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C dans l'air l'invité du 26 mai 2025 avec Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Ce lundi, la Cour des comptes a averti dans un nouveau rapport d'un risque de "crise de liquidité" de la Sécurité sociale en 2027, en raison du dérapage "hors de contrôle" de ses dépenses. Dans son rapport, la Cour rappelle que le déficit de la Sécurité sociale s'est creusé à 15,3 milliards d'euros en 2024 (soit 4,8 milliards d'euros de plus que la prévision initiale) et que la prévision pour 2025 prévoit un nouveau creusement à 22,1 milliards d'euros. Elle présente des pistes pour mieux maitriser les dépenses. Elle réclame de serrer la vis dans l'intérim des professions paramédicales dans les hôpitaux, dont le coût a été "multiplié par trois" entre 2019 et 2023, à 472 millions d'euros. Elle propose également de ne pas jeter à la poubelle le stock stratégique de deux milliards de masques chirurgicaux constitué après le Covid. "Le régime des pensions d'invalidité pourrait être géré avec plus de finesse", note aussi la Cour. Un rapport qui arrive alors que les chauffeurs de taxis sont actuellement mobilisés, car la Sécurité sociale souhaite réduire les remboursements de frais de taxis pour transporter les malades.Ce matin sur RTL, Pierre Moscovici, premier président de la Cour des Comptes a affirmé : "Nous avons perdu le contrôle sur nos finances publiques", parlant d'un déficit "abyssal". Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, réagira à cette alerte de la Cour des Comptes.
durée : 00:20:26 - L'invité de 8h20 - Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, était l'invité du Grand entretien de France Inter ce samedi.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:49 - L'invité franceinfo soir - Le député LFI de Seine-Saint-Denis s'est exprimé jeudi soir sur franceinfo, après l'attaque au couteau qui a fait un mort et trois blessés dans un lycée à Nantes.
Comme un air de campagne électorale ce dimanche à Paris, avec un meeting de Renaissance prévu de longue date mais aussi deux autres rassemblements qui se sont ajoutés à l'agenda politique. D'un côté celui du RN, en réaction à la condamnation de Marine Le Pen lundi. Et en réponse, une mobilisation d'une partie de la gauche. Écoutez Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Stéphane Carpentier du 04 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme un air de campagne électorale ce dimanche à Paris, avec un meeting de Renaissance prévu de longue date mais aussi deux autres rassemblements qui se sont ajoutés à l'agenda politique. D'un côté celui du RN, en réaction à la condamnation de Marine Le Pen lundi. Et en réponse, une mobilisation d'une partie de la gauche. Écoutez Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Céline Landreau et Stéphane Carpentier du 04 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des efforts à faire pour réarmer l'Europe et faire face à la menace russe mais pas de hausse d'impôt assure Emmanuel Macron. Peut-on y croire ? Comment financer l'effort de guerre ? Est-ce le retour du "quoi qu'il en coûte" ? Écoutez le sentiment de Éric Coquerel, député Insoumis et président de la Commission des finances. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 06 mars 2025.
Dans une allocution télévisée, Emmanuel Macron a évoqué la guerre en Ukraine et la sécurité européenne dans un contexte "de grande incertitude". Le président français a annoncé des "investissements supplémentaires" pour la défense. Pour le chef d'État français, "la Russie est devenue une menace pour la France", alors que les États-Unis "ont changé de position" sur la guerre en Ukraine. De son côté, Volodymyr Zelensky s'est dit prêt à "travailler sous le leadership" de Donald Trump pour "obtenir une paix durable". Les États-Unis ont "mis en pause" le partage de renseignement avec l'Ukraine après que Washington a également gelé son aide militaire. On en parle avec : Denis Strelkov, journaliste à la rédaction russe de RFI. Oxana Melnychuk, politologue ukrainienne et directrice de l'association "Unis pour l'Ukraine". Bruno Jeudy, éditorialiste politique BFMTV. Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV. Mykhaïlo Podoliak, conseiller du président Volodymyr Zelensky. Général Jean-Paul Paloméros, ancien chef d'état-major de l'Armée de l'air. Éric Coquerel, député "la France insoumise" de Seine-Saint-Denis. Bernard Guetta, spécialiste en géopolitique et eurodéputé "Renew Europe". Laura Cambaud, envoyée spéciale BFMTV à Reims (Marne). Philippe Dessertine, économiste, directeur de l'Institut de haute finance à Paris. Général Christophe Gomart, ancien directeur du renseignement militaire et député européen LR. Cédric Mas, historien militaire et spécialiste des questions de Défense. Hervé Morin, ancien ministre de la Défense (2007-2010) et président du parti "Les Centristes". Léopold Audebert, journaliste politique BFMTV à Bruxelles (Belgique). Lisa Hadef, journaliste BFMTV. Elsa Vidal, éditorialiste politique internationale BFMTV. Et Anne-Laure Banse, envoyée spéciale BFMTV à Washington D.C (Etats-Unis).
durée : 02:59:10 - Le 7/10 - Enrico Letta / Valérie Masson-Delmotte, Olivier Berné et Alain Fischer / Eric Coquerel et Alexandre Devecchio / Camélia Jordana / Styleto sont les invités de ce mercredi.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 23 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Raphaël Doan, essayiste, haut fonctionnaire.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.frLE RÉFÉRENDUM, À QUOI ÇA SERT ?Lors de son allocution à l'occasion des vœux de fin d'année, le président de la République a émis l'idée de recourir à un ou des référendums à propos de certains « sujets déterminants ». Il s'inscrit ainsi dans la lignée de ses déclarations précédentes, puisqu'il avait déjà proposé de recourir à cet outil au moment de la crise des Gilets Jaunes. L'annonce d'un potentiel recours au peuple par ce biais a suscité de nombreux commentaires, à gauche comme à droite. Le Rassemblement National défend de longue date la tenue d'un référendum sur les questions migratoires, tandis qu'une partie de la gauche souhaite que ce soit la réforme des retraites qui fasse l'objet d'une consultation. Le président (Insoumis) de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel, a quant à lui suggéré que soit organisé un « référendum révocatoire » qui remettrait en jeu le mandat du président de la République.Historiquement, la question du référendum est indissociable de la figure du général de Gaulle, dont la pratique régulière des consultations populaires s'est terminée par sa démission après l'échec de son projet de réforme régionale et du Sénat. Cette défaite, combinée au rejet en 2005 du projet de constitution européenne, ont contribué à raréfier la pratique du référendum dont la perception a également été modifiée : instrument permettant de dénouer les conflits pour les uns, il est présenté par les autres comme l'outil populiste par excellence, puisqu'il a pour fonction de faire appel directement au peuple dont la volonté serait supposément mal comprise par les élites. Ses détracteurs attaquent en outre son manichéisme et la personnalisation du pouvoir qu'il entraîne, un référendum sur une question se trouvant bien souvent assimilé à un plébiscite pour ou contre celui l'ayant proposé.Dans le climat politique français actuel, la question du gouvernement par référendum se pose avec d'autant plus d'acuité qu'Emmanuel Macron ne dispose pas de la majorité absolue à l'Assemblée. Proposer des référendums lui permettrait alors de faire passer des textes sans passer par la représentation nationale. De l'autre côté, une défaite l'exposerait à l'intensification des appels à sa démission, approfondissant un peu plus la crise politique ouverte par la dissolution de juin dernier. Cette proposition est donc loin de faire l'unanimité au sein même de la majorité présidentielle. Dans un entretien publié en 2017 dans la revue Esprit, le philosophe Bernard Manin diagnostiquait le passage d'une démocratie de partis à une démocratie du public, dans laquelle « les différents segments de la population ne se reconnaissent plus durablement dans les partis, mais peuvent se regrouper momentanément pour produire le succès ou l'échec de l'un d'entre eux ». En creux, le référendum apparaît comme un moyen d'outrepasser ces divisions en forçant une adhésion claire. Subsiste cependant le risque d'une alliance des contraires qui ferait échouer les projets présidentiels.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:11:14 - L'INVITE franceinfo soir - "Il a clairement menti devant l'Assemblée nationale, ce qui est un fait grave", estime également le président de la commission des finances et député insoumis, invité dans franceinfo soir mercredi.
durée : 00:54:45 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le député LFI pointe également la baisse des dépenses publiques dans le prochain budget du gouvernement. "C'est un budget plus austéritaire que celui du gouvernement Barnier. Il faut l'empêcher de passer, c'est la seule cohérence".
durée : 00:54:45 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le député LFI pointe également la baisse des dépenses publiques dans le prochain budget du gouvernement. "C'est un budget plus austéritaire que celui du gouvernement Barnier. Il faut l'empêcher de passer, c'est la seule cohérence".
durée : 00:17:06 - 8h30 franceinfo - Le député LFI de Seine-Saint-Denis était l'invité du "8h30 franceinfo", samedi 18 janvier 2025.
Éric Coquerel, député (LFI) de Seine-Saint-Denis, Président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 02 janvier 2025.
Éric Coquerel, député (LFI) de Seine-Saint-Denis, Président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 02 janvier 2025.
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Éric Coquerel, député LFI, n'hésite pas à critiquer Emmanuel Macron sur la gestion de la crise à Mayotte, dénonçant le manque de moyens et d'attention envers les habitants.Il attaque également la formation du nouveau gouvernement dirigé par François Bayrou, prédisant qu'il ne survivra pas à l'hiver, et pointe la politique de Macron qui, selon lui, ne reflète pas la volonté des électeurs.Éric Coquerel remet en question la dette française et appelle à s'attaquer aux cadeaux fiscaux faits aux riches plutôt qu'à l'austérité sur les services publics. Enfin, il critique Bruno Retailleau et son langage d'extrême droite. Un entretien sans concession, riche en débats politiques et économiques !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances répond aux questions de Romain Desarbres au sujet des déclarations polémiques d'Emmanuel Macron à Mayotte.
3 heures de débats où toutes les opinions sont les bienvenues. A la table des Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. Pour cette 20ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile, mêlent information et divertissement. Les Grandes gueules, le show de la liberté d'expression. Ce vendredi 13 décembre 2024, retrouvez Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis et président de la Commission des finances, Rachel-Flore Pardo, avocate, Stéphane Manigold, restaurateur, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, pour des discussions enflammées !
Aujourd'hui, c'est au tour d'Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis et président de la Commission des finances, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Troisième heure des Grandes Gueules. Le GG Set et Match bat son plein. Qui va l'emporter ? Et pour terminer, voyage au Pays des GG : Une actualité près de vous qui a fait réagir nos Grandes Gueules.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Ecoutez l'interview de Éric Coquerel, député de la Seine-Saint-Denis et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 27 novembre 2024.
Au sommaire de l'émission "Pascal Praud et vous": Le maire de Nice, Christian Estrosi, annonce qu'il va déposer plainte pour apologie du terrorisme et intelligence avec l'ennemi contre les députés de la France Insoumise, Éric Coquerel et Hugo Bernalicis, suite à leurs propos sur le terrorisme.Un débat est prévu à l'Assemblée sur le traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, avec des actions prévues par les agriculteurs.Anne Hidalgo annonce qu'elle ne se représentera pas à la mairie de Paris en 2026, désignant le sénateur PS Rémi Ferrault pour lui succéder.Des inquiétudes sont soulevées concernant les contenus inappropriés dans les programmes d'éducation sexuelle à l'école, notamment dès la maternelle.Le niveau en orthographe des élèves de CM2 est alarmant, avec 90% d'entre eux faisant plus de 15 fautes dans une dictée de 67 mots.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête": Éric Coquerel, député de la France insoumise, refuse de qualifier les islamistes d'ennemis de l'intérieur, suscitant de vives réactions.Thomas Porte, député de la France insoumise, insulte le journal Le Figaro de "torchon islamophobe" après une enquête sur les liens entre la France insoumise et les islamistes.La France insoumise souhaite abroger le délit d'apologie du terrorisme, dans un pays marqué par de nombreux attentats.Des auditeurs musulmans dénoncent l'instrumentalisation de leur communauté par la France insoumise et appellent à plus d'intégration et de respect des valeurs républicaines.Des témoignages d'urgentistes et d'infirmiers soulignent le manque de reconnaissance et de moyens pour ces professions essentielles.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Marine Le Pen assure que le RN votera la censure contre le gouvernement Barnier "si le pouvoir d'achat des Français est amputé" par le budget. Les députés du Rassemblement National pourraient, avec la gauche, faire tomber le gouvernement en décembre, lors du retour du budget à l'Assemblée nationale, si les revendications de leur parti ne sont pas entendues. Écoutez le sentiment de Éric Coquerel, député LFI de la Seine-Saint-Denis, président de la commission des finances. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 20 novembre 2024.
Marine Le Pen assure que le RN votera la censure contre le gouvernement Barnier "si le pouvoir d'achat des Français est amputé" par le budget. Les députés du Rassemblement National pourraient, avec la gauche, faire tomber le gouvernement en décembre, lors du retour du budget à l'Assemblée nationale, si les revendications de leur parti ne sont pas entendues. Écoutez le sentiment de Éric Coquerel, député LFI de la Seine-Saint-Denis, président de la commission des finances. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 20 novembre 2024.
Lors d'une intervention polémique, Éric Coquerel, député de La France Insoumise, a qualifié le fiché S Elias Simzalen, connu pour ses appels à l'intifada dans Paris, de personne "plus respectable" que le sénateur Bruno Retailleau, qu'il accuse d'utiliser un vocabulaire raciste inspiré de l'extrême droite.Elias Simzalen, une figure controversée pour ses propos antisémites et islamistes, a été récemment jugé et encourt une peine de 8 mois de prison avec sursis pour incitation au soulèvement. Sa présence, aux côtés d'Éric Coquerel et d'Ersilia Soudet, lors d'une manifestation contre un match France-Israël, a suscité de vives critiques.Cette prise de position est analysée dans le cadre de la stratégie de Jean-Luc Mélenchon, dans laquelle Éric Coquerel joue un rôle central. Certains y voient une tentative de séduire l'électorat musulman, ce qui pourrait expliquer les propos tenus par le député.Face à ces événements, de nombreux observateurs et auditeurs s'interrogent : la gauche républicaine, sociale et laïque est-elle encore en mesure de se démarquer de telles dérives ?Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Avec : Éric Coquerel, député NFP-LFI de Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
L'examen du projet de loi de finances pour 2025 débute à l'Assemblée. Écoutez l'interview de Éric Coquerel, député LFI de la 1re circonscription de Seine-Saint-Denis, président de la Commission des Finances à l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 21 octobre 2024.
L'examen du projet de loi de finances pour 2025 débute à l'Assemblée. Écoutez l'interview de Éric Coquerel, député LFI de la 1re circonscription de Seine-Saint-Denis, président de la Commission des Finances à l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 21 octobre 2024.
durée : 00:02:00 - Le vrai ou faux - En pleine négociations sur le budget 2025, le député La France insoumise Éric Coquerel affirme que les dépenses publiques dans le PIB ont baissé.
Après Éric Coquerel, déjà réélu président de la commission des finances et Aurélie Trouvé qui vient d'obtenir la présidence de la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, La France Insoumise rafle tout. Et ce grâce à la division des macronistes et de LR. Pour Ruth Elkrief, ça ne va pas être confortable pour le gouvernement. Le prix Nobel de physique 2024 a été remis ce mercredi 9 octobre à deux chercheurs (John J. Hopfield et Geoffrey E. Hinton) pour lesquels l'intelligence artificielle a joué un rôle majeur dans leurs travaux. Pionniers de l'IA, ils se sont inspirés de la physique des aimants et des gaz. Mais dans le débat actuel qu'il y a sur l'IA générative, apprenante, Pascal Perri explique pourquoi l'intelligence artificielle est bel et bien dangereuse. L'ouragan Milton, considéré comme la tempête du siècle et qui va arriver en Floride, fait déjà déchainer des fake news aux États-Unis. Comme le pays de l'Oncle Sam est en période électorale, on n'hésite pas à instrumentaliser l'actualité. Ce qui fait dire à Abnousse Shalmani "Adieu au monde réel". Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Le Grand Jury d'Eric Coquerel, Président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, député LFI de la Seine-Saint-Denis. Le projet de loi de finances sera présenté la semaine prochaine, le gouvernement prévoit 40 milliards d'euros d'économie dans les dépenses et 20 milliards d'euros de hausse d'impôts. Qui sera touché par les augmentations d'impôts, les économies ? Les discussions sur le budget risquent d'être houleuses, mais le budget, pourra-t-il être voté ? Il était interrogé par Olivier Bost (RTL), Pauline Buisson (M6), Perrine Tarneaud (Public Sénat) et Loris Boichot (Le Figaro). Ecoutez Le Grand Jury avec Olivier Bost du 06 octobre 2024.
Depuis le début de la semaine, il est allé avec le rapporteur Charles de Courson à Matignon puis à Bercy pour réclamer des documents budgétaires. Écoutez Éric Coquerel, député LFI de la 1re circonscription de Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 19 septembre 2024.
Depuis le début de la semaine, il est allé avec le rapporteur Charles de Courson à Matignon puis à Bercy pour réclamer des documents budgétaires. Écoutez Éric Coquerel, député LFI de la 1re circonscription de Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 19 septembre 2024.
C dans l'air du 18 septembre - Hausse d'impôts : ça se précise...Faut-il augmenter les impôts des plus riches ? Le gouverneur de la Banque de France lui-même le préconise face à la dégradation des comptes publics. Dans une interview accordée au Parisien-Aujourd'hui en France, François Villeroy de Galhau a appelé à "lever le tabou sur les hausses d'impôts", avec "un effort exceptionnel et raisonnable sur certaines grandes entreprises et gros contribuables" "tant qu'on n'est pas revenu sous 3 %" de déficit public. Le Premier ministre Michel Barnier lui-même a publiquement indiqué qu'il ne s'interdisait pas "une plus grande justice fiscale". Mais cette piste bouscule les rangs macronistes. Sur France 2, Gérald Darmanin a défendu "sept ans de baisse d'impôts" qui ont selon lui suscité "baisse du chômage" et "attractivité de la France". "Il ne faut absolument pas casser cette machine économique", a martelé l'ancien ministre des Comptes publics. Gabriel Attal, désormais chef des députés Ensemble pour la République, a dit non et exigé des clarifications. Il devait être reçu ce matin à Matignon avec des élus de son camp mais le rendez-vous a été annulé une demi-heure avant. Suivi d'une déclaration du Premier ministre transmise à la presse : "La situation budgétaire du pays que je découvre est très grave. J'ai demandé tous les éléments pour en apprécier l'exacte réalité. Cette situation mérite mieux que des petites phrases. Elle exige de la responsabilité." Depuis plusieurs jours, le débat sur la fiscalité fait son retour alors que les échéances budgétaires se rapprochent avec un budget 2025 à présenter début octobre, avant un examen à l'Assemblée. Avec une contrainte de taille, trouver 30 milliards d'euros pour réduire le déficit. La semaine dernière, le patron de la Cour des comptes, Pierre Moscovici avait estimé que ce le débat sur la fiscalité ne devait "pas être tabou". De son côté l'organisation de lutte contre les inégalités sociales, Oxfam, dirigée par l'ancienne ministre écologiste Cécile Duflot, plaide dans son dernier rapport pour une refonte totale du système de l'héritage qu'elle juge totalement injuste. D'après l'ONG, 0,1 % des héritiers reçoivent en moyenne 13 millions d'euros. Surtout grâce au 467 niches fiscales qui existent dans le pays, plus on est riche, moins on serait imposé sur l'héritage : 10 % de taxation pour les enfants "bien nés", contre 45 % pour le Français moyen. En globalité, Oxfam estime que ça représente un manque à gagner de 160 milliards d'euros pour l'État dans les 30 ans qui viennent.Alors que va décider le Premier ministre ? Quel budget pour 2025 ? Matignon refuse pour l'heure de transmettre des documents-clés aux députés et les relations se tendent avec le Parlement. Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel (LFI), et le rapporteur général Charles de Courson (Liot) sont «en colère» après s'être rendu hier à Matignon et aujourd'hui à Bercy, pour obtenir, en vain, les lettres-plafonds. Des documents, arrêtés depuis août mais pas rendus publics, concernant les projets du gouvernement pour l'année à venir. "On est assez sidérés (...) parce qu'on nous a refusé la consultation de ces documents", a déclaré mardi Éric Coquerel. "C 'est un droit constitutionnel qui est octroyé au président de la commission des Finances et au rapporteur général du budget, on nous l'a refusé", a-t-il ajouté.La colère monte aussi chez les viticulteurs qui ont manifesté mardi 17 septembre à Cognac. Ils dénoncent "l'inaction des pouvoirs publics", "le silence de la France et de l'Union européenne" face aux menaces de surtaxes chinoises sur les brandys européens et en particulier le cognac.Les experts :- PHILIPPE DESSERTINE - Économiste, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Dans cet épisode, nous examinons de près la question des inégalités de richesse en France. Alors qu'Éric Coquerel, président de la Commission des finances à l'Assemblée nationale, a souligné que le patrimoine des 500 plus grandes fortunes françaises représentait 42% du PIB du pays, Agnès Verdier-Molinié, notre experte économique, déconstruit cette comparaison abusive.En effet, la fortune des riches n'est pas comparable à la richesse nationale, qui est une production annuelle. De plus, une large part de l'activité des grandes entreprises françaises se fait à l'étranger. Ainsi, le patrimoine total des ménages français s'élève à plus de 14 000 milliards d'euros, soit bien plus que les 1 200 milliards détenus par les 500 plus grandes fortunes.Agnès Verdier-Molinié met également en garde contre une approche populiste qui consisterait à vouloir taxer massivement les milliardaires pour combler les déficits publics. Une telle politique risquerait en réalité de faire fuir les entrepreneurs hors de France, aggravant ainsi les problèmes économiques du pays.Notre équipe éditoriale a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:08:39 - L'invité de 7h50 - Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale Eric Coquerel réclame jeudi matin sur France Inter le détail des "lettres-plafonds", qui déterminent les budgets de chaque ministère pour 2025. - invités : Éric Coquerel, - Eric Coquerel : Homme politique
durée : 02:58:12 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Eric Coquerel, Dominique de Villepin, Jean-Claude Jitrois et Lucile Novat sont les invités du 7/10 de ce jeudi. Sans oublier le débat qui s'interrogera surl'héritage de l'Abbé Pierre.
durée : 00:08:39 - L'invité de 7h50 - Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale Eric Coquerel réclame jeudi matin sur France Inter le détail des "lettres-plafonds", qui déterminent les budgets de chaque ministère pour 2025. - invités : Éric Coquerel, - Eric Coquerel : Homme politique
durée : 00:02:11 - Le vrai ou faux - Le député LFI de Seine-Saint-Denis a fait plusieurs affirmations chiffrées dans le 8h30 de franceinfo lundi 9 septembre. Le Vrai ou Faux en a vérifié trois.
durée : 00:25:35 - 8h30 franceinfo - Le président (LFI) de la commission des finances à l'Assemblée nationale, Éric Coquerel, est l'invité du "8h30 franceinfo" du lundi 9 septembre. Il répond aux questions de Salhia Brakhlia et Jérôme Chapuis
Après 51 jours d'attente, Emmanuel Macron a enfin pris sa décision et désigné Michel Barnier comme Premier ministre. Le Président de la République le charge de "constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays". Éric Coquerel, député LFI de la Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale réagit à cette nomination. Ecoutez L'invité de Yves Calvi avec Yves Calvi du 05 septembre 2024.
Après 51 jours d'attente, Emmanuel Macron a enfin pris sa décision et désigné Michel Barnier comme Premier ministre. Le Président de la République le charge de "constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays". Éric Coquerel, député LFI de la Seine-Saint-Denis et président de la commission des finances de l'Assemblée nationale réagit à cette nomination. Ecoutez L'invité de Yves Calvi avec Yves Calvi du 05 septembre 2024.
durée : 00:14:48 - Journal de 12h30 - Au troisième jour de bataille à l'Assemblée nationale pour les postes-clés, le député insoumis Eric Coquerel maintient son poste de président de la commission des Finances. Au total, le camp présidentiel obtient six des huit présidences de commission, LFI une et le PS une dernière.
Aujourd'hui, c'est au tour d'Éric Coquerel, député LFI-NFP de Seine-Saint-Denis, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.