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Summary In this episode, Andy talks with John Krewson, co-author of Pitch, Sketch, Launch: A Sketch Comedy Approach to Product Development. John's journey spans software development, acting, and even a stint with Saturday Night Live. He now leads Sketch Development, where he helps teams build products people actually want, faster and with more joy. In this conversation, John explains why project teams should behave more like creative troupes than traditional org charts. You'll hear how laughter can be a feedback loop, why messy first drafts matter, and how simple tools like sticky notes, Elmo cards, and Lean Coffee can radically improve your team's collaboration. We also explore how sketch comedy's "test before polish" approach can transform how we ship ideas, and what that looks like on real-world teams. From unblocking meetings to unleashing creativity, this episode is packed with practical tools and paradigm shifts. If you're looking to bring more energy, experimentation, and feedback into your team's workflow, this episode is for you! Sound Bites "The best ideas often start as bad ones. The magic is in iteration." "You're not building a product. You're testing a hypothesis in the real world." "Sketch comedy taught me this: if the audience isn't laughing, it doesn't work. Product teams need that same feedback mindset." "You can't argue with the emotion of a dead silent audience when you think you've got gold." "We often equate busy with productive. But they're not the same thing." "A meeting isn't productive just because everyone showed up. Did it move ideas forward?" "Troupes thrive on trust and feedback. Traditional teams often operate on fear and approval." "I was a mediocre software developer, which made me well-suited for management." "You are sucking the fun out of this. We are building software here. We get to play on computers. Let's make this fun." "There's this ruthless search for feedback that we learn how not to take things personally." "Nowhere in that iron triangle does anybody talk about whether or not the customer said, 'I needed that thing in the first place.'" "We're not just cross-functional. We're cross-committed. That's what makes a team operate like a troupe." "If you're building something new, you need a mechanism to decide if it's valuable. And if it isn't, you toss it." "The law of averages will tell you: 80% of the ideas need to be tossed." Chapters 00:00 Introduction 01:46 Start of Interview 01:57 Career Backstory 07:30 Acting Skills in Daily Work 12:00 Busy vs Productive 14:07 Project vs Product 17:20 Teams as Troupes 22:13 Meeting Tools and Techniques 27:37 Laugh Testability 33:35 Creative Mindsets at Work 35:21 Co-Authoring and Collaboration 38:00 Applying Ideas at Home 40:33 End of Interview 41:05 Andy Comments After the Interview 44:13 Outtakes Learn More You can learn more about John and the book at SketchDev.io/pitch-sketch-launch. For more learning on this topic, check out: Episode 316 with Jennifer Aaker and Naomi Bagdonas. It's a conversation on humor as a secret weapon in business and life. Episode 109 with Peter McGraw. It's also about humor, a fun follow-up, even though John's book isn't just about comedy. Episode 469 with Phil Wilson. It's packed with great ideas for unleashing your team, which ties in beautifully with John's approach. Pass the PMP Exam This Year If you or someone you know is thinking about getting PMP certified, we've put together a helpful guide called The 5 Best Resources to Help You Pass the PMP Exam on Your First Try. We've helped thousands of people earn their certification, and we'd love to help you, too. It's totally free, and it's a great way to get a head start. Just go to 5BestResources.PeopleAndProjectsPodcast.com to grab your copy. I'd love to help you get your PMP this year! Join Us for LEAD52 I know you want to be a more confident leader. That's why you listen to this podcast. LEAD52 is a global community of people like you who are committed to transforming their ability to lead and deliver. It's 52 weeks of leadership learning, delivered right to your inbox, taking less than 5 minutes a week. And it's all for free. Learn more and sign up at GetLEAD52.com. Thanks! Level Up Your AI Skills Join other listeners from around the world who are taking our AI Made Simple course to prepare for an AI-infused future. Just go to ai.PeopleAndProjectsPodcast.com. Thanks! Thank you for joining me for this episode of The People and Projects Podcast! Talent Triangle: Power Skills Topics: Creativity, Feedback Loops, Team Collaboration, Agile Thinking, Innovation, Leadership, Project Management, Development, Meetings, Humor, Iteration, Trust, Team Culture, Psychological Safety, Growth Mindset The following music was used for this episode: Music: Tuesday by Sascha Ende License (CC BY 4.0): https://filmmusic.io/standard-license Music: Brooklyn Nights by Tim Kulig License (CC BY 4.0): https://filmmusic.io/standard-license
durée : 00:05:40 - La Revue de presse internationale - par : Estelle Kammerer - Vendredi, plus de 300 enfants ont été kidnappés dans une école de l'Etat de Niger, au Nigeria. Les médias parlent de l'un des plus grands enlèvements de masse du pays, ravivant les souvenirs de Chibok en 2014. Boko Haram avait enlevé 276 jeunes filles.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Intervention de Lionel Rondouin le samedi 5 avril 2025 à La Maison de la Chimie. XIIe colloque de l'Institut Iliade : Penser le travail de demain. Identité, communauté, puissance. Notre société a dévalorisé l'image des agents économiques primaires : ingénieurs, ouvriers, paysans. Elle les a appauvris. Cela découle du mirage de la « société de services », des délocalisations et de l'accaparement du bénéfice des entreprises qu'on appelle « création de valeur pour l'actionnaire ». Une économie de rente s'est développée sans création de richesse réelle, au profit de la technostructure qui, de surcroît, multiplie les normes pour entretenir un semblant d'activité économique. Or cette économie des normes, des jobs et des produits inutiles est entrée dans une crise durable. C'est l'une des causes de la faible croissance des économies européennes et du recours à la dette publique. Il s'ensuit une perte d'autonomie et de souveraineté des nations occidentales. Ce sont les dirigeants qui ont désindustrialisé la France, réduit l'autonomie agricole du pays, appauvri les producteurs. Ce n'est pas une loi de nature. Ce que l'homme a fait, l'homme peut le défaire. Une action politique est donc possible, par la redéfinition du périmètre d'action et des modes de fonctionnement de l'État, redevenu à la fois minimal et stratège. Mais cette action politique présuppose une prise de conscience culturelle de l'ensemble des acteurs économiques, dont les consommateurs, autour des notions d'utilité, de durabilité et de sobriété. Face à l'essoufflement de notre système, le retour à la souveraineté et à la puissance se fondera sur une priorité : la production de biens et services réels et utiles, à proximité des lieux de consommation, avec un partage plus équitable de la valeur au profit des producteurs. Lionel Rondouin, ancien élève de l'École normale supérieure (rue d'Ulm, Lettre), a fait carrière dans l'Armée de terre, au sein des parachutistes des Troupes de marine, puis dans l'industrie. Il a enseigné dans diverses écoles de management ou d'ingénieurs. Aujourd'hui, il enseigne l'anglais dans un collège hors-contrat, à titre bénévole.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ponctualité au travail : la Fonction publique rappelle ses troupes à l'ordre by TOPFM MAURITIUS
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
durée : 00:05:41 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - En octobre, les troupes russes ont pris 461 kmk2 aux Ukrainiens. Elles ont notamment gagné du terrain à l'Est, dans la ville-clé de Pokrovsk, essentielle pour l'approvisionnement des soldats ukrainiens. Moscou veut conquérir toute la région du Donbass où se trouve Pokrovsk.
Alors que la Russie peut potentiellement compter sur une réserve active de deux millions de soldats, pour éviter la mobilisation très impopulaire. L'Ukraine est face à un problème insoluble... celle d'une démocratie qui rechigne à enrôler de force... pour l'instant, pas question d'abaisser l'âge de la mobilisation au-dessous de 25 ans, le gouvernement a même assoupli la loi martiale et permis aux hommes de 18 à 22 ans de traverser la frontière librement. Résultat : Berlin a vu le nombre d'arrivées de jeunes hommes en provenance de Kiev bondir depuis fin août 2025. Dans l'est de l'Ukraine, près du front, Anastasia Becchio a rencontré des divisions en manque de soldats. Le débat autour du service militaire en Allemagne Et alors que l'ensemble de l'Europe se réarme pour faire face à la menace russe et au désengagement américain, la question du service militaire n'est plus un tabou. En Allemagne, il doit être réintroduit dès le premier janvier prochain, mais sous quelle forme ? C'est toute la question, Delphine Nerbollier. En Irlande du Nord, la désillusion après le procès du Bloody Sunday C'est un procès emblématique qui s'est terminé en fin de semaine dernière, en Irlande du Nord, à Belfast. Celui d'un soldat britannique, le soldat F, qui comparaissait 53 ans après les faits pour avoir tiré sur la foule des manifestants, lors du tristement célèbre Bloody Sunday. Accusé de deux meurtres, il a finalement été acquitté, faute de preuve. Dans une région meurtrie par la guerre civile, la mort de 14 militants pacifistes abattus par les parachutistes, le 30 janvier 1972, à Londonderry, reste une blessure. Dans cette ville que les Irlandais appellent Derry, Clémence Pénard a pu rencontrer les familles des victimes qui ne se faisaient de toute façon guère d'illusion. Les enquêtes autour des «affaires» de l'homme politique belge Didier Reynders. La chronique de la revue d'investigation Medor Un homme politique belge central, Didier Reynders, ancien ministre des Finances pendant dix ans, puis ministre des Affaires étrangères et enfin commissaire européen à la Justice, est aujourd'hui accusé de blanchiment d'argent. 700 000 euros sont en jeu. On en parle avec Philippe Engels, journaliste à la revue d'investigation belge Medor.
Alors que la Russie peut potentiellement compter sur une réserve active de deux millions de soldats, pour éviter la mobilisation très impopulaire. L'Ukraine est face à un problème insoluble... celle d'une démocratie qui rechigne à enrôler de force... pour l'instant, pas question d'abaisser l'âge de la mobilisation au-dessous de 25 ans, le gouvernement a même assoupli la loi martiale et permis aux hommes de 18 à 22 ans de traverser la frontière librement. Résultat : Berlin a vu le nombre d'arrivées de jeunes hommes en provenance de Kiev bondir depuis fin août 2025. Dans l'est de l'Ukraine, près du front, Anastasia Becchio a rencontré des divisions en manque de soldats. Le débat autour du service militaire en Allemagne Et alors que l'ensemble de l'Europe se réarme pour faire face à la menace russe et au désengagement américain, la question du service militaire n'est plus un tabou. En Allemagne, il doit être réintroduit dès le premier janvier prochain, mais sous quelle forme ? C'est toute la question, Delphine Nerbollier. En Irlande du Nord, la désillusion après le procès du Bloody Sunday C'est un procès emblématique qui s'est terminé en fin de semaine dernière, en Irlande du Nord, à Belfast. Celui d'un soldat britannique, le soldat F, qui comparaissait 53 ans après les faits pour avoir tiré sur la foule des manifestants, lors du tristement célèbre Bloody Sunday. Accusé de deux meurtres, il a finalement été acquitté, faute de preuve. Dans une région meurtrie par la guerre civile, la mort de 14 militants pacifistes abattus par les parachutistes, le 30 janvier 1972, à Londonderry, reste une blessure. Dans cette ville que les Irlandais appellent Derry, Clémence Pénard a pu rencontrer les familles des victimes qui ne se faisaient de toute façon guère d'illusion. Les enquêtes autour des «affaires» de l'homme politique belge Didier Reynders. La chronique de la revue d'investigation Medor Un homme politique belge central, Didier Reynders, ancien ministre des Finances pendant dix ans, puis ministre des Affaires étrangères et enfin commissaire européen à la Justice, est aujourd'hui accusé de blanchiment d'argent. 700 000 euros sont en jeu. On en parle avec Philippe Engels, journaliste à la revue d'investigation belge Medor.
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
C'est au son de la musique de la chanson du film Rocky que François Legault a fait son entrée au congrès de la CAQ hier après-midi à Gatineau. C'est un chef combatif qui s'est adressé à ses troupes dans son discours de clôture du congrès.
Des bruits de bottes, de chars et d'avions aux frontières de l'OTAN à partir d'aujourd'hui. Alors ce n'est pas la guerre, ce sont des exercices militaires russes. Les sapades, ça veut dire ouest en slab et ils se déroulent en Biélorussie dans un contexte forcément de tensions extrêmes avec l'OTAN et l'Europe.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Gauthier le Bret, journaliste politique CNews - Catherine Nay, éditorialiste politique Europe 1 - Louis de Raguennel,journaliste politique Europe 1 - Louis Gautier, ancien secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Eric Naulleau, journaliste et écrivain Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque soir, Julie Hammett vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir. Ce jeudi 4 septembre, Troupes au sol : l'Europe prête à défier Poutine ?
Le Kremlin se déclare défavorable à l'envoi de troupes européennes en Ukraine en cas d'accord de paix. La conscription se rapproche en Allemagne. Une unité secrète de l'armée israélienne pourchasserait les journalistes palestiniens. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ukraine: le Canada a fourni une aide de près de 22 milliards de dollars depuis le début de l’invasion. Entrevue avec Éric Sauvé, ancien officier des Forces canadiennes et consultant en sécurité et défense (propriétaire Innovigo) Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Donald Trump tente-t-il stratégiquement de renverser la table ou est-il en train de tomber dans le piège de Vladimir Poutine ? Sommes-nous en train d'assister à un renversement total des alliances internationales ? À l'entrée dans une ère “Trumpo-Poutinienne” où deux leaders forts décident entre eux de l'avenir du monde ? Dans ce moment inédit, que peuvent encore les Européens pour soutenir l'Ukraine et assurer leur propre sécurité ?▶︎ Laure MANDEVILLE Grand reporter au Figaro, ancienne correspondante àWashington (2009-2016)▶︎ Michel GOYA Ancien colonel des Troupes de marine, historien, essayiste▶︎ Veronika DORMAN Journaliste à Libération, еx-correspondante à Moscou▶︎ Jean-François COLOSIMO Historien, documentariste, essayiste, éditeur, auteur de « Occident, ennemi mondial n°1 » aux éditions Albin Michel (02.04.24)▶︎ Anne-Lorraine BUJON Directrice de la rédaction de Revue Esprit, conseillère du programme Amériques du Nord à l'IFRI (Institut français des relations internationales)▶︎ Claude GUIBAL Grand reporter à la Rédaction Internationale de Radio France
Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.
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Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Peer de Jong, ancien colonel des troupes de marine et vice-président de l'Institut Themiis spécialisé dans les questions de paix et de sécurité pour évoquer notamment la défense israélienne face à la menace nucléaire de la République Islamique d'Iran.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Peer de Jong, ancien colonel des troupes de marine et vice-président de l'Institut Themiis spécialisé dans les questions de paix et de sécurité. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 10/06/2025 Trump envoie les troupes en Californie : une fuite en avant autoritaire ?Dans la dernière ligne droite de la course à la présidentielle, en novembre 2024, Donald Trump avait affirmé que “deux ennemis” menaçaient les États-Unis : “Nous avons l'ennemi de l'extérieur et nous avons l'ennemi de l'intérieur. Et l'ennemi de l'intérieur, à mon avis, est plus dangereux que la Chine, la Russie et tous ces pays.” Cet “ennemi” est pour lui incarné par l'immigré clandestin et le militant de gauche. Depuis le 6 juin, à Los Angeles, mégalopole où réside une importante communauté hispanique, des habitants tentent de s'interposer face aux arrestations musclées d'immigrés menées par la police fédérale de l'immigration (ICE). Face aux heurts qui s'ensuivent, Donald Trump ordonne le déploiement de 2 000 membres de la Garde nationale pour contenir les manifestations, contre l'avis du gouverneur démocrate de l'État, Gavin Newsom. Le 9 juin, il décrète l'envoi de 2 000 réservistes supplémentaires et de 700 marines (l'unité d'élite américaine) alors même que les manifestations sont visiblement cantonnées dans le centre-ville de Los Angeles. L'opposition démocrate dénonce un abus de pouvoir du président qui a fait de la lutte contre l'immigration un point clé de sa politique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Ce mercredi 28 mai, l'intensification des activités militaires de la Russie le long de la ligne de démarcation avec la Finlande, qui est déjà sur pied de guerre, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:13 - Le brief politique - Sur TF1 mardi soir, le président n'a pas fermé la porte à une candidature de sa part quand il aura de nouveau la possibilité de se représenter.
durée : 00:02:24 - Le brief politique - Une semaine décisive pour l'exécutif. Après Emmanuel Macron sur TF1, c'est le Premier ministre qui sera scruté, mercredi, auditionné par la commission d'enquête parlementaire qui est née de l'affaire de violences physiques et sexuelles au sein de l'institution religieuse de sa région.
Un mois après sa condamnation à une peine d'inéligibilité, Marine Le Pen, accompagnée de Jordan Bardella, s'est rendue à Narbonne réaffirmer ses ambitions présidentielles devant les militants du Rassemblement National. A Paris, Jean-Luc Mélenchon s'est adressé aux militants de La France Insoumise, tandis que les dirigeants de la gauche, Olivier Faure, Marine Tondelier et François Ruffin, avaient choisi Dunkerque pour une Fête du Travail aux côtés des ouvriers de l'usine ArcelorMittal.
Le conseiller principal de Donald Trump pour l'Afrique, Massad Boulos, a fait le point sur sa récente tournée sur le continent qui l'a conduit en RDC, au Rwanda, en Ouganda et au Kenya. Lors d'une conférence de presse, il a notamment réitérer la position américaine sur le conflit qui déchire l'est congolais et évoquer les discussions sur un accord minier entre Kinshasa et Washington.
Le 29 mars 1973, le président des États-Unis Richard Nixon annonçait la fin du retrait des troupes américaines encore présentes au Vietnam. Un événement qui aura aussi des répercussions profondes sur la politique internationale et la perception du pouvoir américain dans le monde.
durée : 00:02:16 - Le brief politique - Des députés macronistes, Ensemble pour la République, accusent leur chef de délaisser le groupe, sauf quand il s'agit de défendre ses intérêts.
Le rédacteur en chef du magazine "The Atlantic", Jeffrey Goldberg, a révélé dans un article publié lundi 24 mars avoir été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel de hauts responsables américains consacré à des frappes contre les rebelles houthistes au Yémen. La Maison Blanche a assuré qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Écoutez l'analyse de Peer de Jong, ancien colonel des troupes de Marine. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le rédacteur en chef du magazine "The Atlantic", Jeffrey Goldberg, a révélé dans un article publié lundi 24 mars avoir été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel de hauts responsables américains consacré à des frappes contre les rebelles houthistes au Yémen. La Maison Blanche a assuré qu'aucune information confidentielle n'avait été dévoilée. Écoutez l'analyse de Peer de Jong, ancien colonel des troupes de Marine. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Éléonore Lemaire et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:04 - Le brief politique - Il faudra encore attendre pour connaître le projet du patron d'Horizons pour le pays. Le désengagement des États-Unis en pleine guerre en Ukraine percute le programme de son deuxième congrès interrégional prévu dimanche à Lille.
Longtemps, cette idée a paru incongrue, dangereuse, inconsidérée… Et pourtant, l'idée d'envoyer des troupes européennes en Ukraine fait son chemin, portée par les deux puissances nucléaires du continent, la France et le Royaume-Uni.La paix, qui se négocie pour l'instant entre Donald Trump et Vladimir Poutine, pourrait passer par la présence de soldats européens dans les plaines d'Ukraine. Washington estime que Moscou ne serait pas opposée à l'idée, Moscou réfute fermement.Jeudi soir, lors de la visite du Premier ministre britannique Keir Starmer à la Maison Blanche, le Républicain a déclaré qu'il souhaitait toutefois un accord de cessez-le-feu avant de parler de forces de maintien de la paix.Mais des soldats en Ukraine pour quoi faire ? Sous quel mandat ? Combien de militaires ? Qu'est-ce qu'une "garantie de sécurité" ?Dans cet épisode, Sur le Fil tente de répondre à ces questions.Réalisation : Maxime MametInvités : Marie Dumoulin, ancienne diplomate et directrice du programme "Europe élargie" du Conseil européen des relations étrangères (ECFR) et Olivier Sueur, chercheur associé à l'Institut d'études de géopolitique appliquéeSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En République démocratique du Congo, les forces ougandaises ont renforcé leur présence. Déployées dans l'est du pays depuis plusieurs années, de nouvelles troupes sont arrivées sur le territoire congolais. L'objectif selon les autorités, est de renforcer les opérations contre les rebelles ADF, groupe affilié à l'organisation Etat islamique.
A 10h, ce mercredi 19 février 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Etienne Liebig, éducateur, et Antoine Diers, consultant, débattent de : Ukraine, la France doit-elle envoyer des troupes au sol ?
durée : 00:20:17 - Journal de 12h30 - Face au désengagement américain en Ukraine, Emmanuel Macon évoque l'envoi de troupes françaises sur place. Une éventualité déjà évoquée par la France dans le passé mais cette fois les choses cette fois se précisent.
durée : 00:14:51 - Journal de 7 h - L'un est pour, l'autre est contre, Donald Trump pense que c'est une bonne chose mais dans la presse ce matin Emmanuel Macron s'y oppose.
durée : 00:55:20 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Jean-Rémi Baudot et Aurélie Herbemont.
Au Tchad, après 65 ans de présence quasi continue, c'est au plus tard dans deux semaines, le 31 janvier 2025, que les troupes françaises doivent partir. Pourquoi le président tchadien Mahamat Idriss Déby a-t-il pris cette décision surprise le 28 novembre dernier ? La guerre civile au Soudan voisin est-elle l'une des causes de la brouille entre Ndjamena et Paris ? Hoinathy Remadji est chercheur principal et spécialiste du bassin du lac Tchad et de l'Afrique centrale pour l'Institut d'études de sécurité. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier, en s'exprimant d'abord sur les affrontements qui ont fait vingt morts le 8 janvier à Ndjamena. RFI : Une semaine après, est-ce qu'on en sait un peu plus sur l'attaque du palais présidentiel de Ndjamena le 8 janvier dernier ?Hoinathy Remadji : On n'en sait pas plus. Sauf que cette attaque a été menée par une vingtaine de jeunes. Une sorte de commando de fortune qui, contre toute attente, a pu pénétrer dans les prémices de la présidence avant d'être neutralisé.Est-ce que ce n'était pas suicidaire ?Évidemment, c'est très suicidaire pour un groupe de jeunes, pas très entrainés du tout et sans moyens militaires, de débarquer et d'essayer ainsi de prendre d'assaut la présidence. Totalement suicidaire.« Ces jeunes pieds nickelés venaient des quartiers pauvres du sud de Ndjamena », a précisé le porte-parole du gouvernement. Qu'est-ce que signifie cette petite phrase ?Le gouvernement va même plus loin en disant notamment, le ministre, « qu'il connaît leur ethnie d'origine mais qu'il ne voudrait pas en parler ». Mais dans le contexte tchadien, de telles allégations sont relativement problématiques parce que les quartiers de la ville de Ndjamena ont une géographie et une anthropologie propres. Donc indexer ainsi tout un quartier, il y a derrière en fait des risques de stigmatisation qui pourraient poser des problèmes.Est-ce qu'il y a eu des arrestations ?De source officielle, il n'y a pas encore eu d'arrestation. La rumeur enfle cependant autour de l'arrestation d'un général. Mais en l'absence de toute communication officielle, je pense qu'on en reste pour le moment à des conjectures.Alors, en toile de fond de tous ces événements, il y a un fait historique… C'est, d'ici la fin de ce mois de janvier, le départ de tous les militaires français du Tchad. Avec le recul, quelle est à votre avis, la raison principale pour laquelle le président Mahamat Idriss Déby a pris cette décision le 28 novembre dernier ?Le premier élément, c'est d'abord que le souverainisme actuellement comme argument politique est dans l'air du temps. Et le Tchad n'est pas le premier pays qui fait ce choix, il y en a beaucoup d'autres dans le Sahel notamment, c'est la première chose. Deuxièmement, il peut y avoir la question de l'engagement supposé ou faux du Tchad dans le conflit soudanais, dans un rôle qui ne siérait pas justement aux acteurs qui voudraient contribuer à la résolution de ce problème-là, notamment la France. Donc, il y a à voir certainement des différents éléments d'achoppement, peut-être déjà dans les relations entre le Tchad et la France, qui se seraient cristallisés avec des discussions lors du passage du ministre français des Affaires étrangères à Ndjamena.Alors, vous l'avez dit, l'une des causes des frictions entre Ndjamena et Paris, c'est le soupçon des Français que le Tchad laisse transiter sur son territoire l'aide militaire des Émirats arabes unis aux rebelles soudanais du général Hemetti. Est-ce que cet éventuel appui aux Forces de soutien rapide pourrait être un vrai choix stratégique de la part du Tchad dans le conflit soudanais ?Il est important de rappeler que ce soutien, donc supposé, est d'abord très fortement soupçonné par le pouvoir soudanais, qui dit aujourd'hui disposer des éléments de preuves de ce qui se passe à la frontière tchadienne. Et malgré les démentis du Tchad, le Soudan continue à insister. Et aujourd'hui que le Tchad se retrouve éventuellement à prendre parti dans ce conflit, je pense que stratégiquement, c'est un risque pour le Tchad, parce que, quelle que soit l'issue du conflit au Soudan, il y aura des impacts le long de la frontière et, dans une certaine manière, sur l'est du Tchad en matière humanitaire, de sécurité, mais aussi économique.Un risque qui serait encore plus important si demain les rebelles des Forces de soutien rapide (FSR) perdaient la bataille au Soudan ?Éventuellement, parce que si Hemetti venait à perdre la guerre face aux forces dirigées par le général al-Burhan, cela va d'abord aggraver l'instabilité de cette longue frontière par une dispersion des milices se battant contre les FSR, donc notamment les milices zaghawa, qui, parce que alliées à al-Burhan, verraient leurs positions renforcées.À l'occasion de la fête de l'indépendance du Soudan, le 1ᵉʳ janvier dernier, le président tchadien a félicité son homologue soudanais, le général Abdel Fattah al-Burhan, malgré tous les reproches que celui-ci lui fait. Est-ce que c'est le signe que le Tchad cherche peut-être à rééquilibrer ses relations dans le conflit soudanais ?Pendant que justement le Soudan continue sa diatribe diplomatique contre le Tchad à l'international, l'acte de Mahamat Idriss Déby est à saluer, parce qu'il y a plus à gagner pour les deux pays si le Tchad se place dans une position d'apaisement, une position pour contribuer à résoudre le conflit plutôt qu'à être accusé d'attiser le feu. Donc c'est très important, ce début de retour en fait du Tchad à des sentiments meilleurs. Espérons donc que, du côté du Soudan aussi, cela soit reçu comme tel et que des possibilités de négociations s'ouvrent entre les deux pays pour que le Tchad reprenne sa position de contributeur de paix au Soudan, plutôt qu'à continuer d'endosser, à tort ou à raison, l'habit de quelqu'un qui attise plutôt le feu dans ce conflit-là, dans un pays frère et voisin.
« Nous nous en sortirons tout seuls », affirme le ministre tchadien des Affaires étrangères, Abderaman Koulamallah, après la décision de son président, Mahamat Idriss Déby, de faire partir tous les militaires français du Tchad d'ici à la fin de ce mois de janvier. Comment le Tchad réagira-t-il si une nouvelle colonne rebelle attaque à partir de la Libye ou du Soudan ? Le Tchad envisage-t-il un partenariat stratégique avec un autre pays étranger ? Abderaman Koulamallah, à la fois chef de la diplomatie et porte-parole du gouvernement tchadien, répond sans détours aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ce lundi à Paris, le président français Emmanuel Macron a dit que le départ des soldats français du continent africain était une initiative de lui-même et a ajouté : « Nous avons proposé aux chefs d'État africains de réorganiser notre présence militaire et, comme on est très poli, on leur a laissé la primauté de l'annonce ». Comment vous réagissez ?Abderaman Koulamallah : Bon, d'abord. Les propos dans leur ensemble sont désobligeants et carrément irrespectueux vis-à-vis des chefs d'Etat africains et de l'Afrique tout entière. Nous avons dit que ces propos étaient des propos méprisants vis-à-vis des dirigeants africains et que la France doit comprendre que le temps des colonies est terminé. Pour notre part, la décision du départ des troupes françaises du Tchad est une décision souveraine, qui n'a jamais été négociée avec qui que ce soit, ni avec les dirigeants français, ni avec le président Macron. C'est une décision que le président Mahamat Idriss Déby, le maréchal Mahamat Idriss Déby, a prise et qui est conforme à son programme politique : revisiter les accords de coopération militaire. Nous ne voulons plus de bases militaires sur notre territoire. C'est une décision politique, une décision de souveraineté et une décision pour notre indépendance.Alors vous dites que c'est une décision politique, mais c'est aussi une décision stratégique. À plusieurs reprises ces 20 dernières années, les militaires français, notamment les avions Mirage 2000, ont aidé le gouvernement tchadien à repousser les offensives rebelles. La dernière fois, c'était il y a juste six ans en 2019. Qu'est ce qui se passera en cas de nouvelle tentative d'incursion d'une colonne rebelle en provenance de Libye ou du Soudan ?Mais plus récemment, en 2021, l'armée tchadienne s'est battue toute seule contre les groupes terroristes, qui ont même porté atteinte à la vie de notre cher et bien aimé défunt maréchal du Tchad, Idriss Déby Itno. Et c'est l'armée tchadienne, avec à sa tête le président de la République de l'époque lui-même, qui a repoussé et anéanti les colonnes rebelles. A ce moment, nous n'avons pas eu besoin de l'aide de la France. Nous avons pris cette décision que vous dites stratégique. Effectivement, c'est stratégique. Je peux vous affirmer que ça, c'est parce que nous avons pesé nos capacités de riposte, de vaincre tout ennemi qui s'aventurerait sur notre territoire. Nous n'avons besoin de personne, que cela soit dit une bonne fois pour toute.Vous n'avez plus besoin de l'appui aérien de la France ?On n'a besoin de l'appui de personne. Nous nous en sortirons tout seuls.Avec peut-être aussi de nouveaux amis sur la scène internationale ? On pense aux Émirats arabes unis qui peuvent éventuellement vous apporter un soutien stratégique ?Mais pourquoi voulez-vous qu'on décide de faire partir une puissance militaire étrangère et de faire les yeux doux à d'autres puissances ? Il n'y aura aucune autre base étrangère sur notre territoire.Dans son discours de lundi à Paris, Emmanuel Macron a dit aussi que la France avait eu raison d'intervenir militairement en Afrique contre le terrorisme en 2013, mais que les dirigeants africains avaient « oublié de dire merci ». Qu'est-ce que vous en pensez ?Mais ça, ce sont des propos qui sont extrêmement blessants, il ne faut pas réduire les relations entre la France et l'Afrique simplement à la lutte contre le terrorisme. Il y a des milliers de soldats africains qui sont morts pour la France et ces propos, comme le président Macron les a dits, sont vexants, humiliants et inacceptables pour les Tchadiens et pour tous les Africains. Nous avons aussi combattu auprès des Français et la France n'a pas toujours dit merci aux soldats africains qui sont morts sur son territoire.Historiquement, en janvier 2013, est-ce que l'intervention française au centre du Mali n'a pas sauvé Bamako qui était menacée par une colonne rebelle de jihadistes ?Vous interrogerez le ministre malien des Affaires étrangères sur cette question, je ne veux pas me prononcer sur cette question.Oui, mais en février 2013, les militaires français et tchadiens combattaient côte à côte dans le nord du Mali contre les jihadistes. A la tête du contingent tchadien, il y avait un certain général Mahamat Idriss Déby, qui est aujourd'hui le président de votre pays…C'est ce qui vous permet de dire que la France n'a pas été la seule puissance à se battre et à sauver, entre guillemets, le Mali. Il y a eu aussi des Africains et notamment des Tchadiens, notamment le président Mahamat Idriss Déby, qui se sont battus pour notre liberté collective.Donc vous ne dénoncez pas l'intervention militaire française au Mali en 2013 ?Je n'ai pas à me prononcer sur la présence militaire française au Mali. Je laisse aux Maliens le soin de savoir si cette présence militaire au Mali était bénéfique pour eux ou pas.À lire aussiPropos polémiques d'E. Macron sur l'Afrique: «Un président vexé car il estime avoir fait le maximum»
Le Sénégal, tout comme le Tchad, a vivement réagi aux propos du président français Emmanuel Macron, qui a notamment reproché aux dirigeants africains d'avoir « oublié de lui dire merci » pour les interventions militaires françaises au Sahel et affirmé que les retraits des troupes françaises étaient le résultat de négociations avec les différents pays du continent. Faux et « regrettable », répond le porte-parole du gouvernement sénégalais et ministre de la Formation professionnelle, Amadou Moustapha Ndieck Sarre, qui se dit lui aussi indigné par les déclarations d'Emmanuel Macron. Il est l'invité de RFI. RFI : Le président français qui a affirmé avoir réorganisé sa présence militaire sur le continent et avoir laissé la primeur de l'annonce du départ des troupes françaises par politesse aux pays africains, qu'en pensez-vous ?Amadou Moustapha Ndieck Sarre : Permettez-moi d'abord de parler de la forme de sa déclaration, diplomatiquement parlant, on a vu un président particulièrement condescendant et même hautain sous bien des formes. On l'a entendu parler de politesse, on l'a entendu également parler d'absence de remerciements et tout ça, ce n'est pas diplomatique et c'est à déplorer. La 2ᵉ chose, c'est que dans le fond, nous avons bien vu que le président Macron est totalement passé à côté. Et pour ce qui concerne leSénégal, ce qu'il a dit n'a rien à voir avec la vérité. La présence de l'armée française n'a eu aucune influence sur la stabilité du Sénégal. Le Sénégal a toujours été un pays stable et jamais on a eu besoin de recourir à des forces étrangères pour permettre à notre pays d'être stable. À la place de cette condescendance, le président français devait au moins présenter des excuses aux africains. Malheureusement, il a eu cette sortie que nous trouvons tout à fait malheureuse.Pour revenir au Sénégal, le président Bassirou Diomaye Faye annonçait le 28 novembre dernier, puis à nouveau le 31 décembre, le départ des troupes françaises qui restent au Sénégal dès 2025. Qu'en est-il, est-ce que c'est un départ qui a été négocié, est-ce que des échanges avec la France ont eu lieu sur ce sujet ?Ce départ a été décidé de façon souveraine par le gouvernement Sénégalais. Vous savez, nous, quand nous étions dans l'opposition, nous avions toujours réclamé la souveraineté totale de notre pays. Et arrivé à la tête du Sénégal, justement, il fallait donner corps à cette volonté, à cette promesse faite au peuple sénégalais. Voilà pourquoi le président de la République a décidé de manière souveraine à revoir les accords de défense avec les étrangers d'une façon générale, et c'est ainsi qu'il a donné des instructions au ministre des forces armées pour déterminer les modalités de renégociation de ces accords de défense et la conséquence de cette décision a été de demander aux forces étrangères de quitter le sol sénégalais.Est-ce qu'il y a eu des échanges sur le fond entre Sénégalais et Français entre avril et maintenant, sur le départ de ces troupes françaises du Sénégal ?Il n'y a eu aucun échange, c'est le Sénégal qui a décidé de son propre chef de demander aux forces françaises de quitter et actuellement, le ministre des Forces armées entend déterminer les modalités.Le 20 juin dernier, Bassirou Diomaye Faye a rencontré le président français Emmanuel Macron. Quand Emmanuel Macron lui a demandé s'il souhaitait le départ des troupes françaises, il a répondu ne pas avoir pris encore de décision pour le moment. Est-ce qu'il y a eu quelques mois d'hésitation entre juin et novembre ?C'était certainement le timing de la réflexion. Mais ce qui est sûr et certain, c'est que la décision de faire quitter les forces étrangères du sol sénégalais était prise depuis très longtemps. Diplomatiquement parlant, il ne pouvait pas publiquement dévoiler la décision qu'il allait prendre.200 militaires français environ sont encore basés au Sénégal. Quel est le chronogramme envisagé pour le départ de ces troupes ?Le ministre des Forces armées fera certainement une sortie pour déterminer les modalités. Vous serez informé.Du côté des militaires français, on me dit qu'ils sont en attente de savoir ce que souhaite le gouvernement sénégalais. Qu'en est-il, est-ce qu'il y a des réunions prévues pour pouvoir parler de tout ça ?Ça n'a pas encore été décidé, mais ça, ça se décidera.Est-ce que vous savez quelles emprises sont concernés ? Parce qu'il y a deux emprises près du port, une emprise à Ouakam, il y a aussi cette base d'écoute à Rufisque. Est-ce que ce sont ces quatre emprises qui vont partir ?Mais forcément, quand on parle de sortie des troupes françaises, des troupes étrangères du sol sénégalais, il s'agit de toutes les troupes qui doivent quitter le Sénégal. Nous allons reprendre toutes les emprises entre les mains de l'armée française actuellement.Qu'en est-il des Américains ? Il y a, je crois, au Sénégal aussi, la présence de soldats américains. Est-ce qu'ils vont aussi être amenés à partir ?Toutes les forces étrangères sont concernées parce que ce que nous voulons, c'est recouvrer la souveraineté totale de notre pays. Toutes les forces étrangères sont concernées, pas spécifiquement la France.À lire aussiFin des accords militaires avec la France: le Tchad et le Sénégal réagissent avec virulence aux propos d'Emmanuel MacronÀ écouter dans Afrique midiPropos polémiques d'E. Macron sur l'Afrique: «Un président vexé car il estime avoir fait le maximum»
durée : 00:20:05 - Journal de 18h - Les troupes gouvernementales se sont retirées vendredi des secteurs de la province orientale de Deir Ezzor qu'elles contrôlaient, alors que les forces dirigées par les Kurdes avançaient vers ces dernières, a affirmé l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
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durée : 00:14:18 - Journal de 7 h - Des voix entre inquiétude et soulagement.
durée : 01:02:08 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Au Proche-Orient, est-il encore possible d'enrayer l'engrenage d'une guerre dont on ne voit aucune issue ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Gilles Kepel Politologue. Professeur des universités. ; Michel Goya Ancien colonel des Troupes de marine, auteur du blog "La voix de l'épée"; Alain Dieckhoff Directeur de recherche au Centre d'études internationales Sciences Po; Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, professeur à l'ENS de Lyon, chercheur associé à l'IRIS, spécialiste du Moyen-Orient et de la politique étrangère des États-Unis; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po Paris, spécialiste du monde iranien
durée : 00:06:27 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Avancée inexorable des forces russes : elles ont pris le contrôle de la ville stratégique de Vouhledar, dans l'est de l'Ukraine. La société et les soldats ukrainiens sont épuisés. Ils craignent une pénurie d'énergie, cet hiver. En Russie, colère budgétaire et manque de main d'œuvre dans l'armement.
We are grouping together the comedic genius of Trip Uhalt and a big chunk of the group from Oxymorons Comedy today just for you!! THese faihbased improv comedians have been entertaining people for years and decided to graciously grace us with their presence again to talk comedy and give us all something to smile about! THANK YA JESUS for OXYMORONS COMEDY!!As always we have our typical randomness with Dunn In A Minute with Travis Dunn & Random 9 List And we couldn't do this as well with out MRS A'S FAMOUS SALSA BUENA, RABBITINREDRADIO.COM, & Spreaker Prime & iHeart Radio!!!#Random #talkshow #varietyshow #comedy #interview #celebrities #creators #KCMO #kcinfluencer #faithbased #newssatire #internet #humor #joinus #getready #funny #comegetsome #Friday #podcast #livestream #comedians #faithbased #travisdunn #oxymoronscomedy #improv #improvcomedy #improvcomic