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Les Kunio-kun, Double Dragon, Golden Axe, Streets of Rage, Tortues Ninja et autres Final Fight ont fait résonner les crochets à l'estomac, coups de genoux sautés et autres mawashi geri dans les salles d'arcade, les chambres et les salons… Mais aussi les éclats de rire ! Un plaisir simple, souvent partagé à deux, qui a régné dans les années 80/90 avant de s'effacer progressivement pour mieux se réinventer au fil du temps. Retour sur le beat'em all ! Mais aussi un point sur la Switch 2 (coup de poing sur la table ?) ; la série animée Tatsuki Fujimoto 17–26, adaptée des oeuvres de jeunesse de l'auteur de Chainsaw Man ; sans oublier Hyrule Warriors : Les Chroniques du sceau, une exclu Switch 2, et le retour des Chiikawa dans le podcast ! Pause musicale : Tomorrow is Mine par Hiroshi Yamaguchi (Bayonetta 2) Chapitres : 00:00:00.000 Introduction 00:05:07.000 Vie au Japon - Goods Pikmin et DQ, DLC Animal Crossing, Super Dram World 3, Patlabor 2, les ours 00:23:12.000 松 Matsu - Les Beat 'em up 00:23:12.000 松 Matsu - Les Beat 'em up 01:06:03.000 Pause Musicale - Bayonetta 2, Tomorrow is Mine par Hiroshi Yamaguchi 01:08:56.000 竹 Take - Hyrule Warriors: Les Chroniques du Sceau 01:30:57.000 竹 Take - Tatsuki Fujimoto 17-26 01:42:41.000 竹 Take - Bilan de la Switch 2 après 5 mois 02:05:59.000 Courrier des Auditeurs 02:08:03.000 梅 Ume - L'intro de Street of Rage 2 02:09:54.000 梅 Ume - Les cris d'agonie des boss de Final Fight 02:10:52.000 梅 Ume - Bomberman Tournament et les boites de jeux japonais 02:13:35.000 和菓子 Wagashi - Chiikawa 02:31:08 和菓子 Wagashi - Shin Zero 02:22:53.000 Conclusion Prolongez l'expérience avec la newsletter de Thierry. Véritable extension de l'émission, vous y trouverez des informations complémentaires ainsi que des illustrations visuelles.Le billet de l'épisode 60 est disponible ici. Retrouvez toutes les précédentes publications sur thierryfalcoz.fr Retrouvez-nous sur Twitter / X, mais aussi sur Bluesky Contactez-nous pixelbentopodcast@gmail.com
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Dix ans après la transformation spectaculaire qu'a connue la capitale de la Macédoine du Nord avec le projet «Skopje 2014», retour dans la ville parmi une statuaire fantomatique et un projet nationaliste qui hante encore le pays… Au cœur des Balkans, la Macédoine du Nord est un petit pays au nom longtemps disputé et au territoire convoité depuis des siècles. Située entre la Grèce, l'Albanie, la Serbie, le Kosovo et la Bulgarie, cette jeune nation issue de l'éclatement de l'ex-Yougoslavie de Tito est encore largement méconnue ; mais sa capitale Skopje a fait, un temps, il y a 10 ans, la Une de la presse internationale. « Disney des Balkans, capitale du kitsch, Disney nationaliste… » : les qualificatifs, parfois railleurs, souvent critiques, ne manquaient pas pour désigner le nouveau visage que la ville a offert au monde et aux Skopjiotes, à travers le projet «Skopje 2014». Cette opération ruineuse de rénovation urbanistique du centre-ville était alors portée par la droite nationaliste au pouvoir. Son ambition : redessiner l'identité macédonienne à coups de statues antiques géantes avec, au centre, la figure d'Alexandre Le Grand, de galion amarré le long des rives du Vardar qui traverse la ville ou de monuments néo-classiques ou néo-baroques, aux accents propagandistes. En 2014, une blague courait d'ailleurs les rues de Skopje : «Attention, si tu restes plus de 5 minutes au même endroit sans bouger, tu vas te transformer en statue ». Ce n'est certes pas nouveau que l'urbanisme est une arme pour le pouvoir et les nations boursouflées ; mais à Skopje, dix ans après ce vaste programme, que reste-t-il aujourd'hui de cette vision mégalomaniaque ? Comment les habitants ont-ils appris à vivre parmi ces façades pompeuses et ces places devenues musées d'elles-mêmes ? Comment certains artistes opposés au projet, cherchent-ils, aujourd'hui comme hier, à le déjouer et dire autrement le pays métissé, traversé d'influences qu'ils habitent ? Un reportage de Sibylle d'Orgeval à Skopje. En savoir plus : - Sur l'actualité des Balkans et notamment celle de la Macédoine du Nord, allez voir la Revue de presse des Balkans de RFI, préparé par les équipes du «Courrier des Balkans», l'indispensable portail francophone des Balkans - Sur les expressions artistiques et l'humour autour du projet Skopje 2014, un article de 2016 d'Aleksandar Takovski. En anglais - Sur le rapport de Transparency International Macedonia sur le projet Skopje 2014. Publié en 2018. En anglais - Sur l'institut français de Skopje - Sur les deux reportages que nous avions consacrés en 2015 à la Macédoine aujourd'hui dite du Nord.
Dix ans après la transformation spectaculaire qu'a connue la capitale de la Macédoine du Nord avec le projet «Skopje 2014», retour dans la ville parmi une statuaire fantomatique et un projet nationaliste qui hante encore le pays… Au cœur des Balkans, la Macédoine du Nord est un petit pays au nom longtemps disputé et au territoire convoité depuis des siècles. Située entre la Grèce, l'Albanie, la Serbie, le Kosovo et la Bulgarie, cette jeune nation issue de l'éclatement de l'ex-Yougoslavie de Tito est encore largement méconnue ; mais sa capitale Skopje a fait, un temps, il y a 10 ans, la Une de la presse internationale. « Disney des Balkans, capitale du kitsch, Disney nationaliste… » : les qualificatifs, parfois railleurs, souvent critiques, ne manquaient pas pour désigner le nouveau visage que la ville a offert au monde et aux Skopjiotes, à travers le projet «Skopje 2014». Cette opération ruineuse de rénovation urbanistique du centre-ville était alors portée par la droite nationaliste au pouvoir. Son ambition : redessiner l'identité macédonienne à coups de statues antiques géantes avec, au centre, la figure d'Alexandre Le Grand, de galion amarré le long des rives du Vardar qui traverse la ville ou de monuments néo-classiques ou néo-baroques, aux accents propagandistes. En 2014, une blague courait d'ailleurs les rues de Skopje : «Attention, si tu restes plus de 5 minutes au même endroit sans bouger, tu vas te transformer en statue ». Ce n'est certes pas nouveau que l'urbanisme est une arme pour le pouvoir et les nations boursouflées ; mais à Skopje, dix ans après ce vaste programme, que reste-t-il aujourd'hui de cette vision mégalomaniaque ? Comment les habitants ont-ils appris à vivre parmi ces façades pompeuses et ces places devenues musées d'elles-mêmes ? Comment certains artistes opposés au projet, cherchent-ils, aujourd'hui comme hier, à le déjouer et dire autrement le pays métissé, traversé d'influences qu'ils habitent ? Un reportage de Sibylle d'Orgeval à Skopje. En savoir plus : - Sur l'actualité des Balkans et notamment celle de la Macédoine du Nord, allez voir la Revue de presse des Balkans de RFI, préparé par les équipes du «Courrier des Balkans», l'indispensable portail francophone des Balkans - Sur les expressions artistiques et l'humour autour du projet Skopje 2014, un article de 2016 d'Aleksandar Takovski. En anglais - Sur le rapport de Transparency International Macedonia sur le projet Skopje 2014. Publié en 2018. En anglais - Sur l'institut français de Skopje - Sur les deux reportages que nous avions consacrés en 2015 à la Macédoine aujourd'hui dite du Nord.
Inès de la Fressange et Marion Ruggieri pour les 80 ans du magazine “Elle”Les vendredi et samedi à 20h sur France 5, Mohammed Bouhafsi et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Dans la période trouble qui a suivi la Révolution française, trois malfaiteurs, Chopart, Fouinard et Couriol, attendent leur chef, Dubosc, instigateur d'un nouveau coup audacieux. Durant cette attente, Couriol croise par hasard un ancien camarade, Joseph Lesurques, qui lui confie ses préoccupations : le mariage de sa fille et les difficultés financières de son père. Lorsque Dubosc arrive enfin, il révèle son projet de cambriolage. A l'issue de ces deux rencontres, Couriol note une ressemblance saisissante entre Dubosc et Lesurques. Cette ressemblance scellera le destin du pauvre Joseph… Une histoire tragique inspirée de faits réels. ***Fiction radiophonique diffusée dans l'émission « les Maitres du mystère », de Germaine Beaumont et Pierre Billard – « L'affaire du courrier de Lyon » d'après un texte d'Eugène Moreau, Paul Siraudin et Alfred Delacour, adapté par Jeannine Raylambert – Réalisation Pierre Billard - Musique originale André Popp – Première diffusion le 15/12/1959 sur la Chaîne Parisienne de la RTF – Avec : Charles Charass, Henri Labussière, Maurice Chevit, Pierre Trabaud, Jean Mauvais, Nelly Delmas, Jacques Berger, Marie Jeanne Gardien, Pierre Collet, Jean Pierre Lituac, Marcel Bozzufi, Christiane Lasquin, Jacques Anquetil, Louis Arbessier, Marcel Lestan, Geneviève Morel, Pierre Lafont – Un podcast INA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:42:40 - Ce mardi on ouvre grand l'émission à vos questions sur les impôts. Vous avez un doute sur votre déclaration, une question sur un remboursement, une taxe ou un courrier reçu ? Vous ne savez pas toujours à qui demander ? ça tombe bien Véronique Lorre sera Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Je crois être apprécié en Algérie » : une petite phrase signée Laurent Nunez, le ministre français de l'Intérieur, que n'aurait certainement pas prononcée son prédécesseur Bruno Retailleau, très remonté contre l'Algérie. Laurent Nunez, interrogé par La Tribune Dimanche, après la libération cette semaine de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal. « Cette libération a-t-elle été facilitée par le départ de Bruno Retailleau ? », lui demande d'emblée La Tribune Dimanche. « Je ne dirais pas ça, répond diplomatiquement Laurent Nunez, ce qui a permis de renouer avec l'Algérie, c'est d'abord notre volonté affichée, au sein du gouvernement, de rediscuter ». « Vos liens personnels ont-ils pu jouer dans le changement d'attitude d'Alger ? », demande encore le journal au ministre de l'Intérieur qui répond : « Peut-être. J'ai des origines pieds-noirs et je crois être apprécié en Algérie, pays avec lequel j'ai toujours beaucoup travaillé. » Peut-on alors parler de « normalisation » des relations avec l'Algérie ? Évoquant la libération de Boualem Sansal, le ministre parle d'un « geste d'humanité » et « d'un geste d'apaisement ». Évoquant aussi, la situation du journaliste français Christophe Gleize, toujours emprisonné en Algérie, Laurent Nunez explique que « son souhait le plus fort est qu'il soit, lui aussi, libéré ». Résister à Vladimir Poutine « Les résistants de l'ombre » : c'est ainsi que L'Express appellent celles et ceux qui résistent encore au régime de Vladimir Poutine. Pas question toutefois d'aller à leur rencontre et de les interviewer sur place. « Les conversations, nous dit L'Express, ont eu lieu par la messagerie cryptée Signal. » Deux de ces résistants, « ont préféré garder leur caméra éteinte, au moment de témoigner. Tous ont relu, avant publication, leur interview, pour s'assurer qu'il n'y restait aucune information risquant de les identifier ». L'Express a ainsi interrogé Sofia, une activiste qui a rejoint l'ONG Mémorial, désormais dissoute… mais toujours vivante. Après l'invasion de l'Ukraine, raconte Sofia, « j'ai pensé à quitter le pays, puis je me suis dit : "C'est important de continuer à protester depuis la Russie. Si tout le monde s'en va, qui va agir ici ?" » « Avec Mémorial, raconte encore Sofia, j'organise des envois de lettres aux prisonniers politiques, je cherche des personnes prêtes à travailler avec nous, et je fais de l'activisme mémoriel. Cela consiste à afficher la mémoire dans la rue. » Par exemple, « apporter des fleurs à la pierre des Solovki », dédiée aux victimes du totalitarisme. Ceci étant, Sofia ne se berce pas d'illusions et reconnaît « qu'il est peu probable que l'État russe s'effondre bientôt. » Pagaille « Ailleurs aussi… C'est le bordel », titre l'hebdomadaire Marianne, « l'instabilité gouvernementale et le désordre parlementaire ne touchent pas seulement Paris. La vie politique à Madrid, à Berlin, à Londres ou à la Haye, apparaît tout aussi tumultueuse ». En France, rappelle Marianne, « les députés français s'écharpent à coups d'amendements et d'invectives, menacent à chaque séance de renverser le quatrième gouvernement depuis septembre 2024, montent et démontent des coalitions plus ou moins baroques au gré des lois proposées. » Mais ce n'est guère mieux ailleurs, estime Marianne, qui prend pour exemple « le blocage budgétaire en Espagne », ou encore « les négociations qui s'étirent pendant des mois, aux Pays-Bas ou en Autriche, pour former des gouvernements stables ». Alors comment expliquer cette instabilité ? L'hebdomadaire rappelle d'abord que « depuis une quarantaine d'années, le continent européen vit à l'heure du néolibéralisme. » Et pour Marianne, pas de doute : « Le refus de prendre en compte les préoccupations de la majorité populaire, diabolisée, a abouti en Europe à l'émergence de forces politiques populistes qui ont remis en cause le traditionnel bipartisme gauche-droite ». D'où une instabilité croissante. Insaisissable Courrier international nous conseille la lecture d'un article du journal colombien El Malpensante, au sujet d'un célèbre voleur de livres. « John Alexander Cordona Peluza est connu comme le loup blanc à Bogota, raconte Courrier international. Voleur de livres en plein jour, pratiquement au vu et au su de tous, il tient un commerce clandestin d'ouvrages qui questionnent la société et prônent la rupture. » El Malpensante le décrit comme un homme « au cuir épais tanné par la rue », avec « aux oreilles deux anneaux en métal » et « un double piercing à la bouche ». Alors pourquoi cet homme vole-t-il des livres ? Selon le journaliste d'El Malpensante qui s'est penché sur la question, « il ne vole pas par conviction idéologique. Il ne se voit pas en justicier de la culture, en grand saboteur du système. Les témoignages que j'ai recueillis concordent (précise le journaliste). Pour lui, le vol est une farce conçue au millimètre près. Un mélange de calcul, d'invisibilité et d'adrénaline ». Bref, un voleur littéralement insaisissable... À lire aussiLibération de Boualem Sansal par l'Algérie: la diplomatie française en question
Cours Halakha Time du Lundi 17 Novembre 2025 (durée : 5 minutes) donné par Rav Emmanuel BENSIMON.
Cours Halakha Time du Lundi 17 Novembre 2025 (durée : 5 minutes) donné par Rav Emmanuel BENSIMON.
Rejoignez les 2800 personnes qui reçoivent le Courrier du Criterium, la newsletter hebdomadaire : https://www.le-criterium.com/newsletterDans cet épisode, on parle de l'invitation de Julien Rochedy, influenceur d'extrême-droite, dans une émission de Europe 1. Un cap a été franchi, car Rochedy, c'est pas exactement comme Zemmour.D'ailleurs, que pense Rochedy de la volonté de Zemmour d'allier Juifs et Chrétiens contre l'islam ? Quand on analyse ses positions, on découvre comment la stratégie de Zemmour provoque un retour de bâton...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est à la Une de nombreux journaux européens et américains, à commencer par le Washington Post. « Elon Musk décroche un contrat de 1 000 milliards de dollars qui le lie à Tesla pour une décennie », annonce le quotidien américain, qui ajoute : « Cet accord lui permet de devenir le premier trillionnaire au monde ». Un accord qu'Elon Musk a lui-même annoncé, raconte le Wall Street Journal, « entouré de robots humanoïdes dansant sur une scène baignée de lumière rose et bleue au siège social du constructeur de véhicules électriques à Austin au Texas. Musk a remercié la foule d'actionnaires qui ont soutenu son plan de rémunération à plus de 75% ». Le New York Times, de son côté, raconte que « même le pape Léon XIV s'est exprimé sur le sujet, dans une interview à Crux, un site d'information catholique, auquel il a déclaré que « la rémunération d'Elon Musk était symptomatique des inégalités croissantes entre les travailleurs et les plus riches ». En Europe aussi, Elon Musk fait la Une des journaux, du Times, en Angleterre, de die Welt en Allemagne, ou encore du Monde, le quotidien français qui parle d'un « tour de magie à mille milliards de dollars ». Bamako menacée Courrier International se penche sur la situation au Mali. « Au Mali, Bamako se demande si elle va tomber aux mains des jihadistes », annonce Courrier International, expliquant « que la vie dans la capitale malienne devient intenable, avec l'explosion des prix du carburant, et sa quasi-pénurie ». « Si le groupe terroriste du Jnim n'est pas encore prêt à s'emparer de la ville » ajoute l'hebdomadaire, citant la presse internationale, « la junte militaire commence à faire preuve de fébrilité et la Russie n'est d'aucun soutien ». La chaîne qatarie al-Jazeera va encore plus loin, estimant que la capitale malienne « est désormais considérée comme encerclée ». Courrier international se réfère aussi au site panafricain Tama Media, qui détaille les causes de la pénurie d'essence : « Le Mali, dépourvu d'infrastructures de raffinage, importe presque la totalité de ses carburants fossiles. Ce déséquilibre structurel rend le pays, extrêmement vulnérable aux ruptures d'approvisionnement ». Quant au site économique Bloomberg, il a interrogé le chercheur Lucas Webber, du Soufan Center, établi à New York, selon lequel, « plus les files d'attente aux stations-service seront longues, plus la frustration va grandir, plus le gouvernement va sembler faible. C'est une stratégie qui ne coûte pas grand-chose, mais qui peut avoir d'importantes conséquences ». La mauvaise gestion du Louvre En France, le cambriolage du musée du Louvre, le 19 octobre dernier, continue de faire les gros titres. C'est en Une du Figaro, ce vendredi : « La gestion du Musée du Louvre gravement mise en accusation : finances dégradées, acquisitions surdimensionnées et sous-investissement pour l'entretien. Dans un rapport, la Cour des comptes accable l'institution parisienne ». « Le Louvre avait déjà un genou à terre après le cambriolage survenu il y a presque trois semaines, la publication hier du rapport de la Cour des comptes, achève de mettre le musée la tête sous l'eau ». Dans son éditorial, Yves Thréard, accuse : « La sécurité défaillante de l'établissement était connue de sa direction et de ses tutelles politiques depuis longtemps ». Mais, « comme souvent, les avertissements se sont ensuite perdus dans le labyrinthe de nos pesanteurs bureaucratiques ». Le Parisien de son côté, s'intéresse à un certain « Doudou Cross Bitume », « voleur présumé de la galerie d'Appolon ». « Un délinquant de faible envergure dont le profil tranche avec les faits, et qui aurait agi sur commande ». Pourquoi l'appelle-t-on Doudou Cross Bitume ? Parce que selon le Parisien, « il a fait rêver des générations d'adolescents », avec les vidéos de ses exploits en moto-cross. L'enquête devra dire comment il en est venu à participer au casse du siècle.
La pop culture japonaise est partout… Sur nos télés bien sûr, mais aussi sur les étagères et dans les salles de cinéma du monde entier. L'incroyable succès du nouveau film Demon Slayer: Kimetsu no Yaiba, mais aussi de la Switch 2 ou encore de la franchise Pokémon, viennent souligner un phénomène qui n'a rien de nouveau mais gagne en ampleur pour faire aujourd'hui trembler Hollywood ! Toute l'équipe vous parlera aussi de Ghost of Yōtei ; Sora no Kiseki (Trails in the Sky 1st Chapter) ; de “post game” via Super Mario Galaxy 2 et Hollow Knight: Silksong ; de Super Sentaï à travers la bande dessinée Shin Zero ; mais aussi de Pokémon Legends: Z-A grâce à une invitée surprise ! Un Bento débordant de news ! Pause musicale : Shoot or Die par Chris Huelsbeck (Turrican Soundtrack Anthology: Original Sound Version, Vol. 1 ℗ 2013 Chris Huelsbeck Productions) Chapitres : 00:00:00 Introduction 00:08:06 Vie au Japon - Kaiju 8, DanDaDan, Collab DQ, Collab Street Fighter Mac Do, Chiikawa 00:22:59 Hommage à Tomonobu Itagaki 00:28:33 松 Matsu - L'influence de la pop culture japonaise dans le monde 00:59:09 La sortie de Pokémon Legends Z-A vu du Japon 01:22:12 Pause Musicale - Turrican, Shoot or Die par Chris Hülsbeck 01:26:28 竹 Take - Ghost of Yōtei 01:47:52 竹 Take - Post-game de Silksong et Super Mario Galaxy 2 02:04:56 竹 Take - Trails in the Sky 1st Chapter 02:21:06 Courrier des Auditeurs 02:24:35 梅 Ume - Theme de Lagaf': Les Aventures de Moktar sur Amiga 02:28:34 梅 Ume - Dead or Alive 4, premier jeu Xbox 360 02:29:59 梅 Ume - Son du Game Over dans Super Mario 3D World 02:31:08 和菓子 Wagashi - Shin Zero 02:38:16 Conclusion Prolongez l'expérience avec la newsletter de Thierry. Véritable extension de l'émission, vous y trouverez des informations complémentaires ainsi que des illustrations visuelles.Le billet de l'épisode 59 est disponible ici. Retrouvez toutes les précédentes publications sur thierryfalcoz.fr Retrouvez-nous sur Twitter / X, mais aussi sur Bluesky Contactez-nous pixelbentopodcast@gmail.com
Presa internațională reacționează după ce democratul Zohran Mamdani a câștigat alegerile pentru primăria New York-ului. În discursul său de victorie, s-a adresat direct președintelui SUA, prezentându-se drept noul său rival principal. Comentatorii observă că semnificația votului depășește cu mult granițele celui mai mare oraș al Americii. First Post observă că ”marea victorie a lui Mamdani la New York a venit în ciuda, sau, poate, parțial datorită amenințărilor lui Trump la adresa orașului. În ciuda afirmațiilor sale că nu s-a aflat pe buletinul de vot, Trump a încercat să se implice în cursă”. The New York Post îl portretizează pe Mamdani ca fiind de-a dreptul comunist și se declară îngrijorat de „vârsta fragedă” și „lipsa de experiență” a viitorului primar, precum și de programul său de „impozite pentru bogați”, care, „conform elitei economice, ar dăuna orașului”. Ziarul amintește și „criticile sale dure și de lungă durată la adresa Israelului”, care i-au adus „acuzații de antisemitism”. (Sursa. Courrier international) Pentru The New Yorker, „începe era Mamdani”. Acesta a cucerit inimile newyorkezilor într-un scrutin care a înregistrat o prezență record în cincizeci de ani”, cu 2,2 milioane de alegători. „Marginalizat” mult timp de partidul său și de elitele orașului, Mamdani a întruchipat o „ruptură” cu vechile „figuri făurite pe scena politică newyorkeză a secolului trecut”, o eră „coruptă, autoritară și nostalgică pentru trecutul său industrial” (Sursa: Courrier International) Publicația germană Cicero își exprimă însă scepticismul: „A încerca să învingi populismul de dreapta cu populismul de stânga este o strategie riscantă”. Dar, după cum notează autorul, „Alegerile la nivel național nu se decid în orașe precum New York, Portland sau Chicago. Acestea sunt locuri în care Trump este mai probabil să trimită Garda Națională.” (Sursa: Eurotopics). La Stampa se teme chiar că alegerea lui Mamdani va da combustibil propagandei lui Trump: „Echipa de comunicare a lui Trump l-ar putea folosi pe Mamdani pentru a portretiza întregul Partid Democrat drept «comunist». Mamdani este genul de figură progresistă pe care Trump o poate transforma într-o caricatură. Antifa. Comunist. Radical. Om de tot râsul. Discursurile de campanie se scriu practic de la sine.” (Sursa: Eurotopics) Într-un articol de opinie din The Hill citim că opiniile lui Mamdani ar putea fi dăunătoare pentru New York: ”A ezitat cu privire la modul de gestionare a criminalității, spunând uneori că ar desființa Grupul de Intervenție Strategică al NYPD. De asemenea, a denigrat NYPD, vorbind despre „rasiști” și „agenții necinstite”, apoi a retractat și și-a cerut scuze”. Pentru Die Zeit, rezultatul vine cu o lecție importantă: „Mulți oameni care votează pentru populiștii de dreapta nu sunt ei înșiși ideologizați. Da, există un nucleu dur de fanatici albi MAGA în statele republicane din SUA, la fel cum există susținători înrăiți ai AfD în Germania și ultrași ai lui Nigel Farage în Marea Britanie. Dar nu ei au fost forța motrice din spatele victoriei lui Donald Trump în 2024. El a câștigat pentru că a atras noi alegători frustrați în rândul muncitorilor albi, al persoanelor de culoare, al latino-americanilor, al asiaticilor și chiar al musulmanilor - pentru că oamenii s-au săturat de prețurile mari și au vrut să protesteze împotriva a ceea ce percepeau ca fiind politica de imigrare excesiv de liberală a administrației Biden. Dar acești alegători le pot întoarce spatele populiștilor de dreapta la fel de repede cum s-au întors către ei.” (Sursa: Eurotopics)
L'émission 28 minutes du 03/11/2025 Serbie : entre Europe et Russie, un pays au bord de la bascule ? 16 minutes de silence ont été respectées le 1er novembre 2025 en Serbie, pour les 16 personnes tuées dans l'accident de la gare de Novi Sad. Ils sont au moins 100 000, selon les chiffres de l'AFP, à être descendus dans la rue pour rendre hommage aux défunts. Un an auparavant, 14 personnes ont trouvé la mort après que le auvent de la gare de Novi Sad se soit effondré. Deux blessés ont ensuite succombé à leurs blessures après l'accident. Cette tragédie est, depuis, devenue le symbole d'une année de révolte en Serbie. Menés par les étudiants, les mouvements protestataires sont présents dans tout le pays et les revendications sont nombreuses. Toutes dénoncent un régime politique corrompu et réclament des élections législatives anticipées. Réponse du président serbe, Aleksandar Vucic, qui déclare envisager des élections anticipées sans donner de date précise pour autant. Coincée entre la Russie et l'Europe, la Serbie est-elle un élément de stabilité ou au contraire de déstabilisation dans les Balkans ?On en débat avec Jean-Arnault Dérens, historien, rédacteur en chef du "Courrier des Balkans", Cyrille Bret, chercheur associé à l'institut Jacques Delors, spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale et Danica Djeric, membre du collectif “Paris 11:52”.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 3 novembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Israël empêche toujours les journalistes étrangers d'entrer à Gaza. L'Association de la presse étrangère à Jérusalem (FPA) a exprimé ce jeudi 23 octobre sa déception après que la Cour suprême israélienne a reporté sa décision d'un mois supplémentaire, assurant que la situation sur place a changé. Depuis deux ans, les journalistes n'ont pu y entrer que sous escorte et donc sous contrôle de l'armée israélienne. La guerre a causé la mort de plus de 210 journalistes palestiniens dans le territoire dévasté. Entretien avec la journaliste à Orient XXI, Sylvain Cypel, ancien directeur de la rédaction de Courrier international et rédacteur en chef au Monde. Auteur de « L'État d'Israël contre les Juifs », La Découverte. C'est toujours non. Les journalistes étrangers ne peuvent pas entrer à Gaza, ne peuvent pas aller voir ce qui se passe et ne peuvent pas raconter au reste du monde. Ça fait plus de deux ans que ça dure, et Israël continuera de bloquer l'accès au territoire palestinien au moins pour un mois. La Cour suprême a reporté sa décision et nous en parlons avec Sylvain Cypel journaliste à Orient XXI, ancien directeur de la rédaction de Courrier international, ancien rédacteur en chef au Monde. Vous avez aussi écrit le livre l'État d'Israël contre les Juifs, publié aux éditions La Découverte. Rfi : Bonjour Sylvain Cypel. La Cour suprême a reconnu tout à l'heure en Israël que la situation avait changé. Est-ce que ça laisse entrevoir une ouverture selon vous ou pas du tout ? Sylvain Cypel : Comment dire, un tout petit peut-être ? Voilà, un tout petit peut-être… C'est-à -dire qu'il faut voir, il faut voir le background. Il faut voir dans quelles conditions ça se passe. Ça veut dire que ça fait deux ans que ça dure. Ce n'est pas la première fois qu'il y a un dépôt de plainte devant la Cour suprême. Il y en a eu sept. Il y a eu sept reports. À chaque fois, la Cour suprême s'est délestée de son devoir et, à chaque fois, l'État a expliqué des conditions de guerre, la sécurité... qu'il est impossible de laisser les journalistes entrer. Par ailleurs, il faut savoir qu'il y a des journalistes qui rentrent très peu. Ils sont quasi systématiquement Israéliens. Ils sont choisis par l'armée. Donc, la presse, les médias deviennent un instrument d'une propagande. Si vous voulez un instrument d'un récit où on ne voit rien, on ne vous dit pas, on voit juste ce qu'on autorise de voir. Et quelques personnes qui se disent journalistes et qui sont des affidés, sont prêts à répercuter ce que l'armée leur demande de faire. Vous nous disiez qu'à plusieurs reprises la justice s'était soustraite en quelque sorte à son rôle. Est-ce qu'elle pourrait contraindre le gouvernement israélien à autoriser l'accès des journalistes étrangers à Gaza ? Oui. Mais bien entendu, si elle donne raison à l'Association de la presse étrangère, qui est représentée par un avocat israélien qui est très connu, qui s'appelle Gilad Shaer qui a été en son temps un conseiller d'un Premier ministre qui s'appelait Barak. Et donc il suffit que la Cour suprême décrète, la requête est validée. Et là, en l'occurrence, ce qu'elle a dit, c'était qu'elle accordait un mois supplémentaire aux autorités israéliennes pour qu'elles préparent un plan d'accès à Gaza. Vous nous l'avez dit, elle l'a déjà fait à plusieurs reprises. Vous y croyez, là, pour cette fois-ci, dans le contexte un peu différent auquel on assiste avec le cessez-le-feu ? Alors, je vous dis, il y a un contexte un peu différent, vous avez raison. C'est-à-dire que ce n'est pas la paix, mais il y a une forme... On ne peut même pas dire que c'est un cessez-le-feu, parce qu'en réalité, tous les jours, il y a des Palestiniens qui sont assassinés. Donc, ce n'est pas vraiment une paix, mais ça n'est plus ce que c'était avant l'accord qui a été signé entre le Hamas et le gouvernement israélien. Et malgré ça, il n'y a toujours pas de journalistes étrangers qui rentrent. On entend assez peu de réactions internationales pourtant. Pourquoi, selon vous ? Pourquoi est-ce qu'on n'en parle pas sur le plan international ? Oui. D'abord, on en parle un peu. Il y a eu des papiers dans la presse américaine, il y a eu des papiers dans la presse française. Il y a eu des papiers, mais je veux dire des réactions de dirigeants, par exemple. Mais parce qu'il n'y a pas non plus de réactions de dirigeants sur la réalité de ce qui s'est passé à Gaza. C'est ça qu'il faut dire. Si vous voulez, il y a des gens qui ont commencé à bouger…. Les Européens ont commencé gentiment à dire que ça ne va pas, qu'on menace peut-être. Enfin,à ce jour, il y a 150 000 blessés, bientôt 70 000 morts et tous ceux qu'on découvrira le jour où on pourra les découvrir, si on les découvre sous les décombres. L'armée israélienne a tué à ce jour, les chiffres officiels, c'est 200 tués, dont 75% de Gazaouis et 25% de non-Gazaouis [parmi les journalistes, NDLR]. En général, ce sont des gens d'Al Jazeera, parce qu'ils étaient les seuls à être restés. Oui, c'est ça. Les derniers chiffres de Reporters sans frontières disent même plus de 210 journalistes tués. Les médias internationaux : 220. Même les médias internationaux ont beaucoup travaillé là depuis deux ans, avec des journalistes qui se trouvaient à Gaza. Mais donc beaucoup ont été tués, beaucoup sont partis. Comment est-ce qu'aujourd'hui, on peut encore couvrir ce conflit ? Ben, on ne le peut pas. On le peut en ayant des correspondants. Moi, je suis à Orient XXI. Il y a quelqu'un qui, toutes les semaines, nous fait un papier que nous publions sur ce qui se passe à Gaza. C'est extrêmement intéressant. Rami Abou Jamous, je cite son nom parce qu'on l'a entendu à plusieurs reprises sur cette antenne et il faut le lire, en effet. Mais bien entendu. Et donc je vous dis, il a commencé chez nous et aujourd'hui c'est devenu, je dirais, entre guillemets, «une petite vedette». Et donc, si on dispose de gens à l'intérieur, on peut obtenir des choses. Les journalistes israéliens de Haaretz qui travaillent sur ce qui se passe... moi, je connais très bien, par exemple, Amira Hass, qui est une journaliste de Haaretz. Elle a un carnet d'adresses très important à Gaza et donc elle peut faire. Mais elle fait de l'information sur Gaza uniquement par téléphone. Elle ne peut pas y aller, c'est impossible. Or, ça, c'est tout à fait différent de faire un papier lorsqu'on vous parle d'un endroit et lorsque vous êtes sur le terrain, mais tous les journalistes connaissent ça par cœur. Et donc, évidemment, ça nuit considérablement. À la qualité de l'information et à la véracité de l'information. À lire aussiIsraël: la Cour suprême reporte l'examen d'un recours de la presse étrangère pour un accès à Gaza À lire aussiIsraël: le Parlement ouvre la voie à une annexion de la Cisjordanie
Une interpellation policière violente a eu lieu vendredi soir devant le Théâtre du Loup. Deux jeunes à moto poursuivis par la police ont chuté avant d'être interpellés avec brutalité. Selon le Courrier, un policier a menacé un spectateur avec son arme. Des agents en civil auraient ensuite tenté de confisquer […] The post Le journal moitié-moitié first appeared on Radio Vostok.
Katell Lagré et Simon Reungoat décortiquent l'actu foot en Ligue 1 dans l'Ouest chaque jeudi à 20h : Stade Rennais, FC Nantes, Stade Brestois, FC Lorient, Angers SCO... Sans oublier le Stade Lavallois, Le Mans FC et En Avant Guingamp en Ligue 2 !
Difficile actuellement de savoir ce qui se passe dans la ville de Gaza, que les Palestiniens sont sommés d'évacuer vers le sud, par l'armée israélienne. Difficile, parce qu'Israël interdit toujours à la presse internationale de se rendre dans la bande de Gaza et de témoigner de ce qui s'y passe. On dispose donc de peu d'informations, actuellement, sur la situation à Gaza. Mais les journalistes palestiniens continuent de faire leur travail, au péril de leur vie. Et parmi les rares articles parus ces derniers jours, on a trouvé celui du site égyptien Mada Masr, repris par Courrier international, qui nous explique que fuir Gaza coûte cher, et devient parfois « impossible, faute de moyens ». Un obstacle de plus. 1 000 à 1 500 dollars la tente C'est une réalité à laquelle sont confrontés les Palestiniens, raconte Thaer Abu Aoun, l'auteur de l'article. « Même une simple tente, le seul toit dont disposent des milliers de familles coûte désormais très cher, de 1 000 à 1 500 dollars, selon la taille et la qualité », explique le journaliste. « Et une fois qu'on l'a acquise », poursuit-il, « il faut encore trouver un terrain disponible pour la monter. Or, les terrains sont contrôlés par des gangs armés, qui louent chaque parcelle au prix fort ». Israël assure pourtant avoir mis à disposition des Palestiniens « des zones vides à Al Mawasi où il est possible de s'installer ». Mais selon Philippe Lazzarini, Commissaire général de l'Office de secours et de travaux de l'UNWRA, l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens, Al Mawasi est « un immense camp en pleine expansion qui concentre des Palestiniens affamés et désespérés ». Les difficultés sont telles que certains renoncent à quitter la ville de Gaza. D'autant, explique le journaliste Thaer Abu Aoun, « que beaucoup de Gazaouis considèrent que la totalité des zones de la bande de Gaza sont soumises aux bombardements, y compris les zones prétendument "humanitaires" ». Un geste diplomatique fort C'est dans ce contexte, que la France s'apprête à reconnaître la Palestine. « Emmanuel Macron va reconnaître demain à l'ONU l'État Palestinien » annonce en Une la Tribune Dimanche, avec ce titre : « Le défi de l'histoire ». En illustration, la photo d'Emmanuel Macron et de Benyamin Netanyahu, ensemble mais la mine sévère, elle date de leur dernière rencontre à Jérusalem le 24 octobre 2023. La reconnaissance de l'État palestinien, c'est, pour la Tribune Dimanche, « un geste diplomatique fort pour dire stop aux massacres dans la bande de Gaza et porter l'espoir d'une paix entre Israéliens et Palestiniens, en relançant la solution à deux États ». Mais, se demande le journal, « comment mettre en œuvre une telle feuille de route, alors qu'Israël vient de se lancer dans la conquête de la ville de Gaza et qu'en Cisjordanie, l'Autorité Palestinienne est plus affaiblie que jamais ? ». « Il y a dix jours », poursuit la Tribune Dimanche, Benyamin Netanyahu l'a encore affirmé : « Il n'y aura pas d'État palestinien ». Interrogé, l'un de ses prédécesseurs, Ehud Olmert, lui, ne s'y oppose pas, mais se demande : « La reconnaissance d'un État qui n'existe pas, est-elle plus constructive qu'un effort de la communauté internationale pour forcer dirigeants israéliens et palestiniens à s'assoir autour d'une table et mener un dialogue qui contribuerait à la création d'un État palestinien dans le cadre d'une solution globale ? ». « Plaie toujours ouverte » Un autre des prédécesseurs de Benyamin Netanyahu, Ehud Barak, est lui aussi interrogé, mais cette fois-ci par l'hebdomadaire le Point. Ehud Barak qui est franchement opposé à la reconnaissance de la Palestine. « La décision de la France renforce le Hamas » assure-t-il, estimant « qu'une paix durable ne peut être imposée de l'extérieur ». Ehud Barak rappelle encore « que le 7 octobre est une plaie toujours ouverte, une déflagration qui continue de résonner dans chaque foyer israélien ». De son côté, Marianne a rencontré le militant pacifiste israélien Ofer Bronchtein, c'est lui qui aurait convaincu Emmanuel Macron de reconnaître la Palestine. « Reconnaître la Palestine c'est, dit-il, combattre les extrémismes ». « S'il y avait eu un État palestinien, poursuit-il, le 7 octobre ne se serait pas produit (…) S'il y avait une souveraineté palestinienne, la responsabilité viendrait avec : le Hamas n'est pas une organisation responsable, c'est l'ennemi des Palestiniens ». Avant qu'il soit trop tard Enfin, comment les Israéliens accueillent-ils la reconnaissance de la Palestine par la France ? Selon le Point « l'initiative française suscite un rejet massif et transpartisan ». L'hebdomadaire cite également une « source officielle israélienne », selon laquelle « S'il n'y avait pas eu le 7-Octobre, il n'y aurait pas eu de reconnaissance de l'État palestinien ». C'est dans le Point, également, que l'on peut lire l'interview de l'ex-négociateur palestinien Ghaith al-Omari. Et rares sont les responsables palestiniens interviewés par les hebdomadaires français cette semaine. Comment Ghaith al-Omari interprète-t-il l'initiative de la France ? « Il voit dans cette décision, le signe d'une inquiétude profonde, celle de voir s'évanouir, peut-être définitivement, la perspective d'une solution à deux États ». Une décision qui, dit-il également, « repose surtout sur une conviction : si rien n'est fait, il sera bientôt peut-être trop tard ».
durée : 01:48:08 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Raconter le monde à travers le meilleur de la presse étrangère : telle est la mission de Courrier International. Mais à l'heure du numérique, de la traduction assistée par IA et d'une concurrence toujours plus féroce, le média doit affiner sa stratégie. - réalisation : Peire Legras, Alexandra Malka - invités : Tristan Le Corre Co-fondateur de PDG de Shotgun; Claire Carrard Directrice de Courrier International; Etienne Gernelle Directeur de la rédaction du Point
On commence avec Gérard Depardieu ...
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Auditrice : - Alors qu'elle vient de terminer un CDD, Solenna vient de recevoir un courrier de son propriétaire qui souhaite récupérer son appartement Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 12/08/2025 Au programme de l'émission 28 minutes :Le journaliste fondateur du “Courrier des Balkans”, Jean-Arnault Dérens, publie “Géopolitique de l'orthodoxie - De Byzance à la guerre en Ukraine”, un livre dans lequel il tente de comprendre et de décrypter la complexité d'une religion hantée “par l'unité”, et qui compte près de 300 millions de fidèles.Jeudi 7 août, Benjamin Netanyahou a annoncé l'occupation militaire totale de la bande de Gaza par Israël. Cette annonce a suscité des tensions de la communauté internationale : l'Allemagne a annoncé cesser en partie ses livraisons d'armes à l'État hébreu, et de plus en plus de pays occidentaux s'apprêtent à reconnaître la Palestine. Mais aussi des familles d'otages israéliens, qui attendent un accord qui permettrait la libération de leurs proches. Enfin de l'extrême droite, qui fait partie de la coalition gouvernementale et prône le nettoyage ethnique de Gaza pour y implanter des colonies. L'union sacrée consécutive aux attaques du 7-Octobre est-elle en train de se fissurer ?Alors que les orientations du budget 2026 se précisent, la colère gronde. Droit au chômage périclité, suppression de jours fériés, fonctionnaires non remplacés : les sujets de griefs sont nombreux pour les syndicats, qui prévoient une rentrée mouvementée. Le mouvement "Bloquons tout !" devrait aussi être de la partie, avec une indépendance qui rappelle les Gilets jaunes. La colère sociale aura-t-elle raison de François Bayrou ? On en débat avec Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme, Gilles Gressani, directeur de la revue Le Grand Continent, et Julie Graziani, essayiste.Puis, Victor Dekyvère nous raconte comment le statut de fou du roi est passé de honteux à enviable.Enfin, Quentin Darmon nous emmène en Corée du Nord, où Kim Ju-ae, fille du dictateur Kim Jong-un, semble en pôle position pour prendre la succession de son père. Théophile Cossa nous explique comment les jeux mondiaux de Chine mettent à l'honneur des sports ne figurant pas aux Jeux olympiques.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Heath Cline in for Chuck today! We start today’s show with how people are seeing South Carolina this season, and Brian Kelly providing context to the injury to Garrett Nussmeier. We then talk South Carolina with David Cloninger from The Charleston Post and Courrier. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Un attentat contre l'église grecque orthodoxe à Damas a fait 25 morts et plus de 60 blessés au mois de juin dernier, relançant l'inquiétude au sein de la minorité chrétienne. Celle-ci est passée d'un million de personnes avant la guerre en 2011, à moins de 300 000 aujourd'hui, en raison de l'exil et des déplacements forcés. Avec 200 à 300 millions de fidèles, l'Église orthodoxe est la troisième confession chrétienne, après le catholicisme et le protestantisme. Son histoire, marquée par de longues épreuves, notamment durant la conquête mongole et la longue domination de l'Empire ottoman, reste assez largement méconnue. Au carrefour des empires disparus, byzantin, ottoman et russe, l'orthodoxie a été déchirée par la guerre froide, avant de se retrouver au cœur des conflits contemporains : génocides, guerres des Balkans et d'Ukraine, d'Irak ou encore de Syrie. Les mondes orthodoxes sont complexes. Leurs influences et leur proximité réelle avec les pouvoirs politiques sont une grille de lecture des soubresauts du présent. Les prêches enflammés du patriarche Kirill de Moscou, que l'on a vu par ailleurs bénir les chars russes allant détruire les villes ukrainiennes, ont ravivé l'image d'une orthodoxie belliciste, ultraconservatrice et homophobe. Une orthodoxie radicalement hostile à l'Otan, à l'Union européenne et aux valeurs démocratiques. Regard sur le rôle de l'église orthodoxe dans les relations internationales. Invité : Jean-Arnaud Dérens, historien et journaliste, fondateur du Courrier des Balkans, dont il est le co-rédacteur en Chef. Géopolitique de l'orthodoxie. De Byzance à la guerre en Ukraine, aux éditions Tallandier.
Vous avez écouté l'épisode #87 “Ce que veulent les plateformes comme Apple Podcasts et Spotify” ? Parfait. Maintenant, place à la mise en pratique.Dans cette capsule “Passez à l'action”, je vous partage un vrai plan d'action marketing avec 4 leviers simples mais puissants pour plaire aux plateformes d'écoute, améliorer votre stratégie podcast, et booster votre visibilité sur les moteurs de recherche internes de Spotify et Apple Podcasts.
Courrier du cœur de Madame Meuf : vaut-il mieux ne pas vivre une histoire d'amour par peur de souffrir ou se ruer dedans à fond les ballons ? Un épisode avec Dany Brillant, Spinoza, du Menetou-Salon et des fuites urinaires... Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Monté par Romain Redon Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Date de première diffusion : 1er octobre 2021. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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Nous sommes le 5 juillet 1848. Dans son édition du jour, le « Courrier du Havre » écrit, à propos de ceux qui troublent l'ordre public, que les autorités envisagent « d'essayer la substitution d'une colonie pénitentiaire à des bagnes et des prisons centrales ». En novembre 1850, le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte donne son aval à de nouvelles initiatives de déportation aux colonies : « Six mille condamnés renfermés dans nos bagnes, écrit-il, grèvent le budget d'une charge énorme, se dépravant de plus en plus, et menacent incessamment la société. Il me semble possible de rendre la peine des travaux forcés plus efficace, plus moralisatrice, moins dispendieuse et plus humaine en l'utilisant aux progrès de la colonisation française ». Le temps des bagnes, du dix-huitième au vingtième siècles, c'est la leçon du jour. Avec nous : Michel Pierre, licencié en histoire de l'art en en archéologie. « Le temps des bagnes, 1748-1953 » paru aux éditions Tallandier. Sujets traités : Bagne, colonie, Louis-Napoléon Bonaparte, pénitentiaire, travail forcé Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel est l'état des droits des femmes dans le monde ? Ces dernières années, ils sont remis en question, bousculés, supprimés. C'est le constat d'Actuelles, mais aussi celui de Courrier international, qui consacre à la question un numéro spécial, "Femmes, le combat continue". Ingrid Therwath et Laure Manent passent en revue les changements récents qui se sont produits à travers la planète sur les égalités de genre.
Océane et Tony sont hyper déçus ! Ils ont acheté, en février 2024, une vieille 2CV qu'ils comptaient restaurer pour leur mariage, qui doit se tenir en août prochain. Problème : le professionnel auprès de qui ils ont commandé pour 1.531€ de pièces ne les a JAMAIS livrés ! A force d'insister, le couple a obtenu, en octobre 2024, l'annulation de la commande et le remboursement des 1.531€, mais ça aussi... ils ne l'ont jamais obtenu ! Courrier, appels, SMS : le vendeur ne leur répond plus ! Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 23 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour aux urnes dimanche pour les Roumains, cinq mois après le choc de la présidentielle annulée. Le candidat surprise d'extrême droite a entretemps été exclu de la course et un nouvel acteur s'est immiscé, en la personne de George Simion, un autre leader de l'extrême droite roumaine, très critique de Bruxelles. Un fan de Trump et une star des réseaux sociaux dont les principaux rivaux sont deux candidats pro-européens : le maire de Bucarest, Nicusor Dan et le candidat de la coalition au pouvoir, Crin Antonescu. L'élection du président roumain est scrutée de près à l'ouest du continent européen, alors que la Roumanie, pays membre de l'UE est devenue un pilier essentiel de l'Otan depuis l'invasion russe de l'Ukraine voisine. Scrutée de près également par les États-Unis qui n'ont pas hésité à exercer des pressions indirectes qui ont beaucoup agité la campagne. Les États-Unis qui disposent de quelque 1 700 soldats américains sur le sol roumain. Jusqu'ici résolument pro-occidentale, la Roumanie fait face à une percée de forces politiques favorables aux intérêts de Moscou et soutenues par l'administration Trump. Le pays est stratégique, qui borde l'Ukraine et la mer Noire. Invités : Catherine Durandin, professeur émérite des Universités, historienne Florentin Cassonnet, journaliste, Courrier des Balkans Laurentiu Mihu, journaliste, Universul.net
Aujourd'hui, je suis très heureuse de recevoir Cédric Rostein, connu sous le nom de @papatriarcat sur les réseaux sociaux. On enregistre à Paris, en pleine journée, et il y a une invitée spéciale dans la pièce : sa fille Sara, qui regarde un dessin animé avec un casque sur les oreilles — donc si vous entendez quelques petits bruits de fond, c'est simplement la vraie vie autour de nous, et ça fait partie du charme de cet épisode.Avec Cédric, on parle liberté sexuelle, questionnements identitaires, et de ce qui se passe quand on est en couple depuis 20 ans, avec la même personne — en l'occurrence, Noëlla, la mère de ses deux enfants. Il nous raconte leur cheminement à travers la sexualité après les naissances, en post-partum, et toutes les mutations que cela entraîne.Mais Cédric, c'est aussi un homme en cheminement féministe, en réflexion constante sur le couple, le désir, la libido, et même sur des sujets encore trop peu abordés comme la gestion de la fertilité masculine. Cédric a en effet eu recours à une vasectomie. C'est un épisode riche, intime, parfois cash, souvent doux… et surtout très humain. Tout Cédric quoi ! Bonne écoute !N'hésitez pas à découvrir le travail de Cédric :
Courrier international publie un long reportage sur la population russe, avec d'un côté les patriotes et ceux qui critiquent la guerre Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 2 avril : Baisse du courrier, a-t-on encore besoin de facteurs ? ; avec Élina Dumont, intervenante sociale, Étienne Liebig, éducateur, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSADOLESCENCE NETFLIX : France Inter, Quotidien, Huffpost, Courrier international, MarianneJOHNNY HALLIDAY : Huffpost, La DépêcheTIBO INSHAPE : Le Parisien, BFMTVVERSAILLES : Château de Versailles, BFMTVLES FLAMMES : Pour voter, KonbiniLOL : QUI RIT, SORT : Huffpost, PremiereÉcriture : Julie BaheuxIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez les dernières innovations du Mobile World Congress, explorez l'éthique du Bitcoin avec un focus sur les États-Unis et le Salvador, et plongez dans l'univers de l'IA avec Sesame, une interface vocale révolutionnaire. Nous abordons également les interactions entre IA, prouvant que D2R2 de Star Wars était en avance sur son temps ! Courrier des […]
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui Christophe Bordet revient sur La Poste qui est mise en défaut dans la presse. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Courrier du cœur de Madame Meuf : vaut-il mieux ne pas vivre une histoire d'amour par peur de souffrir ou se ruer dedans à fond les ballons ? Un épisode avec Dany Brillant, Spinoza, du Menetou-Salon et des fuites urinaires... Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Monté par Romain Redon Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Date de première diffusion : 1er octobre 2021. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:23:05 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - La colère gronde dans les rues et les universités serbes depuis le mois de novembre, date où un accident dans la gare de Novi Sad causait la mort de 15 personnes. Un drame qui, pour les manifestants, résulte de la corruption et du dysfonctionnement des institutions. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Tara Mirković Journaliste au Courrier des Balkans
durée : 00:58:14 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Tara Mirković qui rentre de Serbie ; suivi d'une table-ronde sur le conflit au Kivu, en République démocratique du Congo. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Tara Mirković Journaliste au Courrier des Balkans ; Joan Tilouine Journaliste à Africa Intelligence ; Christoph Vogel Chercheur sur les dynamiques de conflit en Afrique centrale, ancien enquêteur pour le Conseil de sécurité des Nations unies
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des propos polémiques de Charline Vanhoenacker tenues contre Donald Trump et Elon Musk dans l'émission "Quelle Epoque" sur France 2.
« C'était il y a tout juste 70 ans. Aux premières heures du 1er novembre 1954, raconte Afrik.com. L'Algérie, alors département français, bascule dans une ère nouvelle. Un appel au soulèvement parcourt le pays, marqué par une série d'attaques simultanées orchestrées par le FLN, le Front de libération nationale. L'insurrection, d'abord discrète, est le point de départ d'une guerre qui durera près de huit ans, et changera à jamais le destin de l'Algérie et de la France ». Une date anniversaire que le Matin d'Algérie, souligne, lui aussi : « Le 1er novembre 2024 marque le 70ème anniversaire du déclenchement de la Révolution algérienne, un événement majeur qui a vu le peuple algérien s'élever contre l'oppression coloniale française. Cette date symbolise la quête de liberté et d'émancipation, nous poussant à interroger l'héritage de cette lutte et les responsabilités qui en découlent. »Bref, que reste-t-il de la révolution algérienne ?, se demande le Matin d'Algérie. « La mission de la génération de 1954 était claire : obtenir l'indépendance nationale et bâtir un État juste. Soixante-dix ans plus tard, il est crucial de se demander si cette mission a été accomplie ou trahie ». Visiblement, pour le Matin d'Algérie, il y a encore beaucoup à faire. Le quotidien estime ainsi que « la double légitimité du régime algérien, fondée à la fois sur la lutte contre le colonialisme et sur l'exploitation des ressources, a permis à une élite de justifier sa domination. Cependant, cette légitimité est aujourd'hui contestée par un peuple aspirant à une véritable démocratie et à la justice sociale ».Vieilles pétoiresUn anniversaire également salué par TSA, Tout sur l'Algérie, qui annonce pour aujourd'hui un défilé « grandiose » pour rendre hommage aux martyrs de la révolution. « C'est seulement le "deuxième défilé du genre", depuis l'arrivée au pouvoir du président Abdelmadjid Tebboune, depuis son arrivée au pouvoir en décembre 2019. Et pour organiser ce défilé, les autorités algériennes n'ont pas hésité à fermer plusieurs jours l'autoroute qui mène à l'aéroport et où aura lieu "la parade militaire ouverte au public". »Enfin, dans son éditorial, El Moudjahid salue « cette poignée d'hommes déterminés, sommairement entraînés et armés de quelques vieilles pétoires »(…) qui « déclenchèrent une révolution qui eut un retentissement mondial et fut un véritable détonateur, pour les pays encore opprimés. Le 1er novembre 2024 doit être un point de départ pour un nouveau chapitre de l'histoire algérienne, un chapitre où la voix du peuple, unie et forte, sera entendue et respectée ».Un doctorant français arrêté en TunisieÀ la Une, également, l'arrestation d'un chercheur français en Tunisie. Sa photo, celle d'un jeune homme blond qui sourit à l'objectif, est à la Une de Webdo Tunisie. Il s'appelle Vincent Dupont, « doctorant à l'Université Aix-Marseille et il a été arrêté le 19 octobre 2024, 10 jours après son arrivée en Tunisie ». Selon le site d'information, il effectuait des recherches sur « les trajectoires socio-professionnelles des personnes engagées lors de la révolution de 2011 ». « Le jour de son arrestation, poursuit Webdo Tunisie, il a été arrêté par la police, placé en garde à vue, puis présenté à la justice militaire. Les services diplomatiques français sont mobilisés ». « En attendant », précise le journal en ligne, « Vincent Dupont est accusé d'atteinte à la sûreté de l'État ».De son côté, le Courrier de l'Atlas a interrogé Vincent Geisser, directeur de l'Institut de recherches et d'études sur les mondes arabes et musulmans rattaché à l'université Aix-Marseille. Selon ce dernier, l'objet des recherches de Vincent Dupont « n'est pas un sujet politique lié aux dissidents ou opposants, ce n'est pas un sujet sécuritaire, c'est un sujet sociologique classique ». Selon le journaliste Benoît Delmas, spécialiste du Maghreb, cité par Webdo Tunisie « l'arrestation d'un citoyen français, non binational, sonne comme un avertissement pour les étrangers travaillant en Tunisie. Les ONG sont également dans le collimateur du pouvoir, surtout si elles perçoivent des subventions étrangères (…) poursuit le journaliste. Selon lui,« Tunis change de cap et se coupe peu à peu de l'Occident ».
In this episode of FreepCast we've got special guest Free Press Sports Editor Chad Courrier. Chad takes us behind the scenes a bit on the annual Jug Game between Mankato East and West, and the special guest that brought heightened security to the game.
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Conclus aux États-Unis en 1995, les accords de Dayton ont mis fin à trois ans et demi de guerre en Bosnie-Herzégovine. Ils ont également instauré un système politique complexe, aujourd'hui pris en otage par les nationalismes. - invités : Maya Kandel Historienne, spécialiste de la politique étrangère américaine et du congrès, chercheuse indépendante associée à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 et chroniqueuse à Mediapart ; Jean-Arnault Dérens Rédacteur en chef du Courrier des Balkans.