Commune in Auvergne-Rhône-Alpes, France
POPULARITY
Categories
L'Iran a tiré lundi de nouveaux missiles sur plusieurs grandes villes d'Israël, faisant au moins cinq morts selon les secours, et 92 blessés, en réponse à des frappes israéliennes qui ont atteint le territoire iranien pour la quatrième nuit consécutive.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Iran a tiré lundi de nouveaux missiles sur plusieurs grandes villes d'Israël, faisant au moins cinq morts selon les secours, et 92 blessés, en réponse à des frappes israéliennes qui ont atteint le territoire iranien pour la quatrième nuit consécutive.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Iran a tiré lundi de nouveaux missiles sur plusieurs grandes villes d'Israël, faisant au moins cinq morts selon les secours, et 92 blessés, en réponse à des frappes israéliennes qui ont atteint le territoire iranien pour la quatrième nuit consécutive.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conseils, tendances du marché… Samedi et dimanche, dans Europe 1 Matin Week-end, Christophe Bordet revient sur l'actualité immobilière. Aujourd'hui, le classement des villes où il fait bon devenir propriétaire bailleur. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:48 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Pourquoi certains États déplacent-ils leur capitale ? Depuis le XIXe siècle, plus de 70 d'entre eux ont fait ce pari. Rupture avec un passé colonial, affirmation d'un pouvoir central, meilleure maîtrise du territoire, les motifs sont divers et reflètent souvent les trajectoires d'un pays entier. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Frank Tétart Géographe
Portée par la restauration, la reprise des fonds de commerce progresse en 2024. Une dynamique encourageante, même si certains secteurs comme le prêt-à-porter restent à la peine.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mylène Berthaux est journaliste, elle a longtemps mené des enquêtes sérieuses pour différents médias, mais un petit chien nommé "Toutoute" a bouleversé sa vie — au point de l'emmener aux quatre coins du monde pour comprendre un phénomène de société aussi tendre qu'inattendu : la place grandissante du chien dans nos vies.Dans cet épisode, elle raconte comment, à partir de son attachement presque irrationnel à Toutoute, elle a mené une véritable enquête journalistique en France, aux États-Unis, au Mexique, en Inde et en Corée du Sud. Elle observe un mouvement global qu'elle appelle le dog parenting : les chiens ne sont plus simplement des compagnons de vie, ils deviennent des membres à part entière de la famille, des mini-moi habillés, coachés, nourris avec du sans gluten, parfois mieux traités que des humains.Avec une grande liberté de ton et beaucoup d'humour, Mylène décrypte ce que cette évolution dit de nous : une société où les liens humains se fragilisent, où la solitude urbaine explose, où les schémas familiaux se réinventent. Le chien devient alors un catalyseur affectif, un révélateur social, voire un outil de développement personnel. Elle va jusqu'à affirmer, études à l'appui, que les chiens peuvent améliorer notre santé mentale, renforcer nos liens sociaux et faire office de sas émotionnel dans un monde de plus en plus complexe.L'épisode aborde également des sujets plus critiques : la charge mentale genrée autour de l'animal, la transformation des races canines par la mode (avec des conséquences sanitaires lourdes), ou encore l'énorme business qui s'est structuré autour de cette nouvelle figure de l'animal-roi. On découvre que les chiens peuvent être cause de rupture amoureuse, sujet de garde partagée ou prétexte à des dépenses parfois absurdes.En filigrane, Mylène propose un regard sensible et documenté sur la manière dont notre rapport aux animaux, et aux chiens en particulier, reflète nos bouleversements intimes et sociaux.5 citations marquantes“J'ai été victime de la charge mentale de la croquette.”“On reproduit les biais de genre… même avec un chien.”“Un chien aujourd'hui, c'est un outil de développement personnel.”“Les chiens sont à la fois objets et sujets du consumérisme.”“Considérer son chien comme un enfant n'est pas déconnant… neurologiquement parlant.”10 questions structurantes posées dans l'épisodePourquoi as-tu décidé d'enquêter sur la place des chiens dans nos vies ?Comment expliques-tu l'évolution du chien d'animal de compagnie à “membre de la famille” ?Quelle différence entre “propriétaire” et “dog parent” ?Le chien est-il devenu un substitut affectif dans une société en perte de lien ?Y a-t-il une fast fashion canine ? Et quelles en sont les conséquences sanitaires ?Comment le chien impacte-t-il la vie de couple, y compris en cas de séparation ?En quoi le chien est-il un révélateur des inégalités de genre ?Quels sont les effets du chien sur la santé mentale humaine ?Sommes-nous en train de trop humaniser les chiens ?Peut-on aimer les chiens tout en respectant leur nature animale ?Timelapse00:01 → Introduction : la révolution canine00:03 → L'histoire de Toutoute et le déclic personnel00:08 → Enquête internationale : Corée, Mexique, Inde00:15 → Le chien, nouvel enfant ? Mutation de la parentalité00:22 → Anthropomorphisme, éducation et nutrition canine00:30 → Le chien dans le couple : charge mentale et séparation00:38 → Coparentalité canine et implications juridiques00:45 → Bienfaits psychologiques du chien00:50 → Le business mondial du chien00:56 → Villes, urbanisme et intégration canine01:00 → Question finale : comment être humain aujourd'hui avec un chien ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : [HORS SÉRIE] Comment les animaux percoivent-ils le monde? avec Ed Yong (https://audmns.com/KstISYk) #137 Résilience, biomimétisme et connexion au vivant avec Tarik Chekchak (https://audmns.com/JVvudLX)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la revanche des villes moyennes : d'après une enquête du réseau d'agences Guy Hocquet avec la plateforme d'annonces immobilières Bien Ici que RTL révèle, Nîmes, Saint-Etienne, Perpignan, Besançon et Limoges font partie du top 10 des villes dans lesquelles il est bon d'investir. Ecoutez Le conseil conso avec Pierre Herbulot du 10 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon la Plateforme Africaine des Villes Propres, 90% des déchets produits en Afrique sont déversés dans des décharges non contrôlées à ciel ouvert et souvent brûlés. 19 des 50 plus grandes décharges du monde se situent en Afrique subsaharienne qui pourrait devenir la région la plus productrice de déchets. En cause : la forte croissance démographique, l'urbanisation galopante et l'évolution des habitudes de consommation avec l'importation de produits plastiques. Alors que la gestion des déchets ménagers est un enjeu sanitaire, économique et environnemental majeur pour les villes africaines, comment renforcer le traitement des déchets, notamment dans les zones où les services sont encore peu structurés, voire inexistants ? Quel rôle pour les pouvoirs publics, les entreprises et le secteur informel ? Avec :• Matthieu Le Corre, responsable du département Services essentiels et ressources naturelles du GRET, ONG internationale de développement social et solidaire• Jean-Claude Muissa, directeur général de la Régie de Gestion des déchets de Kinshasa (REGEDEK).Le portrait de Mariam Keita, fondatrice de Binedou, transforme les déchets plastiques en pavés et en briques. Raphaëlle Constant l'a rencontrée à Conakry. Portrait d'une entrepreneure guinéenne, lauréate de l'édition 2019 de la compétition « Women In Africa Initiative » : Mariam Mohamed Keita, 32 ans et mère de 4 enfants, est la fondatrice de BGS Recyplast, une entreprise spécialisée dans la récupération et le recyclage des déchets plastiques. Avec son équipe de 10 personnes, elle s'attèle à transformer les déchets de sa ville en pavés dans son entrepôt basé à Coyah. Programmation musicale :► Parioca - Seu Jorge, M (11"-2'49) ► Wa Wa Wa - ADB x Yujio.
C'est la revanche des villes moyennes : d'après une enquête du réseau d'agences Guy Hocquet avec la plateforme d'annonces immobilières Bien Ici que RTL révèle, Nîmes, Saint-Etienne, Perpignan, Besançon et Limoges font partie du top 10 des villes dans lesquelles il est bon d'investir. Ecoutez Le conseil conso avec Pierre Herbulot du 10 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon la Plateforme Africaine des Villes Propres, 90% des déchets produits en Afrique sont déversés dans des décharges non contrôlées à ciel ouvert et souvent brûlés. 19 des 50 plus grandes décharges du monde se situent en Afrique subsaharienne qui pourrait devenir la région la plus productrice de déchets. En cause : la forte croissance démographique, l'urbanisation galopante et l'évolution des habitudes de consommation avec l'importation de produits plastiques. Alors que la gestion des déchets ménagers est un enjeu sanitaire, économique et environnemental majeur pour les villes africaines, comment renforcer le traitement des déchets, notamment dans les zones où les services sont encore peu structurés, voire inexistants ? Quel rôle pour les pouvoirs publics, les entreprises et le secteur informel ? Avec :• Matthieu Le Corre, responsable du département Services essentiels et ressources naturelles du GRET, ONG internationale de développement social et solidaire• Jean-Claude Muissa, directeur général de la Régie de Gestion des déchets de Kinshasa (REGEDEK).Le portrait de Mariam Keita, fondatrice de Binedou, transforme les déchets plastiques en pavés et en briques. Raphaëlle Constant l'a rencontrée à Conakry. Portrait d'une entrepreneure guinéenne, lauréate de l'édition 2019 de la compétition « Women In Africa Initiative » : Mariam Mohamed Keita, 32 ans et mère de 4 enfants, est la fondatrice de BGS Recyplast, une entreprise spécialisée dans la récupération et le recyclage des déchets plastiques. Avec son équipe de 10 personnes, elle s'attèle à transformer les déchets de sa ville en pavés dans son entrepôt basé à Coyah. Programmation musicale :► Parioca - Seu Jorge, M (11"-2'49) ► Wa Wa Wa - ADB x Yujio.
Non remplacement des médecins partis à la retraite, manque de spécialistes, difficulté à obtenir (rapidement) un rendez-vous : la désertification médicale gagne du terrain partout en France. Aujourd'hui on estime que 87%* de la population française est touché par ce phénomène. Alors, comment faire face ?Thomas Rozec se rend dans les Hauts-de-France, à Mazingarbe, labellisée « Petite ville de demain » qui compte 8000 habitant·es et pionnière en matière de lutte contre les déserts médicaux.Il y a 3 ans, la commune a transformé une ancienne banque en cabinet médical éphémère pour attirer des jeunes médecins et tenter de pérenniser des services médicaux de proximité dans la durée. 3 ans après, médecin, élus et expert·es font le bilan de cette initiative innovante.Source du 87%* :https://www.lagazettedescommunes.com/906512/deserts-medicaux-toujours-moins-de-medecins-generalistes/Au micro de Thomas Rozec dans cet épisode :Dr Louise Gillot, médecin généraliste installée à Mazingarbe depuis 2022Laurent Poissant, Maire de MazingarbeVirginie Chasles, Professeure des universités en géographie. Université Jean-Monnet Saint-Étienne Crédits :Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B de Thomas Rozec réalisé par Thomas Plé, financé par l'Agence nationale de la cohésion des territoires dans le cadre du programme Petites villes de demain et en partenariat avec le GIP Europe des projets architecturaux et urbains et son programme POPSU Territoires. Coordination : Pacôme Bertrand et Hélène Millet. Production et édition : Camille Khodor. Direction de production : Albane Fily. Identité graphique : Lise Niederkorn. Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conférence publique de l'IISMM en partenariat avec la BULAC Cycle "Écologie en Islam, traditions séculaires et défis contemporains" Lundi 19 mai 2025 VILLES ET ENVIRONNEMENT EN JORDANIE ET À OMAN Myriam Ababsa, géographe, urbaniste, Chercheuse associée (Ifpo Amman, CAREP) et Thibaut Klinger, Professeur agrégé d'histoire (Lycée Racine, Paris) Modération : Sophie Bilardello (CNRS, IISMM) Audiovisuel : Maxime Ruscio (BULAC)
durée : 00:20:10 - Lectures du soir - " Un petit pré d'herbes chaudes qui ont l'odeur de la vanille et du citron, un buisson d'églantine, l'innocence des marguerites et des boutons d'or, le soleil en ruisseau de miel sur cette verdure sans péché. Quel est le péché des hommes ? Qu'ils aiment et qu'ils vivent "
Port d'armes blanches par les mineurs : la vidéoprotection dans les établissements scolaires est-elle une solution efficace ? / Les voitures doivent-elles avoir accès aux centres-villes ?
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l'actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l'actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
Aujourd'hui, des villes françaises comme Valence, Nevers ou Châtillon sonnent familières à nos oreilles. Mais il fut un temps, à la Révolution française, où elles ne portaient pas les mêmes noms. Pourquoi ? Parce que plus de 3000 communes ont changé de nom entre 1790 et 1795.Un véritable tsunami toponymique, qui en dit long sur l'époque. Alors, que s'est-il passé ?La Révolution française, ce n'est pas seulement la chute de la monarchie. C'est une volonté de refaire la France, de fond en comble.Changer les lois. Changer les mœurs. Et même… changer les noms.Les révolutionnaires considéraient que les noms de villes portaient les stigmates de l'Ancien Régime : des références religieuses, royales ou féodales qui n'avaient plus leur place dans la République naissante.Alors, on a voulu épurer le territoire.Adieu "Saint-Quelque-Chose", "Ville-Royale", "Notre-Dame-de…"Prenons des exemples concrets :Saint-Étienne devient Armes-le-Républicain, en référence à son industrie d'armement.Montpellier est rebaptisée Mont-Libre.Châtillon-sur-Seine devient Montagne-sur-Seine, dans l'esprit des Montagnards révolutionnaires.Versailles, symbole absolu de la monarchie, devient… Berceau-de-la-Liberté. Un nom audacieux, voire ironique.Les saints disparaissent. On les remplace par des mots comme “liberté”, “égalité”, “montagne”, “république”, “la raison”… Toute une géographie nouvelle, façonnée par les idéaux révolutionnaires.Mais attention : ces changements ne sont pas tous imposés d'en haut. Beaucoup viennent des communes elles-mêmes, désireuses de prouver leur attachement à la Révolution, parfois pour échapper à la suspicion ou aux représailles.Certaines vont même plus loin que nécessaire, supprimant tout ce qui pourrait rappeler une croix, une abbaye ou un seigneur.Mais cette frénésie toponymique ne dure qu'un temps.Avec la fin de la Terreur en 1794, et surtout sous le Directoire, la ferveur radicale s'essouffle. Bon nombre de villes reprennent progressivement leurs anciens noms – parfois dès les premières années du XIXe siècle, parfois beaucoup plus tard.Alors non, ce grand nettoyage de la carte de France n'a pas duré. Mais il a laissé une trace. Il nous rappelle qu'un nom, ce n'est pas neutre. C'est un choix, une mémoire, une idéologie.Changer le nom d'un lieu, c'est essayer de changer ce qu'il signifie. Et pendant quelques années, la France a tenté de se renommer elle-même… pour réinventer son avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La tradition chrétienne est faite de pèlerinage, où les fidèles marchent pour prier ensemble, pour se rapprocher de Dieu. Samedi 24 mai, de façon coordonnée dans une quinzaine de villes de France, ils seront des dizaines de milliers à marcher pour Jésus. De Brest à Cannes, de Lille à Strasbourg et jusqu'en Guadeloupe. Catholiques, protestants, évangéliques seront tous unis pour le Christ. A cette occasion, Sylvia Raoilison, membre du comité de la marche pour Jésus et son mari André Raoilison, président de la fédération "Marche pour Jésus France "et pasteur à l'église Eau Vive de Boulogne Billancourt sont au micro de RCF-Notre Dame. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je t'emmène découvrir les prépositions avec les noms de pays et de villes
Aujourd'hui, des villes françaises comme Valence, Nevers ou Châtillon sonnent familières à nos oreilles. Mais il fut un temps, à la Révolution française, où elles ne portaient pas les mêmes noms.Pourquoi ? Parce que plus de 3000 communes ont changé de nom entre 1790 et 1795.Un véritable tsunami toponymique, qui en dit long sur l'époque. Alors, que s'est-il passé ?La Révolution française, ce n'est pas seulement la chute de la monarchie. C'est une volonté de refaire la France, de fond en comble.Changer les lois. Changer les mœurs. Et même… changer les noms.Les révolutionnaires considéraient que les noms de villes portaient les stigmates de l'Ancien Régime : des références religieuses, royales ou féodales qui n'avaient plus leur place dans la République naissante.Alors, on a voulu épurer le territoire.Adieu "Saint-Quelque-Chose", "Ville-Royale", "Notre-Dame-de…"Prenons des exemples concrets :Saint-Étienne devient Armes-le-Républicain, en référence à son industrie d'armement.Montpellier est rebaptisée Mont-Libre.Châtillon-sur-Seine devient Montagne-sur-Seine, dans l'esprit des Montagnards révolutionnaires.Versailles, symbole absolu de la monarchie, devient… Berceau-de-la-Liberté. Un nom audacieux, voire ironique.Les saints disparaissent. On les remplace par des mots comme “liberté”, “égalité”, “montagne”, “république”, “la raison”… Toute une géographie nouvelle, façonnée par les idéaux révolutionnaires.Mais attention : ces changements ne sont pas tous imposés d'en haut. Beaucoup viennent des communes elles-mêmes, désireuses de prouver leur attachement à la Révolution, parfois pour échapper à la suspicion ou aux représailles.Certaines vont même plus loin que nécessaire, supprimant tout ce qui pourrait rappeler une croix, une abbaye ou un seigneur.Mais cette frénésie toponymique ne dure qu'un temps.Avec la fin de la Terreur en 1794, et surtout sous le Directoire, la ferveur radicale s'essouffle. Bon nombre de villes reprennent progressivement leurs anciens noms – parfois dès les premières années du XIXe siècle, parfois beaucoup plus tard.Alors non, ce grand nettoyage de la carte de France n'a pas duré. Mais il a laissé une trace. Il nous rappelle qu'un nom, ce n'est pas neutre. C'est un choix, une mémoire, une idéologie.Changer le nom d'un lieu, c'est essayer de changer ce qu'il signifie. Et pendant quelques années, la France a tenté de se renommer elle-même… pour réinventer son avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Collées l'une à l'autre, traversées par une rivière, l'Oubangui, et séparées par une frontière, Zongo la congolaise est située en face de la capitale centrafricaine Bangui. Ces deux villes sont naturellement liées par l'histoire, la culture mais aussi très dépendantes économiquement l'une de l'autre. Bangui dépend de Zongo en produits agricoles et Zongo dépend de Bangui en produits manufacturés. Tous les jours, les commerçants des deux villes font des traversées en pirogue pour s'approvisionner dans une ambiance de fraternité. Et pour renforcer ce lien, un accord de jumelage a été signé entre les deux villes en 2021. De notre correspondant à Bangui,Un arc-en-ciel apparaît dans le ciel alors que la pluie se pointe à l'horizon. Quelques débrouillards qui occupent la berge, se précipitent pour décharger une pirogue en bois de couleur rouge qui vient d'accoster. Debout à l'extrémité de la pirogue, Gérard, un piroguier de 34 ans, donne quelques coups de pagaies pour stabiliser le canoë : « On fait la course tous les jours. Avec mon équipe, nous effectuons une dizaine de tours entre les deux villes. Là, je ramène des commerçants d'ici qui étaient de l'autre côté pour acheter des fruits et légumes. »Sur la berge, une dizaine de pirogues et baleinières sont accrochées à des chaînes. Devant chaque embarcation, piroguiers et passagers discutent. Les chargeurs font monter des casiers de boissons, des cartons de beurre, sucre, lait, huile ou encore des savons. Sourire aux lèvres, Adeline, propriétaire d'un magasin à Bangui, est sur le point d'aller vendre ses marchandises à Zongo : « Les produits que nous exportons manquent à Zongo. C'est notre devoir à nous les commerçants d'aller ravitailler cette ville jumelle. Les véhicules et les motos ne peuvent pas y aller donc nous utilisons la pirogue. »« Ce sont des sœurs siamoises »Aux heures de pointes, une embarcation débarque de Zongo. Debout sur le sable, les commerçantes discutent le prix avec les livreurs congolais. « Sur le plan d'huile de palme, c'est Zongo qui ravitaille l'usine du savon en Centrafrique, pointeRichard Apkiwé, président de la fédération des entreprises du Congo. Par jour, nous exportons plus de mille fûts d'huile de palme à Bangui. Chaque jour, nous envoyons des avocats, des cocos, des mangues, des arachides et des légumes à Bangui. »Dans son bureau, le maire de Zongo Arthur Nguma nous présente le contenu d'un accord de jumelage signé en 2021 entre les deux villes : « La capitale Bangui et la ville de Zongo, ce sont des sœurs siamoises que la rivière Oubangui a séparées. Cet accord consiste donc à favoriser la fraternité. Bientôt, nous allons construire un pont sur la rivière Oubangui, installer deux bacs pour la navette et construire un quai moderne. La construction de ces édifices permettra une large ouverture. Ce jumelage favorise l'intégration de nos deux peuples. »Les villes de Bangui et Zongo ont été respectivement créées en 1889 et 1971. Malgré cet accord de jumelage, certains habitants des deux villes subissent de temps en temps des tracasseries administratives et des raquettes policières de part et d'autre. Nombreux sont ceux qui demandent aujourd'hui le suivi et l'application des textes sur le terrain.À lire aussiÀ Zongo, on prend la pirogue pour aller à l'école [1/3]À lire aussiRCA/RDC: Bangui et Zongo, la culture en partage pour ces villes jumelles [2/3]
RFI vous parle de deux villes collées l'une à l'autre, traversées par une rivière, l'Oubangui et séparées par une frontière. Ces villes sont Zongo la congolaise, située en face de la capitale centrafricaine Bangui. Créée 1971 à l'époque du Maréchal Mobutu, la ville de Zongo compte plus de 130.000 habitants avec une superficie d'environ 450 km². Située dans le Sud-Ubangui, elle se trouve en face de Bangui, capitale de la République centrafricaine, une ville cosmopolite d'environ 1 500 000 habitants. Même si les deux villes sont naturellement séparées par la rivière Oubangui, elles sont très liées sur le plan culturel. Les habitants des deux territoires partagent les mêmes langues et les mêmes modes de vie. De notre correspondant à Bangui,Des pas de danse rythmés par des balafons et tam-tams pour le bonheur de la foule. Ce matin à l'espace culturel Bon Coin du Pêcheur installé à Zongo, le groupe de danse MAÏMA livre un spectacle hors du commun.Pieds nus, habillements traditionnels, les jeunes danseurs portent des couronnes de plumes, des perles, des coquillages et même des peaux de bêtes. Michel Lobota est le responsable de ce centre culturel. « Chez nous, au Bon Coin du Pêcheur, nous donnons l'opportunité aux deux peuples de partager les activités culturelles telles que des concerts musicaux, des activités, des contes et des théâtres. Et il nous arrive des week-ends, des fois, d'organiser des karaokés, des musiciens qui viennent de Bangui qui viennent jouer au Bon Coin du Pêcheur. Nous donnons aussi nos instruments au groupe folklorique pour faire des productions pour le bien-être de la population de Zongo et de Bangui. »À lire aussiÀ Zongo, on prend la pirogue pour aller à l'école [1/3]« Quand je viens ici, je me sens comme à la maison »Le public regarde avec admiration un joueur de balafon qui se distingue avec sa sonorité traditionnelle. Assis sur un banc localement appelé Balambo, il frappe l'instrument au moyen de deux baguettes recouvertes de caoutchouc. Paulette Belinda qui vient de la République centrafricaine reconnaît la culture des Ngbaka, son groupe ethnique. « Quand je viens ici, je me sens comme à la maison. Nous avons la même culture, les mêmes types de nourritures, de boissons, de religions et on s'habille de la même manière. C'est impressionnant. »Non loin de là, Ismaël Samba, un Centrafricain de trente ans, discute avec ses amis en montrant son doigt avec un large sourire. « Je me suis marié à une habitante d'ici, voici la bague. Tantôt, on est ici, tantôt là-bas. Les riverains qui vivent ici, on les retrouve également de l'autre côté. »Un jumelage culturel et socio-économiqueL'une des particularités qui renforcent les liens entre les deux villes, c'est la langue. De part et d'autre, on parle le français, le lingala et le sango. Blaise Mundemba est chargé de communication à la mairie de Zongo. « Les langues font souvent les forces d'un peuple. Sango, lingala, ça fait la fierté des deux villes. C'est facile pour l'intégration. Parce que le peuple qui quitte Bangui pour Zongo parle Lingala. Le peuple qui quitte Zongo pour Bangui parle sango. »Un accord de jumelage a été signé entre la mairie de Bangui et celle de Zongo en 2021. Cet accord permet aujourd'hui d'encadrer la bonne marche des activités socio-économiques et culturelles.
Tous les matins, l'œil malicieux de Martin Bourdin se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
durée : 00:58:40 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui nous recevons les cinéastes Lawrence Valin et Bogdan Mureşanu pour leurs films "Little Jaffna" et "Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé", et aussi N.T.Binh. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Bogdan Mureşanu cinéaste; Lawrence Valin cinéaste; N.T. Binh Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
durée : 00:58:40 - Plan large - par : Antoine Guillot - Aujourd'hui nous recevons les cinéastes Lawrence Valin et Bogdan Mureşanu pour leurs films "Little Jaffna" et "Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé", et aussi N.T.Binh. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Bogdan Mureşanu cinéaste; Lawrence Valin cinéaste; N.T. Binh Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
Thomas Rozec se rend à Quiberon, dans le Morbihan, une station balnéaire de presque 5000 habitants qui constitue également un espace productif et un bassin d'emplois important. Mais, comme sur l'ensemble du littoral breton, la question de l'accès au logement pour les actifs et les classes moyennes se pose. Le prix du m2 ne cesse d'augmenter dans cette commune qui pourtant ne manque pas de logements mais dont 66% du parc foncier est constitué de résidences secondaires. Alors, comment favoriser la location de longue durée ? Comment concilier résidences secondaires et présence à l'année ? Élus et experts nous détaillent les enjeux et dispositifs à l'essai dans cette Petite ville de demain. Au micro de Thomas Rozec dans cet épisode : Patrick Le Roux, Maire de Quiberon Marilyne Domalain, responsable du pôle aménagement, urbanisme et déplacement Brieuc Bisson, géographe à l'Université Rennes 2, responsable scientifique du projet POPSU mené à QuiberonCrédits :Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B de Thomas Rozec réalisé par Thomas Plé, financé par l'Agence nationale de la cohésion des territoires dans le cadre du programme Petites villes de demain et en partenariat avec le GIP Europe des projets architecturaux et urbains et son programme POPSU Territoires. Coordination : Pacôme Bertrand et Hélène Millet. Production et édition : Camille Khodor. Direction de production : Albane Fily. Identité graphique : Lise Niederkorn. Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un phénomène planétaire, les villes s'étendent, car elles attirent de plus en plus de monde. Depuis 2008, plus de la moitié de la population mondiale est urbaine, bientôt les deux tiers, annoncent les experts de l'ONU ! Mais qu'est-ce qui nous donne envie de vivre en ville ? L'accès facilité à l'eau, à l'électricité, aux infrastructures de santé et d'éducation et aux emplois qui peuvent permettre une ascension sociale. Mais les mégapoles qui abritent plus de 10 millions d'habitants ont aussi leur face sombre : leur gigantisme consomme énormément de ressources planétaires qui ne sont pas illimitées et elles sont au quotidien oppressantes, minérales et polluées. D'ailleurs, d'autres modèles du vivre ensemble émergent.Avec Guillaume Faburel,géographe et professeur à l'Université Lyon 2, auteur de Indécence urbaine - Pour un nouveau pacte avec le vivant (Flammarion, 2023). Et le reportage de Côme Bastin sur le plus ancien et le plus grand éco-village du monde : Auroville, en Inde :L'expérience singulière d'Auroville naît en 1968 dans le sud-est de l'Inde, dans l'État du Tamil Nadu, près de Pondichéry. Des centaines de volontaires d'Inde et du monde entier ont répondu à l'appel d'une mystique franco-indienne : Mira Alfassa, qui rêve d'une ville dédiée à la spiritualité et l'écologie, où l'argent, la propriété et la nationalité n'ont pas d'importance. Avec des hauts et des bas, ces pionniers vont transformer un plateau désertique en un havre de verdure et expérimenter de nouvelles formes d'architecture et de vivre ensemble, sous la protection bienveillante de l'État indien. Enfin, ça, c'était jusqu'en 2021. Car depuis trois ans, l'État indien a entrepris de reprendre en main Auroville et sa communauté, jugées un peu trop cosmopolites et baba cool. Cette émission est une rediffusion du 21 février 2025.
durée : 00:42:05 - Une semaine en France - par : Eric Delvaux - En proie à une activité commerçante en berne, les villes moyennes cherchent à revitaliser leur économie et préserver leurs commerces de proximité. - réalisé par : Juliette GOUX
Paris, Lyon, Rennes... ces 33 maires veulent le vote dès 16 ans pour les municipales Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Agnès Bonfillon du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Agnès Bonfillon du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Agnès Bonfillon du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Paris, Lyon, Rennes... ces 33 maires veulent le vote dès 16 ans pour les municipales Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Agnès Bonfillon du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 17 avril 2025, les GG : Antoine Diers, consultant, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, et Frédéric Farah, professeur d'économie, débattent du sujet du jour : Safran ne veut plus s'implanter dans les villes écolos !
durée : 00:29:51 - Les Pieds sur terre - par : Élise Andrieu - Comment les enfants qui grandissent à la ville imaginent-ils la vie des enfants qui grandissent à la campagne, et inversement ? D'un décor à l'autre, et sans jamais se rencontrer, ils racontent ce qu'ils entrevoient de leurs différences… - réalisation : Annabelle Brouard
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Fatima Aït Bounoua, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:59:55 - Les Nuits de France Culture, archives d'exception - par : Philippe Garbit - A elle seule, Royan symbolise tous les enjeux et tous les drames de ces villes détruites par leurs libérateurs. Cette émission de "L'histoire en direct" diffusée en 1997 propose un débat autour du sort de ces villes rasées de l'Atlantique, victimes des bombardements de la Seconde Guerre mondiale. - réalisation : Lise Côme - invités : Philippe Masson; Raymond Aubrac Résistant, ingénieur civil français; Danièle Voldman Historienne, directrice de recherche émérite au CNRS, spécialiste des questions urbaines et de genre
durée : 00:39:04 - Questions du soir : le débat - par : Mattéo Caranta, Stéphanie Villeneuve - Les Zones à Faibles Émissions (ZFE), débattues à l'Assemblée, divisent. Pensées pour lutter contre la pollution de l'air, elles sont accusées de pénaliser les plus modestes. Comment concilier santé publique, justice sociale et transition écologique ? - réalisation : François Richer - invités : Daphné Chamard-Teirlinck Responsable Transition écologique juste au Secours catholique ; Aziza Akhmouch Cheffe de la division Villes, Politiques urbaines, Développement durable à l'OCDE; Eric Michoux Député du groupe UDR (LR/RN)
A 10h45, ce mardi 8 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, enseignante d'histoire-géographie et essayiste, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : Municipales, imposer la parité dans les petites villes ?
durée : 00:15:40 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Terrasses : comment les villes s'adaptent ? Avec Sylvie Durruty et David Zénouda
durée : 00:58:56 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Depuis la crise Covid, les terrasses ont gagné des mètres carré sur les trottoirs des petites et grandes villes. Comment est réglementé ce nouvel aménagement de l'espace public et comment se passe la cohabitation ?
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Charles Consigny et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:00 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Aujourd'hui Roxanne, 9 ans, voudrais savoir si la pollution de l'eau des mers peut contaminer les villes en bord de mer. La paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte lui répond. - invités : Valérie MASSON-DELMOTTE - Valérie Masson-Delmotte : Paléoclimatologue, co-présidente du groupe de travail sur les bases physiques du climat du GIEC - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Avec 950 millions de nouveaux citadins attendus d'ici 2050, les agglomérations urbaines africaines sont particulièrement vulnérables face au changement climatique. Elles subissent de plein fouet les canicules, les inondations ; des phénomènes météorologiques accentués par des sols bétonnés ou des infrastructures défaillantes. Sous-équipées en infrastructures routières, d'eau ou d'électricité, soumises au développement de quartiers informels, il leur reste encore beaucoup à faire en matière de planification, de gestion des déchets, de transport. Autant d'opportunités aussi pour penser la ville autrement. Faire revenir les végétaux, l'agriculture urbaine, stocker les eaux pluviales, blanchir les sols et les murs, développer les mobilités douces pour limiter la pollution, quelles sont les solutions les plus adaptées au continent ? Quelles coopérations entre les villes africaines et européennes ? Une émission enregistrée à Marseille à l'occasion du Sommet Climate Chance Europe Afrique 2025 sur le thème «Adaptation : passer à l'action» qui se déroule les 31 mars et 1er avril 2025.Avec :• Luc Gnacadja, ancien secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, Ancien ministre de l'Environnement, de l'Habitat et de l'Urbanisme du Bénin. Fondateur et président de GPS-Dev (Governance & Policies for Sustainable Development), un think tank dont la mission est de rendre les systèmes de gouvernance plus propices au développement durable, notamment en Afrique.• Valérie Verdier, présidente-directrice générale de l'Institut de recherche pour le développement (IRD)• Fatimetou Mint Abdel Malick, présidente de la Région de Nouakchott, Mauritanie et de l'organisation Cités et gouvernements locaux unis d'Afrique (CGLU Afrique)• Luc Sètondji Atrokpo, maire de Cotonou et président de l'Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB). Programmation musicale :► Aime comme ça (la cité) - Emma'a, Kulturr► Foriwah - KOG.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Première étape de ce nouveau tour de France des petites villes : Saint-Jean-d'Angely, à l'est de la Charente-Maritime. Thomas Rozec s'y rend pour discuter réindustrialisation et renouveau productif des territoires ruraux. Car après 40 ans de fermetures d'usines en série, de pertes d'emplois, et d'habitants, Saint-Jean-d'Angély connait aujourd'hui un second souffle. Alors comment et sur quoi cette "petite ville de demain" a-t-elle misé pour se relancer, se réinventer ? Et comment articuler rebond productif et transition écologique ? Au fil des rencontres et des témoignages, partez à la découverte d'une petite ville qui a su prendre la tangente à travers la mobilisation du déjà-là, de ses atouts et de ses ressources ! Au micro de Thomas Rozec dans cet épisode :Françoise Mesnard, Maire de Saint-Jean-d'AngelyJean-François Damas, responsable aménagement et grands projets à la mairie de Saint-Jean-d'AngelyMarie Ferru, Professeure des Universités en Géographie / Directrice de la Fédération de recherche Territoires / Chercheure en résidence à l'Espace Mendes FranceGuillaume Meslin, Directeur du site chez Léa Nature, biscuiterie Jean et Lisette à Saint-Jean d'AngelyCrédits :Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B de Thomas Rozec réalisé par Thomas Plé, financé par l'Agence nationale de la cohésion des territoires dans le cadre du programme Petites villes de demain et en partenariat avec le GIP Europe des projets architecturaux et urbains et son programme POPSU Territoires. Coordination : Pacôme Bertrand et Hélène Millet. Production et édition : Camille Khodor. Direction de production : Albane Fily. Identité graphique : Lise Niederkorn. Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/les-bases-de-la-geographie-francaise-2-3-les-grandes-villes
Cédrick Hugues était au téléphone des Grosses Tètes ce 3 mars. Il souhaite jumeler deux villes : l'une au Pays Basque, Guiche, et l'autre au Quebec, Lorraine... De quoi faire rire les Grosses Têtes ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.