99th Prime Minister of France
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C dans l'air du 13 novembre 2025 - 13 novembre, la douleur et la menace demeurent132 morts en 33 minutes. Dix ans plus tard, la France rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015. Du Stade de France au Bataclan en passant par les terrasses du 11e arrondissement de Paris, Emmanuel Macron se recueille tout au long de la journée sur les différents lieux de l'attaque en présence de nombreuses personnalités, comme François Hollande, Manuel Valls ou Bernard Cazeneuve, trio au sommet de l'État à l'époque. Une cérémonie a été prévue devant la salle de concert du Bataclan, théâtre de l'atrocité des attentats où 90 personnes ont perdu la vie et des centaines d'autres ont été blessées, cette nuit-là. En début de journée, la fille de Manuel Dias, première victime du 13-Novembre, a tenu un puissant discours sur la place de la République : "On nous dit de tourner la page, dix ans après, mais l'absence est immense, le choc est intact et l'incompréhension règne toujours."Pour C dans l'air, l'ancien ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a accepté de raconter comment il a vécu le 13-Novembre depuis Beauvau. Quand la première explosion intervient aux abords du Stade de France, les questions se bousculent : qui sont les terroristes ? Comment protéger les Français ? Une fois l'attaque terminée, il faut traquer les assaillants qui menacent de fuir le pays. Pendant plusieurs jours, Bernard Cazeneuve vit retranché au sein du ministère de l'Intérieur où les réunions se multiplient, pour gérer les familles des victimes ou encore instaurer l'état d'urgence. Il en garde un souvenir de "course contre la montre". D'autant qu'à l'époque, les moyens de l'État ne sont pas adaptés à la menace terroriste : "Lorsque j'arrive à Beauvau en 2014, la loi sur le renseignement date de 1991. C'est-à-dire d'une époque où il n'y avait ni téléphone portable ni internet".Dix ans après les événements, la fiction s'est largement emparée de ce bout d'histoire. "Revoir Paris", "Fluctuat nec mergitur", "Le Choix de Sonia", les séries et films se multiplient dans un grand moment de thérapie collective, avec plus ou moins de succès. Dernière en date, "Des vivants", fiction en huit épisodes de Jean-Xavier de Lestrade, a choisi de raconter l'horreur à travers le point de vue des "Potages" (contraction des mots "potes" et "otages"), ce groupe de sept amis qui a vécu la prise d'otage dans le couloir du Bataclan. Si le réalisateur oscarisé a choisi de montrer l'horreur de la prise d'otage, il s'est surtout intéressé à la difficulté de la reconstruction : "On se rend compte qu'on ne sait rien de ce que signifie vivre avec ce traumatisme, cette violence subie, des réveils tous les matins avec une boule au ventre et une peur permanente", raconte-il dans un entretien au magazine Vanity Fair.Comment se souvenir du 13-Novembre ? Comment a-t-on vécu les événements au sommet de l'État ? Et la fiction peut-elle aider à guérir les plaies de ce traumatisme ?Nos experts : - Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Damien DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice - Le Parisien- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Noémie SCHULZ - Journaliste police-justice à France TV
durée : 00:23:11 - 8h30 franceinfo - L'ancien Premier ministre et ancien ministre de l'Intérieur était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 13 novembre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
ESSENTIEL, le rendez-vous culture. Sandrine Sebbane reçoit Guillaume Farde pour son livre « Raid, 40 ans d'action » aux éditions du Rocher et Amélie Myriam Chelly pour son livre « Paris 13 novembre 2045 » aux éditions du Cerf. À propos du livre : « Raid, 40 ans d'action » paru aux éditions du Rocher RAID. Quatre lettres qui ont forgé une légende. Derrière les tenues noires, des femmes et des hommes à la fois humbles et discrets, qu'on appelle en dernier recours. Intervenir là où personne ne peut aller. Réussir là où nul n'a le droit d'échouer. Une seule devise : « Servir, sans faillir. » 40 ans que les policiers du RAID repoussent sans cesse leurs limites au cours de missions aussi dangereuses que décisives. 40 ans que le RAID incarne l'excellence au service de la France. Dans ce livre anniversaire richement illustré, Guillaume Farde vous invite dans l'intimité du RAID : techniques d'entraînement, spécialités pointues, grandes opérations marquantes, témoignages inédits des opérateurs... Un hommage vibrant à ces héros de l'ombre, prêts à risquer leur vie pour préserver la nôtre. Guillaume Farde est professeur affilié à l'École d'affaires publiques de Sciences Po où il est conseiller scientifique de la spécialité sécurité-défense. Après avoir été un intervenant régulier sur les antennes de BFM, il est maintenant consultant Police-Justice TF1 LCI. Il a notamment coécrit Top Action ! Face aux crises, avec Denis Favier et Jean-Louis Fiamenghi La lutte antiterroriste, avec Bernard Cazeneuve ou encore Flic stories (2024). À propos du livre : « Paris 13 novembre 2045 » paru aux éditions du Cerf 2045. Dans un univers bouleversé par les nouveaux rapports géopolitiques, l'IA, les bulles numériques, un groupe d'amis se trouve pris entre secrets et peurs. Un récit qui mêle intime et dystopie. Une anticipation pour découvrir le monde de demain. 2045 : le monde a changé. L'ordre international a basculé : la Russie et la Chine ont imposé un nouvel équilibre. L'IA rédige les livres. Les événements se vivent désormais en réalité virtuelle. Dans ce futur où tout vacille, un groupe d'amis tente de préserver son unité. L'un d'eux, Vincent, rescapé du Bataclan, tient à honorer la mémoire des victimes. Mais l'hommage prend un tour inédit, car une nouvelle menace a grandi dans l'ombre : celle d'un groupe islamiste turco-syrien encore méconnu. Comme si cette tension ne suffisait pas, un séisme intime secoue le cercle d'amis. Tous cachent en effet un secret et tremblent qu'il ne soit révélé aux autres. Entre menaces extérieures et conflits intérieurs, espoirs et désillusions, les âmes se dévoilent, prises dans les tourments d'un monde qui n'est plus tout à fait le nôtre... mais pas tout à fait un autre non plus. Un roman d'anticipation glaçant qui entremêle réflexions actuelles et interrogations sur notre futur proche. Amélie Myriam Chelly, Sociologue, iranologue, chercheuse associée au CADIS (EHESS-CNRS), chargée d'enseignement à l'IPJ Dauphine, Amélie M. Chelly est experte en relations internationales, évolution du terrorisme islamiste et enjeux sécuritaires contemporains. Elle est notamment l'autrice, aux Éditions du Cerf, d'Iran, autopsie du chiisme politique et du Dictionnaire des islamismes. Elle vit à Maisons Alfort.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste. - Olivier Benkemoun, journaliste. - Louis de Ragunel, chef du service politique d'Europe 1. - Paul Amar, journaliste. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il était ministre de l'Intérieur quand la France a connu les attentats les plus meurtriers de son histoire. Aujourd'hui ni socialiste ni macroniste, il veut incarner la gauche de gouvernement. Jusqu'en 2027 ? L'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 07 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 6 septembre 2025 - Après-Bayrou : à quoi s'attendre ?À quarante-huit heures du vote de confiance à l'Assemblée nationale, perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant sa chute –, la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée. Emmanuel Macron a reçu cette semaine les chefs des partis du bloc central afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lundi, et les enjoindre à travailler avec le PS. Car l'hypothèse d'un socialiste à Matignon est réelle, d'autant que Laurent Wauquiez a affirmé que la droite ne censurerait pas un gouvernement PS. Une position qui n'est pas partagé par le chef des LR, Bruno Retailleau.En coulisses, plusieurs noms circulent, de droite, du centre ou de gauche : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Bernard Cazeneuve... Tandis que François Bayrou continue d'invoquer l'intérêt national pour sauver sa tête. Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française depuis que le Premier ministre a annoncé un vote de confiance sur le budget.Pendant ce temps, en Lorraine, les ouvriers de l'usine Novasco, qui produit de l'acier depuis des décennies, sont inquiets. L'entreprise est en redressement judiciaire pour la quatrième fois en dix ans. Un exemple parmi d'autres du déclin industriel français. En mai 2025, près de 380 plans sociaux avaient été recensés en un an par la CGT, trois fois plus qu'en 2024.Les élus locaux, eux, sont en colère. L'association des maires de France menace de se mobiliser. L'effort réclamé aux collectivités (5,3 milliards) ne passe pas. Maintenir les budgets à l'équilibre est déjà compliqué à l'heure actuelle et les édiles estiment qu'ils en font déjà beaucoup. Pour en parler, C dans l'air est allé à la rencontre d'Éric Berdoati, maire divers droite de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).Alors, quels sont les scénarios les plus probables pour l'après-Bayrou ? Comment stopper la désindustrialisation en France ? Pourquoi les élus locaux sont en colère ? LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU – Politologue, professeur des Universités à Sciences Po- Eric HEYER – Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision à l'OFCE- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à Challenges- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à Franceinfo TV
durée : 00:55:11 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre est l'invité de "Questions politiques" ce dimanche alors que se termine le congrès du PS. Il demande à Olivier Faure de "rompre" avec LFI. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:55:11 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre est l'invité de "Questions politiques" ce dimanche alors que se termine le congrès du PS. Il demande à Olivier Faure de "rompre" avec LFI.
Les deux anciens ministres, sous François Hollande, appellent à rompre avec LFI et estiment que le PS ne pourra pas, à lui seul, refonder la gauche. En se projetant dans l'après-macronisme, représentent-ils un renouvellement ou un nouvel élan capable de rassembler ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:57 - L'invité de 8h20 - Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre et auteur de "Un chien parmi les loups" aux éditions de L'observatoire, était l'invité de France Inter ce vendredi. Après l'attaque au couteau dans un lycée de Nantes, il appelle à apporter des réponses au "très profond malaise de la jeunesse" française. - invités : Bernard CAZENEUVE - Bernard Cazeneuve : Ancien Premier ministre
durée : 00:02:26 - Le brief politique - Dominique de Villepin, Bernard Cazeneuve, Michel Barnier, Jean Castex... Tous ont connu Matignon et continuent de cultiver leurs réseaux en attendant d'éventuelles opportunités.
La bestialité du combat au corps à corps, la peur, la vie de famille d'un militaire, le rapport de la France à son armée : le général François Lecointre raconte.Les Français sont-ils prêts à une guerre ?Les militaires sont-ils suffisamment considérés ?Que se passe-t-il dans la tête d'un soldat sur le champ de bataille ?Comment surmonte-t-on l'horreur des combats ?Comment forme-t-on un soldat ?Autant de questions auxquelles répond, dans cette conversation d'une heure, celui qui fut le chef d'état-major des armées françaises de 2017 à 2021 (sous la présidence d'Emmanuel Macron), mais aussi chef du cabinet militaire du Premier ministre de 2016 à 2017 (lors des gouvernements Manuel Valls, Bernard Cazeneuve et Edouard Philippe) et qui est aujourd'hui grand chancelier de la Légion d'honneur ainsi qu'auteur d'un livre, intitulé "Entre guerres", qui retrace son parcours et raconte sa philosophie de la guerre.François Lecointre est l'auteur du livre "Entre guerres", qui retrace son parcours et raconte sa philosophie de la guerre. "Entre guerres" est publié aux aux éditions Gallimard."L'interview Brut. des gens connus" est un podcast produit par Brut.Journaliste : Aymeric GoetschyCoordination éditoriale : Annabel MoraDirection éditoriale : Laurent Lucas Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 12 décembre : Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, ancienne secrétaire d'Etat chargée du Commerce.Les Français sont toujours dans l'attente de la nomination d'un Premier ministre, une semaine après le vote de la motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier. En visite en Pologne, le président Emmanuel Macron a décidé d'écourter son séjour pour "rentrer à Paris le plus tôt possible". Une nomination serait attendue dans la soirée. Les noms de François Bayrou, Bernard Cazeneuve, ou encore Sébastien Lecornu ont souvent été cités, même si selon un macroniste cité dans Le Parisien aujourd'hui, "le président prépare une surprise".Une chose est sûre, la censure du gouvernement Barnier a remis au centre du jeu le Parti socialiste, membre du nouveau Front populaire, arrivé en tête des dernières législatives. Olivier Faure, le premier secrétaire du parti, réclame toujours un Premier ministre "de gauche", mais montre des signes d'ouverture. "On ne peut pas simplement trépigner et attendre que le président veuille démissionner", a-t-il déclaré sur Public Sénat. Il dit pouvoir "faire l'effort de ne pas censurer", dans "une recherche de compromis". Une ligne sur laquelle Carole Delga, présidente de la région Occitanie, est depuis longtemps. Elle avait affirmé dès cet été qu'il fallait que la gauche s"ouvre aux autres forces republicaines", avant de réitérer dans une interview accordée à la Tribune du Dimanche. "Les Français nous en veulent, ils sont désespérés par le spectacle que donne la classe politique", affirme-t-elle, appelant à "un accord de non-censure", "seul moyen de gouverner le pays", selon elle.Les désaccords de méthode sont donc nombreux au sein du nouveau front populaire, qui pourrait imploser. Mardi, socialistes, communistes et écologistes ont participé à une réunion à l'Elysée, mais pas la France insoumise. Dans un sondage Odoxa pour le Figaro magazine et Sud radio parue hier, Jean-Luc Mélenchon reste le mieux placé à gauche dans l'éventualité d'une élection présidentielle.Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, ancienne secrétaire d'Etat chargée du Commerce, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur la nomination attendue d'un Premier ministre. Elle qui estime que la gauche "a rendez-vous avec l'histoire", nous expliquera comment le parti socialiste, dans un accord de non-censure, pourrait travailler avec les "forces républicaines". Elle reviendra aussi avec nous sur la colère des Français, et notamment leur défiance face aux politiques. Le mouvement des agriculteurs de l'hiver dernier, notamment, avait débuté en Occitanie.
Le choix du prochain Premier ministre par Emmanuel Macron suscite des spéculations, avec plusieurs noms évoqués : François Bayrou, Sébastien Lecornu, Roland Lescure et Bernard Cazeneuve.L'actualité comprend aussi les recommandations de la Haute Autorité de Santé sur le remboursement des transitions de genre chez les mineurs, la poursuite des manifestations agricoles, et le classement sans suite d'une enquête pour viol concernant Kylian Mbappé.À noter également : la visite prochaine du pape François en Corse, qui devrait rassembler plus de 100 000 personnes à Ajaccio.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Emmanuel Macron a écourté sa visite en Pologne et le compte à rebours est lancé pour la nomination d'un Premier ministre. François Bayrou ou Bernard Cazeneuve seraient toujours sur le haut de la pile. Quoiqu'il en soit, le prochain locataire de Matignon devra discuter d'un accord de non-censure avec les groupes politiques de l'Assemblée nationale. Un pacte nécessaire au retour d'une forme de stabilité politique. Roselyne Febvre reçoit Laurent Joffrin, Catherine Tricot et Bruno Jeudy.
Dans cette édition :Emmanuel Macron doit nommer un nouveau Premier ministre dans la journée, avec plusieurs noms qui reviennent avec insistance comme François Bayrou, Bernard Cazeneuve ou Sébastien Lecornu.Une adolescente de 13 ans, Morgane, a été retrouvée saine et sauve deux semaines après sa disparition, cachée par un homme de 21 ans rencontré sur les réseaux sociaux.Des perturbations sont signalées à la SNCF ce matin avec des préavis de grève déposés par plusieurs syndicats.Un attentat meurtrier a eu lieu en Israël, faisant un mort et trois blessés.L'écrivain franco-algérien Boalem Sansal reste incarcéré en Algérie, son avocat dénonçant les entraves aux droits de la défense.Les enlèvements avec demandes de rançons se multiplient en France, notamment dans certaines cités, liés au trafic de drogue et aux conflits entre bandes rivales.La Coupe du Monde 2030 se jouera sur trois continents (Afrique, Europe, Amérique du Sud), tandis que l'Arabie Saoudite accueillera le Mondial 2034, une décision qui soulève des polémiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Le président Emmanuel Macron doit annoncer ce soir le nom du nouveau Premier ministre, plusieurs noms sont évoqués comme François Bayrou, Bernard Cazeneuve ou Sébastien Lecornu.Le président se rend en Pologne pour évoquer la fin possible de la guerre en Ukraine avec le Premier ministre polonais Donald Tusk, il souhaite que les Européens soient impliqués dans les négociations.Une nouvelle drogue illégale appelée "PTC" ou "Pète ton crâne" fait des ravages chez les jeunes, avec des effets jusqu'à 200 fois plus forts que le cannabis.Dans le Haut-Rhin, une commune a mis en place un "Secret Santa" géant où les habitants déposent des cadeaux dans les boîtes aux lettres que le facteur redistribue.Des manifestations sont prévues dans tout le pays pour soutenir l'emploi et l'industrie face aux plans sociaux, notamment chez les cheminots.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Emmanuel Macron doit annoncer aujourd'hui le nom du nouveau Premier ministre, après la censure du gouvernement de Michel Barnier. Les principaux candidats sont François Bayrou, Bernard Cazeneuve, Catherine Vautrin, Pierre Moscovici et Sébastien Lecornu. Le futur Premier ministre devra naviguer entre les partis politiques pour former un gouvernement. Avec la montée de Marine Le Pen dans les sondages, il devra aussi prendre en compte les 11 millions d'électeurs du Rassemblement National.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Les anciens Premiers ministres français bénéficient, après leur mandat, de divers avantages financés par l'État, tels que la mise à disposition de véhicules avec chauffeurs et de collaborateurs. Ces privilèges, bien que réglementés, engendrent des coûts significatifs pour les contribuables. En 2023, les dépenses associées à ces avantages ont atteint 1,42 million d'euros, marquant une augmentation de 11 % par rapport à l'année précédente. Classement des anciens Premiers ministres selon les coûts engendrés en 2023 : 1. Bernard Cazeneuve : Avec des dépenses totalisant 218 658 euros, Bernard Cazeneuve, qui a occupé le poste de Premier ministre de décembre 2016 à mai 2017, est l'ancien chef de gouvernement le plus coûteux pour l'État en 2023. 2. Dominique de Villepin : Ses dépenses s'élèvent à 197 539 euros, le plaçant en deuxième position. 3. Jean-Pierre Raffarin : Avec 167 467 euros de dépenses, il occupe la troisième place. 4. Lionel Jospin : Ses dépenses atteignent 162 012 euros, le positionnant en quatrième place. 5. François Fillon : Les dépenses associées à ses avantages s'élèvent à 140 039 euros. À l'opposé, certains anciens Premiers ministres ont généré des coûts moindres. Par exemple, Jean Castex n'a dépensé que 3 607 euros en frais automobiles en 2023. De plus, Édouard Philippe et Laurent Fabius ne bénéficient pas de ces avantages en raison de leurs fonctions actuelles respectives de maire du Havre et de président du Conseil constitutionnel. Il est important de noter que depuis un décret de 2019, les avantages en nature pour les anciens Premiers ministres sont limités à une durée de dix ans et cessent lorsqu'ils atteignent 67 ans. Cependant, cette réglementation ne s'applique qu'aux Premiers ministres ayant quitté leurs fonctions après la promulgation du décret, laissant les précédents bénéficiaires sans ces restrictions. Face à l'augmentation des dépenses liées aux anciens Premiers ministres, des voix s'élèvent pour appeler à une réduction de ces avantages. La députée Marie-Christine Dalloz a notamment souligné la nécessité d'une plus grande exemplarité, surtout dans un contexte de contraintes budgétaires accrues. En conclusion, bien que les avantages accordés aux anciens Premiers ministres visent à reconnaître leurs services rendus, ils engendrent des coûts notables pour l'État. La mise en place de réglementations plus strictes et une prise de conscience accrue de la part des bénéficiaires pourraient contribuer à une gestion plus équilibrée de ces dépenses publiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 4 décembre - Barnier chute, Macron au pied du mur...Les deux motions de censure déposées contre le gouvernement de Michel Barnier vont être débattues à partir de 16 heures à l'Assemblée nationale, et sa chute ce soir est quasiment certaine. Les dernières déclarations du RN ne laissent aucune place au doute. Les députés du parti d'extrême droite vont renverser le gouvernement en votant le texte du Nouveau Front Populaire.Et si officiellement, Michel Barnier est toujours Premier ministre et a jugé hier soir "possible" que son gouvernement ne soit pas censuré, dans les coulisses, le camp présidentiel phosphore déjà sur l'après. Depuis l'Arabie Saoudite, Emmanuel Macron a affirmé mardi qu'il ne pouvait "pas croire" au vote de la censure mais en réalité le président de la République a déjà commencé à lui chercher un successeur. Des noms sont testés, des candidats sont en campagne alors que dans les travées de l'Assemblée nationale le camp présidentiel remet en avant l'idée de former une grande coalition. Ainsi Gabriel Attal a écrit une lettre aux groupes parlementaires de droite et de gauche, en excluant le RN et LFI. Dans sa missive, il détaille le "pacte d'action" dont les grandes lignes avaient été dévoilées en juillet et qui vont du redressement des comptes publics au pouvoir d'achat en passant par la défense de la laïcité ou le soutien aux agriculteurs."Il n'y a aucune remise en cause de la politique menée et j'ai du mal à voir du consensus sur ce texte. On dirait que pour Gabriel Attal, c'est toujours son camp qui doit gouverner", a estimé le député socialiste Arthur Delaporte. Depuis plusieurs jours, les socialistes qui ne citent plus Lucie Castets comme Première ministre, réclament "un Premier ministre partageant les valeurs de la gauche sur les chantiers prioritaires du Nouveau Front populaire" et jugent, à l'instar du chef des députés PS Boris Vallaud, que "la question des conditions d'une non-censure" avec les autres groupes doit être posée. Mais si la succession de Michel Barnier ressuscite l'option Bernard Cazeneuve, qui avait beaucoup circulé durant l'été dernier, l'hypothèse, comme l'été dernier, n'emballe pas le patron du Parti socialiste. "Bernard Cazeneuve est un homme de gauche, mais il n'a soutenu ni Raphaël Glucksmann aux élections européennes ni le NFP aux législatives. Il ne s'est jamais exprimé sur ce qu'il voudrait faire s'il arrivait à la tête du gouvernement", a rappelé Olivier Faure, qui juge "paradoxal de nommer quelqu'un au nom d'une victoire, celle du NFP, à laquelle il n'a pas voulu contribuer". Le Premier secrétaire du PS a également justifié, dans un entretien au Monde, la décision de voter la motion de censure, soulignant la responsabilité d'Emmanuel Macron dans la crise politique, tout en rejetant les appels à la démission du chef de l'Etat lancés notamment par La France insoumise. Sur ce point, avec LFI, "il y a une divergence fondamentale sur ce que nous voulons faire" a -t-il affirmé.De retour au fort de Brégançon, le chef de l'Etat dont la popularité est au plus bas dans les sondages, consulte après avoir répondu mardi à ceux qui appellent à sa démission qu'il sera président "jusqu'à la dernière seconde". Les experts : - Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN)- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- Soazig QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche- Lou FRITEL - Journaliste politique – Paris Match PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.fr
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 29 novembre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LE PS PEUT-IL S'AFFRANCHIR ? Le prochain congrès du PS devrait avoir lieu au printemps 2025. Elu depuis 2018, Olivier Faure remettra son mandat de premier secrétaire en jeu. Sa gouvernance est contestée par ceux qui lui reprochent de coller au pas et aux humeurs de Jean-Luc Mélenchon et d'avoir réduit le PS à une annexe de La France insoumise au lieu de profiter de la force acquise lors des européennes et même des législatives pour être en mesure de faire émerger un candidat socialiste présidentiable. Les partisans du député de Seine et Marne plaident pour la survie, à tout prix, de l'union de la gauche, tout en menant à l'Assemblée une bataille larvée contre LFI pour obtenir le leadership de la gauche. Un combat rendu possible par le retour en force des socialistes à l'Assemblée : les troupes du patron du groupe socialiste à l'Assemblée, Boris Vallaud, comptent 66 parlementaires, contre 71 mélenchonistes.Cette crise entre le PS et LFI a éclaté au grand jour après la proposition de pacte de « non-censure » évoqué dimanche dernier sur France Inter par Boris Vallaud qui a proposé à « tous les présidents de groupes du Sénat et de l'Assemblée de l'arc républicain de poser la question des conditions d'une non-censure ». Il a, en outre, dit vouloir « reprendre le fil » de ce que « les groupes du Nouveau Front populaire » à l'Assemblée et au Sénat avaient « commencé à faire à la mi-août en disant "nous sommes prêts à des compromis texte par texte, nous sommes prêts à discuter des priorités de politique budgétaire" ». « Le PS cherche des alliés. Mais ça sera sans LFI », a assuré Jean-Luc Mélenchon, accusant le PS de « tendre la main » au-delà de la gauche.La mésentente affichée entre LFI et le PS est également apparue à propos d'une proposition de loi déposée le 19 novembre, à l'initiative du député « insoumis » du Nord Ugo Bernalicis, qui vise à « abroger le délit d'apologie du terrorisme du code pénal ». Ce délit, créé par une loi de 2014, consiste à « présenter ou commenter favorablement soit le terrorisme en général, soit des actes terroristes déjà commis ». Bernard Cazeneuve avait défendu ce texte comme « nécessaire » face à « la stratégie médiatique » des groupes djihadistes et au fait qu'« Internet offre aux thèses les plus extrêmes une caisse de résonance démultipliée ». L'objectif consiste selon la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, à cantonner à nouveau l'apologie du terrorisme au droit de la presse afin de garantir « la liberté d'expression ». La proposition a suscité une vague de critiques. A gauche le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a jugé qu'il suffisait en la matière d'affiner « la définition » du délit « pour en éviter les dérives ». Plus clairement, le patron des députés PS, Boris Vallaud, a affirmé ne pas soutenir « la proposition de LFI ».LA SITUATION EN UKRAINE Après des mois de refus, le 17 novembre, les Etats-Unis ont donné aux Ukrainiens le feu vert pour frapper la Russie en profondeur avec leurs missiles balistiques sol-sol d'une portée allant jusqu'à 300 kilomètres. Washington a justifié cette autorisation par le récent déploiement de soldats nord-coréens dans la région frontalière russe de Koursk. Alors que le conflit passait le cap des 1.000 jours, le 19 novembre, Kyiv a frappé un poste de commandement russe dans la région de Koursk. En réponse, le président russe a annoncé l'adoption d'une nouvelle doctrine nucléaire qui élargit la possibilité d'un recours à l'arme atomique en cas d'attaque « massive » par un pays non nucléaire mais soutenu par une puissance nucléaire. Une référence claire à l'Ukraine et aux États-Unis. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Union européenne ont dénoncé « une rhétorique irresponsable » de la part de la Russie.Alors que la Russie pousse son avantage sur la ligne de front, en s'emparant de territoires, dans l'est du pays, à une rapidité inédite, les Etats-Unis ont annoncé, le 20 novembre, que pour aider l'Ukraine à freiner l'avancée des Russes, ils allaient fournir à Kyiv des « mines antipersonnel non-persistantes », c'est-à-dire équipées d'un dispositif d'autodestruction ou d'autodésactivation. Une mesure dénoncée non seulement par la Russie, et jugée « désastreuse » par la Campagne internationale pour interdire les mines, une organisation qui a reçu le prix Nobel de la paix en 1997. L'Ukraine est aujourd'hui le pays le plus miné au monde, avec 23 % de son territoire pollué par des mines terrestres et des munitions non explosées, indiquait dans un rapport en octobre, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).Le 21 novembre Vladimir Poutine a déclaré que Moscou « avait lancé un nouveau missile balistique de portée intermédiaire sur l'Ukraine, en réponse à l'utilisation récente par ce pays d'armes américaines et britanniques pour frapper plus en profondeur » le territoire russe. Il a précisé que l'engin était un nouveau type de missile balistique hypersonique baptisé « Orechnik » - « noisetier », en russe -, dans sa « configuration dénucléarisée ». Le tir a visé un « site du complexe militaro-industriel ukrainien » dans la ville de Dnipro, a-t-il ajouté. C'est une première dans l'histoire du nucléaire militaire. Il n'était pas chargé – d'où l'absence d'explosion au sol –, mais, avec un tel tir, les Russes ont franchi un pas dans l'escalade avec les Occidentaux. Face aux risques importants de méprise, donc de riposte et d'escalade nucléaire, la Russie a indiqué avoir prévenu les Etats-Unis de son tir. Une annonce confirmée par Washington.Face aux nouvelles menaces du président russe, qui prévient qu'il pourrait désormais les frapper directement, les Occidentaux hésitent, vis-à-vis de l'Ukraine, entre un soutien réitéré mais assorti de limites (Joe Biden), des promesses verbales (Otan, France, Royaume-Uni et Suède), et la « prudence » (Allemagne).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Alexis Brézet analyse les tensions autour du gouvernement français. Après une rencontre houleuse entre Michel Barnier et Marine Le Pen, une motion de censure semble imminente. Alexis Brézet explore les scénarios possibles : si Barnier tombait, un gouvernement socialo-macroniste dirigé par Bernard Cazeneuve ou Boris Vallaud pourrait émerger, mais il note que ce changement ne serait qu'une continuité sous une autre forme, avec les risques traditionnels d'une gauche renforcée.Malgré les critiques, Alexis Brézet souligne les efforts de ministres comme Bruno Retailleau sur l'immigration et Guillaume Casparian sur la réforme publique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Présidentielle 2027 : Bernard Cazeneuve a annoncé qu'il présentera un "projet pour la France" à l'été 2025. Ecoutez La Vizo Conférence avec Alex Vizorek du 04 novembre 2024.
Présidentielle 2027 : Bernard Cazeneuve a annoncé qu'il présentera un "projet pour la France" à l'été 2025. Ecoutez La Vizo Conférence avec Alex Vizorek du 04 novembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 03 novembre 2024.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 13 octobre 2024.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.David Djaïz, entrepreneur, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LA GAUCHE FAÇON PUZZLEAprès le bon score de Raphaël Glucksmann aux élections européennes de juin dernier, les socialistes pensaient qu'un espace s'entrouvrait entre le futur successeur d'Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. La dissolution surprise annoncée par le Président de la République est venue tout remettre à plat. Réalisé dans l'urgence, en quatre jours, face à la menace d'un Rassemblement national dont les sondages prédisaient une victoire écrasante, le Nouveau Front Populaire (NFP) a rassemblé La France Insoumise-LFI, le Parti communiste-PCF, Europe écologie les verts-EELV, le Parti socialiste-PS et le Nouveau Parti anticapitaliste-NPA. Sa mobilisation a permis à la gauche d'arriver en tête au second tour des législatives, le 7 juillet, avec 178 députés élus.Toutefois, au Parti socialiste comme à la France insoumise, la rentrée s'est déroulée en ordre dispersée avec une éclosion de mouvements et de clubs. Les 5 et 6 octobre, lors de la première université d'été de son mouvement Place publique, Raphaël Glucksmann a officialisé son intention de se porter candidat aux présidentielles de 2027. Il souhaite incarner « une gauche sociale, européenne, humaniste, écologiste et féministe » et dessiné une voie « girondine », ni « succédané du macronisme », ni « populisme de gauche ». Le même jour, Olivier Faure s'est invité à Lomme près de Lille, là où les socialistes nordistes tenaient leur rentrée politique. L'occasion pour le premier secrétaire du PS de compter ses soutiens et de marquer à nouveau sa différence avec Raphaël Glucksmann et les figures de son propre parti, hostiles à une alliance avec le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon. La veille, le maire PS de Saint-Ouen, Karim Bouamrane lançait son propre mouvement, La France humaine et forte. Fin septembre, c'était la présidente du conseil régional de la nouvelle région OccitanieCarole Delga, PS, qui accueillait les quatrièmes rencontres de la gauche, avec notamment Bernard Cazeneuve qui a quitté le PS en 2022 pour fonder son club La Convention, ainsi que Benoit Hamon parti du PS dès 2017 pour créer Génération.s, à la gauche du parti. Du côté de LFI, les dissidents Alexis Corbière ou Raquel Garrido, qui se dénomment, « Les Insurgés » ont lancé L'Après, tandis que François Ruffin a créé Picardie debout, et que Gérard Filoche a lancé la Gauche démocratique et sociale.Cependant, malgré les crispations qui rythment le quotidien de la coalition de gauche, socialistes, insoumis, écologistes et communistes feront front commun dans le marathon budgétaire des prochaines semaines. Mercredi à l'Assemblée nationale, le Nouveau Front populaire a présenté dix propositions fiscales, qui prendront la forme « d'amendements communs du NFP » et permettront, selon eux, de dégager 49 milliards d'euros de recettes supplémentaires.ISRAËL : SES RESPONSABILITÉS, SES ADVERSAIRES, SES ALLIÉSDes failles béantes sont apparues en Israël avant, pendant et même après la violente attaque menée par le Hamas en Israël le 7 octobre 2023 : les services de renseignement israéliens ont fait défaut, les réponses dans les premières heures n'ont pas été à la hauteur, mais au-delà, c'est tout un système qui est interrogé. La poursuite de la guerre et son extension, aujourd'hui, à toute la région du Moyen-Orient, permettent au Premier ministre israélien, en se maintenant au pouvoir, de retarder aussi la mise en place d'une commission d'enquête, en Israël, devant établir les responsabilités dans les événements du 7 octobre.Depuis le 7 octobre 2023, un réseau de groupes paramilitaires, unis par leur opposition aux États-Unis et à Israël, a accentué ses attaques contre Israël : milices chiites en Irak et en Syrie, Hezbollah au Liban, Hamas et Jihad islamique à Gaza, Houthis au Yémen. Chacun entretenant des liens avec Téhéran. Si l'Iran ne semble pas avoir été prévenu par le Hamas de l'attaque du 7 octobre, il voit cependant ses « proxys » détruits les uns après les autres et ses deux frappes de missiles contre Israël - les 13/14 avril et le 1er octobre - guère efficaces, n'ont pas changé la donne. Le guide suprême, Ali Khamenei, a prévenu le 4 octobre que ses alliés, principalement le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien, poursuivraient le combat contre Israël. Dimanche dernier, le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a menacé l'Iran de frappes similaires à celles menées « à Gaza et Beyrouth ». Un an plus tard, l'Iran se retrouve donc en première ligne face à Israël, soutenu par les Occidentaux et la majorité des pays arabes.Les Etats arabes qui ont signé des accords de paix avec Israël, d'abord l'Egypte en 1978, puis la Jordanie en 1994, comme ceux qui ont signé les accords d'Abraham en 2020 (Émirats arabes unis, Barheïn, Maroc et Soudan), n'ont pas rompu leurs liens avec l'Etat hébreu. Bien au contraire, puisque certains ont participé même, comme la Jordanie, à la défense du ciel israélien contre l'Iran.Allié majeur d'Israël, les Etats-Unis se sont montrés incapables d'obtenir un accord de cessez-le-feu à Gaza en échange de la libération des otages. Pas plus qu'ils ne sont parvenus à imposer une solution au Liban. Protégeant avec ses propres moyens militaires le ciel israélien contre les missiles iraniens, Washington continue de fournir les armes à Tsahal. Elle tente de peser aujourd'hui pour calibrer la réponse israélienne au bombardement du 1er octobre, afin que Tsahal ne s'en prenne ni au programme nucléaire, ni aux installations pétrolières.Emmanuel Macron a appelé à stopper les livraisons d'armes utilisées par Israël à Gaza. La France « ne tolérera pas » que l'armée israélienne vise à nouveau « délibérément » les Casques bleus.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 4 octobre 2014, Laurent Gerra imitait Jean-Pierre Raffarin, François Hollande ou encore Bernard Cazeneuve...
Au sommaire : le style Michel Barnier ; la gauche la plus bête du monde qui a laissé passé sa chance avec Bernard Cazeneuve ; Emmanuel Macron a t-il gagné la partie et "vole-t-il" l'élection, comme l'affirme Jean-Luc Mélenchon ? Ecoutez le débat entre Antonin André et Aude Rossigneux. Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 06 septembre 2024.
Combien de temps faudra-t-il à Emmanuel Macron pour nommer un nouveau Premier ministre ? Thierry Beaudet, Bernard Cazeneuve, Xavier Bertrand… Plusieurs noms ont bien circulé ces derniers jours, mais pour le président, les marges de manœuvres se restreignent.
durée : 00:54:50 - franceinfo: Les informés - Autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot, les informés débattent de l'actualité du lundi 2 septembre 2024.
Aujourd'hui Flora Ghebali, Charles Consigny et Bruno Pomart, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Qui ira à Matignon et pourra former un gouvernement qui ne sera pas immédiatement censuré par l'Assemblée nationale ?... La France est toujours en quête d'un ou d'une Première ministre. Emmanuel Macron a reçu des poids lourds de la politique : ce matin Bernard Cazeneuve, ancien ministre socialiste de François Hollande, cet après-midi Xavier Bertrand, président des Hauts-de-France. Le président français s'est aussi entretenu avec les anciens présidents François Hollande et Nicolas Sarkozy. Le nom de Thierry Beaudet, président du Conseil économique, social et environnemental, circule pour un profil moins politique. Les lignes ont-elles bougé à gauche et à droite ? Quelles pourraient être les alternatives ?
Bernard Cazeneuve, François Hollande et Nicolas Sarkozy, avant cet après-midi Xavier Bertrand : la semaine politique commence comme s'était terminée la dernière, avec des consultations et un peu de confusion. On fait le point avec Marie-Bénédicte Allaire et Julien Fautrat, du service politique de RTL. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 septembre 2024.
Dans "Limité à 80", l'humoriste Pascal Atenza vous propose une vision décalée et amusante de l'actualité en 80 secondes chrono.Pascal revient sur deux sujets brûlants : la rentrée scolaire et la recherche du nouveau Premier ministre par le Président Macron.
Emmanuel Macron va recevoir lundi Bernard Cazeneuve et Xavier Bertrand, dont les noms sont cités avec insistance pour Matignon, ainsi que François Hollande et Nicolas Sarkozy dans le cadre de consultations pour dénicher une personnalité qui ne soit pas aussitôt censurée par une majorité de députés.
durée : 00:09:54 - Journal de 18h - L'hypothèse d'une nomination de Bernard Cazeneuve à Matignon se renforce. L'ancien Premier ministre de François Hollande est convié à l'Elysée lundi pour s'entretenir avec Emmanuel Macron après 55 jours de crise politique.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.
durée : 00:09:54 - Journal de 18h - L'hypothèse d'une nomination de Bernard Cazeneuve à Matignon se renforce. L'ancien Premier ministre de François Hollande est convié à l'Elysée lundi pour s'entretenir avec Emmanuel Macron après 55 jours de crise politique.
À l'heure de la rentrée, il va falloir sortir les calculatrices et réviser les soustractions, puisque « pour 2025, il faudra au moins 20 milliards d'euros d'économies » : c'est la première leçon donnée, dans les colonnes d'Aujourd'hui en France Dimanche, par le ministre démissionnaire des Comptes publics. « Aucun gouvernement ne pourra, selon Thomas Cazenave, s'exonérer de la poursuite des efforts pour réduire le déficit. » Il va donc falloir calculer vite, puisque le projet de budget pour l'an prochain doit être présenté au Parlement dans un mois pile, et qu'aucun nouveau gouvernement n'est pour l'instant installé. Celui qui doit bientôt partir a donc proposé, en attendant, un budget identique à cette année, qui pourra être modifié par la future équipe gouvernementale.Mais « rien ne dit que la France accouchera d'une loi de finances en bonne et due forme », prévient L'Express, qui rappelle que le texte devra être adopté par les parlementaires. C'est « un 110 mètres haies qui s'annonce, d'après le magazine, avec vent de face, sans échauffement, et dans un stade globalement hostile, quel que soit le dossard de celui ou de celle qui portera le texte ». Dans ses pages, L'Express schématise les différents scénarii institutionnels envisageables, en fonction d'un vote favorable ou non. « Le rejet du budget aurait l'effet équivalent à celui du vote d'une motion de censure », concluent deux professeurs de droit public cités par l'hebdomadaire.« Budget : la France ingérable » en Une de L'Express, « La bombe à fragmentation » titre Le Nouvel Obs, « La France sur un volcan » en couverture du PointPour éviter, comme le redoute L'Express, un « chaos fiscal doublé d'une crise institutionnelle », Le Nouvel Obs réfléchit donc aux mesures sur lesquelles des « pourparlers » pourraient s'engager. Des économies seraient notamment possibles avec les « rentes indues » : la taxe sur les superprofits de l'électricité, qui a été « mal conçue », selon le magazine, ou l'impôt sur les revenus du capital qui « pourrait augmenter de quelques points » au-delà de 30%. Des mesures qui pourraient rapporter, d'après Le Nouvel Obs, « entre 5 et 10 milliards d'euros ».Le problème, pour Le Point, c'est que « la pression fiscale » en France est déjà « la plus élevée d'Europe ». L'hebdomadaire reconnaît pourtant qu'il faut faire des économies, « parce que sans cela, l'Etat n'aura plus beaucoup de marge de manœuvre », entre la « charge des intérêts de la dette » en hausse et le risque, pointé par un économiste cité par Le Point, d'une nouvelle dégradation de la note de la France par les agences. « Gare au crash », prévient donc Le Point, qui mentionne aussi l'inquiétude des patrons. « Depuis la dissolution, 60% des entreprises de taille intermédiaire ont choisi, précise le magazine, de suspendre tout ou partie de leurs investissements en attendant d'y voir plus clair. » L'autre mise en garde, rappelée dans tous les articles, concerne aussi la Commission européenne, qui attend, d'ici le 20 septembre, le plan budgétaire des Etats membres pour les prochaines années. La France porte déjà un bonnet d'âne, puisqu'elle est visée par une procédure de déficit excessif lancée par le Conseil européen, fin juillet.Bernard Cazeneuve, encore Premier ministre ?Bref, la classe est désordonnée, et pourtant... Le directeur de l'établissement, Emmanuel Macron, n'a pas encore désigné de nouveaux professeurs. Tous les médias s'impatientent : le président devait annoncer le nom du ou de la nouvelle cheffe du gouvernement en début de semaine... Puis peut-être d'ici vendredi... Ce sera désormais après la rentrée, « au plus tard mercredi », d'après Le Journal du Dimanche, qui remarque l'allure « détendue » d'Emmanuel Macron depuis son déplacement en Serbie ; signe, selon certains, qu'il a déjà fait son choix. Mais lequel ? « On a le sentiment que personne ne veut se mouiller », constate l'ancien ministre Clément Beaune, dans Le Point.Un nom revient pourtant avec insistance : Bernard Cazeneuve, l'ancien Premier ministre de François Hollande. L'hypothèse « divise » le Parti socialiste, titre Le Monde, et elle n'est pas validée par le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui continue de soutenir la candidature de Lucie Castets, choisie par le Nouveau Front populaire. « Pour que son arrivée à Matignon soit perçue comme une bonne nouvelle, écrit Le Monde, encore faudra-t-il que Bernard Cazeneuve puisse proposer l'abrogation de la réforme des retraites, l'augmentation du smic ou la restauration de l'impôt de solidarité sur la fortune. » Autant de « lignes rouges » listées par des opposants. « C'est un homme de qualité », reconnaît tout de même Nicolas Sarkozy, dans Le Figaro. Mais l'ancien président dit vouloir un « Premier ministre de droite ».D'autres bons élèves sont cités, comme Karim Bouamrane, « le "Barack Obama" de Saint-Ouen », titre Le Nouvel Obs, qui estime que « l'ambitieux maire socialiste, nouvelle coqueluche de la gauche anti-Mélenchon, a vu sa cote grimper en flèche » depuis les Jeux olympiques. Certains articles mentionnent aussi Didier Migaud, le président de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique : hypothèse écartée par l'une des sources du JDD. « Le président a-t-il envie d'un Premier ministre ? », se questionne finalement Laureline Dupont, dans L'Express.S'inspirer des Jeux olympiques et paralympiquesOn en vient à se demander s'il ne faudrait pas adopter, avec la classe politique, la méthode de Caroline Goldman : Le Nouvel Obs consacre sa Une à cette psychologue pour enfants et adolescents qui prône, selon le magazine, « un retour à l'autorité », et qui s'oppose à « l'éducation positive ». Une psychologue de plus en plus médiatisée mais aussi controversée, explique Le Nouvel Obs, notamment lorsqu'elle relativise l'existence des troubles neurodéveloppementaux de l'enfant (par exemple, le trouble du spectre autistique ou le trouble de l'attention).La rentrée est bien là, et seuls quelques articles et éditos nous rappellent encore que la France est portée, cet été, par la magie des Jeux olympiques et paralympiques. « Les Français souhaitent que les hommes politiques s'inspirent du respect des règles, du respect des adversaires et adoptent l'esprit d'équipe », écrit Ruth Elkrief dans Aujourd'hui en France Dimanche. « En renonçant à l'esprit partisan, les dirigeants politiques permettront aux Français de penser que la magie des JO n'aura pas été que le songe d'une nuit d'été », ajoute Bruno Jeudy dans La Tribune Dimanche. Reste à savoir s'il n'est pas trop tard pour éviter le 0 pointé.
durée : 00:20:59 - Journal de 18h - Les socialistes sont réunis à Blois pour leur université d'été alors que l'hypothèse d'une nomination de Bernard Cazeneuve comme Premier ministre agite la gauche. "Il n'y a pas de clivage au PS" affirme le patron du PS Olivier Faure mais ses opposants se font entendre.
durée : 00:20:59 - Journal de 18h - Les socialistes sont réunis à Blois pour leur université d'été alors que l'hypothèse d'une nomination de Bernard Cazeneuve comme Premier ministre agite la gauche. "Il n'y a pas de clivage au PS" affirme le patron du PS Olivier Faure mais ses opposants se font entendre.
Au menu de la deuxième heure des GG du jeudi 29 août 2024 : Bernard Cazeneuve à Matignon ; Un gouvernement d'experts plutôt que de politiques ? Faire garder ses enfants... ça coûte trop cher ? ; avec Barbara Lefebvre, professeure d'Histoire-Géographie, Etienne Liebig, éducateur, et Bruno Pomart, ex-policier du Raid.
A 10h, ce jeudi 29 août 2024, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'Histoire-Géographie, Etienne Liebig, éducateur, et Bruno Pomart, ex-policier du Raid, débattent autour des noms pressentis au poste de Premier ministre, dont celui de Bernard Cazeneuve.
C dans l'air l'invité du 3 juin - François Lecointre, ancien chef d'état-major des armées, grand chancelier de la Légion d'honneur, auteur de “Entre guerres”. François Lecointre a été chef d'état-major des armées de 2017 à 2021, après avoir servi comme chef du cabinet militaire des premiers ministres Manuel Valls, Bernard Cazeneuve et Edouard Philippe. En 1994, il a participé à l'opération "Turquoise", au Rwanda, puis est parti en Bosnie, où il a mené l'assaut pour reprendre aux Serbes le pont de Vrbanja, le dernier combat "baïonnette au canon" de l'armée française. Il vient de publier chez Gallimard "Entre guerres". Pour la première fois, l'Allemagne et les Etats-Unis ont donné leur feu vert pour que l'Ukraine frappe des cibles sur le sol russe, sous certaines conditions. Une décision qui intervient après que la Pentagone a pu démontrer que la Russie emploie des missiles balistiques nord-coréens dans sa guerre. En Parallèle, la tension monte à Taïwan alors que la Chine promet d'agir “avec détermination et force” contre l'indépendance de Taïwan. François Lecointre, ancien chef d'état-major des armées, grand chancelier de la Légion d'honneur, auteur de "Entre guerres" chez Gallimard Gallimard, reviendra sur votre parcours et les combats qui l'ont forgé.