Podcasts about insoumis

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Politique, le choix de la semaine
Le congrès du Parti socialiste, clé de l'union de la gauche?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later May 18, 2025 2:46


À partir du 27 mai, les adhérents du parti socialiste sont appelés à choisir leurs nouveaux dirigeants, avec comme point d'orgue le congrès de Nancy mi-juin, quelques jours après la désignation du Premier secrétaire. Et le choix des socialistes pourrait être déterminant dans une éventuelle union pour la présidentielle. Les trois candidats, Olivier Faure, Boris Vallaud et Nicolas Mayer-Rossignol semblent alignés en faveur d'une candidature commune en 2027, mais sur le papier seulement. Tout le monde au PS semble désormais d'accord : il faut une union de la gauche en 2027 sans les Insoumis. Après avoir longtemps défendu le rapprochement avec LFI, Olivier Faure a finalement rendu les armes ces derniers mois, « pour ne pas perdre son poste », persifle une de ses opposantes internes. Le nouveau périmètre va donc de la gauche radicale façon François Ruffin aux sociaux-démocrates de Raphaël Glucksmann, voire à la maigre aile gauche de la Macronie, en passant par les alliés écologistes et communistes. Consensus aussi sur l'espoir que le candidat commun en 2027 soit issu des rangs socialistes, mais la stratégie pour y arriver en revanche diffère.À lire aussiLes militants du Parti socialiste face aux divisions de leur partiDeux salles, deux ambiancesIl y a d'un côté les partisans du jeu ouvert et de l'autre, ceux qui prônent le passage en force. Olivier Faure par exemple reste sur la ligne qu'il tient depuis son arrivée à la tête du PS en 2018 : un candidat socialiste si possible, mais pas d'opposition de principe à céder la place. En revanche, du côté de Nicolas Mayer-Rossignol et ses alliés, François Hollande, Carole Delga ou Anne Hidalgo, la prééminence socialiste est une priorité. Une ligne qualifiée d'« identitaire » par les Fauristes et qui passerait par le rassemblement sous un même drapeau de toute la galaxie socialiste aujourd'hui dispersée : Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann ou certains ministres et élus macronistes.À lire aussiFrance: au sein du Parti socialiste, ces voix qui s'élèvent pour rompre avec LFILes alliés moyennement intéressés« Si c'est pour se faire marcher dessus comme avec les Insoumis, non merci », cingle un élu communiste. Pas beaucoup plus d'enthousiasme côté Écologistes, où les multiples alliances passées avec le PS n'ont pas laissé que de bons souvenirs. Beaucoup défendent donc l'idée d'une primaire très large, c'est-à-dire pas seulement avec des candidats désignés par les partis. « Sinon personne ne jouera le jeu », estime une ancienne Insoumise. Les Insoumis justement, qui regardent l'agitation avec amusement : « plus il y a de divisions au PS, mieux je me porte », rigole un député LFI. À moins qu'une position centrale émerge à l'occasion du congrès socialiste : le 3ème homme de l'élection, Boris Vallaud plaide pour « une union à toute force mais pas à tout prix ». Un peu flou pour certains : « tu ne pourras pas être éternellement la Suisse », a lancé cette semaine une haute dirigeante du PS au patron des députés socialistes.

L'info en intégrale - Europe 1
Affaire Bétharram : qui est Paul Vannier, le co-rapporteur insoumis, qui cible l'enseignement catholique ?

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later May 15, 2025 0:53


Interrogé ce mercredi par une Commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur le dossier des violences physiques et sexuelles dans l'établissement pyrénéen Notre-Dame-de-Bétharram, le Premier ministre François Bayrou s'est retrouvé confronté à Paul Vannier. Un insoumis qui n'en est pas à sous coup d'essai dans le ciblage des établissements catholiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Affaire Bétharram : qui est Paul Vannier, le co-rapporteur insoumis, qui cible l'enseignement catholique ?

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later May 15, 2025 0:53


Interrogé ce mercredi par une Commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur le dossier des violences physiques et sexuelles dans l'établissement pyrénéen Notre-Dame-de-Bétharram, le Premier ministre François Bayrou s'est retrouvé confronté à Paul Vannier. Un insoumis qui n'en est pas à sous coup d'essai dans le ciblage des établissements catholiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Brief
Affaire Bétharram : qui est Paul Vannier, le co-rapporteur insoumis, qui cible l'enseignement catholique ?

Le Brief

Play Episode Listen Later May 15, 2025 0:53


Interrogé ce mercredi par une Commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur le dossier des violences physiques et sexuelles dans l'établissement pyrénéen Notre-Dame-de-Bétharram, le Premier ministre François Bayrou s'est retrouvé confronté à Paul Vannier. Un insoumis qui n'en est pas à sous coup d'essai dans le ciblage des établissements catholiques.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

VA+ en podcasts
« À l'Assemblée, les INSOUMIS me regardent de travers » : Hanane Mansouri BALANCE

VA+ en podcasts

Play Episode Listen Later May 9, 2025 25:30


Hanane Mansouri, 24 ans, est la benjamine de l'assemblée nationale. Députée du parti UDR, le parti d'Éric Ciotti, elle ne se laisse intimider par personne et encore moins par Raphaël Arnault lorsque cet élu de la France Insoumise veut recevoir le CCIE à l'assemblée. Aujourd'hui Hanane Mansouri est sur VA+, elle nous raconte son parcours, les coulisses de la vie politique, ses projets pour la France et la jeunesse, et les enjeux essentiels de demain.

Les histoires de 28 Minutes
Dans la peau de l'avocate Gisèle Halimi / Proportionnelle, le retour ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later May 8, 2025 46:21


L'émission 28 minutes du 08/05/2025 Marie-Christine Barrault : dans la peau de l'avocate Gisèle HalimiMarie-Christine Barrault est à l'affiche de la pièce “Gisèle Halimi, une farouche liberté” jusqu'au 31 mai à la Scala Paris. La pièce, mise en scène par Lena Paugam, s'appuie sur le livre d'entretiens “Une farouche liberté” entre la célèbre avocate et la journaliste Annick Cojean. Marie-Christine Barrault partage la scène avec Hinda Abdelaoui. Elles incarnent, à tour de rôle, le personnage de Gisèle Halimi pour en dévoiler toutes ses facettes, de la femme politique à la grand-mère. En une heure et demie, la pièce retrace plus de 70 ans d'engagement et de combat pour la cause des femmes. Marie-Christine Barrault a joué dans plus de 60 films et 40 pièces de théâtre. En 1977, elle est nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation de Marthe dans “Cousin, Cousine” de Jean-Charles Tacchella. À l'écran ou sur les planches, elle a souvent incarné des femmes fortes aux destins exceptionnels, comme Jenny Marx, Marie-Curie ou Marguerite Yourcenar.Le scrutin proportionnel peut-il revitaliser la démocratie française ? Mercredi 30 avril, le Premier ministre François Bayrou a entamé des consultations auprès des responsables politiques pour proposer l'instauration de la proportionnelle dans l'élection des députés en France. Depuis le début de la Ve République, les députés sont élus au suffrage universel direct avec un scrutin uninominal majoritaire à deux tours, à l'exception des élections législatives de 1986 qui se sont déroulées selon un scrutin proportionnel à l'échelon départemental. Le mode de scrutin proportionnel est censé augmenter la représentativité à l'Assemblée nationale, en donnant à chaque liste de candidats un nombre de députés proportionnel au nombre de voix qu'elle obtient. La plupart des pays européens élisent leurs députés à la proportionnelle comme la Belgique, l'Irlande ou le Danemark. Le projet divise sur le fond comme sur la forme au sein de la classe politique française. Les Républicains, Horizons et une partie des membres de la majorité présidentielle ont exprimé des réserves. Le ​​Rassemblement national, le MoDem,les députés écologistes et Insoumis y sont favorables, mais sous différentes formes. Par exemple, la France insoumise défend un mode de scrutin proportionnel “à un échelon régional”, alors que François Bayrou souhaiterait, lui, un échelon départemental. Marjorie Adelson nous raconte comment les abats de boucherie trouvent un nouveau succès grâce aux influenceurs conservateurs et masculinistes notamment. Marie Bonnisseau nous présente une prothésiste américaine qui fabrique des faux yeux pour le moins originaux. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[Débat] Proportionnelle, le retour ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later May 8, 2025 22:59


L'émission 28 minutes du 08/05/2025 Le scrutin proportionnel peut-il revitaliser la démocratie française ?Mercredi 30 avril, le Premier ministre François Bayrou a entamé des consultations auprès des responsables politiques pour proposer l'instauration de la proportionnelle dans l'élection des députés en France. Depuis le début de la Ve République, les députés sont élus au suffrage universel direct avec un scrutin uninominal majoritaire à deux tours, à l'exception des élections législatives de 1986 qui se sont déroulées selon un scrutin proportionnel à l'échelon départemental. Le mode de scrutin proportionnel est censé augmenter la représentativité à l'Assemblée nationale, en donnant à chaque liste de candidats un nombre de députés proportionnel au nombre de voix qu'elle obtient. La plupart des pays européens élisent leurs députés à la proportionnelle comme la Belgique, l'Irlande ou le Danemark. Le projet divise sur le fond comme sur la forme au sein de la classe politique française. Les Républicains, Horizons et une partie des membres de la majorité présidentielle ont exprimé des réserves. Le ​​Rassemblement national, le MoDem,les députés écologistes et Insoumis y sont favorables, mais sous différentes formes. Par exemple, la France insoumise défend un mode de scrutin proportionnel “à un échelon régional”, alors que François Bayrou souhaiterait, lui, un échelon départemental. On en débat avec Anne Rosencher, journaliste, directrice déléguée de la rédaction de "l'Express" ; Jean-Philippe Derosier, constitutionnaliste et Bastien François, politiste, professeur de science politique à l'Université Panthéon-Sorbonne.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 8 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

C dans l'air
Gaza : l'opération « intensive » de Netanyahu - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 6, 2025 66:56


C dans l'air du 6 mai 2025 - Gaza : l'opération « intensive » de NetanyahuUne opération « intensive ». C'est ce que compte mener l'armée israélienne dans la bande de Gaza selon les mots du premier ministre Benjamin Netanyahu. Une nouvelle étape de la guerre qui impliquerait le déplacement de davantage de Palestiniens, « pour leur propre sécurité ». Une extension des opérations militaires visant à la « conquête » du territoire.Mais sur place, le drame humanitaire s'amplifie. Depuis deux mois, aucune aide humanitaire ne rentre en effet dans l'enclave et le gouvernement israélien vient de valider un nouveau système de distribution de l'aide « afin d'empêcher le Hamas de prendre le contrôle des approvisionnements ». « La plupart des gens seront privés d'aide », craignent toutefois des humanitaires. Netanyhu persiste donc dans son but d'éradiquer le Hamas, sous l'assentiment de Donald Trump, qui lui donne carte blanche depuis son retour au pouvoir. Le président américain, de son côté, est aussi très proche de Mohammed ben Salmane, prince héritier d'Arabie saoudite. Leur bonne entente remonte à son premier mandat. MBS a promis 600 milliards de dollars d'investissements aux États-Unis pendant le mandat de Trump, et Trump a choisi Riyad en février pour discuter du dossier russo-ukrainien. Les deux hommes divergent cependant au sujet de Gaza, MBS accusant Israël de commettre un « génocide ». En France, le conflit israélo-palestinien suscite de nombreux débats. Emmanuel Macron est appelé à reconnaître un Etat palestinien (ce dont il a émis l'hypothèse), tandis qu'à gauche, le sujet ne cesse de diviser Insoumis et Socialistes. Les incidents du 1er mai autour du député PS Jérôme Guedj le confirment, et les soupçons d'antisémitisme chez la gauche radicale s'accumulent. Alors, que faut-il attendre de l'opération « intensive » décrétée par Netanyahu ? Quels sont les rapports de Trump avec MBS ? Jusqu'où le conflit-israélo-palestinien peut-il fracturer la gauche française ?LES EXPERTS : Pierre HASKI - Chroniqueur international à France Inter et au Nouvel ObsAGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l'IREMMO (Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient)NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste à Ouest FranceVincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationaux

Le Journal France Bleu Auxerre
Le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon en meeting à Auxerre

Le Journal France Bleu Auxerre

Play Episode Listen Later May 1, 2025 3:27


durée : 00:03:27 - Le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon en meeting à Auxerre

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT- Bruno Retailleau, critiqué par la gauche après la mort d'Abou Bakar Sissé, dénonce la récupération politique des insoumis

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 1:39


Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C à vous
De nouvelles mesures pour lutter contre le narcotrafic

C à vous

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 17:25


Il y a un an, en mars 2024, devant la commission sénatoriale d'enquête dédiée à la lutte contre le trafic de drogue, Nicolas Bessone, procureur de la République de Marseille demandait avec d'autres magistrats, « un plan Marshall » pour lutter contre le narcotrafic. La loi Narcotrafic a été adoptée définitivement hier à l'assemblée avec le soutien de tous les camps sauf les Insoumis.Attaques contre des prisons, menaces sur les magistrats …Nicolas Bessone est notre invité.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

Le Brief
EXTRAIT- Bruno Retailleau, critiqué par la gauche après la mort d'Abou Bakar Sissé, dénonce la récupération politique des insoumis

Le Brief

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 1:39


Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique, le choix de la semaine
Face aux divisions, nouveaux appels à l'union de la gauche

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 2:56


Alors que les écologistes tiennent congrès ce week-end et que les socialistes entrent dans la dernière ligne droite avant la désignation de leur Premier secrétaire, la gauche s'interroge sur la suite et en particulier sur la stratégie à mettre en place en vue de la présidentielle. Faut-il un seul candidat commun, et si oui comment le désigner, avec quelle plateforme programmatique ? L'ancienne candidate commune à la primature du NFP, Lucie Castets, a pris la plume cette semaine pour appeler ses interlocuteurs des partis à se ressaisir du dossier. « La responsabilité est immense » en ces temps de « fascisation rampante », écrit Lucie Castets dans une tribune publiée par le journal Libération. Et elle assume de les prendre ses responsabilités dans ce qu'elle appelle « un droit de suite », après avoir été sollicitée à la surprise générale l'été dernier pour représenter le NFP à Matignon.Depuis l'échec de cette initiative, Lucie Castets échange régulièrement avec les dirigeants de la gauche et des écologistes mais aussi avec des acteurs de la société civile, des syndicats et des chercheurs. Et elle arrive ainsi avec un mode d'emploi de l'union : tout d'abord l'établissement d'un socle programmatique, élaboré au-delà des frontières des seuls partis, et une candidature commune pour 2027.Celle-ci pourrait être décidée à l'issue d'une primaire, d'un conclave inter partis ou d'une convention citoyenne ou un mélange de tout ça. Et Lucie Castets propose un premier rendez-vous le 2 juillet prochain pour lancer la dynamique et constituer une équipe, « plutôt que de chercher le candidat providentiel ».LFI opposée à une primaire« Il fallait tenir compte des échéances des uns et des autres », explique Lucie Castets : les écologistes sont en congrès ce week-end et pour les socialistes ce sera les 14 et 15 juin. « Mais il faut aussi écouter les électeurs de gauche », insiste-t-elle, ayant constaté une forte demande d'union lors de ses divers déplacements. Le problème c'est que la candidature commune, si elle est officiellement souhaitée par tous les partis de l'ex NFP, y aboutir via une primaire par exemple en horripile certains. La présidente du groupe Insoumis à l'Assemblée Mathilde Panot a ainsi fait part de son opposition jeudi, estimant que « l'union se fait dans l'action » et pas par des tractations politiciennes.À écouter aussiPolitique : l'avenir de la gauche s'écrit-il sans LFI ?Une longue route en perspectiveL'appel a quand même reçu un accueil favorable chez les écologistes, et les socialistes, divisés sur à peu près tout, sont en revanche d'accord sur la nécessité d'une candidature commune, mais sans les Insoumis. La proposition Castets pourrait ainsi jeter les bases d'un travail collectif en vue de 2027. Le patron du PS Olivier Faure plaidait d'ailleurs dès 2022 pour l'établissement d'une plateforme commune, préalable à la désignation d'un ou une candidate à la présidentielle. Comme l'avoue Lucie Castets : « la route est longue et le chemin pentu », tout en gardant l'espoir de rallier tout ce beau monde à sa cause. À lire aussiPrésidentielle 2027: le long et difficile chemin de la candidature unique à gauche

Chronique des médias
Les obsèques du pape François retransmises en mondovision

Chronique des médias

Play Episode Listen Later Apr 25, 2025 2:47


Mobilisation exceptionnelle des médias pour la retransmission des funérailles du pape François ce samedi 26 avril au Vatican et à Rome à partir de 10h. Ce sont 4 000 journalistes qui sont attendus à Rome pour suivre la cérémonie. Et en France, comme dans de nombreux pays, les médias audiovisuels s'apprêtent à basculer en édition spéciale que ce soient les radios, comme RFI, les grandes chaînes nationales comme TF1 ou France 2, les chaînes d'info en continu comme BFMTV, CNews ou France 24, mais aussi la chaîne d'un journal comme Le Figaro TV.Cette couverture exceptionnelle est à la mesure d'un événement planétaire qui touche 1,4 milliard de catholiques. Il est vrai aussi que le premier pape issu du Sud global était devenu très populaire partout dans le monde, notamment pour ses positions en faveur des migrants, de la survie de la planète ou de la justice sociale. L'audience de ses obsèques devrait donc être colossale, car les télés du monde entier peuvent reprendre librement les images diffusées en mondovision depuis le centre de télévision du Vatican. Une diffusion gratuite à la différence de l'onéreuse Coupe du monde de football.Des centaines de millions de personnes suivront la cérémonieLes événements autour de la figure du pape génèrent beaucoup d'audience, dès qu'il s'agit d'accompagner la ferveur populaire. Un million de personnes sont attendues à Rome. Devant leurs écrans, sur les ondes ou sur internet, c'est pareil. Des centaines de millions de personnes vont vivre en direct le dernier chapitre de la vie de celui qu'on appelait le « pape des pauvres » et que certains voient déjà comme un saint.En 2013, au moment de son élection, après le suspense du conclave, François avait permis aux éditions spéciales de TF1 et France 2 de réaliser des cartons d'audience avec 12,3 millions de téléspectateurs à elles deux. Pour la béatification des papes de Jean-Paul II et Jean XXIII, en 2014, le Vatican avait indiqué qu'il espérait réunir deux milliards de personnes dans le monde.  « Un messager de l'espoir, de l'humilité et de l'humanité ».La mort du pape François n'a pas été accompagnée de polémiques. Même si on a pu critiquer ici ou là certaines de ses prises de position, il y a eu assez peu de franche remise en cause. On a bien entendu Philippe de Villiers sur Europe 1 parler d'un « pape woke » qui a « persécuté les chrétiens de la tradition de l'Église de notre enfance », mais cela en disait plus long finalement sur ses obsessions que sur le pape.Surtout, il n'y a pas eu l'habituelle polémique sur l'utilisation des antennes publiques à des fins religieuses. Sans doute parce que rarement un pape n'avait fait autant l'unanimité à gauche, en particulier du côté des écologistes et des Insoumis. Au-delà, selon António Guterres, secrétaire général de l'ONU, il restera  « un messager de l'espoir, de l'humilité et de l'humanité ».À lire aussiRome et le Vatican se préparent dans l'émotion aux funérailles du pape François

Le Billet politique
Le Pape François, une mort aussi politique que son pontificat

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 4:59


durée : 00:04:59 - Le Billet politique - par : Astrid de Villaines - Les Écologistes ressortent l'encyclique "Laudate Si", les Insoumis louent le message papal sur Gaza, Eric Zemmour invoque l'Esprit Saint pour qu'il inspire mieux le successeur de François. Politiques et religions, deux mots qui ne vont pas toujours ensemble au pays de la laïcité.

Politique, le choix de la semaine
Budget français: le Premier ministre François Bayrou à nouveau la tête dans l'entonnoir

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Apr 20, 2025 2:30


Prendre l'opinion à témoin : c'était l'objectif du Premier ministre en réunissant mardi 15 avril le nouveau « comité d'alerte sur le budget ». Une appellation censée incarner l'urgence du moment et la hauteur vertigineuse du mur de la dette : plus de 3 300 milliards d'euros. Le Premier ministre tente donc d'insuffler cette petite musique catastrophiste en amont du budget qui arrivera à la rentrée.  François Bayrou a employé un lexique alarmiste : « montagne de difficulté », « situation intenable ». Une chose est sûre : le Premier ministre a voulu capter l'attention d'une opinion publique défiante à son égard. « Rien ne serait possible sans le soutien des Français. Et leur soutien ne viendra que de leur pleine information », explique-t-il. Prendre l'opinion publique à témoin permettra-t-il de trouver un consensus politique pour faire voter le budget ? Rien n'est moins sûr. Si le Premier ministre François Bayrou a rappelé un contexte que les français connaissent déjà, il n'a proposé aucun diagnostic. Et preuve qu'un accord politique sur ce futur budget est encore bien lointain, les oppositions sont restées campées sur leurs positions.Budget base zéro, un concept utilisé aux États-UnisPour plancher sur le budget, François Bayrou et son gouvernement veulent mettre en œuvre une autre méthode, celui du budget base zéro, où toutes les dépenses sont annulées, un concept utilisé notamment aux États-Unis. Après le ministre de l'Économie Eric Lombard, qui a prévenu qu'il fallait faire un effort supplémentaire de 40 milliards d'euros, tous les moyens sont bons pour trouver des solutions.Le budget base zéro est une méthode qui diffère des approches budgétaires traditionnelles. Chaque dépense doit être justifiée. Cette fois-ci, pas d'élaboration du projet de loi de finances en partant de celui de l'année précédente : on part d'une feuille blanche pour chaque ministère. La méthode est utilisée aux États-Unis par Elon Musk, notamment, mais les proches du Premier ministre expliquent que, dans le cas présent, « cela n'a rien à voir ». À lire aussiBudget 2026: «Il va être difficile d'arriver à 40 milliards d'économie»Des menaces de censure pressantesDepuis quelques jours les menaces de censure des oppositions se font de plus en plus pressantes. Comme chaque année les premières discussions sur le budget réveillent les envies de censure. L'épée de Damoclès pourrait donc rester accrochée plusieurs mois au-dessus de la tête du Premier ministre. Car le Rassemblement national, les Insoumis, ainsi que les socialistes ont déclaré cette semaine être prêts à voter une motion de censure sur le budget cet automne. Pas question pour eux de demander aux français de se serrer la ceinture.À noter néanmoins qu'étant donné leurs actualités respectives, la censure peut s'éloigner. Le PS se retrouve avec un congrès pour désigner le successeur d'Olivier Faure. Chez LR, le duel entre Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau s'impose. Et du côté du RN, il y a la condamnation de Marine Le Pen, pour laquelle désormais toute censure du gouvernement fera automatiquement peser un risque sur la cheffe de file du parti d'extrême-droite. Seule la France insoumise pourrait mettre rapidement sa menace à exécution, mais sans aucun danger pour François Bayrou.  

Le brief politique
Avec la condamnation de Marine Le Pen, la menace de censure revient en force

Le brief politique

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 2:23


durée : 00:02:23 - Le brief politique - Insoumis et socialistes parlent de nouveau de renverser le gouvernement. Le Rassemblement national ne l'exclut pas, mais décorrèle sa décision du sort de la patronne des députés RN.

Les lectures de Mediapart

Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs La droite et l'extrême droite ont violemment attaqué les magistrats après la peine d'inéligibilité immédiate prononcée contre la cheffe de file du Rassemblement national, tandis que La France insoumise a été la seule formation de gauche à dénoncer le principe de l'exécution provisoire. Un article de Pauline Graulle et Ilyes Ramdani publié lundi 31 mars et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique, le choix de la semaine
Assistants parlementaires européens: et revoilà le dossier Mélenchon

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Mar 30, 2025 2:43


Alors que Marine Le Pen connaîtra ce lundi le verdict du procès dit des assistants parlementaires européens du Rassemblement national, dans lequel elle risque une peine d'inéligibilité, Jean-Luc Mélenchon voit ressortir un dossier présentant des similarités avec cette affaire explosive. Le quotidien Libération révèle un rapport de l'Office européen de lutte anti-fraude dont les conclusions notent des « manquements » dans la gestion de ses assistants quand le leader Insoumis était eurodéputé.  Le rapport pose en particulier la question du rôle des assistants parlementaires de Jean-Luc Mélenchon alors qu'il siégeait au Parlement européen. Si la réalité de leur travail ne fait pas de doute, contrairement au dossier du Rassemblement national, la traçabilité de leurs activités pose problème selon l'Olaf, en particulier pour deux de ces assistants sur la vingtaine qu'a employé le leader insoumis au fil de ses années bruxelloises et strasbourgeoises. Au total, le coût de ces « manquements » pourrait s'élever à 500 000 euros selon le rapport. Interrogé par l'Olaf en 2020, Jean-Luc Mélenchon a admis qu'il lui était « matériellement impossible » de justifier le travail de ces assistants au quotidien et expliqué qu'il ne gérait de toute façon pas directement son enveloppe de frais de mandat.La France Insoumise affiche son étonnement« Pourquoi ce rapport qui date de 2021 est-il révélé cette semaine à quelques jours du verdict du procès Le Pen ? » fait-on mine de s'interroger dans les rangs Insoumis. Un timing qui pose question, selon une source dans le parti, qui déplore que les personnes mises en cause n'ont pas été contactées par Libération. Le quotidien accusé de « servir l'agenda du Rassemblement national » : l'évocation du dossier Mélenchon pourrait permettre de relativiser le verdict du procès de Marine Le Pen, selon des Insoumis, en noyant les pratiques du mouvement d'extrême droite dans un océan d'actions similaires des autres partis français. LFI qui rappelle que la procédure a été déclenchée à la suite d'un signalement en 2017 de l'eurodéputée RN Sophie Montel.À gauche, un certain malaiseUn eurodéputé socialiste admet ainsi que le rôle des attachés parlementaires, notamment ceux chargés de la presse, est toujours un peu flou. Même si pour lui, le dossier explique peut-être pourquoi Jean-Luc Mélenchon « a toujours été très prudent concernant le procès intenté à Marine Le Pen ». Son collègue écologiste David Cormand  estime que les deux cas ne sont pas comparables et que surtout aucune poursuite n'est formellement engagée alors que les faits reprochés sont anciens. « Il faut que la justice fasse son travail » poursuit-il, tout en s'étonnant lui aussi du moment de la révélation de ce rapport.

L'info en intégrale - Europe 1
La victoire des Bleus, l'agression du rabbin d'Orléans et l'incroyable applomb des Insoumis

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 7:11


Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les Bleus réussissent à se qualifier en demi-finale de la Ligue des Nations, l'agression du rabbin d'Orléans, l'incroyable applomb des Insoumis et Greenpeace condamné à 650 millions de dollars. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La revue de presse
La victoire des Bleus, l'agression du rabbin d'Orléans et l'incroyable applomb des Insoumis

La revue de presse

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 7:11


Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les Bleus réussissent à se qualifier en demi-finale de la Ligue des Nations, l'agression du rabbin d'Orléans, l'incroyable applomb des Insoumis et Greenpeace condamné à 650 millions de dollars. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'Edito Politique
La manifestation contre le racisme des Insoumis

L'Edito Politique

Play Episode Listen Later Mar 24, 2025 3:49


La manifestation contre le racisme de samedi avait été précédée par la polémique autour de l'affiche caricaturant Cyril Hanouna. Cette polémique a-t-elle pesé sur les cortèges ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le brief politique
Le numéro un des insoumis Manuel Bompard, ambitieux disciple de Jean-Luc Mélenchon

Le brief politique

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 2:20


durée : 00:02:20 - Le brief politique - Des élus qui connaissent bien le député marseillais de 38 ans lui prêtent des ambitions pour prendre la suite du chef insoumis, s'il ne se représentait pas.

C dans l'air
Russie : la réalité de la menace - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 10, 2025 63:56


C dans l'air du 10 mars 2025 - Russie : la réalité de la menaceDans son allocution télévisée mercredi dernier, le chef de l'Etat a mis en garde contre "l'agressivité" de Moscou "qui ne semble pas connaître de frontières" et face à laquelle "rester spectateur serait une folie". Une analyse sur la réalité de la menace russe et la nécessité de mettre en œuvre une défense européenne, alors que les Etats-Unis ont décidé de se désengager d'Ukraine, que ne partage pas l'ensemble de la classe politique. Si les socialistes et les écologistes soutiennent la fermeté de la France face à Vladimir Poutine et l'effort de réarmement annoncé, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont beaucoup plus ambigus. Le chef de fil des Insoumis défend une stratégie de "non-alignement " et une "diplomatie altermondialiste", contre "les fanfaronnades guerrières ". Il s'oppose comme la leader du RN à la constitution d'une défense européenne puisque selon eux, la Russie ne menace pas la France, ni le reste de l'Europe, hors l'Ukraine. "Il y a peu de chances que la Russie ambitionne de venir jusqu'à Paris" avait lancé ironique ces derniers jours Marine Le Pen appelant à une paix rapide en Ukraine sans exiger de garanties de sécurité précises. Et si ces derniers jours, la Russie de Vladimir Poutine intensifie ses bombardements sur fond de suspension par les Etats-Unis du partage de renseignement américain avec l'Ukraine, pour Marine Le Pen le véritable "va t'en guerre", c'est Emmanuel Macron, et Donald Trump "tient ses promesses".Ce qui en fait "une patriote de papier" et "d'une certaine façon une adversaire de l'intérieur", selon les mots du patron du PS, Olivier Faure dimanche. De son côté, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann qui s'est dit en "confrontation absolue" avec Jean-Luc Mélenchon sur le sujet, a dénoncé "une tentation munichoise, une tentation défaitiste, une tentation de la capitulation". L'ancien président de la République socialiste François Hollande a pour sa part jugé Emmanuel Macron "lucide" sur la menace russe mais l'a jugé "trop discret" sur le "lâchage de l'Ukraine par Donald Trump parce que, en réalité, c'est en ce sens qu'il y a un risque pour la sécurité du continent européen".Dans une interview accordée à La Tribune Dimanche ce 9 mars, le ministre des Armées a annoncé qu'il réunira la semaine prochaine les présidents de groupes parlementaires pour évoquer la brûlante question de la sécurité européenne lors d'une réunion en huis clos avec l'état-major et le renseignement. "Je considère que l'on ne peut pas laisser des responsables politiques, et même demain des candidats à l'élection présidentielle, trop loin des réalités du monde", a souligné Sébastien Lecornu estimant que ce briefing est nécessaire pour la bonne tenue du débat démocratique sur la stratégie de la France. "Ceux qui nient la menace russe se trompent et engagent leur crédibilité pour l'avenir car leurs propos vieilliront mal" a-t-il ajouté, préconisant d'augmenter le de budget de la défense à hauteur de 100 milliards d'euros par an. Avant cette réunion avec les présidents de groupes parlementaires, le ministre recevra ce mercredi ses homologues des quatre autres poids lourds militaires européens - Allemagne, Italie, Pologne, Royaume-Uni - pour "coordonner leur action en soutien à Kiev".Pour rappel, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a récemment annoncé un "plan de 800 milliards d'euros en faveur de la défense européenne". La course à l'armement s'intensifie en Europe. Une bonne nouvelle pour l'industrie française, parmi les leaders de l'armement dans le monde, mais aussi pour l'industrie turque. Sous l'impulsion d'Erdogan, la dépendance de l'armée turque au matériel étranger est tombée de 70 % à 30 %. Son industrie de la défense compte aujourd'hui 2 000 entreprises, emploie 100 000 salariés et exporte ses produits dans près de 170 pays, notamment ces célèbres drones Bayraktar (le porteur de drapeau", en turc) utilisés par l'armée ukrainienne contre les Russes.Des troupes ukrainiennes qui se trouvent actuellement en difficulté sur le front, alors que Volodymyr Zelensky est attendu ce lundi 10 mars en Arabie Saoudite à la veille de la rencontre avec la diplomatie américaine pour discuter d'un éventuel accord de paix avec la Russie. Alors quelle est la réalité de la menace russe ? Les experts :- JAMES ANDRE - Grand reporter – France 24- DAPHNÉ BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationaleUniversité Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

L'invité de RTL
POLITIQUE - Éric Coquerel est l'invité de RTL Midi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Mar 6, 2025 6:59


Des efforts à faire pour réarmer l'Europe et faire face à la menace russe mais pas de hausse d'impôt assure Emmanuel Macron. Peut-on y croire ? Comment financer l'effort de guerre ? Est-ce le retour du "quoi qu'il en coûte" ? Écoutez le sentiment de Éric Coquerel, député Insoumis et président de la Commission des finances. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 06 mars 2025.

Le zapping d'Europe 1
Les aventures au Mexique du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon

Le zapping d'Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 3:21


Dimitri Vernet revient sur les principaux événements politiques de la semaine. Il analyse les prises de position d'Edouard Philippe et de la France Insoumise concernant la saisie des avoirs russes, tout en s'interrogeant sur les enjeux nationaux et internationaux. Avec son regard avisé, Dimitri Vernet offre un décryptage essentiel pour comprendre les tendances qui façonnent l'actualité politique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Philippe Val - Les signatures d'Europe 1
Pour les Insoumis, il y a les bons et les mauvais milliardaires

Philippe Val - Les signatures d'Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 3:22


Emmanuel Ducros et Dimitri Pavlenko analysent le débat autour de la confiscation des avoirs russes en Europe. Ils examinent les différentes positions politiques, les enjeux juridiques et les conséquences économiques potentielles d'une telle mesure. L'émission offre un éclairage nuancé sur un sujet complexe et sensible, au cœur de l'actualité liée au conflit en Ukraine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Voyage en absurdie
Pour les Insoumis, il y a les bons et les mauvais milliardaires

Voyage en absurdie

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 3:22


Emmanuel Ducros et Dimitri Pavlenko analysent le débat autour de la confiscation des avoirs russes en Europe. Ils examinent les différentes positions politiques, les enjeux juridiques et les conséquences économiques potentielles d'une telle mesure. L'émission offre un éclairage nuancé sur un sujet complexe et sensible, au cœur de l'actualité liée au conflit en Ukraine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

En Attendant Godard - Radio C-Lab

Émission polar, fureur et chasser du nazi. Parce qu'on a la rage, on restera debout quoi qu'il arrive, la rage d'aller jusqu'au bout et là où veut bien nous mener la vie. Parce qu'on a la rage, rien ne pourra plus nous arrêter. Insoumis, sage, marginal, humaniste ou révolté.(Son crado dans les 4 premières minutes, ça s'arrange ensuite)Dispo itou on da tube :Au programme cette semaine :* Broken Rage, nouveau film de Beat Takeshi Kitano, son premier à parvenir officiellement chez nous depuis Outrage en 2010. Film méta essayant une nouvelle fois de combiner les deux faces de Kitano.* The Order, de Justin Kurzel. Glorieuse alopécie contre fachos.______PUBLIC SERVICE ANNOUNCEMENT: Le Film du Dimanche Soir, dimanche 02 mars, le train de la révolution passera près de chez vous.El Comandante est passé chez les camarades de Monsieur Bobine pour discuter de Bob Dylan.______Coups de cœur:THOMAS: Le Prédicateur (Robert Duvall)THIBAUT: Le Sommet des Dieux (Pascal Imbert)DOC ERWAN: Le Génie des alpages (F'muur)Margaux: Bref, saison 2PLAYLISTPrégénérique / Extrait The OrderThe Hives / Two-Timing Touch And Broken BonesChumbawamba / On the Day the Nazi DiedExtrait / The Order

Le Nouvel Esprit Public
Thématique : le référendum, à quoi ça sert ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Feb 23, 2025 55:52


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 23 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Raphaël Doan, essayiste, haut fonctionnaire.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.frLE RÉFÉRENDUM, À QUOI ÇA SERT ?Lors de son allocution à l'occasion des vœux de fin d'année, le président de la République a émis l'idée de recourir à un ou des référendums à propos de certains « sujets déterminants ». Il s'inscrit ainsi dans la lignée de ses déclarations précédentes, puisqu'il avait déjà proposé de recourir à cet outil au moment de la crise des Gilets Jaunes. L'annonce d'un potentiel recours au peuple par ce biais a suscité de nombreux commentaires, à gauche comme à droite. Le Rassemblement National défend de longue date la tenue d'un référendum sur les questions migratoires, tandis qu'une partie de la gauche souhaite que ce soit la réforme des retraites qui fasse l'objet d'une consultation. Le président (Insoumis) de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel, a quant à lui suggéré que soit organisé un « référendum révocatoire » qui remettrait en jeu le mandat du président de la République.Historiquement, la question du référendum est indissociable de la figure du général de Gaulle, dont la pratique régulière des consultations populaires s'est terminée par sa démission après l'échec de son projet de réforme régionale et du Sénat. Cette défaite, combinée au rejet en 2005 du projet de constitution européenne, ont contribué à raréfier la pratique du référendum dont la perception a également été modifiée : instrument permettant de dénouer les conflits pour les uns, il est présenté par les autres comme l'outil populiste par excellence, puisqu'il a pour fonction de faire appel directement au peuple dont la volonté serait supposément mal comprise par les élites. Ses détracteurs attaquent en outre son manichéisme et la personnalisation du pouvoir qu'il entraîne, un référendum sur une question se trouvant bien souvent assimilé à un plébiscite pour ou contre celui l'ayant proposé.Dans le climat politique français actuel, la question du gouvernement par référendum se pose avec d'autant plus d'acuité qu'Emmanuel Macron ne dispose pas de la majorité absolue à l'Assemblée. Proposer des référendums lui permettrait alors de faire passer des textes sans passer par la représentation nationale. De l'autre côté, une défaite l'exposerait à l'intensification des appels à sa démission, approfondissant un peu plus la crise politique ouverte par la dissolution de juin dernier. Cette proposition est donc loin de faire l'unanimité au sein même de la majorité présidentielle. Dans un entretien publié en 2017 dans la revue Esprit, le philosophe Bernard Manin diagnostiquait le passage d'une démocratie de partis à une démocratie du public, dans laquelle « les différents segments de la population ne se reconnaissent plus durablement dans les partis, mais peuvent se regrouper momentanément pour produire le succès ou l'échec de l'un d'entre eux ». En creux, le référendum apparaît comme un moyen d'outrepasser ces divisions en forçant une adhésion claire. Subsiste cependant le risque d'une alliance des contraires qui ferait échouer les projets présidentiels.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Politique
Adoption du budget 2025 : Bayrou échappe à la censure, le NFP vole en éclat

Politique

Play Episode Listen Later Feb 6, 2025 40:01


François Bayrou a réussi son pari : en négociant avec les socialistes, il dote la France d'un budget et se maintient à Matignon. Mais en ne censurant pas le gouvernement, le PS s'est attiré les foudres des Insoumis et a fait voler en éclat le Nouveau Front Populaire (NFP). Dans cette émission, il sera aussi question de la campagne de lutte contre la drogue voulue par Bruno Retailleau et le lancement d'un clip choc à l'attention des consommateurs. 

C dans l'air
Budget : qui va payer la facture ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 64:32


C dans l'air du 17 janvier 2025 - Budget : qui va payer la facture ?Le nouveau ministre François Bayrou a échappé jeudi à la première motion de censure. Le texte, déposé à l'initiative des Insoumis, des Écologistes et des communistes, a échoué à renverser son gouvernement, avec seulement 131 voix sur les 288 nécessaires. Le maintien du Premier ministre ne faisait guère de doute, la droite et le Rassemblement national ayant annoncé qu'ils ne voteraient pas le texte, rendant son adoption numériquement impossible. L'incertitude portait davantage sur l'attitude du Parti socialiste, divisé depuis la déclaration de politique générale, et qui a finalement tranché en dernière minute pour ne pas le censurer."Nous avons choisi de ne pas pratiquer la politique du pire parce qu'elle peut conduire à la pire des politiques : l'arrivée de l'extrême droite", lance, à la tribune, le patron des socialistes, sous les vives interpellations de ses camarades mélenchonistes. "Nous sommes dans l'opposition et nous y resterons", a expliqué Olivier Faure, avant de lister la totalité des points qui ont motivé ses troupes à ne pas voter cette motion. Parmi lesquels l'ouverture de concertations avec les partenaires sociaux sur la réforme des retraites, la création ou le maintien de 12000 postes de personnels soignants, la non-suppression des 4000 postes dans l'éducation nationale, l'annulation du ticket modérateur sur les consultations médicales, l'abandon du projet de passage de 1 à 3 jours de carences dans la fonction publique, l'augmentation de l'enveloppe budgétaire allouée aux l'hôpitaux…En comptant la réindexation des retraites au 1er janvier, le coût de ces mesures est estimé 6,5 milliards d'euros. Mais si on l'enlève, la facture est plutôt de l'ordre de 2,5 milliards d'euros, sur lesquels Bercy compte récupérer 1 milliard auprès des mutuelles qui ont augmenté leur tarif en vue de la hausse du ticket modérateur, finalement annulé.Reste 1,5 milliards d'euros qui viennent s'ajouter aux 32 milliards d'euros d'économies déjà fixées. Point sur lequel François Bayrou est resté jusqu'à présent très sobre concernant les moyens d'y parvenir. Dans son discours de politique générale mardi, le Premier ministre a dénoncé une "bureaucratie trop lourde" et s'est interrogé sur la nécessité d'avoir 1 000 agences et autres établissements publics. Mais cette volonté de simplification administrative n'est pas nouvelle. Ainsi, dans le gouvernement sortant, l'ancien ministre de la Fonction publique de Michel Barnier, Guillaume Kasbarian, souhaitait supprimer "plusieurs dizaines" de ces "comités Théodule". Alors qui est visé ? Quelles seront ces économies ? Qui va payer la facture ?Les experts : - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOPPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

RTL Matin
CENSURE - Vincent Jeanbrun, député LR, est l'invité de Yves Calvi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 9:02


Le bureau national du Parti socialiste a finalement décidé de ne pas censurer le gouvernement Bayrou. Une lettre du Premier ministre aux présidents de groupe parlementaire a lâché d'ultimes concessions aux Socialistes, mais plusieurs députés PS pourraient faire fi de la consigne sur la censure. En refusant de voter la motion de censure déposée par leurs alliés du NFP, les Socialistes s'exposent à la colère des Insoumis, Communistes et Écologistes. Du côté de la droite Républicaine, Laurent Wauquiez a expliqué que son groupe ne la votera pas, mais sera "un soutien exigeant". Écoutez Vincent Jeanbrun, député du Val-de-Marne, porte-parole des Républicains. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 16 janvier 2025.

L'invité de RTL
CENSURE - Vincent Jeanbrun, député LR, est l'invité de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 9:02


Le bureau national du Parti socialiste a finalement décidé de ne pas censurer le gouvernement Bayrou. Une lettre du Premier ministre aux présidents de groupe parlementaire a lâché d'ultimes concessions aux Socialistes, mais plusieurs députés PS pourraient faire fi de la consigne sur la censure. En refusant de voter la motion de censure déposée par leurs alliés du NFP, les Socialistes s'exposent à la colère des Insoumis, Communistes et Écologistes. Du côté de la droite Républicaine, Laurent Wauquiez a expliqué que son groupe ne la votera pas, mais sera "un soutien exigeant". Écoutez Vincent Jeanbrun, député du Val-de-Marne, porte-parole des Républicains. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 16 janvier 2025.

L'info en intégrale - Europe 1
Aurélien Taché : «Mon objectif est de proposer une alternative à la politique de François Bayrou»

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Dec 17, 2024 7:15


Aurélien Taché, député LFI du Val-d'Oise, explique le choix des Insoumis de boycotter les consultations menées par François Bayrou pour former un gouvernement d'union. Leur refus d'un « pacte de non-censure » s'inscrit dans une stratégie claire : proposer une alternative politique sans compromissions avec le camp macroniste.Fidèles à leurs engagements de 2022, les Insoumis rejettent toute collaboration qui trahirait leurs électeurs. Taché évoque toutefois une possible convergence future, à condition que Bayrou opère un vrai changement de cap. Il aborde aussi la perspective d'une candidature de Jean-Luc Mélenchon en 2027, tout en rappelant l'ouverture du mouvement à d'autres figures.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'invité de RTL
POLITIQUE - Marine Tondelier est l'invitée de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Dec 9, 2024 10:39


La patronne des écologistes sera reçue à 11 heures ce lundi par le Président de la République. Avec ou sans les Insoumis, les Verts sont-ils prêts à rejoindre les Socialistes et à tendre la main à l'axe républicain ? Marine Tondelier, secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts, est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 09 décembre 2024.

C dans l'air
Notre-Dame: Macron peut-il faire des miracles - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 64:03


C dans l'air du 7 décembre - Notre-Dame s'inaugure... sans gouvernementNotre-Dame de Paris renaît de ses cendres. Après cinq ans de travaux intégralement financés par les dons, la mythique cathédrale est inaugurée aujourd'hui par une cinquantaine de chefs d'Etat, dont Donald Trump et Volodymyr Zelensky. Un chantier titanesque et au calendrier respecté. Une grande réussite pour Emmanuel Macron. Mais les images du week-end ne feront pas oublier la crise politique dans laquelle se trouve la France depuis six mois, et qui a empirée cette semaine avec la chute du gouvernement Barnier. Emmanuel Macron consulte en vue de la nomination d'un nouveau Premier ministre. Hier, les socialistes ont été reçus à l'Elysée. Olivier Faure, le premier secrétaire du parti, s'est dit prêt à discuter sur la base de « concessions réciproques. La fracture devient donc nette avec la France insoumise mais la formation d'un gouvernement allant du PS aux LR est loin d'être acté : Bruno Retailleau affirme que la droite « ne pourra faire aucun compromis avec la gauche ».Lundi, ce seront les communistes qui iront discuter à l'Elysée. André Chassaigne, le président du groupe à l'Assemblée, affirme qu'un Premier ministre de gauche est « indispensable » pour dénouer la situation. Il propose un « pacte républicain et social » pour cela. C dans l'air a suivi dans sa circonscription cette figure du Palais Bourbon, en fonction depuis vingt-deux ans.Pendant ce temps, dans la droite versaillaise, certains regrettent la chute de Michel Barnier et rejettent tous compromis avec une gauche alliée aux Insoumis. Certains préféreraient un rapprochement avec le RN mais avec quarante députés à l'Assemblée, la crainte est surtout que la droite ne tienne plus un rôle majeur. Alors, quel Premier ministre Macron va-t-il choisir ? Les communistes pourraient-ils s'associer au futur gouvernement ? Quel est la stratégie des Républicains depuis la censure ?Les experts : Richard WERLY – Journaliste, correspondant à Paris du média suisse Blick.chAlix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à France TélévisionsAgathe LAMBRET - Journaliste politique à FranceinfoJérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaisesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Macron: la pression monte... - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 64:43


C dans l'air du 5 décembre - Trois mois après sa nomination à Matignon, Michel Barnier a remis ce matin la démission de son gouvernement au président de la République, un record de brièveté sous la Ve République. L'histoire s'est accélérée hier soir à l'Assemblée nationale avec le vote de la motion de censure déposée par le Nouveau Front Populaire par 331 députés, bien plus que les 288 nécessaires. Toutes les oppositions ont voté pour renverser le gouvernement, une première depuis soixante-deux ans, en 1962 sous la présidence de Charles de Gaulle.Et maintenant ? En attendant la nomination d'un nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, le chef de file des députés macronistes, a appelé tous les partis, sauf le RN et LFI, à trouver un compromis. Chez Horizons on plaide également pour une "coalition" qui aille de la "droite républicaine" aux "socio-démocrates". Laurent Wauquiez, chef des Républicains à l'Assemblée nationale, a lui affirmé que son groupe "ne fera pas tomber un gouvernement" même s'il n'y participe pas. À gauche, le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale Boris Vallaud a appelé à "un gouvernement de gauche ouvert aux compromis". "Ça suppose que nous abandonnons le 49.3, qu'il n'y aura pas de passage en force et que sur chaque texte nous serons obligés de trouver des compromis", a expliqué ce matin Olivier Faure. Le patron des socialistes a également assumé ses "divergences avec Mathilde Panot", la cheffe de file des députés Insoumis, rétorquant qu'il "vaut mieux parfois faire un pas qui n'est pas exactement celui qui était prévu, plutôt que de ne rien faire et rester dans la protestation". Le Parti socialiste et les écologistes ont demandé au chef de l'Etat de recevoir "les chefs de partis et les présidents des groupes parlementaires de l'Assemblée nationale et du Sénat ayant participé au front républicain" lors des dernières législatives. Dans une lettre ouverte, la secrétaire nationale des Verts a également exhorté le chef de l'Etat à "consentir à accorder aux Français l'alternance politique qu'ils réclament" en nommant un Premier ministre "issu de la gauche et des écologistes". Le leader de Place publique Raphaël Glucksmann a de son côté appelé ce jeudi dans une tribune parue dans Le Monde à la construction d'une "plateforme minimale" entre les forces politiques ayant fait barrage à l'extrême droite aux dernières élections législatives.À l'extrême droite, Marine Le Pen, la cheffe des 124 députés RN, a déclaré qu'elle "laissera travailler" le futur Premier ministre pour "co-construire un budget acceptable pour tous".Pendant ce temps, à l'Elysée, le chef de l'Etat a déjeuné ce jeudi avec François Bayrou. Le nom du président du MoDem, allié du chef de l'Etat depuis 2017, circule pour le poste de Premier ministre, de même que celui du ministre des Armées Sébastien Lecornu, un fidèle d'Emmanuel Macron. Le président de la République doit s'exprimer ce soir à 20 heures. Il pourrait nommer rapidement un successeur alors que selon un dernier sondage Harris Interactive pour RTL, une majorité des Français, 53 %, indiquent approuver cette censure. Ils sont nombreux à l'approuver notamment chez les sympathisants des partis de gauche (78 % pour LFI, 66 % pour le PS et 61 % pour les écologistes) et du Rassemblement national (74 %). Pour autant, 82 % des Français sondés se disent inquiets pour l'avenir de la France.Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express- Brigitte BOUCHER - journaliste politique à franceinfo TV- Caroline VIGOUREUX - journaliste politique et société à la Tribune DimanchePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Barnier : le compte à rebours est lancé - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 30, 2024 68:30


C dans l'air du 30 novembre - Barnier : le compte à rebours est lancéLa tension monte à Matignon. Menacé de censure par le Rassemblement national, Michel Barnier multiplie les concessions politiques. Le Premier ministre a annoncé qu'il n'allait pas augmenter les taxes sur l'électricité, comme prévu initialement dans le projet de budget 2025. Selon lui cette concession entraînera une "baisse des prix de l'électricité de 14 %, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9 % prévue initialement". La présidente du RN à l'Assemblée nationale avait fait de ce sujet la ligne rouge à ne pas dépasser. "C'est un début prometteur", a réagi son entourage auprès du journal Les Échos. Mais cela sera-t-il suffisant pour éviter la censure ? Jeudi, à quelques jours du retour du projet de loi de financement de la sécurité sociale à l'Assemblée, le RN a listé ses exigences : le maintien des allégements de charges pour les TPE-PME, l'indexation des pensions sur l'inflation pour tous les retraités au 1er janvier ainsi que la fin du déremboursement des médicaments.À l'opposé de l'hémicycle, les Insoumis se sont fait prendre à leur propre jeu. Lors de leur niche parlementaire ce jeudi, ils avaient prévu de faire voter un texte pour l'abrogation de la réforme des retraites. Mais La droite et les macronistes ont déposé plus de 1000 amendements pour obstruer les débats : "Ils veulent faire vivre le débat, on va faire vivre le débat", avait ironisé le député LR de la Manche Philippe Gosselin. Trois mois après la nomination de Michel Barnier par Emmanuel Macron, l'Assemblée nationale est plus clivée et chaotique que jamais, en témoigne l'altercation qui a éclaté jeudi entre plusieurs députés. Face à ce sentiment de blocage politique, les regards sont de plus en plus tournés vers le chef de l'État : en cas de censure du gouvernement, ils sont plusieurs, de Jean-Luc Mélenchon à Jean-François Copé en passant par Charles de Courcon à suggérer qu'Emmanuel Macron démissionne.Si la panique est palpable à Matignon, à Beauvau, Bruno Retailleau trace son chemin. Le très droitier ministre de l'Intérieur multiplie les déplacements sur les thèmes du narcotrafic et de la lutte contre l'immigration clandestine, comme à Calais ce vendredi. En deux mois, ce catholique conservateur, ancien disciple de Philippe de Villiers, bras droit de François Fillon et proche de Patrick Stefanini, a réussi à imprimer sa marque au ministère de l'Intérieur. Quitte à froisser l'Élysée en choisissant ses propres chefs de la police et de la gendarmerie, au détriment des suggestions de son prédécesseur. L'ancien président du groupe LR au Sénat a aussi multiplié les déclarations chocs en interview, expliquant sur LCI que "l'immigration n'est pas une chance". Malgré les vifs débats et revers (Aide médicale d'État), autour de la dernière loi immigration, Bruno Retailleau envisage déjà un nouveau texte pour 2025, afin d'y remettre les amendements censurés par le Conseil d'État. Il avait d'ailleurs prévenu dans un entretien au JDD : "l'État de droit n'est pas intangible ni sacré".En attendant de voir à quoi ressemblera l'Assemblée dans les prochaines semaines, les députés continuent d'arpenter leurs circonscriptions pour recueillir les impressions de leurs électeurs. Chez LFI et le RN, la plupart souhaite tourner la page Michel Barnier. Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, c'est aussi le cas de plus d'un Français sur deux (53%). Une équipe de C dans l'air a suivi un député RN de l'Eure et une autre LFI en Seine-Saint-Denis pour observer leur travail de terrain.Michel Barnier peut-il encore éviter la censure ? Bruno Retailleau peut-il être un candidat à sa succession ? Et comment les députés d'opposition préparent déjà l'après ?Les experts : - Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions- Myriam ENCAOUA - Journaliste-Présentatrice- LCP- Christelle BERTRAND - Journaliste politique Groupe La Dépêche, auteure de "La Macronie"PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le sept neuf
En cas de présidentielle anticipée, Mélenchon "ne sera pas au deuxième tour, il le sait", affirme Hollande

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 22:16


durée : 00:22:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - François Hollande, ancien président de la République, député PS de Corrèze, balaie l'idée d'une présidentielle anticipée, souhaitée à gauche par les Insoumis et Jean-Luc Mélenchon et plaide, si le gouvernement Barnier tombe, "pour chercher une nouvelle personne pour gouverner jusqu'en 2027".

L'invité de RTL
RETRAITES - Eric Woerth, ancien ministre du Budget. est l'invité de RTL Soir

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 8:20


Les députés examinent ce jeudi la proposition de loi des Insoumis pour revenir sur l'âge de départ à 64 ans. Les députés "socle commun ont déposé près de 1.000 amendements pour empêcher l'adoption de la proposition de loi avant minuit. De son côté Michel Barnier, menacé de censure par le Rassemblement national, a annoncé, dans un grand entretien au "Figaro", "une baisse des prix de l'électricité de 14%", une exigence de Marine Le Pen que le Premier ministre s'apprête donc à satisfaire. Àcoutez le point de vue de Eric Woerth, député (EPR) de l'Oise, ancien ministre du Budget. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 28 novembre 2024.

Les interviews d'Inter
En cas de présidentielle anticipée, Mélenchon "ne sera pas au deuxième tour, il le sait", affirme Hollande

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 22:16


durée : 00:22:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - François Hollande, ancien président de la République, député PS de Corrèze, balaie l'idée d'une présidentielle anticipée, souhaitée à gauche par les Insoumis et Jean-Luc Mélenchon et plaide, si le gouvernement Barnier tombe, "pour chercher une nouvelle personne pour gouverner jusqu'en 2027".

Le Grand Jury
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - L'abrogation de la réforme des retraites a-t-elle des chances d'être adoptée ?

Le Grand Jury

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 1:37


Dans leur niche parlementaire ce jeudi, les Insoumis proposent un texte pour abroger la réforme des retraites. Il a d'ailleurs été adopté en commission la semaine dernière. Mais dans l'hémicycle, il faut pouvoir aller au bout des discussions avant minuit. Et le socle commun a déposé près d'un millier d'amendements dans le but de freiner les débats. Selon toute vraisemblance, la retraite à 64 ans ne devrait pas étre abrogée cette fois encore. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 28 novembre 2024.

RTL Soir
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - L'abrogation de la réforme des retraites a-t-elle des chances d'être adoptée ?

RTL Soir

Play Episode Listen Later Nov 28, 2024 1:37


Dans leur niche parlementaire ce jeudi, les Insoumis proposent un texte pour abroger la réforme des retraites. Il a d'ailleurs été adopté en commission la semaine dernière. Mais dans l'hémicycle, il faut pouvoir aller au bout des discussions avant minuit. Et le socle commun a déposé près d'un millier d'amendements dans le but de freiner les débats. Selon toute vraisemblance, la retraite à 64 ans ne devrait pas étre abrogée cette fois encore. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Marie-Bénédicte Allaire du 28 novembre 2024.

Les Grandes Gueules
Le taquet du jour - Charles Consigny : "Je pense que les Insoumis ont été un peu échaudés d'être, eux-mêmes, entendus par la police judiciaire pour des faits d'apologie du terrorisme..." - 25/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 25, 2024 2:01


Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.