Podcasts about gardiens

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La voix des Gardiens
S3/E15. Fabien Barthez - Légende

La voix des Gardiens

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 96:13


Blockbusters
James Gunn : de Marvel à DC, de "Super" à "Superman"...

Blockbusters

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 55:14


durée : 00:55:14 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - James Gunn est désormais l'architecte au cinéma de l'univers DC Comics. Après des débuts à la Troma, ses films Horribilis, Super, la trilogie des Gardiens de la galaxie chez Marvel, The Suicide Squad, James Gunn demeure ce réalisateur du système D qui aime avant tout faire des films avec ses potes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le fil Pop
James Gunn : de Marvel à DC, de "Super" à "Superman"...

Le fil Pop

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 55:14


durée : 00:55:14 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - James Gunn est désormais l'architecte au cinéma de l'univers DC Comics. Après des débuts à la Troma, ses films Horribilis, Super, la trilogie des Gardiens de la galaxie chez Marvel, The Suicide Squad, James Gunn demeure ce réalisateur du système D qui aime avant tout faire des films avec ses potes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

100% Marvel - La Chaîne du Geek
On fait le Bilan de la Phase 5 de Marvel ... (avec la fin de Ironheart) - 100% Marvel

100% Marvel - La Chaîne du Geek

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 142:10


00:00 MEPHISTO est là7:30 Premières images de Eyes of Wakanda15:52 Parlons de Ironheart41:20 C'est qui Mephisto ?47:40 C'est qui ce nouveau perso ?51:30 Le jeu de la semaine1:05:20 Secret Invasion : On classe la phase 51:12:30 What If Saison 2 : On classe la phase 51:15:50 Agatha : On classe la phase 51:20:45 The Marvels : On classe la phase 51:27:29 Deadpool Wolverine : On classe la phase 51:30:50 What If Saison 3 : On classe la phase 51:33:10 Ironheart : On classe la phase 51:36:14 Captain America 4 : On classe la phase 51:40:20 Daredevil Born Again : On classe la phase 51:44:34 Spider-Man anime : On classe la phase 51:47:38 Thunderbolts : On classe la phase 51:53:18 Echo : On classe la phase 51:57:45 Ant-man 3 : On classe la phase 502:03:20 Loki SaisoN 2 : On classe la phase 502:09:45 Gardiens de la Galaxie 3 : On classe la phase 52:14:30 Phase 5 ou phase 4 ?

Décryptage
Iran: qui sont les Gardiens de la Révolution?

Décryptage

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 19:30


Au lendemain de la diffusion, sur la chaîne Arte, en France, du documentaire Les Gardiens de la Révolution : maîtres de l'Iran et après la guerre de 12 jours qui a éclaté entre l'Iran et Israël, posons-nous cette question : qui contrôle l'Iran ? D'où viennent les Gardiens de la Révolution et qui sont-ils ? Avec : - Julie Lerat, journaliste, réalisatrice et co-autrice du documentaire, Gardiens de la Révolution. Les maîtres de l'Iran, disponible sur arte.tv - Armin Arefi, grand reporter au Point, spécialiste du Proche et du Moyen-Orient, co-auteur du documentaire, Gardiens de la Révolution. Les maîtres de l'Iran, disponible sur arte.tv.

Un jour dans le monde
Pour Armin Arefi, les Gardiens de la révolution forment "un État dans l'État"

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 13:57


durée : 00:13:57 - L'invité d'un jour dans le monde - Dans un documentaire choc cosigné avec Julie Lerat, Armin Arefi décrit la transformation des Gardiens de la révolution, simple milice militaire crée en 1979, qui tient aujourd'hui les rênes de l'Iran. Il était l'invité de France Inter. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Un jour dans le monde
Les Gardiens de la révolution : les maîtres de l'Iran

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 37:16


durée : 00:37:16 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Simple milice militaire crée en 1979, les gardiens de la Révolution ont construit un empire qui règne en maître sur l'Iran. Quarante ans après sa création, comment expliquer l'hégémonie de ce groupe armé, et comment les Iraniens vivent-ils la tutelle de ce gouvernement parallèle au quotidien ? - réalisé par : Thomas Lenglain Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

InterNational
Les Gardiens de la révolution : les maîtres de l'Iran

InterNational

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 37:16


durée : 00:37:16 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Simple milice militaire crée en 1979, les gardiens de la Révolution ont construit un empire qui règne en maître sur l'Iran. Quarante ans après sa création, comment expliquer l'hégémonie de ce groupe armé, et comment les Iraniens vivent-ils la tutelle de ce gouvernement parallèle au quotidien ? - réalisé par : Thomas Lenglain Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le Nouvel Esprit Public
Le conclave sur les retraites / La guerre USA-Iran

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 29, 2025 64:31


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE CONCLAVE SUR LES RETRAITES Le « conclave » sur les retraites, voulu par le Premier ministre pour désamorcer les tensions autour de la réforme de 2023, s'est soldé par un « échec » a annoncé lundi la CFDT, marquant la fin de quatre mois de discussions infructueuses entre partenaires sociaux. Les discussions au sein de ce conclave, qui réunissait le Medef, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC, visaient à adoucir l'impopularité de la réforme Borne de 2023, qui a relevé l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Au-delà des considérations sociales, l'objectif était également d'assurer la pérennité financière d'un système qui anticipe un déficit de 6,6 milliards d'euros en 2030. Pour les organisations patronales, toute concession sur la pénibilité devait s'inscrire dans un cadre garantissant cet équilibre, tandis que les syndicats insistaient sur la nécessité de compenser les carrières hachées et les impacts physiques des métiers les plus exigeants. Sur la question de l'âge, sujet sensible de la réforme Borne, l'hypothèse d'un retour de l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans avait pourtant été enterrée par les syndicats. Dans le texte rédigé par l'animateur des débats, les représentants de salariés avaient obtenu le recul de l'âge de la décote (celui à partir duquel les assurés ont droit à une pension à taux plein, même s'ils n'ont pas le nombre de trimestres requis pour y être éligibles) à 66 ans et demi (contre 67 ans aujourd'hui).Selon l'étude Elabe réalisée pour l'Association française de la gestion financière (AFG) dévoilée mardi, les ménages semblent prêts à une vraie évolution du système : 47 % des Français se déclarent en faveur de la généralisation de plans d'épargne retraite par capitalisation en complément du système de retraite par répartition. Les « cadres » sont favorables à cette idée à 65 %, tout comme les ménages avec « une forte capacité d'épargne » à 64 % et les « investisseurs » à 56 %. Seules 18 % des personnes interrogées se montrent réfractaires à l'idée. L'enjeu financier des retraites est considérable : les pensions représentent près de 14% du PIB, 40% de la dépense sociale et un quart de la dépense publique. Le Conseil d'orientation des retraites indique, dans son rapport de juin, que l'évolution des dépenses de retraites « explique à elle seule une grande partie de la progression des dépenses publiques depuis 2002 ». Si le pays peine à financer ses services publics, c'est parce qu'il a préféré ses retraites alors que les évolutions démographiques ont bouleversé l'équilibre : il n'y a plus que 1,7 actif pour 1 retraité, tandis que le ratio était de 4 pour 1 en 1950. Le COR en tire la conclusion qu'il faudra reculer encore l'âge de la retraite.Mercredi, François Bayrou a affirmé que le conclave n'était « pas un échec » et présenté jeudi le résultat des discussions après avoir « tranché » sur« les désaccords ».LA GUERRE USA-IRAN L'attaque américaine, menée dans la nuit de samedi à dimanche derniers sur l'Iran, a été « intentionnellement limitée » à des cibles nucléaires et ne visait pas un changement de régime, a déclaré dimanche le Pentagone. Avec l'opération Midnight Hammer (Marteau de minuit), Donald Trump a exploité une fenêtre d'opportunité après qu'Israël a presque réduit à néant les alliés régionaux de l'Iran (Hamas, Hezbollah) puis les défenses iraniennes. S'il proclame toujours vouloir la paix, Donald Trump n'hésite pas dégainer. Il l'avait fait à trois reprises au cours de son premier mandat : contre la Syrie, après des attaques chimiques, en avril 2017 puis en avril 2018, enfin en ordonnant un assassinat ciblé à Bagdad contre le général iranien Soleimani, chef des forces spéciales des Gardiens de la Révolution, en janvier 2020. Toutefois, jusqu'à dimanche, il s'agissait d'opérations limitées.Dimanche, le président américain a annoncé que les trois sites de Natanz, Fordo et Ispahan avaient été « totalement anéantis ». Une affirmation difficile à confirmer, les cibles étant souterraines. Le général Dan Caine, chef d'état-major des armées américaines s'est montré plus prudent, comme le vice-président JD Vance. Selon les « premières évaluations du champ de bataille », a dit le soldat, les sites visés ont subi « de sévères dommages et destructions ». Un document classé confidentiel du renseignement américain, relayé par CNN et le New York Times, suggère que les frappes américaines sur l'Iran auraient retardé son programme nucléaire de seulement quelques mois, sans le détruire complètement. Jeudi, l'ayatollah Khamenei a affirmé que Donald Trump a « exagéré » l'impact des frappes américaines sur le territoire iranien.En représailles, lundi, l'Iran a attaqué la base aérienne américaine d'Al-Udeid, au Qatar. Treize missiles ont été interceptés sans difficulté selon l'armée, tandis qu'un autre s'écrasait sans dégâts. La base, qui en temps normal accueille près de 10 000 soldats, était très largement dépeuplée. Pour Téhéran, « la priorité était de retrouver les voies de la négociation afin de sauver le régime », estime le chercheur Bernard Hourcade, spécialiste de la République islamique. Selon lui, « les dirigeants iraniens ne voulaient pas couper les ponts avec Donald Trump, car ils savent que c'est lui qui peut arrêter la guerre avec Israël ». Via le Qatar et probablement Oman, Téhéran avait averti les États-Unis de ses tirs de missiles contre la base aérienne américaine, afin qu'il n'y ait pas de victimes. Ce fut le cas.Mardi, Israël et l'Iran ont déclaré accepter l'initiative américaine de cessez-le-feu.Tandis que les membres de l'administration Trump revendiquent une réussite totale, les questions s'accumulent sur le sort des quelque 400 kg d'uranium hautement enrichi dont disposait l'Iran. Cette question sera au centre des négociations qui devraient s'ouvrir prochainement entre l'Iran et les Occidentaux, via l'Agence internationale à l'énergie atomique (l'AIEA), dans l'espoir de tourner durablement la page de la guerre.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
L'Iran, une économie sous sanctions entre résilience et effondrement

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 3:12


Quarante-huit heures après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et l'Iran, le guide suprême Ali Khamenei a revendiqué la victoire. Pourtant, en coulisse, un autre front reste actif. Celui de l'économie. Sous sanctions depuis des décennies, frappée par une inflation galopante et une devise en chute libre, l'économie iranienne semble tenir. Décryptage. La République islamique se targue de résister aux pressions extérieures, mais cette résilience a ses limites. Le rial iranien ne cesse de s'effondrer : il faut désormais plus de 42 000 rials pour un seul dollar américain. L'inflation est ainsi fulgurante, estimée à 43 % par le Fonds Monétaire International. Les produits de première nécessité deviennent inaccessibles pour une grande partie de la population. Selon les estimations, entre un tiers et la moitié des Iraniens vivent sous le seuil de pauvreté. Cette détérioration s'est aggravée après la réimposition des sanctions américaines en 2018, lorsque Washington s'est retiré de l'accord sur le nucléaire. L'Iran, déjà isolé, s'est alors vu couper l'accès au système bancaire international et privé de dollars. Une économie sous sanctions, mais jamais à l'arrêt Malgré l'isolement, Téhéran n'est pas resté sans ressources. Le pays a renforcé ses partenariats avec la Chine, la Russie, la Turquie ou encore l'Inde. Et surtout, il a su contourner les sanctions grâce à des raffineries chinoises opérant discrètement sur son sol, surnommées teapots, ou à une flotte fantôme de 400 navires transportant clandestinement du pétrole. Ce système s'appuie sur un modèle économique à deux vitesses. D'un côté, un capitalisme d'État dominé par les Gardiens de la Révolution, omniprésents dans les secteurs clés (énergie, télécoms, BTP). De l'autre, une économie informelle florissante, basée sur la contrebande et les circuits parallèles. Selon certaines estimations, le marché noir représenterait jusqu'à 40 % du PIB. Le pétrole, force vitale et talon d'Achille La récente guerre éclair avec Israël a touché un nerf sensible : les infrastructures énergétiques. Raffineries, oléoducs, terminaux pétroliers ont été visés, menaçant la première richesse du pays. Car malgré tout, l'Iran demeure un géant énergétique, troisième réserve mondiale de pétrole brut. Mais cette dépendance au pétrole, ajoutée à une gestion opaque et centralisée, rend l'économie extrêmement vulnérable. Paradoxalement, c'est ce système verrouillé, résilient mais étouffant, qui permet au régime de se mainteni, au détriment d'une population de plus en plus étranglée.

Revue de presse internationale
À la Une: quel avenir pour l'Iran ?

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 4:05


« Iran-Israël : un cessez-le-feu et des interrogations », c'est le titre de l'éditorial du Monde à Paris. « Si les douze jours du conflit entre les deux pays ont confirmé la suprématie israélienne sur la région, les destructions infligées au programme nucléaire iranien sont difficiles à évaluer, tout comme leurs conséquences sur le maintien au pouvoir du régime. » Sur ce dernier point, Le Monde fait le parallèle avec l'Irak, avec le « régime de Saddam Hussein, après la déroute essuyée au Koweït en 1991. S'en était suivie une décennie dramatique pour le peuple irakien, livré à la répression accrue d'une dictature aux abois, étranglée par des sanctions internationales. La chute de Saddam Hussein, douze ans plus tard, à la suite de l'invasion décidée par l'administration Bush, avait ouvert une nouvelle décennie sanglante, dont le pays ne s'est jamais totalement remis. » Alors attention, prévient Le Monde : « si la vulnérabilité du régime iranien, crûment exposée pendant les bombardements et les assassinats israéliens de ces derniers jours, renforce sa nature paranoïaque, les Iraniens seront les premiers à en payer le prix. » A nouveau la répression… Justement, s'exclame le Guardian à Londres, « les autorités iraniennes sont en train d'intensifier la répression sécuritaire intérieure à travers le pays avec des arrestations massives, des exécutions et des déploiements militaires, en particulier dans la région kurde agitée. (…) Certains opposants espéraient que la campagne militaire, qui visait les Gardiens de la révolution et les forces de sécurité intérieure ainsi que les sites nucléaires, déclencherait un soulèvement de masse et le renversement de la République islamique. Mais aucun signe de protestation significative n'a encore été observé contre les autorités. » Bien au contraire, soupire le Guardian : « l'organisation iranienne de défense des droits de l'homme a déclaré lundi avoir enregistré l'arrestation de 705 personnes pour des motifs politiques ou sécuritaires depuis le début de la guerre. Plusieurs des personnes arrêtées ont été accusées d'espionnage pour le compte d'Israël. Et trois d'entre elles ont été exécutées avant-hier à Ourmia, près de la frontière turque. L'association irano-kurde de défense des droits humains Hengaw a affirmé que ces personnes étaient toutes kurdes. » Une nouvelle orientation politique ? Dans le même temps, le New York Times s'interroge : « où est passé Ali Khamenei ? (…) Le guide suprême n'a pas été vu publiquement ni entendu depuis près d'une semaine, pointe le quotidien américain. Pendant les bombardements, Ali Khamenei, selon les autorités, s'est réfugié dans un bunker et s'est abstenu de toute communication électronique pour éviter les tentatives d'assassinat à son encontre. Il est resté absent, ne faisant aucune déclaration publique et n'envoyant aucun message enregistré. » Et le New York Times de spéculer : « supervise-t-il toujours le pays au quotidien ? Est-il blessé, malade ou même vivant ? » En tout cas, croit savoir le journal, « la faction qui semble avoir le dessus en ce moment pousse à la modération et à la diplomatie. C'est celle du président Pezeshkian, qui a publiquement signalé sa volonté de revenir à la table des négociations avec les États-Unis. » OTAN : carton plein pour Trump… A la Une également, le sommet de l'OTAN hier aux Pays-Bas… « Une OTAN taillée sur mesure pour Trump », s'exclame El Pais à Madrid. « Le président américain a imposé ses intérêts : les membres de l'OTAN ont décidé de consacrer 5 % de leur PIB à la défense au cours des dix prochaines années, comme il l'exigeait. Et dans le même temps, il a ignoré la principale préoccupation de l'Europe : à savoir la menace russe. » En fait, estime La Repubblica à Rome, « le véritable objectif de la présidence Trump n'est certainement pas la relation avec l'Europe et encore moins sa défense. Il s'agit plutôt de faire des affaires avec la Russie, dont le marché désormais fermé est tentant pour les entreprises américaines, avec l'Arabie saoudite et les autres pays du Golfe, et de contenir la Chine économiquement et militairement. » En attendant, carton plein pour Trump, constate Le Soir à Bruxelles : « sur un plan strictement “trumpien“, cette séquence à l'Otan marque un nouveau strike pour un président qui soudain “remporte tout“. Jugez plutôt : un cessez-le-feu entre l'Iran et Israël : check. Les 5 % de PIB consacré au militaire à l'Otan : check. Les métaux rares en Ukraine en partie sous contrôle américain : check. Ce n'est plus Trump, c'est Supertrump ! »

C à vous
Bombardements: quelle signification donner à la riposte de l'Iran

C à vous

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 14:12


Donald Trump a fait mine d'hésiter mais il a pris samedi une décision qui a fait basculer la guerre au Moyen Orient dans une autre dimension. Aussi incertaine que dangereuse. En bombardant trois sites stratégiques. L'opération Marteau de minuit qualifiée de succès militaire spectaculaire par Donald Trump. Et alors que le régime des Mollah crie vengeance, Israël a mené ces dernières heures des frappes d'une puissance sans précédent. Sur tous les centres névralgiques du pouvoir iranien : le siège des Gardiens de la Révolution, les média d'Etat ou encore la Prison d'Evine où sont détenus les opposants, les prisonniers politiques et les otages occidentaux. Parmi eux les français Cécile Kohler et Jacques Paris On en parle avec Gérard Araud, diplomate, ancien ambassadeur de France aux États-Unis, ancien ambassadeur de France en Israël.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.

C dans l'air
Opération "Midnight hammer" : le coup de force de Trump... - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 64:42


C dans l'air du 23 juin 2025 - Opération "Midnight hammer" : le coup de force de Trump... -Pas de désescalade en vue. L'armée israélienne frappe Téhéran "d'une puissance sans précédent contre des cibles du régime et des organes de répression gouvernementaux", a indiqué lundi le ministre de la Défense de l'État hébreu, Israël Katz. Les bombardements israéliens interviennent après les premières frappes américaines, dans la nuit de samedi à dimanche, sur trois sites nucléaires iranien : Fordo, Natanz et Ispahan. Après 18 heures de vol, sept bombardiers furtifs B-2, appuyés par des avions de chasses et des missiles tomahawk tirés depuis des sous-marins, ont largué des bombes GBU-57, capables de perforer le sol jusqu'à 60 mètres de profondeur avant d'exploser. Si les images satellites montrent bien les cratères en surface, il est encore impossible de mesurer la portée des dégâts souterrains, comme l'a indiqué le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Raphael Grossi : "Compte tenu de la charge explosive utilisée et de l'extrême sensibilité des centrifugeuses aux vibrations, on s'attend à ce que des dégâts très importants aient été causés". Mais "personne n'est en mesure, à l'heure actuelle, de les évaluer pleinement". De son côté, Donald Trump s'est félicité de l'opération américaine "Midgnight Hammer" dans un style bien à lui : "Les dégâts les plus importants ont été causés bien en dessous du niveau du sol. En plein dans le mille !!!". Pour Benjamin Netanyahu il ne fait pas aucun doute que cette "décision audacieuse" "changera l'Histoire".Plus de 24 heures après l'attaque américaine contre ses sites nucléaires, la réponse iranienne tarde à intervenir. Affaiblis par plusieurs jours de combats et d'infiltrations sur son sol, l'Iran ne dispose plus de toutes ses capacités militaires et son stock de 2 000 à 3 000 missiles balistiques a en partie été détruit. Mais la république islamique dispose encore de plusieurs options de riposte. La plus probable serait de bloquer le détroit d'Ormuz où transite 20 % du pétrole mondial, ce qui ferait exploser les prix de l'or noir. L'Iran peut aussi décider de frapper les bases américaines au Moyen-Orient, comme celle d'al-Uleid, au Qatar, qui abrite 10 000 soldats américains, ou la base navale US au Barhrein. Reste enfin la possibilité d'une attaque terroriste. Selon la télévision américaine NBC news, quelques jours avant l'attaque américaine, l'Iran avait menacé les Etats-Unis d'activer des cellules terroristes dormantes à l'intérieur des États-Unis s'il était attaqué. Dans un communiqué publié aujourd'hui, le Département de la sécurité intérieure a averti que le risque d'attentats terroristes sur le territoire américain pourrait augmenter. Selon le vice-président américain JD Vance, la situation est suivie de très près à la Maison Blanche.En attendant une possible riposte iranienne, le guide suprême Ali Khamenei se cache depuis plusieurs jours. Selon le New York Times, le dirigent iranien de 86 ans, conscient d'être une cible prioritaire, serait réfugié dans un bunker où il préparerait sa succession. Plusieurs noms sont évoqués dont son fils Mojtaba, proche des Gardiens de la révolution islamique, ou encore l'ancien président modéré Hassan Rohani. En cas d'assassinat de l'ayatollah Khamenei, le processus de désignation, qui prend en temps normal plusieurs mois, serait accéléré. Le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi doit rencontrer ce lundi le président Vladimir Poutine, pays allié de l'Iran, et a dit s'attendre à des consultations d'"une grande importance" à Moscou. Dans une interview à ABC news la semaine dernière, le Premier ministre israélien Netanyahu n'a pas caché ses ambitions et a affirmé que tuer Khamenei "ne provoquerait pas une escalade, ça mettrait fin au conflit".Les frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens ont-elles rempli leurs objectifs ? Quelles options l'Iran dispose-t-il pour riposter ? Et où se cache le guide suprême iranien Ali Khamenei depuis le début de la guerre ?LES EXPERTS :- Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse - Laurence HAÏM - Journaliste -Spécialiste des Etat-Unis- Philippe GELIE - Directeur adjoint de la rédaction - Le Figaro- Jean-Dominique MERCHET - Éditorialiste - L'Opinion, spécialiste des questions de défense et diplomatie

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Israël-Iran : «L'Union européenne doit s'exprimer sur la question des Gardiens de la Révolution», assure Sahand Saber

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 25:30


Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La voix des Gardiens
S3/E14. Cédric Carrasso - Fais nous la parade

La voix des Gardiens

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 58:16


Demeurant l'un des rares gardiens à avoir été formé à l'Olympique de Marseille et à y avoir joué en Ligue 1 ⚽️, Cédric Carrasso a pourtant surtout marqué les esprits sur les bords de la Garonne ☀️ : à Toulouse puis à Bordeaux. Se relevant plus fort des graves blessures qui ont émaillé sa carrière

Cultures monde
Table ronde - Iran : les Gardiens de la Révolution à l'épreuve de la guerre

Cultures monde

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 36:50


durée : 00:36:50 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Depuis le 13 juin, Israël conduit l'opération « Rising Lion », marquée par une succession de frappes d'envergure visant l'Iran. Bien que le Guide Suprême, l'ayatollah Khamenei ait martelé le 18 juin que "la nation ne se rendra pas”, c'est bien l'avenir du régime qui est en jeu. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Armin Arefi Grand reporter, spécialiste du Proche et Moyen-Orient; Sophia Mahroug Docteur en histoire de Sorbonne Université, spécialiste de l'Iran et du corps des Gardiens de la Révolution

Cultures monde
Retour des États-Unis // Iran : les Gardiens de la Révolution à l'épreuve de la guerre

Cultures monde

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 58:48


durée : 00:58:48 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Julie Jammot qui rentre des États-Unis suivi d'une table-ronde sur l'élite politico-militaire iranienne dans le contexte de la guerre contre Israël. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Julie Jammot Journaliste à l'AFP ; Armin Arefi Grand reporter, spécialiste du Proche et Moyen-Orient; Sophia Mahroug Docteur en histoire de Sorbonne Université, spécialiste de l'Iran et du corps des Gardiens de la Révolution

Revue de presse internationale
À la Une: deux semaines avant une décision américaine sur l'Iran

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 3:51


C'est à la Une du New York Times : « Trump déclare qu'il décidera d'une attaque contre l'Iran dans les deux prochaines semaines ». Le Times va plus loin, en nous expliquant « comment une frappe américaine contre l'Iran pourrait se dérouler ». Il s'agirait de viser les installations nucléaires souterraines de Fordo, à l'aide de « deux MOP, Massive Ordnance Penetrators, des bombes de 6 mètres de long et 13,6 tonnes qui peuvent détruire des couches de roche et détruire des bunkers souterrains ». « Entre deux heures et quatre heures du matin, c'est le meilleur moment pour attaquer, que ce soit avec une mitrailleuse ou en larguant une bombe sur leur tête », explique un ancien pilote d'avion à réaction ». Le monde serait donc suspendu aux intentions du président américain et cela en réjouit certains… comme Jan Philip Burgard, rédacteur en chef du groupe Welt, en Allemagne. Là où beaucoup soulignent l'imprévisibilité de Donald Trump, lui, affirme qu'il est « porteur d'espoir ». « Est-il vraiment un roi capricieux ? » demande le journaliste qui visiblement n'y croit pas. « Il est bien plus probable qu'il recherche l'ambigüité stratégique. Il reste délibérément vague et ambigu, afin de conserver sa flexibilité et de déstabiliser ses adversaires ». L'Iran affaibli Toutefois, d'autres analystes estiment que l'Iran « a d'ores et déjà perdu la guerre ». C'est le cas du magazine Foreign Affairs, dont Courrier International, reprend les propos. « En l'espace de quelques jours », estime Afshon Ostovar, universitaire américain d'origine iranienne, « Israël a infligé des dégâts considérables, au programme militaire et nucléaire de l'Iran. Même si seuls les dirigeants iraniens connaissent l'ampleur véritable des destructions, il est peu probable que le pays puisse s'en remettre facilement ». « Qu'elle capitule, recherche un compromis ou opte pour la surenchère », poursuit Afshon ostovar, « la République islamique ressortira encore plus affaiblie par le conflit ouvert qui l'oppose à Israël ». Israël, où en revanche, Benyamin Netanyahu n'a rien à craindre, si l'on en croit le Monde, selon lequel, « malgré les dégâts et les morts les israéliens soutiennent la guerre contre l'Iran ». Le quotidien français a rencontré Shoshi Arbuz, une mère de famille qui vit dans la banlieue de Tel Aviv. Elle déclare « ne pas vouloir la guerre », nous dit le Monde, « mais elle soutient sans hésitation la décision du gouvernement Netanyahou d'attaquer l'Iran » (…). Shoshi Arbuz estime ainsi : « l'Iran veut nous détruire. Si on ne les avait pas attaqués, ils l'auraient fait ». Dernier recours L'Iran semble être seul contre tous, mais il n'aurait toutefois pas abattu toutes ses cartes, estime L'Orient-le-Jour. Le quotidien francophone libanais se demande ainsi si « l'Iran prendra le risque de fermer le détroit d'Ormuz, par lequel transite près d'un tiers du trafic mondial de pétrole ». Selon l'Orient-le-Jour, « la fermeture du détroit d'Ormuz par les responsables iraniens est citée par les experts comme une arme de dissuasion considérable, à laquelle Téhéran pourrait avoir recours ». Le commandant des Gardiens de la Révolution, le bras armé du régime, a d'ailleurs déclaré que « l'Iran envisageait de bloquer le détroit d'Ormuz » . L'Orient-le-Jour a interrogé Saeed Aganji, analyste et rédacteur en chef d'Iran Gate News, selon lequel « toute perturbation sur cette voie navigable essentielle pourrait entraîner une forte hausse des prix mondiaux du pétrole et une instabilité des marchés de l'énergie ». Ce même expert estime toutefois que « la fermeture du détroit reste aujourd'hui l'une des options de dernier recours de l'Iran ; une option qu'il ne pourrait envisager qu'en cas d'agression militaire directe et de grande ampleur de la part des États-Unis ». De quoi, peut-être, retenir le bras de Donald Trump.  

C dans l'air
Trump menace, le guide suprême Iranien aussi... - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 63:44


C dans l'air du 18 juin 2025 - L'Iran est-il vraiment proche d'obtenir la bombe nucléaire ?Voilà cinq jours que l'Iran est sous les bombes israéliennes et les signes d'escalade se multiplient. Le président américain Donald Trump est allé jusqu'à appeler, hier, à la "capitulation sans conditions" de la République islamique. Il a même assuré que les États-Unis pouvaient aisément tuer le guide suprême iranien Ali Khamenei. Ce dernier a proclamé que son pays "ne se rendra jamais" et mis en garde les Etats-Unis contre des "dommages irréparables" en cas d'intervention dans le conflit.Pour l'heure, les frappes israéliennes ont déjà fait plus de 200 morts et plus de 1200 blessés. Le monde reste suspendu aux paroles de Donald Trump. Hier, en rentrant en avion du G7, le président américain a démenti les informations de sa cheffe du renseignement, Tulsi Gabbard qui estimait en mars devant le Congrès que l'Iran ne possédait pas la bombe nucléaire : "Je me fiche de ce qu'elle a dit", a rétorqué le président à une journaliste qui l'interrogeait. Si L'Iran ne dispose pour l'instant que d'uranium enrichi à 60%, là où le seuil requis s'élève à 90% pour obtenir l'arme nucléaire, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont estimé jeudi dernier que l'Iran pourrait avoir la capacité de produire "plus de neuf" bombes nucléaires. Mais avec l'opacité entretenue par le régime iranien, impossible de savoir si ces projections sont vraiment crédibles.Acculé, affaibli, le régime iranien continue de menacer, à commencer par fermer le détroit d'Ormuz, par lequel transitent 20% du pétrole mondial et 30% du Gaz naturel liquéfié. Sardar Esmail Kowsari, commandant des Gardiens de la Révolution, a déclaré que cette option était "à l'étude". Son application plongerait le monde dans une grave crise économique. En fin de semaine dernière, lorsque les premières bombes israéliennes sont tombées sur l'Iran, les cours du pétrole ont flambé, avant de se stabiliser. Large d'environ 50 kilomètres, le détroit s'étend d'Oman à l'Iran. L'Iran, lui-même producteur important de pétrole, serait évidemment impacté par la fermeture de ce passage stratégique. Selon Le Figaro, 95% des barils iraniens sont exportés vers la Chine, et transitent par ce passage maritime.Pendant ce temps, à l'autre bout de l'Europe, Volodymyr Zelensky s'inquiète. Le président ukrainien craint que l'attention focalisée sur le Moyen-Orient n'affecte encore plus le soutien militaire à l'Ukraine. Samedi dernier, il a appelé à ce que "l'aide à l'Ukraine ne diminue pas pour cette raison", comme ce fut le cas lors de la précédente altercation entre Israël et l'Iran en octobre 2024. Présent au G7 en début de semaine, il n'a pu que constater le manque d'intérêt de l'administration américaine pour sa cause, et a quitté le rassemblement mardi au lendemain du départ précipité de Donald Trump. "La diplomatie est désormais en état de crise", a-t-il lâché. D'autant que la Russie semble profiter de la guerre au Moyen-Orient pour avancer ses pions. Dans la nuit de mardi à mercredi, elle a lancé une vaste attaque de drones sur Kiev, faisant 24 morts et plus de 130 blessés. Le président ukrainien, a déclaré qu'il s'agissait de "l'une des attaques les plus horribles sur Kiev" et a appelé à un soutien international plus fort pour aider l'Ukraine à se défendre. Cette nuit, un nouvel essaim de 58 drones a frappé les oblasts de Donetsk, Dnipropetrovsk et Zaporijia.Où en est le programme nucléaire iranien ?Quelles conséquences aurait une fermeture du détroit d'Ormuz sur l'économie mondiale ?Et comment la Russie profite-t-elle du chaos au Moyen-Orient pour avancer ses pions ?LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PALOMEROS - Ancien chef d'état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- Patricia ALLÉMONIÉRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- David RIGOULET-ROZE - Chercheur associé à l'IRIS, rédacteur en chef de la revue "Orients stratégiques", auteur de "La République islamique d'Iran en crise systémique"- Marc-Antoine EYL-MAZZEGA – En duplex - Directeur du centre énergie et climat de l'Ifri

Invité de la mi-journée
Guerre Israël-Iran: en Israël, «on observe des hésitations» concernant l'élimination d'Ali Khamenei

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 6:57


La guerre se poursuit entre Israël et l'Iran sans aucun signe d'apaisement. Téhéran menace d'intensifier ses attaques et Israël annonce avoir tué le plus haut gradé militaire. De nombreux membres importants des Gardiens de la Révolution islamique n'ont pas survécu aux offensives ciblées, quasiment toutes de la même génération et avec le même type de profil. Qui étaient les fonctionnaires et les scientifiques victimes d'Israël au cours de ces derniers jours et quelles conséquences pour le pouvoir des mollahs ? Entretien avec Stéphane Dudoignon, directeur de recherche au CNRS. Auteur de l'ouvrage « Les Gardiens de la Révolution en République islamique d'Iran », aux éditions CNRS.

Dans la presse
Guerre entre l'Iran et Israël : "La peste ou le choléra"

Dans la presse

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 6:50


A la Une de la presse, ce lundi 16 juin, la poursuite de l'escalade entre Israël et l'Iran, qui annonce la mort du chef du renseignement des Gardiens de la révolution dans une attaque israélienne. La crainte de voir la guerre à Gaza reléguée au second plan. Une femme à la tête du MI6 britannique. Et le début de la Coupe du monde des clubs. Un drôle de tournoi.

Invité de la mi-journée
Guerre Israël-Iran: «Plus rien n'arrête celui qui dispose de la force dominante»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 14:16


Au quatrième jour de confrontation entre Israël et l'Iran, le bilan est de 24 tués en Israël depuis vendredi et au moins 224 morts côté iranien. Analyse des conséquences possibles sur les conflits déjà en cours dans la région et pour le régime iranien avec Firouzeh Nahavandi, professeure émérite à l'université libre de Bruxelles, autrice de « Femmes iraniennes, évolution ou révolution, comment survivre sous un régime islamique », éditions Code9/La Pensée et les Hommes, et Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des universités et président de l'IReMMO, co-auteur de « L'Atlas du Moyen-Orient », éditions Autrement. RFI : Où vont ceux qui quittent Téhéran ? Est-ce qu'il n'y a que la capitale et les villes dans lesquelles se trouvent des installations nucléaires qui sont menacées aujourd'hui ? Firouzeh Nahavandi : Non, bien évidemment. Il y a beaucoup de concentration dans Téhéran. Il ne faut pas oublier non plus que c'est la capitale avec près de 10 000 000 d'habitants. Et donc ceux qui peuvent partir et qui peuvent se faire loger ailleurs dans les villes qui seraient moins touchées, dans les petits villages, et ailleurs en Iran, sont en train de quitter. Il est vrai que la ville est en train de se vider à une rapidité assez impressionnante et que la population est totalement choquée et affolée par ce qui est en train de se passer, ce qu'éventuellement ils pourraient subir. Donc, il y a une peur à Téhéran, mais c'est une peur que l'on peut retrouver également dans d'autres lieux, même autres que là où il y a des installations nucléaires et où, à côté des installations nucléaires. Il faut dire que ces installations sont un petit peu dispersées partout en Iran. Cette peur selon vous pourrait-elle amener certains à se retourner contre le régime ?  Il y a déjà des manifestations contre le régime et donc des personnes qui ne soutiennent pas, au contraire, ce qui est en train de se passer. Donc de là à parler d'un soulèvement d'une population sans armes et sans aucun soutien, on ne peut pas le dire. Ce que l'on peut dire, c'est que de toute façon, s'il se passe quelque chose, c'est de l'intérieur de l'Iran, que cela va avoir lieu. Mais dans quelles circonstances ? Je crois qu'il est difficile de le dire maintenant. Plusieurs figures des Gardiens de la révolution ont été visées par Israël. Est-ce que selon vous, le régime est assez solide pour fonctionner après leur disparition ? Je pense que le régime est loin d'être solide. Effectivement, il était déjà délégitimé depuis longtemps et en particulier depuis le mouvement « Femme, vie, liberté ». Et aujourd'hui, en perdant quand même des responsables importants de différents secteurs militaires, paramilitaires, il est en faiblesse. Et en plus il a perdu le soutien de ses proxys. On pense en particulier au Hezbollah qui a dit qu'il n'en avait rien à faire. Donc c'est un régime affaibli et qui est aux abois et qui sera prêt à faire tout ce qu'il peut pour sa survie. Israël dit avoir visé la force d'élite al-Qods, qu'est-ce qu'elle représente en Iran ? C'est la principale force qui intervient à l'extérieur de la République islamique d'Iran. C'est une des forces qui intervient dans tous les pays et dans tous les conflits que provoque la République islamique et qui est présente dans les pays voisins, qui est intervenue en Irak, qui est intervenue en Syrie et qui soutient ou qui arme et en même temps apprend, fait des exercices avec tous les proxys et tous les mouvements qui sont dans les pays voisins, pour déstabiliser ces pays voisins. Il n'y a pas d'indications que le site nucléaire souterrain de Natanz soit touché, nous dit l'AIEA. C'est la partie en surface qui a été détruite, comme l'a revendiqué le Premier ministre israélien. Qu'est-ce que ça veut dire concrètement, que les capacités sont intactes ? Jean-Paul Chagnollaud : Ça, il est beaucoup trop tôt pour le dire. Mais c'est vrai que lorsqu'on parle du programme nucléaire, il faut distinguer plusieurs choses. Il y a des réacteurs nucléaires. S'ils étaient attaqués, ce serait un drame absolu. Et d'ailleurs, l'AIEA l'a rappelé très fermement. Deuxièmement, il y a les usines d'enrichissement d'uranium à Natanz, mais aussi à Fordow. Et à Natanz, il y a une partie manifestement qui est à ciel ouvert, si je puis dire, et sans doute une partie souterraine. Mais Fordow, d'après ce qu'on peut savoir, c'est entièrement enfoui et donc il est clair qu'il doit y avoir encore des capacités importantes qui sont là. Donc, on ne sait pas exactement le résultat. On le saura plus tard. Mais pour l'instant, il est clair que ce programme doit être abîmé, mais il est évidemment loin d'être complètement détruit. Et puis il y a une autre dimension que je trouve importante, c'est la dimension qualitative, c'est-à-dire le fait qu'il y a beaucoup de gens, des scientifiques en Iran aujourd'hui, qui sont capables de trouver des solutions à ce genre de problème. On est dans une optique dont il est difficile aujourd'hui de mesurer l'importance.  L'objectif est uniquement le programme nucléaire de Téhéran ?  Firouzeh Nahavandi : L'objectif déclaré est le programme nucléaire iranien. Mais dans le même temps, Israël aimerait bien pouvoir se débarrasser de ce régime qui met de toute façon son existence en danger. Donc, si ouvertement, un changement de régime n'est pas déclaré, il est évidemment une des hypothèses possibles, et un changement de régime est aussi visé quelque part par Netanyahu et ses partisans.  Dans ce cas, comment peut-on expliquer que ni le Guide suprême, ni le président ou aucune personnalité du gouvernement n'ait été visé ?  Jean-Paul Chagnollaud : On est dans un scénario tout de même assez singulier, l'Iran est un État souverain et si je me permets, ce qui est totalement aujourd'hui inaudible, de rappeler le droit international, il y a une intégrité territoriale et on ne doit pas attaquer les dirigeants d'un pays. Donc là, il y a une vraie question. Et si on se met à banaliser le fait qu'on peut assassiner les dirigeants de quelque pays que ce soit, ça nous promet un monde sans droit international, ce qui d'ailleurs est déjà le cas. Le Conseil de sécurité, ça n'a échappé à personne, a complètement disparu. Il est bloqué aussi bien sur l'Ukraine que sur la question de l'Iran ou la Palestine par l'un ou l'autre, c'est à dire la Russie ou par les États Unis. Et donc aujourd'hui ce qui prime c'est le rapport de force. Donc effectivement, dans ce cadre-là, votre question est tout à fait pertinente dès lors qu'on a comme idée dominante et paradigme dominant la force, la force n'a pas de limites, mais en même temps elle n'a pas finalement de résultat possible, parce que ça veut dire qu'il n'y a aucun compromis politique. Au terme de tout ça, on cherche une victoire totale, on cherche à écraser l'autre. Et je ne pense pas que c'est comme ça qu'on puisse régler le problème important du programme nucléaire. Je pense qu'il faudra impérativement et malheureusement, pour l'instant, il n'en est pas question, revenir à la diplomatie. La diplomatie est fondée sur des rapports de force, ça va de soi, mais à condition que les rapports de force, justement, s'arrêtent à un moment donné pour permettre que chacun s'y retrouve. Or là, les Israéliens souhaitent écraser ce programme, sans doute écraser le régime aussi, comme ça a été dit. Je pense que s'ils pouvaient le faire, bien entendu, ils le feront. Et ils ont commencé à bombarder un peu partout des cibles qui sont bien au-delà des sites du programme nucléaire et aussi des cibles militaires. Donc on est dans une situation où finalement plus rien n'arrête celui qui dispose de la force dominante, ce qui est le cas aujourd'hui.  Il y a eu les opérations d'Israël contre le Hezbollah au Liban et des bombardements qui se poursuivent. Il y a eu aussi des bombardements en Syrie. Et puis bien sûr, la guerre qui est en cours à Gaza. Est-ce qu'Israël a les moyens de poursuivre tous ces fronts ?  Jean-Paul Chagnollaud : Je pense que Israël a les moyens, en tout cas à ce stade, d'autant plus qu'il est soutenu par les États-Unis. Il ne faut jamais oublier que les armes sont en partie israéliennes, mais essentiellement elles sont américaines et dans toutes les questions que vous venez d'évoquer, vous voyez bien qu'il n'y a aucune solution politique qui est au bout de tout ça, ce sont autant d'impasses stratégiques. Le Liban continue à être bombardé de manière sporadique malgré un cessez-le-feu. La Syrie reçoit régulièrement des bombardements, y compris dans sa capitale Damas. Quant à Gaza, on est en train d'organiser une épuration ethnique que rien ne semble pouvoir arrêter. Ce n'est pas non plus une solution politique. C'est un drame de plus. Donc, si vous voulez, nous sommes pris aujourd'hui dans l'actualité de ce rapport de force et on compte les victoires militaires. Mais au bout de la victoire militaire, qu'est-ce qu'il y a ? Il y a des cendres. Donc il faut penser autrement les choses. Et c'est pourquoi je pense que la plupart des pays occidentaux en tout cas, vont appeler à un cessez-le-feu rapide. Sinon, on va je le répète, dans des violences qui en engendreront d'autres. Quelles que soient les situations qui vont sortir de ces journées ou peut être de ces semaines, je n'en sais rien, de ce conflit, il faut impérativement qu'un jour la diplomatie reprenne son cours.  Le conflit se poursuit avec des bilans de plus en plus lourds et notamment des morts  civils. Pourquoi Israël s'est-il lancé maintenant contre l'Iran ?  Firouzeh Nahavandi : En effet, tout d'abord, depuis 1979, Israël a été la cible de toutes les accusations de la République islamique et l'un des piliers de la légitimité de la République islamique a été l'éradication et la disparition d'Israël. Et puis est venue se greffer là-dessus la question du nucléaire. Et je rappelle qu'Israël a toujours été contre les accords et les négociations sur le nucléaire et contre l'accord qui a été signé en 2015, et s'est préparé selon les spécialistes depuis très longtemps, à des opérations en Iran. D'ailleurs, ils sont intervenus à plusieurs reprises pour tuer l'un ou l'autre des spécialistes, des scientifiques ou des chefs militaires. Mais apparemment la situation actuelle faisait qu'on a plusieurs éléments qui allaient soutenir Israël dans la mesure où les proxys de l'Iran sont neutralisés d'une certaine manière. Et après le rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique qui confirmait quand même un problème avec le nucléaire iranien et la dangerosité possible, les cartes étaient là pour qu'Israël intervienne.  Jean-Paul Chagnollaud : Je souscris à ce qui vient d'être dit, mais il faut regarder une chronologie. Chacun jugera si c'est une coïncidence ou un calcul politique. La semaine dernière, Netanyahu était en grande difficulté sur la scène intérieure puisque les haredim, les partis religieux, voulaient remettre en question sa coalition pour un certain nombre de raisons de politique intérieure importantes. Deuxièmement, il y avait une importante négociation sur le nucléaire qui avait lieu à Oman. Et puis enfin, il y avait cette conférence à New York avec la possibilité d'un État palestinien. Tout ça a été gommé et pulvérisé dès lors que Netanyahu a choisi d'attaquer à ce moment-là l'Iran. Et du coup, la question de l'Iran a tout balayé, il faut quand même réfléchir à cela. 

Revue de presse internationale
À la Une: Israël et l'Iran se rendent coup pour coup

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 4:50


Des trajectoires lumineuses dans la nuit, des immeubles éventrés, des secouristes qui tentent de venir au secours des victimes. Ce sont de nouveau des images de guerre que renvoie ce matin la presse internationale.  « À 1900 km de distance, deux villes tremblent sous une pluie de missiles », titre le Times, qui a interrogé des Israéliens et des Iraniens. Le quotidien britannique a contacté par téléphone Sharam, un journaliste iranien, qui raconte : vendredi matin, « alors que les explosions détruisaient sa maison, faisant trembler les murs et les fenêtres, ils n'ont pu, avec sa femme, que se réfugier sous la table de la salle à manger, pour prier. » Sharam précise que la dernière fois qu'il a eu aussi peur, c'était en 1980, lorsque les Irakiens avaient tiré sur Téhéran. « À l'époque », dit-il, « nous avions des sirènes et des abris. Aujourd'hui, nous n'avons même plus ça ». Côté israélien, le Times of Israel, parle de « destruction totale ». « Les Israéliens », nous dit le journal, « décrivent la peur et le chaos, alors que les missiles iraniens détruisent leurs maisons ». Une photo montre une policière portant un bébé dans ses bras. Les secouristes recherchent les autres membres de la famille. Renverser les mollahs Quels sont les objectifs de Benyamin Netanyahu derrière l'offensive israélienne contre l'Iran ? La question est posée. Posée notamment par le Devoir. « Quand Israël cible l'atome pour faire tomber les mollahs », titre le journal canadien. Certes, concède le Devoir, « l'objectif affiché est de mettre à terre les capacités nucléaires du plus grand ennemi de Tel-Aviv (…) mais celui, qui l'est un peu moins, est de faire tomber définitivement le régime des mollahs, pour faire entrer Téhéran dans une nouvelle ère, moins belliqueuse et plus respectueuse de l'existence de l'État juif. » Avis partagé par le Japan Times, pour qui « les attaques d'Israël contre l'Iran laissent entrevoir un objectif plus vaste, celui d'un changement de régime ». Objectif revendiqué par Benyamin Netanyahu lui même, car, souligne le quotidien japonais, le Premier ministre israélien s'est adressé directement aux Iraniens, en leur disant : « En atteignant notre objectif, nous ouvrons également la voie, pour que vous puissiez obtenir votre liberté. Le régime (…) n'a jamais été aussi faible. C'est l'occasion pour vous de vous lever et de faire entendre votre voix ». « La crise iranienne ne se résume pas à la crise nucléaire », titre de son côté le Soir. Le quotidien belge a interrogé le chercheur Clément Therme, et lui a demandé si les négociations avec les États-Unis « étaient enterrées ». Ce à quoi Clément Therme répond : « cela dépend si la République islamique survit à ce choc militaire et à la contestation interne. Le régime est en échec. Il faudra voir l'évolution dans les prochaines heures… les prochains jours ». Film d'espionnage Deux jours après les premières frappes israéliennes sur l'Iran, la presse souligne également qu'Israël a préparé ses attaques depuis longtemps. « L'opération Rising Lion («Lion qui se dresse», en anglais) (…) a été conçue et mise en place de longue date sans que les services secrets iraniens s'en aperçoivent », remarque la Tribune Dimanche, qui parle « d'un coup audacieux parfaitement exécuté, digne des meilleurs films d'espionnage ». « En quelques heures », nous dit le journal français, « l'armée israélienne a décapité une partie de la chaîne de commandement iranien, éliminé 9 scientifiques chargés du programme d'enrichissement nucléaire de Téhéran et pour finir, ébranlé cette République islamique qui terrorise le Moyen-Orient et le reste du monde depuis presqu'un demi-siècle ». Le Wall Street Journal, de son côté, nous raconte « comment le Mossad israélien a fait passer en contrebande des pièces de drones pour attaquer l'Iran de l'intérieur ». « Israël », remarque le quotidien américain, « a mis plusieurs mois à faire entrer en contrebande des pièces pour ces centaines de drones quadricoptères (avec 4 hélices) équipés d'explosifs – dans des valises, des camions et des conteneurs – ainsi que des munitions qui pouvaient être tirées depuis des plateformes sans pilote ». Information obtenue de sources bien informées, précise le Wall Street Journal.  Ces mêmes sources selon lesquelles « de petites équipes armées de ce matériel ont été déployées près des positions de la défense aérienne et des sites de lancement de missiles iraniens ».  Intensification des frappes Enfin, côté iranien, le Tehran Times annonce que les opérations iraniennes contre Israël vont s'intensifier. Le quotidien publie un communiqué des Gardiens de la Révolution, selon lesquels « des dépôts de carburant pour avion de combat, ainsi que des centres d'approvisionnement en énergie du régime ont été ciblés par des essaims de drones et de missiles ». Les Gardiens de la Révolution (le bras armé du régime) selon lesquels les opérations s'étendront « si les atrocités et les frappes de l'ennemi se poursuivent ».

Géopolitique
Israël bombarde l'Iran : le risque de la guerre perpétuelle

Géopolitique

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 3:26


durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël a bombardé cette nuit des installations nucléaires et militaires iraniennes, tuant le chef des Gardiens de la Révolution et des savants iraniens. Les États-Unis parlent d'une action "unilatérale", mais il semble peu vraisemblable qu'ils n'aient pas donné au minimum un accord tacite.

C dans l'air
Israël frappe l'Iran … et ses sites nucléaires - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 64:31


C dans l'air du 13 juin 2025 - Israël frappe l'Iran … et ses sites nucléaires« Il est crucial d'œuvrer à la désescalade ». Mark Rutte, le secrétaire général de l'Otan, n'a pas caché son inquiétude au lendemain des bombardements d'Israël sur des installations nucléaires iraniennes. L'État hébreu, qui soupçonne l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique, a de surcroît tué des figures fortes du régime de Téhéran. Parmi eux : le chef d'état-major iranien, Mohammed Bagheri, puissant chef du corps des Gardiens de la Révolution.L'Iran considère cette attaque comme une « déclaration de guerre ». Sa réplique ne s'est pas fait attendre avec une centaine de drones envoyés sur Israël. À Washington, Trump, lui, appelle l'Iran à signer un accord sur son programme nucléaire, avertissant sinon d'"attaques encore plus brutales" par Israël. Le président américain semble toutefois rester à l'écart au vu de ses négociations avec la République islamique.Celle-ci ne cesse en tout cas de s'affaiblir : Chute de Bachar al-Assad, retour de Donald Trump, Israël, contestations populaires, crise économique… Les mollahs sont sous pression. L'économie inquiète notamment le régime, car si le pays reste à flot grâce à sa production d'hydrocarbures et le soutien de la Russie et de la Chine, les sanctions occidentales entravent son activité économique.Pendant ce temps, en France, l'eurodéputée insoumise a été acclamée par ses partisans, quatre jours après son arrestation en mer par l'armée israélienne. À Gaza, l'horreur continue, les yeux sont donc tournés vers Emmanuel Macron pour la reconnaissance d'un état palestinien.Alors, comment œuvrer à une désescalade entre Israël et l'Iran ? Le régime des mollahs est-il au bord du gouffre ? Emmanuel Macron va-t-il reconnaître un état palestinien ?LES EXPERTS :Agnès LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen-Orient et vice-présidente de l'IREMMO (Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient)Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction de LibérationGuillaume LAGANE - Spécialiste des questions de défense, maître de conférences à Sciences PoHéloïse FAYET - Chercheuse au centre des études de sécurité de l'Ifri –Responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération

InterNational
Israël bombarde l'Iran : le risque de la guerre perpétuelle

InterNational

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 3:26


durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël a bombardé cette nuit des installations nucléaires et militaires iraniennes, tuant le chef des Gardiens de la Révolution et des savants iraniens. Les États-Unis parlent d'une action "unilatérale", mais il semble peu vraisemblable qu'ils n'aient pas donné au minimum un accord tacite.

RTL Matin
ISRAËL/IRAN - Guillaume Ancel est l'invité de Yves Calvi

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 7:59


L'armée israélienne a mené vendredi des raids aériens massifs, ciblant des sites nucléaires et tuant plusieurs hauts gradés de la République islamique, dont son chef d'état-major et le principal dirigeant des Gardiens de la révolution. Guillaume Ancel, ancien officier, auteur de "Petites leçons sur la guerre, comment défendre la paix sans avoir peur de se battre ?" aux éditions Autrement, est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 13 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 13h - 13/06/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 10:19


Dans cette édition :Israël a mené des frappes massives contre l'Iran la nuit dernière, ciblant des sites nucléaires et militaires ainsi que de hauts responsables du régime iranien, dont le numéro 1 des Gardiens de la Révolution.La riposte iranienne est attendue et Israël se prépare à tous les scénarios, notamment des attaques de drones et des tirs de missiles balistiques depuis l'Iran et le Liban.La France appelle à la retenue et à la désescalade, le président Macron devant évoquer la solution à deux États et un plan pour la stabilité au Proche-Orient.La France Insoumise instrumentalise la situation avec l'expulsion d'Israël de l'eurodéputée Rima Hassan, qui devient un nouveau martyr pour le parti.Un drame en Haute-Marne avec le meurtre d'une professeure dans son collège, une marche blanche est organisée en hommage.Le proxénétisme de cités explose en France, avec de jeunes femmes mineures issues des quartiers exploitées par des narcotrafiquants.Des innovations technologiques stupéfiantes présentées au salon Vivatech, comme l'interprétation des ondes cérébrales pour la cybersécurité et le marketing.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
ISRAËL/IRAN - Guillaume Ancel est l'invité de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 7:59


L'armée israélienne a mené vendredi des raids aériens massifs, ciblant des sites nucléaires et tuant plusieurs hauts gradés de la République islamique, dont son chef d'état-major et le principal dirigeant des Gardiens de la révolution. Guillaume Ancel, ancien officier, auteur de "Petites leçons sur la guerre, comment défendre la paix sans avoir peur de se battre ?" aux éditions Autrement, est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 13 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 13h - 13/06/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 10:19


Dans cette édition :Israël a mené des frappes massives contre l'Iran la nuit dernière, ciblant des sites nucléaires et militaires ainsi que de hauts responsables du régime iranien, dont le numéro 1 des Gardiens de la Révolution.La riposte iranienne est attendue et Israël se prépare à tous les scénarios, notamment des attaques de drones et des tirs de missiles balistiques depuis l'Iran et le Liban.La France appelle à la retenue et à la désescalade, le président Macron devant évoquer la solution à deux États et un plan pour la stabilité au Proche-Orient.La France Insoumise instrumentalise la situation avec l'expulsion d'Israël de l'eurodéputée Rima Hassan, qui devient un nouveau martyr pour le parti.Un drame en Haute-Marne avec le meurtre d'une professeure dans son collège, une marche blanche est organisée en hommage.Le proxénétisme de cités explose en France, avec de jeunes femmes mineures issues des quartiers exploitées par des narcotrafiquants.Des innovations technologiques stupéfiantes présentées au salon Vivatech, comme l'interprétation des ondes cérébrales pour la cybersécurité et le marketing.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse internationale
À la Une: les frappes israéliennes contre l'Iran

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 3:53


L'attaque israélienne fait la Une d'une grande partie de la presse internationale, à commencer par la presse israélienne. « Après des années de préparation », titre le Times of Israel, « l'État hébreu lance une offensive majeure contre l'Iran et son programme nucléaire ». « Des dizaines d'avions israéliens ont frappé des cibles à travers l'Iran, dans la nuit de jeudi à vendredi, y compris des sites nucléaires », explique de son côté Haaretz, selon lequel « des sirènes ont retenti partout en Israël » par crainte de représailles. Représailles qui ont d'ores et déjà commencé car, selon le Times of Israel, l'Iran a lancé « plus de cent drones vers Israël au cours de ces dernières heures ». L'Agence de presse iranienne IRNA, fait d'ailleurs savoir, ce matin, « qu'un plan est en cours d'élaboration pour une réponse ferme aux récentes attaques du régime sioniste ». IRNA cite également le guide suprême, l'ayatollah Khamenei, selon lequel Israël doit s'attendre à « une punition sévère ». L'ayatollah Khamenei reconnaît par ailleurs que « des commandants et des scientifiques ont été tués dans l'attaque israélienne ». À lire aussi[EN DIRECT] Frappes israéliennes contre l'Iran: Téhéran réplique par une attaque de drones 200 avions de combat Et la presse américaine donne des précisions sur l'identité des responsables iraniens tués dans cette attaque. Le New York Times estime ainsi « qu'Israël a anéanti la chaîne de commandement militaire iranienne ». Le Washington Post annonce que « le chef des Gardiens de la Révolution, le général Hossein Salami, a été tué ». Le Wall Street Journal publie de son côté une vidéo de Téhéran, dans la nuit, qu'illuminent des explosions et cite un porte-parole israélien selon lequel « Israël a envoyé plus de 200 avions de combat en Iran et a largué plus de 330 types de munitions ». Le ​​​​​​​Wall Street Journal rappelle également le contexte de cette attaque, « qui intervient quelques jours avant que l'envoyé spécial américain Steve Witkoff ne rencontre ses homologues iraniens pour un sixième cycle de négociations sur le nucléaire ». Les États-Unis qui ont tenu à faire savoir, via le secrétaire d'État Marco Rubio, « qu'ils n'étaient pas impliqués dans les frappes iraniennes, mettant en garde l'Iran contre une attaque des forces américaines ». Affirmation qui n'aura pas convaincu l'Iran. Selon l'agence de presse ​​​​​​​IRNA, le ministère iranien des Affaires étrangères, a déclaré que les attaques israéliennes n'auraient « pu avoir lieu sans la coordination et l'autorisation des États-Unis ». « La promesse de Donald Trump, de "faire la paix" est fortement mise à mal par les frappes israéliennes ​​​​​​​contre l'Iran », constate de son côté le Japan Times, qui parle même d'un « affront » et cite un ancien conseiller de Barack Obama selon lequel « la diplomatie trumpienne est l'une des premières victimes de ces attaques ».  À écouter aussiFrappes israéliennes contre l'Iran: «Israël impose son tempo à la région» Nouvel embrasement En Europe, l'heure est également aux premières constatations. En Espagne, ​​​​​​​El Païs publie la photo d'un pompier, casque blanc sur la tête, au pied d'un immeuble dont certains étages sont éventrés. Autre photo, publiée cette fois par ​​​​​​​Die Welt, celle d'un petit groupe d'habitants constatant les dégâts près d'un immeuble effondré. Selon le quotidien allemand, Israël aurait informé les États-Unis « qu'il considérait ces attaques comme indispensables à sa légitime défense ». En Belgique, ​​​​​​​Le Soir rappelle que « l'amer contentieux entre Israël et l'Iran ne date pas d'hier ». Après plusieurs périodes de calme, voire d'entente, les Israéliens ont estimé que « la menace n'était pas qu'un leurre, depuis que l'Iran a annoncé, en 1998, avoir testé pour la première fois […] ​​​​​​​un missile capable d'atteindre Israël. » Enfin, en France, ​​​​​​​Le Parisien rappelle que l'opération israélienne n'est pas terminée et « qu'elle durera aussi longtemps que nécessaire », selon les propos tenus par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. ​​​​​​​Libération, de son côté, estime que « cette attaque massive et inédite rapproche un peu plus le Moyen-Orient d'un nouvel embrasement ». 

Dutrizac de 6 à 9
Israël frappe l'Iran : des installations militaires et nucléaires ciblées 

Dutrizac de 6 à 9

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 11:14


Israël a mené une série de frappes aériennes ciblées contre des installations militaires et nucléaires en Iran, causant la mort de plusieurs hauts dirigeants, dont le chef des Gardiens de la Révolution. Loïc Tassé décrypte les causes et conséquences géopolitiques de cette opération majeure, ainsi que les tensions croissantes dans la région. Il revient aussi sur les ambitions chinoises en Afrique et une parade à risque pour Trump. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Carrefour de la création
Les anges gardiens de l'opéra

Carrefour de la création

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 15:17


durée : 00:15:17 - Journal de la création du dimanche 08 juin 2025 - par : Laurent Vilarem - Comment se sent un compositeur/trice à la veille de la création de son opéra ? 3 artistes évoquent la première de leurs ouvrages lyriques rendus possibles grâce à un ange gardien et donnés respectivement à Hambourg, Genève, Aix en Provence et Berlin. - réalisé par : Céline Parfenoff

La voix des Gardiens
S3/E13. Lionel Letizi - L'Aiglon

La voix des Gardiens

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 54:29


C'est sur les bords de la Méditerranée ☀️ que Lionel Letizi a pris son envol pour plus de 30 ans dans le monde professionnel, raconté dans ce nouvel épisode de La voix des Gardiens.

LSD, La série documentaire
Les gardiens du droit 1/4 : Juger le droit : la Cour de cassation

LSD, La série documentaire

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 58:21


durée : 00:58:21 - LSD, la série documentaire - par : Cyril Marchan - La Cour de cassation est le dernier recours d'une personne condamnée au pénal ou déboutée d'une demande en réparation. Elle intervient pour vérifier l'application du droit, sans rejuger l'ensemble du procès. - réalisation : Véronique Samouiloff

LSD, La série documentaire
Les gardiens du droit 4/4 : Juger la dépense publique : la Cour des comptes

LSD, La série documentaire

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 58:19


durée : 00:58:19 - LSD, la série documentaire - par : Cyril Marchan - Gardienne du bon usage de l'argent public, la Cour des comptes est une juridiction méconnue qui se donne un rôle d'expertise budgétaire singulier. - réalisation : Véronique Samouiloff

LSD, La série documentaire
Les gardiens du droit 3/4 : Juger la loi : le Conseil constitutionnel

LSD, La série documentaire

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 58:16


durée : 00:58:16 - LSD, la série documentaire - par : Cyril Marchan - Imaginée par Charles de Gaulle pour encadrer le travail du Parlement, l'institution s'est muée en une véritable juridiction garante des droits et libertés inscrits dans la Constitution. - réalisation : Véronique Samouiloff

LSD, La série documentaire
Les gardiens du droit 2/4 : Juger l'administration : le Conseil d'État

LSD, La série documentaire

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 58:20


durée : 00:58:20 - LSD, la série documentaire - par : Cyril Marchan - Juge suprême de l'ordre administratif, le Conseil d'Etat conseille le gouvernement et contrôle l'administration. Il veille à maintenir l'équilibre entre pouvoirs publics et libertés individuelles. - réalisation : Véronique Samouiloff

La Boite de Chocolat
Les Gardiens de la Galaxie Volume 2

La Boite de Chocolat

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 98:44


insta : laboite2chocolat ou la_boitedechocolatPour ce 36 eme épisode on va continuer notre saga Marvel avec le deuxième opus des Gardiens de la Galaxie.Alors ça raconte quoi ? Et bien c'est Star-Lord qui découvre que son daron, c'est un dieu de l'espace égocentrique qui plante sa semence sur chaque planète comme il l'a planté dans sa mère.Et si sur terre ça fait pousser de bien drôles de plantes, dans sa mère il a fait pousser deux trucs :Peter...... et une tumeurPendant ce temps, Rocket le casse couille de la bande, fait chier tout le monde, Drax tape un crush avec une nouvelle venue (et cocorico elle est française), Groot est un tamagotchi sous MD, et Yondu se transforme en daron adoptif flingué au trauma.Ajoute à ça des nazis dorés, des pirates de l'espace qui veulent changer la donne et des punchlines qui puent la testostérone et la névrose spatiale, et ça nous donne... Clairement pas le meilleur opus de la trilogie. Nos gardiens de ce soir sont Thomas, Charlie et l'autre Thomas.N'hésitez pas d'ailleurs à nous LAISSER DES COMMENTAIRES ET AUSSI DES BONNES ETOILES (déjà parce qu'on est des gens cool), et puis aussi suggérez nous des films, on les fera avec plaisir.VOUS ETES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX, SOYEZ DE MOINS EN MOINS TIMIDE voici notre mail pour toutes suggestions / propositions de films : laboitedechocolatmail@gmail.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

MES QUE UN TALK

On fait le point sur la saison des GARDIENS et DÉFENSEURS du FC BARCELONE !De Pena à Koundé, en passant par Ter Stegen, Araujo ou encore Martin : qui a tenu la baraque ? Qui a déçu ? Qui doit partir ? On balance les bulletins de notes, sans filtre.

Le commentaire sportif de Jean-Charles Lajoie
Ép. 30/05 | JiC reçoit l'entraîneur des gardiens du Lightning de Tampa Bay

Le commentaire sportif de Jean-Charles Lajoie

Play Episode Listen Later May 30, 2025 99:29


Dans son apéro, JiC nous parle des séries de la Coupe Stanley du Rocket de Laval Anthony Martineau couvre la série Rocket - Checkers. Nicolas Cloutier nous parle de quelques espoirs en vue du prochain repêchage. Arnaud Gascon-Nadon nous donne les dernières nouvelles dans le monde du football. Tony Marinaro nous donne son opinion sur l'actualité sportive. Alain Chantelois commente quelques dossiers du monde du sport. Dans son billet de saison, JiC nous parle de Jonathan Toews. Antoine Roussel analyse les demi-finales de la Coupe Stanley. On parle de Boxe avec Russ Anber. Philippe Boucher aborde plusieurs sujets concernant les séries de la LNH. En entrevue, JiC reçoit l'entraîneur des gardiens du Lightning de Tampa Bay, Frantz Jean. Une production QUB Mai 2025 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Le condensé des Amateurs de sports
Alternance des gardiens du Rocket en séries : doit-on viser le développement ou l'expérience?

Le condensé des Amateurs de sports

Play Episode Listen Later May 27, 2025 43:34


Le Rocket de Laval a battu les Americans de Rochester 5-0 dimanche soir, se qualifiant ainsi pour la finale de l'Association Est de la Ligue américaine de hockey (LAH). La troupe de Pascal Vincent se livrera aux Checkers de Charlotte à compter de mercredi. Les deux équipes s'affronteront deux fois en deux soirs à la Place Bell de Laval. Écoutez le journaliste de RDS, Luc Gélinas, au micro de Mario Langlois. Stéphane Waite revient sur la stratégie d'alternance des gardiens de Pascal Vincent. Selon l'ancien entraîneur des gardiens chez le Tricolore, le Rocket a «joué avec le feu» en alternant entre Fowler et Primeau. Le chroniqueur aborde également les séries de la LNH et se questionne : les Panthers seront-ils là où ils sont sans Bobrovsky? Le CF Montréal a tenu un point de presse lundi matin pour calmer la grogne, après un début de saison extrêmement difficile. Le président de l’équipe, Gabriel Gervais, a affirmé que son organisation ne déliera pas les cordons de sa bourse pour aller chercher des joueurs d'élite. L'organisation mise davantage sur le développement des jeunes joueurs, selon le journaliste sportif au Réseau Cogeco, Jeremy Filosa. Antoine Roussel discute de la performance impressionnante des Panthers de la Floride en séries éliminatoires. L'équipe de Paul Maurice se démarque du lot avec un style de jeu physique et intense qui rend la vie difficile à leurs adversaires. L’ancien joueur de la LNH est clair : «Les Panthers m'impressionnent au plus haut point. Moi je trouve qu'ils musèlent littéralement la Caroline et font en sorte qu'ils doivent changer d'identité.» Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Radio Monaco - Monte-Carlo Business Club
Hommage à l'armée orange : découverte du documentaire “Les anges gardiens de Monaco”

Radio Monaco - Monte-Carlo Business Club

Play Episode Listen Later May 24, 2025 10:34


“Les anges gardiens de Monaco”, réalisé par Franck Florino et co-produit par Yann-Antony Noghès ! Yann-Anthony Noghès est journaliste et producteur. Il est aussi membre du comité de direction de l'Automobile Club de Monaco et le petit-fils du fondateur du Grand Prix de Monaco en 1929 ! Jean-Christophe Sanchez l'a notamment interrogé sur la réalisation de ce documentaire, un hommage à  l'armée orange”, les commissaires de pisteHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'Antichambre
« Enfin un duel de gardiens ! »

L'Antichambre

Play Episode Listen Later May 21, 2025 13:00


À l'Antichambre, Luc Bellemare est en compagnie de Stéphane Waite et Stéphane Fiset pour parler des gardiens en séries éliminatoires.

Rothen s'enflamme
Le procès d'Antoine Kombouaré et de sa gestion des gardiens – 22/04

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 13:33


Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.

Accents d'Europe
En Italie, des « agriculteurs gardiens » préservent la biodiversité

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 19:30


La COP 16 s'achève à Rome dans la douleur, le temps et les milliards manquent toujours pour répondre au défi de la protection de la biodiversité, et atteindre l'objectif fixé de faire cesser la déforestation et la surexploitation des ressources d'ici 2030. Mais des initiatives locales prospèrent. Grèce : deux ans après, les victimes de la catastrophe ferroviaire attendent des réponsesLe 28 février 2023, 57 personnes dont une majorité de jeunes étudiants trouvaient la mort dans la collision de deux trains, à mi-chemin entre les principales villes grecques d'Athènes et Thessalonique.  L'émotion reste très vive dans le pays car la société réclame toujours justice et accuse les autorités de chercher à dissimuler une partie de la vérité, sur fond de manquements à la sécurité et de corruption. De nouvelles révélations publiques ont rassemblé des milliers de personnes dans les rues fin janvier et une nouvelle manifestation d'ampleur est prévue demain 28 février 2025, date anniversaire du drame. Reportage, Joël Bronner. Biodiversité :À travers l'Europe, il existe de nombreuses initiatives pour lutter, à petite échelle, contre l'appauvrissement de la biodiversité. Au centre de l'Italie, dans la région rurale des Marches, un réseau d'agriculteurs gardiens s'est mis en place, il y a vingt ans. Ces agriculteurs ont développé une banque génétique de 500 espèces et sauvé de nombreuses variétés menacées de fruits, de légumes, d'arbres mais aussi des espèces animales de la région. Reportage à Grottamare sur la côte adriatique, Cécile Debarge.L'Union Européenne, pourtant pionnière, active le frein Avec sa directive relatives aux oiseaux de 1979 ou celle sur les habitats naturels de 1992, l'Union Européenne a très tôt œuvré pour la préservation de la biodiversité. Mais la dernière grande initiative en date, la loi « restauration de la nature » a été attaquée de manière virulente à la fois par les conservateurs, l'extrême droite, et une partie des agriculteurs. Elle a finalement été adoptée de justesse en juin 2024, mais sous une forme édulcorée ; dans un contexte de régression sur les exigences environnementales. Mais en Europe, la biodiversité s'effondre nous explique Frédérique Lebel. La revue de presse de Franceline Beretti : comment répondre et s'adapter au séisme Donald Trump ? En Europe, les dirigeants cherchent la réponse et tentent de faire front, pris dans un nouvel étau Russie-États-Unis. Mais trouver des positions communes n'est pas simple, comme le soulignent les médias européens.

Reportage International
En Italie, des «agriculteurs gardiens» pour sauver la biodiversité

Reportage International

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 2:30


En Italie, c'est Rome, la capitale, qui accueille pendant trois jours le deuxième volet de la COP16 biodiversité. L'un des enjeux, après l'échec des négociations en Colombie, est notamment de trouver un accord sur la conservation de la biodiversité. Dans le centre du pays, dans la région rurale des Marches, un réseau d'agriculteurs a relevé les manches il y a déjà vingt ans pour sauver les espèces menacées de fruits, de légumes, d'arbres, mais aussi les espèces animales de la région.   Un reportage de notre envoyée spéciale auprès d'un « agriculteur gardien » à Grottammare, sur la côte Adriatique, à retrouver en intégralité dans Accents d'Europe.À lire aussiReprise de la COP16 biodiversité à Rome: les pays dépasseront-ils leurs différends?

Journal d'Haïti et des Amériques
Les Haïtiens, piégés par les gangs locaux et menacés d'expulsion aux États-Unis

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 30:00


Haïti vit « l'horreur enveloppé d'ordinaire », écrit le Nouvelliste. À Gressier, Fort national, Carrefour feuilles, Tabarre, et Delmas. Les 5 quartiers-communes de la région métropolitaine de Port-au-Prince, les gangs « tirent, brûlent, pillent, tuent depuis près d'un mois, ces derniers jours encore plus », témoigne notre confrère Frantz Duval, dans son éditorial, il ajoute : « tout est trop, tout est surréaliste, tout est au-dessus des mots. » ⇒ Le Nouvelliste : Des bandits tuent et brûlent à Delmas comme à Tabarre⇒ Le Nouvelliste : Des cris, du sang des larmes et beaucoup d'indifférence.L'emprise des gangs s'étend et la terreur avec elle : les criminels ont forcé des habitants de Delmas 30 à abandonner leur maison et la coalition de gangs « VIV Ansanm » a commis un nouveau massacre meurtrier à Tabarre. Notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama nous fait part de la situation dramatique pour des centaines de familles contraintes d'abandonner leur maison, laissant derrière elles des années de souvenirs réduits en cendres. Il a rencontré une mère en larmes qui découvre le cadavre de son fils, qui crie sa douleur et implore le ciel.Un reportage à retrouver en intégralité ici.Malgré cette situation catastrophique en Haïti à laquelle s'ajoute une crise humanitaire et économique, Le président américain veut expulser les immigrés haïtiens des États-Unis. Donald Trump a promis de mener la plus grande opération d'expulsions de l'histoire, il a aussi décidé de restreindre le TPS, le statut de protection temporaire accordé à des milliers d'Haïtiens. Celui-ci devait durer jusqu'en 2026, mais s'arrêtera finalement en août 2025. Notre correspondante à New York, Loubna Anaki s'est rendue à Little Haïti où elle a recueilli des témoignages d'Haïtiens qui vivent dans la peur de l'expulsion et n'osent pas emmener leurs enfants à l'école, aller au travail, faire des courses ou sortir la nuit. La majorité d'entre eux sont en situation régulière, beaucoup d'entre eux vivent et travaillent légalement aux États-Unis grâce au TPS, ce programme de protection temporaire dont l'avenir est incertain.Son reportage est à retrouver en intégralité dans la version audio de ce podcast. Nicaragua : « Un contrôle total de la population à travers des violations généralisées des droits de l'homme »Un groupe d'experts mandatés par les Nations unies publie ce mercredi (26 février 2025) un rapport accablant sur la dictature de facto désormais en place au Nicaragua, qui montre l'ampleur de la répression mise en place dans le pays.Reed Brody est un avocat américain, spécialisé dans la défense des victimes des régimes dictatoriaux et il est membre de cette équipe d'experts. Interrogé par Paula Estanol de la rédaction en espagnol de RFI, il explique « comment le régime de Daniel Ortega et de son épouse, la co-présidente Rosario Murillo a systématiquement démantelé les derniers freins à son pouvoir et consolidé un contrôle total à travers des violations généralisées des droits de l'homme. » « C'est une démonstration de comment l'État et le front sandiniste ont fusionné en un seul appareil de répression » poursuit-il, « et au cœur de ce système, il y a un vaste réseau de renseignement qui surveille la population et sélectionne les cibles à réprimer au Nicaragua et au-delà de ses frontières. »L'entretien est à retrouver en intégralité dans la version audio de ce podcast. Chili : une panne massive de courant paralyse le paysLa vie reprend au Chili après une panne de courant majeure qui a paralysé le pays ce mardi (25 février 2025). L'état d'urgence couvre-feu qui avait été décrété suite à cette panne massive a été levé.Ce « black-out » qui a paralysé le pays serait lié à un problème de distribution. La quasi-totalité du Chili a été affecté, de la région d'Arica au Nord, jusqu'à l'île de Chiloé dans le Sud, en passant par la capitale Santiago.Des millions d'habitants ont été privés de courant mais aussi d'internet. Selon les médias chiliens, des personnes ont été piégées dans des ascenseurs et des manèges avant d'être secourues.À Santiago, notre correspondante Naïla Derroisné témoigne d'une situation chaotique dans les rues alors que les feux de signalisation étaient complètement éteints et que le métro a cessé de fonctionner.Un reportage à retrouver dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Les déchets plastiques contaminent l'archipel des GalapagosIls se font appeler les «Gardiens des Galapagos». Leur objectif est de diminuer d'au moins 30% le nombre de déchets plastiques qui s'échoue sur l'archipel des îles Galapagos, qui est classé au patrimoine naturel de l'Humanité. Elles ont beau être isolées à plus de 1 000 kilomètres de l'Équateur continental, ces terres ne sont pas protégées de la contamination par le plastique.En Équateur, la compagnie Ichtyon a installé 4 systèmes de captation de plastiques sur les rivières et les fleuves du pays. Notre correspondant en Équateur Éric Samson en a visité un, sur la rivière San Pedro près de Quito.Son reportage est à retrouver dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. L'actualité des Outre-merBenoît Ferrand de la 1ère nous parle des métropolitains qui affluent en Guadeloupe car ils souhaitent changer de vie, ce qui n'est pas forcément très bien vécu par la population locale.