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Premier ministre depuis maintenant plus de deux semaines, Sébastien Lecornu n'a toujours pas formé son gouvernement. « Vous n'êtes pas pressé ? » lui demande le Parisien. « Je suis au travail », répond le Premier ministre, qui promet tout de même un gouvernement pour la semaine prochaine. « Y aura-t-il des personnalités issues du Parti Socialiste » ? demande encore le Parisien. « Je ne veux pas de débauchage de personnalité issue d'une formation politique qui ne soutiendrait pas le gouvernement, » assure Sébastien Lecornu. Quant aux projets, sur le fond, le Premier ministre les égraine les uns après les autres. D'abord la réduction des dépenses : le premier ministre va « proposer une diminution de six milliards d'euros sur l'État et son train de vie ». La Taxe Zucman ? Sébastien Lecornu est visiblement opposé à ce prélèvement de 2 % sur les plus riches. La réforme des retraites ? le Premier ministre n'envisage pas de la suspendre. Une interview qui a laissé le Parti Socialiste sur sa faim. « Aucun effort n'a été réalisé », a estimé Olivier Faure, le patron du PS sur TF1. Israël, un nouveau pays paria À la Une également, Benyamin Netanyahu à la tribune des Nations Unies. « Netanyahu promet de « finir le travail » à Gaza lors de son discours à l'ONU, alors que les délégations quittent le siège des Nations unies », titre le Guardian. Le quotidien britannique reprend une par une les déclarations du Premier ministre israélien, qui a donc « promis de finir le travail à Gaza » mais qui a aussi jugé « insensée » la reconnaissance d'un État palestinien, « quelques jours seulement après que le Royaume-Uni, la France, le Canada, l'Australie et d'autres pays ont rompu avec les États-Unis, pour reconnaître un État palestinien indépendant ». La presse américaine, elle aussi, revient sur le discours du Premier ministre israélien. C'est le cas du New York Times. Le quotidien américain parle« d'un Netanyahu provocateur » qui « dénonce la reconnaissance de la Palestine devant une salle de l'ONU presque vide », les délégués ayant ainsi montré leur réprobation. « L'image du Premier ministre israélien s'adressant à une salle où les applaudissements venaient en grande partie de sa propre délégation, semblait souligner les craintes exprimées par certains Israéliens de voir leur pays devenir un paria », ajoute le New York Times. Selon le Times of Israël, le cabinet du Premier ministre israélien a par ailleurs affirmé « que l'armée israélienne avait pris le contrôle des téléphones des Palestiniens de Gaza pour diffuser en direct son discours à l'ONU. Les habitants de Gaza auraient reçu des SMS contenant un lien vers le discours de Netanyahu, mais aucune confirmation de cette prise de contrôle n'a pu être obtenue » précise toutefois le Times of Israël. Robots à tout faire Les « camps d'entraînement de robots » en Chine est à la Une du South China Morning Post, quotidien anglophone de Hong Kong, qui nous explique que « ces camps d'entraînement de robots doivent servir à former des humanoïdes de renommée mondiale ». « La Chine met tout en œuvre pour devancer les États-Unis dans la course au développement de robots humanoïdes perfectionnés », explique le journal, qui précise : « Partout dans le pays, des villes ouvrent d'immenses bases de formation en robotique humanoïde, qui mettent les robots à l'épreuve dans différents scénarios, et collectent ensuite des données pour aider les fabricants à accélérer le développement de leurs produits ». Parmi les scénarios proposés à ces robots destinés à remplacer les êtres humains, on trouve notamment « le travail dans une usine, dans un point de vente au détail, dans un centre de soins pour personnes âgées, ou encore dans une maison intelligente ». « Ces derniers mois, rappelle le South China Morning Post, « la Chine a organisé une série d'événements de grande envergure pour présenter ses progrès en robotique, avec des humanoïdes participant à un semi-marathon, un match de kickboxing ou encore un spectacle de danse ». On croise les doigts pour que des robots humanoïdes ne s'installent pas derrière les micros de RFI.
Aujourd'hui, Didier Giraud, agriculteur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Au programme de ce premier numéro de la nouvelle saison de "Et Maintenant !", on reviendra sur les premiers pas du nouveau locataire de Matignon, Sébastien Lecornu, cinquième premier ministre d'Emmanuel Macron depuis sa réélection en 2022. Fera-t-il mieux que ses prédécesseurs, fera-t-il moins bien ? Il promet en tout cas de faire différemment. On se demandera si les Etats-Unis ont un problème avec la liberté d'expression, dernier épisode en date : l'humoriste Jimmy Kimmel, animateur d'un très populaire "late show" suspendu après ses propos accusant la droite américaine d'exploiter l'assassinat de l'influenceur Charlie Kirk, Trump a salué une "excellente nouvelle pour l'Amérique". On se penchera sur le drapeau de la discorde à quelques heures de la reconnaissance par la France de l'Etat de Palestine. Le patron des socialistes Olivier Faure a appelé à pavoiser les mairies du drapeau palestinien, ce qui ne fait pas l'unanimité dans la classe politique. Enfin, l'extrême droite est-elle en train de gagner la partie ? Le week-end dernier elle a en tout cas fait une démonstration de force dans les rues de Londres, entre 100 000 et 150.000 personnes ont défilé pour dire leur rejet de l'immigration Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier le Bret, journaliste. - Sophie de Menthon, entrepreneure, présidente du mouvement patronal ETHIC. - Eric Revel, journaliste. - Fabien Onteniente, réalisateur. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 17 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonjour tout le monde et bienvenue pour un nouvel épisode des “Indiscrets”, sur Le Média, votre rendez-vous hebdomadaire politique avec Nils Wilcke. Grâce à son carnet d'adresses sans égal et sa connaissance fine des acteurs politiques de tous bords, Nils nous permet d'arpenter chaque semaine les coulisses et ce qu'il se trame dans la politique française, d'aller chasser les indiscrétions que certains n'aimeraient pas qu'on vous parle. Au sommaire… Emmanuel Macron en bout de course ? En nommant Lecornu, un fidèle parmi les fidèles, le président de la République semble davantage préoccupé de garder le pouvoir jusqu'en 2027 que de répondre à la colère du peuple français. Nils a enquêté sur les coulisses de cette nomination et ce qu'elle révèle du règne crépusculaire du chef de l'État. Mais qui est il, Sébastien Lecornu ? Le nouveau Premier ministre, le 7è depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017, garde une large part de mystère…Et ce mystère, on a tenté de le percer. Et enfin, ils ont tout donné, ils y ont cru ! Les nombreux candidats à Matignon se sont fait balader en beauté par Emmanuel Macron. Yaël Braun-Pivet, Xavier Bertrand, Olivier Faure et Catherine Vautrin, tous candidats, ce sont les cocus de la République. ⚠️ Le Média est diffusé sur le canal 165 de la Freebox et sur le bouquet gratuit de Molotov TV.Suivez Le Média sur sa seconde chaîne Youtube :
Écrivain et ancien directeur du CRIF, Haïm Musicant dénonce au micro de Yael Bornstein une dérive inquiétante, ravivée par les propos d’Olivier Faure et les tensions autour de la politique étrangère française.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Olivier Faure ne fait que singer la stratégie de LFI pour qui toute occasion est bonne pour brandir le drapeau palestinien, et, accessoirement dénoncer le sionisme, même les mouvements sociaux comme le 10 septembre. Clairement, le patron du PS attise à son tour la question du Proche-Orient dans une société française déjà fracturée et à vif Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Il ne nous a rien dit" : reçu à Matignon par Sébastien Lecornu avec les autres figures socialistes Olivier Faure, Boris Vallaud et la maire de Nantes Johanna Rolland, Patrick Kanner espère revoir le nouveau Premier ministre dans les prochains jours. "Il faut que l'on rentre dans le dur, et si on rentre dans le dur, nous serons extrêmement forts et vigilants", assure le sénateur du Nord et président du groupe socialiste au Sénat.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la deuxième heure des GG du mardi 16 septembre 2025 : "Mouvement du 18 septembre, ça va péter ?" et "Olivier Faure veut des drapeaux palestiniens sur les mairies", avec Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise.
A 10h45, ce mardi 16 septembre 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de : Olivier Faure veut des drapeaux palestiniens sur les mairies.
Dans cette édition :Une pétition contre l'immigration lancée par Philippe De Villiers a recueilli plus d'1 million de signatures en 10 jours, un succès inattendu qui montre le mécontentement de la population.Olivier Faure, le patron du Parti Socialiste, propose de faire flotter le drapeau palestinien sur les mairies de France, une proposition jugée indécente et électoraliste par ses adversaires politiques.Deux hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire suite à la violente agression de 7 policiers hors service à Reims.Près de 400 000 manifestants sont attendus dans tout le pays ce jeudi 18 septembre, avec la présence anticipée de groupes violents.Le gouvernement envisage d'augmenter la taxation des ruptures conventionnelles, une mesure qui fait craindre un frein à l'embauche.Dans les Landes, le préfet menace de suspendre le permis de conduire des automobilistes qui utilisent leur téléphone au volant, une mesure jugée trop sévère par certains.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Une pétition pour un référendum sur l'immigration a recueilli plus d'un million de signatures en 10 jours, ce qui surprend Philippe de Villiers qui appelle la classe politique à écouter le peuple.Le patron du Parti socialiste, Olivier Faure, propose de faire flotter le drapeau palestinien sur les façades des mairies le 22 septembre, ce qui provoque l'indignation de la droite et d'une partie de la majorité présidentielle.Le gouvernement envisage d'augmenter la contribution patronale en cas de rupture conventionnelle afin de limiter les coûts pour l'assurance chômage, une mesure critiquée par les entreprises qui y voient un frein à l'embauche.L'Olympique de Marseille affronte le Real Madrid en Ligue des Champions, un défi de taille pour les Marseillais qui n'ont jamais réussi à battre le club madrilène.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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A França viveu uma semana agitada com a demissão de François Bayrou do cargo de primeiro-ministro depois de não ter obtido o voto de confiança por parte da Assembleia Nacional. No mesmo dia, Emmanuel Macron nomeou um novo chefe do Governo, Sébastien Lecornu, aliado da primeira hora do presidente francês. Nathalie de Oliveira, antiga deputada, do Partido Socialista, à Assembleia da República portuguesa pelo círculo da Europa respondeu às perguntas da RFI sobre o que está a acontecer em França. Após falhar o voto de confiança, François Bayrou demitiu-se do cargo de primeiro-ministro e Emmanuel Macron nomeou Sébastien Lecornu para o substituir. A escolha levanta críticas pela sua excessiva proximidade do presidente da República, segundo a ex-deputada portuguesa Nathalie De Oliveira. “Fiquei preocupada, não acho ser a melhor novidade ou a melhor opção esta nomeação do primeiro-ministro. Sébastien Lecornu, de certeza, de forma pessoal é uma pessoa interessante com percurso muito apegado à eleição do presidente da República e à militância do Emmanuel Macron e à construção do que nós chamamos aqui em França a Macronie. Mas numa altura em que o povo, quem mais ordena, entregou uma mensagem claríssima e em muito particular desde Julho de 2024, quando o presidente da República decidiu eleições antecipadas, o povo não deu maioria a ninguém, deixou claro que não queria, recusava continuar a apoiar as políticas públicas e a forma de governação de Emmanuel Macron. Ficou claríssimo, porque desde a reeleição em 2022 já só vários ministros, primeiros ministros e governos a obedecerem às decisões do presidente da República, que teve maioria em 2017 e a continuar a insistir com decisões que que o povo recusa, reprova e condena. Não é uma boa novidade. Devia ter sido uma pessoa, se não fosse oriunda do movimento Novo Frente Popular. Devia ter sido, de certeza, e temos ainda isso no país, uma oportunidade com curso muito mais neutro, não posso dizer isso, mas que que estivesse em situação de não pertencer tanto à história, à evolução e ao projecto de Emmanuel Macron, isso agora nos próximos 15 dias. Claro que o primeiro-ministro tem uma tarefa dificilíssima de negociação e de tentativa de concórdia nacional a tentar nomear um governo que seja equilibrado e que vá no sentido daquilo que o povo disse.” Com esta situação, construir um governo com personalidades de partidos de esquerda vai ser difícil par o novo primeiro-ministro que representa uma maneira de governar e um projecto que não coincide com a ala esquerda da Assembleia francesa. “A declaração do Olivier Faure (primeiro secretário do Partido Socialista) é límpida. Nenhum socialista participaria num governo que não aplicasse a questão do IRS (Imposto sobre o Rendimento das Pessoas Singulares) aliviado para quem está a pagar cada vez mais e com ordenados médios. A aplicação da taxa Zucman, a questão de desistir de apoiar empresas que são quase multinacionais nem que tenham sede em França, porque foi apoio da ordem de 210.000 mil milhões de euros a empresas que afinal não recrutaram, não melhoram as condições de trabalho das pessoas, não aumentam ordenados e afinal de contas estão a crescer menos o nível de recrutamento e de condições de vida das pessoas. Uma apresentação de outra forma também de gerir a segurança social, enfim, uma forma de aplicarem mais e melhor redistribuição. As pessoas estão a pagar cada vez mais e não tem retribuição em termos de qualidade de serviço público e de conquista de igualdade, de conquista de melhores condições de vida. Antes pelo contrário, estamos a regredir desde do primeiro e agora do segundo mandado do Emmanuel Macron. Pode haver alguma condição par que o Partido Socialista e outros partidos de esquerda coligarem no novo governo? Eu não acredito muito que aconteça, mas o Sébastien Lecornu pode conseguir convencer e vai ficar logo à prova na questão do orçamento de Estado que tem agora pela frente. A condição é de aplicar uma governação de esquerda. Se não acontecer, a prova de fogo do orçamento de Estado, dos debates e da votação antes do final do ano pode correr muito mal e fazer cair outra vez em tempo recorde, menos três meses, outra vez este primeiro-ministro recentemente nomeado.” No mesmo dia (10 de Setembro) da tomada de posso do novo primeiro-ministro, a França viveu um dia de manifestação por parte do movimento “Bloquons Tout” que tinha como objectivo bloquear economicamente o país. Cerca de 175.000 pessoas manifestaram-se e dentro de uma semana, os sindicatos apelam a uma greve. Segundo Nathalie de Oliveira a maioria dos franceses já não consegue viver neste contexto político e sobretudo económico “É sofrimento, é uma manifestação da angústia, do medo de chegar à última semana do mês e de não ter dinheiro na conta para pagar a gasolina, porque são muitas pessoas a ganhar o ordenado mínimo ou pouco mais do que ordenado mínimo, que estão a viver a 40 km do local de trabalho, talvez um bocadinho.. Pior do que isso, é de não conseguir ter 20 € que sobram para comprar um livro para os filhos ou de não poder os fazer participar numa visita ou numa viagem de escola como qualquer outra criança, que seja a nível primário ou depois no secundário. Em França, uma percentagem muito pequena ganha mais de entre 3 e 4.000 €. Pensamos também que o povo francês é riquíssimo mas o ordenado médio é de 1985 €. Viver com este ordenado é difícil com o aumento do custo do nível de vida, alugueres, créditos, juros, seguros e seguros de saúde, porque há 20 anos tínhamos uma cobertura social muito mais protetora. Não é o caso hoje É um grito. Porque este país também tem riquezas, tem capacidade e potencialidade de voltar a ter uma maior economia.” Este caos político que leva os franceses para a rua para manifestar, é, segunda a antiga deputada, uma consequência da forma de governar de Emmanuel Macron que pensou que um país se podia governar como uma empresa privada. “Emmanuel Macron pensou que o país podia ser gerido como uma startup-nation e não foi, não é o caso, não conseguiu. De facto, pode-se pensar que se gere França com uma startup, uma startup-nation e que que é como uma empresa privada. Não é bem assim, não é bem assim. E é esse grito, essa capacidade de manifestação também tem séculos e deu resultados, em termos de conquista de igualdade de direitos e de proteção de direitos fundamentais adquiridos e de conquista de mais direitos. O direito fundamental de manifestar é constitucional sem defender a violência, acho que não se consegue nada com violência. Isso diz um grande sofrimento, angústia. Para a semana (18 de Setembro) as manifestações são intersindicais e muita gente vai manifestar na rua. Naquele dia o país pode ficar mesmo bloqueado e pode não ser a última vez.”
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
durée : 03:57:56 - La Grande matinale - par : Nicolas Demorand, Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Anne-Laure Sugier - Ce matin sur France Inter, à 7h50 le député RN Sébastien Chenu, à 8h20 le premier secrétaire du PS Olivier Faure et à 9h20 l'écrivain Javier Cercas. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:15 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - "Je crois à la lucidité, je vois un pays divisé, pense qu'il est temps de cohabiter", déclare Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Inter, au lendemain de la chute du gouvernement de François Bayrou. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la colère qui monte dans le pays, Jean-Luc Mélenchon qui s'emporte contre Olivier Faure et les forces de l'ordre prennent les menaces de blocage au sérieux. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:15 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - "Je crois à la lucidité, je vois un pays divisé, pense qu'il est temps de cohabiter", déclare Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, sur France Inter, au lendemain de la chute du gouvernement de François Bayrou. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la colère qui monte dans le pays, Jean-Luc Mélenchon qui s'emporte contre Olivier Faure et les forces de l'ordre prennent les menaces de blocage au sérieux. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
//The Wire//2100Z September 8, 2025////ROUTINE////BLUF: FRENCH PM RESIGNS AMID NO-CONFIDENCE VOTE. JAPANESE PM RESIGNS AMID PARTY LOSSES. SOCIAL TENSIONS CONTINUE TO RISE IN UNITED KINGDOM. CHARLOTTE, NC CORRUPTION HIGHLIGHTED BY BRUTAL MURDER CASE.// -----BEGIN TEARLINE------International Events-United Kingdom: Social tensions continue as before, which have been made worse by recent scandals. Several people have been arrested for posting content on social media that "caused someone anxiety", which although a common form of arrest in the United Kingdom, has still stoked the flames of social dissent as the migrant crisis has worsened.As of this morning, additional claims are circulating regarding whistleblower testimony suggesting that illegal migrants have been given priority for medical treatment throughout the NHS, which routinely results in British nationals being delayed care as migrants are moved up in the queue ahead of them. These claims draw back to the earlier revelation years ago that NHS practitioners were being dispatched to give private medical appointments to migrants stationed at migrant center hotels.Analyst Comment: As with most information from Britain these days, the veracity of most of the above information is hard to verify simply due to the lockdown on speech. Nevertheless, it doesn't really seem to matter that much now; the situation is spiraling into a state of uncertainty regardless of the minute details. This morning, a Banksy work was discovered painted on the side of Royal Courts of Justice, which featured the image of a judge attacking a protester. This thinly-veiled statement on the issues with the court's censorship efforts was made worse by the court immediately covering up the image upon it's discovery and setting up guards over it to prevent people from seeing it. In the United Kingdom nobody messes with a Banksy work and escapes unscathed, especially one so on-the-nose as this. As such, the dousing of gasoline on the societal bonfire continues, with very little chance of the situation de-escalating anytime soon.France: This morning the French government collapsed following a vote of no-confidence in Parliament. Prime Minister Francois Bayrou has resigned after losing the vote, with much speculation abounding regarding who Macron will choose to replace him.Analyst Comment: Some media sources speculate that since Macron has appointed right-leaning (by French standards) Prime Ministers twice now, there is growing pressure to appoint Olivier Faure, the current leader of the Socialist Party.Red Sea/HOA: Sunday afternoon internet disruptions were observed as multiple undersea communications cables were cut in the southern Red Sea. The IMEWE cable (which mostly serves India) and the SMW4 cable (which serves India and southwest Asia) were cut, along with the FALCON GCX which serves internet traffic to Kuwait.Analyst Comment: No word yet on what caused this cable cutting. Anchor dragging incidents are common in the area, along with more direct cable-cutting efforts that are intended to be perceived as "accidents". In either case, repairs will take some time, so it may be a while before any solid evidence on the cause of the damage comes to light.Far East: Japan's Prime Minister Shigeru Ishiba resigned yesterday afternoon, following his closing of the trade deals with the United States.Analyst Comment: This was an expected resignation, but financial markets briefly reacted negatively anyway. Ishiba has been facing growing dissent (even from within his own party) regarding his handling of the migrant crisis that has now spread to Japan.-HomeFront-Alabama: Saturday morning one assailant was arrested for murdering a woman in a public park in Auburn. Local authorities arrested Harold Rashad Dabney III for the murder, after being apprehended driving the victim's vehi
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - A la veille du vote de confiance sollicité par François Bayrou à l'Assemblée, chacun prépare l'après. Alors que le chef de file du Parti socialiste Olivier Faure se dit partant pour Matignon, Bruno Retailleau refuse d'office la participation du PS.
C'est une semaine décisive qui s'annonce, avec, demain, le vote de confiance à l'Assemblée nationale, qui selon toute vraisemblance, verra le Premier ministre François Bayrou perdre la main. Mercredi, le 10 septembre, la journée de protestation « Bloquons tout ». Deux rendez-vous qui inquiètent les hebdomadaires. Le Nouvel Obs et Marianne, parlent même d'une « crise de régime ». « Après une réélection sans élan en 2022, des législatives sans majorité, une dissolution suicidaire en 2024 et une vraie défaite aux législatives qui ont suivi, voici Emmanuel Macron bientôt contraint de nommer son cinquième Premier ministre en trois ans », constate le Nouvel Obs. Il se demande si « cette crise inédite est le signe d'une Vème République à bout de souffle ou de l'échec d'une classe politique incapable d'inventer une autre pratique du pouvoir ». De son côté, Marianne s'interroge « sur le blocage total et la défiance généralisée qui posent la question de la survie du régime à court terme ». Procrastinations C'est dans cette atmosphère plutôt pessimiste que la presse tente d'envisager l'avenir. Pour ce qui est du prochain gouvernement, les socialistes, et particulièrement leur Premier secrétaire Olivier Faure, ont fait savoir qu'ils étaient intéressés. « Olivier Faure a vocation à revendiquer le pouvoir », estime François Hollande dimanche 7 septembre dans la Tribune Dimanche. Pas tendre avec son successeur, l'ancien président socialiste estime que « si le gouvernement de François Bayrou tombe demain, les procrastinations d'Emmanuel Macron ne peuvent plus avoir cours. Il doit nommer vite un Premier ministre et lui laisser la plus grande des latitudes pour assurer la présentation d'un budget dans les délais constitutionnels. Il ne peut être question de poursuivre la politique menée depuis 2017. » François Hollande ne va toutefois pas jusqu'à réclamer la démission du président : « Ayant occupé cette charge, sachant combien nos institutions doivent être respectées, je ne serai jamais de ceux qui appellent à la démission du président de la République ». Dette publique Quant à la situation économique, elle n'engage pas non plus à l'optimisme. L'Express, notamment, se désole de voir la France endettée jusqu'au cou. « Un médecin parlerait sans doute de déni. Ou de fuite en avant », nous dit l'hebdomadaire, « Il dresserait le diagnostic d'un patient incapable d'appréhender le réel. Le réel, c'est celui d'une société française, malade de sa dette publique et de ses déficits qui s'empilent méthodiquement depuis 1973, au gré des alternances politiques ». Le 8 septembre, poursuit l'Express, « François Bayrou va jouer son avenir politique, et surtout la crédibilité de la France, sur un chiffre : 44 milliards d'euros, la facture nécessaire pour commencer à infléchir la tendance et permettre enfin au pays de respecter les engagements pris à Bruxelles ». Et l'Express ironise sur ceux qui ne partagent pas ce point de vue, tel Olivier Faure. « Pour le patron du PS, le problème du déficit français ne serait pas celui d'une dépense publique obèse, mais de recettes faméliques en raison des cadeaux fiscaux accordés depuis 2017 » affirme l'Express, qui poursuit : « Pire, au cœur des revendications du nébuleux mouvement "Bloquons tout", cette phrase reprise par Jean-Luc Mélenchon (le leader de la France Insoumise) : "cette dette n'est pas la nôtre". » « Bloquons tout » Alors, précisément, ce mouvement qui appelle au blocage pour la journée de mercredi, est-il aussi nébuleux que l'affirme l'Express ? Pas vraiment si l'on en croit le Nouvel Obs, qui a fait la rencontre de celle qui, selon lui, a lancé le mouvement un soir de colère. Christelle 46 ans, ancienne « gilet jaune », habite dans le sud de la France, et selon le Nouvel Obs, elle veut rester anonyme. C'est elle qui, avec l'aide de ChatGPT, a écrit « cette lettre ouverte au peuple de France », dans laquelle elle s'exclame notamment : « Stop aux injustices, stop aux abus. Stop à ce système qui broie les humains pour nourrir les profits. Ce jour-là, nous ne sortirons pas : Pas de travail, pas d'école, pas d'achat. Pas de train, pas de métro… ». Une vidéo postée sur TikTok qui connaît un succès immédiat. « Le lendemain, raconte Christelle, je vois que la vidéo a fait plus de 300 000 vues, puis très vite 600 000. » Sur les réseaux sociaux, « on se dispute la paternité de l'appel », extrême droite et extrême gauche « s'étripent », nous dit le Nouvel Obs, qui cite également un sondage de la Fondation Jean Jaurès, selon lequel « 80 % des soutiens au mouvement se situent dans la gauche radicale ». Des soutiens auxquels le Parisien-Dimanche savonne la planche, évoquant « un caravansérail de revendications sans grande cohésion, parfois même contradictoires mais qui se retrouvent dans un même fond de sauce : le ras-le-bol. De quoi ? D'un peu tout, une exaspération toute française », estime le journal. On en saura sans doute plus, le 10 septembre !
Ils sont vus comme étant la formation politique désormais au centre du jeu : les socialistes vont-ils vivre un retour au premier plan à l'issue de la chute du gouvernement Bayrou ? Emmanuel Macron lui-même a envisagé ces derniers jours un rapprochement avec le PS pour créer une nouvelle alliance à l'Assemblée. Mais est-ce vraiment le Grand Soir pour le parti à la rose après huit ans au purgatoire ou tout cela n'est-il qu'illusion ? Au sein de la direction du Parti socialiste, un seul scénario est officiellement envisagé, c'est celui d'un gouvernement formé par la gauche et si possible dirigé par le PS. Dans les rangs du parti, on affirme se préparer à investir les ministères, on plaisante en se disant « et toi, tu vas prendre quel poste ? ». Mais la réalité, c'est que pour l'instant la probabilité de voir cette hypothèse prendre corps est très faible. Pour des raisons mathématiques déjà : le Parti socialiste ne compte que 66 députés sur 577 et même s'il rassemble derrière lui Écologistes, Communistes et indépendants, il devra faire sans les Insoumis, dont le leader, Jean Luc Mélenchon, a affirmé ne pas vouloir participer à une « tambouille » politique qui rassemblerait de la droite aux communistes. Dans le meilleur des cas, le Parti socialiste disposerait d'une base fixe ne dépassant pas le quart des effectifs de l'Assemblée, bien loin d'une majorité donc. À lire aussiFrance: une réunion de la gauche à Matignon, sans LFI, pour préparer l'après-Bayrou Un gouvernement soutenu par le bloc central ? Les socialistes envisagent de négocier un accord de non censure, comme celui conclu entre François Bayrou et le PS justement ce printemps, ce qui avait permis au gouvernement de faire passer son budget. Mais le renvoi d'ascenseur est loin d'être assuré. Déjà parce que les partis actuellement au pouvoir préfèreraient y rester, et donc plutôt trouver un nouveau terrain d'entente avec un PS qui resterait en dehors du gouvernement. Et puis parce que les socialistes et leurs alliés devraient sans doute payer très cher le droit de gouverner. Il leur faudrait renoncer à nombre de leurs revendications, notamment en termes de fiscalité ou de retraites, ce qui voudrait dire commencer par des défaites. « Ça ne marchera pas », cingle une Insoumise, pour qui « Emmanuel Macron cherche seulement un nouveau pantin à manipuler ». Emmanuel Macron dos au mur ? L'échec de François Bayrou met toutefois Emmanuel Macron dans une position inconfortable : soit il accepte de se tourner vers les socialistes, qui appliqueront une politique ne lui convenant pas, soit il persiste à nommer un Premier ministre issu du bloc central avec la menace d'une chute quasi immédiate. Or, un nouveau gouvernement macroniste qui tombe, c'est le risque pour le chef de l'État de voir la question de son maintien au pouvoir s'accentuer. L'appel à sa démission est d'ailleurs devenu un slogan au Rassemblement national et à la France insoumise. Ce qui fait dire ironiquement à un élu LFI qu'en ne soutenant pas les ambitions gouvernementales du PS, les Insoumis lui rendent service : « plutôt de que de les laisser échouer, on leur propose une solution plus efficace : une présidentielle anticipée ». À lire aussiGeoffroy Didier : « L'instabilité politique pourrait durer jusqu'en 2027 »
C'est le Guardian à Londres, qui nous raconte son histoire et qui nous montre la dernière photo de Jana, petite fille de Gaza, souffrant de malnutrition sévère et d'acidose, une affection qui serait due à la malnutrition. « Sur les photos récentes, explique le Guardian, Jana Ayyad est recroquevillée en boule, le visage couvert de ses mains. Parfois cette fillette émaciée de 8 ans sanglote, réclamant son père, bloqué hors de Gaza depuis le début de la guerre, il y a 23 mois. Jana risque de mourir, poursuit le quotidien britannique. Son seul espoir est une évacuation médicale de Gaza pour pouvoir être soignée à l'étranger. » La mère de Jana, qui a perdu il y a deux mois son autre fille, témoigne : « Le médecin m'a dit sans détour : « Votre fille est dans un état critique. Vous pouvez la perdre à tout moment ». » Seulement voilà, « Israël contrôle les entrées et les sorties de Gaza ». « Les cas les plus critiques sont orientés vers l'étranger, poursuit le Guardian, mais les médecins et les autorités médicales affirment que la plupart des demandes sont retardées indéfiniment. » La mère de l'enfant, elle, supplie et interroge : « Pourquoi le cas de Jana est-il si compliqué ? Pourquoi personne au monde ne peut la faire sortir de Gaza ? » Retour à la case départ À la Une également, des dizaines de Russes victimes de la politique d'expulsions menée par Donald Trump. « Plusieurs dizaines de dissidents russes ont été expulsés des États-Unis et renvoyés de force en Russie », annonce le Times, qui a pu interroger « Vadim et Yuliya, un jeune couple qui pensait être enfin en sécurité, loin du régime répressif du président Vladimir Poutine. Mais qui aujourd'hui s'interroge (..) ils vivent dans la peur qu'on vienne frapper à leur porte, à Brooklyn. » Les autorités russes leur reprochent « d'avoir documenté la réalité de la guerre en Ukraine, sur une chaîne Telegram pacifiste ». Toutefois, ce n'est pas le FSB qui pourrait venir frapper à leur porte, mais bien les agents de l'immigration américains. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à des dizaines d'autres russes (dont des déserteurs), qui ont été expulsés des États-Unis, le 27 août dernier, « moins de deux semaines après le sommet entre le président Trump et Poutine, en Alaska », précise le Times. Un sommet qui a fortement déçu Vadim, le jeune dissident. « J'espérais en partie que [Vladimir] Poutine serait arrêté à son arrivée en Alaska, car c'est un criminel de guerre, dit-il, et pourtant Trump l'a accueilli comme un ami. » Les socialistes s'y voient déjà Enfin, en France, la classe politique est sur le pont, avant le vote de confiance, prévu la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. « Face au spectre de la gauche à Matignon, la droite en ébullition », titre le Figaro, qui a interrogé le Numéro 2 des Républicains (LR) François-Xavier Bellamy, selon lequel « un gouvernement PS serait immédiatement censuré par sa famille politique ». « Alors que le vote de confiance, lundi, devrait précipiter la chute de François Bayrou », estime encore le quotidien français, « les socialistes s'y voient déjà, espérant placer leur premier secrétaire, Olivier Faure, à Matignon ». Situation qui fait grincer des dents le Figaro. « Reconnaissons-le, nous dit le quotidien conservateur, il fallait une bonne dose d'imagination, il y a quelques jours encore, pour envisager la nomination d'un socialiste à Matignon. Dans une France résolument de droite, au bord du gouffre, réclamant rigueur et autorité, c'est peu dire qu'Olivier Faure et ses amis ne présentent pas le meilleur profil pour succéder à François Bayrou ». Plus cruel encore, le journal compare le Parti socialiste à une grenouille : « Profitant de la confusion générale, la grenouille socialiste, se prenant soudainement pour un bœuf, se prépare à gouverner ». Le Figaro ne cache pas son agacement : « Envoyer un socialiste à Matignon serait le pire signe qui soit ».
Dans cette édition :Les habitants de Gandrange en Moselle sont choqués par le doublement de leur taxe foncière, une décision prise par la mairie socialiste endettée.Trois militants pro-palestiniens ont été interpellés et placés en garde à vue après avoir tenté d'entrer de force dans une synagogue à Nice, un acte condamné par le maire de la ville.Dans certains quartiers, les narcotrafiquants se substituent à l'État en distribuant des fournitures scolaires et en installant des camps de vacances, une pratique qui s'étend dans le sud de la France.Le retour des socialistes au pouvoir avec un Premier ministre comme Olivier Faure suscite de vives réactions négatives chez les Français interrogés.L'équipe de France de football débute sa campagne de qualification pour la Coupe du Monde 2026 avec un match contre l'Ukraine, et Didier Deschamps évoque le rôle de capitaine de Kylian Mbappé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les habitants de Gandrange en Moselle sont choqués par le doublement de leur taxe foncière, une décision prise par la mairie socialiste endettée.Trois militants pro-palestiniens ont été interpellés et placés en garde à vue après avoir tenté d'entrer de force dans une synagogue à Nice, un acte condamné par le maire de la ville.Dans certains quartiers, les narcotrafiquants se substituent à l'État en distribuant des fournitures scolaires et en installant des camps de vacances, une pratique qui s'étend dans le sud de la France.Le retour des socialistes au pouvoir avec un Premier ministre comme Olivier Faure suscite de vives réactions négatives chez les Français interrogés.L'équipe de France de football débute sa campagne de qualification pour la Coupe du Monde 2026 avec un match contre l'Ukraine, et Didier Deschamps évoque le rôle de capitaine de Kylian Mbappé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou assume son choix de solliciter un vote de confiance à l'Assemblée, suscitant des spéculations sur un éventuel successeur socialiste comme Olivier Faure.Le président Macron a invalidé la nomination de 52 hauts fonctionnaires, un geste interprété comme un calcul politique à l'approche de la chute annoncée du gouvernement Bayrou.L'US Open de tennis se poursuit avec la finale opposant la tenante du titre Arina Sabalenka à Naomi Osaka ou Amanda Anissimova.Dans certaines villes du sud de la France, les réseaux de trafic de drogue gagnent du terrain en achetant la complaisance des habitants par des opérations de séduction.Le pape s'apprête à canoniser le jeune Carlo Acutis, surnommé le 'geek de Dieu', pour son engagement sur internet en faveur de la foi.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste, envisage de devenir Premier ministre sous la pression d'Emmanuel Macron d'élargir le socle commun aux socialistes, malgré les faibles chances de cette hypothèse.Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, accuse Jean-Luc Mélenchon d'être "l'ingénieur en chef" des casseurs et de vouloir "transformer le climat d'appréhension en climat d'insurrection" lors des prochaines manifestations.Dans certaines villes du sud de la France, les réseaux de trafic de drogue prennent la place des services publics en offrant des équipements aux habitants, menaçant ainsi la République.Le championnat de France de rugby Top 14 fait son grand retour avec l'UBB qui reçoit La Rochelle, dans un contexte d'engouement des supporters.Arina Sabalenka se qualifie pour la finale de l'US Open de tennis face à l'Américaine Amanda Anissimova.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme : 10 septembre : Bruno Retailleau a-t-il raison de vouloir empêcher toute tentative de blocage des services essentiels ? // Olivier Faure candidat à Matignon, c'est impensable ?
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Emmanuel De Villiers, chef d'entreprise, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Emmanuel De Villiers, chef d'entreprise, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Parti socialiste est au cœur de toutes les attentions. Alors que les députés socialistes s'apprêtent à voter contre la confiance, Emmanuel Macron demande à son gouvernement se travailler avec eux. A quelques minutes de son rendez-vous avec François Bayrou à Matignon, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 04 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A quatro dias da votação da moção de confiança ao Governo do primeiro-ministro francês, François Bayrou continua a reunir os partidos e declara-se disponível para fazer concessões, nomeadamente quanto à supressão de dois dias de feriado. Em entrevista à RFI, Victor Ramon Fernandes, professor de Relações Internacionais na Universidade Lusíada, em Lisboa, e em Sciences Po Aix-en-Provence, afirma que o país “está num estado ingovernável” e que o cenário mais provável será a queda do executivo. François Bayrou continua a reunir os partidos e diz-se disponível a fazer concessões, nomeadamente quanto à supressão de dois dias de feriado. Esta abertura de François Bayrou ao diálogo ainda chega a tempo? É capaz de ser um pouco tardio por duas razões. A primeira é que, do ponto de vista estratégico, o que François Bayrou fez foi pedir, logo de início, a confiança - no sentido da aprovação da moção de confiança, que será submetida a 8 de Setembro -, ficando para depois um espaço de negociação sobre uma série de questões. Porém, a maioria dos partidos, bem ou mal, considerou isso inaceitável e prefere derrubar o Governo. A segunda razão tem que ver com um certo oportunismo, digamos assim, no sentido de vários partidos considerarem que, eventualmente, poderão melhorar a sua posição no Parlamento e, quem sabe, até apresentar um candidato a primeiro-ministro. Refiro-me, por exemplo, ao caso da União Nacional, com Jordan Bardella, mas talvez também a outros partidos. E depois há ainda a França Insubmissa, de Jean-Luc Mélenchon - a meu ver, os profissionais da desorganização, especialistas em lançar o caos. Tendo em conta que defende um plano de austeridade superior a 44 mil milhões de euros, não deveria o primeiro-ministro ter promovido negociações mais cedo? Ou estará François Bayrou a preparar o terreno para o próximo chefe de Governo francês? Pode estar. Todavia, as negociações que ele poderia ter feito seriam sempre muito complicadas. O nível de dívida, a situação económica da França, é de facto muito complicada, acima de 100% do PIB. Os mercados estão a penalizar imenso o país com o aumento dos juros e a redução de notação da qualidade de crédito por parte das agências. A situação é complicada do ponto de vista económico e do ponto de vista político. Por outro lado, existe um certo sentimento da parte dos franceses, de que pagam demasiados impostos e que são sempre os mesmos a fazer os esforços. Alguns partidos também pensam dessa forma. É que, de facto, são aqueles mais afortunados, digamos assim, que deveriam fazer um esforço maior, o que, na realidade, nunca acontece. Porque a base, digamos assim, não é suficiente para resolver estes problemas. Tem sempre que se ir, digamos, tributar mais a classe média, a menos que haja reduções de despesa pública, que é, no meu entender, aquilo que a França deveria fazer. Mas isso é muito difícil. Na verdade, são os mais afortunados, por assim dizer, que deveriam suportar o maior esforço - o que, na prática, quase nunca acontece, acabando-se sempre por aumentar a carga fiscal sobre a classe média. A meu ver, a França deveria reduzir a despesa pública, mas trata-se de uma medida muito difícil de implementar. O antigo Presidente da República, Nicolas Sarkozy, veio defender que a dissolução do Governo é a opção mais sensata. A França está ingovernável? Já há bastante tempo que a França está ingovernável. A França tem um regime semipresidencialista, com os poderes muito concentrados no Presidente da República, mas, neste momento - nem da parte do Parlamento nem do Governo se consegue obter maiorias e consensos. A situação torna-se insustentável porque há uma radicalização das forças políticas - França Insubmissa, União Nacional e até mesmo no partido Republicanos, com o PS ainda muito colado à França Insubmissa. Se não houver a demissão do primeiro-ministro, o cenário servirá, porventura, para se ganhar mais tempo, mas é um adiar de uma dissolução. Por outro lado, também se houver uma dissolução, não há, no meu entender, garantias nenhumas de que possa haver uma maioria estável. E, nesse sentido, podemos, de facto, argumentar com algum suporte que a França está um pouco num estado ingovernável. Face a uma nova crise política, o chefe de Estado, Emmanuel Macron, vira-se para o Partido Socialista. Esta decisão pode impedir a queda do Governo? Eu tenho dúvidas, porque o Partido Socialista, maioritariamente, está muito próximo da França Insubmissa e penso que aí há um erro político da parte de Emmanuel Macron, com essa postura de apoio ao Partido Socialista. O Partido Socialista, de facto, não quer manter a situação e já houve manifestação de disponibilidade de Olivier Faure - secretário-geral do Partido Socialista - para assumir o cargo de primeiro-ministro, mas, ainda assim, também não haveria uma maioria absoluta. Não havendo essa maioria absoluta, a situação torna-se complicada. A escolha da esquerda é uma aposta arriscada, numa altura em que a Nova Frente Popular [coligação que reúne os partidos mais à esquerda] também está, de alguma forma, muito dividida. A situação em França está extremamente complexa. Quem sai fragilizado desta situação, o Presidente Emmanuel Macron ou o primeiro- ministro François Bayrou? Emmanuel Macron fica fragilizado a partir do momento em que opta pela dissolução do Parlamento, precipitando o país para a instabilidade política a nível de governação. Quanto a François Bayrou, o primeiro-ministro francês está naquela posição de fazer aquilo que sente que deve fazer. Ele forçou -se assim podemos dizer - a sua entrada como primeiro-ministro e agora faz esta aposta arriscada que pode até passar. Ainda não tivemos a votação, mas, se passar, é no limite e se houver um milagre. Há muitos [franceses] que consideram que, na realidade, o culpado de tudo isto é Emmanuel Macron (...) Mas enfim, com uma situação muito instável, como nós sabemos, há várias forças, quer à esquerda quer também à direita, que gostariam de ver Emmanuel Macron demitir-se, o que não deverá acontecer, certamente
Dans cette édition :François Bayrou, le Premier ministre, reçoit Marine Le Pen et Jordan Bardella du Rassemblement National dans le cadre de ses consultations, alors qu'il peine à convaincre à une semaine du vote de confiance.Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti Socialiste, affirme que la décision de voter contre la confiance est irrévocable.Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête, accuse Emmanuel Macron d'avoir été élu sans débat et estime que sa démission est la seule solution.Une rave party illégale se tient dans l'Aude, où près de 800 personnes ont été verbalisées, principalement pour des délits liés à la drogue.Un adolescent de 16 ans a été poignardé à mort près de Lyon, son présumé meurtrier de 13 ans est toujours en garde à vue.Un jeune homme de 21 ans a été tué dans un accident de la route à Carpentras, après un refus d'obtempérer.La rentrée scolaire a été reportée hier dans les Bouches-du-Rhône et le Var en raison des intempéries, 123 écoles ont été impactées.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Faure et ses amis ont des idées originales pour stopper le déclin de la France : travailler moins, dépenser plus et taxer à tout va.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou, le Premier ministre, reçoit Marine Le Pen et Jordan Bardella du Rassemblement National dans le cadre de ses consultations, alors qu'il peine à convaincre à une semaine du vote de confiance.Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti Socialiste, affirme que la décision de voter contre la confiance est irrévocable.Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête, accuse Emmanuel Macron d'avoir été élu sans débat et estime que sa démission est la seule solution.Une rave party illégale se tient dans l'Aude, où près de 800 personnes ont été verbalisées, principalement pour des délits liés à la drogue.Un adolescent de 16 ans a été poignardé à mort près de Lyon, son présumé meurtrier de 13 ans est toujours en garde à vue.Un jeune homme de 21 ans a été tué dans un accident de la route à Carpentras, après un refus d'obtempérer.La rentrée scolaire a été reportée hier dans les Bouches-du-Rhône et le Var en raison des intempéries, 123 écoles ont été impactées.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 1er septembre 2025 - Dette : la faute aux séniors ?À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, qu'il a lui-même sollicité autour de la question budgétaire et qui pourrait sceller le sort de son gouvernement, François Bayrou multiplie les initiatives. Dimanche soir, il a accordé un long entretien télévisé en direct de Matignon aux journalistes des quatre chaînes d'information — LCI, Franceinfo, BFMTV et CNews. Et ce lundi, il entame une série d'entretiens avec les différents partis politiques. Objectif : trouver un compromis sur le budget 2026 et sauver sa tête. Mais le peut-il encore ?Si le Premier ministre fait mine d'y croire, en se disant "ouvert à la discussion", il a une nouvelle fois défendu ses choix budgétaires et balayé les propositions du PS, qui se dit "volontaire" pour lui succéder à Matignon. François Bayrou a également affirmé n'avoir « jamais dit qu'il fallait cibler les boomers, dont [il est]". Tout en appelant les retraités à aider les plus jeunes, qu'il juge pour une partie "sacrifiés" et "sans destin", il a ajouté : "Je veux réveiller les aînés parce que je suis sûr qu'ils sont solidaires avec ce que je dis. Ce sont leurs enfants et leurs petits-enfants". Le Premier ministre a par ailleurs écarté l'hypothèse d'une suppression de l'abattement de 10 % pour frais professionnels dont bénéficient les retraités.Une semaine après avoir pris de court toute la classe politique en convoquant un vote de confiance à l'Assemblée, le chef du gouvernement a justifié sa démarche : "Si je n'ai pas l'assentiment minimal des Français et de ceux qui les représentent, il n'y a aucune politique courageuse possible. Vous êtes obligé de battre en retraite sur chaque mesure, et après, vous vous retrouvez censuré". Mais c'est un euphémisme de dire que le Premier ministre n'a pas réussi à convaincre l'opposition… ni même son propre camp. La présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, n'a en effet pas épargné le chef du gouvernement. Au micro de France Inter, ce lundi matin, elle a critiqué "les mots maladroits" de François Bayrou sur les oppositions ou les "boomers". Elle a aussi appelé, en cas de chute du gouvernement, les forces politiques à se réunir pour se mettre d'accord sur une coalition jusqu'en 2027.À l'extrême droite, les réactions sont tout aussi critiques du côté du Rassemblement national."On a vu un mélange d'adieu pitoyable… Il a compris que c'était fini. Il va profiter de ses derniers moments d'interview avec le syndrome Dalida pour mourir sur scène", a fustigé le porte-parole Laurent Jacobelli dimanche soir sur BFMTV, à l'unisson des cadres du parti.Le vice-président du RN, Sébastien Chenu, a parlé d'un Premier ministre "naufragé, au bout du rouleau". Invités mardi matin à Matignon par François Bayrou, dont ils souhaitent la chute, Marine Le Pen et Jordan Bardella ont également décidé de réunir ce lundi après-midi un "bureau de campagne" du Rassemblement national, pour anticiper une possible dissolution et de nouvelles élections législatives.À gauche, plusieurs partis — dont La France insoumise et les Écologistes — ont déjà indiqué qu'ils ne répondront pas présents à l'invitation de François Bayrou."Pathétique et crépusculaire", a cinglé dimanche le patron du PS, Olivier Faure. Alors que François Bayrou affirmait que le socialiste n'était pas "disponible" pour parler du budget pendant ses vacances, Olivier Faure a démenti sur X (ex-Twitter) : "Je suis parti 10 jours, j'ai toujours été joignable, et je suis rentré en Seine-et-Marne le 30 juillet". Clémentine Autain, députée NFP de Seine-Saint-Denis, s'est également indignée sur X :"Est-il possible d'arrêter de raconter que ce sont les générations futures qui vont payer la dette ?"Elle poursuit : "Ce sont les classes populaires qui vont payer tout de suite, par les coupes budgétaires qui s'abattent sur les protections sociales et les services publics."Le principal syndicat représentatif dans la fonction publique, la CGT, appelle désormais à "tout bloquer" et à la grève les 10 et 18 septembre, selon un communiqué publié ce lundi. Les deux autres principales organisations syndicales, quant à elles, concentrent leurs efforts sur la mobilisation du 18 septembre.Et vous, qu'avez-vous retenu de l'interview de François Bayrou ? Vous a-t-il convaincu ?Les "boomers" sont-ils responsables de la dette ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction – L'Express
Guillaume Daret reçoit Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, dans BFM Politique sur BFMTV, ce dimanche 31 août 2025. « BFM POLITIQUE » est LE rendez-vous média incontournable rythmant la vie politique française. Chaque dimanche, en direct et en public, l'émission présentée par Guillaume Daret donne la parole aux personnalités de tous bords. Durant deux heures, un représentant politique au cœur de l'actualité répond aux questions de la journaliste de BFMTV, puis débat dans le « face à face » avec un contradicteur sur un sujet qui les oppose. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
François Bayrou a pris le risque de chuter le 8 septembre en décidant de se soumettre à un vote de confiance à l'Assemblée. Le RN et LFI ont déjà dit qu'ils voteraient contre, comme les écologistes, et les communistes. Le secrétaire général du PS, Olivier Faure affirme quant à lui qu'il est inimaginable que les socialistes votent la confiance. En déplacement aujourd'hui dans l'Essonne, le Premier ministre appelle les députés à choisir entre "le chaos" ou "la responsabilité".
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à François Ruffin, Olivier Faure ou encore Fabien Roussel ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
François Bayrou échappe à la censure. Les députés Rassemblement national disent se réserver sur le budget à l'automne. Dans un rapport, la Cour des comptes alerte : le report des efforts n'est plus possible. Dans l'actualité de la semaine, il y a aussi cette rencontre entre Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella qui a irrité une partie de la droite, tandis que la gauche se réunissait en vue de la présidentielle de 2027 – sans Jean-Luc Mélenchon ni Raphaël Glucksmann.
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA, BFM, Europe 1, Sud Radio Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : PS, Le Parisien, Public Sénat, INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.