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Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Dans cette édition :Emmanuel Macron nomme Sébastien Lecornu, ministre des Armées, au poste de Premier ministre après le départ de François Bayrou, dans un contexte de tensions politiques et de menace de censure du gouvernement.Le Parti socialiste et la gauche radicale se positionnent face à cette nomination, certains restant ouverts à la négociation tandis que d'autres appellent à la censure du gouvernement.Des appels à bloquer le pays circulent sur les réseaux sociaux, avec des risques de perturbations importantes prévues dans les transports, les entreprises et les aéroports, face auxquels le gouvernement déploie un important dispositif de sécurité.Emmanuel Macron exprime son soutien à la communauté musulmane après la découverte de têtes de cochons devant des mosquées en région parisienne, une enquête étant ouverte pour provocation à la haine.L'équipe de France de football affronte l'Islande dans un match de qualification pour la Coupe du Monde, avec des changements dans le onze de départ.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cette édition :Emmanuel Macron nomme Sébastien Lecornu, ministre des Armées, au poste de Premier ministre après le départ de François Bayrou, dans un contexte de tensions politiques et de menace de censure du gouvernement.Le Parti socialiste et la gauche radicale se positionnent face à cette nomination, certains restant ouverts à la négociation tandis que d'autres appellent à la censure du gouvernement.Des appels à bloquer le pays circulent sur les réseaux sociaux, avec des risques de perturbations importantes prévues dans les transports, les entreprises et les aéroports, face auxquels le gouvernement déploie un important dispositif de sécurité.Emmanuel Macron exprime son soutien à la communauté musulmane après la découverte de têtes de cochons devant des mosquées en région parisienne, une enquête étant ouverte pour provocation à la haine.L'équipe de France de football affronte l'Islande dans un match de qualification pour la Coupe du Monde, avec des changements dans le onze de départ.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:39 - 8h30 franceinfo - Le coordinateur national de La France insoumise et député des Bouches-du-Rhône était l'invité du "8h30 franceinfo", lundi 8 septembre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le Parti socialiste est au cœur de toutes les attentions. Alors que les députés socialistes s'apprêtent à voter contre la confiance, Emmanuel Macron demande à son gouvernement se travailler avec eux. A quelques minutes de son rendez-vous avec François Bayrou à Matignon, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 04 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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À quelques jours du vote de confiance prévu lundi 8 septembre, François Bayrou peine à rallier les oppositions. Le Parti socialiste, attendu jeudi à Matignon, affiche sa fermeté et exclut toute négociation. Invité de Mardi politique, le député socialiste du Calvados, Arthur Delaporte, estime que Bayrou « a perdu la confiance du Parlement et n'a jamais recherché de compromis », appelant Emmanuel Macron à nommer un Premier ministre issu des rangs socialistes. Arthur Delaporte est interrogé par : - Valérie Gas (RFI) - Roselyne Febvre (France 24) Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions : - 18h10-18h30 sur France 24 - 21h10-21h30 sur RFI
durée : 00:04:10 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Pour succéder à François Bayrou, les socialistes sont "volontaires". Ils proposent un contre-budget et une nouvelle méthode. Qui les soutiendra ?
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Le Parti socialiste a présenté son contre-budget, bien décidé à marquer sa différence avec le gouvernement. Derrière les annonces, un pari : réduire de moitié l'effort de consolidation budgétaire en misant davantage sur les hauts patrimoines et les grandes entreprises. Un programme « moins austère », mais aussi plus risqué ? Réponse avec Guillaume Duval, ancien rédacteur en chef du magazine « Alternatives économiques ». Ecorama du 1er septembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Partagez votre opinion avec la rédactionAlors que les Français de l'étranger s'apprêtent à élire un nouveau député dans la 5e circonscription (Espagne, Portugal, Andorre, Monaco), suite à l'invalidation du mandat de Stéphane Vojetta par le Conseil Constitutionnel, les candidatures se multiplient. Parmi elles, celle de Guillaume Horn, représentant du Parti socialiste. Chercheur installé à Barcelone depuis 2017, il se présente avec l'ambition de faire entendre une gauche de gouvernement, responsable et ancrée dans les réalités du terrain. Et selon lui, « le PS peut faire basculer la circonscription à gauche ». La suite sur Lesfrancais.pressSupport the show
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
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durée : 00:02:45 - Bientôt chez vous - L'intelligence artificielle s'invite dans la vie politique américaine : le Parti démocrate forme désormais ses candidats à l'utiliser pour préparer discours, messages et campagnes locales à faible budget. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En Inde, la coalition d'opposition affirme que les dernières élections ont été truquées. Le Parti du Congrès dit avoir identifié de nombreuses anomalies sur les listes électorales, avec de faux électeurs ajoutés pour faire pencher les scrutins en faveur du parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi. L'opposition mène depuis dix jours une grande marche à travers l'État du Bihar pour mettre en garde les électeurs. Sous la moiteur de la mousson, des milliers de paysans en turban et de femmes en sari sont venus écouter Rahul Gandhi, le leader de l'opposition. Il harangue la foule au lancement d'une marche de 14 jours à travers le Bihar, qui compte 130 millions d'habitants : « Mes amis, dans toute l'Inde, les élections vous sont volées. Les listes électorales sont trafiquées : des électeurs fantômes y sont inscrits, d'autres en sont exclus. Le peuple du Bihar ne se laissera pas faire ! » Dans cet État, un des plus pauvres de l'Inde, les électeurs sont appelés aux urnes en octobre. Or, ici aussi, l'opposition redoute des fraudes, alors que le pouvoir central a décidé de mettre à jour les listes électorales du Bihar. Rupam Yadav, professeure dans la capitale Patna, est venue saluer le cortège de l'opposition : « Des travailleurs pauvres, des migrants qui vivent ailleurs mais votent ici, sont radiés des listes électorales en priorité. Pourquoi ? Parce que le pouvoir sait que les plus démunis ne peuvent faire valoir leurs droits et soutiennent en majorité l'opposition. » Ceux qui s'estiment injustement radiés ont jusqu'au 1er septembre pour se signaler. C'est trop peu, juge l'opposition, alors que 30% des habitants du Bihar sont analphabètes. Sur le chemin de la marche, certains nous font part de leur fatalisme, comme ce vendeur de 84 ans : « Oui, les élections sont manipulées par le pouvoir. Mais beaucoup de partis, une fois élus, se sont livrés à des fraudes. » À lire aussiInde: le Parti du Congrès présente des «preuves» du trucage des élections D'autres, comme cet agriculteur, sont préoccupés par la situation économique : « Le problème du Bihar, c'est le chômage. À cause de cela, nos jeunes quittent la région. La priorité est d'ouvrir des usines ! » Le défi est pour l'opposition de convaincre une population parfois résignée face aux fraudes politiques. Achala Singh, ex-candidate du Parti du Congrès au Bihar, se dit optimiste : « C'est justement pour convaincre les électeurs défavorisés que Rahul Gandhi a choisi de marcher dans le Bihar. Et les foules qui viennent voir ses discours montrent qu'ils se sentent concernés par son message de défense de la démocratie. » La Commission électorale, de son côté, assure que les élections en Inde sont équitables et transparentes. Son incapacité à fournir des réponses précises aux accusations de l'opposition nourrit cependant le succès de la marche, qui prendra fin le 1er septembre. À lire aussiInde: enquête ouverte pour blanchiment d'argent contre Sonia et Rahul Gandhi
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En Inde, la coalition d'opposition affirme que les dernières élections ont été truquées. Le Parti du Congrès dit avoir identifié de nombreuses anomalies sur les listes électorales, avec de faux électeurs ajoutés pour faire pencher les scrutins en faveur du parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi. L'opposition mène depuis dix jours une grande marche à travers l'État du Bihar pour mettre en garde les électeurs. Sous la moiteur de la mousson, des milliers de paysans en turban et de femmes en sari sont venus écouter Rahul Gandhi, le leader de l'opposition. Il harangue la foule au lancement d'une marche de 14 jours à travers le Bihar, qui compte 130 millions d'habitants : « Mes amis, dans toute l'Inde, les élections vous sont volées. Les listes électorales sont trafiquées : des électeurs fantômes y sont inscrits, d'autres en sont exclus. Le peuple du Bihar ne se laissera pas faire ! » Dans cet État, un des plus pauvres de l'Inde, les électeurs sont appelés aux urnes en octobre. Or, ici aussi, l'opposition redoute des fraudes, alors que le pouvoir central a décidé de mettre à jour les listes électorales du Bihar. Rupam Yadav, professeure dans la capitale Patna, est venue saluer le cortège de l'opposition : « Des travailleurs pauvres, des migrants qui vivent ailleurs mais votent ici, sont radiés des listes électorales en priorité. Pourquoi ? Parce que le pouvoir sait que les plus démunis ne peuvent faire valoir leurs droits et soutiennent en majorité l'opposition. » Ceux qui s'estiment injustement radiés ont jusqu'au 1er septembre pour se signaler. C'est trop peu, juge l'opposition, alors que 30 % des habitants du Bihar sont analphabètes. Sur le chemin de la marche, certains nous font part de leur fatalisme, comme ce vendeur de 84 ans : « Oui, les élections sont manipulées par le pouvoir. Mais beaucoup de partis, une fois élus, se sont livrés à des fraudes. » À lire aussiInde: le Parti du Congrès présente des «preuves» du trucage des élections D'autres, comme cet agriculteur, sont préoccupés par la situation économique : « Le problème du Bihar, c'est le chômage. À cause de cela, nos jeunes quittent la région. La priorité est d'ouvrir des usines ! » Le défi est pour l'opposition de convaincre une population parfois résignée face aux fraudes politiques. Achala Singh, candidate du Parti du Congrès au Bihar, se dit optimiste : « C'est justement pour convaincre les électeurs défavorisés que Rahul Gandhi a choisi de marcher dans le Bihar. Et les foules qui viennent voir ses discours montrent qu'ils se sentent concernés par son message de défense de la démocratie. » La Commission électorale, de son côté, assure que les élections en Inde sont équitables et transparentes. Son incapacité à fournir des réponses précises aux accusations de l'opposition nourrit cependant le succès de la marche, qui prendra fin le 1er septembre. À lire aussiInde: enquête ouverte pour blanchiment d'argent contre Sonia et Rahul Gandhi
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L'essentiel des nouvelles le 21 août 2025---Trouvez la meilleure carte de crédit pour vos besoins et votre style de vie, grâce au comparateur de cartes d'InfoBref à https://bit.ly/comparer-cartes-credit ---Le Parti québécois consolide son avance dans les intentions de voteIl y a une hausse importante du taux de chômage chez les jeunes diplômés C'est à Québec que la construction de logements a le plus augmentéIsraël se prépare à conquérir Gaza et à intensifier la colonisation de la CisjordanieGoogle a lancé la génération 10 de ses téléphones Pixel--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente le sondage réalisé par la firme Léger qui place une fois de plus le Parti québécois en tête dans les intentions de vote. Si des élections provinciales avaient lieu aujourd'hui, le PQ obtiendrait 35% des votes. Le Parti libéral de Pablo Rodriguez arrive en deuxième place avec 26%. De son côté, la CAQ est troisième avec 17% des voix, suivie par le Parti conservateur d'Éric Duhaime à 10% et Québec solidaire à 9%. Par ailleurs, 67% des électeurs sondés ont affirmé être mécontents du travail du gouvernement Legault, une hausse de 20 points de pourcentage depuis l'automne 2023. «François Legault a beau préparer son remaniement et rebrasser les cartes, les Québécois disent: ça n’a pas vraiment d'effet sur notre opinion.» Autres sujets abordés: Commission Gallant: qui a caché les chiffres, qui sont les menteurs? La grève nous a montré le vrai visage d’Air Canada; Le directeur de la santé publique Luc Boileau pète une coche après avoir failli être renversé par un homme sur une trottinette. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Dans mon Chinatown, c'est le nom de notre série d'été. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Londres, au Royaume-Uni, dont le Chinatown est l'un des quartiers touristiques incontournables pour qui veut découvrir la capitale britannique. Située dans l'hypercentre de la capitale, on y trouve des restaurants réputés. Comme une vitrine pour la culture chinoise et panasiatique. Mais la présence chinoise à Londres cache une face plus sombre, moins instagrammable. De notre correspondante à Londres, On se trouve ici au cœur de Londres. À deux pas du West End, le quartier des théâtres. Les noms de rue sont écrits en anglais et en chinois. Des lampions surplombent les allées, une immense arche bleue et dorée marque l'entrée de Chinatown, un quartier gourmand, où cette restauratrice est installée depuis 20 ans : « Bonjour, je m'appelle Ellen Chew, j'ai fondé les restaurants Chew. Chinatown, c'est un endroit vraiment important pour moi. Je viens ici quand mon pays me manque. Je viens ici pour la gastronomie, mais cela va au-delà de ça : Chinatown, c'est une communauté d'amis. On vient ici pour manger, mais surtout pour être entre amis. » Son secret : un fabricant traditionnel de nouilles dans une ruelle dérobée. La Singapourienne l'assure : sous des façades bling-bling, Chinatown reste très authentique. Bien que mal nommée. « Quand je suis arrivée il y a 20 ans, on trouvait surtout du canard laqué, des Dim Sums, quelques Japonais, mais surtout de la cuisine cantonaise. Aujourd'hui, ça a changé. On trouve des restaurants malaisiens, singapouriens, vietnamiens, thaïs. Chinatown aujourd'hui, c'est plutôt Asiatown. » Beaucoup plus à l'est, l'ancien quartier des Docks. C'est le Chinatown originel où se sont installé les premiers immigrants chinois, des marins, au 19ᵉ siècle, un quartier rasé pendant la Seconde Guerre mondiale. À deux pas d'ici, la Chine souhaite construire une nouvelle ambassade, juste en face du mythique Tower Bridge. Et ça, ça inquiète fortement la diaspora chinoise et hongkongaise « Non à la répression transnationale chinoise. Non à la méga-ambassade ! Le Parti communiste chinois va s'en servir pour nous espionner, nous les Hongkongais, et les autres. Et c'est dangereux pour la sécurité nationale britannique ! » C'est aussi ici qu'on rencontre Carmen Lau, une activiste hongkongaise qui possède le statut de « citoyenne britannique d'Outre-mer ». Élue locale pro-démocratie, elle a dû fuir Hong-Kong en 2021. Mais continue de subir la répression chinoise. « Le régime chinois et le gouvernement hongkongais ont placé une prime sur ma tête et sur celles d'autres activistes, mes voisins au Royaume-Uni ont reçu des lettres pour les inviter à me livrer à l'ambassade chinoise. Je trouve que le gouvernement britannique n'en fait pas assez pour lutter contre cette forme de répression. » Ces dernières années, 150 000 Hongkongais ont demandé l'asile au Royaume-Uni. Pour Carmen Lau, même à 10 000 km de chez elle, cette diaspora a un rôle à jouer pour l'avenir de Hong Kong. « Nous essayons de recréer notre société civile, nos mouvements de défense des droits humains. Et puis, en tant que Britannique d'Outre-mer, nous avons le droit de vote ici. À nous d'activer ce pouvoir au nom de nos droits. » Si le projet est validé, l'ambassade compterait parmi les plus grandes d'Europe – une sorte de Chinatown de verre et de béton, bien loin des lampions et des canards laqués du West End. À lire aussiDans mon Chinatown: Lagos, une ville d'opportunités pour les ressortissants chinois
Dans mon Chinatown, c'est le nom de notre série d'été. On vous emmène explorer les quartiers chinois des grandes villes du monde. Aujourd'hui, direction Londres, au Royaume-Uni, dont le Chinatown est l'un des quartiers touristiques incontournables pour qui veut découvrir la capitale britannique. Située dans l'hypercentre de la capitale, on y trouve des restaurants réputés. Comme une vitrine pour la culture chinoise et panasiatique. Mais la présence chinoise à Londres cache une face plus sombre, moins instagrammable. De notre correspondante à Londres, On se trouve ici au cœur de Londres. À deux pas du West End, le quartier des théâtres. Les noms de rue sont écrits en anglais et en chinois. Des lampions surplombent les allées, une immense arche bleue et dorée marque l'entrée de Chinatown, un quartier gourmand, où cette restauratrice est installée depuis 20 ans : « Bonjour, je m'appelle Ellen Chew, j'ai fondé les restaurants Chew. Chinatown, c'est un endroit vraiment important pour moi. Je viens ici quand mon pays me manque. Je viens ici pour la gastronomie, mais cela va au-delà de ça : Chinatown, c'est une communauté d'amis. On vient ici pour manger, mais surtout pour être entre amis. » Son secret : un fabricant traditionnel de nouilles dans une ruelle dérobée. La Singapourienne l'assure : sous des façades bling-bling, Chinatown reste très authentique. Bien que mal nommée. « Quand je suis arrivée il y a 20 ans, on trouvait surtout du canard laqué, des Dim Sums, quelques Japonais, mais surtout de la cuisine cantonaise. Aujourd'hui, ça a changé. On trouve des restaurants malaisiens, singapouriens, vietnamiens, thaïs. Chinatown aujourd'hui, c'est plutôt Asiatown. » Beaucoup plus à l'est, l'ancien quartier des Docks. C'est le Chinatown originel où se sont installé les premiers immigrants chinois, des marins, au 19ᵉ siècle, un quartier rasé pendant la Seconde Guerre mondiale. À deux pas d'ici, la Chine souhaite construire une nouvelle ambassade, juste en face du mythique Tower Bridge. Et ça, ça inquiète fortement la diaspora chinoise et hongkongaise « Non à la répression transnationale chinoise. Non à la méga-ambassade ! Le Parti communiste chinois va s'en servir pour nous espionner, nous les Hongkongais, et les autres. Et c'est dangereux pour la sécurité nationale britannique ! » C'est aussi ici qu'on rencontre Carmen Lau, une activiste hongkongaise qui possède le statut de « citoyenne britannique d'Outre-mer ». Élue locale pro-démocratie, elle a dû fuir Hong-Kong en 2021. Mais continue de subir la répression chinoise. « Le régime chinois et le gouvernement hongkongais ont placé une prime sur ma tête et sur celles d'autres activistes, mes voisins au Royaume-Uni ont reçu des lettres pour les inviter à me livrer à l'ambassade chinoise. Je trouve que le gouvernement britannique n'en fait pas assez pour lutter contre cette forme de répression. » Ces dernières années, 150 000 Hongkongais ont demandé l'asile au Royaume-Uni. Pour Carmen Lau, même à 10 000 km de chez elle, cette diaspora a un rôle à jouer pour l'avenir de Hong Kong. « Nous essayons de recréer notre société civile, nos mouvements de défense des droits humains. Et puis, en tant que Britannique d'Outre-mer, nous avons le droit de vote ici. À nous d'activer ce pouvoir au nom de nos droits. » Si le projet est validé, l'ambassade compterait parmi les plus grandes d'Europe – une sorte de Chinatown de verre et de béton, bien loin des lampions et des canards laqués du West End. À lire aussiDans mon Chinatown: Lagos, une ville d'opportunités pour les ressortissants chinois
Avec : Dominique Corona, secrétaire adjoint de l'Unsa et membre du conseil de la CNAM. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Guy Allemand, maire (SE) de Sangatte (Pas-de-Calais). - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Muriel Papin, déléguée générale de l'association No Plastic In My Sea. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Nathalie Tehio, avocate et présidente de la Ligue des droits de l'Homme. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Charles Dallara, petit-fils de Lucien Neuwirth, "père de la pilule" en France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Nadia Ziane, directrice du département consommation à l'association Familles Rurales. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Hervé Bernard, directeur de l'inclusion chez Handicap International. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Bernard Cohen-Hadad, président de la CPME Paris-Ile-de-France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Renaud Gaudeul, procureur de la République de Bordeaux. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:02:09 - Le vrai ou faux - Le Parti socialiste demande la démission de la ministre de la Culture après son renvoi devant le tribunal correctionnel. Selon le secrétaire général du parti, le gouvernement s'émancipe des "règles". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Franck Annèse, patron et fondateur de So Press. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Béatrice Guillemont, docteure en droit, spécialiste des questions de corruption. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Christian Prudhomme, directeur du Tour de France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Aurélie Hannedouche, directrice du Syndicat des musiques actuelles. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:02:07 - Le vrai ou faux - Plusieurs représentants du Rassemblement national ont dénoncé les perquisitions au siège parisien du parti, accusant le Syndicat de la magistrature – de gauche – d'être à la manœuvre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une perquisition a eu lieu mercredi au siège parisien du Rassemblement national (RN) dans le cadre d'une enquête pour des soupçons de financement illégal de ses campagnes électorales, le parti dénonçant un "acharnement judiciaire". Pendant ce temps, Emmanuel Macron prépare-t-il son retour pour la présidentielle de 2032 ? Il donne en tout cas rendez-vous dans 5 ou 10 ans… Avant cela, se tiendront les élections municipales : Mathilde Panot propose de désarmer la police municipale ce qui provoque un tollé dans la classe politique.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C dans l'air du 27 juin 2025 - Retraites, santé : coup de chaud pour Bayrou La porte-parole du gouvernement avait prévenu : le prochain budget sera un "cauchemar". Ces derniers jours, les contours de ce budget 2026 se précisent, et le signal est clair : les économies seront douloureuses, notamment pour la santé.Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé, a annoncé lors d'une audition à l'Assemblée nationale que 1,7 milliard d'euros d'économies seraient réalisés dès 2025 sur les dépenses de santé. Parmi les premières victimes : les revalorisations tarifaires promises aux kinésithérapeutes et médecins libéraux, vont être reportées au 1er janvier 2026. Le gouvernement cible aussi l'hôpital, les arrêts de travail, les affections de longue durée (ALD) et envisage de nouveaux déremboursements de médicaments.Autre front sensible : le transport sanitaire. L'exécutif entend maintenir la pression dans les négociations avec les chauffeurs de taxi, sur fond de réforme des tarifs. "Nous n'avons pas d'autre solution que cette réforme du modèle de tarification", a martelé Catherine Vautrin. Autrement dit : il n'y aura pas de recul.Sur les retraites, le climat reste tout aussi tendu. Après quatre mois de concertation sans accord entre partenaires sociaux, le Premier ministre a tenté jeudi de reprendre la main. Refusant de parler d'"échec" du conclave, François Bayrou a vanté plusieurs "avancées", à commencer par un consensus sur l'objectif de retour à l'équilibre en 2030 et le maintien du départ à 64 ans, tel que fixé par la loi Borne. Le chef du gouvernement a également proposé a proposé aux "experts et négociateurs des organisations de se remettre au travail" "15 jours, 10 jours" convaincu qu'un accord était à portée de main pour améliorer la réforme des retraites de 2023.Mais le premier syndicat de France a refusé de participer à "de nouvelles séances de négociations". Pour la CFDT, les deux derniers points de blocage dans les négociations, que sont la pénibilité et le financement du système de retraites, sont "deux éléments extrêmement importants et structurants des discussions"."Si, à un moment, le gouvernement veut trouver une voie d'équilibre, il faut qu'il comprenne que, pour mon organisation, il n'y a pas de voie de passage sans la réparation sur la pénibilité, avec le dispositif qu'on a proposé", a-t-elle ajouté, précisant que le bureau national de la CFDT avait rendu un avis "unanime" en ce sens vendredi matin."Si les organisations considèrent que ce n'est plus leur heure et qu'il faut trancher, on tranchera", a répondu ce vendredi le Premier ministre. L'échec du conclave sur les retraites est un coup dur pour le locataire de Matignon, et s'annonce lourd de conséquences. Le Parti socialiste, qui réclame un projet de loi "sans délai" pour reparler des retraites et mettre au menu du Parlement toutes les mesures qui fâchent, y compris l'âge légal de départ à la retraite porté à 64 ans en 2023, a annoncé en début de semaine le dépôt d'une motion de censure. Sauf coup de théâtre le RN ne devrait pas la voter, mais le Premier ministre se retrouve dans une position encore plus compliquée avant la présentation du budget. Le gouvernement s'avance vers un automne parlementaire à hauts risques.LES EXPERTS :- Gaël SLIMAN - Président et co-fondateur de l'institut de sondage ODOXA - Stéphanie VILLERS - Economiste, conseillère économique de PwC France - Philippe MABILLE - Directeur éditorial la Tribune et la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point