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Bienvenue dans le 140ème épisode de "Chez Kevin Razy". Deux fois par semaine, on se retrouve ici pour parler de ce qui se passe dans la vie comme dans un groupe WhatsApp. On ne s'interdit aucun sujet.Pour soutenir notre podcast :https://fr.tipeee.com/ckr-podcast/Rejoins notre canal Telegram :https://t.me/CKRnews▬▬▬▬▬▬ DANS CET EPISODE ▬▬▬▬▬▬▬Cette semaine, on revient sur :La justice commence (enfin) à s'intéresser aux médias pro-génocide.Suite au signalement d'Aymeric Caron, une enquête est ouverte contre Yoann Usaï (CNews) pour apologie de génocide à Gaza : une première judiciaire historique.Pendant ce temps : Darmanin visé par 29 avocats, Piketty recadre la Macronie sur les impôts, Enthoven délire encore, Naulleau s'accroche à CNews, deux policiers accusés de viol, Zemmour invente une invasion algérienne, Guiraud et Zucman font la masterclass éco, I24, le RN et ses candidats terroristes, et Praud qui commente Shein avec… Morandini.Et dans LE SCAN DE RAZY : l'élection de Zohran Mamdani, maire musulman et socialiste de New York, fait exploser la fachosphère.Entre Caroline Fourest, Goldnadel, Marion Maréchal et BHL, on voit à quel point certains n'aiment pas quand un mec de gauche, arabe et brillant réussit.Partagez, commentez, débunkez▬▬▬▬▬▬▬ ON EN A PARLE ▬▬▬▬▬▬▬▬Livres :"Fake news: Évite de tomber dans le piège !" Kevin Razy, Hamza Garrush : https://amzn.to/3S9rOSz▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LA TEAM ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Host : Kevin RazyRéalisation & Montage : Gaëlle Cany Canian Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La bataille fiscale enflamme l'Assemblée nationale. Entre propositions symboliques et bras de fer politiques, les députés s'affrontent sur la taxation des plus riches et des grandes entreprises.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
L'ancien Premier ministre Edouard Philippe a les yeux rivés sur la prochaine élection présidentielle et ses proches s'interrogent sur sa stratégie. D'ailleurs ces dernières semaines il y avait comme un parfum de cacophonie au sein du parti Horizons ? Tout d'abord, les faits. Début octobre en pleine crise politique, le fondateur d'Horizons demandait à Emmanuel Macron d'organiser une « élection présidentielle anticipée », seulement après l'adoption d'un budget, car une « démission immédiate et brutale aurait un impact terrible ». La formation des gouvernements Lecornu 1 et 2 arrive et la ligne du parti est la suivante : un soutien, mais sans participation. Mais quelques jours plus tard, le premier gouvernement Lecornu est annoncé et trois ministres Horizons sont nommées. Scénario identique pour Lecornu 2 : Naïma Moutchou, Charlotte Parmentier-Lecoq et Anne le Hénanff sont bien présentes. Au sein du parti, ça commence à tanguer. L'ancien Premier ministre aurait finalement donné son accord pour leur entrée, mais sans en avertir le Bureau politique. Le parti se défend en expliquant que c'est à titre personnel que les trois ministres Horizons ont accepté. Pour un proche d'Edouard Philippe, « le Premier ministre Sébastien Lecornu aurait offert des portefeuilles que les trois concernées ne pouvaient pas refuser avec des sujets qui leur tenaient à cœur ». Puis vient l'étape de la censure et, cette fois, c'est Christelle Morançais vice-présidente du parti et présidente de la région Pays de La Loire qui, dans une initiative personnelle, se prononce en faveur de la censure d'un gouvernement « qui brade l'avenir des français sur l'autel d'intérêts partisans ». Les députés Horizons quant à eux n'ont pas envisagé un seul instant de voter cette censure et ont très mal accueilli l'idée. Quelle est la stratégie d'Edouard Philippe et de son parti ? Pour le moment, elle est assez illisible. Soldat loyal et « droit dans ses bottes » comme il aime le dire, cette crise politique a marqué un tournant pour l'ancien Premier ministre mais aussi pour son parti. Pour la première fois, des désaccords se sont faits jour au sein même du groupe à l'Assemblée. Il faut ajouter à cela la suspension de la réforme des retraites par Sébastien Lecornu qui a encore plus accentué les tensions au sein du parti d'Edouard Philippe. Il y a un an déjà, en septembre 2024, en pleine instabilité politique alors même que la France n'avait pas de Premier ministre, le maire du Havre faisait preuve d'un sens du timing hors du commun en annonçant sa candidature pour la présidentielle 2027. Le Havrais cultive le credo « loyal mais libre » mais cette fois il largue les amarres et se démarque bien de la Macronie et acte la rupture. À lire aussiÀ quoi joue Édouard Philippe? Est-ce que ça porte ses fruits ? Pour le moment pas vraiment. Dans un sondage publié il y a quelques jours, l'ancien Premier ministre est en recul face au Rassemblement national qui s'impose. Il souffre de la fragilisation du bloc central, mais aussi du manque de clarté de la ligne de son parti. Pour les sondeurs, Edouard Philippe paie aussi sans doute sa stratégie d'être parti très tôt dans la course pour 2027.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode de la VAR politique, Nabil Touati décortique le mot à la mode en Macronie : la "rupture".▶ Le Média lance le plan "Riposte"
// Sur YouTube https://www.youtube.com/channel/UC0cT8BZdFUmC0vgr1XS7aPA// Présentatrice du journal Le Fil d'Actu
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 09 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 8 octobre, Israël a de nouveau violé le droit international. À l'aube, huit navires de la flottille Thousand Madleens to Gaza ont été illégalement arraisonnés par la marine israélienne.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
(0:00) Wstęp (0:50) Komisja Europejska zamierza wykorzystać cła do ochrony europejskich producentów stali(2:13) Unia Europejska rozważa wprowadzenie kolejnych ograniczeń w przemieszczaniu się rosyjskich dyplomatów(3:39) Były premier Francji uważa, że Emmanuel Macron powinien ustąpić z funkcji prezydenta(5:02) Zdaniem szefowej duńskiego rządu, Stany Zjednoczone nie rezygnowały z planów przejęcia Grenlandii(6:30) Burmistrz niemieckiego miasta w ramach oszczędności zaproponował sprzątanie szkoły przez uczniów(7:54) Holenderski producent chipów krytykuje Komisję Europejską za nadmierne regulacjeInformacje przygotował Maurycy Mietelski. Nadzór redakcyjny – Igor Janke. Czyta Michał Ziomek.
Sébastien Lecornu joue son va-tout dans le "money time": avant de recevoir les socialistes à Matignon, le Premier ministre démissionnaire a ouvert la porte à une "suspension" de la réforme des retraites, pour arracher un accord d'ici mercredi soir comme demandé par Emmanuel Macron. Ecoutez la réaction sur RTL de Romain Eskenazi, porte-parole du groupe socialiste à l'Assemnblée nationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la réaction de la presse étrangère à la crise politique française, l'explosion de la Macronie et Elisabeth Borne qui veut suspendre la réforme des retraites pour négocier avec la gauche. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nabil Touati dresse le portrait du nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, révélant les contradictions d'une nomination qui sonne comme une fin de règne pour la Macronie.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
A França viveu uma semana agitada com a demissão de François Bayrou do cargo de primeiro-ministro depois de não ter obtido o voto de confiança por parte da Assembleia Nacional. No mesmo dia, Emmanuel Macron nomeou um novo chefe do Governo, Sébastien Lecornu, aliado da primeira hora do presidente francês. Nathalie de Oliveira, antiga deputada, do Partido Socialista, à Assembleia da República portuguesa pelo círculo da Europa respondeu às perguntas da RFI sobre o que está a acontecer em França. Após falhar o voto de confiança, François Bayrou demitiu-se do cargo de primeiro-ministro e Emmanuel Macron nomeou Sébastien Lecornu para o substituir. A escolha levanta críticas pela sua excessiva proximidade do presidente da República, segundo a ex-deputada portuguesa Nathalie De Oliveira. “Fiquei preocupada, não acho ser a melhor novidade ou a melhor opção esta nomeação do primeiro-ministro. Sébastien Lecornu, de certeza, de forma pessoal é uma pessoa interessante com percurso muito apegado à eleição do presidente da República e à militância do Emmanuel Macron e à construção do que nós chamamos aqui em França a Macronie. Mas numa altura em que o povo, quem mais ordena, entregou uma mensagem claríssima e em muito particular desde Julho de 2024, quando o presidente da República decidiu eleições antecipadas, o povo não deu maioria a ninguém, deixou claro que não queria, recusava continuar a apoiar as políticas públicas e a forma de governação de Emmanuel Macron. Ficou claríssimo, porque desde a reeleição em 2022 já só vários ministros, primeiros ministros e governos a obedecerem às decisões do presidente da República, que teve maioria em 2017 e a continuar a insistir com decisões que que o povo recusa, reprova e condena. Não é uma boa novidade. Devia ter sido uma pessoa, se não fosse oriunda do movimento Novo Frente Popular. Devia ter sido, de certeza, e temos ainda isso no país, uma oportunidade com curso muito mais neutro, não posso dizer isso, mas que que estivesse em situação de não pertencer tanto à história, à evolução e ao projecto de Emmanuel Macron, isso agora nos próximos 15 dias. Claro que o primeiro-ministro tem uma tarefa dificilíssima de negociação e de tentativa de concórdia nacional a tentar nomear um governo que seja equilibrado e que vá no sentido daquilo que o povo disse.” Com esta situação, construir um governo com personalidades de partidos de esquerda vai ser difícil par o novo primeiro-ministro que representa uma maneira de governar e um projecto que não coincide com a ala esquerda da Assembleia francesa. “A declaração do Olivier Faure (primeiro secretário do Partido Socialista) é límpida. Nenhum socialista participaria num governo que não aplicasse a questão do IRS (Imposto sobre o Rendimento das Pessoas Singulares) aliviado para quem está a pagar cada vez mais e com ordenados médios. A aplicação da taxa Zucman, a questão de desistir de apoiar empresas que são quase multinacionais nem que tenham sede em França, porque foi apoio da ordem de 210.000 mil milhões de euros a empresas que afinal não recrutaram, não melhoram as condições de trabalho das pessoas, não aumentam ordenados e afinal de contas estão a crescer menos o nível de recrutamento e de condições de vida das pessoas. Uma apresentação de outra forma também de gerir a segurança social, enfim, uma forma de aplicarem mais e melhor redistribuição. As pessoas estão a pagar cada vez mais e não tem retribuição em termos de qualidade de serviço público e de conquista de igualdade, de conquista de melhores condições de vida. Antes pelo contrário, estamos a regredir desde do primeiro e agora do segundo mandado do Emmanuel Macron. Pode haver alguma condição par que o Partido Socialista e outros partidos de esquerda coligarem no novo governo? Eu não acredito muito que aconteça, mas o Sébastien Lecornu pode conseguir convencer e vai ficar logo à prova na questão do orçamento de Estado que tem agora pela frente. A condição é de aplicar uma governação de esquerda. Se não acontecer, a prova de fogo do orçamento de Estado, dos debates e da votação antes do final do ano pode correr muito mal e fazer cair outra vez em tempo recorde, menos três meses, outra vez este primeiro-ministro recentemente nomeado.” No mesmo dia (10 de Setembro) da tomada de posso do novo primeiro-ministro, a França viveu um dia de manifestação por parte do movimento “Bloquons Tout” que tinha como objectivo bloquear economicamente o país. Cerca de 175.000 pessoas manifestaram-se e dentro de uma semana, os sindicatos apelam a uma greve. Segundo Nathalie de Oliveira a maioria dos franceses já não consegue viver neste contexto político e sobretudo económico “É sofrimento, é uma manifestação da angústia, do medo de chegar à última semana do mês e de não ter dinheiro na conta para pagar a gasolina, porque são muitas pessoas a ganhar o ordenado mínimo ou pouco mais do que ordenado mínimo, que estão a viver a 40 km do local de trabalho, talvez um bocadinho.. Pior do que isso, é de não conseguir ter 20 € que sobram para comprar um livro para os filhos ou de não poder os fazer participar numa visita ou numa viagem de escola como qualquer outra criança, que seja a nível primário ou depois no secundário. Em França, uma percentagem muito pequena ganha mais de entre 3 e 4.000 €. Pensamos também que o povo francês é riquíssimo mas o ordenado médio é de 1985 €. Viver com este ordenado é difícil com o aumento do custo do nível de vida, alugueres, créditos, juros, seguros e seguros de saúde, porque há 20 anos tínhamos uma cobertura social muito mais protetora. Não é o caso hoje É um grito. Porque este país também tem riquezas, tem capacidade e potencialidade de voltar a ter uma maior economia.” Este caos político que leva os franceses para a rua para manifestar, é, segunda a antiga deputada, uma consequência da forma de governar de Emmanuel Macron que pensou que um país se podia governar como uma empresa privada. “Emmanuel Macron pensou que o país podia ser gerido como uma startup-nation e não foi, não é o caso, não conseguiu. De facto, pode-se pensar que se gere França com uma startup, uma startup-nation e que que é como uma empresa privada. Não é bem assim, não é bem assim. E é esse grito, essa capacidade de manifestação também tem séculos e deu resultados, em termos de conquista de igualdade de direitos e de proteção de direitos fundamentais adquiridos e de conquista de mais direitos. O direito fundamental de manifestar é constitucional sem defender a violência, acho que não se consegue nada com violência. Isso diz um grande sofrimento, angústia. Para a semana (18 de Setembro) as manifestações são intersindicais e muita gente vai manifestar na rua. Naquele dia o país pode ficar mesmo bloqueado e pode não ser a última vez.”
Invités : - Jules Torres, journaliste au service politique du JDD - Arnaud Benedetti, rédacteur-en-chef de la Revue politique et parlementaire, éditorialiste et fondateur du comité de soutien de Boualem Sansal Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député RN du Nord Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil d'Alex Vizorek du 29 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil d'Alex Vizorek du 29 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Malgré 2 millions de signatures contre la loi Duplomb (censurée partiellement depuis), le gouvernement nomme Xavier Jamet, ex-lobbyiste de la FNSEA, directeur de cabinet de la porte-parole Sophie Primas.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Fin annoncée du macronisme, cordon sanitaire LFI, soutien à Robert Ménard... Quelle est la feuille de route du président des Républicains, Bruno Retailleau, qui semble multiplier les provocations au risque de fragiliser le gouvernement. François-Xavier Bellamy, député européen et vice-président des Républicains est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Stéphane Carpentier du 25 juillet 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
// Sur YouTube https://www.youtube.com/channel/UC0cT8BZdFUmC0vgr1XS7aPA// Présentatrice du journal Le Fil d'Actu
Les aides aux entreprises représentent 211 milliards d'euros par an, un des plus gros budget de l'État. C'est le résultat de la commission d'enquête sur les aides publiques aux entreprises au Sénat.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Alexis Delafontaine revient sur les propos du ministre de l'Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, qui a affirmé que l'islamo-gauchisme n'existe pas dans le monde universitaire. Cette déclaration a suscité de vives réactions, notamment au sein de la droite politique qui fait de la lutte contre l'islamo-gauchisme une de ses priorités. La ministre en charge de l'autonomie, Charlotte Parmentier-Lecocq, se désolidarise des propos de son collègue et rappelle la ligne du gouvernement sur ces questions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alexis Delafontaine revient sur les propos du ministre de l'Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, qui a affirmé que l'islamo-gauchisme n'existe pas dans le monde universitaire. Cette déclaration a suscité de vives réactions, notamment au sein de la droite politique qui fait de la lutte contre l'islamo-gauchisme une de ses priorités. La ministre en charge de l'autonomie, Charlotte Parmentier-Lecocq, se désolidarise des propos de son collègue et rappelle la ligne du gouvernement sur ces questions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la dernière matinale Tocsin de cette saison, et nous sommes en direct du parlement européen :2:30 La Chronique Police / Justice !
C'est un sujet crucial et alarmant : la montée des attaques contre les droits des militants écologistes, un phénomène qui ne cesse de s'aggraver en France…Comme si la répression étatique était organisée.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ultra-riches épargnés, retraites repoussées : la taxe Zucman est rejetée pendant que le COR propose 66,5 ans en 2070. Dans L'Instant Porcher, Thomas Porcher démonte l'injustice d'un système qui fait toujours payer les mêmes.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
La Cour des Comptes a dénoncé une “situation alarmante” tant “l'année 2024 fut sombre” à propos de la Sécurité Sociale, ce lundi 26 mai 2025.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Qui veut la peau d'Anne-Sophie Lapix ? La présentatrice du 20H de France 2 a été virée à deux ans de la présidentielle. Connue pour ses interviews pugnaces qui ont souvent agacé les politiques, dont Emmanuel Macron lui-même, aurait-elle fait les frais d'un verrouillage de l'information avant 2027? Nils a enquêté.▶ Soutenez Le Média :
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs De la Macronie au RN, une alliance délétère s'est formée sur tous les textes de loi environnementaux du moment. Dans la perspective des élections à venir, l'objectif est de s'afficher comme le moins-disant écologique, quitte, pour le gouvernement, à renoncer aux timides avancées qu'il a portées sur le sujet. Un article de Lucie Delaporte et Amélie Poinssot publié mercredi 29 mai, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 28/05/2025, il reçoit Sylvain Maillard, député EPR de Paris pour fait le point sur les huit premières années de la Macronie à la tête du pays. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Dans ce nouveau numéro de “Au Cœur de l'actu”, actualité oblige, le sujet du racisme et de l'Islamophobie sera le fil rouge de cette émission après le meurtre d'Aboubakar Cissé.▶ Soutenez Le Média :
Nouvel épisode des Indiscrets, votre rendez-vous hebdomadaire sur Le Média, animé par Nils Wilcke. Un rendez-vous consacré à la politique française, à ce que disent ses acteurs et à ce qu'ils ne disent pas, à la scène et aux coulisses.Au sommaire :Alors que l'étoile d'Emmanuel Macron pâlit inexorablement, son premier cercle historique se raidit et se met systématiquement sur la défensive. Comment expliquer le refus d'Alexis Köhler, le secrétaire général de l'Élysée officiellement, mais officieusement le président bis, d'être entendu par la Commission des finances de l'Assemblée nationale, dans le cadre de l'enquête sur les dérapages budgétaires de 2023-2024 ? Un Alexis Köhler, désormais cerné par la justice dans une affaire de prise illégale d'intérêts en relation avec ses liens familiaux avec les propriétaires de l'armateur MSC… Avis de grande panique à l'Élysée ?En apparence, le gouvernement et la Macronie font bloc autour de François Bayrou, pris dans la nasse de l'affaire Betharam. Mais en coulisses, les choses sont plus contrastées, et témoignent d'un fait : pas grand-monde au sein de l'ex-majorité n'est prêt à se sacrifier pour le soldat du Béarn. Et si finalement ce n'était pas lui ? Choisi par Emmanuel Macron pour siéger au Conseil constitutionnel, le très controversé Richard Ferrand, favorable à la non-limitation des mandats présidentiels, pourrait faire l'objet sinon d'un tir de barrage, du moins d'une fronde menée par une partie de la droite sénatoriale.▶ Soutenez Le Média :
Le premier ministre, François Bayrou, a voulu un gouvernement composé de personnalités connues du grand public pour surmonter « l'Himalaya qui se dresse » devant lui.Il a ainsi nommé deux anciens premiers ministres : Elisabeth Borne, à la tête du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, et Manuel Valls, aux outre-mer. Mais aussi d'autres figures bien connues, telles que l'ancien ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin, devenu garde des sceaux, et Bruno Retailleau, reconduit à l'intérieur.Ce gouvernement, qui allie à nouveau droite et Macronie – à l'exception de quelques anciens socialistes, pour le symbole –, saura-t-il éviter la censure ? En tout cas, les journées qui précèdent le discours de politique générale, prévu mardi 14 janvier, donnent lieu à moult tractations avec les partis politiques. Objectif : éviter le même sort que celui réservé au précédent locataire de Matignon, Michel Barnier.Quelle politique François Bayrou compte-t-il mener ? Quelles stratégies les partis d'opposition adoptent-ils ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Abel Mestre, rédacteur en chef adjoint du service politique du Monde, analyse la situation.Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait du discours de François Bayrou du 13 décembre 2024, extrait de la chanson « Mon Bulletin dans ton urne » pour la campagne présidentielle de François Bayrou en 2007, extrait du discours des vœux d'Emmanuel Macron aux Français, le 31 décembre 2024.Cet épisode a été publié le 9 janvier 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 28 octobre - Des impôts, des taxes …mais pas de budget !L'examen du budget est suspendu à l'Assemblée nationale, après six jours de discussions intenses dans l'hémicycle et une série de revers cinglants pour l'exécutif. Les députés ont en effet adopté, contre son avis, la création d'un nouvel impôt sur le patrimoine des milliardaires. Baptisée "taxe Zucman", du nom de l'économiste français Gabriel Zucman qui l'a conçue comme un impôt mondial sur les milliardaires, celle-ci consiste à taxer à hauteur de 2 % la fraction du patrimoine supérieure à un milliard d'euros. Elle concernerait, si elle était appliquée, tout milliardaire résidant fiscalement en France ou ayant du patrimoine en France. Les parlementaires ont également décidé de rendre pérenne la contribution exceptionnelle demandée aux entreprises de fret maritime, et plafonné à 500 millions d'euros la niche fiscale dont bénéficie ce secteur ; approuvé un rétablissement progressif de la CVAE (Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) ; et supprimé un article prévoyant d'alourdir le « malus » pour les voitures essence et diesel. Ils ont par ailleurs voté une taxe exceptionnelle de 10 % sur les dividendes distribués par les entreprises du CAC40 et ont étendu à l'ensemble du territoire les prêts à taux zéro pour l'immobilier, dans le neuf (comme le proposait le gouvernement), mais aussi dans l'ancien.Le tout au gré d'alliances parfois changeantes ou du fait de l'absence de nombreux députés de la coalition gouvernementale dans l'hémicycle : si le Nouveau Front populaire a obtenu seul le rétablissement progressif de la CVAE, c'est une alliance hétéroclite d'élus RN, LR, socialistes et communistes qui a eu raison du malus automobile. Le MoDem de son côté après avoir voté de nombreux amendements en commission des finances avec la gauche rejoue la même partition dans l'hémicycle en additionnant ses voix au NFP pour par exemple pérenniser la surtaxe sur les hauts revenus au nom de la « justice sociale ». Une situation qui fait grincer des dents au sein de l'aile droite de la coalition gouvernementale. De son côté le président du Modem François Bayrou a dénoncé l'absence des députés du socle commun, notamment des élus du parti Renaissance dont les rangs étaient très dégarnis notamment vendredi 25 octobre jour du vote de la "taxe Zucman".La gauche et l'extrême droite accusent, eux, le camp du gouvernement de faire de l'"obstruction" et de ralentir les débats sur le projet de loi de Finances. Près de la moitié des amendements sur la partie "recettes" du budget ont été déposés par LR et la Macronie. Le NFP et le RN redoutent un manœuvre qui permettrait de transmettre le texte au Sénat, où Michel Barnier dispose d'une majorité, sans que les députés n'aient pu se prononcer. Ce qui lui permettrait ainsi d'éviter un rejet de son texte à l'Assemblée, et même d'utiliser le 49.3.Pour l'heure, le ministre du Budget a annoncé hier que les débats sur le projet de budget 2025 allaient reprendre dans l'hémicycle le 5 novembre prochain, toujours sur la première partie, celle des recettes. D'ici là c'est le budget de la Sécurité sociale que doivent examiner à partir de cet après-midi les parlementaires. Rejeté à l'unanimité en commission, le texte promet des débats électriques notamment sur le report de six mois de l'indexation des pensions de retraite sur l'inflation, des taxes sur le sucre ou encore sur le remboursement des consultations.Autant de points qui seront scrutés par les Français qui d'après les derniers sondages placent la santé comme premier sujet de préoccupation juste devant le pouvoir d'achat. Et ce alors que ce dernier a reculé dans notre pays en 2022 et 2023 pour les ménages d'après l'INSEE. Selon deux notes publiées la semaine dernière par l'institut, sur ces années l'augmentation des salaires a été inférieure à l'inflation. Ce qui fait que "le salaire net moyen a diminué de 0,8 % en euros constants en 2023 après -1% en 2022 (…) En 2023, le pouvoir d'achat des salaires a résisté en bas de l'échelle salariale, en raison notamment des revalorisations du SMIC, puis a diminué à mesure que l'on progresse dans la distribution. En conséquence, les inégalités salariales ont continué de diminuer". Plus précisément "le salaire net moyen des cadres a baissé de -2,8 % en 2023, celui des ouvriers et des employés de -0,3 % et -0,5 %" explique l'INSEE.Alors quels enseignements peut-on tirer de ce premier round au Palais Bourbon sur le budget 2025 ? Comment Michel Barnier compte-t-il faire adopter le projet de loi de Finances ? Le pouvoir d'achat des Français va-t-il baisser en 2025 ? Enfin que sait-on sur les coups de feu qui ont touché un enfant de 5 ans à Rennes samedi soir ? Les experts :- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- FANNY GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique -France info TV- JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 25 octobre: Barnier : déjà un mois dans l' "enfer de Matignon"… et de l'Assemblée !Un mois après la formation de son gouvernement, Michel Barnier tente d'installer une méthode et un style, pour parvenir à inscrire son action dans la durée. Ce vendredi il se déplace dans le Rhône, département touché par de très fortes inondations le 17 octobre, et dévoilera à cette occasion le troisième Plan national d'adaptation au changement climatique. Une série de mesures destinées à préparer le pays à vivre à + 4 °C d'ici à la fin du siècle alors qu'à l'Assemblée nationale, l'examen du budget 2025 continue de faire monter la température.Après les désaccords entre ministres et les menaces de démission, le gouvernement Barnier accumule les déconvenues face à des parlementaires remontés contre le projet de loi de Finances. En commission des finances la semaine dernière, la copie initiale du texte avait été largement amendée, entre autres par la gauche et le Modem. Les députés du camp présidentiel, ainsi que ceux de la droite et du RN avaient voté contre de cette nouvelle version, conduisant à son rejet. C'est donc la version initiale qui est examinée dans l'hémicycle depuis lundi, mais là encore le gouvernement subit des défaites sur fond de divisions de la coalition gouvernementale. Les députés ont ainsi validé l'instauration d'une contribution exceptionnelle sur les hauts revenus après l'avoir modifiée pour en élargir l'assiette et la pérenniser dans le temps, contre l'avis de l'exécutif, et avec le soutien des élus MoDem, qui appartiennent pourtant au "socle commun".Une situation qui pousserait, selon les oppositions, désormais le camp du gouvernement à faire de l' « obstruction » et à ralentir les débats sur le projet de loi de Finances. Près de la moitié des 3650 amendements sur la partie "recettes" du budget ont été déposés par LR et la Macronie. Le NFP et le RN redoutent un manœuvre qui permettrait de transmettre le texte au Sénat, où Michel Barnier dispose d'une majorité, sans que les députés n'aient pu se prononcer. Ce qui lui permettrait ainsi d'éviter un rejet de son texte à l'Assemblée, et même d'utiliser le 49.3.Mercredi le gouvernement Barnier avait ouvert la voie à l'utilisation d'un 49.3 en Conseil des ministres. Néanmoins la décision n'est pas prise d'en faire usage avait indiqué la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon. Pour l'heure le Premier ministre dit vouloir laisser du temps au débat, ce qui lui permet de faire la démonstration de l'irresponsabilité ou des contradictions de certains députés, enlisés dans des querelles infinies et une surenchère fiscale. Mais c'est au risque de perdre la confiance des Français (61 % estiment qu'il avance dans "la mauvaise direction" d'après un dernier sondage Elabe) et de fragiliser sa coalition gouvernementale traversée par les divisions, sur fond d'ambitions personnelles. Beaucoup en effet regardent déjà vers la présidentielle de 2027. C'est le cas notamment chez les marconistes où la bataille pour la présidence du parti Renaissance est lancée entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal. Alors quelle est la méthode Barnier ? Comment compte-t-il faire adopter le budget 2025 ? Elisabeth Borne et Gabriel Attal, un duel pour la présidence du parti macroniste, et pour 2027 ? Enfin comment les entreprises appréhendent-elles la situation ? Nos journalistes ont interviewé Thierry Cotillard, patron d'Intermarché.Les experts :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra- CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions