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Avec : Hervé Bernard, directeur de l'inclusion chez Handicap International. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Bernard Cohen-Hadad, président de la CPME Paris-Ile-de-France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Renaud Gaudeul, procureur de la République de Bordeaux. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:02:09 - Le vrai ou faux - Le Parti socialiste demande la démission de la ministre de la Culture après son renvoi devant le tribunal correctionnel. Selon le secrétaire général du parti, le gouvernement s'émancipe des "règles". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Franck Annèse, patron et fondateur de So Press. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Béatrice Guillemont, docteure en droit, spécialiste des questions de corruption. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Christian Prudhomme, directeur du Tour de France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Aurélie Hannedouche, directrice du Syndicat des musiques actuelles. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Philippe Court, préfet du Val-D'Oise. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Olivier Andrault, chargé de mission alimentation à l'UFC-Que Choisir. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Véronique Béchu, directrice de l'Observatoire des violences numériques de l'association e-enfance. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Jacques Marcon, chef triplement étoilé des Maisons Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:02:07 - Le vrai ou faux - Plusieurs représentants du Rassemblement national ont dénoncé les perquisitions au siège parisien du parti, accusant le Syndicat de la magistrature – de gauche – d'être à la manœuvre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Sabrina, professeur d'économie-gestion dans un lycée de Seine-Saint-Denis. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Une perquisition a eu lieu mercredi au siège parisien du Rassemblement national (RN) dans le cadre d'une enquête pour des soupçons de financement illégal de ses campagnes électorales, le parti dénonçant un "acharnement judiciaire". Pendant ce temps, Emmanuel Macron prépare-t-il son retour pour la présidentielle de 2032 ? Il donne en tout cas rendez-vous dans 5 ou 10 ans… Avant cela, se tiendront les élections municipales : Mathilde Panot propose de désarmer la police municipale ce qui provoque un tollé dans la classe politique.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invité : - Robert Ménard, maire de Béziers. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Axel Ronde, porte-parole du Syndicat CFTC Police. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Ian Brossat, sénateur PCF de Paris, candidat à la Mairie de Paris. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Augustin Marie, président du club Marseille Rugby Méditerranée. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invité : - Julien Odoul, député de l'Yonne et porte-parole du RN Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 27 juin 2025 - Retraites, santé : coup de chaud pour Bayrou La porte-parole du gouvernement avait prévenu : le prochain budget sera un "cauchemar". Ces derniers jours, les contours de ce budget 2026 se précisent, et le signal est clair : les économies seront douloureuses, notamment pour la santé.Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé, a annoncé lors d'une audition à l'Assemblée nationale que 1,7 milliard d'euros d'économies seraient réalisés dès 2025 sur les dépenses de santé. Parmi les premières victimes : les revalorisations tarifaires promises aux kinésithérapeutes et médecins libéraux, vont être reportées au 1er janvier 2026. Le gouvernement cible aussi l'hôpital, les arrêts de travail, les affections de longue durée (ALD) et envisage de nouveaux déremboursements de médicaments.Autre front sensible : le transport sanitaire. L'exécutif entend maintenir la pression dans les négociations avec les chauffeurs de taxi, sur fond de réforme des tarifs. "Nous n'avons pas d'autre solution que cette réforme du modèle de tarification", a martelé Catherine Vautrin. Autrement dit : il n'y aura pas de recul.Sur les retraites, le climat reste tout aussi tendu. Après quatre mois de concertation sans accord entre partenaires sociaux, le Premier ministre a tenté jeudi de reprendre la main. Refusant de parler d'"échec" du conclave, François Bayrou a vanté plusieurs "avancées", à commencer par un consensus sur l'objectif de retour à l'équilibre en 2030 et le maintien du départ à 64 ans, tel que fixé par la loi Borne. Le chef du gouvernement a également proposé a proposé aux "experts et négociateurs des organisations de se remettre au travail" "15 jours, 10 jours" convaincu qu'un accord était à portée de main pour améliorer la réforme des retraites de 2023.Mais le premier syndicat de France a refusé de participer à "de nouvelles séances de négociations". Pour la CFDT, les deux derniers points de blocage dans les négociations, que sont la pénibilité et le financement du système de retraites, sont "deux éléments extrêmement importants et structurants des discussions"."Si, à un moment, le gouvernement veut trouver une voie d'équilibre, il faut qu'il comprenne que, pour mon organisation, il n'y a pas de voie de passage sans la réparation sur la pénibilité, avec le dispositif qu'on a proposé", a-t-elle ajouté, précisant que le bureau national de la CFDT avait rendu un avis "unanime" en ce sens vendredi matin."Si les organisations considèrent que ce n'est plus leur heure et qu'il faut trancher, on tranchera", a répondu ce vendredi le Premier ministre. L'échec du conclave sur les retraites est un coup dur pour le locataire de Matignon, et s'annonce lourd de conséquences. Le Parti socialiste, qui réclame un projet de loi "sans délai" pour reparler des retraites et mettre au menu du Parlement toutes les mesures qui fâchent, y compris l'âge légal de départ à la retraite porté à 64 ans en 2023, a annoncé en début de semaine le dépôt d'une motion de censure. Sauf coup de théâtre le RN ne devrait pas la voter, mais le Premier ministre se retrouve dans une position encore plus compliquée avant la présentation du budget. Le gouvernement s'avance vers un automne parlementaire à hauts risques.LES EXPERTS :- Gaël SLIMAN - Président et co-fondateur de l'institut de sondage ODOXA - Stéphanie VILLERS - Economiste, conseillère économique de PwC France - Philippe MABILLE - Directeur éditorial la Tribune et la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
Avec : Amandine Demore, maire PCF d'Echirolles. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Manuel Domergue, directeur des études à la Fondation pour le logement. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Jean-Christophe Colombo, conducteur de bus à Bordeaux depuis 28 ans. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Alexandre Jardin, écrivain. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Cyril Chabanier, président de la CFTC. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:08:17 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Le 81ᵉ Congrès du Parti socialiste s'est tenu ce week-end, et une nouvelle direction a été choisie. Mais derrière l'érosion du nombre d'adhérents, quel est l'état de l'organisation ? Qui sont les adhérents, comment l'organisation du parti a-t-elle évolué ces dernières années ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jean-Numa Ducange Historien, professeur à l'Université de Rouen Normandie, spécialiste de l'histoire des gauches, des mouvements ouvriers et socialistes européens
Avec : Delphine Sarfati-Sobreira, DG de l'Unifab. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:35:00 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Reconduit de justesse, jeudi 5 juin, à la tête du Parti socialiste, Olivier Faure compose avec un appareil coupé en deux. Rongé par les divisions et déserté par les adhérents, l'ancienne force dominante de la gauche doit désormais esquisser une vision, à deux ans de l'élection présidentielle.
Avec : Jérémie Patrier-Leitus, député Horizons du Calvados. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Richard Ramos, député MoDem du Loiret. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat de police Unité. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : Émilie Agnoux, fonctionnaire territoriale, co-fondatrice du collectif "Le sens du service public". - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Demain jeudi les adhérents du Parti socialiste français éliront leur futur Premier secrétaire. Deux candidats se font face pour ce second tour : le sortant Olivier Faure, et le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol. La séquence se terminera en fin de semaine prochaine avec la clôture du 81e congrès à Nancy.La ligne du PS doit-elle évoluer ? Comment peser politiquement tout en s'affranchissant de La France insoumise ? Pour en débattre :- Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne- Jean-Philippe Moinet, directeur de la Revue Civique, auteur de « Un journal sous influence », éditions AliRibelli - Antoine Delangre-Marini, ex-adhérent du PS, sympathisant. Ancien conseiller ministériel, aujourd'hui conseiller communication.
Demain jeudi les adhérents du Parti socialiste français éliront leur futur Premier secrétaire. Deux candidats se font face pour ce second tour : le sortant Olivier Faure, et le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol. La séquence se terminera en fin de semaine prochaine avec la clôture du 81e congrès à Nancy.La ligne du PS doit-elle évoluer ? Comment peser politiquement tout en s'affranchissant de La France insoumise ? Pour en débattre :- Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne- Jean-Philippe Moinet, directeur de la Revue Civique, auteur de « Un journal sous influence », éditions AliRibelli - Antoine Delangre-Marini, ex-adhérent du PS, sympathisant. Ancien conseiller ministériel, aujourd'hui conseiller communication.
Avec : Quentin Ruffat, porte-parole de Shein France. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Avec : frédéric Lauze, secrétaire général du Syndicat des commissaires de la police nationale. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
En RD Congo, où se trouve l'ancien Premier ministre Matata Ponyo ? Son parti politique affirme qu'il a disparu au lendemain de sa condamnation à 10 ans de travaux forcés pour détournement de fonds.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La cheffe de l'opposition, Sussan Ley, a expliqué en quoi son approche serait différente de celle de Peter Dutton, affirmant qu'elle ne donnerait pas de leçons de haut en bas.
Le Parti républicain regroupe actuellement différents courants de pensées conservateurs aux États-Unis avec une partie qui se reconnait comme libertarienne. Une idéologie souvent assimilée aux conservateurs, pourtant, elle s'y oppose sur de nombreux points. Rencontre avec des libertariens de la ville de Mount Washington, dans le Kentucky, pour voir ce qu'ils pensent de la politique du président Donald Trump. De notre envoyé spécial à Mount Washington,Trois personnes terminent la réunion mensuelle du parti libertarien local, dans une salle de cette bibliothèque publique. Un des points de désaccord avec les républicains est la place qu'occupe la religion dans la politique, comme l'explique Steve, le président du parti libertarien local : « Je me considère comme un chrétien anarchiste. Ce qui veut dire que chacun devrait vivre la vie que Dieu a prévue pour lui et le gouvernement ne devrait pas nous dire comment faire cela. Le gouvernement ne doit avoir aucun rôle dans la vie des personnes, ce que les gens font ne nous regarde pas. »De nombreux États conservateurs, comme ici dans le Kentucky, ont interdit ou réduit l'accès à l'avortement, citant notamment des raisons religieuses. Un argument auquel Steve s'oppose : « Je ne suis pas en faveur de l'avortement, je n'aime pas ça. Mais s'il existe une clinique d'avortement et une personne estime qu'elle a besoin d'y aller, je peux détourner le regard, car la dernière chose qu'on veut, c'est la création d'un marché noir. »Diminuer le rôle du gouvernement Autre point de désaccord : la politique anti-immigration des républicains contraire aux valeurs de Mitch : « Je suis pour l'ouverture des frontières. Je n'ai aucun problème à ce que les gens entrent dans ce pays. C'est ce que tout le monde a fait quand ce pays a été créé. Et je pense que c'est formidable d'avoir un groupe varié de personnes avec des idées et des cultures différentes. C'est une chose géniale. Essayer de renvoyer la moitié de la population ou je ne sais combien, on s'en fiche. »Une des revendications principales des libertariens est de diminuer le rôle du gouvernement, ce que fait Donald Trump avec ses coupes budgétaires drastiques et ses licenciements de fonctionnaires. Mais la façon dont le président procède n'est pas la bonne pour Rhonda : « Je pense qu'on doit examiner chaque partie de l'administration pour voir où l'on peut faire ces changements. Mais arriver avec un bulldozer en renvoyant tout le monde et retirant des ressources du peuple américain n'est pas la bonne façon de le faire. »Les trois personnes s'opposent également au système politique américain dominé par les deux partis - -républicain et démocrate - et regrettent le manque d'alternatives politiques.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Portugal est appelé aux urnes ce dimanche 18 mai pour les troisièmes élections législatives en trois ans. Si l'avantage semble être du côté de l'alliance démocratique sortante, celle-ci pourrait ne pas atteindre la majorité absolue. La troisième force politique, le parti d'extrême droite Chega, devrait conforter ses scores précédents. De notre envoyée spéciale à Elvas,Dans la jolie ville d'Elvas, au Portugal, près de la frontière espagnole, André Ventura est venu à la rencontre d'une foule acquise à ses idées. Accolades, selfies et tapes dans le dos, Ventura aime se livrer à cet exercice obligé d'une campagne. « La circonscription de Portalegre nous a donné des résultats incroyables en 2024. Ici, c'est la plus grande victoire du pays. Je me devais de dire aux électeurs que je ne les oublie pas. Je sais ce qu'ils vivent. Mais il y a un candidat et un parti, le Chega, qui va les défendre contre une véritable brutalisation territoriale de la part des communautés tziganes », ose le candidat d'extrême droite.En 2024, la ville d'Elvas avait voté à 36,5% pour le Chega, un score record que le parti veut répéter. Les discours politiques du Chega convoquent des thèmes récurrents : l'immigration, la corruption et les « tziganes subventionnés ». Les militants sont conquis par le passage de leur candidat. « Tant d'années passées à cotiser pour ces gens qui ne veulent rien faire. Nos retraites sont misérables. Nous, on veut vivre aussi bien qu'eux, les tziganes. Le gouvernement soutien ceux qui ne travaillent pas. Alors moi, je vais voter Ventura », raconte Lourdes Cabeço, venue avec sa fille et sa petite fille, conquise par la visite de son candidat menée au pas de charge.« On a vu apparaître quelqu'un qui annonce avoir trouvé des remèdes à tous les maux de la société. André Ventura se sert du mécontentement des gens. Il dit ce que les gens ont envie d'entendre pour attirer leurs voix », estime le maire d'Elvas, José Rondão Almeida, sous étiquette indépendante après avoir été longtemps membre du parti socialiste, qui dénonce l'opportunisme du Chega.Crédité de 18 à 20% des voix pour le scrutin du 18 mai, le parti antisystème et populiste, consoliderait sa position de troisième force politique du pays. Une ascension fulgurante pour un parti créé en 2019. Alors que le Chega a dû finir la campagne électorale privé de son leader, victimes de malaises, les sondages montrent une avancée du Premier ministre sortant, Luis Montenegro, mais sans majorité absolue. À lire aussiPortugal: à deux semaines des élections, l'économie du pays passe au rouge
durée : 00:58:09 - LSD, la série documentaire - par : Anne-Toscane Viudes - Le PCF rassemble moins de voix que le FN lors du premier tour des élections présidentielles de 1988. Ce résultat est un choc annonciateur d'une période de déclin des idéaux communistes, sur le plan national et international. - réalisation : Anne Fleury
durée : 00:03:44 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Les Kurdes tournent une page de leur Histoire. Le Parti des travailleurs a annoncé sa dissolution lundi 12 mai. C'est un succès pour le président turc mais il comporte des risques.
Victoire du Parti Travailliste : Quelles promesses pour le pays ?