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durée : 00:19:23 - Lectures du soir - "Nous, les pensionnaires d'à côté, nous vivions malgré tout en relations continuelles avec les clients du Palace. Or, la veille, cet hôtel avait eu à enregistrer un parfait scandale."
Rendez-vous avec la revue «Esprit» dans ce numéro d'Idées, pour parler du numéro de novembre intitulé «Banlieues, les oubliées de la République». Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne Dujin sa rédactrice en chef. Dans son dossier du mois, «Esprit» nous propose, en effet, une réflexion critique sur la manière dont certaines banlieues françaises sont perçues et traitées dans le débat public, par les hommes politiques ou les journalistes. Coordonné par le chercheur indépendant Hacène Belmessous, il revient sur vingt ans de dépolitisation et d'occultation, selon lui, d'une histoire sociale et politique. Le numéro s'ouvre sur le rappel des révoltes de l'automne 2005, déclenchées après la mort de deux jeunes à Clichy-sous-Bois. Vingt ans plus tard, «Esprit» constate que les banlieues ne sont plus évoquées qu'à travers des considérations sécuritaires, culturelles, effaçant leur dimension politique et sociale. Il faut dire que le narcotrafic pose aujourd'hui de redoutables questions dans certains quartiers, à Marseille notamment, mais on ne peut réduire les banlieues au trafic de drogue. À écouter aussiClichy-sous-Bois: la délicate reconstruction 20 ans après la mort de Zyed et Bouna Selon la revue, cette dépolitisation s'apparente à une stratégie qui invisibilise les luttes, les aspirations et les réalités vécues par des millions d'habitants. Les articles coordonnés par Hacène Belmessous montrent comment l'État et les médias ont contribué, selon leurs auteurs, à réduire les banlieues à des espaces de danger ou de déficit culturel, plutôt qu'à des lieux de citoyenneté et de créativité sociale. Le dossier (qui se compose également d'entretiens, avec le sociologue François Dubet notamment) insiste sur la nécessité de réinscrire les banlieues dans l'histoire de la République, en reconnaissant leur rôle dans les transformations sociales et politiques contemporaines. Les auteurs dénoncent la tendance à essentialiser les habitants des banlieues, en les réduisant à des catégories stigmatisées (jeunes, immigrés, musulmans). Ils mettent en lumière la richesse des expériences locales, des mobilisations associatives et des initiatives culturelles qui témoignent d'une vitalité démocratique ignoré. Comme dans chaque numéro, la revue «Esprit» propose des articles sur d'autres thèmes, en plus du dossier. On notera, par exemple, une intéressante analyse sur l'emprisonnement de Nicolas Sarkozy ou bien encore sur les relations entre la France et Israël. Programmation musicale : - Gogo Penguin - Living Bricks in Dead Mortar - IAM - Eldorado (Instrumental).
Rendez-vous avec la revue «Esprit» dans ce numéro d'Idées, pour parler du numéro de novembre intitulé «Banlieues, les oubliées de la République». Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne Dujin sa rédactrice en chef. Dans son dossier du mois, «Esprit» nous propose, en effet, une réflexion critique sur la manière dont certaines banlieues françaises sont perçues et traitées dans le débat public, par les hommes politiques ou les journalistes. Coordonné par le chercheur indépendant Hacène Belmessous, il revient sur vingt ans de dépolitisation et d'occultation, selon lui, d'une histoire sociale et politique. Le numéro s'ouvre sur le rappel des révoltes de l'automne 2005, déclenchées après la mort de deux jeunes à Clichy-sous-Bois. Vingt ans plus tard, «Esprit» constate que les banlieues ne sont plus évoquées qu'à travers des considérations sécuritaires, culturelles, effaçant leur dimension politique et sociale. Il faut dire que le narcotrafic pose aujourd'hui de redoutables questions dans certains quartiers, à Marseille notamment, mais on ne peut réduire les banlieues au trafic de drogue. À écouter aussiClichy-sous-Bois: la délicate reconstruction 20 ans après la mort de Zyed et Bouna Selon la revue, cette dépolitisation s'apparente à une stratégie qui invisibilise les luttes, les aspirations et les réalités vécues par des millions d'habitants. Les articles coordonnés par Hacène Belmessous montrent comment l'État et les médias ont contribué, selon leurs auteurs, à réduire les banlieues à des espaces de danger ou de déficit culturel, plutôt qu'à des lieux de citoyenneté et de créativité sociale. Le dossier (qui se compose également d'entretiens, avec le sociologue François Dubet notamment) insiste sur la nécessité de réinscrire les banlieues dans l'histoire de la République, en reconnaissant leur rôle dans les transformations sociales et politiques contemporaines. Les auteurs dénoncent la tendance à essentialiser les habitants des banlieues, en les réduisant à des catégories stigmatisées (jeunes, immigrés, musulmans). Ils mettent en lumière la richesse des expériences locales, des mobilisations associatives et des initiatives culturelles qui témoignent d'une vitalité démocratique ignoré. Comme dans chaque numéro, la revue «Esprit» propose des articles sur d'autres thèmes, en plus du dossier. On notera, par exemple, une intéressante analyse sur l'emprisonnement de Nicolas Sarkozy ou bien encore sur les relations entre la France et Israël. Programmation musicale : - Gogo Penguin - Living Bricks in Dead Mortar - IAM - Eldorado (Instrumental).
durée : 00:04:31 - Le Reportage de la rédaction - En Ukraine, dans le Donbass, la bataille pour le contrôle de la ville stratégique de Pokrovsk fait toujours rage. Alors que la ville est prise en tenaille par les forces russes, nos envoyés spéciaux en Ukraine ont passé vingt-quatre heures auprès des artilleurs ukrainiens, au plus près des combats. - réalisation : Marc Garvenes
durée : 00:04:31 - Le Reportage de la rédaction - En Ukraine, dans le Donbass, la bataille pour le contrôle de la ville stratégique de Pokrovsk fait toujours rage. Alors que la ville est prise en tenaille par les forces russes, nos envoyés spéciaux en Ukraine ont passé vingt-quatre heures auprès des artilleurs ukrainiens, au plus près des combats. - réalisation : Marc Garvenes
Albert Millet, 78 ans, surnommé le sanglier des Maures. Une vie entière marquée par le crime, une colère bouillonnante, le besoin irrépressible de tuer. En cinquante ans, ce sont trois meurtres qu'on va compter dans son sillage. A chaque fois on pensait que la prison l'avait calmé et qu'il s'était assagi. A chaque fois la justice s'est trompée. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Albert Millet, 78 ans, surnommé le sanglier des Maures. Une vie entière marquée par le crime, une colère bouillonnante, le besoin irrépressible de tuer. En cinquante ans, ce sont trois meurtres qu'on va compter dans son sillage. A chaque fois on pensait que la prison l'avait calmé et qu'il s'était assagi. A chaque fois la justice s'est trompée. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
durée : 00:03:26 - Le monde à l'endroit - L'Assemblée nationale a adopté jeudi 27 novembre à l'unanimité une résolution contre l'accord de libre échange UE-Mercosur. Autour de la table des Vingt-sept comme au Parlement européen, la bataille est en revanche loin d'être gagnée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En 1991, Jean-Louis Turquin faisait la Une des journaux avec la disparition de son fils de 7 ans, Charles Edouard. L'affaire s'était soldée par une condamnation à 20 ans de prison pour le père de l'enfant. Le mobile ? Une vengeance contre son épouse qui demandait le divorce. Vingt-six années et une compagne plus tard, Jean-Louis Turquin est de nouveau au centre de l'attention. Sa seconde femme Nadine l'a retrouvé au domicile conjugal tué d'une balle dans le dos. Cette dernière était suspectée par la police mais les charges contre elle viennent de s'envoler.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journaux reviennent sur le rôle central que Marco Rubio, le secrétaire d'État américain, joue dans les négociations autour d'un possible accord de paix entre l'Ukraine et la Russie. Le New York Times note que la présentation du plan, vendredi 21 novembre, a été plus que maladroite, certains parlant même de « chaos ». Marco Rubio a d'abord minimisé le texte en le décrivant comme « une liste d'idées », alors que Donald Trump et son vice-président JD Vance l'approuvaient pleinement. Les contradictions se sont poursuivies : dimanche 23 novembre, Trump attaquait Kiev sur les réseaux sociaux pendant que Marco Rubio, lui, tentait de sauver le projet à Genève. Pour le New York Times, il a réussi au moins une chose : reprendre la main sur un plan dont l'issue reste très incertaine. La presse insiste aussi sur cette cacophonie, conséquence de la stratégie de Donald Trump qui contourne de plus en plus la diplomatie traditionnelle. Selon Politico, la coordination a été abandonnée au profit de négociateurs officieux — JD Vance et son allié Dan Driscoll notamment — avant que Rubio ne reprenne le dossier à Genève. Politico souligne toutefois une inconnue : le rôle que pourraient jouer dans ces discussions des figures proches de Trump comme Steve Witkoff ou Jared Kushner, décrits comme « assez indépendants ». En Europe, on doute d'ailleurs que toute l'équipe soit réellement alignée derrière Marco Rubio. Marco Rubio est également en première ligne sur un autre front : le bras de fer entre Washington et Caracas. Artisan de la ligne dure contre le Venezuela, il soutient une stratégie américaine qui pourrait, selon certains observateurs, aller jusqu'à des opérations ciblées au sol. Mais là encore, Donald Trump souffle le chaud et le froid : lundi 24 novembre, son administration a classé le nébuleux « cartel de los soles » comme organisation terroriste, avant que le site Axios ne révèle que le président serait prêt à discuter directement avec Nicolás Maduro. À écouter aussi :Venezuela : «le Cartel de los Soles n'existe pas» À Porto Rico, le renforcement de la présence militaire américaine réveille de très douloureux souvenirs El País rappelle que la petite île de Vieques a été un immense champ de tirs de la Navy pendant plus d'un demi-siècle, avec expulsions massives des habitants, bombardements et exposition à des substances toxiques dont les habitants subissent encore les conséquences. Vingt ans après le départ de l'armée, la réouverture de la base de Roosevelt Roads et la possibilité d'un retour d'exercices à Vieques provoquent une vive inquiétude, alors que le nettoyage des munitions non explosées est loin d'être terminé et que les taux de cancers restent alarmants. Élus et citoyens tirent la sonnette d'alarme face à cette remilitarisation liée aux tensions avec le Venezuela. Une migrante haïtienne hospitalisée en République dominicaine meurt après son expulsion C'est à la Une d'Alterpresse, dont nous évoquons les gros titres avec son directeur Gotson Pierre. La Plateforme genre du Nord-Est (PGNE) dénonce la mort de Jésula Florvil, une migrante haïtienne de 31 ans, illégalement déportée de République dominicaine alors qu'elle était hospitalisée et sous oxygène, un mois et demi après son accouchement. Arrachée à ses soins, remise aux autorités migratoires et transférée en Haïti dans un état de grande faiblesse, elle est décédée le 21 novembre 2025. Pour la PGNE, cette tragédie illustre les pratiques inhumaines, cruelles et dégradantes subies par les femmes haïtiennes – y compris enceintes, en travail ou en post-partum – lors de leur arrestation, détention et déportation. À lire aussiLa République dominicaine durcit encore le ton face à l'immigration illégale en provenance d'Haïti Violences faites contre les femmes : la situation en Haïti En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, nous nous penchons sur le cas haïtien. Nous en parlons avec l'ancienne ministre de la condition féminine, Ginette Chérubin. Journal de la 1ère En Guadeloupe, les financements du syndicat mixte de gestion de l'eau et de l'assainissement sont dans le collimateur de la Chambre régionale des comptes.
durée : 00:04:32 - Le Reportage de la rédaction - En Ukraine, dans le Donbass, la bataille pour le contrôle de la ville stratégique de Pokrovsk fait toujours rage. Alors que la ville est prise en tenaille par les forces russes, nos envoyés spéciaux en Ukraine ont passé vingt-quatre heures auprès des artilleurs ukrainiens, au plus près des combats. - réalisation : Marc Garvenes
durée : 00:04:32 - Le Reportage de la rédaction - En Ukraine, dans le Donbass, la bataille pour le contrôle de la ville stratégique de Pokrovsk fait toujours rage. Alors que la ville est prise en tenaille par les forces russes, nos envoyés spéciaux en Ukraine ont passé vingt-quatre heures auprès des artilleurs ukrainiens, au plus près des combats. - réalisation : Marc Garvenes
20 ans des Docks ! Ça se fête! The post Docks : Vingt ans de passion. La musique au centre de tout first appeared on Radio Vostok.
20 ans des Docks ! Ça se fête! The post Docks : Vingt ans de passion. La musique au centre de tout first appeared on Radio Vostok.
Créé le 5 juillet 2005, pvtistes.net célèbre cette année ses 20 ans d'existence. C'est un site qui donne des informations pratiques à tous les jeunes qui souhaitent partir à l'étranger dans le cadre du PVT, le Programme Vacances Travail. Ce programme mis en place par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères bénéficie à plus de 40 000 Français chaque année. Julie Meunier est la cofondatrice de pvtistes.net.
La presse européenne revient amplement sur le plan de paix américain pour l'Ukraine. Un plan jugé largement défavorable à Kiev, ce serait même « un désastre » pour l'Ukraine, estime le quotidien britannique The Guardian, qui perçoit un air de déjà-vu dans l'ultimatum posé par Trump (le président ukrainien Volodymyr Zelensky est censé se prononcer d'ici jeudi). « On a déjà vu ça » nous dit effectivement le Guardian, « l'administration Trump annonce une feuille de route (…) qui semble largement répondre aux exigences de Moscou. Volodymyr Zelensky appelle ses alliés européens, qui contactent aussitôt Trump, pour lui dire que le plan est irréalisable. Le plan tombe à l'eau et on recommence ». « Mais cette fois-ci, la situation semble un peu différente », reconnaît le quotidien britannique. « Selon des informations parues hier, les États-Unis menacent de retirer leur aide en matière de renseignements et plusieurs autres formes de leur soutien, crucial, à l'effort de guerre ukrainien ». Toutefois, en Ukraine, le Kyiv Post ne l'entend pas de cette oreille : « Pas de capitulation imposée », s'exclame le journal ukrainien, « quelles que soient les intentions du président Trump, il est inadmissible qu'il conclue des accords avec la Russie au détriment de l'Ukraine, de l'Europe et du reste du monde démocratique ». Traîtresse Donald Trump qui a, par ailleurs, semble-t-il, trouvé une adversaire à sa taille, au sein de ses plus proches soutiens. Elle s'appelle Marjorie Taylor Greene, représentante républicaine de Géorgie élue en 2020, et elle « annonce son intention de démissionner », nous explique le New York Times. « Elle s'était positionnée comme un fervent soutien de Trump, jusqu'à une série de désaccords avec le président américain qui lui a récemment retiré son soutien ». Donald Trump a en effet qualifié Marjorie Taylor Greene de « traîtresse », raconte le Washington Post, « car elle a insisté pour que la Chambre des représentants vote sur l'obligation faite au ministère de la Justice de publier davantage de documents concernant le délinquant sexuel Jeffrey Epstein », une ancienne connaissance de Donald Trump. La réponse de Marjorie Taylor Greene a été cinglante : « Défendre des Américaines violées à 14 ans, victimes de trafic et exploitées par des hommes riches et puissants ne devrait pas me valoir d'être qualifiée de traîtresse et menacée par le président des États-Unis, pour lequel je me suis battue ». Marjorie Taylor Green qui n'a toutefois pas toujours tenu que des propos de bon sens. Pendant la crise du Covid, rappelle le Wall Street journal, « elle avait comparé le port du masque et la vaccination obligatoire aux atrocités nazies ». Journal d'un prisonnier En France, un ancien président annonce la sortie de son nouveau livre. Cet ancien président, c'est Nicolas Sarkozy, qui va raconter « son expérience de l'incarcération », explique le journal Libération, « dans un livre sobrement intitulé "le Journal d'un prisonnier" ». « En prison, il n'y a rien à voir et rien à faire », raconte ainsi Nicolas Sarkozy. « J'oublie le silence qui n'existe pas à la prison de la Santé où il y a beaucoup à entendre. Le bruit y est hélas constant ». Des propos qui font visiblement sourire Libération, journal de gauche qui interroge ironiquement : « Vingt jours de détention et de quoi écrire un pamphlet sur les prisons ? » Le livre de l'ancien président sortira le 10 décembre, « un timing parfait pour les fêtes de fin d'année », remarque encore le quotidien français, qui précise aussi que le titre du livre "le Journal d'un prisonnier", a déjà maintes fois été emprunté. « L'ancien président, manifestement pressé de livrer sa courte expérience carcérale, n'a pas pris le temps de vérifier si un tel titre avait déjà été utilisé. La liste des livres portant la même appellation est pourtant longue », conclut Libération.
« Il faut savoir se perdre pour un temps si l'on veut apprendre quelque chose des êtres que nous ne sommes…
« Il faut savoir se perdre pour un temps si l'on veut apprendre quelque chose des êtres que nous ne sommes…
Vingt jours ! C'est plus une détention, c'est une classe verte.
Vingt jours ! C'est plus une détention, c'est une classe verte.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les tensions entre Donald Trump et la BBC, l'économie au Congo-Brazzaville et un plan de rémunération spécial de Tesla à Elon Musk. Guerre en Ukraine : vers une chute de la ville de Pokrovsk ? Après plus d'un an de combats acharnés, la ville de Pokrovsk, dans la région de Donetsk, est désormais menacée de tomber aux mains des forces russes. Quel est l'enjeu de la prise de cette localité située dans l'est du pays ? L'armée ukrainienne a-t-elle les moyens de repousser l'armée russe ? Avec Franck Alexandre, journaliste spécialiste des questions de défense et de sécurité à RFI. Médias : la BBC dans le viseur de Trump pour un discours « truqué » Donald Trump menace de poursuivre la BBC pour diffamation et réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts après la diffusion d'un documentaire. Au cœur de la polémique, un montage jugé « trompeur » des propos du président américain lors de l'assaut du Capitole en 2021. Comment le média britannique peut-il éviter un procès ? Avec Philip Turle, journaliste britannique, chroniqueur international pour France 24. Congo-Brazzaville : de retour sur les marchés financiers internationaux Vingt ans après sa dernière émission d'euro-obligations, le Congo-Brazzaville a émis un titre obligataire pour un montant de 670 millions de dollars placé sur le marché principal de la Bourse de Londres. Comment expliquer ce retour maintenant après tant d'années d'absence ? A quels défis le pays doit-il répondre pour se maintenir durablement sur les marchés financiers ? Avec Alexis Bédu, journaliste au service économie de RFI. Tesla : Elon Musk bientôt trillionaire ? Les actionnaires de Tesla ont validé un plan de rémunération colossal d'une valeur potentielle de 1 000 milliards de dollars en faveur d'Elon Musk. Comment expliquer cette décision ? L'homme d'affaires déjà le plus riche du monde est-il réellement indispensable à la tête de Tesla ? Avec Emmanuel Botta, rédacteur en chef en charge de la Stratégie numérique à Challenges. Co-auteur de l'ouvrage « Elon Musk : l'enquête inédite » (éditions Robert Laffont).
Mes chers camarades, bien le bonjour !Imaginez : vous êtes au large des côtes nordiques à bord de votre navire viking, aux côtés de vos camarades. La mer s'étend à perte de vue, sa surface bleue profonde vous appelle à avancer. Et pourtant, aucun compas, aucune carte moderne pour vous guider. Seulement la mémoire des marins et la lecture des courants, du soleil, des étoiles, le bruit des oiseaux. Comment les vikings naviguaient-ils réellement à cette époque sans instrument moderne ? Les sagas nordiques et chroniques anciennes regorgent de descriptions fascinantes et les découvertes archéologiques complètent ces récits. Mais seulement en partie. En mai 2025, une étude publiée dans “Journal of Archaeological Method and Theory” propose de combiner archéologie expérimentale et modélisations numériques pour compléter les sources écrites et archéologiques. Après tout, c'est en forgeant qu'on devient forgeron. Alors peut-être que c'est en naviguant qu'on devient navigateur ?Bonne écoute !➤ Un grand merci à Lucie Malbos pour avoir répondu à mes questions ! Découvrez ses différents livres sur les peuples du Nord : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucie_Malbos#Ouvrages
durée : 00:03:39 - Le monde à l'endroit - A quelques jours de l'ouverture de la COP 30 au Brésil, les Vingt-sept sont condamnés à s'entendre sur la réduction de leurs émissions carbone en 2035 s'ils veulent éviter une "catastrophe diplomatique". Mais le compromis s'annonce périlleux pour les ambitions climatiques de l'Europe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:38 - Le Reportage de la rédaction - En 2007, deux ans après la mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois, Farid Zerzour, alors jeune comédien, décide de lancer son théâtre au cœur du quartier prioritaire dont il est originaire, celui des Fossés-Jean, à Colombes, dans les Hauts-de-Seine. Depuis, il y accueille les habitants.
durée : 00:04:38 - Le Reportage de la rédaction - En 2007, deux ans après la mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois, Farid Zerzour, alors jeune comédien, décide de lancer son théâtre au cœur du quartier prioritaire dont il est originaire, celui des Fossés-Jean, à Colombes, dans les Hauts-de-Seine. Depuis, il y accueille les habitants.
durée : 00:04:40 - Le Reportage de la rédaction - Les émeutes de 2005 avaient entraîné une redéfinition de la politique de la ville. Depuis dix ans, l'objectif est de réduire les écarts entre les 1 400 quartiers prioritaires de la ville et les autres quartiers des agglomérations. Quel bilan ? Reportage à Melun, dans le quartier de l'Almont.
durée : 00:04:48 - Le Reportage de la rédaction - La représentation des quartiers populaires dans les médias traditionnels a toujours suscité des crispations chez les habitants et de la colère. En 2005, après la mort de Ziyed et Bouna, de nouveaux acteurs ont émergé ainsi qu'un nouveau récit. Mais la défiance reste profondément ancrée.
durée : 00:04:40 - Le Reportage de la rédaction - La mort de Zyed et Bouna avaient fait émerger le terme de "violences policières" même si les deux policiers ont été définitivement relaxés. Vingt ans plus tard, l'expression n'est pas reconnue comme une catégorie par les autorités mais une association témoigne de la vitalité du débat.
durée : 00:04:56 - Le Reportage de la rédaction - Le 27 octobre 2005, deux adolescents de Clichy-sous-Bois mouraient électrocutés après une course poursuite avec la police. Suivront 3 semaines d'affrontements avec les forces de l'ordre, dans plus de 300 villes de France. Vingt ans après, la colère des jeunes est empoignée par leurs mères.
durée : 00:28:43 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Inès Bouffartigue Sebastia - Mike et Nawufal ont grandi à Clichy-sous-Bois et Montfermeil et avaient 16 et 22 ans lors de la mort de Zyed et Bouna. Mike n'a pas hésité à sortir venger les frères de ses amis. Nawufal n'osait pas participer directement aux affrontements. Vingt ans plus tard, ils reviennent sur cette période. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la rédaction - En 2005, trois semaines de violences embrasent la France. À l'époque, les habitants des quartiers se mobilisent pour tenter d'apaiser la situation. Une démarche politique, mais vingt ans plus tard, que reste-t-il de cet engagement citoyen dans les quartiers populaires ?
durée : 00:36:27 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Vingt ans après les émeutes de 2005, quelle parole sur les banlieues aujourd'hui ? Entre clichés et nouvelles réalités, comment mieux comprendre et représenter les habitants des quartiers populaires ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:20:16 - Journal de 12h30 - Vingt ans après, Clichy-sous-Bois et la France se souviennent de l'automne 2005 et des révoltes urbaines déclenchées par la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré.
durée : 00:20:16 - Journal de 12h30 - Vingt ans après, Clichy-sous-Bois et la France se souviennent de l'automne 2005 et des révoltes urbaines déclenchées par la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré.
durée : 00:28:43 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Inès Bouffartigue Sebastia - Mike et Nawufal ont grandi à Clichy-sous-Bois et Montfermeil et avaient 16 et 22 ans lors de la mort de Zyed et Bouna. Mike n'a pas hésité à sortir venger les frères de ses amis. Nawufal n'osait pas participer directement aux affrontements. Vingt ans plus tard, ils reviennent sur cette période. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:01:24 - Le Reportage de la rédaction - Il y a vingt ans, Zyed et Bouna, deux adolescents de Clichy-sous-Bois mourraient lors d'une course poursuite avec des policiers. Ce drame avait provoqué la colère des jeunes des quartiers populaires et 3 semaines de violences, dans près de 300 villes de France. Cette colère n'a pas disparu.
durée : 00:04:48 - Le Reportage de la rédaction - La représentation des quartiers populaires dans les médias traditionnels a toujours suscité des crispations chez les habitants et de la colère. En 2005, après la mort de Ziyed et Bouna, de nouveaux acteurs ont émergé ainsi qu'un nouveau récit. Mais la défiance reste profondément ancrée.
durée : 00:04:56 - Le Reportage de la rédaction - Le 27 octobre 2005, deux adolescents de Clichy-sous-Bois mouraient électrocutés après une course poursuite avec la police. Suivront 3 semaines d'affrontements avec les forces de l'ordre, dans plus de 300 villes de France. Vingt ans après, la colère des jeunes est empoignée par leurs mères.
durée : 00:19:37 - L'invité de 8h20 - C'était il y a 20 ans : trois semaines de violence après la mort des adolescents. Coursés par des policiers, Bouna Traoré, 15 ans, et Zyed Benna, 17 ans, se cachèrent dans un site EDF et y furent électrocutés. Ces décès ont déclenché une vague d'émeutes entrée dans l'Histoire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:19:50 - L'Invité(e) des Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Depuis ses débuts, Anne Paceo se renouvelle à chaque disque. De sa découverte des fonds marins en plongée, la batteuse et compositrice en a écrit son huitième album, "Atlantis", un nouvel opus qui nous emmène aux confins des océans, aux notes pops et électroniques, voire minimalistes. - réalisation : Phane Montet - invités : Anne Paceo Batteuse et compositrice jazz
Vingt ans que les filles de Clément Roussenq cherchent à savoir pourquoi leur père, un principal respecté d'un collège des Bouches-du-Rhône est mort aux premiers de l'automne 2003. Tué d'un seul coup de poignard planté dans le coeur.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Moins d'un an après "Les Trois Mousquetaires", Dumas livre une suite : "Vingt ans après". Elle sera suivie par "Le Vicomte de Bragelonne" en 1847. Dans cet épisode d'Au cœur de l'Histoire, Jean des Cars vous raconte les faits historiques réels qui ont inspiré les nouvelles aventures de d'Artagnan et de ses acolytes. (rediffusion)Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Auteur et présentation : Jean des Cars- Production, diffusion et édition : Timothée Magot et Clara Ménard- Réalisation : Jean-François BussièreRessources bibliographiques :- Simone Bertière, Dumas et les Trois Mousquetaires (de Fallois, 2009)- Alain Decaux, de l'Académie française, Dictionnaire amoureux d'Alexandre Dumas (Plon, 2010)- Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, Vingt ans après et Le Vicomte de Bragelonne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1844, avec "Les Trois Mousquetaires", Alexandre Dumas inaugure la série des "Grands romans historiques" qui ont assuré sa célébrité. De l'aveu même d'Alexandre Dumas, "Les Trois Mousquetaires" était son livre favori. Dans cet épisode d'Au cœur de l'histoire, Jean des Cars vous dévoile les dessous de ce roman culte. (rediffusion)Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Auteur et présentation : Jean des Cars- Production, diffusion et édition : Timothée Magot et Clara Ménard- Réalisation : Jean-François BussièreRessources bibliographiques :- Simone Bertière, Dumas et les Trois Mousquetaires (de Fallois, 2009)- Alain Decaux, de l'Académie française, Dictionnaire amoureux d'Alexandre Dumas (Plon, 2010)- Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, Vingt ans après et Le Vicomte de Bragelonne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vingt jours après mon arrivée à Bali, je prends le micro sans montage pour partager un moment de rétrospection. Ces dernières semaines, j'ai appris à ralentir, à me recentrer et à écouter ce que je ressentais vraiment. Dans cet épisode intime, je parle de routine, de reconnexion à soi et de ce que signifie prendre soin de soi après des mois à être en mouvement. Un partage sincère, sans filtre, pour toutes celles qui cherchent à s'ancrer et à se retrouver.#Bali #VoyageIntérieur #SlowLife #ReconnexionASoi #Introspection #VoyageBali #EquilibrePodcast Manifeste de Hadda : https://open.spotify.com/show/0ZDRMKiBbavVjEhnbg1dubLivre Kilomètre Zéro : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kilom%C3%A8tre_z%C3%A9ro_(livre)Podcast Je médite tous les jours : https://open.spotify.com/show/3rOjo65PYHynw0UENaE3QiPodcast Hautes Vibrations : https://open.spotify.com/show/15K6pu5Fv2KIkCMraIzLsn
Nous explorons le chapitre 17 d'Harry Potter et l'Ordre du Phénix : «Décret d'éducation numéro vingt-quatre»... Invitée de cet épisode : Justine, auditrice de l'émission. 0:00 Introduction 9:59 Chapitre 1:30:40 Meilleur personnage & renommage 1:44:02 La volière Pour prolonger l'aventure Harry Potter avec nous : Facebook : https://www.facebook.com/frequence934 Twitter : https://twitter.com/frequence934 Instagram : https://www.instagram.com/frequence934 Discord : https://discord.com/invite/ps7FgM2bfG Twitch : https://www.twitch.tv/stream9troisquarts Notre volière : frequence934@gmail.com ou à : Fréquence 9 3/4, Espace Conquérant, 3 Place Jean Nouzille 14000 Caen FRANCE Accédez à des contenus exclusifs sur Patreon : https://www.patreon.com/frequence934 Soutenez-nous sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/frequence934 Thème musical : Moonlight Hall, de Kevin MacLeod (Licence CC BY 3.0) Jérémy & Marina ⚡ Soutenez-nous sur Patreon et Tipeee !
durée : 00:03:42 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani - Keynes écrivait que les hommes politiques qui se croient affranchis de toute influence intellectuelle ne sont que les esclaves d'un économiste défunt. En réalité, aujourd'hui, la géopolitique est structurée autour d'un clivage entre deux philosophies.
durée : 00:03:42 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani - Keynes écrivait que les hommes politiques qui se croient affranchis de toute influence intellectuelle ne sont que les esclaves d'un économiste défunt. En réalité, aujourd'hui, la géopolitique est structurée autour d'un clivage entre deux philosophies.
durée : 00:03:33 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani - Keynes écrivait que les hommes politiques qui se croient affranchis de toute influence intellectuelle ne sont que les esclaves d'un économiste défunt. En réalité, aujourd'hui, la géopolitique est structurée autour d'un clivage entre deux philosophies.