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À deux mois des élections européennes 2024, les divers partis de la Nupes - EELV, PS, LFI, PC - ont chacun présenté leur propre liste d'eurodéputés, entérinant ainsi l'échec de l'union de la gauche. Sur le plateau de BFMTV, le 18 septembre 2023, Jean-Luc Mélenchon, le fondateur de la France Insoumise, avait déclaré "Je ne fais pas la Nupes car j'aime les autres". Pourtant, il continuait d'appeler à une liste commune de la Nupes pour les élections européennes. La Nupes, Nouvelle Union populaire écologique et sociale, est une coalition de partis politiques de gauche créée après leurs échecs à la présidentielle de 2022. Elle regroupe la France Insoumise, le Parti socialiste, le Parti communiste et Europe Écologie Les Verts. Cette alliance a eu affaire à des dossiers compliqués, entre l'affaire Quatennens et les différentes stratégies pendant la réforme des retraites et lors des émeutes suivant la mort de Nahel, la gauche est plus divisée que jamais. Pourquoi se sont-ils rassemblés s'ils ne portent pas les mêmes idées ? Quelles sont les raisons de cette division ? Est-ce qu'une coalition à gauche a déjà porté ses fruits ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Première diffusion : 22 septembre 2023 À écouter aussi : Qu'est-ce que le Karoshi, ce concept morbide dans le monde du travail ? Quelles étaient les meilleures blagues du 1ᵉʳ avril 2024 ? Comment aller au musée sans se ruiner ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Sur le plateau de BFMTV, le 18 septembre 2023, Jean-Luc Mélenchon, le fondateur de la France Insoumise, a déclaré "Je ne fais pas la Nupes car j'aime les autres, je ne les aime pas". Pourtant, il continue d'appeler à une liste commune de la Nupes pour les élections européennes. La Nupes, Nouvelle Union populaire écologique et sociale, est une coalition de partis politiques de gauche créée après leurs échecs à la présidentielle de 2022. Elle regroupe la France Insoumise, le Parti socialiste, le Parti communiste et Europe Écologie Les Verts. Cette alliance a eu affaire à des dossiers compliqués, entre l'affaire Quatennens et les différentes stratégies pendant la réforme des retraites et lors des émeutes suivant la mort de Nahel, la gauche est plus divisée que jamais. Pourquoi se sont-ils rassemblés s'ils ne portent pas les mêmes idées ? Quelles sont les raisons de cette division ? Est-ce qu'une coalition à gauche a déjà porté ses fruits ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Pourquoi parle-t-on de gauche et de droite en politique ? Qu'est-ce que le terrorisme d'extrême droite ? [SPÉCIAL PRÉSIDENTIELLE] Qu'est-ce que la Sixième République ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:54 - Le brief politique - Ce week-end à Montpellier, la gauche anti-Mélenchon s'est réunie. Une poignée de socialistes qui cherchent toujours une solution en dehors de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frN°286 / 26 février 2023Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 février 2023.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. LA TURQUIE APRÈS LE SÉISMELe 6 février, deux séismes de magnitude de 7,8 et de 7,5 ont secoué le sud de la Turquie et une partie de la Syrie voisine. Si on recense aujourd'hui plus de 45.000 morts, leur nombre pourrait être de 100.000. A la croisée de trois plaques tectoniques, la Turquie a connu depuis 1900, dix-huit tremblements de terre d'une magnitude égale ou supérieure à 7 sur l'échelle de Richter. 7 habitants sur 10 vivent dans une zone sismique, soit 60 millions de personnes (sur 86 millions). L'Organisation mondiale de la santé déclare que 5 millions de personnes sont en situation de vulnérabilité et craint le développement d'épidémies. Le 20 février, deux nouvelles répliques de forte puissance (6,4 et 5,8) ont eu lieu dans la province turque d'Hatay au sud du pays déjà fortement touché.La « diplomatie du séisme » - activée pour la première fois après les tremblements de terre successifs qui ont frappé la Grèce et la Turquie à l'été 1999 et ont conduit à une amélioration des relations gréco-turques - a été réactivée après ce nouveau séisme. Non seulement la Grèce, mais également Israël et l'Arménie, des pays qui ont en commun d'entretenir des relations plus ou moins tendues avec la Turquie, ont été parmi les premiers à avoir proposé leur aide.En Turquie, devant la montée des critiques publiées sur les réseaux sociaux, accompagnées des appels à l'aide de familles dont les proches étaient coincés sous les décombres, le gouvernement a choisi le 8 février de couper l'accès au réseau Twitter grâce auquel les survivants communiquaient et ... critiquaient le pouvoir. Des voix s'élèvent pour dénoncer vingt années de politique urbanistique désastreuse, de négligence, de corruption, de clientélisme, de népotisme et de stratégies électoralistes. La plupart des habitations turques ne sont pas construites aux normes antisismiques, malgré une loi votée en 2007, peu appliquée en raison de la corruption. Les sinistrés critiquent le manque de préparation des autorités, le retard des secours, l'absence de l'armée, seule en Turquie à posséder les moyens d'agir dans un tel chaos. Si le président turc Recep Tayyip Erdogan a reconnu des « lacunes » dans la réponse apportée, il a cependant assuré qu'« il est impossible d'être préparé à un tel désastre ».D'aucuns rappellent que la gestion hasardeuse du tremblement de terre de 1999, près d'Istanbul, par les autorités d'alors, avait favorisé l'ascension du Parti de la justice et du développement (AKP) d'Erdogan et favorisé son élection en 2003. En difficulté aujourd'hui dans les sondages, la popularité du chef de l'État turc est déjà mise à mal par sa politique monétaire, ayant plongé le pays dans une profonde crise économique. Alors que la chasse aux sorcières contre les promoteurs immobiliers a commencé, au vu de l'ampleur de la catastrophe, la tenue des élections législatives et présidentielle, prévues pour le 14 mai pourrait être reportée.***LA DROITE FRANÇAISE POURRA-T-ELLE SURVIVRE À LA RÉFORME DES RETRAITES ?Après la défaite de sa candidate à l'Élysée, battue avec moins de 5 % des voix, suivie par la perte d'un tiers de ses députés après les élections législatives, le parti Les Républicains connait de nouveaux déboires. Mi-janvier, son nouveau président Éric Ciotti dévoile l'organigramme des Républicains. A la surprise générale, il nomme deux vice-présidents exécutifs : Aurélien Pradié, député du Lot, qui, au premier tour a recueilli près du quart des suffrages des militants et François-Xavier Bellamy, qui soutien de et soutenu par Bruno Retailleau, finaliste de cette élection. Le député du Lot n'a pas tardé à faire savoir qu'il n'appréciait pas de ne pas être l'unique numéro deux du parti.Alors que les rancœurs nées de l'organigramme ne sont pas dissipées, LR doit trouver une position commune sur la réforme des retraites. Le 12 janvier, le Éric Ciotti s'est mis d'accord avec le gouvernement sur un texte qu'il se flatte d'avoir substantiellement orienté : report à 64 ans au lieu de 65 de l'âge légal de départ à la retraite, et accélération de la hausse de la durée de cotisation. Or, si, d'un côté, la direction du parti défend une ligne de « responsabilité » en s'engageant à soutenir le texte du gouvernement qui a accepté ses exigences, de l'autre, les soutiens du député du Lot ne souhaitent pas endosser l'impopularité de la réforme. Pour eux, il faut avant tout reparler aux catégories populaires et s'opposer à tout texte porté par la macronie. Aurélien Pradié dénonce notamment l'absence de prise en compte des carrières longues et réclame que personne n'ait à cotiser plus de quarante-trois ans pour partir à taux plein. Bruno Retailleau dénonce une dérive « socialisante » chez l'élu du Lot.Le 14 février, 38 députés Les Républicains sur 62 ont voté contre l'« index seniors », avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale et le Rassemblement national. Le17 février Aurélien Pradié est vivement applaudi par les députés de la Nupes sur les carrières longues dans l'Hémicycle. C'en est trop pour Éric Ciotti et nombre de députés LR. La sanction tombe le lendemain. Le patron des Républicains démet Aurélien Pradié de ses fonctions de vice-président exécutif car « ses prises de position répétées n'étaient plus conformes avec les valeurs de cohérence, d'unité et de rassemblement qui doivent guider la droite républicaine ». « Je refuserai toujours que la droite devienne peu à peu la béquille conciliante de la macronie », répond Aurélien Pradié.Le texte sur les retraites qui n'a pas pu être voté à l'Assemblée nationale le 17 février, doit arriver le 28 février en commission des Affaires sociales au Sénat, où les Républicains et les centristes disposent de la majorité. Les sénateurs LR devraient eux aussi poser leurs conditions, mais dans le sens d'un durcissement de la réforme pour le cas des régimes spéciaux.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
56% des étudiants avouent ne pas manger à leur faim, comment vivent-ils avec des budgets serrés dans ce contexte d'inflation ? Logement, repas, le coût de la vie étudiante a augmenté de 6,47% par rapport à la rentrée 2021 selon l'UNEF, syndicat étudiant. Les bourses d'études sont-elles à la hauteur pour les étudiants les plus modestes ? Quelles solutions pour les étudiants étrangers et d'Outre-mer, loin de leur famille, qui se retrouvent en première ligne face à la précarité ? Entre cours et petits boulots, comment font les jeunes pour réussir leurs études ? Avec : - Maëlle, étudiante en quatrième année de Sciences politiques dans le cadre d'un double-diplôme entre Sciences Po Paris et la Freie Universität à Berlin. Dans une vidéo postée le 1er novembre 2022 sur TikTok, elle raconte, en larmes, sa situation financière désespérée face à l'inflation, en pointant un montant de bourse qui ne fait que baisser d'année en année. - Louis Boyard, député du Val-de-Marne, (La France insoumise - Nouvelle Union populaire écologique et sociale), ex-président de l'Union nationale lycéenne - Félix Sosso, porte-parole de la FAGE (Fédération des associations générales étudiantes) - Philippe Aghion, économiste, professeur au Collège de France. Programmation musicale : ► Naa maana wana - JAY ML ► Sin pantallas – Guts.
56% des étudiants avouent ne pas manger à leur faim, comment vivent-ils avec des budgets serrés dans ce contexte d'inflation ? Logement, repas, le coût de la vie étudiante a augmenté de 6,47% par rapport à la rentrée 2021 selon l'UNEF, syndicat étudiant. Les bourses d'études sont-elles à la hauteur pour les étudiants les plus modestes ? Quelles solutions pour les étudiants étrangers et d'Outre-mer, loin de leur famille, qui se retrouvent en première ligne face à la précarité ? Entre cours et petits boulots, comment font les jeunes pour réussir leurs études ? Avec : - Maëlle, étudiante en quatrième année de Sciences politiques dans le cadre d'un double-diplôme entre Sciences Po Paris et la Freie Universität à Berlin. Dans une vidéo postée le 1er novembre 2022 sur TikTok, elle raconte, en larmes, sa situation financière désespérée face à l'inflation, en pointant un montant de bourse qui ne fait que baisser d'année en année. - Louis Boyard, député du Val-de-Marne, (La France insoumise - Nouvelle Union populaire écologique et sociale), ex-président de l'Union nationale lycéenne - Félix Sosso, porte-parole de la FAGE (Fédération des associations générales étudiantes) - Philippe Aghion, économiste, professeur au Collège de France. Programmation musicale : ► Naa maana wana - JAY ML ► Sin pantallas – Guts.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 octobre 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Michel Eltchaninoff, rédacteur en chef du mensuel Philosophie Magazine.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.PÉNURIES, GRÈVES, MANIFESTATIONS : DE LA PROTESTATION À L'EXPLOSION ?Le 11 octobre, face à la grève persistante dans les stations et dépôts de carburant qui provoquait depuis plus de dix jours pénuries et files d'attente, la Première ministre Elisabeth Borne a mis a exécution sa menace de « réquisition ». Un accord salarial avait été obtenu entre la direction du groupe Esso-ExxonMobil et les syndicats majoritaires, laissant présager un déblocage progressif, chez TotalEnergies, la direction a finalement ouvert les négociations le 13 octobre.Le dimanche 16 octobre, orchestrée, par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, la « grande marche contre la vie chère et l'inaction climatique » a confirmé les tensions sociales qui agitent le pays. Réunissant quelque 140.000 personnes selon les organisateurs, 29.500 selon le cabinet indépendant Occurence, le mouvement préfigure, aux yeux de son principal instigateur, Jean-Luc Mélenchon, « la conjonction de la mobilisation populaire, de la mobilisation syndicale et de la crise institutionnelle ». Le soir-même, la Première ministre, a exhorté les entreprises qui le peuvent à augmenter les salaires. Lundi, le chef de l'Etat, a convoqué une réunion à l'issue de laquelle, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a annoncé que les préfets seraient « mobilisés un cran au-dessus pour accélérer l'acheminement » des carburants vers les stations.Après la mobilisation du 29 septembre, une autre journée interprofessionnelle a été lancée le 18 octobre par la CGT, avec FO, Solidaires, FSU ainsi que des mouvements de jeunesse. Premier syndicat de France, la CFDT n'a pas participé au mouvement, s'opposant ainsi aux grandes manifestations interprofessionnelles, inefficace pour obtenir des augmentations salariales dans les entreprises, selon elle. Mardi, 107.000 manifestants ont défilé en France, dont 13.000 à Paris selon le ministère de l'Intérieur. La CGT revendiquait quant à elle 70.000 manifestants à Paris et 300.000 à l'échelle nationale. Les participants défilaient pour « l'augmentation des salaires et la défense du droit de grève », selon les termes du communiqué publié la semaine dernière. Autre motif de mécontentement, qui a convaincu Force ouvrière de se joindre au mouvement : les réquisitions. Pour Martial Foucault, directeur du Cevipof, le Centre de recherches politiques de Sciences Po, « la mobilisation décevante des manifestations syndicales de ces dernières semaines montre une certaine lassitude vis-à-vis de la capacité à changer le cours de l'action de l'exécutif par la rue ».Le recours à l'article 49.3, mercredi par la Première ministre pour faire passer le budget, n'apaisera pas le débat public. Ni la manifestation organisée jeudi par l'Institut pour la justice, un think tank proche d'Éric Zemmour, pour rendre hommage à la petite Lola, tuée le 14 octobre à Paris.***AZERBAÏDJAN-ARMÉNIE : UNE GUERRE PEUT EN CACHER UNE AUTRELe conflit endémique qui oppose l'Arménie à l'Azerbaïdjan depuis le démantèlement du bloc soviétique a connu une nouvelle flambée en septembre. Durant plus de deux jours, une quinzaine de villes et de sites, civils ou militaires, arméniens ont été bombardés ou pris d'assaut par les forces azéries le long de 250 kilomètres de frontières, faisant près de 300 victimes du côté arménien. Un fragile cessez-le-feu a été signé mi-septembre. Les deux pays se rejettent la responsabilité de ces affrontements, qui ont poussé des centaines de civils arméniens vivant dans la zone frontalière à fuir.Après l'effondrement de l'Union soviétique en 1991, les Arméniens séparatistes du Nagorny Karabakh avaient unilatéralement proclamé leur indépendance. Le conflit qui a suivi avait fait 30.000 morts. En 2020, Bakou avait tenté de récupérer cette région dans une offensive qui s'était soldée par un accord de cessez-le-feu. Il actait notamment la restitution de trois quarts du territoire du Nagorny Karabakh à l'Azerbaïdjan, mais aussi « la restauration des liaisons économiques et de transport » entre l'Azerbaïdjan et sa région enclavée du Nakhitchevan, située entre la Turquie et l'Arménie. Ce point supposait la création d'un corridor (contrôlé par les forces de paix russes) en plein territoire souverain arménien. L'Arménie a refusé cette perte de souveraineté.Dénonçant une « agression » et espérant une réaction de la communauté internationale, le Premier ministre arménien a demandé « l'aide de la Russie, de l'Organisation du traité de sécurité collective [OTSC une organisation politico-militaire créée en 2002 par la Russie, l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizistan et le Tadjikistan] et du Conseil de sécurité des Nations unies ». Une délégation de l'OTSC est arrivée le 15 octobre à Erevan pour examiner la situation. Alors que Moscou est de plus en plus isolé sur la scène internationale, les États-Unis et l'Union européenne ont pris un rôle majeur de médiateurs dans le processus de normalisation entre Bakou et Erevan. La France, coprésidente du groupe de Minsk chargé d'une résolution pacifique des différends entre les deux pays avec les États-Unis et la Russie, a saisi le Conseil de sécurité de l'ONU. L'Union européenne va envoyer une « mission civile » en Arménie le long de la frontière avec l'Azerbaïdjan pour « établir la confiance » entre les deux pays et contribuer à la délimitation des frontières.A trois exceptions près (la France, l'Inde ainsi que les Etats-Unis), les commentaires officiels, y compris européens, s'en tiennent à respecter une stricte symétrie entre les parties au conflit. Le 18 juillet dernier, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a signé un accord prévoyant un doublement des importations de gaz azerbaïdjanais dans l'Union européenne.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Des milliers de personnes ont défilé à Paris, dimanche 16 octobre 2022, répondant à l'appel de la « marche contre la vie chère et l'inaction climatique », organisée par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), et soutenue par des associations et certaines fédérations syndicales. Ils étaient 140 000 manifestants d'après les organisateurs, 30 000 selon les chiffres de la police. « Ce sont des sources policières mais nous ne donnons jamais de chiffres pour les manifestations politiques », explique le nouveau préfet de police Laurent Nuñez, invité des 4 Vérités, lundi 17 octobre 2022, sur France 2. Aucun incident n'est à déplorer. « Rien n'a changé. La préfecture de police veille à ce qu'il n'y ait pas d'incident, comme cela a été le cas hier. Mais quand il y a un risque de dégradations, d'atteintes aux personnes, nous intervenons », ajoute-t-il, précisant que quatre personnes avaient été interpellées en amont de la manifestation. Cette semaine, le climat social s'annonce sous haute tension. Le mardi 18 octobre s'annonce comme une journée noire. En effet, les organisations syndicales appellent à une grande journée de grève et de mobilisation nationale. « La montée en puissance des tensions dans les manifestations est un phénomène qui remonte à maintenant plusieurs années. Un certain nombre d'individus, appartenant généralement aux mouvances extrémistes radicales violentes essayent de s'infiltrer dans les cortèges pour les faire dégénérer », poursuit le successeur de Didier Lallemand. Il l'assure : « Nous serons très vigilants ». Dans les stations-service, le climat est toujours tendu. Le mouvement social des salariés des raffineries et dépôts se poursuit. Même si la proportion de stations-service en difficulté se réduit peu à peu, la situation reste critique. « La situation devrait s'améliorer cette semaine, comme l'a dit la Première ministre », affirme Laurent Nuñez, qui se dit « confiant » sur la situation. La pénurie de carburant crée des tensions entre les automobilistes, notamment en Île-de-France, région la plus touchée. « On est obligé, parfois, d'intervenir. Nous mettons des policiers dans les stations essence à chaque fois que les tensions montent en puissance, mais pour l'instant, il n'y a pas eu d'incidents graves », ajoute-t-il. Refus d'obtempérer : « cela ne nous dissuadera pas d'intervenir » Vendredi 14 octobre, un conducteur est mort, des suites de ses blessures, après avoir été visé par des tirs de policiers ; dans le 12e arrondissement de Paris. Les forces de l'ordre ont utilisé leur arme, après que l'homme ait refusé d'obtempérer dans le cadre d'un contrôle du véhicule. Les deux complices sont, eux, encore en fuite. « On constate un nouveau cas de refus d'obtempérer, il faut être vigilants. Mais cela ne nous dissuadera pas les forces de l'ordre sous mon autorité, en région parisien, mais aussi dans l'ensemble du pays, de faire des contrôles et d'engager des poursuites », assure Laurent Nuñez, ne souhaitant pas s'étendre sur le sujet. « Des investigations judiciaires sont en cours », explique-t-il. De leur côté, deux policiers ont été placés en garde à vue, une procédure d'usage dans ce type d'affaires. « Les policiers utilisent leur arme administrative uniquement dans des cas limités, extrêmement minoritaires, soit lorsque leur vie est en danger, soit lorsque les auteurs sont susceptibles de mettre en danger la vie d'autrui », explique le responsable.
Bernard Cazeneuve a rendu sa carte du Parti socialiste (PS), suite à l'accord passé entre le PS et la France Insoumise (LFI), afin de s'opposer à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), à l'initiative de Jean-Luc Mélenchon, lors des élections législatives. Le 4 septembre 2022, l'ancien Premier ministre socialiste a publié un manifeste dans lequel il assure qu'une « autre gauche est possible ». Il milite pour une gauche sociale-démocrate « qui rompe avec l'outrance et le sectarisme, mais qui demeure ardente dans le refus des inégalités, des injustices et des discriminations, dans la défense des valeurs de la République ». Près de 400 personnalités de gauche, dont la quasi-totalité sont des opposants à la ligne pro-Nupes adoptée par l'actuel premier secrétaire du PS, Olivier Faure. Parmi elles ? Le maire du Mans, Stéphane Le Foll, l'ex-premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin (Rhône), ou encore la présidente de la région Occitanie, Carole Delga. Dix jours plus tard, Bernard Cazeneuve revendique avoir obtenu plus de 4000 signatures. « J'ai choisi un texte long, pas un tweet, c'est-à-dire, la réflexion de fond, avec la volonté d'apporter la démonstration qu'un autre chemin est possible à gauche », explique-t-il, le 16 septembre, sur le plateau des 4 vérités, sur France 2, plaidant pour un « esprit d'ouverture et de tolérance » contre le « repli sectaire ». Dans un premier temps, l'ancien ministre de l'Intérieur, sous François Hollande, entend « structurer cette initiative sur le plan local, autour de ceux qui se sont engagés localement ». Créer un élan contre l'extrême droite L'idée ? Créer un mouvement de réflexion afin d'exposer collectivement leurs idées et de faire un certain nombre de propositions. « Nous ne voulons pas créer un nouveau parti. Les appareils ont montré toutes leurs faiblesses. Au contraire, nous voulons essayer de démontrer qu'il y a de la place pour créer un nouvel espace politique, qui permette, autour de cette synthèse entre les enjeux républicains, écologiques et sociaux, de créer les conditions du dialogue et d'une longue dynamique », développe-t-il au micro de Jeff Wittenberg, assurant qu'il n'y aura pas « d'étiquette partisane ». L'ancien Premier ministre veut « créer les conditions d'un élan », notamment auprès de la jeune génération, afin de lutter contre l'extrême droite. « Je n'ai pas d'agenda personnel ni d'intérêt d'appareil », assure l'homme politique, précisant qu'il agissait en raison de ses propres convictions. Bernard Cazeneuve accuse Olivier Faure de s'être « toutouisé » à Jean-Luc Mélenchon. « Si on veut que l'Union de la gauche soit possible, il faut qu'elle se fasse avec des femmes et des hommes qui ont un minimum d'attache à l'Europe, la République, la transition écologique et la solidarité », affirme-t-il, insistant sur la dissociation entre « la gauche et l'extrémisme ». Il dénonce également « l'absurdité des débats tels qu'ils se sont engagés à gauche ».
Les charges relatives à la contribution à l'entretien et à l'éducation des enfants viennent en déduction de leurs ressources pour l'appréciation du droit à prestation compensatoire (ou de son montant), peu importe qu'il s'agisse des enfants du couple ou d'enfants nés d'une nouvelle union. Réf. : Cass. civ. 1, 13 juillet 2022, n° 21-12.354, F-D N° Lexbase : A56548BZ Pour lire la brève : https://www.lexbase.fr/article-juridique/86887400-breves-prestation-compensatoire-et-prise-en-compte-des-charges-liees-a-l-obligation-d-entretien-des
C'est la rentrée pour les partis politiques. Les militant et les élus du Parti socialiste se sont retrouvés à Blois vendredi 26 et samedi 27 août. Dans l'environnement : une dissonance au sein du parti depuis l'accord avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES). 79 candidats et suppléants dissidents aux législatives sont toujours mis de côté par le parti. Comment se reconstruire dans ces conditions ? Quelle ambition à quelques mois du congrès national ? Éclairage avec celui qui a négocié cet accord pour le PS, également maire de Saint-Vallier dans la Drôme : Pierre Jouvet.
C'est la rentrée pour les partis politiques. Les militant et les élus du Parti socialiste se sont retrouvés à Blois vendredi 26 et samedi 27 août. Dans l'environnement : une dissonance au sein du parti depuis l'accord avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES). 79 candidats et suppléants dissidents aux législatives sont toujours mis de côté par le parti. Comment se reconstruire dans ces conditions ? Quelle ambition à quelques mois du congrès national ? Éclairage avec celui qui a négocié cet accord pour le PS, également maire de Saint-Vallier dans la Drôme : Pierre Jouvet.
durée : 00:15:31 - Journal de 12h30 - À partir d'aujourd'hui et jusqu'à dimanche, les partis de gauche font leur rentrée avec évidemment en arrière-pensée l'avenir de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale.
durée : 00:15:31 - Journal de 12h30 - À partir d'aujourd'hui et jusqu'à dimanche, les partis de gauche font leur rentrée avec évidemment en arrière-pensée l'avenir de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en direct et en public à l'École alsacienne le 26 juin 2022.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, député.David Djaïz, essayiste et enseignant à Sciences Po.Lucile Schmid, membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. LEGISLATIVES 2022 : BILANAu lendemain du second tour des législatives, après le revers pour le pouvoir en place qui, avec 246 députés, obtient la plus petite majorité de la Ve République, le mot est sur toutes les lèvres des éditorialistes : « Ingouvernable » avant même ceux de « séisme » et de « gifle ». La République en marche et ses alliés – MoDem et Horizons – sont loin des 289 sièges d'une majorité absolue. L'exécutif va être contraint de négocier sur chaque réforme pour pouvoir gouverner face à 142 élus de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale et un futur groupe Rassemblement national fort de 89 députés – un record pour l'extrême droite. Les Républicains comptent 64 sièges de députés. L'Hémicycle nouveau, bien que toujours fruit du scrutin majoritaire, ressemble à une Assemblée élue à la proportionnelle. Une fois déjà, dans l'histoire de la Ve République, les élections législatives ont abouti à l'émergence d'une majorité relative. C'était en 1988, lorsque François Mitterrand et son Premier ministre Michel Rocard avaient manqué de 14 sièges la majorité absolue. Aujourd'hui, ce sont 44 sièges qui manquent au gouvernement.En recul par rapport au record observé lors du second tour des élections législatives de 2017 (57,4 %), l'abstention a touché une nouvelle fois plus d'un électeur sur deux (53,77%). Elle marque une fracture générationnelle : chez les plus de 70 ans, la déperdition d'électeurs entre la présidentielle et les législatives n'est que de huit points, quand elle est de 27 points chez les 18-24 ans. Pas un député de cette nouvelle assemblée n'a été élu avec plus de 40% des voix des inscrits de sa circonscription. Pour 95% d'entre eux, ce chiffre est même en dessous de 30% (pour le RN c'est systématiquement moins de 26%).Pour Ipsos, lorsque les électeurs de la Nupes devaient choisir entre Ensemble ! et le RN, ils ont voté à 37 % pour les candidats de la coalition présidentielle et à 18 % pour ceux du parti lepéniste. Le barrage habituel anti-RN n'a pas eu lieu, et le parti de Marine Le Pen a servi de vote utile contre la Nupes, explique Jérôme Jaffré, le directeur du Centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (Cecop) qui souligne la dimension sociale prononcée de ce scrutin. Les trois départements les plus riches de France - Paris, les Yvelines et les Hauts-de-Seine – ont plébiscité les candidats macronistes. Dans le 16e arrondissement de Paris, Ensemble ! a même conquis les deux circonscriptions. En province le vote du 19 juin apparaît souvent comme la transposition électorale du mouvement des « gilets jaunes », estime Jérôme Jaffré. Ainsi, le RN perce dans les départements de la « France périphérique » : l'Eure, où il obtient 4 des 5 sièges, le Loiret, l'Aube, la Marne, la Haute-Marne.Selon un sondage Elabe/BFM publié le 22 juin, 43% des Français pensent que le RN « incarne le mieux l'opposition à Emmanuel Macron », loin devant la NUPES (31%) ou LR (4%).***LEGISLATIVES 2022 : PERSPECTIVES Au surlendemain du scrutin parlementaire qui n'a offert qu'une majorité très relative au camp présidentiel, Emmanuel Macron a débuté les pourparlers en recevant à l'Elysée, les uns après les autres, les représentants des grandes forces politiques. Le 22 juin, il s'est invité à la télévision, pour prononcer une allocution. Qualifiant sa courte majorité relative à l'Assemblée nationale de « fait nouveau » dans l'histoire de la Ve République, il a indiqué que cela implique, selon lui, de « collectivement apprendre à gouverner et légiférer différemment », à base de « compromis » et de « dialogue ».Si Emmanuel Macron décide de poursuivre avec une majorité relative, plusieurs prérogatives réservées à l'exécutif pourraient lui permettre de s'extirper de l'impasse : accord de législature, référendum, ordonnances, accords au cas par cas, recours au 49.3… Cet article de la Constitution permet à l'exécutif de faire voter les lois sans convaincre la majorité absolue de l'Assemblée. Toutefois, son usage est désormais restreint : il se limite au budget, à la sécurité sociale et ne peut être employé que pour un texte de loi par session parlementaire. S'il n'accepte pas l'ensemble des scénarios évoqués jusqu'alors, Emmanuel Macron peut choisir de dissoudre l'Assemblée et appeler à de nouvelles élections. Il peut le faire dès maintenant.Au sein de l'Union européenne, 19 pays sur 27 sont gouvernés par des alliances entre partis. Des coalitions tantôt majoritaires comme en Allemagne ou en Italie, tantôt minoritaires, comme en Espagne ou au Danemark, parfois difficiles à constituer et à manœuvrer. Une possible paralysie de la vie politique française réveille de mauvais souvenirs chez les voisins européens, qui craignent que l'Union européenne, sans le moteur français, ne stagne, alors que les défis n'ont jamais été si nombreux depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.Le risque de blocage politique est réel. Il contraste avec l'urgence des problèmes à traiter : le réchauffement climatique, la dette, la dépendance énergétique, l'inflation, le délabrement de l'hôpital, la crise de confiance dans l'éducation nationale.Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Amélie de Montchalin devait impérativement gagner le second tour des législatives dans l'Essonne si elle voulait rester ministre de la Transition écologique. Avec environ 47% des suffrages, la candidate de la coalition présidentielle s'est inclinée face au candidat de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, Jérôme Guedj, qui a réuni autour de 53% des voix.
Quel avenir pour la NUPES ? Yannick Monnet, député PCF élu sous la bannière Nouvelle Union populaire écologique et sociale dans la 1re circonscription de l'Allier, nous partage sa vision.
MACRON / MÉLENCHON : LA BATAILLE ÉCONOMIQUE – 15/06/22 Invités PHILIPPE DESSERTINE Directeur de l'Institut de Haute Finance CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » SOPHIE FAY Journaliste au service Économie - « L'Obs » Chroniqueuse - « France Inter » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales En cette fin de campagne des législatives, la bataille entre la coalition présidentielle et la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) se poursuit sur les programmes économiques, en particulier les questions budgétaires, et électrise les débats. La Macronie n'a de cesse ces derniers jours de brandir le chiffon rouge de l'extrême gauche au pouvoir. Avec à Matignon Jean-Luc Mélenchon, le « Chavez gaulois », la France courrait irrémédiablement à la « faillite », entonnent en boucle les membres du gouvernement depuis dimanche. Le chef de l'Etat lui-même a exhorté mardi les Français, depuis le tarmac de l'aéroport d'Orly où il s'envolait pour la Roumanie et la Moldavie, à lui « donner une majorité solide » au nom de « l'intérêt supérieur de la Nation ». Dénonçant un « sketch à la Trump », le leader de la Nupes a répondu hier aux attaques du gouvernement sur le volet économique, en lançant : « Le chaos, c'est lui ». « On ne va pas se priver d'interpeller Emmanuel Macron sur son budget caché. Il nous reproche de vouloir trop dépenser mais lui s'est engagé auprès de l'Europe à ramener le déficit du pays à 3 %, ce qui représente 80 milliards d'euros » a-t-il expliqué. « Qu'il nous dise comment il compte faire ! » a également affirmé lundi Jean-Luc Mélenchon avant d'ajouter : « Vous ne pourrez pas enlever une somme pareille, donc vous allez devoir augmenter les recettes. Donc, vous allez augmenter la TVA. » « Je veux démentir avec la plus grande fermeté (…) ce délire de nos adversaires. Nous n'avons aucune intention d'augmenter les taux de TVA », a une nouvelle fois réagi le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire. Depuis plusieurs jours le gouvernement affirme qu'il n'y a pas de programme caché, ni de non-dit. Et que si l'objectif est bien de réduire les déficits à 3 % d'ici 2027, ce sera sans augmentation de la TVA. Le programme d'Emmanuel Macron prévoirait au contraire de nouvelles baisses d'impôt de l'ordre de 15 milliards sur le quinquennat et ces réductions des prélèvements seraient essentiellement financées par des économies. Mais sans guère d'explications étayées alors que l'inflation est au plus haut et que la croissance économique ralentit. Un contexte économique sombre qui a poussé la Banque centrale européenne à tenir ce mercredi une réunion exceptionnelle, une semaine après avoir annoncé son intention d'entamer en juillet une hausse de ses taux directeurs pour combattre l'inflation. Car ce changement de cap majeur dans la politique monétaire s'accompagne d'un risque : celui d'une fragmentation sur le marché de la dette souveraine en zone euro, qui ferait que les États européens emprunteraient à des niveaux très divergents, et que ceux jugés plus fragiles seraient pénalisés. La réaction sur le marché a d'ailleurs a été immédiate : les taux d'intérêt des emprunts d'États continuent de flamber, le rendement français à 10 ans dépassant les 2 %, un niveau plus vu depuis 2014, et celui de l'Italie a grimpé à 4 %. Après des années marquées par des taux d'intérêt négatifs, cette situation vient rappeler que la dette publique française qui s'établit désormais à 2813,1 milliards d'euros a à nouveau un coût et ce alors que l'inflation grève fortement le budget des Français. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
MACRON / MÉLENCHON : ÇA VA ÊTRE SERRÉ ! – 09/06/22 Invités BRUNO JEUDY Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos PAULINE DE SAINT REMY Journaliste politique – « Politico Europe » SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » Emmanuel Macron aura-t-il la majorité absolue à l'Assemblée nationale ? A trois jours du premier tour des élections législatives, l'inquiétude semble monter dans le camp présidentiel qui multiplie les attaques au vitriol contre la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale (Nupes) menée par Jean-Luc Mélenchon, désormais en tête des intentions de vote (28 %) dans les sondages. Ainsi Gabriel Attal a dénoncé la « guillotine fiscale » avec Jean-Luc Mélenchon, Bruno Le Maire a qualifié le troisième homme de la présidentielle de « Chavez gaulois » désireux de « collectiviser » l'économie nationale, François Bayrou s'est élevé contre le « programme dangereux » de la Nupes qui entrainerait la France dans « un gouffre », Christophe Castaner l'a accusé de vouloir empêcher les citoyens de « couper du bois » sur leur propre terrain et Aurore Bergé a parlé du « chaos » à venir…. Depuis quelques jours la macronie a déclenché un feu roulant contre l'union de la gauche et tente de mobiliser son électorat aux législatives contre le péril bolchevique que représenterait l'hypothèse d'un Jean-Luc Mélenchon Premier ministre. Le chef de l'Etat lui-même en visite hier à Clichy-sous-Bois, ville qui a voté à 60 % Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, a une nouvelle fois mené l'offensive contre le programme de la Nupes et fait un appel du pied aux électeurs de gauche. « Je ne pense pas que des gens qui viennent du socialisme ou de forces politiques républicaines puissent tenir des propos sur la justice ou sur la police comme ceux qu'a tenus Jean-Luc Mélenchon », a notamment déclaré Emmanuel Macron à la presse à son arrivée. Le président de la République faisait référence aux déclarations du leader de la France insoumise après les tirs mortels de policiers sur un véhicule dont le conducteur aurait tenté de fuir un contrôle le week-end dernier dans le dix-huitième arrondissement de Paris. La mort de la passagère, un jeune femme de 21 ans tuée d'une balle dans la tête, a ravivé la question de l'usage de la force par les policiers et gendarmes et nourri une nouvelle passe d'armes entre Jean-Luc Mélenchon et la macronie. Signe qu'Emmanuel Macron a bien saisi l'enjeu de la séquence : il se rend ce jeudi dans le Tarn pour parler sécurité dans une ville – Gaillac – qui avait placé Jean-Luc Mélenchon en tête au premier tour de la présidentielle. L'exécutif en quête d'une majorité absolue doit également faire face au risque de pénurie de main d'œuvre dans la santé mais aussi dans l'éducation nationale : selon la fédération nationale des transports de voyageurs, il manque près de 8.000 conducteurs partout en France pour la rentrée 2022. Les syndicats d'enseignants disent également craindre un manque de professeurs en septembre. Dans l'académie de Versailles, le rectorat a décidé d'organiser un « job dating » pour recruter les prochains professeurs contractuels, une première. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans la 1ère circonscription du Haut-Rhin, Aïcha Fritsch sera la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour les élections législatives. À ses côtés, Flavien Ancely Frey du parti Europe Écologie Les Verts avec qui elle entend « redynamiser le débat démocratique » Face au contexte actuel d'inflation, son 1er projet, si elle est élue, sera celui du pouvoir d'achat. Mesures principales : le Smic à 1500 euros, le blocage des prix des produits de première nécessité ou encore la retraite à 60 ans. Le lien vers l'article complet: https://www.azur-fm.com/news/circonscription-de-colmar-neuf-brisach-aicha-fritsch-veut-porter-la-voix-du-peuple-au-parlement-744
Dans la 1ère circonscription du Haut-Rhin, Aïcha Fritsch sera la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour les élections législatives. À ses côtés, Flavien Ancely Frey du parti Europe Écologie Les Verts avec qui elle entend « redynamiser le débat démocratique » Sur cette thématique, Aïcha Fritsch entend également promouvoir l'apprentissage de l'alsacien et le développement du bilinguisme : Le lien vers l'article complet: https://www.azur-fm.com/news/circonscription-de-colmar-neuf-brisach-aicha-fritsch-veut-porter-la-voix-du-peuple-au-parlement-744
Dans la 1ère circonscription du Haut-Rhin, Aïcha Fritsch sera la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour les élections législatives. À ses côtés, Flavien Ancely Frey du parti Europe Écologie Les Verts avec qui elle entend « redynamiser le débat démocratique » Le troisième axe de son programme concerne l'Alsace. Une thématique abordée par de nombreux partis, en particulier autonomiste, mais dont la Nupes s'empare désormais également. L'Union souhaite ainsi le retour aux anciennes régions: Le lien vers l'article complet: https://www.azur-fm.com/news/circonscription-de-colmar-neuf-brisach-aicha-fritsch-veut-porter-la-voix-du-peuple-au-parlement-744
Dans la 1ère circonscription du Haut-Rhin, Aïcha Fritsch sera la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour les élections législatives. À ses côtés, Flavien Ancely Frey du parti Europe Écologie Les Verts avec qui elle entend « redynamiser le débat démocratique » Même constat d'une insuffisance de moyens dans un autre secteur, celui de l'éducation. C'est l'un des autres axes de son programme. « Une école véritablement gratuite, c'est ce que nous proposons à la NUPES », indique Aicha. Un projet qui passe par la gratuité des transports, des cantines, mais aussi des sorties scolaires. La NUPES réclame également la mise en place d'une garantie d'autonomie pour les étudiants de 1063 euros afin « qu'il puisse étudier et non pas travailler. » Le lien vers l'article complet: https://www.azur-fm.com/news/circonscription-de-colmar-neuf-brisach-aicha-fritsch-veut-porter-la-voix-du-peuple-au-parlement-744
Dans la 1ère circonscription du Haut-Rhin, Aïcha Fritsch sera la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour les élections législatives. À ses côtés, Flavien Ancely Frey du parti Europe Écologie Les Verts avec qui elle entend « redynamiser le débat démocratique » C'est fort de son expérience associative dans le milieu médical que le premier projet qu'elle souhaite défendre est celui de la santé. Manque de moyens, de personnels ou encore fermeture de services d'urgence. Le système de santé est « très malade », dit-elle avant d'ajouter « il faut tout reconstruire ». Et pour reconstruire ce système de santé, plusieurs propositions : revalorisation salariale pour les soignants, nationalisation des EHPAD ou encore augmentation du nombre de lits. Le lien vers l'article complet: https://www.azur-fm.com/news/circonscription-de-colmar-neuf-brisach-aicha-fritsch-veut-porter-la-voix-du-peuple-au-parlement-744
Dans la 1ère circonscription du Haut-Rhin, Aïcha Fritsch sera la candidate de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale pour les élections législatives. À ses côtés, Flavien Ancely Frey du parti Europe Écologie Les Verts avec qui elle entend « redynamiser le débat démocratique » Désormais à la retraite, cette habitante de Jebsheim a consacré sa vie au bénévolat dont les 28 dernières années en tant que coordinatrice départementale d'une association de « collecte de fonds d'aides médicales et d'aides aux malades », explique-t-elle. Ses premiers pas en politique, eux, remontent à une dizaine d'années. Suppléante aux législatives en 2012 pour le Front de Gauche, elle a mené campagne l'année dernière pour les départementales aux côtés de l'insoumis Benoit Legrand dans le canton d'Ensisheim. A présent tête de liste, elle souhaite porter « la voix du peuple au parlement » : Le lien vers l'article complet: https://www.azur-fm.com/news/circonscription-de-colmar-neuf-brisach-aicha-fritsch-veut-porter-la-voix-du-peuple-au-parlement-744
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. C'est en adéquation avec sa motivation d'une politique plus proche des citoyens que le premier axe de son programme concerne la ruralité. Il souhaite mettre fin à la centralisation et remettre les services publics au centre des communes. « Le pouvoir politique appartient à tous les citoyens et sans les citoyens, il n'y a pas de politique », dit-il. Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. À 25 ans, ce guebwillerois est le plus jeune candidat aux élections législatives de sa circonscription, mais si cette élection est pour lui une première expérience, elle n'est pas son premier pas en politique. Fleuriste à Soultzmatt, il milite depuis une dizaine d'années pour LFI et souhaite donner un nouvel élan à la politique. Une politique plus proche de la vie des citoyens : « Je suis fleuriste, je gagne le SMIC. Je sais ce que c'est d'avoir du mal à finir les fins de mois », explique-t-il Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. Il sera suppléé par Simone Fest. Originaire de Mulhouse, cette ancienne assistance sociale, qui se définit comme « écologiste et antinucléaire, se dit en phase avec la démarche de la NUPES. C'est soucieux de l'avenir des jeunes qu'elle a souhaité s'associer avec Lilian Bourgeois. « Je m'associe aux jeunes parce que je sais que leur avenir va être très difficile», déclare-t-elle Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. Face à l'inflation, il porte également des mesures supplémentaires pour le pouvoir d'achat : le blocage des prix des produits de première de nécessité et des prix de l'énergie. Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. Par ailleurs, comme le propose la NUPES, il est en faveur du retour aux anciennes régions et donc de la sortie de l'Alsace du Grand-Est Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. Face à l'inflation, il porte également des mesures supplémentaires pour le pouvoir d'achat : le blocage des prix des produits de première de nécessité et des prix de l'énergie. Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. La fermeture de Fessenheim était un premier pas nécessaire, selon elle, mais il faut désormais aller plus loin et « en finir avec le nucléaire », dit-elle pour développer les énergies renouvelables. Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. Sa candidature pour la NUPES est la poursuite de son passé militant au sein de la France Insoumise. Une nouvelle Union qu'il salue : « On fait tous ensemble pour le bien commun sans mettre en avant l'étiquette de l'un ou de l'autre » Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
La nouvelle Union de la gauche s'implante en Alsace pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochain. Dans la 2ème circonscription, elle sera représentée par Lilian Bourgeois. Militant insoumis depuis une dizaine d'années, il sera suppléé par Simone Fest. Ensemble, ils défendront la ruralité, l'Alsace et l'écologie. Autre axe important de son programme : le social. Dans la lignée du programme de l'Union, il souhaite défendre plusieurs mesures : le Smic à 1500 euros ou encore la retraite à 60 ans. Le lien vers l'article complet: http://azur-fm.radio-website.com/news/circonscription-de-guebwiller-sainte-marie-aux-mines-lilian-bourgeois-candidat-pour-la-nouvelle-union-de-la-gauche-740
Sujets traités : - Transports en commun : la circulation de la ligne TER Colmar-Metzeral reviendra à la normale dès lundi prochain. Le plan de transport adapté, instauré durant la pandémie et plusieurs fois prolongé avec la mise en place de bus de substitution à certaines heures, prendra fin la semaine prochaine. Tous les trains circuleront à nouveau aux horaires habituels, valables jusqu'au 16 juillet. Mi-avril, l'Association pour la promotion du chemin de fer Colmar-Metzeral avait déploré le fait que la ligne de la vallée soit l'une des dernières de la région à subir une réduction du nombre de trains en circulation. - A Colmar, la Ville procède publiquement au tirage au sort, à partir de la liste électorale, des personnes destinées à remplir les fonctions de jurés auprès de la cour d'assises de Colmar ce matin à 10h dans le hall d'accueil de la Mairie. 72 électeurs seront désignés pour le canton Est et 90 pour le canton Ouest. Il s'agit du stade préparatoire de la procédure. La liste définitive sera établie par un second tirage au niveau départemental. - Élections législatives, lutte ouvrière présentera ses propres candidats en Alsace. Le parti de Nathalie Arthaud, qui a refusée l'alliance avec la Nouvelle Union de la gauche, a investie des candidats dans chaque circonscription. On écoute Nathalie Mullot, porte-parole de Lutte Ouvrière dans le Haut-Rhin. Retrouvez l'article complet sur azur-fm.com, rubrique élections législatives Des propos recueillis par Jérémie RENGER. - Économie, les magasins Leclerc et Brico Leclerc, en Zi Nord de Sélestat, pourraient bien passer prochainement de 10297 à 11963 m2 de surface de vente. La Commission Départementale d'Aménagement Commercial s'est réunie vendredi, pour statuer sur cette demande d'extension, et elle a délivré un avis favorable. - C'est une sélestadienne qui portera les couleurs du Grand-Est au concours miss cœur élégance en octobre prochain. Après avoir remporté l'écharpe régionale en janvier dernier, Virginie Fruhauf, sélestadienne de 31 ans, candidate pour l'élection nationale, nous explique sa candidature. Pour suivre et soutenir Virginie Fruhauf, rendez-vous sur sa page Facebook : « Virginie, miss cœur élégance grand-est 2022. - On termine ce journal en chanson avec le festival "En mai… chante ! ce kil te plaît". Ce soir, c'est Noé Preszow, l'interprète nommé aux victoires de le musique en 2021, avec le titre « Que tout s'danse », qui sera en concert aux Tanzmatten de Sélestat à 20h30. Il sera accompagné de sa guitare et de ses mots. L'artiste bruxellois a grandi avec la chanson française et a fait des chansons à texte sa marque de fabrique. Les places sont en vente sur tanzmatten.fr
Sujets traités : - Transports en commun : la circulation de la ligne TER Colmar-Metzeral reviendra à la normale dès lundi prochain. Le plan de transport adapté, instauré durant la pandémie et plusieurs fois prolongé avec la mise en place de bus de substitution à certaines heures, prendra fin la semaine prochaine. Tous les trains circuleront à nouveau aux horaires habituels, valables jusqu'au 16 juillet. Mi-avril, l'Association pour la promotion du chemin de fer Colmar-Metzeral avait déploré le fait que la ligne de la vallée soit l'une des dernières de la région à subir une réduction du nombre de trains en circulation. - A Colmar, la Ville procède publiquement au tirage au sort, à partir de la liste électorale, des personnes destinées à remplir les fonctions de jurés auprès de la cour d'assises de Colmar ce matin à 10h dans le hall d'accueil de la Mairie. 72 électeurs seront désignés pour le canton Est et 90 pour le canton Ouest. Il s'agit du stade préparatoire de la procédure. La liste définitive sera établie par un second tirage au niveau départemental. - Élections législatives, lutte ouvrière présentera ses propres candidats en Alsace. Le parti de Nathalie Arthaud, qui a refusée l'alliance avec la Nouvelle Union de la gauche, a investie des candidats dans chaque circonscription. On écoute Nathalie Mullot, porte-parole de Lutte Ouvrière dans le Haut-Rhin. Retrouvez l'article complet sur azur-fm.com, rubrique élections législatives Des propos recueillis par Jérémie RENGER. - Économie, les magasins Leclerc et Brico Leclerc, en Zi Nord de Sélestat, pourraient bien passer prochainement de 10297 à 11963 m2 de surface de vente. La Commission Départementale d'Aménagement Commercial s'est réunie vendredi, pour statuer sur cette demande d'extension, et elle a délivré un avis favorable. - C'est une sélestadienne qui portera les couleurs du Grand-Est au concours miss cœur élégance en octobre prochain. Après avoir remporté l'écharpe régionale en janvier dernier, Virginie Fruhauf, sélestadienne de 31 ans, candidate pour l'élection nationale, nous explique sa candidature. Pour suivre et soutenir Virginie Fruhauf, rendez-vous sur sa page Facebook : « Virginie, miss cœur élégance grand-est 2022. - On termine ce journal en chanson avec le festival "En mai… chante ! ce kil te plaît". Ce soir, c'est Noé Preszow, l'interprète nommé aux victoires de le musique en 2021, avec le titre « Que tout s'danse », qui sera en concert aux Tanzmatten de Sélestat à 20h30. Il sera accompagné de sa guitare et de ses mots. L'artiste bruxellois a grandi avec la chanson française et a fait des chansons à texte sa marque de fabrique. Les places sont en vente sur tanzmatten.fr
Sujets traités : Transports en commun : la circulation de la ligne TER Colmar-Metzeral reviendra à la normale dès lundi prochain. Le plan de transport adapté, instauré durant la pandémie et plusieurs fois prolongé avec la mise en place de bus de substitution à certaines heures, prendra fin la semaine prochaine. Tous les trains circuleront à nouveau aux horaires habituels, valables jusqu'au 16 juillet. Mi-avril, l'Association pour la promotion du chemin de fer Colmar-Metzeral avait déploré le fait que la ligne de la vallée soit l'une des dernières de la région à subir une réduction du nombre de trains en circulation. A Colmar, la Ville procède publiquement au tirage au sort, à partir de la liste électorale, des personnes destinées à remplir les fonctions de jurés auprès de la cour d'assises de Colmar ce matin à 10h dans le hall d'accueil de la Mairie. 72 électeurs seront désignés pour le canton Est et 90 pour le canton Ouest. Il s'agit du stade préparatoire de la procédure. La liste définitive sera établie par un second tirage au niveau départemental. Élections législatives, lutte ouvrière présentera ses propres candidats en Alsace. Le parti de Nathalie Arthaud, qui a refusée l'alliance avec la Nouvelle Union de la gauche, a investie des candidats dans chaque circonscription. On écoute Nathalie Mullot, porte-parole de Lutte Ouvrière dans le Haut-Rhin. Retrouvez l'article complet sur azur-fm.com, rubrique élections législatives Des propos recueillis par Jérémie RENGER. Économie, les magasins Leclerc et Brico Leclerc, en Zi Nord de Sélestat, pourraient bien passer prochainement de 10297 à 11963 m2 de surface de vente. La Commission Départementale d'Aménagement Commercial s'est réunie vendredi, pour statuer sur cette demande d'extension, et elle a délivré un avis favorable. C'est une sélestadienne qui portera les couleurs du Grand-Est au concours miss cœur élégance en octobre prochain. Après avoir remporté l'écharpe régionale en janvier dernier, Virginie Fruhauf, sélestadienne de 31 ans, candidate pour l'élection nationale, nous explique sa candidature. Pour suivre et soutenir Virginie Fruhauf, rendez-vous sur sa page Facebook : « Virginie, miss cœur élégance grand-est 2022. On termine ce journal en chanson avec le festival "En mai… chante ! ce kil te plaît". Ce soir, c'est Noé Preszow, l'interprète nommé aux victoires de le musique en 2021, avec le titre « Que tout s'danse », qui sera en concert aux Tanzmatten de Sélestat à 20h30. Il sera accompagné de sa guitare et de ses mots. L'artiste bruxellois a grandi avec la chanson française et a fait des chansons à texte sa marque de fabrique. Les places sont en vente sur tanzmatten.fr
Trois semaines après la réélection d'Emmanuel Macron, le nouveau gouvernement n'est pas encore connu. La démission de Jean Castex devrait intervenir d'ici ce début de semaine. Dans un entretien accordé au journal Le Parisien, l'actuel Premier ministre a déclaré que sa lettre de démission « très classique » était déjà prête. « J'ai essayé de prendre les meilleures décisions possibles, sans jamais mentir » , a-t-il confié sur son bilan. « Il a été Premier ministre pendant la pire période, celle de la pandémie. C'est une personne avec qui j'ai eu des désaccords, mais qui écoutait et avec qui on pouvait construire. Il a apaisé dans un moment qui était compliqué », réagit Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, sur le plateau des 4 vérités, lundi 16 mai, sur France 2. Connaîtra-t-on bientôt le prochain locataire de Matignon ? Le chef de l'État laisse planer le doute jusqu'au bout. Néanmoins, d'après les rumeurs, une femme est pressentie pour ce poste. « Je crois que naturellement, il faudrait qu'il y ait plus de femmes aux postes de responsabilité », a assuré le porte-parole du syndicat, estimant que « les femmes devraient exercer les responsabilités à parité avec les hommes ». Néanmoins, une chose est sûre : « l'entre-deux a un peu duré », a affirmé Laurent Berger. « Il est temps de passer à l'action », ajoute-t-il. Si Jean-Luc Mélenchon accédait aux responsabilités, en cas de victoire de la Nupes, Nouvelle Union populaire écologique et sociale, aux élections législatives, des 12 et 19 juin, il propose de revaloriser le SMIC à 1500 euros contre 1300 euros aujourd'hui. « Le vrai sujet c'est de contraindre les branches professionnelles et l'employeur public à avoir le niveau minimal au SMIC et très rapidement une perspective d'augmentation », assure Laurent Berger. Sur l'augmentation des salaires, un « certain nombre d'entreprises ne jouent pas le jeu ». « La patronat ne va pas pouvoir s'exonérer », affirme-t-il. Réforme des retraites : « il faut regarder les choses autrement » A l'aube du second mandat d'Emmanuel Macron, la réforme des retraites devrait être le dossier brûlant de la rentrée. Sur le sujet, Laurent Berger lance un avertissement au prochain locataire de Matignon. « La CFDT est opposée au report de l'âge de départ à la retraite. Il faut regarder les choses autrement, améliorer la justice au sein du système par répartition et ce n'est pas avec les 65 ans que cela se fera », affirme le responsable syndical.
durée : 00:18:20 - L'invité du week-end - par : Carine BECARD, Eric Delvaux - L'écologiste, représentante de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, étrille Emmanuel Macron, qui tarde à annoncer son nouveau gouvernement. - invités : Sandrine Rousseau - Sandrine Rousseau : Économiste et femme politique
durée : 00:02:19 - Le brief politique - À gauche, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) s'organise en vue des législatives. Mais quelques jours après cet accord qualifié d'historique, tout n'est pas réglé en coulisses, notamment chez les écologistes.
Au sein de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, le PS, le PCF, EELV et LFI feront bannière commune aux législatives de juin prochain. Comment cette alliance a-t-elle pu voir le jour malgré les rivalités entre ces différentes formations ? Quels sont les points d'accord et les divergences entre les partis ? Dans ce podcast, Abel Mestre, journaliste au service politique du « Monde » revient sur une union à gauche que l'on n'avait pas vue depuis vingt-cinq ans.Un épisode produit par Esther Michon et Clément Baudet, réalisé par Amandine Robillard et présenté par Jean-Guillaume Santi.
Le président de la République Emmanuel Macron s'est exprimé hier à Strasbourg, pour son premier discours sur l'Europe depuis sa réélection. À l'occasion de la journée de l'Europe, le chef de l'État s'est dit favorable à une révision des traités pour rendre l'Union européenne « plus efficace et indépendante ». Invité sur le plateau des 4 vérités sur France 2, Alexis Corbière estime que la parole du président « valide l'idée que les traités actuels ne vont pas ». Le député de La France Insoumise de la Seine-Saint-Denis s'appuie sur le programme de la Nouvelle Union populaire. « Nous disons que les objectifs sociaux et écologiques que nous nous fixons ne peuvent être bridés par des traités européens qui, hélas, en fonction des politiques qui ont été menées ces 20 dernières années, ont amené à ce que l'Europe actuelle soit une Europe libérale, marquée par des traités de libre-échange qui, parfois, affaiblissent des politiques publiques de relance et affaiblissent nos services publics. Ce que nous n'accepterons pas si nous sommes élus ». Alors, Emmanuel Macron est-il bousculé sur la question européenne par les propositions de La France Insoumise ? « La seule fois où on a donné la parole aux Français, ils ont dit ‘non' au traité constitutionnel européen. Moi et Jean-Luc Mélenchon, nous sommes les enfants de ce ‘non' », a déclaré Alexis Corbière. Alors que les élections législatives se dérouleront les 12 et 19 juin prochains, le leader de LFI espère être nommé Premier ministre. Ce scénario permettrait-il au parti de prôner la désobéissance tout en exerçant le pouvoir ? Pour répondre à ce paradoxe, Alexis Corbière prend l'exemple de l'Allemagne qui, « plusieurs fois, a désobéi ». Et de poursuivre : « À l'occasion même du traité de la récente crise du Covid-19, nombre de mesures ont été prises au niveau européen, qui ne respectent pas les traités. Il y a eu des politiques publiques d'investissements dans des secteurs tels que ça n'était pas prévu ». La France Insoumise réclame une VIe République, pour une refonte des institutions politiques publiques. « La Ve République arrive à bout de souffle », insiste le député LFI. Et de conclure : « S'il faut désobéir, nous désobéirons, quand c'est utile ». Alexis Corbière réagit au retrait de Taha Bouhafs Fabien Roussel a demandé hier à LFI de « revoir » la candidature de Taha Bouhafs aux élections législatives. Condamné pour injures raciales, le journaliste militant a annoncé dans la nuit de lundi à mardi sur Twitter, son intention de renoncer, « face à des attaques sans précédent » . « C'est un grand constat d'échec. [...] Je prends acte de cette décision et je demande à ce qu'elle soit respectée », concède Alexis Corbière, qui dément toute « pression » de la part du parti. Et d'ajouter : « Il y aura un candidat de La France Insoumise. Nous voulons que l'Assemblée nationale soit à l'image de toute la richesse de notre peuple ». En réponse aux propos de Fabien Roussel, notre invité déclare : « Moi je serai unitaire. [...] Utilisons ces cinq semaines pour valoriser la belle Union populaire que nous avons mise en place ». Avec pour objectif la mise en place du SMIC à 1400 euros, la retraite à 60 ans ainsi que des politiques écologiques.
durée : 00:26:10 - 8h30 franceinfo - Le député La France insoumise de la Somme, s'est dit favorable à l'indexation des salaires sur l'inflation. Une mesure qui ne fait pourtant pas partie du programme de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale pour les législatives.
Comme chaque année, les Russes fêtent, lundi 9 mai, l'anniversaire du « jour de la victoire » contre le nazisme. Plus de deux mois après l'invasion russe en Ukraine, Vladimir Poutine entend, à cette occasion, réaffirmer son ambition guerrière. Plusieurs cérémonies militaires seront organisées en grande pompe partout dans le pays. La plus importante ? Celle de la place Rouge, à Moscou, en présence du chef d'État russe. « Vladimir Poutine menace la paix en Europe. Plus que jamais la paix est une nécessité, urgente pour tous les peuples d'Europe », a réagi, lundi 9 mai 2022, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste, invité des 4 vérités sur France 2. De son côté, Emmanuel Macron, tout juste investi, prononcera le premier discours de son second mandat, devant le Parlement européen à Strasbourg, dans le cadre de la cérémonie de clôture de la conférence sur l'avenir de l'Europe. Le chef de l'État, qui est encore président de l'Union européenne, fera l'éloge du modèle européen et affichera ses ambitions pour l'UE dans les prochaines années. « La réponse, c'est d'exiger plus que tout le cessez-le-feu. Les États-Unis font comme une guerre par procuration contre Poutine. Mais cette guerre, elle a lieu chez nous, en Europe. Elle est lourde de menaces pour les peuples d'Europe, pour notre pouvoir d'achat », a commenté le responsable. Il estime que l'Europe et la France, doivent poursuivre les sanctions économiques et maintenir la pression diplomatique à l'encontre de la Russie, pour « obtenir un cessez-le-feu » et ne pas s'installer dans « un conflit long ». Il en appelle à « l'unité des nations pour peser sur la Russie ». Selon lui, le président français « doit s'engager beaucoup plus fortement pour un cessez-le-feu et protéger le pouvoir d'achat des Français ». Élections législatives : quelle union à gauche ? La gauche semble bel et bien lancée dans la course aux législatives, qui se tiendront les 12 et 18 juin prochains. La semaine dernière, le parti Europe Écologie Les Verts, le Parti communiste (PCF) ainsi que le Parti socialiste (PS) ont finalement conclu une alliance autour de Jean-Luc Mélenchon en vue de former un gouvernement d'opposition à Emmanuel Macron. « C'est une coalition qui nous permet de rassembler dans le respect de notre diversité, de nos différences. C'est la raison pour laquelle j'ai accepté d'y participer. Nous nous sommes mis d'accord sur un programme », a assuré Fabien Roussel. Néanmoins, le leader du PCF l'assure : « Le groupe communiste à l'Assemblée nationale gardera toujours son autonomie, sa liberté de parole et de ton ». Tout en en conservant leurs différences, Fabien Roussel assure qu'à travers la « Nouvelle Union populaire écologique et sociale », (Nupes) les partis se sont « mis d'accord sur des mesures d'urgences que les Français attendent ».
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.frUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 6 mai 2022.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l'Assemblée Nationale.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.L'ÉTAT DE LA GAUCHE APRÈS LES NÉGOCIATIONS ENTRE LES PARTISFort de son score au premier tour de l'élection présidentielle (21,95 %), Jean-Luc Mélenchon demande aux Français de l'élire « Premier ministre » et veut, pour les législatives, réunir la gauche sous le label « Nouvelle union populaire écologique et sociale » (NUPES). L'Insoumis a posé ses conditions pour « un programme commun partagé » et une répartition des investitures au prorata des résultats du 10 avril. Les cinq autres candidats de gauche à l'élection présidentielle ont récolté plus de 3,5 millions de voix, soit près de 10 % des suffrages exprimés. Leurs projets comportaient des divergences programmatiques plus ou moins appuyées. Le nucléaire est une pierre d'achoppement importante entre Jean-Luc Mélenchon et le communiste Fabien Roussel. Ce dernier est d'ailleurs le seul candidat de gauche à vouloir investir massivement dans l'atome. Le recul ou non de l'âge de départ à la retraite à 60 ans, ne fait pas non plus l'unanimité à gauche. Les écologistes ne se retrouvent pas dans l'idée des Insoumis de « désobéir » à certains traités européens, nécessaire selon eux pour appliquer leur programme. La fin de la participation de la France à l'Otan ne fait pas non plus consensus.Dimanche dernier, le conseil fédéral d'Europe Écologie-Les Verts (EELV) a entériné un texte d'accord portant sur une centaine de circonscriptions pour leurs candidats. Hausse du smic à 1 400 euros, retraite à 60 ans, blocage des prix sur les produits de première nécessité, planification écologique et VIe République font partie des marqueurs énoncés. Quant à l'Europe, point de tensions, les deux formations s'accordent sur une longue argumentation qui prône dans le même temps la désobéissance à certaines règles européennes et le respect de l'État de droit. Pour ce qui est du nucléaire, le communiqué commun n'en dit mot.Mardi, c'est au tour du PCF de valider l'accord avec LFI pour les législatives. Les communistes reçoivent 50 circonscriptions, dont 11 pour leurs députés sortants et 5 considérées comme « gagnables. » Sur le fond, le PCF a reçu des garanties pour sa future autonomie au sein de l'intergroupe parlementaire de la Nouvelle Union populaire et Écologique et Sociale.Mercredi, le PS s'est accordé avec LFI sur soixante-dix circonscriptions, au prix d'une fracture interne. Le PS a enregistré le score le plus modeste (1,75 %) des grands partis de gauche au premier tour de la présidentielle, mais il détient le plus grand nombre de députés sortants (vingt-cinq), auxquels s'ajoutent trois élus apparentés, contre dix-huit élus pour le groupe LFI. Au PS, les fractures internes se multiplient entre les partisans de l'alliance avec LFI et les tenants d'un courant social-démocrate plus modéré à mesure que l'accord se précise. Au Conseil National socialiste réunis jeudi soir, l'union avec LFI a été entérinée.La projection Harris Interactive du 4 mai prévoit entre 50 et 100 députés de gauche si désunion au 1er tour et entre 70 et 90 si union …***LES CONSÉQUENCES DE LA GUERRE EN UKRAINE POUR LE RESTE DU MONDE Adoptant une approche de plus en plus offensive face l'invasion russe, le président américain a demandé le 28 avril au Congrès de voter une enveloppe de 33 milliards de dollars pour aider Kyiv. Il ne s'agit plus seulement d'aider l'Ukraine, mais, selon les mots du secrétaire à la Défense Lloyd Austin d'« affaiblir la Russie ». Début mars, 13,6 milliards de dollars dévolus à l'Ukraine avaient déjà été inscrits au budget. La nouvelle allocation de 33 milliards serait destinée pour les deux tiers à la seule assistance militaire. Le reste du plan se décompose entre aide humanitaire (3 milliards de dollars) et appui économique au gouvernement ukrainien. Enfin, 500 millions sont destinés à soutenir des secteurs dont l'économie s'est trouvée affectée jusqu'en Amérique par les conséquences de la guerre, comme la production céréalière et de matériaux indispensables à la fabrication d'armement et de voitures. En outre, une disposition prévoit d'attribuer au gouvernement fédéral le pouvoir de saisir et liquider les actifs d'oligarques russes gelés dans le cadre des sanctions contre Moscou, qui avoisinerait les 30 milliards de dollars, afin de financer à la fois le soutien aux millions de réfugiés, mais aussi la reconstruction de l'Ukraine.De son côté, la Commission européenne a annoncé, le 4 mai, souhaiter instaurer un embargo progressif sur le pétrole russe. Mais l'Allemagne craint des « perturbations », tandis que la Hongrie s'y oppose au nom de sa « sécurité énergétique ». De plus, l'attitude de certains producteurs de pétrole du Golfe complique les efforts de diversification d'approvisionnement des pays européens. A ce jour, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis rechignent à augmenter leur production pour infléchir les cours de l'or noir.Le marché des céréales s'enflamme également en raison de la brutale diminution des exportations céréalières ukrainiennes et des sanctions imposées à Moscou. En conséquence, les pays importateurs cherchent de nouveaux fournisseurs tandis que près de 1,7 milliard d'individus pourraient subir des pénuries. « Il faut que les pays occidentaux réfléchissent de façon urgente à des mécanismes pour éviter les émeutes de la faim et leur effet déstabilisateur dans de nombreux pays », a souligné l'ancien responsable du Département des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Jean-Marie Guéhenno, en référence notamment à l'Egypte et à l'Afrique du Nord, très dépendantes des céréales russes et ukrainiennes : « Si de tels instruments ne sont pas mis en place, cela poussera ces pays dans les bras de la Russie », met-il en garde.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:06:55 - 1ere convention pour la nouvelle union de la gauche (NUPES), qui lance sa campagne pour les législatives
C'est fait, le Parti socialiste a validé cette nuit l'alliance avec La France insoumise, de Jean-Luc Mélenchon. 167 voix « pour », 101 « contre » (et 24 abstentions)… Le conseil national du Parti socialiste a dit « oui » à l'alliance avec La France insoumise, Europe Ecologie les verts et le Parti Communiste, les yeux déjà fixés sur les échéances électorales des 12 et 19 juin prochains, celles des élections législatives, en France. Le PS « ouvre une nouvelle page de son histoire », lance le site du Figaro. Et même si, comme le résume Mediapart, « certains » voient dans cet accord « le dernier clou au cercueil du parti de Jaurès » tandis que « d'autres » y voient plutôt « l'opportunité d'une renaissance »… … « les jeux sont faits », tranche le site du Parisien. Bien que serrée, la partie s'est plutôt jouée sereinement. Lorsque qu'il est monté à la tribune, le premier secrétaire du PS Olivier Faure était « calme et convaincu (…) ceux qui s'attendaient à une foire d'empoigne ont été déçus ». Désormais, le chef de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a « la voie libre » pour organiser la Convention de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale destinée à lancer la campagne unitaire des législatives, souligne Le Parisien en ligne, cette grand-messe s'annonçant digne d'un « troisième tour de la présidentielle » (étant précisé que ladite Convention se tiendra demain après-midi aux Docks d'Aubervilliers, près de Paris). Les nerfs de la droite française à vif Et tandis que la gauche noue cette alliance historique, la droite se déchire. Ainsi, entre le parti Les républicains et l'ancien président de droite Nicolas Sarkozy, rien ne va plus. Toujours à la recherche de dons pour éponger ses dettes consécutives à son échec à l'élection présidentielle, l'ex-candidate de ce parti, Valérie Pécresse, a repoussé le chèque que Nicolas Sarkozy avait posté. Selon Le Parisien, ce chèque était de « 2 000 € tout rond, issu du compte bancaire de Nicolas Sarkozy… que la camp Pécresse s'est empressé de lui retourner "dans la journée" au prétexte qu'elle ne demandait pas "la charité" à celui qui avait refusé de la soutenir. Et a participé à "saboter" sa campagne ». Le Parisien évoque à présent « une droite irréconciliable », tout en estimant qu'entre Nicolas Sarkozy et Les Républicains a été franchi « le point de non-retour ». Danser sur un volcan La guerre en Ukraine, avec les craintes d'une escalade consécutive aux livraisons d'armes lourdes occidentales aux Ukrainiens qui barrent la Une du Figaro. Ce quotidien brandit ce matin « la peur de l'engrenage ». Car comme le redoute ce journal, « l'artillerie lourde fournie aux Ukrainiens va leur permettre de défier l'armée russe sur son terrain de prédilection », la Maison-Blanche étant, selon ce journal, « insidieusement passée de la volonté d'aider les Ukrainiens à celle de "punir" les Russes ». « Fuite en avant (qui) rapproche l'Otan de la cobelligérance, censée rester une ligne rouge », prévient Le Figaro. Le sérial-buteur parisien Kylian Mbappé qui va rester au Paris-Saint Germain, c'est presque fait. Selon Le Parisien, Kylian Mbappé « va prolonger au PSG ». Les conditions du contrat à lui proposer sont « stratosphériques », signale ce journal, « salaire annuel net à 50 millions d'euros (le plus gros de l'histoire), une prime de fidélité (une manière élégante d'évoquer le bonus à la signature) de 100 millions euros (là aussi net) et un contrat de deux ans plus une année supplémentaire ». N'en jetez plus !
David Assouline, sénateur socialiste de Paris, est ce vendredi 6 mai, l'invité du matin de RFI. Alors que le Conseil national du Parti socialiste vient d'enteriner à 62 % l'alliance conclue avec la France insoumise et les autres grands partis de gauche regroupés au sein de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), en vue des Législatives françaises 2022... Qu'est ce que le Parti socialiste gagne ou perd dans cet accord ? Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Du lundi au jeudi, Matthieu Noël nous livre sa plaidoirie. Aujourd'hui, il a décidé de défendre la Nouvelle Union populaire écologique et sociale face aux critiques d'une partie du paysage politique.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Les responsables écologistes ont validé une alliance aux élections législatives sous la bannière de la « Nouvelle Union populaire écologique et sociale ». Les socialistes et les communistes devraient rejoindre la coalition. Le NPA discute toujours. Un article de Mathieu Dejean publié lundi 2 mai 2022, lu par Jeremy Zylberberg.
La France insoumise et Europe Écologie-Les Verts ont conclu un accord électoral vu des législatives de juin prochain. Les négociations se poursuivent avec le Parti socialiste et le Parti communiste français pour éventuellement intégrer cette Nouvelle Union populaire écologiste et sociale. Mais cette union totale de la gauche ne fait pas l'unanimité. L'analyse du politologue Jean Petaux.
durée : 00:03:39 - Le Billet politique - par : Frédéric Says - NUPES, comme Nouvelle Union populaire écologique et sociale, la bannière commune sous laquelle vont se présenter la France insoumise et EELV pour les législatives, selon un accord conclu cette nuit. Les négociations avec le PS et le PCF sont en cours.