POPULARITY
Categories
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Ennemi numéro un de la transition énergétique, le charbon reste toujours la source d'énergie la plus utilisée des grandes économies asiatiques, notamment en Chine, en Inde et en Indonésie. La Chine a beau être championne du solaire et des éoliennes, elle reste dépendante du charbon. Ses besoins en énergie ne cessent d'augmenter et les autorités privilégient la sécurité de l'approvisionnement et le coût le plus compétitif à court terme. Les raisons de l'augmentation de la demande tiennent à la fois à la croissance de la population, mais aussi à l'adoption de modes de vie plus énergivores et depuis quelques années à la multiplication des data centers avides en électricité. Le Parti communiste chinois parle du charbon comme d'une pierre de ballast, comme ces pierres mises dans les coques des bateaux pour leur apporter de la stabilité. Les nouvelles centrales à charbon sont là pour prendre le relais quand les énergies renouvelables ne sont pas au rendez-vous. Elles doivent aussi répondre aux besoins de l'industrie. Des coupures d'électricité marquante En Chine, on est encore marqué par les coupures d'électricité des années 2021 et 2022. Depuis, l'extraction et l'importation de charbon ont atteint des records. Selon le dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie, la Chine consomme plus de la moitié du charbon mondial. Son importance dans le mix énergétique du pays va rester centrale. D'autant que la baisse entamée en 2022 du prix du charbon – aujourd'hui fixé autour de 95 dollars la tonne – devrait se poursuivre, selon le spécialiste des matières premières Argus Media. Cet engouement pour le charbon est d'ailleurs le même en Inde et en Indonésie. Pour ces pays aussi le charbon reste une valeur sûre. L'Inde et l'Indonésie sont, après la Chine, les deux plus importants consommateurs au monde de ce combustible. En Inde, on estime que la capacité totale des centrales à charbon pourrait augmenter de 90 % d'ici à 2047. On a totalement abandonné l'idée d'un pic de son utilisation en 2035. Même chose en Indonésie où le recours au charbon ne faiblit pas. Des bailleurs pas au rendez-vous Jakarta avait pourtant pris des engagements pour réduire son utilisation. Mais l'Indonésie vient de revenir début décembre sur la fermeture anticipée de la centrale à charbon de Cirebon 1. Elle devait servir de modèle pour l'arrêt d'autres centrales avant qu'elles n'arrivent en fin de vie. Parmi les explications, il y a les coûts importants pour financer les énergies renouvelables capables de remplacer Cirebon, mais également l'importance du montant à payer au propriétaire de la centrale pour compenser cet arrêt prématuré. Pour sortir du charbon, le pays aura besoin de soutiens financiers. Sur les 20 milliards de dollars promis par les bailleurs dans le cadre du programme Jetp (Just Energy Transition Partnership), le pays n'a pour le moment reçu que trois milliards. Jakarta manque aussi de moyens pour aider les industriels à faire le choix d'une énergie moins polluante. Une grande partie des usines indonésiennes ne sont pas raccordées au réseau et utilisent également du charbon pour produire l'électricité dont elles ont besoin. À écouter aussiAllons-nous réussir à nous passer des énergies fossiles ?
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
C'est parti en Côte d'ivoire pour la campagne des législatives du 27 décembre. Deux mois après la réélection triomphale d'Alassane Ouattara, le parti au pouvoir le RHDP part favori face à une opposition éparpillée. Le PDCI de Tidjane Thiam, privé de présidentielle, réussira-t-il son retour dans les urnes ? Le PPA-CI de Laurent Gbagbo commet-il une erreur en boycottant le scrutin ? Une surprise viendra-t-elle des candidats jeunes et indépendants ? On vous attend !
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
L'essentiel des nouvelles le 11 décembre 2025 --- Des conseils pour gagner plus, dépenser mieux et investir plus efficacement? Abonnez-vous à l'infolettre mensuelle gratuite InfoBref Votre argent -> https://infobref.com/votreargent/ ---Sondage sur les jeunes, l'éducation, l'IA et les perspectives de carrière: https://infobref.com/nextgen-leger-2025-12Livres les plus empruntés cette année à la BAnQ: https://infobref.com/livres-empruntes-banq-2025-12---Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir chaque jour InfoBref Matin, la version écrite de ce bulletin audio): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Parti québécois veut interdire l’accès aux réseaux sociaux pour les jeunes de moins de 14 ans. Conseils aux parents sur le choix du bon modèle de téléphone à offrir à leurs enfants pour le temps des Fêtes. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Sondages: merci de nous choisir et de nous écouter! | YUL : quel aéroport DÉTESTABLE qui roule MAL ! | Crise du Parti libéral du Québec : Pablo Rodriguez doit-il quitter? | La réhabilitation des criminels fonctionne-t-elle vraiment? | Le Parti québécois veut interdire les réseaux sociaux aux moins de 14 ans | Dans cet épisode intégral du 10 décembre, en entrevue : Maria Mourani, criminologue, experte en matière de réhabilitation dans le milieu carcéral. Quentin Warnant, producteur de l'expérience immersive. Robert Benoit, ancien président du Parti libéral du Québec de 1985 à 1989. Une production QUB Décembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Le chef du Parti conservateur de la Colombie Britannique, John Rustad, démissionne de son poste après avoir perdu la confiance de son caucus. Qu’est-ce que ça veut dire ? La rencontre Mulroney-Dutrizac avec Ben Mulroney, animateur du Ben Mulroney show. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Le Parti libéral du Québec (PLQ) traverse une zone de turbulence : la décision de la députée Marwah Rizqy de congédier sa cheffe de cabinet a mis le feu aux poudres et a poussé le chef Pablo Rodriguez à la suspendre du caucus. Puis, une nébuleuse affaire d'achats de votes allégués durant la course à la chefferie est venue amplifier le malaise régnant dans les rangs libéraux. L'analyste parlementaire Véronique Prince explique comment cette crise s'est orchestrée et quelles pourraient en être les conséquences à moins d'un an des élections.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:49:15 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires sensibles : Aimé Césaire et le Parti communiste, un divorce dans le fracas des mots. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Ce jeudi 13 novembre, les tensions internes au sein du Parti travailliste britannique pour contester le leadership de Keir Starmer, ont été abordées par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:12:48 - Journal de 7 h - L'Assemblée nationale se prononce ce mercredi 12 novembre sur la suspension de la réforme des retraites. Une promesse du gouvernement Lecornu pour rallier le soutien du Parti socialiste, qui n'est pas toutefois certaine d'être respectée, tant les dissensions au sein de l'Assemblée sont profondes.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:12:48 - Journal de 7 h - L'Assemblée nationale se prononce ce mercredi 12 novembre sur la suspension de la réforme des retraites. Une promesse du gouvernement Lecornu pour rallier le soutien du Parti socialiste, qui n'est pas toutefois certaine d'être respectée, tant les dissensions au sein de l'Assemblée sont profondes.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Dans son discours de jeudi, lors de sa prestation de serment pour un huitième mandat, le président camerounais Paul Biya a appelé ses adversaires politiques à « l'union sacrée », mais a accusé certains politiciens d'être « irresponsables » et a assuré que « l'ordre règnera ». Comment pourrait se matérialiser cette « union sacrée » ? Quelle peut être, à présent, la stratégie de son principal adversaire, Issa Tchiroma ? Armand Leka Essomba enseigne la sociologie à Yaoundé 1 et dirige le Laboratoire camerounais d'études et de recherches sur les sociétés contemporaines. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans le résultat officiel de la présidentielle, Paul Biya perd quatorze points par rapport à 2018. Est-ce à dire que son parti RDPC traverse un passage à vide ? Armand Leka Essomba : Je pense que cela est évident dans la mesure où on doit pouvoir reconnaître que le parti au pouvoir traverse effectivement une phase de grande perturbation et que probablement soit ce parti, ou alors celui qui l'incarne a perdu probablement une grande part de son attractivité et de son charisme d'antan. Quand l'archevêque de Douala, Mgr Kleda, dit que le résultat officiel de cette présidentielle n'est pas crédible, est-ce qu'il reflète l'opinion de beaucoup de Camerounais ? Disons que ces suspicions, naturellement, sont d'autant plus alimentées que nous sommes à l'ère des réseaux sociaux. Nous avons eu un temps long [entre le jour du vote et le jour des résultats]. La durée des deux semaines, c'est surtout l'injonction qui est faite à tout le monde de ne point communiquer, ni les tendances, etc. Et donc ça jette parfois de la suspicion. La percée d'Issa Tchiroma, même dans les résultats officiels, dans la région du nord et dans les deux régions de l'ouest et du littoral, c'est-à-dire à Douala, quels enseignements vous en tirez ? L'habileté tactique du candidat Issa Tchiroma aura été effectivement d'incarner, à défaut ou par défaut, disons, la synthèse de toutes ces frustrations. Ce d'autant plus qu'un discours social à connotation, j'allais presque dire métaphysique, circulait pour dire qu'il s'agit de transformer cette élection en un référendum pour ou contre Paul Biya. Et finalement, ce qui se révèle, c'est le niveau d'exaspération. Des gens sont prêts tout à fait à dealer avec n'importe qui, à condition qu'ils mettent à la retraite le président dans son exceptionnelle longévité politique. Issa Tchiroma affirme aujourd'hui qu'il y a désormais deux présidents : le président élu, qu'il est lui-même, et le président nommé par le Conseil constitutionnel, c'est-à-dire Paul Biya. Est-ce qu'on va vers un Cameroun coupé en deux ? Ce que je peux dire, c'est d'exprimer quelque peu mon scepticisme. Il est évident que pendant les jours qui viennent, les moments de tension persisteront, notamment dans certaines des régions qui sont des fiefs du candidat Issa Tchiroma. Tout dépendra aussi des mesures importantes qui vont être prises. Donc les mesures d'apaisement, puisque le président de la République, Paul Biya, a demandé à ce qu'une union sacrée se fasse. Il a explicitement fait mention d'une union sacrée. J'ignore si on ira vers des expériences institutionnelles de large ouverture ou d'union nationale, en termes de structuration, par exemple, d'un nouveau gouvernement, mais les jours qui viennent, il faudra être absolument attentif à la manière dont on pourra traduire les propos assez apaisants du chef de l'Etat dans la pratique et dans les orientations politiques. Tout dépendra de ce qui se fera, notamment en termes de gestes d'apaisement, si l'on se réfère au discour d'hier. Et donc l'atmosphère dépendra beaucoup de la traduction politique de cet apaisement. Dans les années 90, Paul Biya avait déjà affronté un adversaire coriace qui proclamait sa victoire et qui organisait des journées ville morte, c'était John Fru Ndi. Et à la fin, c'est Paul Biya qui avait pris le dessus. Est-ce que vous pensez que le même scénario va se reproduire ? Alors personne n'est en mesure de dire ce qui va se passer demain ou après-demain. Mais il est évident que les contextes ont changé. En 1992, Paul Biya était en effet au pouvoir depuis dix ans, il y avait une certaine vitalité humaine et physique. Il faut en tenir compte. La longévité exceptionnelle au pouvoir crée des dynamiques d'inertie systémique et la fragilité physique et humaine, qui est quelque chose de tout à fait naturel, s'associent parfois pour interférer sur, disons la réactivité institutionnelle. S'installent dès lors des formes de paresse, de lenteur, qui peuvent conduire à des expériences d'immobilisme qui sont tout à fait dommageables. Et peut-être dans sa stratégie, Issa Tchiroma compte-t-il sur un essoufflement du parti au pouvoir et de son président ? Alors je crois qu'il y a derrière effectivement un certain imaginaire dans la stratégie d'un certain nombre des challengers de Paul Biya. L'idée que finalement quelque chose pourrait se passer, qu'un accident pourrait survenir et créer les conditions effectivement d'une transition.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
« Une présidentielle sans le candidat du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie », disait avant-hier sur RFI le porte-parole du parti Les Démocrates au Bénin. « Le parti Les Démocrates s'est exclu lui-même de la présidentielle d'avril prochain », lui répond en substance le porte-parole du gouvernement béninois, ce matin sur RFI. En ligne de Cotonou, Wilfried Léandre Houngbedji répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
durée : 00:12:05 - Journal de 7 h - Si le PVV - parti d'extrême droite fondé par Geert Wilders - réalise une véritable percée, le centriste Rob Jetten semble le plus à même de construire une coalition pour former le nouveau gouvernement.
C dans l'air du 16 octobre 2025 - Lecornu en sursis … reste 30 milliards à trouverIl a sauvé son gouvernement... provisoirement. Avec sa promesse de suspendre la réforme des retraites, gage donné aux socialistes, Sébastien Lecornu a échappé à la motion de censure LFI qui le menaçait. Dix-huit voix ont manqué pour que celle-ci soit adoptée. « La direction du PS porte une responsabilité historique », a fustigé l'insoumise Mathilde Panot. La gauche sort fracturée de cette séquence politique, tout comme les Républicains. Ceux-ci encaissent mal ce recul sur les retraites, mais avaient pour consigne de ne pas voter la censure. Plusieurs frondeurs ont toutefois fait fi des consignes .Le Parti socialiste, s'il n'a pas fait le choix de censurer aujourd'hui, explique ne pas donner de blanc-seing au gouvernement pour autant. D'autres exigences viendront point par point, si bien qu'une motion de censure peut revenir à tout moment. Rien ne garantit donc qu'un budget soit voté avant la fin de l'année. Parmi les mesures qui pourraient amener à un blocage : celles concernant l'assurance maladie, ou celles sur la taxation des plus riches.Pendant ce temps, au RN, on croit toujours à une dissolution. C dans l'air a suivi Emmanuel Blairy, député du Pas-de-Calais, qui arpente sa circonscription à la rencontre des électeurs. Une campagne permanente, un moyen de se préparer en cas de législatives anticipées. Le budget a venir permettra-t-il de financer encore le dispositif « Territoires zéro chômeur » expérimenté dans 75 territoires ? Cet outil permet d'apporter une réponse au personnes éloignées de l'emploi en les embauchant en contrat à durée indéterminée dans des entreprises de l'économie sociale et solidaire. C dans l'air est allé dans l'une d'elles, à Bléré, en Indre-et-Loire.Alors, Sébastien Lecornu arrivera-t-il à faire passer son budget ? Comment le RN se prépare-t-il à d'éventuelles élections ? Comment fonctionnent les « Territoires zéro chômeur » ?LES EXPERTS :- Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Pauline de Saint-Remy - Directrice adjointe de la rédaction de Politico - Fanny Guinochet - Éditorialiste économique à Franceinfo - Eric Heyer – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision – OFCE
Au Gabon, trois mois après sa création, le parti du président Oligui Nguema s'impose comme la principale force politique. L'UDB remporte non seulement la majorité des mairies, mais aussi 70% des sièges de l'Assemblée nationale. Que vous inspire cette hégémonie ? Quelle image vous renvoie la scène politique gabonaise ?
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le parti proeuropéen de la présidente Maia Sandu est en tête du dépouillement des élections législatives en Moldavie, devant le camp prorusse. Ces élections constituaient un test dans la confrontation plus large entre Vladimir Poutine et les soutiens de l'Ukraine, aux confins de l'Union européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.