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durée : 00:02:04 - Le grand format - Depuis décembre, une quinzaine de jeunes de 14 à 18 ans ont travaillé avec la Ciivise pour faire entendre leur voix sur les violences sexuelles et l'inceste. Leurs 23 recommandations seront présentées ce mercredi devant l'Assemblée nationale. Premiers concernés, ils veulent être davantage entendus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un rapport glaçant du Forum Dina documente en détail les violences sexuelles perpétrées par le Hamas le 7 octobre : 84 témoignages de viols collectifs, mutilations, corps de femmes retrouvés dénudés, attachés ou brûlés.
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Enora avait 17 ans quand elle est tombée amoureuse pour la première fois. Il était plus âgé, charmant, attentionné… en apparence. Très vite, les humiliations, le contrôle, les rapports imposés ont remplacé les mots doux. Ce qu'elle croyait être de l'amour n'était que domination et violences. Pendant des années, elle s'est tue, persuadée que c'était de sa faute. Aujourd'hui, Enora témoigne. Parce qu'elle a compris qu'aimer, ce n'est jamais souffrir en silence. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
En Ukraine, la question des violences sexuelles liées au conflit s'ajoute à la longue liste de crimes de guerre commis par l'agresseur russe. Jusqu'à présent, tous crimes confondus, la justice ukrainienne a recensé plus de 150 000 violations. Et lorsqu'il s'agit de crimes à caractère sexuel, l'État et les organisations non gouvernementales qui y répondent font face à de nombreux obstacles. De notre correspondante à Kiev, Les crimes à caractère sexuel font partie des crimes les plus difficiles à recenser sur le territoire ukrainien. À Kiev, les acteurs qui y répondent se sont rassemblés il y a quelques mois autour de la volonté commune de joindre leurs forces afin de proposer le meilleur cadre possible pour que la justice suive son cours et que les survivants soient mieux pris en charge. La problématique du genre des survivants est centrale. Céline Bardet, juriste internationale à la tête de l'ONG We Are NOT Weapons of War, explique : « C'est important parce que de l'extérieur, quand on parle des violences sexuelles, on pense immédiatement aux femmes et aux filles, à juste titre évidemment. Mais il y a plein d'endroits dans le monde où les hommes et les garçons sont très touchés, et en Ukraine, c'est le cas. » Face à ces violences, le travail des ONG ukrainiennes a été crucial. Olena Suslova, fondatrice du centre d'information et de consultation pour les femmes, épaule les survivants depuis plus d'une décennie : « Nous avons commencé à nous attaquer aux problèmes des violences sexuelles liées aux conflits en 2015. Nous nous sommes ensuite rendus dans les territoires libérés de la région de Donetsk, à Kramatorsk, Sloviansk, Droujkivka pour interroger la population. À cette époque, les gens étaient très effrayés et très fermés. Ils avaient peur de parler des violences sexuelles. Alors, nous avons posé des questions pour savoir s'il y avait eu des violations des droits humains. » À lire aussiUkraine : la kétamine utilisée pour soigner les maux physiques et psychiques des vétérans Ce travail a permis à Olena Suslova d'établir qu'au moins 15% des personnes à qui elle parlait avaient été victimes de violences sexuelles. Des ONG comme Global Survivors Fund agissent à leurs côtés et les aident notamment à obtenir des réparations. Pour Fedir Dunebabin, le représentant de l'association pour l'Ukraine, le plus important pour les survivants est d'être reconnus comme tels : « D'après ce qu'on voit dans nos échanges, la chose la plus utile pour eux, c'est de dépasser le traumatisme, c'est la reconnaissance. C'est de savoir qu'ils ne sont pas seuls et que quelqu'un pense à eux. Pas seulement une personne, mais la société ukrainienne, le gouvernement ukrainien ainsi que la communauté internationale. » À l'heure actuelle, seuls 366 cas de violences sexuelles en lien avec l'invasion russe de 2022 ont été documentés. Un chiffre que les autorités craignent bien en deçà de la réalité. Côté judiciaire, le président Volodymyr Zelensky vient de ratifier l'accord sur la création d'un tribunal spécial pour juger la Russie de ses crimes en Ukraine. Le chemin vers la justice est encore long pour les Ukrainiens, mais il est bel et bien enclenché. À lire aussiGuerre en Ukraine: «Dans les prisons russes, la torture des Ukrainiens est une pratique institutionnalisée»
durée : 00:43:52 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - À l'occasion de la sortie du rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les violences scolaires, cette émission revient sur les solutions proposées pour prévenir les violences physiques et sexuelles. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Paul Vannier député La France Insoumise du Val-d'Oise; Violette Spillebout Députée Renaissance de la 9e circonscription du Nord et porte-parole du groupe à l'Assemblée; Élisabeth Lusset Historienne, chargée de recherche au CNRS, rattachée au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris; Frank Burbage Ancien professeur de philosophie et ancien inspecteur général, membre de la Ciivise (Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) et copilote du projet de programme EVARS (éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle)
durée : 00:43:52 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - À l'occasion de la sortie du rapport de la commission d'enquête parlementaire sur les violences scolaires, cette émission revient sur les solutions proposées pour prévenir les violences physiques et sexuelles. - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Paul Vannier député La France Insoumise du Val-d'Oise; Violette Spillebout Députée Renaissance de la 9e circonscription du Nord et porte-parole du groupe à l'Assemblée; Élisabeth Lusset Historienne, chargée de recherche au CNRS, rattachée au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris; Frank Burbage Ancien professeur de philosophie et ancien inspecteur général, membre de la Ciivise (Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) et copilote du projet de programme EVARS (éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle)
En Ukraine, la question des violences sexuelles liées au conflit s'ajoute à la longue liste de crimes de guerre commis par l'agresseur russe. Jusqu'à présent, tous crimes confondus, la justice ukrainienne a recensé plus de 150 000 violations. Et lorsqu'il s'agit de crimes à caractère sexuel, l'État et les organisations non gouvernementales qui y répondent font face à de nombreux obstacles. De notre correspondante à Kiev, Les crimes à caractère sexuel font partie des crimes les plus difficiles à recenser sur le territoire ukrainien. À Kiev, les acteurs qui y répondent se sont rassemblés il y a quelques mois autour de la volonté commune de joindre leurs forces afin de proposer le meilleur cadre possible pour que la justice suive son cours et que les survivants soient mieux pris en charge. La problématique du genre des survivants est centrale. Céline Bardet, juriste internationale à la tête de l'ONG We Are NOT Weapons of War, explique : « C'est important parce que de l'extérieur, quand on parle des violences sexuelles, on pense immédiatement aux femmes et aux filles, à juste titre évidemment. Mais il y a plein d'endroits dans le monde où les hommes et les garçons sont très touchés, et en Ukraine, c'est le cas. » Face à ces violences, le travail des ONG ukrainiennes a été crucial. Olena Suslova, fondatrice du centre d'information et de consultation pour les femmes, épaule les survivants depuis plus d'une décennie : « Nous avons commencé à nous attaquer aux problèmes des violences sexuelles liées aux conflits en 2015. Nous nous sommes ensuite rendus dans les territoires libérés de la région de Donetsk, à Kramatorsk, Sloviansk, Droujkivka pour interroger la population. À cette époque, les gens étaient très effrayés et très fermés. Ils avaient peur de parler des violences sexuelles. Alors, nous avons posé des questions pour savoir s'il y avait eu des violations des droits humains. » À lire aussiUkraine : la kétamine utilisée pour soigner les maux physiques et psychiques des vétérans Ce travail a permis à Olena Suslova d'établir qu'au moins 15% des personnes à qui elle parlait avaient été victimes de violences sexuelles. Des ONG comme Global Survivors Fund agissent à leurs côtés et les aident notamment à obtenir des réparations. Pour Fedir Dunebabin, le représentant de l'association pour l'Ukraine, le plus important pour les survivants est d'être reconnus comme tels : « D'après ce qu'on voit dans nos échanges, la chose la plus utile pour eux, c'est de dépasser le traumatisme, c'est la reconnaissance. C'est de savoir qu'ils ne sont pas seuls et que quelqu'un pense à eux. Pas seulement une personne, mais la société ukrainienne, le gouvernement ukrainien ainsi que la communauté internationale. » À l'heure actuelle, seuls 366 cas de violences sexuelles en lien avec l'invasion russe de 2022 ont été documentés. Un chiffre que les autorités craignent bien en deçà de la réalité. Côté judiciaire, le président Volodymyr Zelensky vient de ratifier l'accord sur la création d'un tribunal spécial pour juger la Russie de ses crimes en Ukraine. Le chemin vers la justice est encore long pour les Ukrainiens, mais il est bel et bien enclenché. À lire aussiGuerre en Ukraine: «Dans les prisons russes, la torture des Ukrainiens est une pratique institutionnalisée»
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durée : 00:04:46 - Récits d'enquête - par : Mattéo Caranta - #metoopolice, c'est le mot clé de cette série d'enquêtes publiées cette semaine par Libération, l'Oeil du 20h de France 2 et Disclose. Des enquêtes parallèles publiées conjointement et qui lèvent le voile sur les violences sexuelles commises par des policiers en exercice.
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Dans cet épisode exceptionnel, je reçois Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue obstétricienne et fondatrice de la Maison des Femmes. Elle revient sur son parcours inspirant, ses combats pour la dignité des femmes, et son engagement contre l'excision, une pratique qu'elle lutte sans relâche à faire reculer. Abonnez-vous à la chaîne ❤️ https://urlr.me/R6dhAM Écoutez Conversations avant la fin du monde sur les plateformes : spotify : https://bit.ly/4hFO6GC apple podcast : https://bit.ly/4hgXdOz deezer : https://bit.ly/4hFyweb amazon music : https://bit.ly/3EvlDVI Suivez nous: instagram : @conversationavantlafindumonde et @julialayani tiktok : @julialayani Prod vidéo, audio, miniature et plein d'autres trucs : Illustre ! Studios https://illustrestudios.com Comment me contacter ? julialayani@gmail.com ❤️Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Photovoyeurisme, upskirting, molka… Ces mots désignent le fait de filmer ou photographier des personnes à leur insu pour observer leurs parties intimes. Une pratique qui s'est banalisée avec la démocratisation des smartphones et qui constitue une violence sexiste et sexuelle méconnue.Dans cet épisode, on revient sur l'affaire qui a éclaté en avril 2025 quand la journaliste Lorraine Desca a dénoncé avoir été filmée dans une cabine de piscine parisienne. Son témoignage a libéré la parole de dizaines d'autres femmes, révélant l'ampleur de ce phénomène. Du cadre légal aux conséquences pour les victimes, en passant par l'exemple de la Corée du Sud où le "molka" a pris des proportions alarmantes, on décrypte cette forme de violence qui s'inscrit dans le continuum des violences sexistes et sexuelles.Chroniques du sexisme ordinaire, c'est un podcast de Marine-Pétroline Soichot qui débusque le sexisme avec pédagogie, humour et zéro culpabilité.Pour aller plus loin
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Au Pakistan, plus de deux millions d'enfants fréquentent les madrasas, ces écoles coraniques qui offrent une éducation religieuse gratuite aux plus démunis. Mais derrière les murs de ces institutions vénérées se cache une réalité glaçante : des milliers d'enfants y subissent des violences sexuelles dans un silence assourdissant. Enquête exclusive de nos correspondants. Attention, le contenu de cette vidéo peut heurter la sensibilité.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Trois ex-cadres de la multinationale française de jeux vidéo sont jugés pour harcèlement moral, harcèlement sexuel et agression sexuelle. Mais les parties civiles regrettent l'absence de poursuites envers l'entreprise elle-même et ses RH, qui ne pouvaient pas ignorer certains faits, selon elles. Un article de Marie Turcan, publié le 1er juin 2025, lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:51 - Mécaniques du journalisme - par : Elise Karlin, Pierre Gastineau, Philippe Vasset, Grégory Philipps, Alain Lewkowicz - Malgré l'évolution de la société et la libération de la parole, il coûte toujours plus cher de dénoncer une violence que de la commettre. Pour la journaliste Lorraine de Foucher, la capacité à dénoncer une violence dépend encore d'une position sociale et la société ne protège pas assez les femmes. - réalisation : Charlotte Roux, Thomas Dutter, Vincent Decque, Assia Veber - invités : Lorraine de Foucher Journaliste au Monde
durée : 00:15:27 - Mécaniques du journalisme - par : Elise Karlin, Pierre Gastineau, Philippe Vasset, Grégory Philipps, Alain Lewkowicz - Dans ce troisième épisode, Lorraine de Foucher revient sur deux de ses reportages : l'un consacré à une adolescente assassinée par son ex-petit ami dans une cité de banlieue parisienne ; l'autre consacré aux victimes des French Bukkake, un scandale qui a secoué l'industrie pornographique française. - réalisation : Charlotte Roux, Thomas Dutter, Vincent Decque, Assia Veber - invités : Lorraine de Foucher Journaliste au Monde
durée : 00:13:56 - Mécaniques du journalisme - par : Elise Karlin, Pierre Gastineau, Philippe Vasset, Grégory Philipps, Alain Lewkowicz - Dans ce deuxième épisode, la journaliste Lorraine de Foucher analyse les violences faites aux femmes comme un mécanisme systémique, caractéristique d'une société patriarcale, et qui a cours depuis des siècles. - réalisation : Charlotte Roux, Thomas Dutter, Vincent Decque, Assia Veber - invités : Lorraine de Foucher Journaliste au Monde
durée : 00:16:44 - Mécaniques du journalisme - par : Elise Karlin, Pierre Gastineau, Philippe Vasset, Grégory Philipps, Alain Lewkowicz - Dans ce premier épisode, la journaliste Lorraine de Foucher revient sur son enquête publiée dans "Le Monde" consacrée au phénomène des nourrissons abandonnés dans une poubelle par des mères trop jeunes, trop seules, trop désemparées. Un phénomène loin d'être récent. - réalisation : Charlotte Roux, Thomas Dutter, Vincent Decque, Assia Veber - invités : Lorraine de Foucher Journaliste au Monde
L'affaire Joël le Scouarnec avait tout pour provoquer un maelström médiatique. Et même, un maelström sociétal. Il n'en a rien été. Si plus de 450 journalistes ont été accrédités, au début du procès, et si une salle à part a dû être mise en place pour les accueillir, la plupart des rédactions ont rapidement déserté les bancs qui leur étaient réservés... puis sont subitement réapparues, après plus de trois mois d'audience, pour le verdict. Entre temps, les chaînes de tél ...
Le 13 mai 2025 s'ouvrait la 78e édition du festival de Cannes. Hasard du calendrier, c'était aussi le jour du jugement d'un des acteurs français les plus connus : Gérard Depardieu. Conformément aux réquisitions, il a été condamné à dix-huit mois de prison avec sursis pour des agressions sexuelles, commises sur deux femmes lors du tournage du film « Les Volets verts », en 2021.Fait rare, il a aussi été condamné à verser 1 000 euros à chacune des victimes au titre de la « victimisation secondaire ». Une notion récente qui vise à prendre en compte les souffrances supplémentaires que peut provoquer une procédure pénale défaillante pour les victimes (en particulier de violences sexuelles). Dans le cas de Gérard Depardieu, cette souffrance proviendrait du comportement brutal et des propos sexistes tenus par son avocat, Jérémie Assous, pendant le procès, notamment à l'encontre des avocates des victimes.Gérard Depardieu était absent le jour du jugement, il se trouvait aux Açores sur le tournage de son prochain film, réalisé par son amie de toujours, Fanny Ardant, venue témoigner pour le défendre au procès.Que dit ce procès du comportement de Gérard Depardieu envers les femmes ? Quels ont été les moments marquants ? Et qu'est-ce qui attend désormais l'acteur de 76 ans, également accusé de viol dans une autre affaire, par l'actrice Charlotte Arnould ? Henri Seckel, chroniqueur judiciaire au Monde, a assisté au procès et suit le « dossier Depardieu » au long cours. Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », il nous décrit le crépuscule d'un monument de « l'ancien monde ».Un épisode d'Adélaïde Tenaglia, réalisé par Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d'interviews de Carine Durrieu-Diebolt, avocate des victimes dans le procès du film « Les Volets verts » et de Jérémie Assous, avocat de Gérard Depardieu, à la suite du jugement, le 13 mai 2025.Cet épisode a été diffusé le 21 mai 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frQue pensez-vous des podcasts du « Monde » ? Donnez votre avis en répondant à cette enquête. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:06:09 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - En Afrique du Sud, l'opération nationale contre l'exploitation minière illégale s'est intensifiée depuis le siège policier de Stilfontein qui a duré plusieurs mois. Les autorités ont privé des mineurs clandestins de vivres. La BBC révèle des violences sexuelles sur des adolescents dans les mines.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Pour son dernier interrogatoire, mardi 20 mai, Joël Le Scouarnec et son défenseur ont offert à la cour un condensé de ces trois mois de procès : un repentir toujours aussi peu convaincant. Un article de Hugo Lemonier, publié le 20 mai 2025 sur Mediapart. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode, l'écrivaine Claire Berest revient sur le procès des viols de Mazan, un fait divers qui a secoué la société française. Elle analyse comment cette affaire, initialement perçue comme un simple fait divers, a pris une dimension tragique et a remis en question nos réflexions sur la culture du viol. Claire Berest partage son expérience de spectatrice du procès et son cheminement pour comprendre la complexité de cette affaire au-delà des jugements moraux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 7 mai 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Charles Consigny, avocat, débattent de : violences sexuelles, Bedos a-t-il droit à la rédemption ?
durée : 00:05:18 - La Revue de presse internationale - par : Mathilde Ansquer - Un rapport réalisé par l'association CIMA dénonce l'ampleur des violences sexuelles dans le milieu du cinéma et de l'audiovisuel en Espagne. Des violences qui sont le plus souvent tues.
C dans l'air du 24 avril 2025 - Affaire Bétharram : scandales en sérieLES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Solène PODEVIN-FAVRE - Membre du collège directeur de la CIIVISe – Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - Antton ROUGET - Journaliste – Médiapart
C dans l'air du 24 avril 2025 - Affaire Bétharram : scandales en sérieC'est un livre choc qui parait ce jeudi. Dans Le silence de Bétharram, Alain Esquerre dépeint le système de violences mis en place au sein de l'institution catholique privée pendant des décennies. Avec la journaliste Clémence Badault, ils ont rassemblé les témoignages de dizaines de victimes qui décrivent les sévices physiques et sexuelles subis pendant leur scolarité dans l'établissement. A ce jour, plus de 200 plaintes ont été déposées contre l'institution béarnaise après un an et demi de combat pour faire éclater la vérité.Parmi ces témoignages, figure celui de la fille du Premier ministre François Bayrou, Hélène Perlant. Elle révèle avoir été victime, adolescente, de violences lors d'un camp d'été organisé par la congrégation à laquelle appartient l'établissement privé catholique au cœur du scandale. "Je voulais me faire recenser comme victime, une victime parmi d'autres et fille du Premier ministre", a-t-elle déclaré sur France Inter. Hélène Perlant assure que son père François Bayrou "ne savait pas" les violences dont elle a été victime. "J'ai été obligée de lui dire parce que Le Canard enchaîné l'a contacté. On avait l'intention de ne pas le dire", a-t-elle poursuivi."En tant que père de famille, ça me poignarde le cœur (…). Qu'on ne l'ait pas su et que des dérives de cet ordre aient eu lieu, pour moi, c'est presque insupportable", a répondu le Premier ministre. François Bayrou a également affirmé que sa fille ne lui avait "jamais parlé" de violences. Toutefois, "elle n'est pas le centre de l'affaire" et "ce n'est pas une affaire personnelle", selon lui. "En tant que responsable public (…), c'est aux victimes que je pense" et "je ne veux pas les abandonner", a-t-il déclaré. François Bayrou doit être entendu le 14 mai par la commission d'enquête parlementaire née du scandale de Bétharram. "Je ne dis depuis le premier jour que ce que je sais de cette affaire, que la vérité de ce que je découvre, et je n'ai, de ce point de vue-là, aucun problème à répondre", a dit le Premier ministre, interrogé sur cette convocation. Plus tôt dans le mois, un ancien gendarme et un ancien juge qui ont enquêté sur la première plainte pour viol ayant visé un religieux de cet établissement scolaire catholique ont fait savoir que François Bayrou était intervenu dans cette affaire. Des propos démentis par le Premier ministre. Originaire de la région, l'actuel maire de Pau et ancien député et président du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques, ex-ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997, nie plus largement avoir eu connaissance, dans le passé, des violences qui se déroulaient dans l'établissement.Nos journalistes ont recueilli le témoignage de plusieurs victimes de Bétharram. Ils ont également interviewé le juge Edouard Durand, magistrat spécialiste du droit des enfants, ancien président de la Ciivise qui continue à incarner la lutte contre les violences sexuelles sur mineurs. LES EXPERTS : - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Solène PODEVIN-FAVRE - Membre du collège directeur de la CIIVISe – Commission Indépendante sur l'Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants - Antton ROUGET - Journaliste – Médiapart
Le lanceur d'alerte de l'affaire Bétharram, Alain Esquerre, publie ce jeudi un livre qui témoigne de l'ampleur des violences physiques et sexuelles subies par les élèves de l'établissement catholique. Dont la fille aînée de François Bayrou, qui sort du silence. Le premier ministre a affirmé qu'elle ne lui en avait « jamais parlé ». Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 24 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le lanceur d'alerte de l'affaire Bétharram, Alain Esquerre, publie ce jeudi un livre qui témoigne de l'ampleur des violences physiques et sexuelles subies par les élèves de l'établissement catholique. Dont la fille aînée de François Bayrou, qui sort du silence. Le premier ministre a affirmé qu'elle ne lui en avait « jamais parlé ». Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 24 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mirka a vécu une expérience traumatisante avec son gynécologue qui a eu un comportement inapproprié et déplacé lors d'une consultation. Elle exprime sa honte et sa culpabilité de ne pas avoir réagi face à cette agression. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:15 - Journal de 18h - Devant l'institution St Dominique à Neuilly-sur-Seine, d'anciens élèves dénoncent des violences subies entre les années 1980 et 2000. Cinq plaintes ont été déposées. Un collectif a mené une action coup de poing pour soutenir les victimes encore marquées par ces abus.
Un enfant a été violé toutes les 30 minutes au plus fort du conflit dans l'est de la République démocratique du Congo cette année. Il s'agit du taux le plus élevé enregistré dans cette région, où l'utilisation des violences sexuelles comme arme de guerre est tristement courante depuis des décennies.Dans l'espace de quelques instants, inattendus, ces violences bouleversent le corps et la vie des victimes.Comment expliquer ces actes insensés et inimaginables ? Quel est leur « objectif » ? Et surtout, est-il possible de s'en remettre ?Selon la cheffe de la protection de l'enfance pour l'UNICEF en RDC, avec un appui précis à court, moyen et long terme, allant des soins, à la santé mentale, la réinsertion et la justice, il est possible pour les survivants de se reconstruire et de dépasser ce terrible évènement.Toutefois, l'UNICEF n'est pas épargné par la crise du financement qui frappe de plein fouet le secteur humanitaire. Et même si, l'agence onusienne a pu rediriger des fonds pour pouvoir apporter une aide aux enfants victimes de ces violences sexuelles et leurs mères, au plus fort de la crise, ces financements n'étaient pas destinés à une réponse de telle ampleur et vont s'épuiser.« Si nous n'avons plus ces fonds, cette expérience de violence sexuelle déterminera leur vie puisque il n'y aura plus le filet de sauvetage qui leur permette de pouvoir traiter ce qui s'est passé mais aussi le dépasser », avertit Ramatou Touré.(Interview : Ramatou Touré, cheffe du programme de protection de l'enfance UNICEF RDC ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
durée : 00:20:15 - Journal de 18h - Devant l'institution St Dominique à Neuilly-sur-Seine, d'anciens élèves dénoncent des violences subies entre les années 1980 et 2000. Cinq plaintes ont été déposées. Un collectif a mené une action coup de poing pour soutenir les victimes encore marquées par ces abus.
Elles ont recueilli plus de 80 témoignages et révélé l'affaire. Dans leur livre “Anatomie d'une prédation”, paru en avril 2025, les journalistes Alice Augustin et Cécile Ollivier, du magazine Elle, ont enquêté sur les accusations d'agressions sexuelles et de viols à l'encontre de Gérard Miller. Ce psychanalyste de 76 ans, ancienne star de la télévision et professeur à l'université, aurait agressé de très jeunes filles, notamment lors de séances d'hypnose, chez lui.Dix femmes ont déposé plainte à ce jour. L'ex-chroniqueur de l'émission “On a tout essayé” sur France 2 nie les faits qui lui sont reprochés. Une enquête a été ouverte en février 2024 pour viols et agressions sexuelles mais Gérard Miller n'a pas encore été entendu.Alice Augustin et Cécile Ollivier retracent l'affaire et leur enquête dans Code Source. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:49 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Insultes, violences, suicides : après les travaux de la commission parlementaires sur le sujet des violences et harcèlement sexistes et sexuels dans la culture, rappelons-nous que les artistes de variétés ont toujours décrit des atmosphères et des personnages toxiques.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSRAPPORT SUR LES VSS DANS LA CULTURE : Mediapart, France Info, Liste des recommandations du rapport (Mediapart)LIBRAIRIE PHILIPPE POUTOU : Nouvel Obs, HuffpostROBERT PATTINSON DANS DUNE : Deadline, Le Parisien, Le FigaroS3 THE LAST OF US : Le Parisien, NumeramaFESTIVAL D'IA NICE : Le Parisien, NicepresseEMISSION SPECIALE 35 ANS FORT BOYARD : 20minutes, IciÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Morgan Prot Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Podcasthon est une initiative géniale dans le monde du podcast : toute la semaine plus de 1 500 podcasts vont dédier leur épisode à l'association de leur choix. L'idée étant de créer une grande vague de solidarité, de soutenir le maximum d'associations caritatives qui ont souvent peu de moyens pour se faire entendre et de sensibiliser nos audiences à une cause qui nous tient à cœur.Alors aujourd'hui, on ne va pas du tout parler déco, design, créativité ou artisanat, mais du collectif @3parclasse qui lutte contre les violences sexuelles faites aux enfants… car ils seraient 3 par classe. Un chiffre dramatique qui ne peut pas nous laisser indifférent, qui touche toutes les classes sociales, toutes les villes de France alors qu'une loi obligatoire existe et que toutes les écoles, collèges et lycées devraient dispenser 3 séances annuelles de sensibilisation aux violences sexistes et sexuelles. C'est un sujet dérangeant mais un fléau dont on doit parler. 160 000 enfants sont concernés. 1 enfant sur 10. Ces chiffres sont terrifiants et nous concernent tous. Si, si, les prédateurs sexuels sont partout, dans nos familles, au sport, chez les copains,... ils ne sont pas cagoulés ou anonyme, ce sont souvent des adultes que nos enfants fréquentent, ils peuvent être très proches et gentils, et c'est bien là tout le problème. Alors que faire pour protéger nos enfants, à leur apprendre à dire non ou à libérer leur parole, n'ayez pas peur de ce sujet encore trop tabou et venez nous écouter avec Angèle Ferreux Maeght et Maud Zilnyk, les fondatrices de ce collectif motivé plus que jamais. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir plus de 150 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...!Merci beaucoup