POPULARITY
Categories
« Une présidentielle sans le candidat du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie », disait avant-hier sur RFI le porte-parole du parti Les Démocrates au Bénin. « Le parti Les Démocrates s'est exclu lui-même de la présidentielle d'avril prochain », lui répond en substance le porte-parole du gouvernement béninois, ce matin sur RFI. En ligne de Cotonou, Wilfried Léandre Houngbedji répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:12:05 - Journal de 7 h - Si le PVV - parti d'extrême droite fondé par Geert Wilders - réalise une véritable percée, le centriste Rob Jetten semble le plus à même de construire une coalition pour former le nouveau gouvernement.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:12:05 - Journal de 7 h - Si le PVV - parti d'extrême droite fondé par Geert Wilders - réalise une véritable percée, le centriste Rob Jetten semble le plus à même de construire une coalition pour former le nouveau gouvernement.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Patrimoines moins élevés, exonérations pour les entreprises innovantes et familiales... Le Parti socialiste revoit à la baisse ses ambitions sur la taxation des hauts patrimoines. Pourquoi le parti à la rose propose-t-il une version allégée de la taxe Zucman? On pose la question à Anthony Lebbos, journaliste au service politique de BFMTV.
L'essentiel des nouvelles le 28 octobre 2025 --- TI et affaires: JIQ le 19 novembre à Québec -> https://actionti.com/jiq/ --- Mark Carney va rencontrer le président chinois Xi JinpingLe gouvernement fédéral propose plusieurs mesures pour des travailleurs Le Parti québécois conserverait, en la modifiant, la loi sur la rémunération des médecins qui vient d'être adoptée par la Caq Les électeurs de Terrebonne n'auront pas à retourner aux urnesÀ Montréal, les employés des transports en commun veulent maintenant faire grève tous les joursAmazon préparerait le plus gros licenciement de son histoireLe fabricant américain de composants électroniques Qualcomm va lancer ses premières puces destinées à des centres de données utilisés pour entrainer et exploiter de grands modèles de langage d'intelligence artificielle.Des millions de mots de passe de comptes Gmail auraient été compromis dans une fuite de donnéesSite Have I been Pwned: https://haveibeenpwned.com/Yoshua Bengio devient le scientifique vivant le plus cité au monde--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a annoncé le retrait de ses forces du nord de l'Irak et la fin de sa lutte armée, en réponse à l'appel de son fondateur emprisonné, Abdullah Öcalan. Dans un communiqué relayé par l'agence Firat, le mouvement a déclaré qu'il se dissoudrait pour se recentrer sur l'action politique et la construction d'une « société démocratique et pacifique ».
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
L'essentiel des nouvelles le 24 octobre 2025 --- Meilleurs rabais de la semaine -> https://infobref.com/produits-en-promotion---L'Assemblée nationale est appelée à trancher sur la rémunération des médecins Les employées des garderies ne pourront plus porter de signes religieux Le Parti québécois a une candidate pour l'élection partielle dans ChicoutimiOttawa prend des mesures de représailles contre Stellantis et General MotorsLe gouvernement fédéral et l'Ontario investissent ensemble 3 milliards $ dans le nucléaire Cogeco étend son service Internet résidentiel à la majorité de la population du QuébecSelon un reportage du Wall Street Journal, les chercheurs et les cadres supérieurs de grandes entreprises d'intelligence artificielle travaillent régulièrement 80 à 100 heures par semaineDonald Trump a accordé une grâce présidentielle au Canadien Changpeng Zhao, fondateur et ex-PDG de Binance, du plus grand service d'échange de cryptomonnaies au mondeMicrosoft donne un visage à son assistant d'IA CopilotLa participation des Blue Jays à la Série mondiale profite à Rogers--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Trump dit que Poutine n'est ni franc ni honnête et autorise de nouvelles sanctions Le Parti communiste chinois annonce ses nouvelles priorités pour les 5 prochaines années Vance met en garde Israël qui cherche officiellement à annexer la Cisjordanie Vaste scandale de corruption à l'OTAN Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les Européens redoutent une nouvelle pénurie alors que Pékin s'apprête à restreindre ses exportations. Retour sur la stratégie méthodique qui a permis à la Chine de dominer un secteur vital pour l'économie mondiale. Les Vingt-Sept s'apprêtent à négocier avec la Chine sur la question des terres rares. L'Union européenne redoute une pénurie de ces métaux critiques, indispensables à la fabrication des smartphones, ordinateurs, voitures électriques ou encore équipements militaires. Et pour cause, Pékin, leader mondial incontesté du secteur, prévoit d'imposer de nouvelles restrictions à leurs exportations dans les prochaines semaines. Pour comprendre cette domination, il faut remonter trente ans en arrière. Au début des années 1990, ce sont les États-Unis qui exploitent la plus grande mine de terres rares du monde, à Mountain Pass, en Californie. La Chine, elle, dispose d'importantes réserves, mais son industrie est encore balbutiante. C'est à cette époque que le dirigeant chinois Deng Xiaoping prononce une phrase restée célèbre, « le Moyen-Orient a du pétrole, la Chine a des terres rares ». Dès lors, ces métaux sont classés parmi les ressources stratégiques du pays. Les entreprises étrangères se voient interdire l'exploitation des mines locales et les exportations sont strictement encadrées. À lire aussiL'industrie européenne bientôt confrontée à une pénurie de métaux stratégiques? Le virage du raffinage et la montée en puissance chinoise Mais Pékin ne s'est pas contentée d'extraire le minerai. Elle a compris très tôt que la clé de la puissance industrielle résidait dans la maîtrise du raffinage et du traitement chimique des terres rares — des étapes à forte valeur ajoutée que les pays occidentaux ont délaissée, jugées trop coûteuses et polluantes. Résultat, plus de trente ans plus tard, 90% du raffinage mondial des terres rares est désormais réalisé en Chine. La domination est quasi totale. Cette réussite ne doit rien au hasard. Le Parti communiste chinois a su utiliser les leviers du capitalisme d'État : soutien massif à la recherche et aux entreprises locales, consolidation du secteur en quelques géants publics et surtout, politique agressive de dumping. Chaque fois qu'un concurrent occidental tente d'ouvrir une mine, la Chine augmente sa production, fait chuter les cours et rend les projets étrangers non rentables. Une stratégie implacable qui a conduit les États-Unis et l'Europe à dépendre durablement de Pékin. Et quand certains pays occidentaux ont besoin de terres rares, la Chine peut littéralement « appuyer sur le frein ». À lire aussiFace à la Chine, les États-Unis à la recherche de métaux rares Une domination forte, mais pas sans limites Les terres rares sont au cœur de la puissance technologique mondiale. Elles entrent dans la composition des batteries, des écrans, des moteurs électriques, mais aussi des systèmes militaires. Un avion de chasse américain F-35, par exemple, nécessite plus de 400 kilos de terres rares pour sa fabrication. Détenir ces métaux est une chose, mais savoir les transformer en est une autre. C'est précisément ce savoir-faire que la Chine maîtrise mieux que quiconque. Mais cette suprématie a ses fragilités. En misant sur des prix très bas pour étouffer la concurrence, Pékin fragilise aussi ses propres entreprises. En parallèle, d'autres pays — l'Australie, le Canada, plusieurs nations africaines — disposent de gisements prometteurs et cherchent à s'organiser. Une coordination internationale, comme celle amorcée entre les États-Unis et l'Australie, pourrait à terme réduire la dépendance mondiale à la Chine. Mais cela prendra du temps. Et Pékin, elle, compte bien préserver sa longueur d'avance, fruit d'un pilotage centralisé, méthodique et calculé sur le long terme.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Alors que s'est ouvert à Pékin le quatrième plénum du Parti communiste chinois, le pays fait face à une croissance en berne et à des défis économiques majeurs. Durant quatre jours, les dirigeants du parti doivent poser les bases du prochain plan quinquennal, feuille de route stratégique pour la période 2026-2030. Depuis ce lundi, les quelque 370 membres du Comité central du Parti communiste chinois sont réunis à huis clos à Pékin pour une session décisive. Ce plénum, quatrième depuis le Congrès de 2022, doit définir les grandes orientations économiques du pays. Mais l'ambiance n'est pas à l'euphorie. Les chiffres publiés dans la nuit sont mauvais - une croissance de seulement 4,8% au troisième trimestre, le rythme le plus faible depuis un an. La Chine n'est plus dans la phase d'expansion triomphante qu'elle a connue dans les années 2000. La croissance, autrefois à deux chiffres, devrait plafonner entre 5 et 6% en 2026, selon les projections officielles. Les investissements directs étrangers se sont effondrés de près de 30% en 2024, la crise immobilière continue d'asphyxier les finances locales, et le chômage des jeunes reste élevé. À cela s'ajoute la guerre commerciale relancée par Donald Trump, qui pèse lourdement sur les exportations. Dans ce contexte, Xi Jinping doit prouver que le Parti garde la main et, surtout, qu'il a un plan pour relancer la deuxième économie mondiale. Ce plénum doit poser les fondations du 15ᵉ plan quinquennal chinois, qui couvrira la période 2026-2030. À lire aussiLa guerre commerciale de Donald Trump redessine les exportations chinoises Trois axes pour relancer la machine chinoise Le premier objectif, c'est la relance de la consommation intérieure. Les Chinois épargnent beaucoup et consomment peu. Pour Pékin, il faut désormais stimuler la demande des ménages afin de soutenir une croissance plus équilibrée. Aujourd'hui, les exportations restent le principal moteur de richesse, un modèle risqué dans un contexte international incertain. Deuxième axe : la modernisation industrielle et technologique. Le Parti mise sur les secteurs stratégiques - semi-conducteurs, robotique, biotechnologie et surtout intelligence artificielle. L'idée est claire : devenir autosuffisant et sécuriser les chaînes d'approvisionnement pour faire face aux États-Unis, qui multiplient les restrictions sur les technologies sensibles. Enfin, troisième priorité : la transition écologique. Paradoxalement, Pékin est à la fois premier émetteur mondial de CO₂ et leader mondial du solaire et des batteries électriques. L'économie verte est perçue comme le nouveau moteur industriel chinois, à la fois pour des raisons environnementales et géopolitiques. Des précédents historiques et un modèle à réinventer Les plénums ont toujours joué un rôle crucial dans l'histoire économique de la Chine. Le plus célèbre reste celui de décembre 1978, où Deng Xiaoping lança la politique de la « porte ouverte » : introduction de la propriété privée, ouverture aux investissements étrangers et création des zones économiques spéciales. Ce tournant marqua l'entrée de la Chine dans l'économie mondiale, jusqu'à devenir, en quelques décennies, la deuxième puissance mondiale. Autre moment clé : le plénum du début des années 1990, qui posa les bases de la restructuration des entreprises d'État et prépara l'adhésion à l'Organisation mondiale du commerce, intervenue en 2001. Mais aujourd'hui, le modèle chinois montre ses limites. La planification, qui a fait le succès du pays, se heurte à une conjoncture plus complexe : endettement élevé, consommation en berne, démographie déclinante et rivalité stratégique avec les États-Unis. Le défi de Xi Jinping est immense : relancer la croissance sans creuser la dette, restaurer la confiance des ménages sans relâcher le contrôle du Parti, et maintenir la compétitivité industrielle sans déclencher de nouvelles guerres commerciales. Ces quatre jours de plénum seront donc scrutés de près. Car si, dans le passé, ces réunions étaient souvent synonymes de rupture et de réinvention, celle-ci pourrait bien être celle d'une Chine en mutation, cherchant un nouvel équilibre entre puissance, stabilité et modernité. À lire aussi«Plenum» du Parti communiste en Chine: Pékin se cherche un nouveau cap économique
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
C dans l'air du 16 octobre 2025 - Lecornu en sursis … reste 30 milliards à trouverIl a sauvé son gouvernement... provisoirement. Avec sa promesse de suspendre la réforme des retraites, gage donné aux socialistes, Sébastien Lecornu a échappé à la motion de censure LFI qui le menaçait. Dix-huit voix ont manqué pour que celle-ci soit adoptée. « La direction du PS porte une responsabilité historique », a fustigé l'insoumise Mathilde Panot. La gauche sort fracturée de cette séquence politique, tout comme les Républicains. Ceux-ci encaissent mal ce recul sur les retraites, mais avaient pour consigne de ne pas voter la censure. Plusieurs frondeurs ont toutefois fait fi des consignes .Le Parti socialiste, s'il n'a pas fait le choix de censurer aujourd'hui, explique ne pas donner de blanc-seing au gouvernement pour autant. D'autres exigences viendront point par point, si bien qu'une motion de censure peut revenir à tout moment. Rien ne garantit donc qu'un budget soit voté avant la fin de l'année. Parmi les mesures qui pourraient amener à un blocage : celles concernant l'assurance maladie, ou celles sur la taxation des plus riches.Pendant ce temps, au RN, on croit toujours à une dissolution. C dans l'air a suivi Emmanuel Blairy, député du Pas-de-Calais, qui arpente sa circonscription à la rencontre des électeurs. Une campagne permanente, un moyen de se préparer en cas de législatives anticipées. Le budget a venir permettra-t-il de financer encore le dispositif « Territoires zéro chômeur » expérimenté dans 75 territoires ? Cet outil permet d'apporter une réponse au personnes éloignées de l'emploi en les embauchant en contrat à durée indéterminée dans des entreprises de l'économie sociale et solidaire. C dans l'air est allé dans l'une d'elles, à Bléré, en Indre-et-Loire.Alors, Sébastien Lecornu arrivera-t-il à faire passer son budget ? Comment le RN se prépare-t-il à d'éventuelles élections ? Comment fonctionnent les « Territoires zéro chômeur » ?LES EXPERTS :- Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Pauline de Saint-Remy - Directrice adjointe de la rédaction de Politico - Fanny Guinochet - Éditorialiste économique à Franceinfo - Eric Heyer – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision – OFCE
Au Gabon, trois mois après sa création, le parti du président Oligui Nguema s'impose comme la principale force politique. L'UDB remporte non seulement la majorité des mairies, mais aussi 70% des sièges de l'Assemblée nationale. Que vous inspire cette hégémonie ? Quelle image vous renvoie la scène politique gabonaise ?
Le Parti socialiste a une nouvelle fois semé le trouble sur son positionnement.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Chaque jour, retrouvez les journaux de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un jour décisif pour Sébastien Lecornu : le Premier ministre prononce aujourd'hui sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, sous la menace d'une motion de censure. Le Parti socialiste, arbitre de son maintien, exige la suspension immédiate de la réforme des retraites. Un compromis est-il encore possible ? Benjamin Morel, constitutionnaliste et Maître de conférence à Paris Panthéon Assas était l'invité de l'émission Ecorama du 14 octobre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Andrew Lutfy, homme d’affaires et président du Groupe Dynamite, appuie financièrement le Parti libéral du Québec. La députée solidaire Alejandra Zaga Mendez raconte avoir bénéficié de l’aide sociale à son arrivée au Québec, pour illustrer l’importance du filet social dans l’intégration des immigrants. À Québec, la campagne municipale est marquée par l’échec d’une alliance entre Leadership Québec et Respect Citoyens, alors que leurs chefs se disputent la candidature à la mairie. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Japon traverse une crise politique majeure après le retrait du parti centriste Komeito de la coalition au pouvoir, qu'il formait depuis vingt-six ans avec le Parti libéral-démocrate (PLD). Quelles sont les raisons profondes du départ du parti centriste de la coalition au pouvoir ? Pour parler en parler, Arnaud Grivaud, maître de conférences à l'iniversité Paris-Cité, spécialiste de la politique japonaise contemporaine.
Il Messaggio di Oggi: “TU MI AVVOLGI DA TUTTE LE PARTI” • Salmo 139: 5 • Apocalisse 3: 20 • Atti 2: 17-18 • Ebrei 1: 1 • Daniele 2: 3 • Ezechiele 8: 4 • Ezechiele 11: 24 • Zaccaria 1: 9 • Esodo 3: 4 • Genesi 12: 1 • Ebrei 1: 2 • Giovanni 1: 14 • Ebrei 13: 8 • Giovanni 15: 26 • 2 Pietro 1: 16 • Luca 1: 28 • Efesini 1: 6 • Efesini 1: 5 • Efesini 1: 7 • Luca 1: 13 • Luca 1: 12 • Luca 1: 34-35 • Luca 1: 38 • Efesini 1: 6 (7-9) • Giovanni 1: 12-13 • Atti 4: 8 • 2 Timoteo 4: 4-5 • Atti 1: 1 --Guarda Canale 245 | Tivùsat 454 | Sky 854Scopri di più su www.paroledivita.org/linkinbio
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le parti proeuropéen de la présidente Maia Sandu est en tête du dépouillement des élections législatives en Moldavie, devant le camp prorusse. Ces élections constituaient un test dans la confrontation plus large entre Vladimir Poutine et les soutiens de l'Ukraine, aux confins de l'Union européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le parti proeuropéen de la présidente Maia Sandu est en tête du dépouillement des élections législatives en Moldavie, devant le camp prorusse. Ces élections constituaient un test dans la confrontation plus large entre Vladimir Poutine et les soutiens de l'Ukraine, aux confins de l'Union européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Jérôme Marty et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Dans cette édition :Le Parti socialiste propose d'accrocher des drapeaux palestiniens aux mairies, suscitant de vives réactions de la droite et du centre qui jugent cette initiative "honteuse" et "contraire aux principes de la République".Le ministre de l'Intérieur et le président des Républicains rappellent que la justice a ordonné à plusieurs reprises le retrait de drapeaux palestiniens des mairies, au motif qu'ils portent atteinte à la neutralité des services publics.Alors que la France s'apprête à reconnaître l'État de Palestine à l'ONU, la situation à Gaza reste tendue avec de nouvelles frappes israéliennes.En France, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu multiplie les consultations pour former son gouvernement, faisant face aux exigences de la droite qui pose des conditions sur la fiscalité et la réforme des retraites.Les syndicats maintiennent leur appel à la mobilisation avec l'objectif d'un million de manifestants le 18 septembre, malgré les craintes des autorités sur les risques de violences et de débordements.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des policiers en civil ont été violemment agressés à Reims le week-end dernier, rappelant un autre incident similaire survenu à Tourcoing la semaine précédente.La police et la gendarmerie se préparent à faire face à de nouvelles manifestations prévues ce jeudi, avec notamment l'arrivée attendue de nombreux black blocs.Le Parti socialiste a suscité de vives réactions en proposant de faire flotter le drapeau palestinien sur les mairies le 22 septembre, date à laquelle la France reconnaîtra officiellement l'État de Palestine.Le Rassemblement National maintient la pression sur le nouveau gouvernement et réclame des "victoires politiques", menaçant de le censurer dans les prochaines semaines ou mois.La pétition de Philippe de Villiers pour réclamer un référendum sur l'immigration a recueilli plus d'1,25 million de signatures, soulignant les inquiétudes grandissantes des Français sur ce sujet.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Dans cette édition :Emmanuel Macron nomme Sébastien Lecornu, ministre des Armées, au poste de Premier ministre après le départ de François Bayrou, dans un contexte de tensions politiques et de menace de censure du gouvernement.Le Parti socialiste et la gauche radicale se positionnent face à cette nomination, certains restant ouverts à la négociation tandis que d'autres appellent à la censure du gouvernement.Des appels à bloquer le pays circulent sur les réseaux sociaux, avec des risques de perturbations importantes prévues dans les transports, les entreprises et les aéroports, face auxquels le gouvernement déploie un important dispositif de sécurité.Emmanuel Macron exprime son soutien à la communauté musulmane après la découverte de têtes de cochons devant des mosquées en région parisienne, une enquête étant ouverte pour provocation à la haine.L'équipe de France de football affronte l'Islande dans un match de qualification pour la Coupe du Monde, avec des changements dans le onze de départ.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:10 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Pour succéder à François Bayrou, les socialistes sont "volontaires". Ils proposent un contre-budget et une nouvelle méthode. Qui les soutiendra ?
En Inde, la coalition d'opposition affirme que les dernières élections ont été truquées. Le Parti du Congrès dit avoir identifié de nombreuses anomalies sur les listes électorales, avec de faux électeurs ajoutés pour faire pencher les scrutins en faveur du parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi. L'opposition mène depuis dix jours une grande marche à travers l'État du Bihar pour mettre en garde les électeurs. Sous la moiteur de la mousson, des milliers de paysans en turban et de femmes en sari sont venus écouter Rahul Gandhi, le leader de l'opposition. Il harangue la foule au lancement d'une marche de 14 jours à travers le Bihar, qui compte 130 millions d'habitants : « Mes amis, dans toute l'Inde, les élections vous sont volées. Les listes électorales sont trafiquées : des électeurs fantômes y sont inscrits, d'autres en sont exclus. Le peuple du Bihar ne se laissera pas faire ! » Dans cet État, un des plus pauvres de l'Inde, les électeurs sont appelés aux urnes en octobre. Or, ici aussi, l'opposition redoute des fraudes, alors que le pouvoir central a décidé de mettre à jour les listes électorales du Bihar. Rupam Yadav, professeure dans la capitale Patna, est venue saluer le cortège de l'opposition : « Des travailleurs pauvres, des migrants qui vivent ailleurs mais votent ici, sont radiés des listes électorales en priorité. Pourquoi ? Parce que le pouvoir sait que les plus démunis ne peuvent faire valoir leurs droits et soutiennent en majorité l'opposition. » Ceux qui s'estiment injustement radiés ont jusqu'au 1er septembre pour se signaler. C'est trop peu, juge l'opposition, alors que 30% des habitants du Bihar sont analphabètes. Sur le chemin de la marche, certains nous font part de leur fatalisme, comme ce vendeur de 84 ans : « Oui, les élections sont manipulées par le pouvoir. Mais beaucoup de partis, une fois élus, se sont livrés à des fraudes. » À lire aussiInde: le Parti du Congrès présente des «preuves» du trucage des élections D'autres, comme cet agriculteur, sont préoccupés par la situation économique : « Le problème du Bihar, c'est le chômage. À cause de cela, nos jeunes quittent la région. La priorité est d'ouvrir des usines ! » Le défi est pour l'opposition de convaincre une population parfois résignée face aux fraudes politiques. Achala Singh, ex-candidate du Parti du Congrès au Bihar, se dit optimiste : « C'est justement pour convaincre les électeurs défavorisés que Rahul Gandhi a choisi de marcher dans le Bihar. Et les foules qui viennent voir ses discours montrent qu'ils se sentent concernés par son message de défense de la démocratie. » La Commission électorale, de son côté, assure que les élections en Inde sont équitables et transparentes. Son incapacité à fournir des réponses précises aux accusations de l'opposition nourrit cependant le succès de la marche, qui prendra fin le 1er septembre. À lire aussiInde: enquête ouverte pour blanchiment d'argent contre Sonia et Rahul Gandhi