POPULARITY
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
durée : 03:57:56 - La Grande matinale - par : Nicolas Demorand, Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Anne-Laure Sugier - Ce matin sur France Inter, à 7h50 le député RN Sébastien Chenu, à 8h20 le premier secrétaire du PS Olivier Faure et à 9h20 l'écrivain Javier Cercas. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:15 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - "Je crois à la lucidité, je vois un pays divisé, pense qu'il est temps de cohabiter", déclare Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Inter, au lendemain de la chute du gouvernement de François Bayrou. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la colère qui monte dans le pays, Jean-Luc Mélenchon qui s'emporte contre Olivier Faure et les forces de l'ordre prennent les menaces de blocage au sérieux. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:15 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - "Je crois à la lucidité, je vois un pays divisé, pense qu'il est temps de cohabiter", déclare Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Inter, au lendemain de la chute du gouvernement de François Bayrou. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la colère qui monte dans le pays, Jean-Luc Mélenchon qui s'emporte contre Olivier Faure et les forces de l'ordre prennent les menaces de blocage au sérieux. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
//The Wire//2100Z September 8, 2025////ROUTINE////BLUF: FRENCH PM RESIGNS AMID NO-CONFIDENCE VOTE. JAPANESE PM RESIGNS AMID PARTY LOSSES. SOCIAL TENSIONS CONTINUE TO RISE IN UNITED KINGDOM. CHARLOTTE, NC CORRUPTION HIGHLIGHTED BY BRUTAL MURDER CASE.// -----BEGIN TEARLINE------International Events-United Kingdom: Social tensions continue as before, which have been made worse by recent scandals. Several people have been arrested for posting content on social media that "caused someone anxiety", which although a common form of arrest in the United Kingdom, has still stoked the flames of social dissent as the migrant crisis has worsened.As of this morning, additional claims are circulating regarding whistleblower testimony suggesting that illegal migrants have been given priority for medical treatment throughout the NHS, which routinely results in British nationals being delayed care as migrants are moved up in the queue ahead of them. These claims draw back to the earlier revelation years ago that NHS practitioners were being dispatched to give private medical appointments to migrants stationed at migrant center hotels.Analyst Comment: As with most information from Britain these days, the veracity of most of the above information is hard to verify simply due to the lockdown on speech. Nevertheless, it doesn't really seem to matter that much now; the situation is spiraling into a state of uncertainty regardless of the minute details. This morning, a Banksy work was discovered painted on the side of Royal Courts of Justice, which featured the image of a judge attacking a protester. This thinly-veiled statement on the issues with the court's censorship efforts was made worse by the court immediately covering up the image upon it's discovery and setting up guards over it to prevent people from seeing it. In the United Kingdom nobody messes with a Banksy work and escapes unscathed, especially one so on-the-nose as this. As such, the dousing of gasoline on the societal bonfire continues, with very little chance of the situation de-escalating anytime soon.France: This morning the French government collapsed following a vote of no-confidence in Parliament. Prime Minister Francois Bayrou has resigned after losing the vote, with much speculation abounding regarding who Macron will choose to replace him.Analyst Comment: Some media sources speculate that since Macron has appointed right-leaning (by French standards) Prime Ministers twice now, there is growing pressure to appoint Olivier Faure, the current leader of the Socialist Party.Red Sea/HOA: Sunday afternoon internet disruptions were observed as multiple undersea communications cables were cut in the southern Red Sea. The IMEWE cable (which mostly serves India) and the SMW4 cable (which serves India and southwest Asia) were cut, along with the FALCON GCX which serves internet traffic to Kuwait.Analyst Comment: No word yet on what caused this cable cutting. Anchor dragging incidents are common in the area, along with more direct cable-cutting efforts that are intended to be perceived as "accidents". In either case, repairs will take some time, so it may be a while before any solid evidence on the cause of the damage comes to light.Far East: Japan's Prime Minister Shigeru Ishiba resigned yesterday afternoon, following his closing of the trade deals with the United States.Analyst Comment: This was an expected resignation, but financial markets briefly reacted negatively anyway. Ishiba has been facing growing dissent (even from within his own party) regarding his handling of the migrant crisis that has now spread to Japan.-HomeFront-Alabama: Saturday morning one assailant was arrested for murdering a woman in a public park in Auburn. Local authorities arrested Harold Rashad Dabney III for the murder, after being apprehended driving the victim's vehi
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
C'est une semaine décisive qui s'annonce, avec, demain, le vote de confiance à l'Assemblée nationale, qui selon toute vraisemblance, verra le Premier ministre François Bayrou perdre la main. Mercredi, le 10 septembre, la journée de protestation « Bloquons tout ». Deux rendez-vous qui inquiètent les hebdomadaires. Le Nouvel Obs et Marianne, parlent même d'une « crise de régime ». « Après une réélection sans élan en 2022, des législatives sans majorité, une dissolution suicidaire en 2024 et une vraie défaite aux législatives qui ont suivi, voici Emmanuel Macron bientôt contraint de nommer son cinquième Premier ministre en trois ans », constate le Nouvel Obs. Il se demande si « cette crise inédite est le signe d'une Vème République à bout de souffle ou de l'échec d'une classe politique incapable d'inventer une autre pratique du pouvoir ». De son côté, Marianne s'interroge « sur le blocage total et la défiance généralisée qui posent la question de la survie du régime à court terme ». Procrastinations C'est dans cette atmosphère plutôt pessimiste que la presse tente d'envisager l'avenir. Pour ce qui est du prochain gouvernement, les socialistes, et particulièrement leur Premier secrétaire Olivier Faure, ont fait savoir qu'ils étaient intéressés. « Olivier Faure a vocation à revendiquer le pouvoir », estime François Hollande dimanche 7 septembre dans la Tribune Dimanche. Pas tendre avec son successeur, l'ancien président socialiste estime que « si le gouvernement de François Bayrou tombe demain, les procrastinations d'Emmanuel Macron ne peuvent plus avoir cours. Il doit nommer vite un Premier ministre et lui laisser la plus grande des latitudes pour assurer la présentation d'un budget dans les délais constitutionnels. Il ne peut être question de poursuivre la politique menée depuis 2017. » François Hollande ne va toutefois pas jusqu'à réclamer la démission du président : « Ayant occupé cette charge, sachant combien nos institutions doivent être respectées, je ne serai jamais de ceux qui appellent à la démission du président de la République ». Dette publique Quant à la situation économique, elle n'engage pas non plus à l'optimisme. L'Express, notamment, se désole de voir la France endettée jusqu'au cou. « Un médecin parlerait sans doute de déni. Ou de fuite en avant », nous dit l'hebdomadaire, « Il dresserait le diagnostic d'un patient incapable d'appréhender le réel. Le réel, c'est celui d'une société française, malade de sa dette publique et de ses déficits qui s'empilent méthodiquement depuis 1973, au gré des alternances politiques ». Le 8 septembre, poursuit l'Express, « François Bayrou va jouer son avenir politique, et surtout la crédibilité de la France, sur un chiffre : 44 milliards d'euros, la facture nécessaire pour commencer à infléchir la tendance et permettre enfin au pays de respecter les engagements pris à Bruxelles ». Et l'Express ironise sur ceux qui ne partagent pas ce point de vue, tel Olivier Faure. « Pour le patron du PS, le problème du déficit français ne serait pas celui d'une dépense publique obèse, mais de recettes faméliques en raison des cadeaux fiscaux accordés depuis 2017 » affirme l'Express, qui poursuit : « Pire, au cœur des revendications du nébuleux mouvement "Bloquons tout", cette phrase reprise par Jean-Luc Mélenchon (le leader de la France Insoumise) : "cette dette n'est pas la nôtre". » « Bloquons tout » Alors, précisément, ce mouvement qui appelle au blocage pour la journée de mercredi, est-il aussi nébuleux que l'affirme l'Express ? Pas vraiment si l'on en croit le Nouvel Obs, qui a fait la rencontre de celle qui, selon lui, a lancé le mouvement un soir de colère. Christelle 46 ans, ancienne « gilet jaune », habite dans le sud de la France, et selon le Nouvel Obs, elle veut rester anonyme. C'est elle qui, avec l'aide de ChatGPT, a écrit « cette lettre ouverte au peuple de France », dans laquelle elle s'exclame notamment : « Stop aux injustices, stop aux abus. Stop à ce système qui broie les humains pour nourrir les profits. Ce jour-là, nous ne sortirons pas : Pas de travail, pas d'école, pas d'achat. Pas de train, pas de métro… ». Une vidéo postée sur TikTok qui connaît un succès immédiat. « Le lendemain, raconte Christelle, je vois que la vidéo a fait plus de 300 000 vues, puis très vite 600 000. » Sur les réseaux sociaux, « on se dispute la paternité de l'appel », extrême droite et extrême gauche « s'étripent », nous dit le Nouvel Obs, qui cite également un sondage de la Fondation Jean Jaurès, selon lequel « 80 % des soutiens au mouvement se situent dans la gauche radicale ». Des soutiens auxquels le Parisien-Dimanche savonne la planche, évoquant « un caravansérail de revendications sans grande cohésion, parfois même contradictoires mais qui se retrouvent dans un même fond de sauce : le ras-le-bol. De quoi ? D'un peu tout, une exaspération toute française », estime le journal. On en saura sans doute plus, le 10 septembre !
Ils sont vus comme étant la formation politique désormais au centre du jeu : les socialistes vont-ils vivre un retour au premier plan à l'issue de la chute du gouvernement Bayrou ? Emmanuel Macron lui-même a envisagé ces derniers jours un rapprochement avec le PS pour créer une nouvelle alliance à l'Assemblée. Mais est-ce vraiment le Grand Soir pour le parti à la rose après huit ans au purgatoire ou tout cela n'est-il qu'illusion ? Au sein de la direction du Parti socialiste, un seul scénario est officiellement envisagé, c'est celui d'un gouvernement formé par la gauche et si possible dirigé par le PS. Dans les rangs du parti, on affirme se préparer à investir les ministères, on plaisante en se disant « et toi, tu vas prendre quel poste ? ». Mais la réalité, c'est que pour l'instant la probabilité de voir cette hypothèse prendre corps est très faible. Pour des raisons mathématiques déjà : le Parti socialiste ne compte que 66 députés sur 577 et même s'il rassemble derrière lui Écologistes, Communistes et indépendants, il devra faire sans les Insoumis, dont le leader, Jean Luc Mélenchon, a affirmé ne pas vouloir participer à une « tambouille » politique qui rassemblerait de la droite aux communistes. Dans le meilleur des cas, le Parti socialiste disposerait d'une base fixe ne dépassant pas le quart des effectifs de l'Assemblée, bien loin d'une majorité donc. À lire aussiFrance: une réunion de la gauche à Matignon, sans LFI, pour préparer l'après-Bayrou Un gouvernement soutenu par le bloc central ? Les socialistes envisagent de négocier un accord de non censure, comme celui conclu entre François Bayrou et le PS justement ce printemps, ce qui avait permis au gouvernement de faire passer son budget. Mais le renvoi d'ascenseur est loin d'être assuré. Déjà parce que les partis actuellement au pouvoir préfèreraient y rester, et donc plutôt trouver un nouveau terrain d'entente avec un PS qui resterait en dehors du gouvernement. Et puis parce que les socialistes et leurs alliés devraient sans doute payer très cher le droit de gouverner. Il leur faudrait renoncer à nombre de leurs revendications, notamment en termes de fiscalité ou de retraites, ce qui voudrait dire commencer par des défaites. « Ça ne marchera pas », cingle une Insoumise, pour qui « Emmanuel Macron cherche seulement un nouveau pantin à manipuler ». Emmanuel Macron dos au mur ? L'échec de François Bayrou met toutefois Emmanuel Macron dans une position inconfortable : soit il accepte de se tourner vers les socialistes, qui appliqueront une politique ne lui convenant pas, soit il persiste à nommer un Premier ministre issu du bloc central avec la menace d'une chute quasi immédiate. Or, un nouveau gouvernement macroniste qui tombe, c'est le risque pour le chef de l'État de voir la question de son maintien au pouvoir s'accentuer. L'appel à sa démission est d'ailleurs devenu un slogan au Rassemblement national et à la France insoumise. Ce qui fait dire ironiquement à un élu LFI qu'en ne soutenant pas les ambitions gouvernementales du PS, les Insoumis lui rendent service : « plutôt de que de les laisser échouer, on leur propose une solution plus efficace : une présidentielle anticipée ». À lire aussiGeoffroy Didier : « L'instabilité politique pourrait durer jusqu'en 2027 »
C'est le Guardian à Londres, qui nous raconte son histoire et qui nous montre la dernière photo de Jana, petite fille de Gaza, souffrant de malnutrition sévère et d'acidose, une affection qui serait due à la malnutrition. « Sur les photos récentes, explique le Guardian, Jana Ayyad est recroquevillée en boule, le visage couvert de ses mains. Parfois cette fillette émaciée de 8 ans sanglote, réclamant son père, bloqué hors de Gaza depuis le début de la guerre, il y a 23 mois. Jana risque de mourir, poursuit le quotidien britannique. Son seul espoir est une évacuation médicale de Gaza pour pouvoir être soignée à l'étranger. » La mère de Jana, qui a perdu il y a deux mois son autre fille, témoigne : « Le médecin m'a dit sans détour : « Votre fille est dans un état critique. Vous pouvez la perdre à tout moment ». » Seulement voilà, « Israël contrôle les entrées et les sorties de Gaza ». « Les cas les plus critiques sont orientés vers l'étranger, poursuit le Guardian, mais les médecins et les autorités médicales affirment que la plupart des demandes sont retardées indéfiniment. » La mère de l'enfant, elle, supplie et interroge : « Pourquoi le cas de Jana est-il si compliqué ? Pourquoi personne au monde ne peut la faire sortir de Gaza ? » Retour à la case départ À la Une également, des dizaines de Russes victimes de la politique d'expulsions menée par Donald Trump. « Plusieurs dizaines de dissidents russes ont été expulsés des États-Unis et renvoyés de force en Russie », annonce le Times, qui a pu interroger « Vadim et Yuliya, un jeune couple qui pensait être enfin en sécurité, loin du régime répressif du président Vladimir Poutine. Mais qui aujourd'hui s'interroge (..) ils vivent dans la peur qu'on vienne frapper à leur porte, à Brooklyn. » Les autorités russes leur reprochent « d'avoir documenté la réalité de la guerre en Ukraine, sur une chaîne Telegram pacifiste ». Toutefois, ce n'est pas le FSB qui pourrait venir frapper à leur porte, mais bien les agents de l'immigration américains. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à des dizaines d'autres russes (dont des déserteurs), qui ont été expulsés des États-Unis, le 27 août dernier, « moins de deux semaines après le sommet entre le président Trump et Poutine, en Alaska », précise le Times. Un sommet qui a fortement déçu Vadim, le jeune dissident. « J'espérais en partie que [Vladimir] Poutine serait arrêté à son arrivée en Alaska, car c'est un criminel de guerre, dit-il, et pourtant Trump l'a accueilli comme un ami. » Les socialistes s'y voient déjà Enfin, en France, la classe politique est sur le pont, avant le vote de confiance, prévu la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. « Face au spectre de la gauche à Matignon, la droite en ébullition », titre le Figaro, qui a interrogé le Numéro 2 des Républicains (LR) François-Xavier Bellamy, selon lequel « un gouvernement PS serait immédiatement censuré par sa famille politique ». « Alors que le vote de confiance, lundi, devrait précipiter la chute de François Bayrou », estime encore le quotidien français, « les socialistes s'y voient déjà, espérant placer leur premier secrétaire, Olivier Faure, à Matignon ». Situation qui fait grincer des dents le Figaro. « Reconnaissons-le, nous dit le quotidien conservateur, il fallait une bonne dose d'imagination, il y a quelques jours encore, pour envisager la nomination d'un socialiste à Matignon. Dans une France résolument de droite, au bord du gouffre, réclamant rigueur et autorité, c'est peu dire qu'Olivier Faure et ses amis ne présentent pas le meilleur profil pour succéder à François Bayrou ». Plus cruel encore, le journal compare le Parti socialiste à une grenouille : « Profitant de la confusion générale, la grenouille socialiste, se prenant soudainement pour un bœuf, se prépare à gouverner ». Le Figaro ne cache pas son agacement : « Envoyer un socialiste à Matignon serait le pire signe qui soit ».
Dans cette édition :Les habitants de Gandrange en Moselle sont choqués par le doublement de leur taxe foncière, une décision prise par la mairie socialiste endettée.Trois militants pro-palestiniens ont été interpellés et placés en garde à vue après avoir tenté d'entrer de force dans une synagogue à Nice, un acte condamné par le maire de la ville.Dans certains quartiers, les narcotrafiquants se substituent à l'État en distribuant des fournitures scolaires et en installant des camps de vacances, une pratique qui s'étend dans le sud de la France.Le retour des socialistes au pouvoir avec un Premier ministre comme Olivier Faure suscite de vives réactions négatives chez les Français interrogés.L'équipe de France de football débute sa campagne de qualification pour la Coupe du Monde 2026 avec un match contre l'Ukraine, et Didier Deschamps évoque le rôle de capitaine de Kylian Mbappé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les habitants de Gandrange en Moselle sont choqués par le doublement de leur taxe foncière, une décision prise par la mairie socialiste endettée.Trois militants pro-palestiniens ont été interpellés et placés en garde à vue après avoir tenté d'entrer de force dans une synagogue à Nice, un acte condamné par le maire de la ville.Dans certains quartiers, les narcotrafiquants se substituent à l'État en distribuant des fournitures scolaires et en installant des camps de vacances, une pratique qui s'étend dans le sud de la France.Le retour des socialistes au pouvoir avec un Premier ministre comme Olivier Faure suscite de vives réactions négatives chez les Français interrogés.L'équipe de France de football débute sa campagne de qualification pour la Coupe du Monde 2026 avec un match contre l'Ukraine, et Didier Deschamps évoque le rôle de capitaine de Kylian Mbappé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou assume son choix de solliciter un vote de confiance à l'Assemblée, suscitant des spéculations sur un éventuel successeur socialiste comme Olivier Faure.Le président Macron a invalidé la nomination de 52 hauts fonctionnaires, un geste interprété comme un calcul politique à l'approche de la chute annoncée du gouvernement Bayrou.L'US Open de tennis se poursuit avec la finale opposant la tenante du titre Arina Sabalenka à Naomi Osaka ou Amanda Anissimova.Dans certaines villes du sud de la France, les réseaux de trafic de drogue gagnent du terrain en achetant la complaisance des habitants par des opérations de séduction.Le pape s'apprête à canoniser le jeune Carlo Acutis, surnommé le 'geek de Dieu', pour son engagement sur internet en faveur de la foi.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste, envisage de devenir Premier ministre sous la pression d'Emmanuel Macron d'élargir le socle commun aux socialistes, malgré les faibles chances de cette hypothèse.Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, accuse Jean-Luc Mélenchon d'être "l'ingénieur en chef" des casseurs et de vouloir "transformer le climat d'appréhension en climat d'insurrection" lors des prochaines manifestations.Dans certaines villes du sud de la France, les réseaux de trafic de drogue prennent la place des services publics en offrant des équipements aux habitants, menaçant ainsi la République.Le championnat de France de rugby Top 14 fait son grand retour avec l'UBB qui reçoit La Rochelle, dans un contexte d'engouement des supporters.Arina Sabalenka se qualifie pour la finale de l'US Open de tennis face à l'Américaine Amanda Anissimova.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme : 10 septembre : Bruno Retailleau a-t-il raison de vouloir empêcher toute tentative de blocage des services essentiels ? // Olivier Faure candidat à Matignon, c'est impensable ?
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Emmanuel De Villiers, chef d'entreprise, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Emmanuel De Villiers, chef d'entreprise, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Parti socialiste est au cœur de toutes les attentions. Alors que les députés socialistes s'apprêtent à voter contre la confiance, Emmanuel Macron demande à son gouvernement se travailler avec eux. A quelques minutes de son rendez-vous avec François Bayrou à Matignon, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 04 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A quatro dias da votação da moção de confiança ao Governo do primeiro-ministro francês, François Bayrou continua a reunir os partidos e declara-se disponível para fazer concessões, nomeadamente quanto à supressão de dois dias de feriado. Em entrevista à RFI, Victor Ramon Fernandes, professor de Relações Internacionais na Universidade Lusíada, em Lisboa, e em Sciences Po Aix-en-Provence, afirma que o país “está num estado ingovernável” e que o cenário mais provável será a queda do executivo. François Bayrou continua a reunir os partidos e diz-se disponível a fazer concessões, nomeadamente quanto à supressão de dois dias de feriado. Esta abertura de François Bayrou ao diálogo ainda chega a tempo? É capaz de ser um pouco tardio por duas razões. A primeira é que, do ponto de vista estratégico, o que François Bayrou fez foi pedir, logo de início, a confiança - no sentido da aprovação da moção de confiança, que será submetida a 8 de Setembro -, ficando para depois um espaço de negociação sobre uma série de questões. Porém, a maioria dos partidos, bem ou mal, considerou isso inaceitável e prefere derrubar o Governo. A segunda razão tem que ver com um certo oportunismo, digamos assim, no sentido de vários partidos considerarem que, eventualmente, poderão melhorar a sua posição no Parlamento e, quem sabe, até apresentar um candidato a primeiro-ministro. Refiro-me, por exemplo, ao caso da União Nacional, com Jordan Bardella, mas talvez também a outros partidos. E depois há ainda a França Insubmissa, de Jean-Luc Mélenchon - a meu ver, os profissionais da desorganização, especialistas em lançar o caos. Tendo em conta que defende um plano de austeridade superior a 44 mil milhões de euros, não deveria o primeiro-ministro ter promovido negociações mais cedo? Ou estará François Bayrou a preparar o terreno para o próximo chefe de Governo francês? Pode estar. Todavia, as negociações que ele poderia ter feito seriam sempre muito complicadas. O nível de dívida, a situação económica da França, é de facto muito complicada, acima de 100% do PIB. Os mercados estão a penalizar imenso o país com o aumento dos juros e a redução de notação da qualidade de crédito por parte das agências. A situação é complicada do ponto de vista económico e do ponto de vista político. Por outro lado, existe um certo sentimento da parte dos franceses, de que pagam demasiados impostos e que são sempre os mesmos a fazer os esforços. Alguns partidos também pensam dessa forma. É que, de facto, são aqueles mais afortunados, digamos assim, que deveriam fazer um esforço maior, o que, na realidade, nunca acontece. Porque a base, digamos assim, não é suficiente para resolver estes problemas. Tem sempre que se ir, digamos, tributar mais a classe média, a menos que haja reduções de despesa pública, que é, no meu entender, aquilo que a França deveria fazer. Mas isso é muito difícil. Na verdade, são os mais afortunados, por assim dizer, que deveriam suportar o maior esforço - o que, na prática, quase nunca acontece, acabando-se sempre por aumentar a carga fiscal sobre a classe média. A meu ver, a França deveria reduzir a despesa pública, mas trata-se de uma medida muito difícil de implementar. O antigo Presidente da República, Nicolas Sarkozy, veio defender que a dissolução do Governo é a opção mais sensata. A França está ingovernável? Já há bastante tempo que a França está ingovernável. A França tem um regime semipresidencialista, com os poderes muito concentrados no Presidente da República, mas, neste momento - nem da parte do Parlamento nem do Governo se consegue obter maiorias e consensos. A situação torna-se insustentável porque há uma radicalização das forças políticas - França Insubmissa, União Nacional e até mesmo no partido Republicanos, com o PS ainda muito colado à França Insubmissa. Se não houver a demissão do primeiro-ministro, o cenário servirá, porventura, para se ganhar mais tempo, mas é um adiar de uma dissolução. Por outro lado, também se houver uma dissolução, não há, no meu entender, garantias nenhumas de que possa haver uma maioria estável. E, nesse sentido, podemos, de facto, argumentar com algum suporte que a França está um pouco num estado ingovernável. Face a uma nova crise política, o chefe de Estado, Emmanuel Macron, vira-se para o Partido Socialista. Esta decisão pode impedir a queda do Governo? Eu tenho dúvidas, porque o Partido Socialista, maioritariamente, está muito próximo da França Insubmissa e penso que aí há um erro político da parte de Emmanuel Macron, com essa postura de apoio ao Partido Socialista. O Partido Socialista, de facto, não quer manter a situação e já houve manifestação de disponibilidade de Olivier Faure - secretário-geral do Partido Socialista - para assumir o cargo de primeiro-ministro, mas, ainda assim, também não haveria uma maioria absoluta. Não havendo essa maioria absoluta, a situação torna-se complicada. A escolha da esquerda é uma aposta arriscada, numa altura em que a Nova Frente Popular [coligação que reúne os partidos mais à esquerda] também está, de alguma forma, muito dividida. A situação em França está extremamente complexa. Quem sai fragilizado desta situação, o Presidente Emmanuel Macron ou o primeiro- ministro François Bayrou? Emmanuel Macron fica fragilizado a partir do momento em que opta pela dissolução do Parlamento, precipitando o país para a instabilidade política a nível de governação. Quanto a François Bayrou, o primeiro-ministro francês está naquela posição de fazer aquilo que sente que deve fazer. Ele forçou -se assim podemos dizer - a sua entrada como primeiro-ministro e agora faz esta aposta arriscada que pode até passar. Ainda não tivemos a votação, mas, se passar, é no limite e se houver um milagre. Há muitos [franceses] que consideram que, na realidade, o culpado de tudo isto é Emmanuel Macron (...) Mas enfim, com uma situação muito instável, como nós sabemos, há várias forças, quer à esquerda quer também à direita, que gostariam de ver Emmanuel Macron demitir-se, o que não deverá acontecer, certamente
Dans cette édition :François Bayrou, le Premier ministre, reçoit Marine Le Pen et Jordan Bardella du Rassemblement National dans le cadre de ses consultations, alors qu'il peine à convaincre à une semaine du vote de confiance.Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti Socialiste, affirme que la décision de voter contre la confiance est irrévocable.Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête, accuse Emmanuel Macron d'avoir été élu sans débat et estime que sa démission est la seule solution.Une rave party illégale se tient dans l'Aude, où près de 800 personnes ont été verbalisées, principalement pour des délits liés à la drogue.Un adolescent de 16 ans a été poignardé à mort près de Lyon, son présumé meurtrier de 13 ans est toujours en garde à vue.Un jeune homme de 21 ans a été tué dans un accident de la route à Carpentras, après un refus d'obtempérer.La rentrée scolaire a été reportée hier dans les Bouches-du-Rhône et le Var en raison des intempéries, 123 écoles ont été impactées.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Faure et ses amis ont des idées originales pour stopper le déclin de la France : travailler moins, dépenser plus et taxer à tout va.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou, le Premier ministre, reçoit Marine Le Pen et Jordan Bardella du Rassemblement National dans le cadre de ses consultations, alors qu'il peine à convaincre à une semaine du vote de confiance.Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti Socialiste, affirme que la décision de voter contre la confiance est irrévocable.Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête, accuse Emmanuel Macron d'avoir été élu sans débat et estime que sa démission est la seule solution.Une rave party illégale se tient dans l'Aude, où près de 800 personnes ont été verbalisées, principalement pour des délits liés à la drogue.Un adolescent de 16 ans a été poignardé à mort près de Lyon, son présumé meurtrier de 13 ans est toujours en garde à vue.Un jeune homme de 21 ans a été tué dans un accident de la route à Carpentras, après un refus d'obtempérer.La rentrée scolaire a été reportée hier dans les Bouches-du-Rhône et le Var en raison des intempéries, 123 écoles ont été impactées.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 1er septembre 2025 - Dette : la faute aux séniors ?À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, qu'il a lui-même sollicité autour de la question budgétaire et qui pourrait sceller le sort de son gouvernement, François Bayrou multiplie les initiatives. Dimanche soir, il a accordé un long entretien télévisé en direct de Matignon aux journalistes des quatre chaînes d'information — LCI, Franceinfo, BFMTV et CNews. Et ce lundi, il entame une série d'entretiens avec les différents partis politiques. Objectif : trouver un compromis sur le budget 2026 et sauver sa tête. Mais le peut-il encore ?Si le Premier ministre fait mine d'y croire, en se disant "ouvert à la discussion", il a une nouvelle fois défendu ses choix budgétaires et balayé les propositions du PS, qui se dit "volontaire" pour lui succéder à Matignon. François Bayrou a également affirmé n'avoir « jamais dit qu'il fallait cibler les boomers, dont [il est]". Tout en appelant les retraités à aider les plus jeunes, qu'il juge pour une partie "sacrifiés" et "sans destin", il a ajouté : "Je veux réveiller les aînés parce que je suis sûr qu'ils sont solidaires avec ce que je dis. Ce sont leurs enfants et leurs petits-enfants". Le Premier ministre a par ailleurs écarté l'hypothèse d'une suppression de l'abattement de 10 % pour frais professionnels dont bénéficient les retraités.Une semaine après avoir pris de court toute la classe politique en convoquant un vote de confiance à l'Assemblée, le chef du gouvernement a justifié sa démarche : "Si je n'ai pas l'assentiment minimal des Français et de ceux qui les représentent, il n'y a aucune politique courageuse possible. Vous êtes obligé de battre en retraite sur chaque mesure, et après, vous vous retrouvez censuré". Mais c'est un euphémisme de dire que le Premier ministre n'a pas réussi à convaincre l'opposition… ni même son propre camp. La présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, n'a en effet pas épargné le chef du gouvernement. Au micro de France Inter, ce lundi matin, elle a critiqué "les mots maladroits" de François Bayrou sur les oppositions ou les "boomers". Elle a aussi appelé, en cas de chute du gouvernement, les forces politiques à se réunir pour se mettre d'accord sur une coalition jusqu'en 2027.À l'extrême droite, les réactions sont tout aussi critiques du côté du Rassemblement national."On a vu un mélange d'adieu pitoyable… Il a compris que c'était fini. Il va profiter de ses derniers moments d'interview avec le syndrome Dalida pour mourir sur scène", a fustigé le porte-parole Laurent Jacobelli dimanche soir sur BFMTV, à l'unisson des cadres du parti.Le vice-président du RN, Sébastien Chenu, a parlé d'un Premier ministre "naufragé, au bout du rouleau". Invités mardi matin à Matignon par François Bayrou, dont ils souhaitent la chute, Marine Le Pen et Jordan Bardella ont également décidé de réunir ce lundi après-midi un "bureau de campagne" du Rassemblement national, pour anticiper une possible dissolution et de nouvelles élections législatives.À gauche, plusieurs partis — dont La France insoumise et les Écologistes — ont déjà indiqué qu'ils ne répondront pas présents à l'invitation de François Bayrou."Pathétique et crépusculaire", a cinglé dimanche le patron du PS, Olivier Faure. Alors que François Bayrou affirmait que le socialiste n'était pas "disponible" pour parler du budget pendant ses vacances, Olivier Faure a démenti sur X (ex-Twitter) : "Je suis parti 10 jours, j'ai toujours été joignable, et je suis rentré en Seine-et-Marne le 30 juillet". Clémentine Autain, députée NFP de Seine-Saint-Denis, s'est également indignée sur X :"Est-il possible d'arrêter de raconter que ce sont les générations futures qui vont payer la dette ?"Elle poursuit : "Ce sont les classes populaires qui vont payer tout de suite, par les coupes budgétaires qui s'abattent sur les protections sociales et les services publics."Le principal syndicat représentatif dans la fonction publique, la CGT, appelle désormais à "tout bloquer" et à la grève les 10 et 18 septembre, selon un communiqué publié ce lundi. Les deux autres principales organisations syndicales, quant à elles, concentrent leurs efforts sur la mobilisation du 18 septembre.Et vous, qu'avez-vous retenu de l'interview de François Bayrou ? Vous a-t-il convaincu ?Les "boomers" sont-ils responsables de la dette ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction – L'Express
Guillaume Daret reçoit Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, dans BFM Politique sur BFMTV, ce dimanche 31 août 2025. « BFM POLITIQUE » est LE rendez-vous média incontournable rythmant la vie politique française. Chaque dimanche, en direct et en public, l'émission présentée par Guillaume Daret donne la parole aux personnalités de tous bords. Durant deux heures, un représentant politique au cœur de l'actualité répond aux questions de la journaliste de BFMTV, puis débat dans le « face à face » avec un contradicteur sur un sujet qui les oppose. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
François Bayrou a pris le risque de chuter le 8 septembre en décidant de se soumettre à un vote de confiance à l'Assemblée. Le RN et LFI ont déjà dit qu'ils voteraient contre, comme les écologistes, et les communistes. Le secrétaire général du PS, Olivier Faure affirme quant à lui qu'il est inimaginable que les socialistes votent la confiance. En déplacement aujourd'hui dans l'Essonne, le Premier ministre appelle les députés à choisir entre "le chaos" ou "la responsabilité".
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Từ năm 1954-1974, khoảng 44.000 người hồi hương từ Đông Dương được đón ở Pháp. Hơn 6.000 người bị “nhốt” trong bốn “trung tâm” trên nền doanh trại cũ, bị quản lý kiểu quân đội, đặc biệt là Sainte-Livrade-sur-Lot và Noyant d'Allier. Họ bị xâm phạm quyền tự do cá nhân, không được ra ngoài nếu không được phép. Họ sống bấp bênh, co cụm và bị đối xử dè chừng. 70 năm chịu bất công, 20 năm đấu tranh, cuối cùng những người hồi hương Đông Dương đã được bù đắp. Trong ba ngày từ 15 đến 17/08/2025, hiệp hội CEP-CAFI (Collectif des Eurasiens pour la préservation du Cafi de Sainte-Livrade) tổ chức lễ tưởng niệm tại trại Sainte-Livrade-sur-Lot và thông tin cho con cháu, người thân về dự luật Quốc gia công nhận những người hồi hương từ Đông Dương và bồi thường thiệt hại do họ và gia đình bị tiếp đón tệ bạc và phải sống trong điều kiện khắc khổ trên lãnh thổ Pháp, đặc biệt là ở ba trại Bias, Sainte-Livrade-sur-Lot và Noyant-d'Allier. Dự luật liên đảng, do dân biểu đảng Xã Hội Olivier Faure đề xuất, đã được thông qua ở Hạ Viện ngày 03/06/2025 và chờ được Thượng Viện thông qua, dự kiến tháng 10, sau đó sẽ được ban hành bằng sắc lệnh. Để cha mẹ và những người hồi hương Đông Dương không còn là “những người cuối cùng bị Nhà nước Pháp lãng quên”, thế hệ con cháu đã mất hơn 20 năm đấu tranh, trong đó có ông Daniel Freche, hiện là chủ tịch hội CEP-CAFI. Năm 10 tuổi, ông đến Pháp cùng mẹ và các anh chị em vì cha ông là người Việt nên không thể đi cùng. Ông sống gần 20 năm trong trại, chuyển từ Bias đến Noyant d'Allier và cuối cùng là Sainte-Livrade-sur-Lot. Trả lời RFI Tiếng Việt ngày 02/07/2025, ông cho rằng “muộn còn hơn không” và giải thích tại sao “thắng lợi” này lại phải chờ lâu đến như vậy. RFI : Dân biểu Olivier Faure nói : Những người hồi hương Đông Dương “là những người cuối cùng bị lập pháp của Pháp lãng quên”. Phát biểu này có ý nghĩa như thế nào ? Tại sao đến bây giờ mới có một dự luật về người hồi hương Đông Dương ? Ông Daniel Freche : Dân biểu Olivier Faure không biết chuyện này. Tại sao gặp ông ? Tại vì ông cũng là con cái người hồi hương Đông Dương, cha mẹ cũng làm bên Pháp. Thứ hai là mấy người đó là qua đây (Pháp) có gia đình nên đoàn tụ với gia đình liền. Còn chúng tôi qua đây không có gia đình nào nên bắt buộc phải ở trong trại. Lúc mọi chuyện đã xong, tại sao lại đi gặp ông Faure ? Tại vì chúng tôi biết ông cũng là người hồi hương Đông Dương. Những người này hiểu chuyện hơn những người Pháp khác, cho nên gặp ông, cắt nghĩa câu chuyện cho ông biết. Gặp ông, cắt nghĩa cho ông tại sao 70 năm sau mới hỏi. Tại vì trước đây, cha mẹ chúng tôi không đòi hỏi gì hết. Nghèo thì nghèo, ở theo cách nghèo thôi, mà cần nhất là lo mấy đứa con cháu ra trưởng thành, có việc làm, có tương lai. Lúc đó họ lo lắng cho chúng tôi ăn học đàng hoàng. Rồi chúng tôi ra trường, đi làm, tới lúc đó mới suy nghĩ lại : Tại sao cũng là người Pháp, có quốc tịch Pháp, qua bên đây cũng đi theo Pháp, làm cho Pháp mà không được hưởng gì hết ? Còn những người “boat people” ngày trước, qua đây được người ta lo lắng đàng hoàng tử tế từ đầu tới cuối, tới khi họ ra khỏi trại thì thôi. Nhưng tại sao để cho những người hồi hương Đông Dương ở trong trại ? Chuyện đó, đối với chúng tôi, là không đúng. Đọc thêm"Lính thợ Đông Dương" : Những người lính thầm lặng tại Pháp trong Thế Chiến II Cho nên phải cắt nghĩa cho ông Faure hiểu. Chúng tôi muốn hỏi ông có thể làm gì để những người hồi hương Đông Dương được bù đắp sau mấy chục năm. Ông mới hiểu chuyện và nói rằng bắt buộc phải làm một luật khác vì luật về người Harki (1) đã được thông qua nên không được. Và ông đồng ý thảo dự luật về những người hồi hương Đông Dương. Lúc đó chúng tôi nói bây giờ nếu làm được chúng tôi cũng cảm ơn nhiều lắm. Tại vì nếu làm được thì không phải là cho chúng tô,i mà trước hết là cho cha mẹ chúng tôi, vì chúng tôi muốn ghi công họ. Ông Faure cho biết thế nào cũng làm được vì chuyện đó là đúng. Tại sao mình ở một đất nước tự do, bình đẳng, bác ái mà lại không làm được việc đó ? RFI : Dân biểu Nicolas Ray cũng phát biểu : “Nhà nước Pháp lẽ ra đã phải đón nhận (những người hồi hương Đông Dương) một cách xứng đáng hơn”. Những người hồi hương Đông Dương là ai ? Họ phải sống trong điều kiện như thế nào sau khi đến Pháp ? Ông Daniel Freche : Ông Nicolas Ray là người Pháp, chứ không phải người ở Đông Dương về. Ông đến gặp mọi người ở trại Noyant d'Allier, ông biết là người ta sống cũng không giống người khác, không được sống đàng hoàng. Ông quan tâm đến những người trong trại, bởi vì những người đó chỉ có lo ăn, lo đi làm, lo tương lai cho con cái. Người Việt Nam mình là như vậy, ở Noyant hay ở Sainte-Livrade đều giống nhau hết. Bên Noyant d'Allier cũng chịu hoàn cảnh như chúng tôi, trong khi nhiều người ở Noyant còn có cha mẹ, có bố, còn ở trại Sainte-Livrade là những người không có bố, chỉ có mỗi mẹ hoặc không cha mẹ, cho nên đâu có được ra khỏi trại sớm được, bắt buộc phải nuôi con. Chừng nào con lớn lên, tới lúc đó mới được ra. Nhưng đến lúc được ra rồi, đâu có đi đâu, bởi vì 20 năm sau, 30 năm sau, 50 năm sau, người ta vẫn giữ thói quen sống giống bên Việt Nam, ăn uống, nấu nướng, muốn đi qua đi lại nói chuyện như người Việt Nam mình. Nếu ra ngoài thì người ta đâu được sống giống như vậy. Người ta sợ mất thói quen sinh hoạt. Ít người muốn rời khỏi trại đó, cho nên những người lớn tuổi ở lại. Ông Nicola Ray nói rằng nếu đối đãi với người Pháp không đàng hoàng thì ông phải làm. Ông nói ông là người Pháp, ông không thể nào để những người hồi hương Đông Dương sống như vậy được. Ông cũng tìm hiểu để nói với ông Olivier Faure là phải giúp ra một luật về vấn đề này. Luật này rất lớn vì đây là lần đầu tiên có một luật như vậy kể từ 1954 tới bây giờ, có nghĩa là 70 năm sau. Đáng lẽ luật phải được ra trước đó nhưng giờ có luật này, chúng tôi mừng lắm. RFI : “Điều bất công kéo dài đã 70 năm”. “Thắng lợi” này có ý nghĩa như thế nào với những người hồi hương từ Đông Dương và hiện giờ là gia đình, con cháu của họ ? Ông Daniel Freche : Chúng tôi cần nhất luật này là cho cha mẹ chúng tôi, sự công nhận của Nhà nước cho cha mẹ chúng tôi. Cái đó là cần nhất. Thứ hai là phải đền ơn những người, từ mấy chục năm nay, phải sống cực khổ, chứ không sướng gì. Qua bên đây (Pháp) mà không biết tiếng Pháp, đâu có làm được gì, chỉ lo cho con thôi. Cho tới lớn, ăn học xong thì mấy người con đó đi làm có tiền, rồi mới lo cho gia đình. Mẹ của chúng tôi ở Sainte-Livrade làm như thế. Thành ra chúng tôi nói bây giờ chính phủ phải đền ơn dùm 70 năm đó, chúng tôi sống trong cảnh khó khăn đó, nên phải bồi thường. Nếu những người đã mất, giống như cha mẹ chúng tôi đã mất, thì bây giờ phải đền cho mấy đứa nhỏ. Tại họ cũng ở trong trại nó. Bồi thường, đó chỉ là khoản sửa chữa vậy thôi, chứ thực ra cũng không đáng gì : Người ta ở đó 70 năm, họ lại còn là người Pháp nữa. Thành ra bây giờ chúng tôi nói đền bù, điều đó là cũng đúng. Đọc thêmChiến tranh Đông Dương : Vị đắng ngày trở về Thứ hai, phải có một chỗ gọi là “nơi tưởng niệm” (lieu de mémoire). Đây là việc cần nhất. Tại sao ? Tại vì cha mẹ chúng tôi mất hết, chết cũng chỗ đó, chôn cũng chỗ đó. Cho nên bây giờ chúng tôi muốn làm một ngôi đền thật lớn cho cha mẹ. Họ đâu có muốn được ghi công đâu, nhưng nhờ có luật, lập được nơi tưởng niệm. Cho nên chỗ đó lớn lắm. Bây giờ những người con muốn về thăm mộ, về thăm quê hương nơi hồi nhỏ mình ở, nhớ lại hồi đó ăn uống làm sao, bạn bè mình ra sao, chơi như thế nào…, những câu chuyện đó, mình kể lại cho những người bạn, những người bạn Pháp muốn xuống tìm hiểu tại sao 70 năm sau mới làm chuyện đó. Bây giờ cũng phải cắt nghĩa cho họ biết : Mình là người Việt Nam chứ không phải là người Pháp, cái gì cũng đòi hỏi. RFI : Luật đã được thông qua ở Hạ Viện ngày 03/06/2025 và được đưa lên thảo luận ở Thượng Viện. Xin ông cho biết các bước tiếp theo sẽ như thế nào ? Ông Daniel Freche : Luật đã được thông qua ở Hạ Viện ngày 03/06, tất cả nghị sĩ đã đồng lòng thông qua. Đó là một chiến thắng lớn cho chúng tôi tại vì làm cho các dân biểu thông qua được luật đó. Đọc thêmPháp và Chiến tranh Đông Dương : “Lối thoát danh dự” hay “ô nhục” Thứ hai là hiện giờ, luật đã thông qua ở Hạ Viện rồi nhưng chưa xong tại vì còn phải được thông qua ở Thượng Viện, tháng 10 họp lại, mới bỏ phiếu luật đó, sau đó được đưa trở lại Hạ Viện để thông qua và chính phủ ban hành sắc lệnh để bồi thường cho những người hồi hương Đông Dương. Ít nhất là cũng phải ba bốn tháng nữa. Chúng tôi đợi 70 năm rồi, bây giờ thêm ba, bốn tháng nữa, đối với chúng tôi là không nhiều. RFI Tiếng Việt xin chân thành cảm ơn ông Daniel Freche, chủ tịch hội CEP-CAFI. (1) Luật ngày 23/02/2022 về việc Quốc gia công nhận những người Harki và những người khác hồi hương từ Algérie lại không có những người hồi hương từ Đông Dương. Người harki, người Hồi giáo Algérie được tuyển dụng làm lực lượng hỗ trợ cho quân đội Pháp trong Chiến tranh Algérie (1954-1962). Ngoài CEP-CAFI còn có hội ARINA (l'Association des Rapatriés d'Indochine de Noyant d'Allier (Arina) và FNR (Fédération Nationale des Rapatriés)
Les socialistes se sont sentis insultés par une image qui mettait sur un pied d'égalité Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, Jordan Bardella et Olivier Faure, sous le slogan : « leur populisme nous coûte cher ». Une maladresse alors que le PS est aujourd'hui prêt à renégocier certains points du prochain budget à l'automne. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à François Ruffin, Olivier Faure ou encore Fabien Roussel ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
François Bayrou échappe à la censure. Les députés Rassemblement national disent se réserver sur le budget à l'automne. Dans un rapport, la Cour des comptes alerte : le report des efforts n'est plus possible. Dans l'actualité de la semaine, il y a aussi cette rencontre entre Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella qui a irrité une partie de la droite, tandis que la gauche se réunissait en vue de la présidentielle de 2027 – sans Jean-Luc Mélenchon ni Raphaël Glucksmann.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA, BFM, Europe 1, Sud Radio Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : PS, Le Parisien, Public Sénat, INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : INA, BFM, Public Sénat Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:55:11 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre est l'invité de "Questions politiques" ce dimanche alors que se termine le congrès du PS. Il demande à Olivier Faure de "rompre" avec LFI. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:35:00 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Reconduit de justesse, jeudi 5 juin, à la tête du Parti socialiste, Olivier Faure compose avec un appareil coupé en deux. Rongé par les divisions et déserté par les adhérents, l'ancienne force dominante de la gauche doit désormais esquisser une vision, à deux ans de l'élection présidentielle.
Le premier secrétaire du PS, réélu de peu vendredi à la tête de son parti, souhaite le moins de candidatures à gauche pour la prochaine Présidentielle afin de contrer l'extrême droite. Dans un autre temps il se place toujours comme un opposant politique au gouvernement en brandissant la menace de la censure face au dossier des retraites. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 12 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 juin 2025 - Surveillante poignardée : un "déferlement de violence insensé"Vers 9 h ce matin, alors que les gendarmes effectuaient un contrôle inopiné des sacs devant un collège de Nogent, en Haute-Marne, l'un des élèves, pour une raison encore inconnue, s'est jeté sur l'assistante d'éducation présente sur place et l'a poignardée à plusieurs reprises avant d'être maîtrisé par les forces de l'ordre. Grièvement blessée, la jeune femme, âgée de 31 ans, est décédée.Le suspect, Quentin G., âgé de 14 ans et inconnu des services de police, est actuellement entendu par les enquêteurs en garde à vue. Il devrait être examiné par un psychiatre. Des dispositions d'accompagnement ont été mises en place pour prendre en charge les élèves, leurs familles et le personnel de l'établissement. La ministre de l'Éducation nationale s'est rendue sur place en début d'après-midi. Interrogée sur le profil du suspect, Élisabeth Borne a parlé d'un "jeune qui ne présentait pas de difficultés particulières et qui était ambassadeur harcèlement". Elle a estimé qu'il faut une "réponse globale" face à ces drames. "On doit aussi agir sur la santé mentale", a expliqué la ministre, alors que les réactions dans la classe politique sont très nombreuses.Le président de la République a dénoncé ce matin sur X un "déferlement de violence insensé (…) La nation est en deuil". Cette mort "horrifie et elle nous glace", a réagi sur X la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a déploré une "abomination". "L'école est frappée par l'ultraviolence. Elle résiste, mais ne peut pas tout. On ne peut pas lui demander de réparer seule des décennies d'abandon civique, de désagrégation du lien social et de propagation de la violence", a écrit de son côté Raphaël Glucksmann. La présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale Marine Le Pen, pour sa part, a écrit sur X : "Pas une semaine sans qu'un drame frappe l'école. Désacralisation de la vie, banalisation de l'ultraviolence, encouragée par l'apathie des pouvoirs publics à y mettre fin, explosion du port d'armes blanches : les Français n'en peuvent plus et attendent une réponse politique ferme", a affirmé la leader d'extrême droite, sans en dire plus.Le Premier ministre, qui sera l'invité du 20 heures de TF1, a indiqué vouloir faire de "la menace des armes blanches chez nos enfants" un "ennemi public". Le 24 avril dernier, après une attaque au couteau à Nantes, François Bayrou avait fait renforcer les contrôles inopinés et les fouilles des sacs devant les établissements scolaires. Il avait également demandé "des propositions concrètes en matière de prévention, de réglementation et de répression pour endiguer le phénomène des violences commises par les mineurs avec des armes blanches". Un rapport avait été remis en mai avec une série de propositions : interdiction de la vente, directe comme en ligne, des armes zombies, vidéoprotection et interdiction des téléphones portables dans les établissements scolaires… Parallèlement, le gouvernement entend interdire l'accès aux réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans, en imposant aux plateformes la vérification de l'âge au moment de la création d'un compte. Mais il s'est heurté, pour l'instant, en Europe, à des questions techniques et de compatibilité avec le droit communautaire. LES EXPERTS :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ALAIN BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- AUDREY GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- MARIE-ESTELLE PECH - Rédactrice en chef société à MariannePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:40 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur une nuit d'élection au Parti socialiste.
Les candidats en piste pour 2027 semblent se multiplier et les ouvrages avec : Edouard Philippe ou Michel Barnier ont déjà sorti les leurs. Bruno Retailleau et Gérald Darmanin ne cachent pas leur envie de se lancer. A gauche, le Parti socialiste élit son nouveau premier secrétaire. Les adhérents doivent départager Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, avec comme enjeu l'union et la question brûlante d'une alliance avec les Insoumis pour les prochaines échéances électorales.
durée : 00:12:23 - Congrès du PS : l'heure du choix - Les militants du Parti socialiste tranchent ce jeudi le duel incertain entre les deux prétendants au poste de premier secrétaire, Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, le premier partant légèrement favori depuis que Boris Vallaud, le troisième homme, a fait savoir qu'il voterait à titre personnel pour lui. Les adhérents (40.000, et 24.701 votants au premier tour) votent dans les sections depuis 17H00 et jusqu'à 22H00, pour un résultat attendu tard dans la nuit.
Demain jeudi les adhérents du Parti socialiste français éliront leur futur Premier secrétaire. Deux candidats se font face pour ce second tour : le sortant Olivier Faure, et le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol. La séquence se terminera en fin de semaine prochaine avec la clôture du 81e congrès à Nancy.La ligne du PS doit-elle évoluer ? Comment peser politiquement tout en s'affranchissant de La France insoumise ? Pour en débattre :- Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne- Jean-Philippe Moinet, directeur de la Revue Civique, auteur de « Un journal sous influence », éditions AliRibelli - Antoine Delangre-Marini, ex-adhérent du PS, sympathisant. Ancien conseiller ministériel, aujourd'hui conseiller communication.
Demain jeudi les adhérents du Parti socialiste français éliront leur futur Premier secrétaire. Deux candidats se font face pour ce second tour : le sortant Olivier Faure, et le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol. La séquence se terminera en fin de semaine prochaine avec la clôture du 81e congrès à Nancy.La ligne du PS doit-elle évoluer ? Comment peser politiquement tout en s'affranchissant de La France insoumise ? Pour en débattre :- Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne- Jean-Philippe Moinet, directeur de la Revue Civique, auteur de « Un journal sous influence », éditions AliRibelli - Antoine Delangre-Marini, ex-adhérent du PS, sympathisant. Ancien conseiller ministériel, aujourd'hui conseiller communication.
C dans l'air du 3 juin 2025 - Paris : pourquoi tant de violences ?Après la victoire du Paris Saint-Germain en finale de la Ligue des champions face aux Italiens de l'Inter Milan, des scènes de débordements se sont multipliées en France dans la nuit du samedi 31 mai au dimanche 1er juin. Des supermarchés et d'autres magasins ont été saccagés puis pillés, des voitures ont été brûlées, du mobilier urbain dégradé… Les dégâts matériels sont très importants et le bilan humain est tragique : deux personnes sont décédées, plus de 200 autres ont été blessées. Les forces de l'ordre ont procédé à plus de 560 interpellations dans toute la France, dont près de 491 à Paris, au terme d'une nuit marquée par des incidents d'une ampleur considérable. Mais pourquoi a-t-on assisté à de telles scènes de violence ?Depuis deux jours, la polémique monte sur la sécurité autour de l'événement et sur la réponse judiciaire apportée, alors que les premières condamnations sont tombées. Quatre hommes, âgés de 20 à 23 ans notamment, ont été jugés lundi en comparution immédiate pour des tirs de mortier ou des jets de projectiles envers les forces de l'ordre. Sans casier judiciaire et insérés socialement — étudiants ou en formation —, tous ont été condamnés à des peines allant de 2 à 8 mois de prison avec sursis. Certains d'entre eux devront également s'acquitter d'une amende et réaliser des travaux d'intérêt général ou un stage de citoyenneté.Une décision de justice qui a fait réagir le garde des Sceaux. "À la suite des graves incidents d'ordre public et des désordres répétés de ce week-end, une partie des condamnations pour violences, notamment commises à l'encontre des forces de l'ordre et pour destructions de biens, ne sont plus à la hauteur de la violence que connaît notre pays", a réagi Gérald Darmanin sur X ce mardi 3 juin au matin, avant de proposer de "faire évoluer radicalement la loi". Selon lui, il faudrait "supprimer les aménagements de peine obligatoires", "supprimer le sursis" et "mettre en place par la loi une condamnation minimale systématique une fois la culpabilité reconnue". "Par exemple, trois mois de prison ferme (réellement exécutés) minimum pour toute agression envers un représentant de l'État, ou encore une amende très élevée pour toute destruction", a poursuivi le ministre de la Justice.Les violences en marge de la victoire parisienne ont également enflammé les débats ce mardi à l'Assemblée nationale. Le groupe LFI a annoncé le dépôt d'une demande de commission d'enquête "sur la gestion de la sécurité publique après le match" PSG-Inter. Les Insoumis, qui comptent sur le soutien d'autres groupes pour faire prospérer cette initiative, entendent ainsi "expertiser ce fiasco dont le ministre de l'Intérieur", Bruno Retailleau, est à leurs yeux "directement responsable".Ciblé par l'extrême droite pour son inaction, le ministre de l'Intérieur est aussi critiqué à gauche pour ses propos. En qualifiant à nouveau les fauteurs de trouble de "barbares", il s'est attiré les foudres de plusieurs élus. "Ce tweet est indigne d'un ministre de l'Intérieur républicain. Il faut refuser la violence de ceux qui voudraient gâcher la fête, mais pourquoi utiliser ce vocabulaire : “barbare”, “sauvage”, c'est-à-dire : étranger et quasi animal ?", a déploré le député NFP de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière.Dans ce climat tendu, un autre drame a secoué l'opinion : le meurtre de Hichem Miraoui, abattu devant son domicile à Puget-sur-Argens (Var). Bruno Retailleau a qualifié les faits de "crime raciste" mais le patron des socialistes Olivier Faure juge qu'il "participe au débat public avec ceux qui, à l'extrême droite, cherchent à banaliser le racisme, à expliquer qu'il y a une forme de menace qui serait créée par nos concitoyens d'origine étrangère".Alors, que s'est-il passé en marge de la victoire du PSG ce week-end ? Pourquoi ces scènes de violence après une grande célébration sportive ? Plus largement, pourquoi les violences à l'encontre des représentants de l'État, notamment les maires, sont-elles si nombreuses ? Enfin, que sait-on du meurtre de Hichem Miraoui, dont s'est saisi le parquet antiterroriste ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Arnaud DE SAINT-REMY (en duplex) - Avocat spécialiste du droit des mineursPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Comme un air de déjà-vu : Olivier Faure n'a que quelques voix d'avance sur Nicolas Mayer Rossignol, après le premier tour de vote mardi pour choisir le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste.
durée : 00:15:10 - Journal de 8 h - Comme un air de déjà-vu : Olivier Faure n'a que quelques voix d'avance sur Nicolas Mayer Rossignol, après le premier tour de vote mardi pour choisir le nouveau premier secrétaire du Parti socialiste.