede morir del exito”El derecho a la ciudad y viviendaTareaProyecto NN - Sitio Web - InstagramTranscripcion en Espanol (English Below)Chris: [00:00:00] Bienvenida Sofía, bienvenido Carlos al podcast El Fin del Turismo. Muchas gracias por estar conmigo hoy para platicar de este tema, pues si, tan complejo. Me gustaría preguntarles en dónde se encuentran hoy y como se ve el mundo para cada uno de ustedes allá.Sofia: Bueno, estamos aquí en la ciudad de Medellín. Estamos juntos en mi casa, Carlos es mi padre, y bueno, decidimos juntarnos para tener como una conversación más fluida, desde aquí, desde mi casa en el centro de la ciudad, que es un centro, pues además, bastante particular. Pues Medellín es una ciudad montañosa que queda en los Andes. Es un valle. Y digamos que el centro de la ciudad tiene, pues, unas dinámicas muy distintas a muchos centros de otras ciudades. Carlos: Es una ciudad muy estrecha [00:01:00] y tiene en el costado oriental y occidental un par de montañas llenas de barrios. Aquí mismo por la ventana se ve toda las montañas urbanizadas y en el centro está, digamos la metrópoli, lo que pudiéramos llamar una ciudad más tradicional, mientras arriba son barriadas o comunas populares. Hoy en día, muy populares para cierto turismo.¿ Y usted dónde está? Chris: Pues yo llevando en Oaxaca, en la capital de Oaxaca, México también en un valle un poco mas amplio geográficamente que Medellín . Conozco Medellín porque andaba como turista hace 15 años quizás allá. Y pues empezando toda la [00:02:00] investigación para este episodio, encontre como muchos Entonces me gustaría leer unas citas de esos artículos para los oyentes que quizás no conocen Medellín, no saben qué está pasando allá, según los medios masivos. Entonces, primero este, Nomad List. "Nomad List es una plataforma que publica su ranking de los destinos más populares para trabajar de forma remota. Colocó a Medellín en segundo lugar, el año pasado entre 157 ciudades de Latinoamérica." El próximo dice que "en la colonia de Manila de Medellín hay alquileres a corto plazo cuyos propietarios ganan más de cinco millones de pesos colombianos por mes o alrededor de $1,000 estadounidenses."El próximo decía que "aunque no se llevó [00:03:00] a cabo, el presidente local dijo en ese momento 'que prohibiría los alquileres a corto plazo en la ciudad como medida para prevenir el abuso y la explotacion sexual infantil. En esa búsqueda por encontrar una solución a ese flagelo, Guitierrez, el presidente local se reunió con representantes de la plataforma de Airbnb para llegar a un acuerdo.Desde entonces se ha trabajado de común acuerdo con las partes en conjunto para evitar medidas extremas, pero si establecer acciones que permiten prevenir este delito en la ciudad" Siguiendo, "en tanto, el número de apartmentos anunciados en Airbnb, la popular empresa de alquiler de propiedades vacacionales, subió de 8 mil en octubre de 2022 a 14 mil a [00:04:00] finales de 2023, según datos recabados por AirDNA."Y finalmente, "los datos recientes dice que Medellín recibe 1.7 millones de visitantes extranjeros a una urbe de 2 millones y medio de habitantes." Entonces, me gustaría empezar preguntándoles a ustedes dos sobre la gentrificación en Medellín. Yo encontré otro artículo sobre el tema. Y quizás se se exhibe, expone un poco de lo que está pasando allá y dice que "Wilson y Felipe, ambos se reservaron sus nombres reales. Son dueños, cada uno, de un bar cafetería en Manila en El Poblado, una de las zonas más turísticas de mayor actividad económica. Los dos vecinos son de los pocos que quedan en su [00:05:00] cuadra, porque prácticamente todas las casas de la zona se transformaron en restaurantes, pequeños hoteles y hostales, escuelas de español o viviendas para alquileres cortas a través de aplicaciones como Airbnb, que toman los extranjeros y que en parte son la causa del sobrecosto en los precios de la vivienda para los habitantes tradicionales. Entre 2022 y 2023, los arriendos crecieron entre 50 y 100%.Este barrio cambió demasiado, dice Wilson, era familiar y vea, se volvió tierra de viciosos y jíbaros que atiende a domicilio. Toda esa 'gentrificación' como le dicen, es a raíz de los inversionistas extranjeros y se encareció todo. Carlos, tú has trabajado para empresas estatales en Medellín y Bogotá, la Empresa de Desarrollo Urbano. y [00:06:00] sofia, tú has trabajado en el Proyecto NN ahí en Medellín. Entonces quizás podrían ofrecernos una idea de lo que ha sucedido en Medellín en los últimos años y las últimas décadas en términos de gentrificación y qué papel tiene que desempeñar el turismo y los turistas en ello. Carlos: Pues yo, yo percibo esta situación como supremamente novedosa y reciente. Vale decir que Medellín en los 90 era una ciudad a donde no venía nadie. Es decir, la situación de violencia urbana. Toda esta crisis que desató el narcotráfico en la ciudad nos tenía marginados del resto del mundo. Era una ciudad bastante poco atractiva por lo violenta y de inversiones relativamente paralizadas.[00:07:00] Sofia: Fue la ciudad más violenta del mundo. Carlos: SíSofia: En cierto momento Carlos: Y necesitó de una estrategia de atención entre la presidencia de la república y la alcaldía local que ustedes en México le llaman "presedencia local" para encontrar alternativos de futuro. Se llamaban los seminarios de muchas conversaciones.Entonces, lo primero que quiero enseñar es que es un hecho muy nuevo, y muy reciente. Nosotros para ver un extranjero, era un futbolista que venían a los dos clubes. De resto aquí no venía a nadie. Ver rostros chinos o japoneses o alemanes eran, eso es muy sui géneris. Y el paisa, la cultura antioqueña es una cultura supremamente hospitalaria.La gente acá desborda de amabilidad. Es una cosa muy curiosa. El solo hecho de sentir a una persona de otra [00:08:00] región, no necesariamente extranjero, puede ser de otra región colombiana. El antioqueño desarrolla un, unas habilidades y unas formas de relación, muy amenas, muy atractivas. El antioqueño es una persona muy conversadora, muy dicharachero, y es muy abierto. Es muy tranquilo en las relaciones, diría eso en principio. Entonces sí, si sentimos, realmente se siente abrumadora la presencia de extranjeros, porque es notoria. Aquí mismo nosotros vivimos aquí. Yo vivo en un par de cuadritos donde los hoteles pequeños proliferan en dos cuadras han, se han desarrollado en los últimos tres años.cinco, seis, siete hoteles, y la presencia del extranjero, es notoria. Y como le digo en un principio, era muy bienvenida, porque el extranjero, pues trae monedas con un [00:09:00] cambio muy fuerte y también aquí, el país es de una mentalidad comercial y negociante extrema. Aquí el negocio se ve pa vender un hueco, pues hacemos otro hueco.Es decir, la gente aquí es supremamente ingeniosa en la forma de establecer negocios. Sofia: Si, y, y creo que la ciudad hizo un esfuerzo institucional por cambiar también la narrativa. Pues porque, como lo dice Carlos, estuvo muy estigmatizada, pues somos la ciudad de Pablo Escobar. Cierto.Eso es una carga como simbólica muy fuerte. Y entonces se ha hecho pues un un esfuerzo, por mostrar otras cosas que también somos. Creo que el reggaetón tiene mucho que ver como con la visibilidad de la ciudad también. Cierto, porque digamos que el reggaetón no solamente pues han salido grandes estrellas, grandes cantantes pues como de de aquí de Medellín, sino [00:10:00] que el reggaetón pues como muchas otras géneros musicales, pues como que en salsa o, o bueno enaltece, pues esas figuras como el narcotráfico de bueno, como cierta estética también. Y entonces es muy atractivo para muchos extranjeros venir a conocer la ciudad del reggaetón.Y esa era una cosa que estaba pasando, digamos, de una manera más orgánica y más lenta antes de la pandemia. Con la pandemia se corta y luego de la pandemia, si se desbordó. O sea, ocurre como un fenómeno desbordado. También me imagino, pues como por esas ansias de mucha gente de viajar y de pues, de haber estado como paralizada en sus lugares, y la ciudad realmente no estaba preparada.O sea, yo creo que todo ese esfuerzo institucional que se hizo, no se midió tampoco, como hasta, hasta dónde podía llegar, cierto? Porque, si bien es cierto que la ciudad es supremamente hospitalaria y acogedora, digamos que el clima es una de las cosas que también [00:11:00] a muchos extranjeros les llama la atención. Es un clima muy ideal, cierto? Un eterno verano. Pues, obviamente también hay unas estructuras, que ofrecen cosas. Hay mucha droga, hay mucha prostitución, cierto? Es una ciudad como también para un turismo que no deja tantas cosas buenas. Además, bueno, tú sabrás y tendrás del conocimiento, el turismo así no sea, pues, este turismo como de drogas y de prostitución y de fiesta desbordada. El turismo es un fenómeno que tiende como a arrasar, cierto? Es un fenómeno que encarece, entonces. Sí, creo que en en un principio, es una ciudad que un poco quería que esto sucediera, pero en este momento no sabe muy bien cómo manejar. Carlos: Si también hubo un momento en que cuando la ciudad empezó a despegar, hubo cierto turismo académico, porque la ciudad empezó a ser muy sonora en cuanto a ciertas transformaciones [00:12:00] urbanísticas. Esta es una ciudad que tiene una empresa de servicios públicos muy poderosa. Nosotros tenemos en Medellín, la alcaldía es la dueña de una especie de multinacional criolla que le vende servicios públicos y energía eléctrica. Le vende energía eléctrica a Panamá, a Ecuador y le brinda servicios públicos a unos 90 municipios en Colombia. Entonces, la ciudad tiene una capacidad de inversión social realmente notoria.Y entonces la ciudad empezó a hacer eventos académicos para mostrar. Por ejemplo, Bogotá, que es la capital de Colombia, tiene 8,000,000 de habitantes. No ha podido construir un metro. Chris: Wow.Carlos: Y el metro de Medellín está cumpliendo 30 años. Lo que quería señalar es que se desarrolló una forma de turismo muy curiosa. Y es que aquí vienen extranjeros a visitar barrios populares, a meterse en [00:13:00] Moravia o en lo que aquí llamamos Comuna 13, en un hecho muy curioso por lo menos porque pues ir a un barrio popular donde, donde no hay servicios cómodos, donde no hay locaciones, donde pues, a ver como el espectáculo popular. No sé, es una cosa muy, muy curiosa y es increíblemente desbordado.Es decir, hay lugares donde no cabe la gente físicamente y siguen yendo, o sea allá, son, todo eso es incómodo. Pero la gente sigue yendo, no se como a que, pero siguen llegando. Sofia: Es una pregunta que nos hacemos constantemente, pues, de hecho, varios amigos siempre me dicen como, es que, a qué vienen? A qué vienen aquí?Pues no entendemos a qué vienen, tal vez porque uno tiene naturalizado. No sé, pues todo lo que pasa aquí, pero uno sigue sin entender, Carlos: Pero, diría, el turismo está asociado como a los centros de negocios, a los centros [00:14:00] históricos, a los centros culturales, pero que los barrios populares se volviesen un objetivo turístico.Entonces, al principio, un turismo como institucional y académico. Aquí se hicieron eventos donde llegaron 2 mil estudiantes, de universidades de todo Colombia, de Ecuador, y de países vecinos, a ver lo que estaba pasando en Medellín. Pero de ese turismo muy institucional, académico de centros de estudio, de aulas, se transfirió, a un deseo de conocer los barrios populares y entonces el turista, el otro turista, perdóneme que hable así de, el que viene un poquitico maliciosamente a buscar como huellas del narcotráfico, o consumo, o redes de prostitución, se pega ahí y hay en estos momentos una acción entre Manila como sitio receptor de turismo y [00:15:00] Comuna 13, como sitio. Como Manila se controla, en ese acuerdo, en ese pacto entre empresarios del turismo y presidencia local, se hace unos pactos de control. Entonces el turista ya no trae las niñas al barrio Manila, sino que van a buscarlos en la Comuna 13. O sea, pero sigue siendo el barrio popular un centro de atracción de turismo inusitado de unas escalas tremendas y hay una avidez, nos hago mucho realmente de qué pues realmente pero, pero está mezclado el turismo tradicional, el turismo popular y el turismo como académico si pudiéramos decir se entremezclan. Están ahí todos mezclados. Desbordando, desbordando la ciudad, encareciendo mucho. Se siente verdaderamente. Sofia: Es que en este momento, Medellín es la ciudad más costosa de Colombia. O sea, por encima de Bogotá.Chris: [00:16:00] Mm.Sofia: Que eso nunca había pasado. Siempre, pues, para alguien de Medellín ir a Bogotá era más costoso. Carlos: No, y un empleo, por ejemplo, mira, yo tuve el mismo cargo, se puede decir el mismo cargo, en Medellín y en Bogotá. Y por el solo hecho de estar en Bogotá, la asignación salarial, es más del doble. Entonces, Bogotá pues es la capital, eso mismo ha de pasar en todos los países del mundo. Pero yo mencioné que es una ciudad estrecha, tiene mucha posibilidad de crecimiento y de oferta habitacional. Al llegar este turismo, prácticamente copó todo el interés de los empresarios y ya, construir viviendas económicas aquí no le interesa nadie.Chris: Y pues me gustaría llegar profundizando esa última noción o esta consecuencia del turismo, de la despojo, perdón en la ciudad, pero primero, me gustaría abrir un [00:17:00] poco de esos temas de la imagen de Medellín que quizás se da a los turistas extranjeros, como mencionaste Sofia, como mencionaste Carlos, de la prostitución y también el narcotráfico, una nota de la investigación que hice dice que recientemente el alcalde Guitierrez anunció que el ciere de 150 propiedades que en su mayoría están vinculados a la plataforma que habrían sido utilizadas para fines de turismo sexual y explotación de niños, niñas y adolescentes en la capital antioqueña. Ahora, en primer lugar, tiene a recapitular los imaginarios coloniales de violación o coerción. En segundo lugar, puede implicar a menores de edad. En tercer lugar, los servicios que prestan a las trabajadores sexuales en un lugar determinado pueden ocultar fácilmente la presencia de crimen [00:18:00] organizado, Dadas las complejidades y contradicciones presentes en el tema de turismo sexual, en un campo de trabajo en el que muchos están tratando de superar prejuicios y criminalizacion. ¿Cómo ven ustedes dos estos temas en en este momento? Sofia: Pues a ver, lo primero que yo quisiera decir es que las redes de prostitución pues, o de trabajo sexual o de trata, pues, como de personas no iniciaron por la movida turística. O sea, esta ciudad siempre ha sido un lugar donde el trabajo sexual ha sido, como uno de los rubros de la economía, incluso, pues, en la época del narcotráfico. O sea, siempre ha sido así. Pues, como que las paisas tienen fama de ser mujeres bonitas. De bueno, tanto dinero que se ha movido en esta ciudad también, digamos que viene amarrado, pues como con ese tipo de actividades. [00:19:00] Entonces simplemente yo creo que el boom del turismo simplemente encuentra una estructura vieja que está que funciona muy bien. Es una estructura que ya existía. Lo mismo pues que lo de las drogas. O sea, lo que pasa es que aquí las drogas, tal vez en los 90s, no se consumían tanto en la misma ciudad, porque todas se exportaban, pero la estructura está y pues simplemente el turismo se pega de esa estructura. Entonces, aquí la gente, pues es como también muy moralista y a todo el mundo le parece horrible que un gringo ande con una muchachita, pero esa muchachita ha andado con los mismos países de aquí toda la vida. Que les parece terrible, es que está sucediendo en los barrios tradicionalmente ricos de la ciudad. Y eso es lo que les molesta, porque prostitución, pues nosotros, que siempre hemos vive en el centro, siempre ha estado, siempre ha existido y esa dinámica no es nueva. Entonces, digamos que me parece que el paisa bueno, todo lo que hemos dicho, lindo del [00:20:00] paísa, pero también es muy moralista y se escandaliza, pues solamente cuando están al lado de su casa. Carlos: Claro, pero además de que eran estructuras de negocios ilícitos asociados entre sí, es decir, narcotráfico y todas estas otras patologías sociales. A ello, el turismo, lo que hizo fue darle una manifestación inmobiliaria porque antes, claro, pero en los barrios ricos no. Sofia: O muy, o muy puntualmente, pues, o muy, muy escondido.Carlos: Muy escondido, cierto?Pero, pero como se vio una fuente de negocio, como yo puedo arrendar y obtener, como dijiste, 2 mil doscientos dólares en arrendamientos, pues la visión de negocio y mercantilistas del paisa que la tiene por naturaleza, se embarca y entonces se asoció la droga y estos negocios, estas patologías sociales ilícitas a una versión [00:21:00] inmobiliaria.Y ahí sí, la versión inmobiliaria tiene efectos en la economía de los arrendamientos, en la economía de varios de prestigio. Y entonces ya eso se vuelveSofia: Molesto. Carlos: Una problemática de otra índole. Sofia: Molesto y visible. Pero lo que yo quiero anotar es, por ejemplo, en la época los 90, en El Poblado, había fincas gigantes donde eran, pues como burdeles y pues los narcotraficantes iban allá y se encerraban, pero como estaba encerradito todo el mundo sabía que allí sucedían ese tipo de cosas. Llegaban, veían a las chicas llegar, o sea, como toda la dinámica, pero como sucedía ahí puntualmente. Pues, cierto, como en la época, no pasaba nada. Carlos: En esa época, los narcos trajeron a todos los artistas importantes, de habla hispana. Todos los artistas, no quiero decir ningún nombre, algunos ya están difuntos, pero los artistas más importantes estuvieron haciendo shows en esas casas campestres donde [00:22:00] obviamente en el entretenimiento del narco, pues están desafortunadamente, las niñas bonitas paisas que Sofia: Pero entonces, claro, esto era como puntualmente y era como una actividad que hacían los narcos, ya cuando sucede esto, pues es que ya es en tu mismo edificio, en el barrio que has habitado toda la vida.Y entonces ahí, si se vuelve como muy abierto, como muy escandaloso, pues para esta sociedad que es como tan moralista. Yo, por ejemplo, no creo que eso sea una patología social. O sea, yo creo que pues finalmente, así como hay hombres que entregan su cuerpo y se vuelven sicarios y pueden sufrir, pues su cuerpo está expuesto a que les pase cosas horribles.Pues hay mujeres que también encuentran en su cuerpo, pues una manera de sobrevivir y creo que, finalmente es una expresión como de la desigualdad, cierto?, y de la oportunidad. O sea, hay muchas mujeres y yo las conozco que que estudiaron una [00:23:00] carrera, o sea que no es que tengan tampoco necesidades, pues como vitales y deciden elegir ese camino porque es muy rentable, cierto?Y esta es una ciudad que lo permite. Entonces, por ejemplo, no, no lo veo desde ese punto de vista tan moralista. Lo que sí es cierto es que precisamente por esa moral, como tan católica que tenemos todavía en esta ciudad, no hay mecanismo de control porque el único mecanismo de control es, decir que está mal, criminalizarlo y no se pasa de ahí, y no creo que pronto vayamos a pasar de ahí. Entonces, pues yo no veo, que eso, primero ni vaya a seguir sucediendo, creo que va a seguir sucediendo. Ni tampoco veo que haya como una actitud desde la institucionalidad más inteligente.Carlos: Sí, las medidas del alcalde son más, más que todo anuncios para calmar el alboroto de la élite.Sofia: Es que eso no tiene efecto. Carlos: No tiene efecto de nada. Chris: Gracias. Gracias, Sofía [00:24:00] y Carlos por sacar esas contradicciones que están ahí dentro de las dinámicas en Medellín. Pues más allá del turismo sexual y a veces junto con ello, es el turismo de drogas o narcos. Y un artículo de mi investigación dice que. Un comerciante en Medellin cuenta que algunos habitantes de La Comuna la promocionan como la "cuna" de Escobar para atraer más clientes.Es más rentable, dice. Aquí compran camisetas de él, eh, ave María, todo lo alusivo a Pablo se vende mucho, dice el hombre que por seguridad, pide no ser citado. Y es que, pese a que la zona luce pacificada por el turismo, el control sigue en manos de los combos. El comerciante afirma que ahí operan bandas pequeñas [00:25:00] como Los del Uno, Los de Dos, Los Pirusos y Los Negros.Ellos cobran cuota por negocio chuzo al aire libre y hasta parqueadero. Aquí no se abre un local sin su permiso. Y también pasa con los cuentos Airbnb que están empezando a abrir.Ahora, una colega investigadora que trabaja junto a activistas en Colombia, me dijo hace un año aproximadamente que los carteles de narcotráfico en Medellin habían comenzado a utilizar Airbnb como una forma de lavar dinero.Seguramente esto ha sido así desde hace mucho tiempo en el sector de inmobiliario normal, pero este simbolizaría una conexión directa, entre el crimen organizado, el turismo y la crisis de la vivienda. Entonces, ¿Qué piensan ustedes sobre la posibilidad de que los narcos, ya sea en [00:26:00] Medellin o la Ciudad de México, sean en secreto propietarios de Airbnb?Sofia: Pues, bueno, frente a la primera pregunta o parte de la pregunta de lo de Pablo Escobar, pues es innegable, pues, que es una figura demasiado importante y no solamente, pues, como figura particular él, sino porque es un estereotipo de lo que somos. Yo no diría que los colombianos, pero no me siento pues como para hablar por todo el territorio nacional, pero si es un estereotipo de lo que es un paisa. Y por eso, pues muchas personas dirán horrible, no me quiero identificar con esta persona, pero así lo digan, pues tenemos mucho de él, pues así como él tiene mucho de nosotros, pues es que tenemos una cultura que es compartida. Y finalmente, pues uno tiene tíos, amigos, pues que parece que tienen algunas, características de Pablo Escobar. Es un es un personaje pues que es muy cercano, para [00:27:00] nosotros. Y así la ciudad intente, digamos, desde la élite, desde lo institucional, rechazarlo, es algo que es imposible, es imposible pues como negarlo. Carlos: Sí, por ejemplo, en Comuna 13, parte del show o del evento turístico, es hacer muchas alusiones a la figura de Pablo Escobar. Entonces, está el tipo que tiene una fisionomía igualitica, como si fuera un actor, un doble y una serie de eventos cuando Escobar no tiene nada que ver ni con la violencia urbana que tuvo Comuna 13, pero es una forma en que la mentaría popular ve que explotar la figura de Escobar, pues es muy rentable para cierto turismo extranjero que todavía quiere circular versiones, relatos, que ya son [00:28:00] completamente míticos o legendarios porque son totalmente inventos, para traer clientes.Sofia: Sí, y y además, uno se pone a pensar porque es que mucha gente se ofende. Osea, incluso pues me ha tocado presenciar momentos en que alguien se ofende porque un turista o un extranjero dice como "uy, yo vine porque es la ciudad de Pablo Escobar y me emociona y quiero una camiseta," cierto? Pero es como, no sé si uno va y visita la ciudad de Al Capone. Pues es como lo mismo, simplemente es como un mito. Es una figura, cierto? Pues los criminales también han sido igual de atractivos que los personajes que son buenos, incluso, pues yo creería que los personajes malvados son los que son más atractivos. Entonces, claro, aquí hay mucha, mucho resentimiento pues ante esa figura, pues porque todavía hay familiares de las víctimas, o sea, es una historia demasiado reciente, pero para el extranjero es simplemente una historia más, una historia de lo que ven en las películas. Y yo siento que muchas [00:29:00] personas que se, que se ven atraídas como por esa figura tienen como una noción del asunto muy infantil.Pues creen que realmente es un personaje de una película, cierto? No entienden que realmente pues que esta ciudad explotó en bombas. No lo conciben y pues yo que no estoy tan adulta a mí me tocó. O sea, es una cosa que es demasiado reciente y todavía esta sociedad está muy traumatizada por eso.Entonces, por eso es que hay tanto recelo, pero al mismo tiempo, es una oportunidad de negocio porque vende demasiado. Carlos: Mira, nosotros vivimos aquí, pues en el centro de la ciudad y mi señora y yo, estaban ellos muy chiquitos. En la noche, contábamos las bombas, una, dos, siete, ocho, porque yo no sé si conoces la canción de La Noche De Chicago... de Mirta Castellanos.Bueno, una canción que narra el enfrentamiento [00:30:00] de los gángsters en Estados Unidos contra la policía. Eso fue una masacre tremenda entre ambos bandos. Aquí vivimos eso, pero no era con ametralladoras, era con bombas. Pues, es decir, este tipo voló un edificio en Bogotá, el edificio del DAS.Voló un avión de pasaderos civiles en el aire, o sea, un un personaje real. Y eso suena como fantástico, que eso no es realidad, pero eso es realidad. Esta ciudad estuvo marcada por escombros de todas esas detonaciones, además de que las masacres juveniles solo para crear caos. Pues estar un grupo de muchachos departiendo en en una discoteca y llegar grupos de sicarios solo por el solo hecho de que al otro día en las noticias, haya pavor en toda la ciudadanía porque se pensaba ganar esa guerra de esa manera. Sofia: Terrorismo pues, [00:31:00] entonces, como cerrando un poco, pues para nosotros todavía es una historia dolorosa. Pero si uno también, como se pone en el papel de alguien que está en otro país y tiene otra realidad, pues claro que es una historia supremamente atractiva.Y fuera de eso, puedes ir a la ciudad que fue la ciudad más peligrosa del mundo, pero ya sabes que no te va a pasar nada. Pues, okey, digamos, hay cierta seguridad, porque realmente aquí los turistas están cuidados y no están cuidados por la policía. Están cuidados porque las estructuras criminales, como ya lo dijiste, enlazando con la segunda parte, las estructuras criminales ya dieron la orden que a los turistas no les puede pasar nada porque están vinculados directamente a su negocio. Entonces es por esto que tenemos un gringo, pues que pena decirlo así, pero, así le decimos nosotros, un gringo, en un barrio popular y es más fácil que le pase algo a uno que es de la misma ciudad que a ellos. No les va a pasar nada, por qué? Porque son fuente de dinero y porque si los matan o si les pasa algo malo, van a dejar de venir.Carlos: El negocio [00:32:00] se daña. Sofia: Exactamente, es como, no sé si sabes pues, pero aquí a la, a los expendios de droga se les dice plazas. Y no hay lugar en la ciudad más seguro que una plaza, porque es que en una plaza a ti nadie te va a robar. porque pues está totalmente controlado y no le vas a dañar el negocio a los que tienen el negocio.Entonces, obviamente es muy atractivo y aunque uno podría decir que gente tan boba o lo que sea o no entienden la historia, no están interesados en la historia, pues es que es una historia que realmente es muy atractiva. Pues porque aquí él contó un par de cosas, un par de titulares, pero todo lo que tiene que ver con los narcotraficantes de nuestra región es bastante fantástica.Pues es, y por eso es que le han hecho series a Pablo Escobar, porque es que realmente es un personaje, pues muy interesante, muy interesante y con unas historias, pues que, que son cinematográficas. Entonces, como no se va a sentir el mundo atraído hacia eso. Carlos: El tipo vivió una película en carne propia continua, pues [00:33:00] todo, la cárcel, las escapadas, los negocios que montó, la estrategia de llevar la coca en aviones.Sofia: Y entonces asociado a lo que decías, pues que esta estrategia, pues como inmobiliaria o está de vínculo con los Airbnbs, pues claro a mí no me parece extraño, es que estas estructuras son supremamente inteligentes. Van adelante, claro. Y donde vaya mucho dinero siempre va a estar detrás pues, bueno, ¿Cómo lavamos dinero? Es que nos entra tanto dinero que tenemos que lavarlo. No lo vamos a lavar vendiendo empanadas. Vamos a lavarlo con algo que genere mucho dinero. Entonces, siempre, pues es que aquí han lavado plata con todo lo que uno se imagine y siempre han tenido casas, negocios, las farmacias, por ejemplo. Carlos: Y y Chris, la actividad inmobiliaria. Ya cuando yo estudiaba, obviamente, yo tengo 68 años. O sea hace 35 años que estudiaba la zona de prestigio de El Poblado [00:34:00] era toda de casas campestres a las cuales se ingresaba por rieles, o sea. Sofia: Por un camino de piedra. Carlos: Si, sin una infraestructura urbana. Y en 30 años, el paisaje es lleno de torres, absolutamente lleno de torres, saturado. Lavado, aquí no hay una economía como para que mucha gente pudiente desarrollara no, no. Eso solamente se explica porque, pero era el negocio formal. Sí, y ese "negocio" entre comillas, no, no ocasionaba la molestia como ahora la, la gentrificación, antes , por el contrario, toda la élite valorizó sus fincas para en ella desarrollar torres, se llenaron de dinero, con dinero que era con seguridad absoluta en un porcentaje muy alto finanzas para lavar.Sofia: De negocios ilícitos. Y el crecimiento de esta ciudad y sí, porque es un crecimiento demasiado [00:35:00] rápido. Pues a ti te, te debió haber tocado El Poblado ya totalmente lleno de torres pues. Pero lo que quiero decir es que acá no hay una economía tan grande como para que eso sucediera tan rápido. Entonces, pues es obvio, o sea, ahora nos parece como "uy podrían ser dueños de Airbnb." y yo diría, quién más? Quién más va a ser dueño en esta ciudad de ese negocio? Quiénes son capaces de comprar edificios enteros? O sea, quiénes tienen el dinero para invertir? Carlos: Y para recuperarlo contra rentas cortas, es decir que me parece que es una inversión de mucho riesgo. Porque cualquier evento. Sofia: Pues la misma pandemia. Carlos: Lo lo puede tirar al suelo, cierto? Quién puede arriesgar eso? El narco.Sofia: Es que mira que aquí tradicionalmente en la ciudad, acá les llamamos "panaderías paracas." Pues y son panaderías que venden el peor pan. O sea, nadie compra. Pero funcionan 24 horas. Carlos: Y son super [00:36:00] lujosas, o sea lo que son muy bien establecidas.Sofia: Y son negocios que nunca tienen clientes y venden un pan horrible y nadie les compra, pero siempre están ahí en las mejores esquinas.Carlos: Abiertas todo el tiempo. Sofia: Y además, tienen ligado como que eso lo inauguró Pablo Escobar, pues como un sistema de vigilancia. Entonces, en la época de Pablo escobar, eran los taxistas, cierto? Había como una red de taxis asociados y todavía creo que eso funciona. Pues y quiénes van a esas panaderías? Es decir, o sea, siempre siempre el narcotráfico, claro, tiene que tener negocios legales, pa poder, pues, si pa [00:37:00] poder. Chris: Órale, pues qué fuerte y todo y supongo que debajo de todo, hay como más evidencia más capas de crimen organizado, no solo narcos, pero también el estado. Pienso como en una corporación de nivel mundial que se llama Blackstone, que ya ha pasado en lugares como Barcelona y otros ciudades en donde, [00:38:00] eh, se compran un edificio, se desplazan toda la gente, o sea, todos los residentes adentro y se convierte todo en Airbnb. O sea cada depa es un Airbnb ya, como 30, 50, 100, lo que sea, y se emplean, negocios tras negocios, tras negocios para, por ejemplo, los sistemas de organizar reservaciones, de la limpieza. Pero todos los trabajadores, todos los negocios no son parte de Blackstone. Son como empleado como freelance, no? Entonces ni hay ninguna cara vista en ese dinámica que está sacando, desplazando a la gente de sus edificios.Sofia: No, yo iba a decir que de pronto aquí no, no, no es tan visible aún eso como de comprar edificios ya habitados, pero sí de construirlos. O sea, ya si se están [00:39:00] construyendo muchos edificios totalmente de Airbnb con inversiones extranjeras o locales, porque hay un personaje, pues aquí que que está como abanderado de ese tema y que dice que va, va a llenar todo Airbnb y que le parece bien.Pues yo siento que está empezando a suceder. Está empezando a suceder. Chris: Gracias, Sofía. Y pues, los efectos de turismo [00:40:00] excesivo, el sobreturismo y la gentrificacion en Medellin parece que han llegado muy rápido y fuerte. Sin embargo, los últimos años han surgido cuentas en las redes sociales criticando al turista, al nómada digital o al gringo, por lo que está sucediendo. ¿Es eso lo que ustedes todos también ven allá y están de acuerdo con la evaluación?Sofia: Pues, a ver, resentimiento. Mm, no me parece que sea muy visible. O sea, me parece que hay como mucho escándalo, moralista. Pero pues, a a ver hubo como una pequeña marcha en el alrededor del Parque Lleras en contra pues del Airbnb, en contra de la explotación sexual infantil, pero no es muy masivo. O sea, ahí sí siento que culturalmente somos. O sea, aunque el paísa puede ser muy [00:41:00] beligerante como en sus palabras, como que parece muy bravo y furioso, realmente somos muy sumisos y sumisos ante el Dios Dinero. Entonces, mientras haya negocio, se acepta, se moverá, cierto? Y entonces, este efecto, pues como que de hecho, pues en en otras conversaciones hemos dicho bueno, yo no lo llamaría gentrificación.Pues lo llamaríamos turistificación porque es una cosa que se está generando desde el turismo específicamente porque la gentrificación habla más desde un desplazamiento de un grupo social a otro, pero no necesariamente se refiere al turista. Y claro que hay un efecto porque en este momento hay una burbuja inmobiliaria.Están muy costosos los arriendo en Medellín, el costo de la vida está altísimo. Y eso digamos que aunque se concentra en el sur, en El Poblado y en Laureles, pues en el occidente, eso tiene una onda expansiva, pues que afecta como el resto de la ciudad y realmente los arriendos se han encarecido, digamos de lo más costoso a lo que era pues como más barato. Y si nos afecta a todos, [00:42:00] pero yo no veo a nadie ni organizándose, no? Carlos: Ni siquiera la relación que estableciste en una pregunta anterior con la oferta de vivienda. Porque, digamos una cosa es que algunos edificios obsoletos o que se desarrollen nuevos edificaciones para atender turistas, pero supuestamente la oferta de vivienda tradicional de la ciudad debería continuar, pero no ha sido así.O sea, la situación se ha agravado porque ya te mencioné. Esta es una ciudad muy estrecha y es una ciudad que no tiene suelo de expansión. No tiene para dónde crecer. Entonces, cuando este tema llega al tema inmobiliario, uno pensaba que iba a haber una reacción, no necesariamente resentimiento, sino una reacción social. Sofia: Por lo menos de exigencia pues ante las autoridades, pues, que tomen conciencia en el asunto. Carlos: O institucionales, o de los gremios, pero no. Porque finalmente hay [00:43:00] negocio y el negocio opaca todo en la cultura y en la mentalidad nuestra. Yo creo que, que todavía una respuesta ante la crisis, yo creo que la crisis va a seguir acentuándose. Va a seguir manifestandose y acentuándose, y que una reacción o una respuesta empresarial, institucional. Sofia: O ciudadana... Carlos: Exactamente, todavía no, se ve muy clara.Sofia: Sí, porque si uno, si puede decir bueno, "hay gente que no le gustan los turistas," pero no es una cosa generalizada, porque de nuevo, si hay como un espíritu como hospitalario o si el turista te trata bien a ti, porque lo vas a tratar mal. O sea, yo no he visto, pues, que en un negocio alguien vaya a tratar mal a un turista que no le quiera vender. No, eso no sucede. Pues, entonces no creo que esté sucediendo algo así. Pues, creo que, la situación, digamos, económica y social, estaba muy densa, pues está como muy [00:44:00] fuerte aquí en la ciudad y la gente simplemente está intentando sobrevivir.Carlos: Y digamos, el malestar que se presentó en Manila y sus alrededores es porque ciertos eventos de drogadiccion y prostitución era muy visibles. Cuando se logra el pacto de ocultar, pues todos tranquilos, porque la gente aquí es muy mojigata. Esto es una una sociedad simplemente conservadora, "católica" entre comillas y con que la cosa no se vea, pues está bien. Sofia: Yo también quería anotar que, que claro que han habido como unas pequeñas manifestaciones en El Poblado, cierto?, de residentes que se han visto afectados. Pero eso no tiene eco en toda la ciudad porque es que eso finalmente gente rica que está molesta porque ya no puede vivir en el arrendamiento, en el barrio que vivió toda la vida, sino que le toca desplazarse a otro menos cómodo.Pero no es como que se vayan a quedar sin posibilidad de vivir en la ciudad, por ejemplo. Me parece que no es como algo tan crítico. Y eso no va a tener eco en la [00:45:00] ciudad porque un montón de niños ricos se quedaron sin poder pagar su apartamento, pues, o el apartamento que quieren o en el barrio que quieren.Simplemente claro está desplazando un poco, entonces hay nuevas zonas. Eso si se llama gentrificación, estos barrios más tradicionales, más populares están siendo ocupados por estas personas de clase alta de nuestra ciudad que han sido desplazadas por la gente de clase alta del mundo, cierto?Y entonces esta gente que habitaba en esos barrios tradicionales, pues le toca coger para la ladera, cierto? Para los barrios populares. Y bueno, y digamos que esa es la incomodidad. Pero yo no siento que sea algo generalizado.O sin mucha fuerza, o por lo menos no con una llamada clara a la [00:46:00] acción. Chris: Vale, vale, pues muchas gracias, Sofía, Carlos. Entonces, si no hay tanta resistencia en las calles, me gustaría preguntarles de las acciones del gobierno de Medellin. Entonces, en mi investigación para el episodio, yo leí algunos artículos que ofrecen los siguientes datos:Ahora, "Medellin tiene un déficit de más de 50,000 viviendas según Viva, según la empresa de vivienda de la gobernación de Antioquia."Ahora, "Juan Camilo Vargas, director de Asohost, el [00:47:00] gremio de esta actividad en Colombia dice que el 40% de sus operaciones se concentra en Medellín y que el negocio no es ilegal. Entonces un alcalde no puede pasar por encima de una norma nacional."Ahora "Y aunque no ha tomado medidas concretas, el alcalde Gutiérrez también ha enviado señales de posibles restricciones para el negocio de los hospedajes cortos. En la ciudad más de 1700 lugares operan sin licencia según el sistema de información turística."Y finalmente "No vamos a acabar con las plataformas, pero si habrá regulaciones, dijo el mandatorio ante el consejo el 4 de marzo." Dice "No puede ser que en tres años hayan aumentado tanto los arriendos [00:48:00] o que la vida de nuestras familias se vuelve imposible por las rentas cortas."Entonces, pues el gobierno local habla de adoptar una postura dura contra el tráfico sexual relacionado con el turismo y la crisis de vivienda. Y dadas las fallas en Barcelona para enfrentar las consecuencias del turismo, incluso después de que su alcalde fue elegido por hacer exactamente eso, ¿Qué esperanza cree que existe a nivel gubernamental en Medellin? Sofia: No, claro esto una, pues, qué pena decirlo. Pero Chris, es que nosotros tenemos un alcalde que se cree Batman. Pues que anda en un helicóptero diciendo que va a perseguir el mismo a los ladrones, pero es toda una fachada y digamos que nuestra sociedad compra eso. Pero pues se cerraron tres apartamentos, tres edificios, o sea, se cerraron unos cuantos negocios.Eso sale en la primera plana. [00:49:00] Pero pues yo, yo tengo gente cercana que ha invertido en Airbnb. Y no han tenido ningún problema. No les han hecho ningún requerimiento. Nunca les han visitado la policía. Claro, creo que depende mucho como del administrador de la propiedad, no admitir lo que se supone que en la plataforma no está admitido, cierto? Que tengamos esta persona cercana que que está, pues como inversionista de un Airbnb, si dice nosotros no admitimos nada de eso. Y las veces que hemos tenido intentos de que alguien entre a alguien, se llama la policía, y claramente de una se expulsa a la persona. Bueno, digamos que si hay un procedimiento, pero ni siquiera a esa persona, la policía se lo va a llevar.O sea, a mí me ocurrió una cosa una vez, y es que yo estaba en una portería de una unidad en El Poblado y entró un extranjero con dos niños pequeños, con dos niños de 10 años. Y yo pensé que eran [00:50:00] sus hijos, pues como yo pensé que eran sus sus hijos adoptivos pues, pues, como que, bueno, simplemente yo vi a entrar un un hombre con dos niños, pero sí me llamó la atención como estaban vestidos los niños.Y le pregunté el portero, como esos son los, pues como que estaba confundida si me llamó la atención en la manera en que estaban vestidos. Y el portero me dijo no es que estos gringos vienen a hacer eso en ese apartamento y yo, pero ¿Por qué no estamos llamando a la policía? Y él me decía "es que los tienen que coger con las manos en la masa."O sea, no hay, un procedimiento tampoco para hacerle frente a esto. Y es una cosa que muchas veces sucede, pero no hay herramientas institucionales para que deje de suceder porque finalmente ellos están protegidos porque están en el interior de un apartamento, porque el dueño del apartamento está de acuerdo. Bueno, digamos que es toda una cadena. Entonces realmente es difícil del desuno de vista legal. lo que creo es que nuestro alcalde y muchos otros que hemos tenido son maravillosos haciendo anuncios, [00:51:00] cierto? Siendo portadas de periódico. Carlos: Aunque, aunque hay anuncios en el aeropuerto ahí, pues tú te bajas de un vuelo internacional y en el pasillo vas a encontrar... Sofia: Si, que que no, que no se admite esto, pero igual siempre vas a poder acceder a ello.O sea claro, y son muy buenos haciendo anuncios, así como han hecho anuncios de muchas cosas. Pues como se va a acabar la criminalidad, o sea, van a pasar muchas cosas, pero en el cotidiano, pues uno ve que eso no es cierto. O sea, uno se va para el Lleras y uno sigue viendo pues, toda la dinámica cierto?. Qué era muy escandaloso, Chris, y que creo que ya dejó de pasar, que es que uno se iba para el para el Lleras. Pues que no sé si estás ubicado en El Poblado, como en el mejor dicho, es como el centro del turismo, en el barrio de El Poblado, y uno veía niñas indígenas que bailaban por monedas, cierto?. Y era como, ya ni siquiera era [00:52:00] necesariamente, es que ellas fueran prostitutas, sino no que estaban, digamos, haciendo algo que la gente consideraba muy indigno y que eran niñas y que eran indígenas. Al lado de todas las, cierto? Trabajadores sexuales que se estaban, digamos, ofreciendo sus servicios. Y eso fue lo que más, alarmó a la gente, como, porque tenemos estas niñas indígenas, y entonces, bueno, la actitud fue, se van de aquí, ya no pueden estar, le quitamos las niñas a los papás. Bueno, un montón de acciones que uno sabe desde adentro que no van a tener absolutamente ningún efecto y que es posible que esas niñas la vayan a pasar todavía peor de lo que ya la pasan, cierto?, bueno, como que yo la verdad no creo que vayan a cerrar Airbnb. No creo que vayan a prohibir el Airbnb en Medellín. Carlos: Pues yo veo muchas construcciones para adelante. Y tengo compañeros o amigos ex alumnos arquitectos que dicen que los negocios que les están entrando es diseñar y construir [00:53:00] Airbnb.Sofia: Si. Y fuera de eso, pues, porque es que esos anuncios son muy fáciles de decir. Pues incluso yo he visto que en otras ciudades han empezado a regular. Que hay zonas de la ciudad que no se admiten los Airbnbs o que, digamos tienen un tiempo, mínimo, o sea que son 30 días mínimo, entonces son estancias cortas, pero de un mínimo, o sea, no es, voy a pasar el fin de semana en Medellín y me voy a des cualquiera, sino vengo a trabajar. Pero eso ni siquiera ha sucedido.O sea, no hay una mínima regulación, entonces, pareciera de pronto, si se leen los titulares pareciera pero hasta ahora no ha pasado nada concreto. Carlos: Y hay muchos enterramientos, por ejemplo, de que el presidente local, fue financiado por todo este sector inmobiliario y pongámosle raya, relacionado con el turismo. Entonces él, él no tiene capacidad moral de controlarlos. Chris: Pues justo me encontré una cita del arquitecto Joseph Bohigas, [00:54:00] y el dice que "en la segunda ciudad de Colombia, aún hay tiempo para evitar las imágenes que se repiten hoy en Barcelona," que "Medellín no puede morir de éxito." Carlos: Pues él nos lanzó esa frase porque acordáte que te mencioné que hubo un turismo académico muy fuerte y una, pues pretendía cierta hermandad entre Medellín y Barcelona. Pues eso no tiene nada de hermanos, pero la academia va para todo. Entonces, toda esta oleada de arquitectos y urbanistas de Barcelona estuvieron aquí, asesorando a las alcaldías, a los gobernadores durante unos 10 años seguidos. Todos los arquitectos importantes de Barcelona tuvieron aquí y el vino. Y él nos dijo esa frase por ahí en el 2007. Estaba en alcaldía terminando Fajardo cuando el dijo ojo que una ciudad puede morir del éxito. Entonces desarrolle la idea y [00:55:00] más o menos decía pues la gentrificación, el encarecimiento, la turistificacion fueron cosas que no, que él anunció.Claro, esta es una ciudad sin mar. La gente viene a montañas y la vegetación. Tú sales de Medellín a dos horas y estás como en una selva. No es una selva, es un bosque tropical tremendo, muy atractivo. Yo creo que ese es un atractivo que la ciudad también ayuda a traer mucha gente, es decir, Santa Fe, Antioquia, Guatape, Jardín, son municipios relativamente cercanos, muy, muy atractivos para el que viene realmente a descansar, cierto? Entonces yo creo que esto podría ser una oportunidad. Esta situación de gentrificación, turistificación, encarecimiento, actividad inmobiliaria, que de, que está abandonando la vivienda, digamos para el, para el residente. Podría ser la oportunidad para que ese morir del éxito pudiera ser confrontado [00:56:00] mediante políticas.A eso requiere mucho liderazgo de la alcaldía, mucho. Actualmente yo no veo la alcaldía con comprensión estratégica de lo que puede estar pasando y de cómo esto pueda grabarse mucho. Sofia: Sí, sí, gracias, Carlos. Para terminar nuestra conversación, me gustaría preguntarte Sofía sobre el proyecto que nos pusimos en contacto. El Proyecto NN, me encantaría que pudieras explicarnos qué es el Proyecto NN y qué hacen ustedes ahí en Medellin? El Proyecto NN es una corporación sin ánimo de lucro, pues que está interesada por apoyar procesos como de organizaciones culturales o sociales, digamos en zonas periférica de la ciudad, aunque también hemos trabajado o nos interesa mucho también la parte, digamos pedagógica o la parte de [00:57:00] formación en temas relacionados con patrimonio, con urbanismo, cierto? Como con, cultura en general. Sofia: Somos varios arquitectos que hacemos parte, pues de la organización y todos somos profesores universitarios. Entonces, bueno, tenemos como ese interés por la pedagogía y digamos que ese cruce de la pedagogía y la dignidad espacial, y el interés por los espacios de encuentro, digamos comunitarios, pues nos ha llevado apoyar estos procesos, a encontrar mecanismos o idear proyectos para dignificar esos espacios donde la gente se encuentra, donde la gente se encuentra generalmente a compartir, pero también a aprender y a buscar como salidas para gestionar la propia vida, cierto?, digamos, para superar esa desigualdad que muchas veces también tiene que ver con la desigualdad en la oferta de oportunidades, precisamente, incluso desde la, desde la educación. Y pues, porque, aunque supuestamente en Colombia, la educación es un derecho, pues realmente no se [00:58:00] cumple cierto?. Y vinculado un poquito como a esta idea de la vivienda, pues también se supone que en Colombia, la vivienda digna es un derecho, y eso es algo que vemos que no se cumple.Y, pues, ahorita mencionábamos un poquito como la conformación de la ciudad, y podemos decir que, pues esos lugares en donde la vivienda digna no se cumple, pues se da sobre todo en las laderas, cierto? En la parte alta de la montaña. Y es allí donde estamos trabajando, donde vemos precisamente que hay un tipo de urbanización, pues como muy precaria, donde los servicios básicos no están cubiertos y donde un espacio comunitario, pues cubre realmente muchas de las necesidades de las personas, cierto?Incluso, pues , como espacio de socialización, cierto? Como espacio de encontrar pares, cierto? Para enfrentar, pues, esa situación. Entonces, bueno, eso es lo que hacemos desde el Proyecto NN y bueno, y digamos que intentamos [00:59:00] reflexionar teóricamente, pues, este asunto del derecho de la ciudad y el derecho de la vivienda, pero también estamos intentando, pues, como adelantar proyectos que tengan que ver transversalmente con este asunto. Ahora en compañía de Carlos, pues que Carlos ahorita les, te contará un poco. Pero Carlos, pues es un experto en mejoramiento integral de barrios, bueno, en todas estas intervenciones que se puedan hacer en estos, en estos lugares de la ciudad, estamos, liderando un proceso de formación, pero también un proceso constructivo, si puedes llamarse así, de prevención de riesgos y desastres.Pues, porque en estos barrios el derecho a la ciudad es eso cierto? Esta gente bueno, viven unas condiciones precarias, pero además, están arriesgando sus vidas, cierto?, porque, no tienen las condiciones urbanas, pues, para que su vivienda sea una vivienda segura.Y entonces estamos encontrando y a [01:00:00] mecanismos, pues, para transmitir algunos conocimientos técnicos y pues, para mejorar esas condiciones de vida. Entonces, digamos que, pues para nosotros el derecho a la ciudad tiene que ver también con esto, cierto? De, bueno, el estado no lo puede resolver. Pero entonces, como comunitariamente encontramos alternativas para mejorar estas condiciones. Carlos: Yo agregaría que para mí, por lo menos en la experiencia profesional que he tenido, literalmente el derecho de la ciudad es derecho a la vivienda. Yo no concibo ni siquiera la ciudad sin oferta de vivienda, sin vivienda. La ciudad es un lugar para vivir fundamentalmente y dentro de estas estrategias de gestionar la vivienda.Pues, pues, vos, sabes, Chris que Colombia y Medellín es una ciudad muy, muy determinada por por el desplazamiento desde las regiones. Es una ciudad que recibe población migrante expulsada por fenómenos [01:01:00] violentos, por buscar oportunidades, por la misma atractividad de la ciudad, porque es una ciudad que se mueve, que mueve la economía.Entonces, precisamente el sector inmobiliario, digamos entretenido con Airbnb, la alcaldía que no sabe para donde mirar y la gente llegando desde las regiones expulsada de muchas formas, se ubica en unas laderas muy, muy inhóspitas, de muy difícil adiestramiento, de muy difícil urbanización. Entonces vemos que allí, desde la formación, desde la capacitación, desde la pedagogía, de, pero siempre llevando a la práctica con la red de monitoreo de puntos críticos en un barrio, con la identificación del que es un punto crítico, con los factores de riesgo del barrio. Estamos tejiendo con ellos y el lugar de reunión, la sede de Somos Por [01:02:00] Naturaleza y el Proyecto NN, ahí nos encontramos construyendo con la gente conocimiento, oportunidades, posibilidades. En eso estamos. Chris: Orale, pues suena un proyecto increíble, necesario y muy hermoso. Entonces, gracias a ustedes dos y también en el nombre de nuestros oyentes, me gustaría agradecerles a ambos por estar dispuestos a hablar conmigo sobre estos temas hoy. Igual fue muy revelador para mí y espero que poco a poco se sigan construyendo la derecha a la ciudad, a la vivienda, y la solidaridad, con la gente ahí en Medellin. Entonces, ¿Cómo podrían nuestros oyentes seguir a sus trabajos, compañeros? Sofia: Ah, bueno, nos pueden seguir en en Instagram, @ProyectoNN. Ahí intentamos compartir, pues, como parte del proceso de los proyectos [01:03:00] que que tenemos en curso y bueno, próximamente también vamos a actualizar la página www.proyectonn.com Y bueno, por ahí pueden ver como, como las cosas que estamos haciendo y adelantando. Y pues también, muchas gracias a ti por la invitación.Siempre son temas muy bacanos como de conversar, reflexionar, chévere.Carlos: Así que a la gente de Oaxaca y a usted Chris que se interesaron en estas conversaciones, pues muchas gracias.Chris: Gracias, Sofía. Gracias Carlos. Bonito día.English TranscriptionChris: [00:00:00] Welcome Sofia, welcome Carlos to the podcast The End of Tourism. Thank you very much for being with me today to talk about this very complex topic. I would like to ask you where you are today and what the world looks like for each of you there.Sofia: Well, we are here in the city of Medellin. We are together in my house, Carlos is my father, and well, we decided to get together to have a more fluid conversation, from here, from my house in the center of the city, which is a very particular center. Well, Medellin is a mountainous city that is in the Andes. It is a valley. And let's say that the center of the city has, well, very different dynamics to many centers of other cities.Carlos: It is a very narrow city [00:01:00] and on the eastern and western sides there are a couple of mountains full of neighborhoods. Right here, through the window, you can see all the urbanized mountains and in the center is, let's say, the metropolis, what we could call a more traditional city, while up there are neighborhoods or popular communes. Nowadays, they are very popular for certain types of tourism.And where are you?Chris: Well, I was in Oaxaca, the capital of Oaxaca, Mexico, also in a valley that is a bit larger geographically than Medellín. I know Medellín because I was there as a tourist maybe 15 years ago. And so, starting all the [00:02:00] research for this episode, I found how many... So I would like to read some quotes from those articles for the listeners who may not know Medellín, don't know what's going on there, according to the mass media.So, first up is Nomad List. "Nomad List is a platform that publishes its ranking of the most popular destinations for working remotely. It placed Medellin in second place last year out of 157 cities in Latin America."The next one says that"In the Manila neighborhood of Medellin, there are short-term rentals whose owners earn more than five million Colombian pesos per month or about $1,000 US."The next one said that"Although it was not carried out [00:03:00] , the local president said at the time 'that he would ban short-term rentals in the city as a measure to prevent child sexual abuse and exploitation. In that search to find a solution to this scourge, Guitierrez, the local president, met with representatives of the Airbnb platform to reach an agreement.Since then, the parties have worked together in agreement to avoid extreme measures, but to establish actions that allow preventing this crime in the city."Continuing, "Meanwhile, the number of apartments listed on Airbnb, the popular vacation rental company, rose from 8,000 in October 2022 to 14,000 at [00:04:00] the end of 2023, according to data collected by AirDNA."And finally, "recent data says that Medellín receives 1.7 million foreign visitors to a city of 2.5 million inhabitants."So, I'd like to start by asking you two about gentrification in Medellin. I found another article on the subject. And maybe if you show it, it exposes a little bit of what's going on there and says that"Wilson and Felipe, both of whom withheld their real names, each own a café-bar in Manila in El Poblado, one of the most touristic areas with the greatest economic activity. The two neighbors are among the few left on their [00:05:00] block, because practically all the houses in the area have been transformed into restaurants, small hotels and hostels, Spanish schools, or short-term rentals through apps like Airbnb, which are taken over by foreigners and are partly the cause of the high cost of housing for traditional residents. Between 2022 and 2023, rents grew between 50 and 100%.This neighborhood has changed a lot, says Wilson. It was a family-oriented neighborhood, and you see, it became a land of drug addicts and drug dealers who provide home delivery. All this 'gentrification', as they say, is due to foreign investors and everything became more expensive. Carlos, you have worked for state-owned companies in Medellín and Bogotá, the Urban Development Company. And [00:06:00] Sofia, you have worked on the NN Project there in Medellín. So perhaps you could give us an idea of what has happened in Medellín in recent years and decades in terms of gentrification and what role tourism and tourists have to play in it.Carlos: Well, I perceive this situation as extremely new and recent.It is worth saying that Medellin in the 90s was a city where nobody came. That is to say, the situation of urban violence. All this crisis that drug trafficking unleashed in the city had us marginalized from the rest of the world. It was a rather unattractive city due to its violence and relatively paralyzed investments. [00:07:00] Sofia: It was the most violent city in the world.Carlos: YesSofia: At some pointCarlos: And it required a strategy of attention between the presidency of the republic and the local mayor's office, which you in Mexico call "local presidency" to find alternatives for the future. They were called the seminars of many conversations.So, the first thing I want to show is that it is a very new and recent fact. For us, to see a foreigner, it was a footballer who came to the two clubs. Otherwise, nobody came here. Seeing Chinese or Japanese or German faces was very unique.And the paisa, the Antioquian culture is a supremely hospitable culture.People here are overflowing with kindness. It's a very curious thing. The mere fact of feeling a person from another [00:08:00] region, not necessarily a foreigner, can be from another Colombian region. The Antioquian develops skills and ways of relating, very pleasant, very attractive. The Antioquian is a very talkative person, very talkative, and is very open. He is very calm in relationships, I would say that at first. So yes, we do feel, the presence of foreigners really feels overwhelming, because it is noticeable. We live here. I live in a couple of small blocks where small hotels have proliferated in two blocks, they have been developed in the last three years.Five, six, seven hotels, and the presence of foreigners is noticeable. And as I said at the beginning, it was very welcome, because foreigners bring coins with a very high exchange rate and here, the country has an extremely commercial and business mentality. Here, the business is seen to be selling a space, so we make another space.I mean, people here are extremely resourceful in the way they do business.Sofia: Yes, and I think the city made an institutional effort to change the narrative as well. Because, as Carlos says, it was very stigmatized, because we are the city of Pablo Escobar. True.That is a very strong symbolic burden. And so an effort has been made to show other things that we are as well. I think that reggaeton has a lot to do with the visibility of the city as well. True, because let's say that reggaeton has not only produced great stars, great singers, like from here in Medellin, but [00:10:00] that reggaeton, like many other musical genres, like in salsa or, well, it exalts, well, those figures like drug trafficking, well, like a certain aesthetic as well. And so it is very attractive for many foreigners to come and get to know the city of reggaeton.And that was something that was happening, let's say, in a more organic and slower way before the pandemic. With the pandemic, it was cut off and after the pandemic, it overflowed. In other words, it happens as an overflow phenomenon. I also imagine, well, because of the desire of many people to travel and, well, to have been paralyzed in their places, and the city really wasn't prepared.I mean, I think that all that institutional effort that was made was not measured either, as to how far it could go, right? Because, although it is true that the city is extremely hospitable and welcoming, let's say that the climate is one of the things that also [00:11:00] attracts the attention of many foreigners. It is a very ideal climate, right? An eternal summer. Well, obviously there are also some structures that offer things. There are a lot of drugs, there is a lot of prostitution, right? It is a city that is also for a tourism that does not leave many good things. Also, well, you will know and you will have the knowledge, tourism even if it is not, well, this tourism of drugs and prostitution and unbridled partying. Tourism is a phenomenon that tends to be devastating, right? It is a phenomenon that makes it more expensive, then. Yes, I think that at first, it is a city that kind of wanted this to happen, but at this moment it does not know very well how to handle it.Carlos: Yes, there was also a time when the city began to take off, there was some academic tourism, because the city began to be very loud in terms of certain urban transformations [00:12:00] . This is a city that has a very powerful public services company.In Medellin, the mayor's office is the owner of a kind of local multinational that sells public services and electricity. It sells electricity to Panama and Ecuador and provides public services to some 90 municipalities in Colombia. So, the city has a really notable capacity for social investment.And then the city started to hold academic events to show off. For example, Bogota, which is the capital of Colombia, has 8,000,000 inhabitants. It has not been able to build a subway.Chris: Wow.Carlos: And the Medellin metro is celebrating its 30th anniversary. What I wanted to point out is that a very curious form of tourism has developed. And that is that foreigners come here to visit popular neighborhoods, to get into [00:13:00] Moravia, or what we call Comuna 13 here, is a very curious fact, at least because you go to a popular neighborhood where there are no comfortable services, where there are no venues, where you can see the popular show. I don't know, it's a very, very curious thing and it's incredibly overwhelming.That is to say, there are places where there is no room for people physically and they keep going, that is, there, they are, all of that is uncomfortable. But people keep going , I don't know why, but they keep coming.Sofia: It's a question we ask ourselves constantly, in fact, several friends always ask me, like, what are you here for? Why do you come here?Well, we don't understand what they're coming for, maybe because one has become naturalized. I don't know, well, everything that happens here, but one stil
Christina Foor is joined by Dr. Alexia Salvatierra and Angelica Acosta Garnett, long-time friends and practitioners of CCDA, especially in the Immigration space. They take a look at the current immigration landscape and discuss what our call is as CCD practitioners.Learn more about CCDA's Immigration Network, including their Lent series, Love Knows No Borders, at ccda.org/immigration. Rev. Dr. Alexia Salvatierra is the Academic Dean of the Centro Latino at Fuller Theological Seminary as well as the Assistant Professor of Integral Mission and Global Transformation. She is available for speaking, training, and workshops in the areas of immigration, faith-rooted organizing, cross-cultural ministry, and building vital holistic Christian community. Learn more about Dr. Salvatierra on her website alexiasalvatierra.comAngelica ‘Lica' Acosta Garnett was born and raised in Bogota, Colombia. She immigrated to the United States when she was 17 years old and has firsthand experience of what it is like to be an immigrant in this country.Lica holds a graduate degree in social studies education and has worked as a US government teacher, Communities in Schools site coordinator, and an immigration law paralegal. She currently works as an interpreter/translator. Learn more about Lica and her work at abara.org/angelicaConnect with CCDA on Instagram, Twitter, Facebook, and LinkedIn. Follow CCDA on YouTube.
Here are the 4 KEEN ON AMERICA take-aways in our conversation about the dysfunctional American immigration system with Felipe Torres Medina1) Background & Immigration Journey* Felipe Torres Medina is a comic writer for "The Stephen Colbert Show" and author of the new book America Let Me In about the US immigration system* Born in Bogotá, Colombia, Medina moved to the US at 21 on a student visa to pursue a master's in screenwriting at Boston University* Medina received an "alien of extraordinary ability" visa (talent visa for artists) after graduation, and eventually got a green card after marrying2) On the US Immigration System* Medina describes the immigration process as expensive (costing "tens of thousands of dollars" in legal fees) and filled with bureaucratic challenges* He emphasizes that legal immigration requires "tremendous privilege and money" that most people don't have* The book takes an interactive "choose your own path" format to highlight the maze-like nature of the immigration system* He points out that there hasn't been comprehensive immigration reform since the Clinton administration (nearly 30 years ago)3) Comedy as Commentary* Medina uses humor to process his experiences and create community around shared frustrations* He was inspired by writers like Julio Cortazar, George Saunders, Tina Fey, and Carrie Fisher* The book aims to educate Americans who "have so many opinions about immigration" but "don't know what it entails"* He mentions that making the book interactive and game-like adds "levity" to a tense topic4) How to Fix the System* While critical of Trump's immigration policies, Medina says the book isn't specifically about Trump but about a "flawed and messy" system created by multiple administrations* He suggests moving US Citizenship and Immigration Services out of the Department of Homeland Security to change the narrative that immigration is a security threat* His proposed reforms include creating better pathways for educated immigrants and hiring more USCIS staff to reduce backlogs FULL TRANSCRIPT* Andrew Keen: Hello everybody. It is Sunday, March the 9th, 2025. Interesting piece in the times. A couple of days ago, The New York Times, that is about the so-called British flame thrower who is a comic best suited to taking on Trump. They're talking about a man called Kumar. Nish Kumar looks very funny, and apparently he's very angry too. I have to admit, I haven't seen him. It's an interesting subject. It suggests that at the moment, even in spite of Trump and outraging many Americans, the state of American humor could be amped up a bit. My guest today is a writer on The Stephen Colbert Show and a comic, or certainly a comic writer in his own right, Philippe Torres Medina. He has a new book out on Tuesday. It's called America Let Me In, and I'm thrilled that he's joining us from Harlem in Manhattan today. Congratulations, Phillip, on the new job. What do you the new book? I was going to say job. That's a Freudian error here. What do you make of the Times's observation that American humor isn't in its best state when it comes to Trump?Felipe Torres Medina: Oh, wow. That's that's an interesting question. First of all, I love Nish Kumar. I think he's a wonderful, wonderful comedian. He's very funny. He has a level of wit and his observations are just wonderful. I hadn't seen this article, but I really appreciate that the times recognized him because he's been working very hard for a lot of years. I think more than American humor not being fit for the moment. I think at least personally for me, a little bit of addressing Trump again began. And addressing Trump in general is, you know, jokes have to be new. And after basically ten years of Donald Trump every day, all the time, it's certainly hard to continue to find new angles. Now, the dysfunction of the administration and perhaps sometimes the cruelty and whatever they're doing does provide you with material. But I think it can cause you as a writer to be like, oh God, here we go again. More Trump stuff. You know, because that's what we're talking about.Andrew Keen: Do you see your book, Philippe, as a Trump book? America? Let me in. It's about immigration. I mean, obviously touches on in many ways on Trump and certainly his hostility to immigration and immigrants. But is it a Trump book, or is it a broader kind of critique or observation about contemporary America?Felipe Torres Medina: Yeah, I never set out to write a book about Trump or a Trump book. My goal is to write a book about the immigration system, because I went through it, and as a comedian, I encountered in it many contradictions and absurdities that just kind of became fodder to me for comedy. So I try to write this book about the system, but the system was caused by many administrations in many parties, you know, now, the current hostility or the current everythingness of immigration, you know, immigration being kind of in the forefront of the national discourse certainly has been aided by Republican policy in the past ten years and by Donald Trump's rhetoric. But that doesn't mean that this is a book about Trump or as a response to Trump. It's actually a book responding to a system that is flawed and messy, but it's the one we have.Andrew Keen: Yeah. You described the book as a love letter to immigrants, but it's not a love letter to the system. Tell me your story. As you say. You went through it so you have firsthand experience. Where were you born?Felipe Torres Medina: So I was born in Colombia. I was born in Bogota, Colombia, which is the capital of Colombia. I lived there most of my life. I moved to United States when I was 21 on a student visa, because I came here to do my masters. I did my master's in screenwriting at Boston University. And after that, you know, I started working here as a comedian, but also as a writer. And I was able to get an alien of extraordinary ability visa, which is a very pretentiously named visa, kind of makes you sound like you're in the X-Men, but it it's just what they call talent visas for artists, athletes, entrepreneurs, educators, whatever. And so I got one of those and then several renewals of those. And then, you know, thanks to my work as a writer, as a comedian, initially as a copywriter in advertising, I was able to I bought I met the love of my life, got married, and then I have a green card and that's why I'm here.Andrew Keen: Yeah. As and quoting here, it sounds rather funny. An alien of extraordinary ability. Do you think your experience is typical? I mean, the even the fact that you came for grad school to to Boston puts you in a, in a kind of intellectual or professional elite. So is your experience in any way typical, do you think?Felipe Torres Medina: I wouldn't say typical. I would say my experience is the experience of many people who come here. And I think it's the experience of the people who are, quote unquote, the immigrants we want. Right. And, you know, if we're going to dive into the rhetoric of the of immigration these days, I came the right way and did everything, quote unquote, the right way. You know, but what this book and also this journey that I took to immigrate here proves is that it's it's only possible with tremendous amount of privilege and tremendous, tremendous amount of money. You know, it's a very expensive process for the majority of people.Andrew Keen: How much did it cost you?Felipe Torres Medina: Oh, I think in total since I started. I mean, when you count the fact that for most, like master's programs, you don't get any sort of financial aid unless you get, like a scholarship from your own country or a sort of like Fulbright or something like that. There's already the cost of a full master's program.Andrew Keen: But then you weren't coming. I mean, you didn't pay for your master's program in order to get immigration papers, you know.Felipe Torres Medina: Of course, that, but I, I had to pay for my master's program to be able to study here. You know, I didn't have I didn't have my any sort of aid. But, you know, discounting that in terms of immigration paperwork, I've spent tens of thousands of dollars because you have to hire immigration lawyers to make sure that everything's fine. And those are quite expensive.Andrew Keen: Was it worth it?Felipe Torres Medina: Well, yeah. You know, I met the love of my life. I live a.Andrew Keen: Very. I mean, there are lots of loves of. You could have met someone else, and that's true. Or you might have even you might have even met her or him at an airport somewhere else while they were on vacation.Felipe Torres Medina: That's that's possible. But yeah, I mean, I live a I live a good life. I do what I wanted to do, you know, I, I took got my master's because I wanted to write comedy professionally and I get to do that. And I do think when I set out to do this, I was like, well, the place with the best film and television industry in the world is and was then and still is the United States. So I was like, well, I have to go there, you know, and I was able to become a part of this industry and to work in this art form.Andrew Keen: You didn't get any job. You You got the combat job? Yes. I believe you drew the the short straw, right? I bet nobody else was right. Just Stephen Colbert.Felipe Torres Medina: Yeah, I'm very lucky. And but again, it's a mix of luck and hard work and all those things. So yeah, I don't I don't regret moving.Andrew Keen: So some people might be watching this maybe some some MAGA people. I'm not sure if MAGA people really watch this, but if they were they might be thinking, well, Philippe Torres Medina, he's a good example. He's the type of person we want. He jumped through many hoops. He's really smart. He's really successful. He brings value to this country. Is now a full time writer on the Colbert's show he came from it came from Latin America. And he's exactly the kind of person we want. And we want a system that's hard, because only guys like him have the intellectual and financial resources to actually get through it. Well, how would you respond to them?Felipe Torres Medina: I would say that I appreciate the compliment, but I wouldn't necessarily say that that's the best way to move forward on immigration now. I will say this book is a humorous take on the whole immigration journey. And so what? Like I tell different stories of different people coming here made up or inspired by real life. And one of the paths that you can take in this book, because this is kind of an interactive choose your own path book, is mine. But I think what this book tries to prove is that even if you do everything right, even if you, you know, have the money, sometimes it's very, very hard. And that, I think, does put us at a disadvantage when it comes to having a workforce that could be productive for the country, especially as birthrates are declining. You know, we are headed toward a but, you know, people have described as a barrel economy. If we don't simply up the population and the people who are upping the population and actually having children are immigrants.Andrew Keen: One other piece of news today, there's obviously a huge amount of news on the immigration front is apparently there's a freeze on funding to help green card holders. You've been through the process. You write about it in the new book. But how much more difficult is it now?Felipe Torres Medina: You mean under the current administration? Yeah. I wouldn't know. I you know, I think that.Andrew Keen: This idea of even freezing green card. Yeah. That holidays, even if you have a green card, you get frozen.Felipe Torres Medina: Yeah, exactly. And I think that that, you know, I think that that's what Trump did in his first term, more or less with legal immigration, was to create roadblocks and freezes and these kinds of things to kind of just like stymie the process and make it slower, make it harder, even for people who, again, are doing everything right to be able to remain in the country.Andrew Keen: And I'm guessing also some of the DOJ's stuff about laying off immigration judges and court stuff, they're taking office to leave. Apparently 100 immigration court staff are retiring. This adds to it as well.Felipe Torres Medina: Yeah. Yeah, exactly. I mean, Citizenship and Immigration Services, USCIS is a very particular part of the government because it is one of the few parts of the federal government that funds itself. Again, going back to cost the fees that they make are so big, they make so much money that if there's a government shut down, actually, USCIS does not shut down. It's one of the few parts of the government that didn't need to shut down, because they make so much money out of the immigrants trying to come here. So it's a really, really strange part of the government. It kind of doesn't know where it belongs. So seeing like the the DOJ's cuts that arrive into the and that may be implemented into USCIS. Kind I'm not familiar with any Dodge cuts recently on USCIS, but I suspect that they would be strange because it's a it's a very strange division of the federal government. It's not like the Department of Education or the like the Forestry Service. It's it's it's own kind of like little fiefdom.Andrew Keen: Are you wrote an interesting thing or you were featured recently on Lit Hub, where this show actually used to get distributed about how to write a funny book about American immigration. Of course, it's it's a good question. I mean, it's such a frustrating bureaucratic mess at the best of times. I do write anything funny, Philippe, about it.Felipe Torres Medina: Well, I think the, the to me, the, the finding a format to be able to explore this, this chaotic system. It's so, so complicated. It's like a maze. So to me, having this kind of interactive format allowed me to have some freedom to be like, okay, well, you know, one of the things that they taught me in my comedy education, when I was training at a theater here in New York, the Upright Citizens Brigade is the premise of if this is true, then what else is true? You know, so if this absurd thing is reality, then what? How can you heighten that reality? And for me, you know, the immigration system is so absurd. It's it's so Byzantine and chaotic that I was like, okay, well, I can heighten this to an extra level. And so when I keyed in on, on this format of like allowing the person who's reading it to be the many characters to inhabit the, the immigrants and also to be playing with the book, you know, going out and going to one page, making their own choices. It allowed me to change the tone immediately of the conversation because you say immigration and everyone's like, oh, you know, it gets tense. But if you're saying like, no, no, this is a game, you know, we're playing this game. It's about immigration, but it's a game. All of a sudden there's a levity to it, and then you take the real absurdities and the real chaos of the system and just heighten it, which is basically what you do with comedy at all times.Andrew Keen: Who are the the fathers or perhaps the mothers of this kind of comedy? The person who comes to my mind is is Kafka, who found his own writing very funny. Not, and I'm not sure everyone necessarily agrees. He, of course, wrote extensively about central mid European bureaucracy and its darkness and absurdity. Who's inspired you both as a comic writer and particularly in terms of this book?Felipe Torres Medina: Well, actually, Kafka also has a great book called America.Andrew Keen: Yeah. Which is a wonderful first paragraph about seeing this. Seeing the Statue of Liberty.Felipe Torres Medina: Yes. Which is also kind of about this. But I would say my inspirations comedically are, you know, I don't think I would have written this book without, like, the work of Tina Fey. I think Bossy Pants was a book where I was like, oh, you can be funny in writing. And Carrie Fisher is a big Star Wars nerd, you know, to like great, funny writer writers who are just, like, writing funny things about their lives. But I think the playfulness of it all, actually, I was inspired by this Argentine writer, Julio Cortazar, who wrote a novel that in English just translated as hopscotch. And this novel is a huge, like, structural disrupter, you know, in the like, what we call the Latin American boom of writing in the 60s, 70s and 80s. And he wrote this novel that is like a game of hopscotch. You're jumping from chapter two chapter. He's directing you back and forth. So I read a lot of that. And I, you know, I read that in my youth, and then I read it. I reread it as I was older. And then there are writers like George Saunders, who can be very funny while talking about very sad or very poignant things. And so that was also a big inspiration to me. But, you know, I am a late night writer, so I was interested in actually making it like, ha ha, funny. Not just, you know, sensible chuckle funny, you know, kind of like a very, like, intellectual kind of funny. So I was also inspired by, you know, my job and like Colbert's original character in Colbert's book, America, I am American. So can you the writing of The Onion and, you know, the book, The Daily Show Book America, which is just kind of like an explanation of what the federal government is and what the country is written in the tone of the correspondents or the the writers for The Daily Show back in the original Jon Stewart iteration. So those books kind of like informed me and made me like, realize, oh, I can you can make like a humorous guy that's jokey and funny, but also is actually saying something isn't just like or teaching you something. Because the biggest reason I started writing this book is that Americans don't know their own immigration system, and they have so many opinions about immigration, particularly now, but no one knows what what it entails. You know? And I don't just mean like conservatives, you know, I don't just mean like, oh, MAGA people. Like, I was living in New York in the Obama years or like the late Obama years, and none of my liberal Brooklyn, you know, IPA and iced matcha drinking friends had any idea what I was going through, you know, when I was trying to get my visas.Andrew Keen: The liberals drink IPA. I didn't know that I drink IPA, I mean, I have to change my. Yeah. It's interesting you bring up in the first part of that response, the, the the Argentine novelist. There's something so surreal now about America. An interesting piece in the times about not being able to pin Trump down because he says one thing one day, the next thing the next day, and everyone accepts that these are contradictions. Now, the times describes these contradictions as this ultimate cover. I'm not quite sure why they're a cover. If you say one thing one day, in the next something the opposite the next day. But is there a Latin American quality to this? I mean, there's a whole tradition of Latin American writing observing the, the cruel absurdities of of dictators and wannabe dictators.Felipe Torres Medina: Yeah. I mean, it's it's part of our literary tradition. You know, the dictator novel you have. But again, just as the feast of the goat, and you have Garcia marquez, my my compatriot, you know, like that.Andrew Keen: Was one of my favorite magnificent writing.Felipe Torres Medina: It's it's possibly, I hesitate to say, my favorite writer because it creates ranking, but.Andrew Keen: Well amongst your.Felipe Torres Medina: Favorite, among my favorite writers, 100 Years of Solitude. Obviously that is possibly my favorite novel, but he has also, I believe it's the Autumn of the Patriarch, which is his novel about. Exactly. Yeah. I mean, there is a there is. I wouldn't say it's a South American or Latin American quality to it. I think it's just once you encounter it, it is so absurd that art does have to come out and talk about it, you know, and, you know, you see the in a book like the Autumn of the Patriarch. That is a character full of contradictions. That is a character who, in chapter one, hates a particular figure because they he they think that they're against him and then is becomes friends with them and then hires him to be his personal bodyguard. You know, that is what dictators are, and that is what authoritarians do. It is the cult of the person. It is the whims of the person, and the opinion of the person are the be all and the end all to the point where the nation is. It is at the whims of, of of a a person, of those of those persons contradictions. So I wouldn't say it's necessarily a Latin American nature to this, but I think Latin America, because we experience dictatorship in many times supported or boosted by the United States. Latin Americans were able to find a way to turn this into art. And quite good art is what I would say.Andrew Keen: Yeah, and of course, it's the artists who are best able to respond to this. As you know, it's not just a Latin American thing. The Central Europeans, the Czechs in particular. Yes.Felipe Torres Medina: Milan Kundera.Andrew Keen: Yeah. Written a series of wonderful books about this. But the only way to respond to someone like Trump, for example, who says one thing one day, the next thing the next day when he talks about tariffs, he says, well, I'm going to have 25%. And the next day, oh, I've decided I'm not going to have 25%. Then the following day he's going to change his mind again. The policy people, I'm not very helpful here. We need artists, satirists of one kind or another humorist like yourself to actually respond to this, don't we?Felipe Torres Medina: I think so. I think that that that is what. Helps you? I mean, it's the emperor has no clothes, right? That's how you talk. And it's about all kinds of government, obviously. Autocracy or dictatorship is one thing, but at all in all systems of government, these are powerful people who think they have they know better and who think that they are invincible. And you know what? What satire or humor and art does is just point out and say like, wait, that's weird. That thing they just did is weird. And being able to point that out is, is a talent. But also that's why people respond to it so well. People say like, yeah, that is weird. I also notice that. And so you create community, you create partnership in there. And so all of a sudden you're punching up, which is something you want to do in comedy. You want to make fun of the people who have more power, and you're all punching up and laughing at the same thing, and you're all kind of reminding each other. You're not crazy. This is weird.Andrew Keen: Yeah. I mean, the thing that worries me. I was on Kolber on the Colbert Show a few years ago in the original show. I mean, it's brilliant comic, very funny. But him and Jon Stewart and the others, they've been going so long, and they. I'm not saying they haven't changed their shtick. I mean, writers like you produce very high quality work for them, but it's one of the problems that these guys have been going for a while and America has changed, but perhaps they haven't.Felipe Torres Medina: I mean, it's an interesting thing to bring up, particularly with with Stephen, because his show was completely different. Ten years ago, it was a completely different show. He was doing a character. Yeah, right. And now he's doing a more traditional late night show. I think I think the format of late night is a very interesting beast that somehow has become A political genre. You know, it didn't used to be with Letterman. Didn't you see with Conan O'Brien, Jay Leno? You know, they would dabble in politics. They would talk about politics because it's what people are talking about. But now it's become kind of like this world. It all has to be satire. And there's some there's some great work. And I do think people keep innovating and making, like, new things, even though the shows are about ten years old. You know, you have Last Week Tonight, which my wife writes for, but it's a show that does more like deep dive investigations and stuff like that. So it's more like end of the week, 60 minutes, but with jokes kind of format. But I do think, yeah, maybe like the shows, can the shows in the genre in general, like there's genre I could do with some change and some mixing it up and.Andrew Keen: Well, maybe your friend Kumar could.Felipe Torres Medina: Yeah. Well, what? Let us get.Andrew Keen: A slot to his own late night show. And I wonder also, when it comes to I don't want to obsess over Trump or that course it's hard not to these days, but because he himself is a media star who most people know through his reality television appearance and he still behaves like a reality television star. Does that add another dimension of challenges to the satirical writers like yourself, and comics like or satirical comics like Colbert and Jon Stewart?Felipe Torres Medina: I think it's just a layer of how to interpret him as a person. At least for me, it's like, okay, well, you have to remember that he is a show man, and that's what he's doing.Andrew Keen: Yeah. So they're coming back to your your metaphor of the air and power and not having any clothes on. He kind of, in his own nodding wink way, acknowledges that he's not pretending to wear any clothes.Felipe Torres Medina: Yeah, and, well, sometimes he is and sometimes he isn't. And that is. That's the challenge. And that's why writing jokes about him every day is hard. But, you know, we we.Andrew Keen: And the more I know I watched Saturday Night Live last week that Zelensky thing and it was brilliant. Zelensky and Musk and Trump. But I'm very doubtful it actually impacts in any way on anything. Well, and I.Felipe Torres Medina: Think that that's also a misconception people have about comedy. You know, comedy is there to be funny. You know, comedy isn't there to change your mind if it does that, great. But the number one impetus for For Comedy should be to make you laugh. And so the idea that, like, a sketch show is going to change the nation. I don't know. Those are things that I think are applied on to comedy. They're kind of glob down to comedy. I don't necessarily think that that's what it the, the people making the comedy set out to do so. I think if if it made you laugh and if it works. The comedy has done its job. Comedy, unfortunately, can't change the world, you know. Otherwise, you know, I'm sure there would have been a very. There are many good Romanian comedians who could have done something about it has.Andrew Keen: You know, time to time. I mean, Hava became Czech president for a while. You, you, you know, that you sometimes see laugh, laughter and comedy as a kind of therapy when it comes to some of the stuff you do with Kovat. Are you in in America? Let me in. Are you presenting the experience, the heartbreaking experience? So certainly an enormously frustrating experience of the American immigration system as a kind of therapy, both for people who are experiencing it And outsiders, Americans in general.Felipe Torres Medina: And for myself, I think.Andrew Keen: And of course, yes. So self therapy, so to speak.Felipe Torres Medina: I think so, I mean, it is for me a way to like comedy is a way to process things for me. It comes naturally to me, and it is inopportune at times when dealing with things like grief and things like that. But I mean event, anyone who's gone through grief, I think, can tell you there's one moment when things are going really bad and one of the people grieving with you makes one joke and you all laugh and you're like, this. This somehow fixed for one second. It was great. And then we're back to sadness. So I think comedy, you know, as much as again, I go back to what I said a second ago, it's about making you laugh and that making you laugh can create that partnership, can create that empathy and that that that community therapy, I guess, of people saying like, oh wait, yeah, this is weird, this is strange. And I feel better that someone else recognized it, that someone else saw this.Andrew Keen: It certainly makes you saying, hey, you wrote an interesting piece for The New Yorker this week. In times like these, where you, you write perhaps satirically about what you call good Americans. Is the book written for good or bad Americans or all Americans or no Americans? Who do you want to read this book?Felipe Torres Medina: Oh my God. I want everyone to read it and everyone to buy a copy so that I've got a lot of money. All right. No, I think it's written for most Americans and and immigrants as well. People living here. But I do think, yeah, it's written for everyone. I don't think I wrote it with particular like, kind of group in mind. I think to me, Obviously with my background and my political affiliations, I think liberals will enjoy the book. But I also think, you know, people who are conservative, people who are MAGA, people who don't necessarily agree on my vision of immigration, can learn a lot from the book. And I purposely wrote it so that these people wouldn't necessarily be alienated or dismissed in any way. You know, it's a huge topic, and I think it was more of a like, I know you have an opinion. I'm just showing you some evidence. Make with it what you will, but I'm just showing you some evidence that it might not be as you believe it is, both for liberals and conservatives. You know, wherever you are on the spectrum, liberals think it's super easy. Conservatives that think it's super easy but in a bad way to move here. And I'm here kind of saying like, hey, it's actually this super complicated thing that maybe we should talk about and we should try to reform in some way.Andrew Keen: Yeah. And I think even when it comes to immigration, often people are talking about different things. Conservatives tend to be talking about quote unquote, illegal immigration and progressives talking about something else, too. You deal with people who try to get into America illegally, or is that for you, just a subject that you're not touching in this book?Felipe Torres Medina: I address it very lightly toward the final pages of the book. I first of all, I can, like, claim ownership on all immigrant narratives. And I wrote this about the legal immigration system because it's what I've navigated. Again, I am not an immigration lawyer. I am not an activist. I'm a comedy writer who happened to go through the immigration like system, so I but I did feel like, you know, okay, well, let's talk for a second. You've seen how hard it is because I've shown you all this evidence in the first couple stories in the book. And again, I say in the last pages because because of the interactive nature of the book, this could there is potentially a way for you for this to be the first, one of the first things you read in the book, but to where the last pages of the book, I say, okay, let's talk about you. We've seen how hard it is. Let's talk about the people who do so much to try and come here and who go even harder because they do it in the like, in the unauthorized way, you know, or the people who come here seeking asylum, which is a legal way to come to the United States, but is very difficult. So I do present that, but I do think it is not necessarily the subject of a comedy book, As I said earlier, when you're dealing with comedy, you want to be punching up. You want to be making fun of people in authority figures or in a sort of status position that is above the general population or the the voice of the comic. And with with undocumented immigrants and people trying to come here in irregular ways. It's it's very hard to find the humor there because these people are already suffering very much. And so to me, the line is threading the line of comedy there. It can very quickly turn into bullying or making fun of those people. And I don't want to do that because a lot of people are already doing that, and a lot of people who are already doing that work on this in this administration. So I don't I don't really want to mess with that.Andrew Keen: Philip, I'm not sure if you've got a a Spanish translation of the book. I'm sure there will be one eventually.Felipe Torres Medina: Hopefully.Andrew Keen: If people start reading this in Colombia, where you're from, Bolivia or Argentina, Mexico, El Salvador, Guatemala, they think themselves, this is so hard to get in, even legally. Even if you have money to pay for lawyers, they might think, well, f**k it, I'll just try and get over the border illegally. And do you think in a way, I mean, it's obviously designed as a humor book, but in a way this would encourage any sane person to actually give up. I mean, go try and try and go somewhere else or just stay where you are.Felipe Torres Medina: I think, I think the book has a tone of I'm I'm a pretty optimistic person. So I think the book does have a tone of optimism and love for America. I do love the United States, where I, while presenting it as a difficult thing, I am also saying, like it? It's pretty good. You're going to have a good time if you make it here. So I don't think it will be a deterrent. Whether it's some sort of Trojan horse to create more people, to try and go through the border. I don't know, it'd be pretty funny if a funny book tended ended up doing that, but.Andrew Keen: It'd be great if we just got hold of the book and blamed you for for for all the illegal immigrants. But in all seriousness, it was been a lot of pieces recently about, according to the New York Times, people going silent for fear of retribution. As a comic writer and someone clearly on the left, the progressive in American politics. Do you think that there is a new culture of fear by some of your friends and colleagues in the comedy business? Are they fearing retribution? Trump, of all people, doesn't like to be laughed that some people say that he he only wanted to be president after Obama so brilliantly and comically destroyed him a few years ago.Felipe Torres Medina: I think in comedy, you know, I think people are tired of talking of Trump because, again, as I said, ten years of writing about him. I don't think anyone is necessarily afraid of talking about him or making fun of him. I think that is or his administration. I think that is proven like this past week with explosion of memes, making fun of J.D. Vance, his face, you know, to the point where J.D. Vance has tried to hop on the meme and be like, ha ha! Yes, I enjoy this very much too. Good job members. So like, obviously, first of all, he doesn't like it, but I think everyone is. And I think this is something that America does so well. Americans like to make fun of politicians, period. And even though I think in certain spaces of, you know, politics and activism, there might be fear of retribution that is much more marked. I think the let's make fun of of the Emperor for having no clothes that make fun of them is an instinct that that it's not going away and it won't go away any, anytime soon.Andrew Keen: Philip, finally, you've written a funny book about immigration. But of course, behind all the humor is a seriousness. Lots of jokes. It's a very entertaining, amusing, creative book. But it also, I think, suggests reform. You've given a great deal of thought. You've experienced it yourself. How can America improve its immigration story so that we don't have in the future more satirical books like America Like Me and what are the the reforms, realistically, that can be made that even conservatives might buy into?Felipe Torres Medina: Well, I think one of the biggest things is, if you look at it historically, there hasn't been comprehensive immigration reform since Clinton. Which is ridiculous. You know, we're nearing on 30 years there, and we're. We're basically 30 years since. And, you know, I'm 33, so it's a whole lifetime for a lot of people with no changes to a system, no comprehensive changes to a system. And that just means that, like it is going to become outdated. So obviously it's very hard right now with the tenor, but what we really need is for people to sit down and talk about it as a normal issue. And this is not an invasion. This is not a national emergency. It is simply an issue, an economic issue. And I think one of the biggest things, and one of my personal suggestions is that. The US Citizenship and Immigration Service has always been, as I said, this kind of strange ancillary part of the government. It started as part of the Department of Labor, eventually joining the Department of Justice. Then it goes back to labor. It kind of always bounces around. They don't know where it fits. And in after 911, it became part of the Department of Homeland Security. And I think that creates a an aura around immigration as something that is threatening to homeland security. You know, which is not true.Andrew Keen: Yeah. I see what you're saying. It's become the the sex when it comes to, in the context of Victorian something that we don't talk about, and we use metaphors and similes to, to, to describe. And I take your point on that. But what about some and I take your point on the fact that the system hasn't been reformed since Clinton. But let's end with a couple of final, just Doable reforms, Philippe, that can actually make the experience better. That will improve that. That might be cheaper that the the Doge people might buy into that both left and right will accept and say, oh, that's fair enough. This is one way we can make immigrating to America a better experience.Felipe Torres Medina: I think, rewarding if we're talking about this idea of like, we want the best immigrants, educated people. I think actually rewarding that because the current system does not do that for most people trying to get a work visa. They're subjected to a lottery where the chances are something like 1 in 16 of getting a work visa to be here, and that is really bad for companies in general. It's something that the big tech firms have been lobbying against for years, and because there's no consensus in Congress to actually do something. We have been able to address that. So I think actually rewarding the kind of like higher education, high achievement immigrants. In a way that isn't just like if you have $5 million, you can buy a gold car. Yeah, and.Andrew Keen: That's what Trump promised.Felipe Torres Medina: Right? Actually rewarding it in a way that's like, okay, well, if you have a college degree, maybe you don't just get a one year permit to work here, you know, maybe you can. There is a path for you to if you made your education here, if you start your professional life here, if you are contributing because all these immigrants are paying taxes or contributing, maybe there's a path that isn't as full of trapdoors and pitfalls. I would say that that that's one of the biggest things. And honestly, higher up, like I, I do think maybe this is my progressive side of me, but it's like get more people working in USCIS so that these waits aren't taking forever and getting more immigration judges, you know, hire people who are going to make this system efficient, because that is, I think, unfortunately, what Dodge thinks that the, you know, we're going to slim it down so it doesn't cost that much. Yeah. But if you slam it down, you don't have enough people. And there's a lot of people are still trying to come here and they're still trying to do things. And if you don't have enough people like working those cases, all you're creating is backlogs.Andrew Keen: Yeah. I'm guessing when those transforms the American immigration system through AI, you'll have another opportunity for you to write a book. Yeah. I mean, I let me in an important book, a very funny book, but also a very serious book by one of America's leading young comic writers full time, writing for Stephen Colbert, Philippe Torres Medina. Philippe, congratulations on the book. It's out next week. I think it will become a bestseller. Important book. Very funny too, and we can say the same about you. Thank you so much.Felipe Torres Medina: Thank you so much for having me.Keen On America is a reader-supported publication. To receive new posts and support my work, consider becoming a free or paid subscriber. This is a public episode. If you'd like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit keenon.substack.com/subscribe
Many of our listeners may not know this but Bogota recently experienced the worst flood since 1937. Bogota and many of the neighboring towns and farms were completely under water and left many residents stranded. Our hearts go out to everyone that experienced lost and we hope that recovery goes well. On this episode we sit down and recap our thoughts of the flood and tell our story. Enjoy!
Dr. David McCarty-Caplan (PhD) is a researcher, educator, writer, and consultant whose professional experience focuses on issues of identity development, support of underserved populations, racial equity, and pursuit of social justice. David was born in Bogota, Colombia but adopted and raised in a white Jewish family in the United States. This lived experience has profoundly shaped his personal and professional interests and he is increasingly involved in work dedicated to adoption consciousness and education, through research on and consulting with organizations, families and individuals working to explore adoption-related issues. He is particularly passionate about helping adoptees and their families navigate race/racism, religious identity, and sense of belonging.Websites: https://www.davidmccartycaplan.com/_files/ugd/0bdc61_f4e764d3d33e4ebb9f5f215bf0418cb5.pdfhttps://www.nuroots.org/davidMusic by Corey Quinn
Jason Hartman discusses several real estate trends and news items in this episode. He highlights a Wall Street Journal article predicting a landlord-friendly era with rising rents, which could stoke inflation. Hartman also mentions a potential bill in Indiana to annex some Illinois counties, and Florida's consideration of eliminating property taxes. He notes that the income needed to purchase a typical US home has increased by 79% in five years. Hartman promotes his upcoming Empowered Investor Live event, featuring speakers like Mike Maloney and Sharon Lecter. He discusses the multifaceted nature of tariffs and their potential impact on American jobs and manufacturing. Finally, he touches on long-term housing market predictions and demographic trends. Today's sponsor http://jasonhartman.com/connected offers real estate investors access to Connected Investors' PiN (Property Intelligence Network) software. This tool provides nationwide property data, including features like unlimited individual property skip tracing, comprehensive property reports, and a Contract Genie for generating legal documents. Subscription options are available on a monthly or annual basis, with the annual plan offering additional benefits such as a dedicated product specialist. The platform emphasizes its commitment to providing accurate, up-to-date information to assist investors in making informed decisions. Visit http://jasonhartman.com/connected today! JasonHartman.com/Connected on Youtube. #RealEstateInvesting #PropertyManagement #RentalMarket #HousingAffordability #InterestRates #EmpoweredInvestorLive #FloridaRealEstate #PropertyTaxes #IndianaRealEstate #DemographicTrends #HousingSupply #ApartmentRents #InvestmentStrategy #EconomicTrends Key Takeaways: 1:30 Clip of the day: https://x.com/MarioNawfal/status/1882991784394895420 3:44 Welcome from Bogota, Colombia 4:23 Get your tickets to https://empoweredinvestorlive.com/ and get a FREE ticket to Rebel Capitalist LIVE 5:33 Wall Street Journal: We're headed toward a Landlord-friendly Era. Expect higher rent prices 9:15 Supply shortages will increase rental demand 9:57 2025 Apartment rent growth forecast 11:30 Sponsor: JasonHartman.com/Connected 12:45 Indiana Toys with Idea of Annexing Some Illinois Counties 16:37 The income needed to purchase a typical US home 18:02 Household income needed to afford the financed purchase of typically valued home 19:41 Household income needed to afford the financed purchase of typically valued home- in January 2020 to 2025 23:29 Get your tickets to https://empoweredinvestorlive.com/ Follow Jason on TWITTER, INSTAGRAM & LINKEDIN Twitter.com/JasonHartmanROI Instagram.com/jasonhartman1/ Linkedin.com/in/jasonhartmaninvestor/ Call our Investment Counselors at: 1-800-HARTMAN (US) or visit: https://www.jasonhartman.com/ Free Class: Easily get up to $250,000 in funding for real estate, business or anything else: http://JasonHartman.com/Fund CYA Protect Your Assets, Save Taxes & Estate Planning: http://JasonHartman.com/Protect Get wholesale real estate deals for investment or build a great business – Free Course: https://www.jasonhartman.com/deals Special Offer from Ron LeGrand: https://JasonHartman.com/Ron Free Mini-Book on Pandemic Investing: https://www.PandemicInvesting.com
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Fin janvier, la tension est montée entre Washington et Bogota. Et pour cause, le refoulement, par le président Petro, d'avions militaires transportant des migrants colombiens expulsés des États-Unis. Un incident diplomatique surprenant au regard de l'alliance historique entre les deux pays. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Jacobo Grajales Professeur en science politique à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Lina Penagos Docteure en sciences politiques, enseignante chercheure à l'institut d'études politiques de Fontainebleau et à l'Ecole Universitaire de recherche Live de l'Université Paris-Est Créteil (UPEC). ; Christophe Ventura Journaliste au Monde diplomatique, directeur de recherches à l'IRIS, responsable du programme Amérique latine et Caraïbes
Hear about travel to off-the-beaten-track regions of Colombia as the Amateur Traveler talks to Justin Barnes about multi-color rivers, granite monoliths, giant palm trees, and deserts. Why should you go to these places in Colombia? Justin says, "These locations are all extremely unique. Caño Cristales is unlike anything we've ever seen. It's full of colors, red, green and gold in the river. The area near Inírida called Mavecure is three giant hills. Just imagine something like if you took a half dome or El Capitan and just drop them in the middle of the rainforest, sticking up 2000 feet above. The forest area I was talking about has just thousands and thousands of the tallest palm trees in the world. They're all fairly close to Bogota." Justin suggests an off-the-beaten-path itinerary in Colombia, visiting four unique destinations, all within 90 minutes by plane from Bogotá: Suggested Itinerary: Caño Cristales (La Macarena, Meta) – 3 days, 2 nights Fly to La Macarena. Visit Caño Cristales, the "Liquid Rainbow," famous for its vibrant red, green, and gold colors. Explore petroglyphs, unique rock formations, and diverse wildlife. Take hikes through the Serranía de la Macarena National Park. ... https://amateurtraveler.com/travel-to-hidden-colombia/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
My guest on this episode is Johnny Keefer. After finishing #25 in the 2024 PGA TOUR U standings, he raced through the Canada swing of PGA Tour Americas to earn his Korn Ferry Tour card in 2025. Johnny started his 2025 campaign with two top-5 finishes in Panama and Bogota. Johnny Keefer - Korn Ferry TourThe Back of the Range - All Access Subscribe to The Back of the Range Subscribe in Apple Podcasts and SPOTIFY!Also Subscribe in YouTube, Google Play , Overcast, Stitcher Follow on Social Media! Email us: ben@thebackoftherange.comWebsite: www.thebackoftherange.com Voice Work by Mitch Phillips
Colombia’s President Gustavo Petro is facing a critical moment. Violence near the Venezuelan border, a state of emergency, and US deportation flights have tested his leadership. Can Petro hold onto power and regain the trust of a divided nation? In this episode: Christina Noriega (@c_mnoriega), Journalist Episode credits: This episode was produced by Amy Walters, Sonia Bhagat, and Sarí el-Khalili with Phillip Lanos, Spencer Cline, Hagir Saleh, Melanie Marich, and Hanah Shokeir, and our host, Kevin Hirten. It was edited by Noor Wazwaz. Our sound designer is Alex Roldan. Our video editor is Hisham Abu Salah. Alexandra Locke is The Take’s executive producer. Ney Alvarez is Al Jazeera’s head of audio. Connect with us: @AJEPodcasts on Instagram, X, Facebook, Threads and YouTube
Monday, January 27th, 2025Today, in what I'm calling the Friday Night Massacre, Donald Trump illegally fired 17 inspectors general; Senate Democrats are preparing a formal resolution to condemn the pardons of January 6th insurrectionists; after Colombia refuses to allow planes with deportees from the US to land, Trump imposes tariffs and closed the visa section at the US Embassy in Bogota; Secretary of State Marco Rubio has halted all foreign aid; a US meteorologist was fired after calling out Elon Musk's nazi salute on her private social media account; Mexico has also refused to accept a US deportation flight; Trump's hiring freeze is creating chaos across federal agencies as he declares he wants to eliminate FEMA altogether; after Trump axed DEIA programs across the government - many private corporations are falling in line - we will name and shame them; Trump demands an interest rate cut from the Fed; and a Mississippi lawmaker has introduced the Contraception Begins at Erection Act; and Allison delivers your Good News.Thank You HomeChefFor a limited time, HomeChef is offering you 18 Free Meals PLUS Free Dessert for Life and of course, Free Shipping on your first box! Go to HomeChef.com/DAILYBEANS.Guest: Justin GillShare and sign the petition at nursesforamerica.netDirect Link to sign the Statement NFA is ALARMED by RFK Jr (google doc)A nurse's perspective: RFK Jr.'s confirmation would be irresponsible (OP ED - JustinGill | The Seattle Times)Stories:Trump fires 17 independent watchdogs at multiple agencies in late-night move (Katherine Faulders, Benjamin Siegel, Alexander Mallin, and Allison Pecorin | ABC News)Senate Democrats ready formal resolution to condemn Trump's pardons of Jan. 6 defendants (Scott MacFarlane | CBS News)Mexico refuses to accept a U.S. deportation flight (Courtney Kube and Jonathan Allen | CBS News)Trump floats overhauling or eliminating FEMA while touring hurricane damage in North Carolina (Elyse Perlmutter-Gumbiner, Vaughn Hillyard and Alexandra Marquez | NBC News)US meteorologist fired from TV station after criticizing Elon Musk salute (Maya Yang | The Guardian)Which US companies are pulling back on diversity initiatives? (AP News)**HRC | Corporate Equality Index 2025Mississippi lawmaker introduces 'Contraception Begins at Erection Act' (Alexandra Marquez | MyNBC15 Alabama)Good Trouble Share and sign the petition at nursesforamerica.netDirect Link to sign the Statement NFA is ALARMED by RFK Jr (google doc)Have some good news; a confession; or a correction to share?Good News & Confessions - The Daily Beanshttps://www.dailybeanspod.com/confessional/From The Good NewsWhat Do We Mean By Sex and Gender? (Yale School Of Medicine)Deuterostome - WikipediaWomen across Iceland, including the prime minister, go on strike for equal pay and no more violence | AP News Check out other MSW Media podcastshttps://mswmedia.com/shows/Subscribe for free to MuellerSheWrote on Substackhttps://muellershewrote.substack.comFollow AG and Dana on Social MediaDr. Allison Gill Substack|Muellershewrote, Twitter|@MuellerSheWrote, Threads|@muellershewrote, TikTok|@muellershewrote, IG|muellershewrote, BlueSky|@muellershewroteDana GoldbergTwitter|@DGComedy, IG|dgcomedy, facebook|dgcomedy, IG|dgcomedy, danagoldberg.com, BlueSky|@dgcomedyHave some good news; a confession; or a correction to share?Good News & Confessions - The Daily Beanshttps://www.dailybeanspod.com/confessional/ Listener Survey:http://survey.podtrac.com/start-survey.aspx?pubid=BffJOlI7qQcF&ver=shortFollow the Podcast on Apple:The Daily Beans on Apple PodcastsWant to support the show and get it ad-free and early?Supercasthttps://dailybeans.supercast.com/Patreon https://patreon.com/thedailybeansOr subscribe on Apple Podcasts with our affiliate linkThe Daily Beans on Apple Podcasts
The U.S. embassy in Bogota canceled appointments for Colombians hoping to get visas to enter the United States. The move was the Trump administration's response to short-lived resistance by the Colombian government to accept deportation flights. The public spat with a key regional partner could be a sign of how the administration's Latin America strategy will play out. Nick Schifrin reports. PBS News is supported by - https://www.pbs.org/newshour/about/funders