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C dans l'air l'invité du 26 mai 2025 avec Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale. Ce lundi, la Cour des comptes a averti dans un nouveau rapport d'un risque de "crise de liquidité" de la Sécurité sociale en 2027, en raison du dérapage "hors de contrôle" de ses dépenses. Dans son rapport, la Cour rappelle que le déficit de la Sécurité sociale s'est creusé à 15,3 milliards d'euros en 2024 (soit 4,8 milliards d'euros de plus que la prévision initiale) et que la prévision pour 2025 prévoit un nouveau creusement à 22,1 milliards d'euros. Elle présente des pistes pour mieux maitriser les dépenses. Elle réclame de serrer la vis dans l'intérim des professions paramédicales dans les hôpitaux, dont le coût a été "multiplié par trois" entre 2019 et 2023, à 472 millions d'euros. Elle propose également de ne pas jeter à la poubelle le stock stratégique de deux milliards de masques chirurgicaux constitué après le Covid. "Le régime des pensions d'invalidité pourrait être géré avec plus de finesse", note aussi la Cour. Un rapport qui arrive alors que les chauffeurs de taxis sont actuellement mobilisés, car la Sécurité sociale souhaite réduire les remboursements de frais de taxis pour transporter les malades.Ce matin sur RTL, Pierre Moscovici, premier président de la Cour des Comptes a affirmé : "Nous avons perdu le contrôle sur nos finances publiques", parlant d'un déficit "abyssal". Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, réagira à cette alerte de la Cour des Comptes.
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payer.Le Premier ministre a annoncé, ce mardi matin, un vaste plan de redressement des finances publiques qui portera sur trois ou quatre ans. Détaillé par le gouvernement au mois de juillet ce plan pluriannuel "de retour à l'équilibre des finances publiques va demander un effort à tous les Français. Le plus juste possible, mais un effort suffisant pour que la France sorte de cette situation qu'on a laissé grandir" a déclaré François Bayrou. Confronté d'ores et déjà à la colère des taxis, le chef du gouvernement a confirmé que la réforme de la rémunération du transport des malades s'appliquera bien début octobre et générera même "davantage d'économies que prévu" grâce à la concertation qui va s'ouvrir. Le Premier ministre a également indiqué qu'il souhaitait que les partenaires sociaux s'emparent de la question de la TVA sociale, abrogée par François Hollande en 2012. Ce dispositif consiste à compenser les réductions de cotisations qui repose sur le travail par une augmentation de la TVA pour compenser les pertes de recettes de la Sécurité sociale."Je souhaite que tous ceux qui ont la responsabilité du monde du travail, du monde de l'entreprise et du monde des salariés, acceptent de poser ensemble cette question", a affirmé le chef du Modem. François Bayrou ajoutant que "le travail en France n'est pas récompensé comme il devrait l'être" et se disant "prêt à revoir la totalité de la question du financement du modèle social français". Emmanuel Macron avait exprimé le 13 mai dernier son souhait d'"aller chercher de l'argent en dehors du seul travail", notamment par le biais de la "consommation", pour financer notre modèle social alors que les défaillances d'entreprises continuent d'augmenter en 2025 et les comptes publics sont dans le rouge.Hier, à quelques heures de présenter un rapport sur la Sécurité sociale, le premier président de la Cour des Comptes Pierre Moscovici a appelé la France à "reprendre le contrôle" de ses finances, dénonçant des dérapages et des années noires en 2023 et 2024. Face à une trajectoire des comptes de la Sécurité sociale "hors de contrôle", les sages de la rue Cambon explorent dans leur dernier rapport plusieurs préconisations. Parmi celles-ci, se trouvent des mesures de rééquilibrage des charges patronales, le cumul emploi-retraite ou encore la lutte contre la fraude à l'étranger.Alors quelle est la situation des finances publiques ? Comment redresser les comptes ? Qu'est-ce que la TVA sociale ? La fiscalité sur le travail est-elle trop lourde ? Le capital doit-il être plus taxé ? Quelles sont les pistes d'économie ? Qui va payer ?LES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payerLES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
Ce mardi 27 mai, la question des efforts exigés par François Bayrou pour compenser les comptes publics, et l'alerte de la Cour des comptes vis-à-vis des finances de la sécurité sociale, ont été abordées par Laurent Vronski, DG d'Ervor, Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, et Marc Vignaud, journaliste à L'Opinion, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C dans l'air du 24 mai 2025 : Taxis, agriculteurs... le retour des colères sociales ?Il « ne fera pas machine arrière ». Face à la grève des taxis, le gouvernement n'entend pas revenir sur le projet de nouvelle tarification de l'Assurance-maladie sur les transports de malades. Son objectif : freiner la progression des dépenses liées au transport sanitaire. Celles-ci ont atteint 6,74 milliards d'euros en 2024, soit une hausse de 45% depuis 2019. Le chiffre d'affaires des chauffeurs de taxis risquerait selon eux de baisser de 40%.Mais après le blocage hier des prises en charge dans deux gares parisiennes, une réunion aura lieu cet après-midi au ministère des Transports, en présence de François Bayrou. Si aucun accord n'est trouvé aujourd'hui, l'intersyndicale menace de perturber Roland Garros. Le sujet de la concurrence des VTC alimente aussi leur colère.Les agriculteurs se mobilisent également. Ceux-ci veulent mettre la pression sur les députés, à la veille de l'examen de la proposition de loi Duplomb visant à lever certaines de leurs contraintes (le stockage de l'eau ou l'accès à des pesticides). Plusieurs permanences d'élus de gauche opposés à ce texte ont été dégradées, tandis que l'autoroute A16, près de Beauvais, a été bloquée hier.Enfin, dans les petites communes, les maires sont de plus en plus nombreux à démissionner. Ceux-ci se sentent pris à la gorge par des contraintes budgétaires difficiles à suivre et à justifier auprès de la population locale. Entre désillusion et découragement, leur mécontentement est accentué par la surcharge bureaucratique et l'excès de normes. Cela fait craindre une pénurie de candidats pour les municipales de 2026.Alors, le gouvernement va-t-il éteindre la colère des chauffeurs de taxi ? La loi Duplomb sur l'agriculture va-t-elle être adoptée ? Comment apaiser le malaise des maires de petites villes ?LES EXPERTS :François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco, auteur de « Mécomptes publics »OLIVIER BABEAU - Essayiste, président de l'Institut SapiensGAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à ChallengesSANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOCPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 24 mai 2025 : Taxis, agriculteurs... le retour des colères sociales ?LES EXPERTS :François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco, auteur de « Mécomptes publics »OLIVIER BABEAU - Essayiste, président de l'Institut SapiensGAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à ChallengesSANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOC
durée : 00:08:41 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Dans son dernier rapport, la Cour des Comptes fait un bilan sévère de l'école primaire française, qu'elle estime en "situation d'échec". Parmi les facteurs de dysfonctionnement, la Cour évoque la semaine de 4 jours, réputée peu adapté aux besoins et au rythme des enfants. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Stéphanie Mazza Professeure de neuropsychologie à l'INSPE de l'université de Lyon 1
durée : 00:06:04 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Considérée comme la première armée européenne, la France a augmenté de 40% le budget alloué à sa Défense dans son plan de programmation militaire 2024 2030. Sera t-il à la hauteur de l'urgence ? La Cour des comptes s'inquiète des reports de charges qui ont atteint un record historique en 2024.
Conseil des ministres fédéral, erreur d’Élections Canada à Terrebonne, explosion des actes violents dans les écoles québécoises, et un livre-choc à paraître sur Joe Biden : Alexandre Dubé et Benoît Dutrizac passent l’actualité en revue. Une discussion franche sur l’amateurisme institutionnel et les signes inquiétants d’un climat social qui se détériore. La rencontre Dubé-Dutrizac avec Alexandre Dubé. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Une partie de la CAN 2022 s'est jouée dans le septentrion du Cameroun. Ce fut un véritable défi organisationnel pour la ville, qui a dû se transformer pour accueillir l'événement, notamment en matière d'infrastructures sportives et hôtelières. Trois ans après, Garoua, la capitale du Nord, en tire-t-elle encore les bénéfices ? De notre envoyée spéciale à Garoua, Au marché de Garoua, les vendeurs attendent patiemment les clients devant leurs étals. Sidiki a été fier de voir la CAN se dérouler dans sa ville, mais il affirme n'avoir tiré aucun bénéfice de cet événement.« Même pas un peu ! Même pas un tout petit peu ! Avant, on achetait un litre d'huile à 1 000 francs CFA, avec la CAN, le prix est monté à 1 500 francs CFA. Alors qu'on la fabrique ici ! », s'énerve le jeune homme. « On est en colère, mais au Cameroun, on reste ici seulement. On n'y peut rien ».Même son de cloche du côté d'Abdoulaye : « La CAN ? Je ne vois pas. Surtout moi, par exemple, je ne vois rien. Les gens souffrent au Cameroun, surtout les jeunes. Des routes ont été réaménagées dans la ville, on peut le reconnaître, oui. Mais pour aller à Ngaoundéré, avant, c'était quatre heures. Maintenant, il faut neuf heures. C'est un problème. Et du côté de l'extrême Nord, c'est encore pire ».Cependant, le projet CAN a entraîné des changements notables dans la physionomie de la ville. Un hôtel 4 étoiles imposant, le Ribadou, a vu le jour. Il dispose de 85 chambres, dont une suite présidentielle, et a permis l'embauche d'environ une centaine de personnes. Beaucoup étaient sceptiques quant à la viabilité d'un établissement de ce standing dans la région.De nouvelles appétences pour Garoua« La CAN a rendu la ville un peu plus attractive, ce qui favorise le tourisme d'affaires et les balades touristiques. Je crois que ce qui était difficile est désormais plus facile », explique Alain Mathieu Mvilongo, directeur général de l'hôtel.« Je peux même dire que je suis très satisfait par rapport aux attentes de ma maison mère. On nous avait demandé un taux de remplissage de 37%, nous sommes à 57%. Je pense qu'il faut quand même s'en féliciter », se réjouit-il.Pour Abdoul Bagui, directeur de l'urbanisme de la communauté urbaine de Garoua – et ancien directeur des services techniques à l'époque de la CAN – il ne fait aucun doute que la capitale du Nord bénéficie encore des retombées.« Après la CAN, la ville a connu une évolution presque exponentielle. Ce n'était pas prévu. On pensait atteindre environ 900 000 habitants en 2025, mais aujourd'hui, on est au-delà du million. C'est énorme », insiste-t-il.« Avant, la valeur foncière dans la ville tournait autour de 2 500 à 3 000 francs CFA le mètre carré. Aujourd'hui, elle oscille entre 10 000 et 20 000 francs CFA. Des constructions sortent de terre chaque jour. Cela signifie qu'il y a beaucoup de nouveaux arrivants, et que l'économie locale se porte bien ».Grâce à ce développement, le budget de la municipalité a doublé, selon lui. Garoua cherche désormais à améliorer son système de traitement des déchets et prévoit de développer un réseau de transport urbain à l'aide de bus électriques. Le chômage des jeunes demeure toutefois un défi majeur.À lire aussiBilan de la CAN 2022: ce qu'il faut retenir de cette édition au Cameroun
Lors d'une séparation, il faut mettre le nez dans les chiffres. Qui paie quoi? Qui gagne quoi? Qui donne à qui? Monique Jolliet est médiatrice à Lausanne. Elle aide les couples à y voir plus clair en écrivant les chiffres noir sur blanc. Une façon d'objectiver la réalité pour réduire les conflits et trouver une entente commune. Toujours amoureux, d'autres couples font le choix de tout anticiper par amour, même le pire des scénarios. Reportages de Manon Germond Réalisation: Didier Rossat Production: Raphaële Bouchet
C dans l'air du 1er mai 2025 - Budget : 40 milliards à trouver...La préparation du budget 2026 s'avère épineuse. Le gouvernement doit trouver quarante milliards d'euros d'économies, sans hausse d'impôt. Il y a quelques jours, le ministre de l'Aménagement de territoires a alors suggéré la création d'une « contribution modeste » pour « renouer le lien » entre les collectivités et les Français qui y résident. Si récréer la taxe d'habitation est écartée, sa suppression en 2023 est toutefois vue comme une « faute originelle » selon le président du Sénat, Gérard Larcher.Le gouvernement pourrait aussi supprimer l'abattement fiscal de 10% dont bénéficient les retraités sur leur pension. Une mesure qui permettrait de récupérer cinq milliards d'euros. Dans cette foire aux propositions, il y a aussi celle d'instaurer des « frais de gestion » sur les petits colis entrant en Europe, à hauteur de « quelques euros par colis » selon la ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin.Pendant ce temps, le secteur de la chimie s'inquiète. La concurrence chinoise est de plus en plus forte et certaines entreprises sont en dangers. C dans l'air est allé à la rencontre de certains dirigeants de l'usine WeylChem Lamotte, dans l'Oise. Ce géant de la chimie, seul fabricant européen d'acide glyoxylique, un composant chimique essentiel à la fabrication d'antibiotiques, vient d'annoncer un plan de restructuration pour 2025.Cette situation économique difficile est ressentie par les ménages. Le pouvoir d'achat reste la préoccupation numéro un des Français, et ils sont beaucoup à chercher les moyens d'arrondir leurs fins de mois. Certains choisissent de réceptionner les colis de leur voisinage, transformant leur domicile en relais colis de quartier. Mais malgré l'organisation et le temps que ça nécessite, les revenus sont faibles.Alors, comment le gouvernement va-t-il boucler le budget 2026 ? Le secteur français de la chimie a-t-il raison de s'inquiéter ? Comment se porte le pouvoir d'achat des Français ?LES EXPERTS : Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur du Grand basculementGaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction de ChallengesFanny GUINOCHET - Éditorialiste économique de France Info et La TribuneChristophe RAMAUX – Économiste, enseignant à l'université Paris I Panthéon Sorbonne
La ministre chargée des Comptes publics souhaite taxer les millions de colis qui arrivent chaque jour en Europe depuis la Chine, pour l'essentiel des produits achetés sur Temu et Shein. Sauf que le gouvernement n'assume pas l'idée que c'est une taxe et prend les Français pour des idiots... Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 01 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:31 - Musicopolis - par : Anne-Charlotte Rémond - Au lendemain de la Libération, après avoir rendu hommage aux disparus, l'épuration commence dans toute la société française. Le milieu musical doit lui aussi rendre des comptes. - réalisé par : Philippe Petit
La ministre chargée des Comptes publics souhaite taxer les millions de colis qui arrivent chaque jour en Europe depuis la Chine, pour l'essentiel des produits achetés sur Temu et Shein. Sauf que le gouvernement n'assume pas l'idée que c'est une taxe et prend les Français pour des idiots... Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La proposition de la ministre chargée des Comptes publics de supprimer ou fusionner un tiers des agences de l'État s'est attiré les critiques de Sophie Binet, patronne de la CGT. Mais pour Natacha Polony, éditorialiste à « Marianne », on peut être conscient que la question du naufrage économique de la France nécessite un changement complet de paradigme et ne pas s'aveugler pour autant sur l'inextricable jungle des dépenses inutiles.Le magazine Marianne est en kiosques et en ligne chaque jeudi."Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti". Albert CamusMarianne TV : https://tv.marianne.net/Marianne.net : https://www.marianne.net/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:44 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - François Ecalle et ses "Mécomptes publics"
durée : 00:59:09 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - A l'heure où le déficit public français est le plus élevé de la zone euro, et que 40 milliards d'euros d'économie sont exigés, nous recevons François Ecalle conseiller maître honoraire à la cour des comptes.
Dans un podcast inédit, Stanislas Vignon, rédacteur en chef de "Ça peut vous arriver", vous dévoile chaque jour certains des cas qui seront abordés par son équipe à l'antenne dans l'émission le lendemain. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 28 avril, le souhait d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, de fusionner ou de supprimer un tiers des agences et des opérateurs de l'État pour générer "deux à trois milliards d'euros d'économies" a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 28 avril, le souhait d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, de fusionner ou de supprimer un tiers des agences et des opérateurs de l'État pour générer "deux à trois milliards d'euros d'économies" a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Une heure d'entretien incontournable en partenariat avec CNEWS et Les Echos. Une personnalité politique, un dirigeant économique ou un intellectuel revient sur les grands thèmes de l'actualité et répond aux questions sans détours de Jacques Serais pour apporter des réponses concrètes aux français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une heure d'entretien incontournable en partenariat avec CNEWS et Les Echos. Une personnalité politique, un dirigeant économique ou un intellectuel revient sur les grands thèmes de l'actualité et répond aux questions sans détours de Jacques Serais pour apporter des réponses concrètes aux français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 23/04/2025, il réagit aux propos d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics qui vise l'abattement fiscal des retraités pour l'assainissement des finances publiques. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 23/04/2025 Déficit budgétaire : faut-il faire payer les retraités ? Toujours à la recherche de 40 milliards d'euros pour combler le déficit, le gouvernement de François Bayrou multiplie les pistes. Récemment, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a émis l'hypothèse de revenir sur l'abattement fiscal des retraités. Institué en 1977, il permet aux retraités de réduire leur revenu imposable de 10 %, une mesure calquée sur l'abattement censé couvrir les frais professionnels des salariés. Chaque année, il représente un manque à gagner de 4 milliards pour l'État. Sa possible suppression fait débat tant la question est liée aux équilibres politiques. Les retraités représentent 14 millions d'électeurs, un socle électoral dont peu de partis peuvent se passer. Les oppositions, de tous bords confondus, ont fait part de leur désaccord : "18,5 millions de retraités vont payer plus d'impôts et 500 000 retraités, qui n'étaient pas encore imposables, vont le devenir", a dénoncé Marine Tondelier (EELV), alors que Laurent Jacobelli (RN) surenchérit en invoquant "un motif de censure possible". Pour le gouvernement, les équilibres politique et financier sont précaires.On en débat avec Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction de Challenges ; Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de la CGT Ingé Cadre Tech et François Geerolf, économiste à l'OFCE.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 23/04/2025 Retour des mines antipersonnel : une militante sonne l'alerte mondialeDepuis le 18 mars, cinq pays européens ont annoncé vouloir sortir du traité d'Ottawa qui interdit l'usage des mines antipersonnel depuis 1997 et les définit comme "conçues pour exploser du fait de la présence, de la proximité ou du contact d'une personne et destinées à mettre hors de combat, blesser ou tuer une ou plusieurs personnes". La Lituanie, la Pologne, l'Estonie, la Lettonie et la Finlande ont fait marche arrière face à la crainte d'un conflit militaire avec la Russie de Vladimir Poutine. Ratifié par 164 pays, ce traité avait entériné le recul de leur utilisation, qui touche des civils dans 85 % des cas. Si ces retraits ont suscité des réactions frileuses de la part des autres pays signataires, des ONG se mobilisent pour maintenir l'interdiction des mines antipersonnel. C'est notamment le cas d'Handicap International qui a enjoint le gouvernement français à agir. Anne Héry est chargée de plaidoyer et des relations institutionnelles depuis plus de quinze ans pour cette ONG. L'un de ses principaux combats est la fin de l'utilisation des armes explosives en zones peuplées, comme les mines antipersonnel qu'elle qualifie "d'armes des lâches". Le retour de la conflictualité va-t-il enterrer le droit humanitaire international ?Déficit budgétaire : faut-il faire payer les retraités ? Toujours à la recherche de 40 milliards d'euros pour combler le déficit, le gouvernement de François Bayrou multiplie les pistes. Récemment, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a émis l'hypothèse de revenir sur l'abattement fiscal des retraités. Institué en 1977, il permet aux retraités de réduire leur revenu imposable de 10 %, une mesure calquée sur l'abattement censé couvrir les frais professionnels des salariés. Chaque année, il représente un manque à gagner de 4 milliards pour l'État. Sa possible suppression fait débat tant la question est liée aux équilibres politiques. Les retraités représentent 14 millions d'électeurs, un socle électoral dont peu de partis peuvent se passer. Les oppositions, de tous bords confondus, ont fait part de leur désaccord : "18,5 millions de retraités vont payer plus d'impôts et 500 000 retraités, qui n'étaient pas encore imposables, vont le devenir", a dénoncé Marine Tondelier (EELV), alors que Laurent Jacobelli (RN) surenchérit en invoquant "un motif de censure possible". Pour le gouvernement, les équilibres politique et financier sont précaires.Marjorie Adelson nous emmène en Californie, où un groupe d'adolescents a organisé une course de spermatozoïdes pour sensibiliser au déclin de la fertilité masculine. Marie Bonnisseau nous raconte une histoire de foi à l'heure du numérique : Carlo Acutis, mort en 2006 à l'âge de 15 ans, sera bientôt canonisé pour devenir le saint patron des internautes.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
durée : 00:08:45 - Budget 2026 : où trouver les 40 à 50 milliards d'euros d'économie ? - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics de France, a proposé de supprimer des niches fiscales, notamment celle dont bénéficient les retraités.
FAQ n°12 à l'occasion du million d'abonnés sur la chaîne.00:00 - Introduction00:17 - Bilan de la chaîne et remerciements02:52 - Quelle a été ta première pensée-émotion lorsque le 1M est apparu ?03:44 - Quand tu vois 1M, est-ce que tu penses aux 2M à venir ou au 0 du début ?04:39 - Qu'est-ce qui a changé dans ton état d'esprit entre les 100 000 et un million ?07:48 - Penses-tu qu'entre ton toi d'avant et ton toi d'aujourd'hui, il y a eu un grand changement dans tes idées et dans ton approche de la vie ?11:53 - Qu'est-ce qui d'après toi galvanise autant les foules auprès du Précepteur quand les autres youtubeurs de la philosophie ont du mal à ramener 100K au mieux ?15:52 - Quelles autres chaînes de qualité sur la philosophie conseilleriez-vous à vos auditeurs ?18:40 - Les contenus modernes type podcasts et vidéos longues peuvent-ils se substituer à la lecture ?20:41 - Comptes-tu faire des vidéos dédiées à la critique de certains philosophes ?24:01 - Est-ce que tu pourrais faire plus de liens entre la philosophie et la politique ?24:24 - Que répondrais-tu à un détracteur qui trouverait que la ligne de ta chaîne est "confusionniste" ?24:45 - Arrive-t-il parfois que tu perdes la motivation de continuer ?26:59 - Sur quoi porte le livre que tu prévois de sortir en septembre ?29:58 - Pourrais-tu faire une vidéo top 5 de tes concepts philosophiques préférés ?37:08 - Est-ce que tu t'auto-censures dans tes vidéos/podcasts ?39:52 - Penses-tu traduire tes vidéos dans plus de langues ?40:44 - Es-tu plus apollinien ou dionysiaque ?42:02 - Te vois-tu aujourd'hui comme un sage ?42:59 - Est-ce qu'il est possible ou normal d'adhérer à plusieurs courants philosophiques ?45:21 - En quoi philosopher est-il un acte de résistance ?45:37 - Comment as-tu pris la décision d'avoir un enfant au vu du monde instable qui nous attend ?47:42 - Que sommes-nous sans l'art ?48:01 - Le bonheur n'est-il qu'hormonal ?49:42 - Que pensez-vous du mariage à un jeune âge ?49:50 - Êtes-vous franc-maçon ?50:56 - Pour toi, qu'est-ce qu'une personne intelligente ?51:10 - Qu'est-ce qui serait pour toi une vie réussie, et considères-tu que c'est ton cas ?Pour être tenus informés de la sortie de mon livre : https://www.le-precepteur.fr/liste-attente-livre-precepteur Ma chaîne en anglais : https://www.youtube.com/@ThePreceptorPhilosophyLa chaîne de MLHORION : www.youtube.com/@mlhorionLa chaîne de Noé Jacomet : https://www.youtube.com/@NoeJacometDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:47 - Le vrai ou faux - Selon la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, les Français sont "beaucoup plus" en arrêts-maladies que leurs voisins outre-Rhin.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 17/04/2025, il reçoit Sophie de Menthon, Présidente du mouvement Ethic pour débattre de si les Français travaillent trop ou pas assez et dans un second temps sur cette question : y a-t-il trop de fonctionnaires en France ? Dans un second temps, il est question d'Amélie de Montchalin, Ministre chargée des Comptes publics qui souhaite s'attaquer aux niches fiscales. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 17/04/2025, en compagnie de Christophe Bordet qui pousse un coup de gueule contre Amélie de Montchalin est Ministre chargée des Comptes publics qui souhaite s'attaquer aux niches fiscales. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vincent Hervouët analyse la décision d'Emmanuel Macron de reconnaître l'injustice commise par la France envers Haïti. Il revient sur l'histoire complexe des relations entre la France et ses anciennes colonies, notamment l'Algérie et le Rwanda. Hervouët souligne la difficulté pour la France de faire face à son passé colonial et d'en tirer les conséquences, notamment sur le plan financier. Il met également en perspective ces enjeux avec d'autres crises géopolitiques, comme la guerre civile au Liban ou le génocide cambodgien. Une réflexion approfondie sur le rôle de la France sur la scène internationale et les défis de la reconnaissance historique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'éditorialiste revient sur les tensions entre la France et l'Algérie mais aussi sur la menace de la Cour des Comptes de ne pas certifier le budget de l'Etat Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:49 - Journal de 12h30 - La Cour des Comptes rendait son rapport ce matin sur le budget de l'Etat 2024. Pas franchement de quoi rassurer quant à l'espoir d'améliorer l'état des finances publics.
durée : 00:19:49 - Journal de 12h30 - La Cour des Comptes rendait son rapport ce matin sur le budget de l'Etat 2024. Pas franchement de quoi rassurer quant à l'espoir d'améliorer l'état des finances publics.
Frédéric Taddeï discute avec Marc Schwartz, PDG de la Monnaie de Paris, et co-auteur du livre "La nouvelle guerre des monnaies". Ils explorent les enjeux d'une bataille monétaire mondiale moderne, marquée par la domination des grandes devises et l'essor des monnaies numériques. Schwartz explique que cette nouvelle guerre dépasse les simples taux de change, impliquant aussi une lutte pour la suprématie des devises internationales, avec le dollar en tête. Ils abordent également l'importance croissante des monnaies numériques et les défis qu'elles posent, ainsi que la résilience de l'argent liquide face à la dématérialisation des paiements.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:39 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, est l'invitée de Questions politiques ce dimanche. Une émission présentée par Élodie Forêt, avec Claire Gatinois du journal "Le Monde" et Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions.
durée : 00:54:39 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, est l'invitée de Questions politiques ce dimanche. Une émission présentée par Élodie Forêt, avec Claire Gatinois du journal "Le Monde" et Nathalie Saint-Cricq de France Télévisions.
durée : 00:05:44 - Le Journal de l'éco - par : Mélanie Kuszelewicz - Au Sénégal, c'est un scandale qui va coûter cher au pays. Une dette cachée de 7 milliards de dollars, laissée par le président sortant Macky Sall a été découverte par la Cour des Comptes et confirmée par le FMI.
A 10h, ce vendredi 11 avril 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent du jour : Mbappé : 55 millions d'euros saisis sur les comptes du PSG.
MBAPPÉ fait saisir 55 millions d'euros sur les comptes du PSG ! Real : VINICIUS a fait son CHOIX... Le journal du foot et du mercato N°1710 est en ligne !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"J'étais la créature qui avait été créée et recrachée par la Société générale." Dans la Grande histoire, Hugo Baiardi a pu s'entretenir avec Jérôme Kerviel, l'ex-trader derrière l'une des plus grosses fraudes financières de l'histoire."L'interview Brut. des gens connus" est un podcast produit par Brut.Journaliste : Aymeric GoetschyCoordination éditoriale : Annabel MoraDirection éditoriale : Laurent Lucas Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Dans « L'interview d'Alexandre Le Mer », Martin Garagnon, porte-parole d'Ensemble pour la République, réagit à l'inéligibilité de Marine Le Pen. Il défend l'indépendance de la justice, rappelant que les juges appliquent la loi votée par les parlementaires. Il critique les réactions du RN et appelle à un débat démocratique. Un épisode éclairant sur les enjeux juridiques et politiques autour de cette affaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Bruno Poncet et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Village olympique de Grenoble, crée pour incarner la paix des Jeux de 1968, est devenu un terrain de guerre urbaine. Rodéos, deals, fusillades, et maintenant grenades : la spirale de violence s'y est peu à peu installée. Ecoutez Le monde en marche avec William Galibert du 27 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sénateur écologiste Thomas Dossus analyse les prévisions économiques sombres pour la France. Avec la publication prochaine des comptes nationaux, le gouvernement fait face à un défi de taille pour respecter son objectif de déficit public. Thomas Dossus propose une taxe sur le patrimoine des ultra-riches afin de contribuer au redressement des finances publiques, une mesure qui divise la classe politique. Une discussion éclairante sur les enjeux budgétaires et fiscaux auxquels le pays est confronté.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.