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L'emblématique promoteur immobilier belge Codic est sur le point d'être liquidé ou mis en faillite. L'entreprise croule sous les dettes et a obtenu l'ouverture d'une procédure de transfert afin de vendre ses actifs au plus offrant. La Banque centrale européenne (BCE) a baissé ses taux directeurs pour la huitième fois consécutive jeudi. L'inflation en zone euro continue de diminuer, mais l'activité économique bat de l'aile. Serait-ce la fin d'un cycle monétaire? MDMA, ecstasy, kétamine... La consommation et le trafic de drogues de synthèse explose en Belgique, et ce, malgré les efforts des autorités pour tenter d'endiguer le phénomène. > Votez pour Le Brief aux Belgian Podcast Awards! > Offre promo: Lisez L'Echo pendant 4 semaines pour 4 euros. Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
À l'Antichambre, Luc Bellemare, Guy Carbonneau et Vincent Damphousse discutent des séries dans la LNH et reviennent sur la défaite du Rocket de Laval!
Après 10 ans sous la houlette du Nigérian Akinwumi Adesina, la Banque africaine de développement sera, pour les cinq années à venir, dirigée par Sidi Ould Tah. « Trois heures seulement ont suffi » s'étonne Sahara Médias, à l'élire. Réaction partagée parLe Monde Afrique, surpris que « le dernier candidat à être sorti du bois » ait « finalement coiffé tous ses adversaires au poteau, » et ce en trois tours seulement. Il faut dire que le parcours de Sidi Ould Tah lui a taillé un costume sur-mesure : « docteur en économie formé entre Nouakchott et la France, » rappelle Le Point Afrique, « passé (…) par la Banque mauritanienne pour le développement et le commerce, ». Il a surtout dirigé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique pendant dix ans. Et sous sa direction, pointe Le Faso, l'institution a « financé des ports, des aéroports, participé à la construction de plus de 200 routes, (…) tout en générant une baisse des coûts de transport. » Coup de pouce des dirigeants mauritaniensSahara Médias raconte que pendant le vote, le président Mohamed Ould Ghazouani « passait plusieurs appels, » qui, croit savoir le titre, « ont joué un rôle décisif pour changer la donne. » Parmi ces contacts cruciaux, le Nigeria, qui a « changé de position de manière soudaine et décisive. » Et le résultat est là : plus de 76% des voix, contre un peu plus de 58% à l'époque pour Akinwumi Adesina. Mais attention, prévient Wakat Séra : il faut voir dans ce score élevé non pas un blanc-seing mais une « interpellation à la tâche. » La présidence de tous les défis Sur ce point, les journaux sont unanimes. D'abord, Sidi Ould Tah va devoir faire avec l'héritage de son prédécesseur. Akinwumi Adesina a, souligne Le Pays, « réalisé la plus importante augmentation de capital » de l'histoire de la BAD : ce dernier a plus que triplé en 10 ans.Plutôt donc que de s'affranchir de ce passé, le nouveau patron de la banque compte, analyse Le Monde, « s'inscrire dans la continuité des grandes priorités définies par son prédécesseur, » les ‘High Five' : électrification, accès à la nourriture, industrialisation, intégration et amélioration de la qualité de vie. Autant de points sur lesquels « les défis restent immenses », juge le quotidien.Environnement économique difficile Par rapport à 2010, la part que les pays africains consacrent à leur dette a connu « une hausse de 167% ». Et puis il y a les États-Unis et leur « désengagement progressif des mécanismes d'aide au développement », soit des centaines de millions de dollars en moins.Heureusement, se souvient Le Point Afrique, Sidi Ould Tah dispose de « relations de marque avec certains pays du Golfe » qui « pourraient l'aider à attirer de nouveaux capitaux. » Il a en tout cas quelques mois pour y penser : sa prise de fonctions est prévue le 1er septembre. Voilà qui devrait lui laisser le temps, conclut Wakat Séra, de « souffler un coup, en attendant de donner un nouveau souffle à la BAD ! » Une boisson inquiète en Côte d'IvoireElle s'appelle la Vody. Et ne vous laissez pas avoir par sa cannette au format aussi petit que ses couleurs sont éclatantes : 250ml de cette boisson contiennent « de la caféine, de la taurine, beaucoup de sucre, et 18 à 22% de vodka. » Voilà pour la recette, décortiquée par Le Monde Afrique. Et ça marche : « depuis son arrivée à Abidjan, au milieu des années 2010, retrace le quotidien, la Vody est devenue la boisson fétiche des rappeurs ivoiriens » qui la popularisent auprès des jeunes.C'est vrai, « le gouvernement ivoirien a tenté en 2023 de mettre un frein au phénomène » en interdisant l'importation de boissons énergisantes alcoolisées. Conclusion, les fabricants ont changé la recette de leurs canettes sur le marché local, « en retirant les composantes énergisantes. » Mais le taux d'alcool, lui, est le même. Or, raconte un adolescent, « le but premier a toujours été de se saouler, ». Et ce à moindre coût : une canette coûte entre 500 et 700 francs CFA, soit entre 0.75 et 1 euro. À ce prix-là, balaie l'étudiant, « si on veut l'effet énergisant, on peut se faire son cocktail soi-même. » La Vody a donc encore de beaux jours devant elle.
Après 10 ans sous la houlette du Nigérian Akinwumi Adesina, la Banque africaine de développement sera, pour les cinq années à venir, dirigée par Sidi Ould Tah. « Trois heures seulement ont suffi » s'étonne Sahara Médias, à l'élire. Réaction partagée parLe Monde Afrique, surpris que « le dernier candidat à être sorti du bois » ait « finalement coiffé tous ses adversaires au poteau, » et ce en trois tours seulement. Il faut dire que le parcours de Sidi Ould Tah lui a taillé un costume sur-mesure : « docteur en économie formé entre Nouakchott et la France, » rappelle Le Point Afrique, « passé (…) par la Banque mauritanienne pour le développement et le commerce, ». Il a surtout dirigé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique pendant dix ans. Et sous sa direction, pointe Le Faso, l'institution a « financé des ports, des aéroports, participé à la construction de plus de 200 routes, (…) tout en générant une baisse des coûts de transport. » Coup de pouce des dirigeants mauritaniensSahara Médias raconte que pendant le vote, le président Mohamed Ould Ghazouani « passait plusieurs appels, » qui, croit savoir le titre, « ont joué un rôle décisif pour changer la donne. » Parmi ces contacts cruciaux, le Nigeria, qui a « changé de position de manière soudaine et décisive. » Et le résultat est là : plus de 76% des voix, contre un peu plus de 58% à l'époque pour Akinwumi Adesina. Mais attention, prévient Wakat Séra : il faut voir dans ce score élevé non pas un blanc-seing mais une « interpellation à la tâche. » La présidence de tous les défis Sur ce point, les journaux sont unanimes. D'abord, Sidi Ould Tah va devoir faire avec l'héritage de son prédécesseur. Akinwumi Adesina a, souligne Le Pays, « réalisé la plus importante augmentation de capital » de l'histoire de la BAD : ce dernier a plus que triplé en 10 ans.Plutôt donc que de s'affranchir de ce passé, le nouveau patron de la banque compte, analyse Le Monde, « s'inscrire dans la continuité des grandes priorités définies par son prédécesseur, » les ‘High Five' : électrification, accès à la nourriture, industrialisation, intégration et amélioration de la qualité de vie. Autant de points sur lesquels « les défis restent immenses », juge le quotidien.Environnement économique difficile Par rapport à 2010, la part que les pays africains consacrent à leur dette a connu « une hausse de 167% ». Et puis il y a les États-Unis et leur « désengagement progressif des mécanismes d'aide au développement », soit des centaines de millions de dollars en moins.Heureusement, se souvient Le Point Afrique, Sidi Ould Tah dispose de « relations de marque avec certains pays du Golfe » qui « pourraient l'aider à attirer de nouveaux capitaux. » Il a en tout cas quelques mois pour y penser : sa prise de fonctions est prévue le 1er septembre. Voilà qui devrait lui laisser le temps, conclut Wakat Séra, de « souffler un coup, en attendant de donner un nouveau souffle à la BAD ! » Une boisson inquiète en Côte d'IvoireElle s'appelle la Vody. Et ne vous laissez pas avoir par sa cannette au format aussi petit que ses couleurs sont éclatantes : 250ml de cette boisson contiennent « de la caféine, de la taurine, beaucoup de sucre, et 18 à 22% de vodka. » Voilà pour la recette, décortiquée par Le Monde Afrique. Et ça marche : « depuis son arrivée à Abidjan, au milieu des années 2010, retrace le quotidien, la Vody est devenue la boisson fétiche des rappeurs ivoiriens » qui la popularisent auprès des jeunes.C'est vrai, « le gouvernement ivoirien a tenté en 2023 de mettre un frein au phénomène » en interdisant l'importation de boissons énergisantes alcoolisées. Conclusion, les fabricants ont changé la recette de leurs canettes sur le marché local, « en retirant les composantes énergisantes. » Mais le taux d'alcool, lui, est le même. Or, raconte un adolescent, « le but premier a toujours été de se saouler, ». Et ce à moindre coût : une canette coûte entre 500 et 700 francs CFA, soit entre 0.75 et 1 euro. À ce prix-là, balaie l'étudiant, « si on veut l'effet énergisant, on peut se faire son cocktail soi-même. » La Vody a donc encore de beaux jours devant elle.
La Banque africaine de développement mobilise des dizaines de milliards de dollars dans les infrastructures, l'agriculture, l'industrialisation de l'Afrique, mais pour quels changements dans votre vie quotidienne ? Quels avancées et retards constatez-vous dans votre pays en matière de développement ? À quelques heures de l'élection du nouveau président de la BAD, Juan Gomez et ses invités répondent à vos questions sur l'action et le fonctionnement de l'institution financière. Émission enregistrée à Abidjan.Invités: Hassatou Diop N'Sele, vice-présidente finance et Chief Financial Officer (CFO) – Groupe de la Banque africaine de développement. Alain Ebobissé, PDG d'Africa 50, plateforme africaine d'investissement dans les infrastructures.
La Banque africaine de développement mobilise des dizaines de milliards de dollars dans les infrastructures, l'agriculture, l'industrialisation de l'Afrique, mais pour quels changements dans votre vie quotidienne ? Quels avancées et retards constatez-vous dans votre pays en matière de développement ? À quelques heures de l'élection du nouveau président de la BAD, Juan Gomez et ses invités répondent à vos questions sur l'action et le fonctionnement de l'institution financière. Émission enregistrée à Abidjan.Invités : Hassatou Diop N'Sele, vice-présidente finance et Chief Financial Officer (CFO) – Groupe de la Banque africaine de développement Alain Ebobissé, PDG d'Africa 50, plateforme africaine d'investissement dans les infrastructures
0 pétrole, 0 gaz, 0 charbon : voici le “compte le plus vert de France”.Pas une promesse marketing, mais un acte fondateur pour transformer la banque – de l'intérieur.Maeva Courtois, cofondatrice d'Helios, raconte comment elle a choisi de réinventer la banque pour que chaque euro déposé serve à financer la transition écologique – et rien d'autre.Passée par des fonds d'investissement classiques, elle réalise très vite que la finance durable reste une option marginale, rarement prioritaire. Alors elle décide d'en faire sa priorité absolue.Chez Helios, pas de greenwashing. Énergies renouvelables, agriculture durable, mobilité verte : l'argent suit des lignes rouges, claires, visibles, assumées.Mais changer la banque ne se fait pas en hackant un produit.C'est une lutte quotidienne dans un secteur ultra régulé, opaque, parfois même hostile. Il faut négocier des agréments, composer avec la Banque de France, convaincre des assureurs, rassurer des régulateurs, tout en gardant intacte la vision d'origine.
Les 81 membres de la Banque africaine de développement sont réunis ce jeudi à huis clos en Côte d'Ivoire pour désigner le successeur d'Akinwumi Adesina. Un scrutin crucial pour l'avenir économique du continent, dans un contexte de pressions budgétaires et de retrait américain.
L'Invité Afrique est la Sud-Africaine Bajabulile Swazi Tshabalala. Ancienne vice-présidente de la Banque africaine de développement en charge des finances, elle fait partie des cinq candidats à la présidence de la BAD qui seront départagés le 29 mai, pour succéder au Nigérian Akinwumi Adesina. Elle répond aux questions de Claire Fages. RFI : Vous avez passé une grande partie de votre carrière dans le secteur privé. Est-ce un avantage par rapport aux autres candidats à la présidence de la Banque africaine de développement?Bajabulile Swazi Tshabalala : J'ai passé une bonne partie de ma carrière dans le secteur privé – même si j'ai également travaillé dans des entreprises publiques en Afrique du Sud, dans une société de logistique et que j'ai passé six ans à la Banque africaine de développement. Et je pense qu'aujourd'hui c'est un avantage parce que nous devons repenser le financement du développement en Afrique et nous assurer que nous pouvons faire appel au secteur privé. Je pense que cela me donne un avantage.En tant qu'ancienne vice-présidente chargée des finances de la BAD, votre action sera-t-elle en phase avec les deux mandats d'Akinwumi Adesina ?J'ai participé à la rédaction de la dernière stratégie de la banque. Et ma vision s'appuie vraiment sur cette stratégie décennale. J'ai donc toujours affirmé que l'Afrique n'avait pas besoin de nouveaux plans mais de concrétiser ces plans. Et c'est vraiment sur cela que se concentre ma vision, que j'appelle Lift Africa.À la fin de son premier mandat, M. Adesina a été critiqué pour sa gouvernance. La banque doit-elle encore progresser sur ce point ?Toutes les organisations doivent examiner leur gouvernance pour voir où elles peuvent l'améliorer. C'est particulièrement important pour attirer le secteur privé et s'assurer qu'il soit un partenaire à long terme de la BAD pour financer le développement de l'Afrique.Dans votre programme, vous insistez sur le manque d'infrastructures du continent. Est-ce actuellement la plus grande faiblesse des économies africaines ?Les emplois ne sont pas créés par les banques de développement mais par le secteur privé. Ce dernier a besoin d'une électricité fiable. Pour accéder aux marchés, il a besoin de routes, de voies ferrées, de ports et de connexions numériques. Ce sont les défis de l'Afrique et c'est pourquoi les infrastructures sont le fondement d'une accélération de son développement.Avez-vous des projets prioritaires à l'esprit ?Oui. Je pense évidemment que l'accès à l'électricité est extrêmement important. Je ferai en sorte d'accélérer les choses. Il y a aussi de grands projets sur la table dont il faut finaliser le financement. Par exemple, le corridor minéralier de Lobito, reliant la Zambie, la RDC et l'Angola ; le corridor de Nacala en Afrique australe. Il y a aussi la route Lagos-Abidjan, qui est un projet important.L'un des défis de la BAD est sa capacité à prêter plus d'argent. Vous avez contribué à augmenter son capital en émettant de la dette assimilée à du capital. Cette opération peut-elle être répétée ou existe-t-il d'autres solutions ?Là encore, c'est un exemple de la contribution du secteur privé aux banques de développement. J'ai introduit cet instrument à la BAD pour nous permettre de lever des capitaux à long terme, ce qui est indispensable au développement. Il s'agissait de lever des capitaux à long terme auprès d'investisseurs institutionnels du monde entier, plutôt que de solliciter comme d'habitude nos actionnaires. Donc oui, je pense que nous pouvons émettre plus de capital hybride. Il existe également d'autres instruments que nous pouvons déployer, y compris utiliser le capital de la banque pour dé-risquer les investissements du secteur privé.La décision des États-Unis de ne pas contribuer au Fonds africain de développement dédié aux États les plus fragiles est-elle une source d'inquiétude pour la BAD ?Oui bien sûr, parce que ce type de subventions reste crucial. La Banque africaine de développement continuera donc à plaider en faveur de ces financements, tout en travaillant par exemple avec les fondations philanthropiques : Bill Gates a annoncé qu'il déploierait 200 milliards de dollars au cours des 20 prochaines années pour aider les Etats fragiles du continent. Nous devons aussi examiner les autres régions en mesure de contribuer davantage pour pallier ce manque, et aider en particulier les pays fragiles.
Crise japonaise : les marchés obligataires en alerte rouge ! Le Japon n'arrive plus à vendre sa dette à long terme, avec des taux qui explosent à des niveaux historiques. Découvrez pourquoi cette crise est gravissime tant pour l'économie japonaise (250% dette/PIB) que pour les marchés mondiaux. La Banque du Japon se retrouve piégée : intervenir ou laisser le marché s'effondrer ? Dans cette vidéo, j'analyse l'impact potentiel sur les taux mondiaux, le yen, et comment protéger votre portefeuille face à ce séisme financier qui pourrait bien contaminer toutes les économies.Xavier FENAUX Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fumée blanche au-dessus de l'Arizona. Le gouvernement fédéral s'est accordé cette nuit sur une seconde lecture du texte de loi-programme, encadrant les premières réformes importantes de la législature. Il s'agissait notamment d'intégrer au texte les remarques du Conseil d'État. Une importante levée de fonds est en préparation chez Aerospacelab. Mais, pour le moment, la société spatiale wallonne boucle un nouveau tour de table de 20 millions d'euros, qui la valorise à près de 500 millions. À quoi sert l'opération? On vous en dit plus dans ce podcast. À la suite de la délocalisation de certains services administratifs, plus d'emplois que prévus seront supprimés chez ArcelorMittal en Belgique. Les syndicats avancent aujourd'hui le chiffre de 190 postes, voire plus, qui disparaîtraient chez le sidérurgiste. La Banque nationale de Belgique salue la solidité de nos banques et de nos assurances, qui ont su maintenir leur rentabilité l'année dernière. Mais certains points restent à surveiller, comme la fragilité de l'immobilier commercial. La BNB recommande également de ne pas déréguler le secteur face aux menaces du président américain Donald Trump. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
En pleine incertitude liée à la guerre commerciale sino-américaine, Pékin tente de soutenir son économie par des mesures de relance monétaire. La Banque centrale chinoise a une nouvelle fois abaissé deux de ses taux d'intérêt, alors que l'activité industrielle affiche une croissance contrastée. Décryptage. La Chine donne un coup de pouce à son économie. Ce mardi, la Banque centrale a de nouveau abaissé deux de ses taux d'intérêt clés. Une décision qui intervient dans un contexte économique tendu, marqué par les tensions commerciales persistantes avec les États-Unis. Pourtant, malgré cette conjoncture incertaine, l'économie chinoise montre une certaine résilience. En avril, la production industrielle a progressé de 6,1 % par rapport à l'année précédente. Un chiffre encourageant, mais qui masque un ralentissement: la croissance industrielle est moins vigoureuse que les mois précédents. Ce sont principalement les secteurs de haute technologie – robots industriels, véhicules électriques et équipements d'impression 3D – qui soutiennent cette dynamique.À lire aussiNégociations commerciales: la Chine et les États-Unis font état de «progrès» avant un communiqué communCommerce extérieur en repli, malgré une trêve fragileCette vigueur industrielle contraste cependant avec la mauvaise performance du commerce extérieur. Le mois dernier, les exportations vers les États-Unis ont chuté de 21 %. Une baisse qui a poussé les industriels chinois à se réorienter vers l'Asie du Sud-Est, pour contourner les droits de douane imposés par l'administration Trump. Mais récemment, un changement de cap s'est opéré : les deux pays ont convenu d'une trêve commerciale de 90 jours. Les droits de douane ont été réduits, bien qu'ils restent élevés : 40 % pour les produits chinois entrant aux États-Unis, et environ 25 % pour les exportations américaines vers la Chine. Une accalmie temporaire donc, qui a poussé les importateurs américains à stocker massivement des biens chinois, soutenant artificiellement la production au moins jusqu'en juin.Une consommation intérieure en berneMalgré ces signaux, des faiblesses structurelles persistent. Le principal point noir: la consommation des ménages chinois reste faible, alors qu'elle constitue un moteur essentiel de la croissance. Pour 2025, les autorités visent une croissance de 5 %, un objectif ambitieux dans un contexte incertain. C'est dans cette optique que la Banque centrale a décidé d'abaisser ses taux directeurs, espérant stimuler la demande intérieure. Ces mesures de relance pourraient soutenir l'économie à court terme. Mais la dynamique reste conditionnée à la résolution durable de la guerre commerciale entre Pékin et Washington.À lire aussiLes dernières mesures chinoises vont-elles suffire à relancer l'économie?
Dans “La France bouge”, Elisabeth Assayag fait le tour de France des initiatives positives et novatrices. Travail, éducation, santé… Ils œuvrent aux quatre coins du pays pour faire bouger les lignes et casser les codes : qui sont ces citoyens, ces entreprises, ces collectivités qui s'engagent et inventent le monde de demain ? Des portraits et des témoignages inspirants.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:03 - Le brief éco - Le groupe se réorganise et vient de dévoiler un plan de sauvegarde de l'emploi aux représentants du personnel touchant 348 personnes.
Tu postes des témoignages… mais ça ne vend pas ?Tu sais que ton travail transforme, mais de l'extérieur, on ne le voit pas vraiment ?Alors cet épisode va tout changer.Tu vas comprendre pourquoi certains témoignages ne déclenchent rien et comment structurer ta réputation pour qu'elle devienne une machine à conversion.Dedans, tu vas découvrir :Pourquoi un bon témoignage ne suffit pas s'il est isolé ou mal exploitéComment mettre en place une banque de réputation : un système qui stocke, classe et active tes preuves au bon momentLe process exact pour capter les vraies victoires, les rendre visibles… et les transformer en ventes premiumComment structurer ton programme pour créer une culture de célébration qui alimente ta réputation à l'infiniCe n'est pas un épisode “bonus”.C'est la clé pour vendre en continu sans devoir te justifier, t'épuiser ou publier non-stop.Mais attention : l'enregistrement expire mercredi à minuit.Après ça, il ne sera plus disponible.
La Banque mondiale et le Fonds monétaire international se réunissent toute la semaine à Washington pour leurs sessions de printemps, l'occasion de parler du financement de la transition énergétique. La pollution de notre environnement entraîne sécheresses et cyclones, elle a donc un coût, il s'agirait donc de faire payer les pollueurs : le transport maritime ou l'aviation, par exemple, sont les premiers visés. Facile à dire, plus difficile à appliquer. C'est pour y arriver qu'un groupe de travail a été créé, il y a deux ans. Alors, faire payer les pollueurs, mission impossible ou solution réaliste ? Avec nos invités : - Anna Creti, professeure d'Économie à l'Université Paris Dauphine, directrice scientifique de la Chaire Économie du Gaz Naturel et de la Chaire Économie du Climat- Pascal Saint-Amans, associé chez Brunswick Group et professeur de Politique fiscale à HEC. Expert dans le groupe de travail sur les prélèvements solidaires mondiaux (Global Solidarity Levies Task Force).
Les Réunions de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale commence ce lundi à Washington. Durant cet événement notamment, les acteurs de l'économie de tous les pays se réunissent pour parler de l'état de l'économie mondiale. Sans surprise, cette édition va être marquée par la politique commerciale de Donald Trump. Décryptage. Depuis son retour à la Maison Blanche il y a moins de 100 jours, c'était le 20 janvier, Donald Trump a relancé la guerre commerciale contre pratiquement tous les pays du globe. On le rappelle, tous les produits qui entrent aux États-Unis sont taxés à hauteur de 10%. Cela monte jusqu'à 145% sur certaines importations chinoises. Pékin ne s'est pas fait attendre pour répondre avec une taxation de 125% sur les produits américains. Bref, cette escalade entre les deux premières économies mondiales a des conséquences pour la planète toute entière, ce qui inquiète et le Fonds monétaire international, et la Banque mondiale. Croissance mondiale affectée La directrice générale du FMI l'explique elle-même mais elle reste modérée. Kristalina Georgieva estime aujourd'hui que l'incertitude sur les politiques commerciales mondiales est "hors norme”. Selon plusieurs études du FMI justement, le taux effectif moyen des droits de douane américains atteint désormais environ 20%. Et les conséquences sont très concrètes. Par exemple. le dollar s'affaiblit alors qu'il est perçu comme une valeur refuge. Et puis la croissance américaine en souffre. D'après le Peterson Institute, elle devrait tomber à 0,1% cette année. C'est loin de ce qui était envisagé il y a encore quelques semaines, à savoir 2,5%. Une tendance qui va irrémédiablement avoir un impact sur la croissance mondiale. À lire aussiLe coût des mesures douanières de Donald Trump à l'échelle mondialeToujours d'après la directrice du FMI, il faut se préparer à revoir sa copie car l'institution financière prévoit désormais une révision à la baisse des perspectives économiques mondiales. Le rapport devrait justement être publié cette semaine. Si en janvier, avant l'investiture de Donald Trump, la croissance mondiale pour 2025-2026 était estimée à 3,3%, elle devrait diminuer. Ce chiffre semble aujourd'hui optimiste voire irréaliste car la croissance de la planète aurait dû être stimulée par celle des États-Unis. Or, on l'a dit, elle devrait être pratiquement atone. Un multilatéralisme mis à mal Ce n'est presque plus à prouver, Donald Trump a une vision assez personnelle du multilatéralisme. Le problème, c'est que les États-Unis sont les premiers actionnaires du FMI. Le pays est aussi essentiel dans le fonctionnement de la Banque mondiale puisqu'il y est représenté via 17% des capitaux de l'institution. Et lorsque l'administration Trump remet en cause son rôle dans l'activité de ces deux instances, c'est en effet tout un pan de l'économie mondiale qui est en sursis. À lire aussiSur la piste d'une machine à café pour comprendre les effets des taxes douanières de TrumpL'aide au développement est un secteur très affecté. D'après l'OCDE, elle a diminué de 7% l'an passé. Cette année, elle devrait encore baisser, entre -9 et -17%. Concrètement ce sont des dizaines de milliards d'euros en moins. Les patrons du FMI et de la Banque mondiale appellent ainsi à des réformes profondes de l'économie, plus équilibrée, plus résiliente, avec une priorité: continuer à dialoguer avec toutes les parties, même les États-Unis. Mais pour échanger, il faut être deux, et Donald Trump ne compte visiblement pas faire partie de la discussion.
Dans cet épisode de Voix de la Finance, je vous invite à découvrir le parcours inspirant de Maya Atig, Directrice générale de la Fédération bancaire française. Diplômée de l'ENSAE et de l'ENA, Maya Atig a débuté sa carrière à la Direction générale du Trésor, où elle a acquis une expertise approfondie du secteur bancaire et financier. Elle a ensuite occupé des postes clés, notamment en tant que Directrice générale adjointe de l'Agence France Trésor, avant de rejoindre la Fédération nationale du Crédit Agricole. Depuis 2020, elle dirige la FBF, représentant les banques françaises et étrangères opérant en France. Au cours de notre échange, Maya partage sa vision du secteur bancaire, son engagement en faveur de la parité et de la diversité, ainsi que son approche du leadership dans un environnement en constante évolution. Cet entretien offre une perspective unique sur les défis et les opportunités du secteur financier, à travers le regard d'une femme qui a su allier expertise technique et engagement humain. Merci, Maya. Voix de la FinanceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:03 - Journal de 18h - En pleine guerre commerciale avec les Etats-Unis, face à "l'imprévisible", la Banque centrale européenne abaisse ses taux directeurs pour soutenir l'économie européenne. C'est la septième baisse de la BCE depuis juin dernier.
durée : 00:20:03 - Journal de 18h - En pleine guerre commerciale avec les Etats-Unis, face à "l'imprévisible", la Banque centrale européenne abaisse ses taux directeurs pour soutenir l'économie européenne. C'est la septième baisse de la BCE depuis juin dernier.
Écoutez Michèle Boisvert commenter la décision de la Banque du Canada au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Écoutez Michèle Boisvert commenter cette situation au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
C'est une rumeur qui revient régulièrement sur les réseaux sociaux : certains billets de 50 euros ne seraient pas acceptés en Espagne. De quoi s'agit-il exactement ? Est-ce une réalité… ou une idée reçue ?Commençons par un point fondamental : l'euro est une monnaie unique. Un billet de 50 euros imprimé en Allemagne, en France ou en Espagne a la même valeur légale dans toute la zone euro. En théorie, tous les billets en euros sont valables dans tous les pays membres. Alors pourquoi cette confusion ?Tout part de la lettre imprimée sur les billets, située au début du numéro de série. Cette lettre indique le pays émetteur, c'est-à-dire le pays responsable de l'impression du billet. Par exemple, « X » pour l'Allemagne, « U » pour la France, « M » pour le Portugal, ou encore « V » pour l'Espagne.Certains commerçants espagnols, dans de rares cas, ont été signalés pour refuser des billets portant une lettre différente de « V », celle correspondant à l'Espagne. Pourquoi ? Par méfiance, parfois par ignorance, ou encore à cause de fausses rumeurs de contrefaçon. Ces refus n'ont aucun fondement légal. Ils sont en réalité illégaux, car tous les billets émis par la Banque centrale européenne ont cours légal dans toute la zone euro.La Banque d'Espagne, tout comme la Banque centrale européenne, a déjà communiqué plusieurs fois sur ce sujet pour rappeler que les billets sont tous valables, quelle que soit la lettre inscrite. Le refus d'un billet en euros pour cette raison peut même être signalé aux autorités.Il faut également savoir que les billets sont fabriqués dans plusieurs imprimeries européennes, et que les pays membres se partagent la production. Il est donc tout à fait normal de retrouver en Espagne un billet « U » imprimé en France ou un billet « X » venu d'Allemagne. Cela fait partie de la logique de la zone euro.Alors, faut-il s'inquiéter si un commerçant refuse votre billet de 50 euros en Espagne ? Non, pas vraiment. Ce genre de situation reste très marginal. Mais si cela vous arrive, sachez que vous êtes dans votre droit. Tous les billets en euros, qu'ils aient été imprimés à Madrid, Paris ou Berlin, ont la même valeur et doivent être acceptés partout dans la zone euro.Bref, ne vous laissez pas berner par les rumeurs : vos billets voyagent librement, comme vous, en Europe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui c'est un moment particulier, celui de l'épisode 100 du podcast, j'ai moi-même du mal à réaliser que plus de 100 personnes sont passées derrière mes micros, c'est aussi le jour de mes 42 ans et l'occasion de partager avec vous la suite de mes aventures professionnelles.Alors, une fois n'est pas coutume, je suis passée derrière le micro, régulièrement on m'interroge sur mon parcours, la naissance de La Boussole et mes projets.. cet épisode 100 et son timing incroyable m'ont convaincue de le faire et c'est ma sœur, Amélie, qui m'a interviewée.. le résultat c'est 1h10 pour vous partager, mon parcours, mes choix, comment le podcast m'a permis de rebondir après un moment de doute, la façon dont j'ai compris qu'être sur scène, poser des questions pour mettre les autres en lumière sont les moteurs de ma vie, mon départ de CIC Nord Ouest et la bienveillance qui l'a entouré. Je profite de ces quelques mots d'introduction pour remercier Jean-Louis Basquin, Virginie Mouro et Pierre Salzman, d'avoir rendu cette nouvelle étape possible !Dans cet épisode il est question de liberté, de faire des choix parfois difficiles, d'oser rêver, de la maternité, de la force que mes enfants me transmettent et de la façon dont le regard d'autres que soi, sur son travail permet de comprendre sa puissance et sa valeur.Maintenant c'est parti pour la vie d'entrepreneure en étant très bien accompagnée par Entrepreneurs dans la ville afin de faire grandir mon projet. Evidemment je partagerai avec vous son avancée, les victoires et les moments de doute. Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast indépendant, n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous !Il est temps que je laisse la place à cette conversation douce et lumineuse que j'ai eu la joie d'enregistrer avec Amélie.Bonne écoute ! Mes recommandations :Intimité d'Alice FerneyBimbo d'Edie BlanchardPleine et douce de Camille Froidevaux-MetterieLes seins, en quête d'une libération de Camille Froidevaux-MetterieSynthétique et toxique de Chien fou édité chez La fourmi éditions Les personnes que j'aurais très envie de recevoir dans le podcast :Martine AubryCamille Pailleau et Diego Delbecq fondateurs du Restaurant RozoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump va-t-il faire échouer le projet africain du Lobito ? C'est en tout cas une question puisque l'USAID, l'aide américaine au développement, est désormais annulée. Le prédécesseur de Donald Trump, Joe Biden, s'était rendu lui-même en Angola l'an dernier pour encourager la construction de ces 1 300 km de voies ferrées. Le Lobito est un long corridor qui traverse trois pays d'Afrique centrale. Spécialiste du Lobito, le chercheur Alex Stonor revient tout juste de la région. RFI : Le Lobito est-il menacé par la nouvelle administration au pouvoir ? Alex Stonor : Une partie de l'USAID (l'aide américaine au développement) servait au projet Lobito pour des études environnementales. L'annulation de ces enveloppes porte un coup dur, c'est vrai. Mais je dirais que l'Amérique a tellement besoin des ressources africaines que le Lobito va exister, d'une façon ou d'une autre. Que disent les dirigeants des pays concernés ? Le président angolais a parlé. Il a dit qu'avec ou sans l'aide de l'USAID, le Lobito ira de l'avant.Quelles sont les autres sources de financement ? La Banque africaine de développement, les pays du G7 et l'aide de l'Europe est importante. Je pense aussi que les Américains reviendront peut-être sur leurs positions avec d'autres moyens pour appuyer ce corridor dont ils ont tant besoin.Vous dites également que le Lobito permet aux Américains de rivaliser avec la Chine en Afrique, donc qu'ils ne vont pas se désengager facilement.Parfaitement. La Chine a déjà une longueur d'avance sur les États-Unis. En Afrique centrale, notamment en République Démocratique du Congo, la majorité des minerais sont aujourd'hui exportés vers l'est de l'Afrique. Les ports de la côte permettent de rejoindre l'océan Indien vers la Chine. Un réseau ferré de 1 300 km entre trois pays – Zambie, République Démocratique du Congo et Angola – qui les relie en direction opposée de leurs rivaux. Vers l'Amérique et le Canada, donc la côte ouest de l'Afrique ? Vous revenez de la région, vous avez vu les travaux ?Ils avancent, oui. Au final, ce seront des tronçons qui se rejoindront. Il y aura plusieurs embranchements, ce ne seront pas des rails en continu. Mais en Angola par exemple, il n'y a pas besoin de tout construire. Une bonne partie existe déjà, détruite pendant la guerre des années 1970 qui sera réaménagée. À quoi se destine le Lobito ? On parle de 50 trains par jour à terme sur ce réseau. Les trains serviront à l'exportation du cuivre, du cobalt ? Oui, les ressources des trois pays concernés, Angola, RDC et Zambie. Parmi les chargements, on trouve le cobalt, le cuivre, le lithium. Quelques tronçons servent déjà. Ce sont des projets pilotes qui désenclavent la RDC et la Zambie en leur donnant accès à la mer. Je crois que le Lobito est le premier pas d'une politique plus agressive des pays occidentaux face à la Chine sur le continent africain. D'autant plus que l'Europe et l'Amérique vont avoir besoin de toujours plus de minerai pour leurs véhicules électriques, les puces des grands calculateurs, d'appareils ordinateurs et téléphoniques. Oui, c'est pour cela que certains habitants et associations crient à une nouvelle version du pillage des ressources de l'Afrique. Puisque le Lobito fera exactement ce que les Chinois font, exporter les minerais africains chez eux.Pour raffiner ces minerais ? C'est-à-dire les transformer dans des usines chinoises en Asie ? Oui, en Afrique, malheureusement, il y a la matière première qui n'est pas chère, mais pas d'usine de raffinage. En tout cas, il y en a quelques-unes, mais trop peu. Le produit une fois raffiné, celui-là gagne en valeur. Il faudrait qu'il y en ait beaucoup plus…Ce serait la seule façon d'apporter la richesse avec des emplois locaux ? Oui, à condition de demander une direction locale africaine. La semaine dernière, j'étais sur place et j'ai visité plusieurs usines chinoises d'extraction de minerai. De la bouteille d'eau aux mouchoirs en papier et au personnel ouvrier, tout est chinois.Mais je crois que les pays impliqués dans le Lobito en sont conscients. Les présidents des trois pays ont commencé à dire qu'il faut un réseau gagnant-gagnant. Des minerais exportés vers les États-Unis et des produits agricoles ou marchandises importés en Afrique.En réalité, il faudrait que les pays africains arrivent à mieux négocier avec les puissances finançant le Lobito pour arriver à une industrie de raffinage. Ce serait producteur de plus de richesses locales, avec des emplois pour les jeunes. À lire aussiWashington avait proposé d'étendre le couloir de Lobito à l'est de la RDC, comme «incitation» à un accord de paixÀ lire aussiVisite de Joe Biden en Angola: le corridor de Lobito au centre des enjeux
L'invité de 7h50. Ce jeudi, Martin Buxant reçoit Philippe Ledent. Chief Economist de la banque ING, Philippe Ledent analyse avec nohs l'impact des mesures économiques et fiscales annoncées par les États-Unis.
Une banque centrale est une institution financière, le plus souvent publique, en charge d'un ensemble de missions dont les plus courantes sont l'émission de la monnaie, la conduite de la politique monétaire et la supervision des paiements. Il existe une banque centrale en France, c'est la Banque de France. En Allemagne, il y a la Bundesbank et tous les pays européens ont une banque centrale. Par conséquent, pourquoi, en plus, une Banque Centrale Européenne ? Pourquoi avoir créé cette BCE en 1998 ? quelles sont ses missions de cette institution située à Francfort et présidée actuellement par Madame Christine Lagarde ? Ce podcast est également l'occasion aussi de comprendre comment fonctionne la politique monétaire et de savoir comment on peut la rejoindre. Pour répondre à toutes ces questions, Frédéric Visnovsky, vous êtes à la Banque de France, à la fois Secrétaire général adjoint de l'ACPR (qui est l'autorité au sein de la Banque de France qui contrôle les banques et les assurances) et, en même temps, vous être Médiateur national du crédit. Vous avez fait toute votre carrière au sein de la Banque de France, vous avez donc connu la création de la Banque Centrale Européenne et merci de venir nous éclairer sur le rôle de cette institution européenne.
Dix années après sa création cette « néo-banque » comme on appelle ces nouveaux acteurs qui offrent leurs services en ligne et qui n'ont pas d'agence, ce petit Revolut commence à être très grand Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À quelques semaines de la fin du calendrier régulier, le défenseur des Canadiens, Lane Hutson, a de très bonnes chances de remporter le trophée Calder, remis à la meilleure recrue de la LNH. En compagnie de Mario Langlois, l'animateur de Bonsoir les sportifs - qui fait un retour! - et du balado Sortie de zone, Jérémie Rainville, l'ancien instructeur des gardiens et analyste sportif au 98.5 Sports Stéphane Waite et le spécialiste de la LHJMQ au Réseau des sports et descripteur des matchs du Rocket de Laval Stéphane Leroux, discutent de l’immense talent du jeune espoir de 21 ans! Selon eux, Hutson pourrait devenir le plus grand salarié de l’équipe et il fera sauter la banque à coup sûr dans les prochaines saisons! Avec moins de 80 matchs de saison régulière derrière la cravate, l’un de nos panélistes croit même que Hutson est déjà une plus grande vedette que P.K. Subban à Montréal! Stéphane Leroux donne également les détails concernant les options réalistes sur l’avenir du gardien Jacob Fowler dans l’organisation du tricolore. Pourrait-il imiter Ryan Leonard avec les Capitals, et Gabriel Perreault avec les Rangers, et signer son contrat d’entrée dans la LNH? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
L'essentiel des (vraies) nouvelles le 1er avril 2025---Trouvez la meilleure carte de crédit pour vos besoins et votre style de vie, grâce au comparateur de cartes d'InfoBref à https://bit.ly/comparer-cartes-credit ---François Legault veut accélérer les projets miniers Mark Carney a présenté un plan pour augmenter le nombre de logements abordables Pierre Poilievre veut créer un «corridor énergétique» Karl Blackburn se lance dans la course à la chefferie du Parti libéral du Québec La Banque centrale européenne soutient que l'Europe doit «entamer une marche vers l'indépendance» Northvolt licencie deux tiers de ses employésCGI se prépare à acheter une multinationale françaiseLes actions technologiques américaines ont écopé au dernier trimestreAmazon présente à son tour un modèle d'IA qui automatise certaines tâches L'entreprise américaine OpenAI a annoncé qu'elle avait clôturé un tour de financement de 40 milliards $US.--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la publicité-commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Monsieur Martin de la banque Martin lance le livret B, mieux que le livret A : ça sent la magouille
Monsieur Martin de la banque Martin lance le livret B, mieux que le livret A : ça sent la magouille
durée : 00:01:06 - L'école supérieure de la banque organise un job dating le 2 avril en Dordogne - L'ESBanque vous donne rendez-vous pour un job dating le 2 avril 2025 à Boulazac en partenariat avec les écoles de la CCI Dordogne.
Aujourd’hui dans le BOOST ! : Pépère Brown invite les plus GRANDS artistes à St-Herménégilde Qu’est-ce que tu payes dans le vide ? «Melting Pat» : L’équivalent de la rivalité Canadiens-Nordiques… du ROCK ! Bonne écoute :)
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
La France possède l'un des plus grands stocks d'or au monde, avec environ 2 436 tonnes de métal précieux conservées dans un lieu emblématique : la Souterraine, une salle blindée située sous la Banque de France, en plein cœur de Paris. Ce « Fort Knox français », caché sous le siège de l'institution rue Croix-des-Petits-Champs, protège l'un des trésors nationaux les plus impressionnants, évalué à plusieurs dizaines de milliards d'euros selon le cours de l'or.Mais pourquoi l'État conserve-t-il un tel magot ? Loin d'être un simple reliquat du passé, cet or joue encore un rôle crucial dans la stabilité économique du pays.Une réserve stratégiqueL'or de la Banque de France sert avant tout de garantie de la solidité financière du pays. Autrefois utilisé comme étalon pour garantir la valeur de la monnaie, il constitue aujourd'hui une réserve de confiance pour les marchés financiers et les institutions internationales. En cas de crise économique majeure, ce stock pourrait être mobilisé pour soutenir la monnaie nationale ou garantir des emprunts.Depuis les années 2000, plusieurs pays, notamment la Chine et la Russie, ont augmenté leurs réserves d'or, témoignant d'un regain d'intérêt pour ce métal en tant qu'actif refuge. Contrairement aux devises qui peuvent perdre de la valeur sous l'effet de l'inflation, l'or conserve une valeur intrinsèque sur le long terme.Une gestion active du stockSi la France ne vend plus son or depuis 2009, elle le gère activement. La Banque de France le prête régulièrement sur les marchés financiers, notamment pour des opérations de refinancement entre banques centrales. Ces prêts génèrent des revenus, contribuant ainsi au financement de l'économie.En 2021, la Banque de France a annoncé vouloir renforcer la place de Paris comme centre de négoce de l'or, en développant notamment des opérations de swaps et de refinancement autour du métal précieux. Cette stratégie vise à optimiser la rentabilité de cette réserve tout en garantissant sa pérennité.Un trésor intouchable ?Si l'idée de vendre une partie de ce stock pour financer des dépenses publiques revient régulièrement dans le débat politique, la Banque de France reste prudente. L'or représente un filet de sécurité ultime, un atout que l'État préfère conserver pour faire face aux incertitudes économiques à venir.Ainsi, bien à l'abri sous Paris, ce magot continue de jouer un rôle discret mais essentiel dans la stratégie financière de la France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Finscale est aussi en vidéo sur Youtube : https://www.youtube.com/@finscale. Dans cet épisode, Solenne s'entretient avec François de Kerret, co-fondateur de Zephy, une plateforme dédiée à la collecte de fonds pour les associations. Cet entrepreneur résolument optimiste aborde les enjeux de la fraude dans le secteur des paiements et les leçons apprises au fil du temps. Il explique les méthodes de prévention mises en place par la start-up et mentionne des fraudes vécues, notamment celle du double remboursement. Il est également question méthodes de paiement alternatives et l'évolution du paysage des paiements aux US. François partage également ses réflexions sur la scalabilité de leur modèle aux États-Unis et les prochaines étapes pour Zeffy, notamment l'expansion en Amérique Latine et l'amélioration des services pour les associations.Chapitres00:00 Introduction à Zephy et à son fondateur03:10 Le parcours de François et la création de Zephy06:11 Le modèle économique de Zephy et ses innovations09:04 Les défis d'adoption pour les associations11:58 La gestion des fraudes et des risques15:12 Anecdotes sur la fraude et le processus de récupération20:27 Gestion de la fraude et prévention22:32 Comparaison de la fraude entre les États-Unis et l'Europe24:01 Fraudes et défis dans les paiements26:15 Déploiement et scalabilité aux États-Unis27:04 Méthodes de paiement alternatives29:07 Évolution du paysage des paiements31:00 Stratégies de croissance et d'expansion35:12 Prochaines étapes et vision future
Finscale est aussi en vidéo sur Youtube : https://www.youtube.com/@finscale. Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec François de Kerret de Zeffy.
La Banque de France a annoncé, mardi 21 janvier, que la fraude aux moyens de paiement est en baisse au premier semestre 2024. Des résultats encourageants.
durée : 00:59:18 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Dans le cadre de notre série "Portraits d'économistes", nous recevons Agnès Bénassy-Quéré, ancienne chef économiste du Trésor et sous-gouverneure de la Banque de France depuis 2023. De la crise de l'euro au plan de relance en 2020, elle nous parle de son parcours de patrinicienne de l'économie. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Agnès Bénassy-Quéré économiste, sous-gouverneure à la Banque de France
Dans cet épisode de Paris Central, nous parlons du transfert tant attendu de Khvicha Kvaratskhelia au PSG. Après un été difficile avec le refus de Naples et de son président De Laurentiis, le PSG a finalement obtenu l'accord pour signer Kvaratskhelia lors de ce mercato hivernal pour 70 millions d'euros plus bonus. Nous discutons également de l'impact de cette arrivée sur l'équipe de Luis Enrique et de la manière dont Kvaratskhelia pourrait transformer l'attaque parisienne. Restez avec nous pour une analyse complète de ce transfert majeur et des nouvelles dynamiques du PSG. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #152 Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion. ** Pour découvrir la formation pour devenir décorateur d'intérieur de MMI Déco, rendez-vous sur https://bit.ly/oser-mmideco ** Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Naomi, ancienne analyste de crédit à la Société générale qui s'est reconvertie pour devenir décoratrice d'intérieur grâce à la formation de MMI Déco et Nathalie, directrice pédagogique de MMI Déco, elle-même décoratrice d'intérieur reconvertie après avoir travaillé en marketing. Après le Bac, Naomi se dirige vers le secteur bancaire car elle aime le contact humain, a envie de stabilité et d'un métier rémunérateur. Elle gravit les échelons rapidement et ne se pose pas de questions pendant 19 ans jusqu'à la fermeture du département où elle travaille qui lui fait tout remettre en question. Naomi fait alors un bilan de compétences et s'autorise enfin à rêver d'une nouvelle vie professionnelle. Naomi vient de terminer la formation de décoratrice d'intérieur à MMI Déco, centre de formation reconnu par l'Etat spécialisé dans la décoration et l'architecture d'intérieur depuis 2007. Une formation de 3 mois en présentiel à Paris, Bordeaux, Lille, Rennes, Lyon ou de 6 mois en distanciel. Dans cet épisode, Nathalie, directrice pédagogique de MMI Déco, nous présente également la formation, les financements possibles, les débouchés et les multiples facettes du métier de décorateur d'intérieur. Une discussion à trois donc pour parler de reconversion, de quitter le monde du salariat, d'oser se donner une seconde chance professionnelle, des détours de la vie, mais aussi de moodboard, de décoration et de tendance d'ameublement! Notes & Références : - Formation Décorateur d'intérieur MMI Déco : https://bit.ly/oser-mmideco - Contacter MMI Déco : https://bit.ly/4g3rJeb - Instagram de Naomi @nj_decoratriceinterieur : https://www.instagram.com/nj_decoratriceinterieur/ Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
** Pour découvrir la formation pour devenir décorateur d'intérieur de MMI Déco, rendez-vous sur https://bit.ly/oser-mmideco ** Pour écouter l'épisode en entier, tapez #152 Naomi disponible le 13 Janvier.
Agnès Verdier-Molinié décrypte les enjeux politiques et économiques autour de l'adoption d'une loi spéciale pour 2025, en l'absence d'une véritable loi de finances.Après la censure de Michel Barnier, les oppositions tentent de modifier le barème de l'impôt sur le revenu pour éviter d'augmenter la note d'impôt des contribuables. Cependant, ces amendements sont jugés irrecevables, poussant les oppositions à proposer un nouveau texte avec diverses dispositions économiques et sociales. Ce texte a peu de chances d'être adopté, car il vise à contourner la loi de finances.Agnès Verdier-Molinié s'inquiète de cette situation, soulignant que l'absence de loi de finances pourrait avoir de graves conséquences pour les finances publiques françaises, risquant un "open bar" qui ferait exploser la dette. Elle insiste sur l'urgence d'adopter un budget en bonne et due forme pour éviter une dérive financière.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Quel scénario pour l'économie en 2025 ? Le gouverneur de la Banque de France, qui a été reçu par François Bayrou samedi, livre ses prévisions et appelle de ses vœux une stabilité politique. François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 17 décembre 2024.
La Banque Islamique utilise « al moudharaba » qui est licite selon la Charia, mais l'argent des banques a des origines en partie licite et illicite d'autre part. Dans ce ca, quelle est la position de l'Islam sur cela ?
« Pourquoi n'as-tu pas mis mon argent à la banque ? » (Lc 19, 11-28)Méditation par le Père Nicolas de BoccardChant final : "Prière du matin" par le père Huet Hervé