Podcasts about macronie

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Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs De la Macronie au RN, une alliance délétère s'est formée sur tous les textes de loi environnementaux du moment. Dans la perspective des élections à venir, l'objectif est de s'afficher comme le moins-disant écologique, quitte, pour le gouvernement, à renoncer aux timides avancées qu'il a portées sur le sujet. Un article de Lucie Delaporte et Amélie Poinssot publié mercredi 29 mai, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le débat des grandes voix
Les relations se tendent entre la Macronie et l'entourage de Bruno Retailleau notamment concernant la lutte contre l'entrisme islamiste

Le débat des grandes voix

Play Episode Listen Later May 23, 2025 12:40


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique, le choix de la semaine
Le congrès du Parti socialiste, clé de l'union de la gauche?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later May 18, 2025 2:46


À partir du 27 mai, les adhérents du parti socialiste sont appelés à choisir leurs nouveaux dirigeants, avec comme point d'orgue le congrès de Nancy mi-juin, quelques jours après la désignation du Premier secrétaire. Et le choix des socialistes pourrait être déterminant dans une éventuelle union pour la présidentielle. Les trois candidats, Olivier Faure, Boris Vallaud et Nicolas Mayer-Rossignol semblent alignés en faveur d'une candidature commune en 2027, mais sur le papier seulement. Tout le monde au PS semble désormais d'accord : il faut une union de la gauche en 2027 sans les Insoumis. Après avoir longtemps défendu le rapprochement avec LFI, Olivier Faure a finalement rendu les armes ces derniers mois, « pour ne pas perdre son poste », persifle une de ses opposantes internes. Le nouveau périmètre va donc de la gauche radicale façon François Ruffin aux sociaux-démocrates de Raphaël Glucksmann, voire à la maigre aile gauche de la Macronie, en passant par les alliés écologistes et communistes. Consensus aussi sur l'espoir que le candidat commun en 2027 soit issu des rangs socialistes, mais la stratégie pour y arriver en revanche diffère.À lire aussiLes militants du Parti socialiste face aux divisions de leur partiDeux salles, deux ambiancesIl y a d'un côté les partisans du jeu ouvert et de l'autre, ceux qui prônent le passage en force. Olivier Faure par exemple reste sur la ligne qu'il tient depuis son arrivée à la tête du PS en 2018 : un candidat socialiste si possible, mais pas d'opposition de principe à céder la place. En revanche, du côté de Nicolas Mayer-Rossignol et ses alliés, François Hollande, Carole Delga ou Anne Hidalgo, la prééminence socialiste est une priorité. Une ligne qualifiée d'« identitaire » par les Fauristes et qui passerait par le rassemblement sous un même drapeau de toute la galaxie socialiste aujourd'hui dispersée : Bernard Cazeneuve, Raphaël Glucksmann ou certains ministres et élus macronistes.À lire aussiFrance: au sein du Parti socialiste, ces voix qui s'élèvent pour rompre avec LFILes alliés moyennement intéressés« Si c'est pour se faire marcher dessus comme avec les Insoumis, non merci », cingle un élu communiste. Pas beaucoup plus d'enthousiasme côté Écologistes, où les multiples alliances passées avec le PS n'ont pas laissé que de bons souvenirs. Beaucoup défendent donc l'idée d'une primaire très large, c'est-à-dire pas seulement avec des candidats désignés par les partis. « Sinon personne ne jouera le jeu », estime une ancienne Insoumise. Les Insoumis justement, qui regardent l'agitation avec amusement : « plus il y a de divisions au PS, mieux je me porte », rigole un député LFI. À moins qu'une position centrale émerge à l'occasion du congrès socialiste : le 3ème homme de l'élection, Boris Vallaud plaide pour « une union à toute force mais pas à tout prix ». Un peu flou pour certains : « tu ne pourras pas être éternellement la Suisse », a lancé cette semaine une haute dirigeante du PS au patron des députés socialistes.

Apolline Matin
Les indiscrets : Municipales Paris, comment la macronie veut évincer Dati - 08/05

Apolline Matin

Play Episode Listen Later May 8, 2025 1:48


Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.

Les Grandes Gueules
Le soutien du jour - Barbara Lefebvre : "Il a eu raison de prendre le poste. Il essaie de faire entendre une voix de raison dans cette macronie informe dans laquelle la France s'est enfoncée. Au moins, il a un cap" - 01/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 1, 2025 2:04


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.

Le Média
Aboubakar Cissé tué dans une mosquée - racisme, islamophobie : les mots qui dérangent la macronie

Le Média

Play Episode Listen Later May 1, 2025 48:18


Dans ce nouveau numéro de “Au Cœur de l'actu”, actualité oblige, le sujet du racisme et de l'Islamophobie sera le fil rouge de cette émission après le meurtre d'Aboubakar Cissé.▶ Soutenez Le Média :

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 24/04 : Ils ont trahi la démocratie ! Avec André Bonnet

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 103:28


Pour cette dernière de la semaine de vacances avec Clémence, Merwan et Roxane vous ont préparés une matinale très chargée. Au menu : 2:30 La chronique police-justice

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 17/04 : Crise sanitaire : la vérité continue d'avancer ! - Didier Raoult

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 136:21


Dernière matinale avant les vacances pour Clémence, avec des invités inhabituels en studio...2:30 La chronique Police - Justice !

TOCSIN PODCAST
La Matinale 11/04 : lobotomie de masse, alerte aux vacc1ns pédiatriques et aux injections animales

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 123:55


Retrouvez la matinale de ce mardi 11 Avril avec Nicolas Vidal ! Au programme :00:00 Introduction et édito de Nicolas Vidal“ Alexis Kohler en roue libre, Mamie Vapote en surtension : la semaine des clones en Macronie !” 10:00 « Un totalitarisme a pris la médecine en otage »

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 03/04 : Marine Le Pen écartée, à quoi s'attendre pour 2027 ? - Pierre-Yves Rougeyron

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 164:19


2h45 de matinale pour vous ! Avec une grande annonce des Tintins mais pas que : 2:30 La chronique Police/ Justice

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 27/03 : Debout les gueux ! La révolte contre les ZFE continue ! - Alexandre Jardin

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 124:25


Retrouvez la matinale de ce mardi 27 mars avec Clémence Houdiakova ! Au programme :2:30 La chronique Police/ Justice

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 20/03 : Honteux : Dominique Voynet nommée dans un comité sur le nucléaire avec Fabien Bouglé !

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 126:48


TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 13/03 : Macron, Russie, présidentielle : les vérités de Juan Branco

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 130:11


Voici l'émission du 13 Mars avec Clémence Houdiakova, au programme :2:30 La chronique Police/ Justice

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 27/02 : Avec Trump, Milei et consorts : la liberté revient au pouvoir ! Avec Charles Gave

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Mar 11, 2025 126:05


TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 25/02 : Macron humilié par Trump à Washington, la paix en Ukraine est proche ! Avec Nicolas Dupont-Aignan et Frédéric Aigouy

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 119:36


Politique, le choix de la semaine
Conseil constitutionnel : Macron évite le camouflet de justesse

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Feb 23, 2025 2:35


Une nomination a beaucoup fait parler en France, celle de Richard Ferrand comme président du Conseil constitutionnel. L'ancien président de l'Assemblée nationale n'a obtenu la validation des parlementaires qu'à une voix près. Emmanuel Macron, qui avait choisi de proposer le nom ce fidèle pour cette fonction, a donc évité le camouflet de justesse.  C'était bien Emmanuel Macron la cible. Depuis l'annonce du choix présidentiel, la machine à contestation s'était emballée, car Richard Ferrand est identifié comme un grognard de la Macronie, artisan de la victoire de 2017, fidèle parmi les fidèles, éphémère ministre devenu président de l'Assemblée nationale avant d'être battu aux législatives de 2022, premier dégât collatéral de sa proximité avec Emmanuel Macron. Depuis, Richard Ferrand, reconverti dans le privé, restait l'un des conseillers de l'ombre du président. C'est pour toutes ces raisons que sa nomination à la tête du Conseil constitutionnel a suscité tant de protestations.À lire aussiFrance: le Parlement approuve la nomination de Richard Ferrand à la tête du Conseil constitutionnel« Une casserole de plus »Faire barrage à Richard Ferrand, c'était envoyer un message de rejet à Emmanuel Macron. Un parlementaire proche d'Edouard Philippe résume la situation dans des termes imagés, c'était selon lui le moyen « de foutre une casserole de plus » au président, avant d'ajouter à propos de la pertinence du choix de Richard Ferrand : « Je n'aurais pas pris cette décision, mais ça n'a rien de scandaleux ». Une ministre très macroniste défend elle avec zèle l'ancien président de l'Assemblée nationale et dénonce un « procès en amitié », quand le député LR Olivier Marleix condamne lui un « copinage malsain » avec le chef de l'État. Car c'est de la gauche mais aussi de la droite républicaine que sont venus les attaques et les votes contre la nomination de Richard Ferrand, alors que le RN s'est abstenu et lui a sauvé la mise.Quelles conséquences ?D'abord, cela montre la fragilité du socle commun, cette alliance de circonstance entre le bloc central et LR sur laquelle repose le gouvernement Bayrou. À la première occasion les Républicains manifestent qu'ils détestent Emmanuel Macron. Un chef de groupe du Sénat estime qu'en voyant que le RN s'abstenait, ils se sont « lâchés » en votant contre le candidat du président. Et puis, chaque décision de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel risque d'être passée au crible du soupçon de partialité. A moins que comme Robert Badinter qui fut nommé à la même fonction, il ne démontre qu'il a intégré son « devoir d'ingratitude » par rapport à celui qui l'a nommé, Emmanuel Macron.

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 20/02 : accord Poutine/Trump : l'analyse de Jacques Baud

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Feb 20, 2025 121:21


Le Média
Köhler, Bayrou, Ferrand : la macronie plus que jamais dans la sauce

Le Média

Play Episode Listen Later Feb 17, 2025 29:43


Nouvel épisode des Indiscrets, votre rendez-vous hebdomadaire sur Le Média, animé par Nils Wilcke. Un rendez-vous consacré à la politique française, à ce que disent ses acteurs et à ce qu'ils ne disent pas, à la scène et aux coulisses.Au sommaire :Alors que l'étoile d'Emmanuel Macron pâlit inexorablement, son premier cercle historique se raidit et se met systématiquement sur la défensive. Comment expliquer le refus d'Alexis Köhler, le secrétaire général de l'Élysée officiellement, mais officieusement le président bis, d'être entendu par la Commission des finances de l'Assemblée nationale, dans le cadre de l'enquête sur les dérapages budgétaires de 2023-2024 ? Un Alexis Köhler, désormais cerné par la justice dans une affaire de prise illégale d'intérêts en relation avec ses liens familiaux avec les propriétaires de l'armateur MSC… Avis de grande panique à l'Élysée ?En apparence, le gouvernement et la Macronie font bloc autour de François Bayrou, pris dans la nasse de l'affaire Betharam. Mais en coulisses, les choses sont plus contrastées, et témoignent d'un fait : pas grand-monde au sein de l'ex-majorité n'est prêt à se sacrifier pour le soldat du Béarn. Et si finalement ce n'était pas lui ? Choisi par Emmanuel Macron pour siéger au Conseil constitutionnel, le très controversé Richard Ferrand, favorable à la non-limitation des mandats présidentiels, pourrait faire l'objet sinon d'un tir de barrage, du moins d'une fronde menée par une partie de la droite sénatoriale.▶ Soutenez Le Média :

TOCSIN PODCAST
La Matinale Tocsin du 13/02 : Michel Maffesoli livre ses mémoires sans filtres !

TOCSIN PODCAST

Play Episode Listen Later Feb 17, 2025 119:54


La matinale du 13 février présentée par Clémence Houdiakova, au sommaire aujourd'hui :2:30 La chronique Police/ Justice

Le Média
La colère de Thomas Porcher face au saccage des comptes publics par la macronie

Le Média

Play Episode Listen Later Jan 29, 2025 28:01


6,3 milliards d'économies supplémentaires, c'est ce qu'ont voté les sénateurs pour le projet de loi de finances 2025. “L'examen a été marqué par les coups de rabot de dernière minute du gouvernement” raconte Public Sénat. La chaîne raconte : “un amendement de dernière minute, déposé parfois dans la nuit voire une heure avant, souvent défendu laconiquement par des ministres, dont plusieurs se voient eux-mêmes imposer ces coupes par Bercy. Les sénateurs se sont retrouvés à découvrir ces économies supplémentaires, ne pouvant travailler dans de bonnes conditions.” Une méthode décriée de la gauche jusqu'aux républicains, décrivant des conditions de travail “athlétiques”. Public Sénat poursuit : “Cette méthode, qui ne fait pas dans la dentelle, a un objectif : trouver des économies. Et le gouvernement n'y est pas allé de main morte. Ce qu'il assume. Il vante une réduction des dépenses de l'Etat et de ses opérateurs de 2 %. Du jamais vu depuis 25 ans, souligne l'exécutif.” La majorité sénatoriale (droite et gouvernement), a tout de même soutenu ces coupes. Quelques exemples : -995 millions sur l'écologie, -630 millions sur l'enseignement supérieur et la recherche. Sur les collectivités, on rabote l'augmentation, de 5 à 2,2 milliards. Public Sénat note une “Rare exception : le budget de la défense est sanctuarisé, avec une hausse de 3,3 milliards d'euros, conformément à la trajectoire de la loi de programmation militaire 2024-2030”. Alors ça c'est ce qui a été décidé au Sénat. On le sait, à l'Assemblée Nationale le budget s'est fait censurer. Donc rendez-vous à la commission mixte paritaire le 30 janvier, où députés et sénateurs vont devoir trouver un texte commun. Le gouvernement table sur 5,4 % de déficit. Il serait autour de 6% en 2024. Des orientations inquiétantes et qui répondent à l'inverse du problème, explique Thomas Porcher. On parle très peu de l'énorme dérapage des comptes publics en 2023 et 2024 estimé à presque 70 milliards d'euros par la direction générale du Trésor. Et ce sont les salariés, les pauvres, les retraités ou les chômeurs qui vont payer, annonce l'économiste. Il y a eu aussi toute la polémique autour de taxer les retraités les plus riches… Éric Lombard, le ministre de l'Économie a exclu mercredi 22 janvier dans les Échos cette idée, contredisant donc la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet qui avait soumis l'idée. Autre idée de piste, les 7 heures de travail non rémunérées (donc ça ferait 14 en tout). Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement, a indiqué que cette idée, comme la taxation des retraités aisés n'était pas "la position officielle du gouvernement à ce stade". On peut voir que les Ministres avancent leurs idées, se font contredire… ça cherche des pistes un peu partout pour pas toucher au fond du problème : la mauvaise répartition des richesses. ▶ Soutenez Le Média :

Idriss Aberkane
Conférence: Dessine-moi Mille Milliards ! | Idriss Aberkane

Idriss Aberkane

Play Episode Listen Later Jan 11, 2025 61:58


Entre l'arrivée de Macron à Bercy en 2015 et le départ de Bruno Lemaire pour la Suisse en 2024, la Macronie a endetté la France de MILLE MILLIARDS D'EUROS supplémentaires, cependant que Nono-le-renflé déclare à qui veut l'entendre qu'il a "sauvé l'économie française", après avoir promis aux mêmes oreilles naïves qu'il mettrait l'économie Russe à genoux deux ans plus tôt... SOUTENEZ le podcast : ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.paypal.com/paypalme/IdrissAberkanePod?country.x=FR&locale.x=fr_FR⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Écrivez-moi à IdrissAberkanePodcast@gmail.com pour toute demande commercial. #idrissaberkane #conference #économie #politique

L’Heure du Monde
Le gouvernement Bayrou pourra-t-il éviter la censure ?

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 18:33


Le premier ministre, François Bayrou, a voulu un gouvernement composé de personnalités connues du grand public pour surmonter « l'Himalaya qui se dresse » devant lui.Il a ainsi nommé deux anciens premiers ministres : Elisabeth Borne, à la tête du ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, et Manuel Valls, aux outre-mer. Mais aussi d'autres figures bien connues, telles que l'ancien ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin, devenu garde des sceaux, et Bruno Retailleau, reconduit à l'intérieur.Ce gouvernement, qui allie à nouveau droite et Macronie – à l'exception de quelques anciens socialistes, pour le symbole –, saura-t-il éviter la censure ? En tout cas, les journées qui précèdent le discours de politique générale, prévu mardi 14 janvier, donnent lieu à moult tractations avec les partis politiques. Objectif : éviter le même sort que celui réservé au précédent locataire de Matignon, Michel Barnier.Quelle politique François Bayrou compte-t-il mener ? Quelles stratégies les partis d'opposition adoptent-ils ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Abel Mestre, rédacteur en chef adjoint du service politique du Monde, analyse la situation.Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait du discours de François Bayrou du 13 décembre 2024, extrait de la chanson « Mon Bulletin dans ton urne » pour la campagne présidentielle de François Bayrou en 2007, extrait du discours des vœux d'Emmanuel Macron aux Français, le 31 décembre 2024.Cet épisode a été publié le 9 janvier 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Le Média
Jean-Marie Le Pen n'est pas mort : son héritage s'étend jusqu'à la macronie | Beligh Nabli

Le Média

Play Episode Listen Later Jan 8, 2025 50:46


Le Média
Petits meurtres entre amis : les révélations d'Endeweld sur Macron et son entourage

Le Média

Play Episode Listen Later Dec 24, 2024 58:12


Une semaine après la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre de France, il est peut-être temps de se poser une question : où en est le macronisme ? Que nous dit le caractère fortement éjectable du siège du chef du gouvernement en cette année 2024, où l'on a vu se succéder Gabriel Attal, Michel Barnier et désormais François Bayrou ? Jusqu'à quand “survivra” l'actuel Premier ministre à ce poste là, et est-ce que le président de la République l'aidera à tenir ? Au fond, le macronisme est-il tout simplement au bout du rouleau, condamné à s'auto-dissoudre à très brève échéance ? Et qu'est-ce qui se dit, qu'est-ce qui se pense à l'Élysée dans cette période particulière de l'Histoire de France ? Pour répondre à ces questions, nous avons fait appel à Marc Endeweld, journaliste d'investigation, qui enquête depuis des années sur les coulisses de la Macronie.

Le journal - Europe 1
Le journal de 19h - 05/12/2024

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Dec 5, 2024 8:42


Dans cette édition :Le président de la République, Emmanuel Macron, s'adressera aux Français à 20h mais ne devrait pas annoncer le nom du successeur de Michel Barnier, le Premier ministre démissionnaire.Plusieurs noms sont évoqués pour remplacer Michel Barnier à Matignon, notamment ceux de François Bayrou et de Sébastien Lecornu, tous deux proches d'Emmanuel Macron.Le Parti Socialiste semble prêt à accepter un accord de non-censure avec le Bloc Central, excluant la France Insoumise, afin de revenir au gouvernement.Les Républicains conditionnent leur soutien au prochain gouvernement à l'identité du futur Premier ministre, un profil issu de la Macronie n'ayant pas leur appui.Les fonctionnaires et les agriculteurs ont manifesté leur mécontentement dans les rues de France, tandis que le groupe Canal+ annonce le retrait de ses chaînes payantes de la TNT.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Le Média
Même le pape le boycotte : Macron a perdu la foi

Le Média

Play Episode Listen Later Nov 20, 2024 26:51


“Les Indiscrets”, c'est une plongée dans les coulisses de la politique française telle qu'on la raconte peu, c'est-à-dire sans fards ni éléments de langage. Émission portée par Nils Wilcke, journaliste politique jusqu'au bout des doigts, qui enquête au quotidien sur les arcanes du pouvoir. Au sommaire : Le pape a-t-il laissé en “vu” les messages d'Emmanuel Macron l'invitant à participer à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris. En tout cas, le 7 décembre prochain, le souverain pontife n'a pas “piscine”, mais participera à un colloque en Corse. Du coup, Macron s'énerve. Nils détaille les dessous de l'affaire. Loué soit Donald Trump. Du RN à la Macronie en passant par les Républicains, toute la droite regarde l'ancien et futur président américain avec les yeux de Chimène, même si tous ne l'avouent pas clairement. Pourquoi ? Comment ? Et qu'est-ce que cela dit de notre classe politique ? Nils a enquêté. Le RN est en PLS, après les réquisitions du procureur de la République réclamant une peine d'inéligibilité de cinq pour Marine Le Pen, dans le cadre de l'affaire des assistants parlementaires du FN. Officiellement, tout le monde crie au complot politique. Mais en coulisses, qui se prépare à être un plan B ?

L'opinion de Nicolas Beytout
Avec ou sans Marine Le Pen, le grand flou de la prochaine présidentielle

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Nov 18, 2024 3:50


Vincent Trémolet de Villers explore les conséquences potentielles si Marine Le Pen, finaliste des deux dernières élections présidentielles, était empêchée d'être candidate. Il analyse les enjeux d'une telle situation pour la Vème République, la politique française et la dynamique électorale. Alors que l'incertitude plane sur le casting et le calendrier de la prochaine élection présidentielle, Vincent Trémolet de Villers examine les différentes stratégies que pourraient adopter les principaux acteurs politiques, de la droite au Rassemblement National. Il souligne notamment le risque d'un sentiment de revanche chez les électeurs du RN et la possibilité que Marine Le Pen, même absente de la course, devienne la figure centrale de la campagne.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'opinion de Nicolas Beytout
Anne Hidalgo ne combat pas le trumpisme, elle le fabrique

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Nov 11, 2024 3:43


Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce lundi, il revient sur les propos d'Anne Hidalgo qui a dénoncé la "droite trumpiste".

L'opinion de Nicolas Beytout
Michel Barnier pour trois mois ou pour trois ans ?

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Nov 5, 2024 3:47


Vincent Trémolet de Villers analyse la situation politique française après le récent remaniement ministériel. Il souligne l'instabilité politique actuelle, marquée par de nombreux rebondissements, qui rend difficile toute projection à long terme.Le gouvernement Barnier, fragilisé par sa configuration paradoxale, doit faire face à de nombreux défis dans les mois à venir, notamment l'adoption du budget, la loi sur l'immigration et la possible dissolution de l'Assemblée nationale. Vincent Trémolet de Villers s'interroge également sur la capacité du Premier ministre à tenir dans la durée face à la concurrence de potentiels prétendants à l'Élysée pour 2027.Au-delà des obstacles institutionnels, l'éditorialiste souligne que le véritable défi pour le gouvernement sera de répondre aux attentes des Français, qui souhaitent des solutions fermes et efficaces sur des sujets comme le pouvoir d'achat, la sécurité et l'immigration, sans pour autant vouloir voir le Rassemblement national au pouvoir. Un dilemme complexe qui illustre les paradoxes de la situation politique française actuelle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Le Média
Instant Porcher | Budget : la Macronie se déchire, le RN sauve les ultra riches

Le Média

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 23:36


Les parlementaires vivent au rythme des Projets de Loi de Finances depuis 3 semaines. Alors que le “PLF” qui déterminera le budget pour 2025 est examiné à l'Assemblée Nationale, le Projet de Loi de Finances de la Sécurité Sociale, lui, était examiné en commission des affaires sociales jusqu'à jeudi dernier. Sans majorité absolue, tout le monde essaie de s'imposer amendements par amendements pour que le budget colle le plus à ses idéaux.Lors de ces PLF, la question de l'abrogation de la réforme des retraites a été tiraillée entre la gauche et l'extrême droite. La niche parlementaire du RN arrive avant celle du NFP. Le parti de Marine Le Pen en a profité pour proposer l'abrogation de la réforme. Débat à gauche : faut-il voter une proposition du RN ? Jérôme Guedj, député PS et membre de la commission des affaires sociales, affirme que la voter est inutile car ça n'ira pas au bout, car elle doit passer par le Sénat. Il met en avant le PLFSS et sa commission, plus utile selon lui, pour faire passer l'abrogation. Lundi dernier en commission, les députés du RN ont refusé de voter les amendements de la gauche, arguant que le meilleur moyen d'abroger effectivement la réforme était... de voter leur proposition de loi. Jeudi dernier, l'amendement des socialistes sur l'abrogation est finalement passé et s'est inscrit au PLFSS. À voir si les parlementaires voteront la mesure. Pour la journée du RN, le 31 octobre, leur proposition de loi a été vidée de sa substance. Le 28 novembre, ce sera au NFP (par la niche parlementaire de LFI) qui tentera de faire voter cette proposition de loi. Thomas Porcher dénonce des coups de communication.Lors des débats sur le budget, le retour de l'ISF a été rejeté vendredi dernier, par les voix macronistes et d'extrême droite. Le RN préfère un impôt sur la fortune financière, qui exclut le patrimoine. Thomas Porcher et Lisa Lap rappellent que le patrimoine est également un gros vecteur d'inégalités. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !

C dans l'air
Des impôts, des taxes …mais pas de budget ! - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 63:52


C dans l'air du 28 octobre - Des impôts, des taxes …mais pas de budget !L'examen du budget est suspendu à l'Assemblée nationale, après six jours de discussions intenses dans l'hémicycle et une série de revers cinglants pour l'exécutif. Les députés ont en effet adopté, contre son avis, la création d'un nouvel impôt sur le patrimoine des milliardaires. Baptisée "taxe Zucman", du nom de l'économiste français Gabriel Zucman qui l'a conçue comme un impôt mondial sur les milliardaires, celle-ci consiste à taxer à hauteur de 2 % la fraction du patrimoine supérieure à un milliard d'euros. Elle concernerait, si elle était appliquée, tout milliardaire résidant fiscalement en France ou ayant du patrimoine en France. Les parlementaires ont également décidé de rendre pérenne la contribution exceptionnelle demandée aux entreprises de fret maritime, et plafonné à 500 millions d'euros la niche fiscale dont bénéficie ce secteur ; approuvé un rétablissement progressif de la CVAE (Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) ; et supprimé un article prévoyant d'alourdir le « malus » pour les voitures essence et diesel. Ils ont par ailleurs voté une taxe exceptionnelle de 10 % sur les dividendes distribués par les entreprises du CAC40 et ont étendu à l'ensemble du territoire les prêts à taux zéro pour l'immobilier, dans le neuf (comme le proposait le gouvernement), mais aussi dans l'ancien.Le tout au gré d'alliances parfois changeantes ou du fait de l'absence de nombreux députés de la coalition gouvernementale dans l'hémicycle : si le Nouveau Front populaire a obtenu seul le rétablissement progressif de la CVAE, c'est une alliance hétéroclite d'élus RN, LR, socialistes et communistes qui a eu raison du malus automobile. Le MoDem de son côté après avoir voté de nombreux amendements en commission des finances avec la gauche rejoue la même partition dans l'hémicycle en additionnant ses voix au NFP pour par exemple pérenniser la surtaxe sur les hauts revenus au nom de la « justice sociale ». Une situation qui fait grincer des dents au sein de l'aile droite de la coalition gouvernementale. De son côté le président du Modem François Bayrou a dénoncé l'absence des députés du socle commun, notamment des élus du parti Renaissance dont les rangs étaient très dégarnis notamment vendredi 25 octobre jour du vote de la "taxe Zucman".La gauche et l'extrême droite accusent, eux, le camp du gouvernement de faire de l'"obstruction" et de ralentir les débats sur le projet de loi de Finances. Près de la moitié des amendements sur la partie "recettes" du budget ont été déposés par LR et la Macronie. Le NFP et le RN redoutent un manœuvre qui permettrait de transmettre le texte au Sénat, où Michel Barnier dispose d'une majorité, sans que les députés n'aient pu se prononcer. Ce qui lui permettrait ainsi d'éviter un rejet de son texte à l'Assemblée, et même d'utiliser le 49.3.Pour l'heure, le ministre du Budget a annoncé hier que les débats sur le projet de budget 2025 allaient reprendre dans l'hémicycle le 5 novembre prochain, toujours sur la première partie, celle des recettes. D'ici là c'est le budget de la Sécurité sociale que doivent examiner à partir de cet après-midi les parlementaires. Rejeté à l'unanimité en commission, le texte promet des débats électriques notamment sur le report de six mois de l'indexation des pensions de retraite sur l'inflation, des taxes sur le sucre ou encore sur le remboursement des consultations.Autant de points qui seront scrutés par les Français qui d'après les derniers sondages placent la santé comme premier sujet de préoccupation juste devant le pouvoir d'achat. Et ce alors que ce dernier a reculé dans notre pays en 2022 et 2023 pour les ménages d'après l'INSEE. Selon deux notes publiées la semaine dernière par l'institut, sur ces années l'augmentation des salaires a été inférieure à l'inflation. Ce qui fait que "le salaire net moyen a diminué de 0,8 % en euros constants en 2023 après -1% en 2022 (…) En 2023, le pouvoir d'achat des salaires a résisté en bas de l'échelle salariale, en raison notamment des revalorisations du SMIC, puis a diminué à mesure que l'on progresse dans la distribution. En conséquence, les inégalités salariales ont continué de diminuer". Plus précisément "le salaire net moyen des cadres a baissé de -2,8 % en 2023, celui des ouvriers et des employés de -0,3 % et -0,5 %" explique l'INSEE.Alors quels enseignements peut-on tirer de ce premier round au Palais Bourbon sur le budget 2025 ? Comment Michel Barnier compte-t-il faire adopter le projet de loi de Finances ? Le pouvoir d'achat des Français va-t-il baisser en 2025 ? Enfin que sait-on sur les coups de feu qui ont touché un enfant de 5 ans à Rennes samedi soir ? Les experts :- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- FANNY GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique -France info TV- JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le Média
Bruno Retailleau : révélations sur ses intrigues et manipulations | Nils Wilcke

Le Média

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 26:43


Au sommaire de ce nouveau numéro des Indiscrets de Nils Wilcke : Bruno Retailleau est-il l'intrigant en chef du nouvel exécutif Macron/Barnier ? En tout cas, comme ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy et Gérald Darmanin, il fait feu de tout bois et n'hésite pas à instrumentaliser le moindre fait divers pour faire avancer son agenda réactionnaire. Notamment avec ce qu'on peut appeler l'affaire Andy Kerbrat, du nom de ce député insoumis interpellé en possession de produits stupéfiants ou le cas de Ritchy Thibault, l'assistant parlementaire de la députée Ersilia Soudais et dont Retailleau veut la peau. Le ministre de l'Intérieur cherche-t-il à pré-empter l'agenda médiatique et jusqu'où ira-t-il ? Nils a enquêté. En parlant justement de stupéfiants, n'y a-t-il pas eu un grand moment d'hypocrisie parlementaire autour de ça ? Nils s'est intéressé aux moeurs de nos politiques, gauche et droite confondus, en termes de consommation de drogues mais aussi toutes les autres addiction en général et le moins que l'on puisse dire, c'est que nos politiciens sont loin d'être exemplaires…Et enfin, un dernier sujet : Coups tordus, menaces, engueulades... Comment a Macronie se déchire avant son congrès…

C dans l'air
Barnier : déjà un mois dans l' "enfer de Matignon"… et de l'Assemblée !

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 25, 2024 63:50


C dans l'air du 25 octobre: Barnier : déjà un mois dans l' "enfer de Matignon"… et de l'Assemblée !Un mois après la formation de son gouvernement, Michel Barnier tente d'installer une méthode et un style, pour parvenir à inscrire son action dans la durée. Ce vendredi il se déplace dans le Rhône, département touché par de très fortes inondations le 17 octobre, et dévoilera à cette occasion le troisième Plan national d'adaptation au changement climatique. Une série de mesures destinées à préparer le pays à vivre à + 4 °C d'ici à la fin du siècle alors qu'à l'Assemblée nationale, l'examen du budget 2025 continue de faire monter la température.Après les désaccords entre ministres et les menaces de démission, le gouvernement Barnier accumule les déconvenues face à des parlementaires remontés contre le projet de loi de Finances. En commission des finances la semaine dernière, la copie initiale du texte avait été largement amendée, entre autres par la gauche et le Modem. Les députés du camp présidentiel, ainsi que ceux de la droite et du RN avaient voté contre de cette nouvelle version, conduisant à son rejet. C'est donc la version initiale qui est examinée dans l'hémicycle depuis lundi, mais là encore le gouvernement subit des défaites sur fond de divisions de la coalition gouvernementale. Les députés ont ainsi validé l'instauration d'une contribution exceptionnelle sur les hauts revenus après l'avoir modifiée pour en élargir l'assiette et la pérenniser dans le temps, contre l'avis de l'exécutif, et avec le soutien des élus MoDem, qui appartiennent pourtant au "socle commun".Une situation qui pousserait, selon les oppositions, désormais le camp du gouvernement à faire de l' « obstruction » et à ralentir les débats sur le projet de loi de Finances. Près de la moitié des 3650 amendements sur la partie "recettes" du budget ont été déposés par LR et la Macronie. Le NFP et le RN redoutent un manœuvre qui permettrait de transmettre le texte au Sénat, où Michel Barnier dispose d'une majorité, sans que les députés n'aient pu se prononcer. Ce qui lui permettrait ainsi d'éviter un rejet de son texte à l'Assemblée, et même d'utiliser le 49.3.Mercredi le gouvernement Barnier avait ouvert la voie à l'utilisation d'un 49.3 en Conseil des ministres. Néanmoins la décision n'est pas prise d'en faire usage avait indiqué la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon. Pour l'heure le Premier ministre dit vouloir laisser du temps au débat, ce qui lui permet de faire la démonstration de l'irresponsabilité ou des contradictions de certains députés, enlisés dans des querelles infinies et une surenchère fiscale. Mais c'est au risque de perdre la confiance des Français (61 % estiment qu'il avance dans "la mauvaise direction" d'après un dernier sondage Elabe) et de fragiliser sa coalition gouvernementale traversée par les divisions, sur fond d'ambitions personnelles. Beaucoup en effet regardent déjà vers la présidentielle de 2027. C'est le cas notamment chez les marconistes où la bataille pour la présidence du parti Renaissance est lancée entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal. Alors quelle est la méthode Barnier ? Comment compte-t-il faire adopter le budget 2025 ? Elisabeth Borne et Gabriel Attal, un duel pour la présidence du parti macroniste, et pour 2027 ? Enfin comment les entreprises appréhendent-elles la situation ? Nos journalistes ont interviewé Thierry Cotillard, patron d'Intermarché.Les experts :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra- CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions

L'opinion de Nicolas Beytout
Depuis la dissolution, les Français désespèrent de la politique

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 25, 2024 3:41


Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce vendredi, il revient sur le ras-le-bol politique des Français depuis la dissolution.

Bercoff dans tous ses états
Bercoff dans tous ses états - Émission du 23 octobre

Bercoff dans tous ses états

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024


Au programme : Le député LFI arrêté pour avoir acheté de la drogue doit-il démissionner ? / Décryptage des résultats du référendum en Moldavie. / On supprime la taxe d'habitation... pour mieux la faire revenir ! / Nouveau mort par balles à Grenoble, un adolescent de 15 ans tué. / Les LR et la Macronie laissent filer la vice-présidence de l'Assemblée nationale, le RN propose une loi pour la retraite à 62 ans : qui va la voter ? / Vers un nouvel essor français ?

L'opinion de Nicolas Beytout
La bonne conscience des Insoumis a des vertus hallucinogènes

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 23, 2024 4:09


Alexis Brézet examine le sentiment d'impunité qui semble régner au sein de la gauche, en particulier du côté de La France insoumise.Que révèle l'affaire du député Andy Kerbrat, accusé d'avoir acheté de la drogue à un mineur ? Comment la gauche réagit-elle face à ce type de comportements de ses élus ? Alexis Brézet analyse avec finesse cette dynamique, mettant en lumière la tendance de la gauche à se considérer comme moralement supérieure, quitte à fermer les yeux sur les écarts de conduite de certains de ses membres.Il explore également les différences de traitement médiatique et politique entre les faux pas d'élus de gauche et ceux d'élus de droite ou du Rassemblement National. Un éclairage passionnant sur les mécanismes qui régissent la vie politique française, à l'heure où les enjeux sociétaux et identitaires semblent prendre le pas sur les considérations purement politiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'opinion de Nicolas Beytout
Budget : qui a peur de la censure ?

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 22, 2024 4:01


Alexis Brézet décortique la situation tendue du gouvernement Barnier.Le gouvernement est au bord du précipice à cause d'un vote important sur le budget. Même si l'opposition est divisée, le gouvernement pourrait tomber s'il perd ce vote.Pourquoi le gouvernement pourrait s'en sortir ?Sa majorité parlementaire est plutôt solide.Les partis d'extrême-droite ne veulent pas forcément provoquer une crise.Alexis Brézet explique en détail les stratégies politiques et les enjeux derrière ce vote.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'opinion de Nicolas Beytout
Impôts : citoyen, gentil citoyen, citoyen je te plumerai !

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 3:36


Vincent Trémolet de Villers analyse le début de l'examen du budget 2023 à l'Assemblée nationale. Il s'interroge sur la multiplication des nouvelles taxes alors que le consentement à l'impôt est de plus en plus fragile.Les technocrates de Bercy sont accusés de privilégier de nouveaux impôts plutôt que de maîtriser les dépenses publiques, ce qui pourrait raviver la colère sociale, comme lors des Gilets Jaunes.Les Français jugent payer trop d'impôts pour des services publics insatisfaisants et remettent en cause la gestion de l'argent public.L'exécutif devra convaincre les Français tout en évitant un nouvel embrasement social.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Le Média
Macron s'écrase face à Netanyahou, la macronie bientôt sur le banc des accusés ? | Nils Wilcke

Le Média

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 30:51


Dans ce nouveau numéro de l'émission « Les indiscrets » Nils Wilcke revient sur la nouvelle affaire qui met la macronie dans la tourmente. Alors que la commission des finances de l'Assemblée nationale a demandé officiellement à être dotée des pouvoirs d'une commission d'enquête pour déterminer les raisons du dérapage du déficit public, ce qui devrait être acté la semaine prochaine sous réserve que le gouvernement ne s'y oppose pas.… Avec dans le viseur, ce cher Bruno Le Maire qui dit se tenir à “totale disposition”. Cette commission enquête devra déterminer pourquoi la France a connu, ces derniers mois, une augmentation de sa dette publique. Elle devra également éclairer sur les cadeaux fiscaux éventuellement accordés et la part du "Quoi qu'il en coûte" dans ce dérapage. Encore une enquête, serait-on tenté de dire, après celle visant Aurore Bergé accusée d'avoir menti sous serment devant une commission parlementaire sur le modèle économique des crèches. Et dans le second sujet, on se posera une question qui vous a peut-être traversé l'esprit : Emmanuel Macron serait-il subitement devenu un fervent défenseur de la cause palestinienne ? Le président français a provoqué la colère du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou après la fuite de cette phrase tenue en conseil des ministres, où il affirme que “son pays a été créé par une décision de l'ONU”... Alors après plusieurs jours de commentaires médiatico-politiques et de remontrances venues du côté d'Israël, Emmanuel Macron a rétropédalé jeudi soir. Que se cache-t-il derrière ce nouvel imbroglio ? Nils a mené son enquête.

L'opinion de Nicolas Beytout
Loi Immigration : une chance pour Michel Barnier

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 16, 2024 4:04


Dans cet épisode de l'Édito politique, Vincent Trémolet de Villers analyse la stratégie de Michel Barnier, qui a choisi d'ouvrir un nouveau front sur la question de l'immigration alors que l'examen du budget commence aujourd'hui à l'Assemblée nationale.

L'opinion de Nicolas Beytout
Budget 2025 : hausses d'impôts sur le Titanic

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 11, 2024 4:08


Vincent Trémolet de Villers aborde les grands enjeux de la politique française.Alors que le gouvernement a présenté le budget 2023, avec de nouvelles mesures fiscales et des efforts budgétaires, il analyse les conséquences de ces décisions et critique la soi-disant « justice fiscale », dénonçant une forme d'austérité qui affectera les Français.Il examine également les chiffres et les annonces du Premier ministre, soulignant les incohérences et le manque de transparence. Il questionne les priorités du gouvernement, entre le financement du fonds Marianne et les réformes en attente, comme celle des retraites.Au-delà des aspects budgétaires, Vincent Trémolet de Villers explore les stratégies politiques et les dynamiques qui influencent le pays. Un épisode clé pour comprendre les enjeux actuels de la macronie et les défis à venir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

8.30 franceinfo:
Présentation du budget 2025, liens entre le RN et la macronie, excuse de minorité, congrès du PS... "8h30 franceinfo" d'Olivier Faure

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Oct 10, 2024 25:01


durée : 00:25:01 - 8h30 franceinfo - Olivier Faure, premier secrétaire du PS et député de Seine-et-Marne était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 10 octobre 2024.

L'opinion de Nicolas Beytout
Michel Barnier au pied de l'Himalaya budgétaire

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 10, 2024 4:10


Alexis Brézet explore les défis budgétaires qui attendent le Premier ministre Michel Barnier. Avec un gouvernement fraîchement remanié, sans majorité solide et des ministres divisés, l'adoption du budget 2025 s'annonce ardue. Alexis Brézet dresse un portrait des obstacles sur la route de Michel Barnier. Entre la menace de motions de censure, les manœuvres des partis et les imprévus de l'actualité, l'adoption du budget ressemble à un parcours du combattant. Pourtant, le Premier ministre pourrait encore utiliser l'article 49-3 pour faire passer son texte.Il ne s'agit pas seulement de faire adopter un budget épineux, mais aussi de naviguer dans un contexte politique tendu. Entre les divisions au sein de la majorité et les ambitions des partis, le risque de crise politique plane sur les débats budgétaires.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Apolline Matin
Les indiscrets : Un budget sous tensions entre la droite et la macronie - 10/10

Apolline Matin

Play Episode Listen Later Oct 10, 2024 1:36


Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.

L'opinion de Nicolas Beytout
Motion de censure contre la politique

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later Oct 9, 2024 3:48


Alors que Michel Barnier a échappé à une motion de censure, Vincent Trémolet de Villers s'interroge sur la lassitude croissante des Français face à l'agitation politicienne. Il se demande si de plus en plus de citoyens ne rêvent pas de voir les « éternels adolescents de la France insoumise » retourner à leurs études, excédés par les récriminations incessantes de l'opposition.Vincent Trémolet de Villers examine également la situation délicate du gouvernement, confronté à des défis majeurs sur les plans économique et sécuritaire, tout en gérant les tensions politiques. Il s'interroge sur la possible indulgence des Français envers le Premier ministre Barnier, malgré ses limites, tant ils semblent las des luttes de pouvoir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L’Heure du Monde
Gouvernement Barnier : qu'attendre de cette alliance entre la Macronie et Les Républicains ?

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Sep 24, 2024 21:21


Après onze semaines de flou, la France a enfin un gouvernement. Fruit d'une alliance entre le parti Les Républicains et le camp d'Emmanuel Macron, le gouvernement Barnier aura désormais pour mission de boucler un budget qui s'annonce difficile tant il est sous pression face à la menace d'une motion de censure à l'Assemblée nationale. Constitué avec l'assentiment implicite du Rassemblement national (RN), il pourra être défait par une majorité de circonstance entre le Nouveau Front populaire et le RN.Avec des ministres venant soit de la droite, soit de la Macronie, quelle « coloration » politique et quelle ligne ce gouvernement adoptera-t-il ? Aura-t-il seulement les moyens de faire adopter des lois sans majorité absolue ? Qu'est-ce que sa nomination dit du rapport d'Emmanuel Macron aux institutions alors que les deux principaux messages des élections législatives étaient d'une part la défaite du camp présidentiel, et d'autre part le rejet d'un RN au pouvoir au second tour ?Réponses à ces questions dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde » avec Nicolas Chapuis, directeur adjoint de la rédaction du Monde.Un épisode d'Adèle Ponticelli et Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli et Jean-Guillaume Santi. Présentation : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits du « 20 heures » de France 2 du 22 septembre 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr

C dans l'air
Gouvernement Barnier : à droite toute ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 20, 2024 65:03


C dans l'air du 20 septembre - Gouvernement Barnier : à droite toute ?Le gouvernement ne sera pas présenté ce vendredi mais "avant dimanche" le temps d'effectuer les vérifications déontologiques. C'est ce qu'a annoncé Matignon ce vendredi à la suite d'une journée marathon, avec une dernière réunion autour de Michel Barnier et toutes les forces politiques susceptibles de rejoindre son équipe gouvernementale, puis sa présentation à Emmanuel Macron jeudi soir à l'Elysée. Deux semaines après la nomination du nouveau Premier ministre, et alors que les tractations ne semblaient jamais pouvoir aboutir, ça accélère, désormais, et avant même l'annonce officielle, on en sait plus sur cette liste validée dans les grandes lignes par le chef de l'Etat : 38 ministres, dont 16 de plein exercice, qui comprendront 7 macronistes, 3 LR, 2 Modem, un Horizons, un centriste, un divers droite et un divers gauche.Le camp présidentiel conserverait ainsi l'Economie (Antoine Armand et Mathieu Lefevre), l'Education nationale (Violette Spillebout), le Travail, les Affaires étrangères (Jean-Noël Barrot), la Santé (Geneviève Darrieussecq), et le poste de porte-parole (Maud Bregeon). Cinq sortants seraient également reconduits : Rachida Dati à la Culture, Sébastien Lecornu aux Armées, et d'autres changeraient de poste comme Catherine Vautrin aux Territoires ou Agnès Pannier-Runacher à l'Ecologie. Parmi les entrants, les noms de plusieurs ténors des Républicains circulent : le président de leur groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau pourrait ainsi s'installer à l'Intérieur. Annie Genevard, cadre historique, est proposée pour l'Agriculture. La droite qui prendrait aussi l'Enseignement supérieur, l'Outre-mer (François-Noël Buffet pressenti), la Famille et le Commerce. Enfin, le nom de l'ancien élu socialiste Didier Migaud, président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), est évoqué avec insistance pour succéder à Éric Dupond-Moretti au ministère de la Justice.Mais alors que les contours du nouveau gouvernement se précisent, les réactions se multiplient à gauche. À commencer par l'ancien président socialiste, redevenu député, François Hollande. "Pourquoi y a-t-il eu une dissolution si c'est pour avoir à peu près les mêmes, plus à droite encore ? (...)Non seulement il n'y a pas un gouvernement qui correspond au front républicain mais c'est pire encore : on devait avoir un changement, on a une Restauration", a-t-il cinglé ce matin au micro de France Bleu. "(Je perçois), dans les noms qui sont donnés pour l'instant, une extrême droitisation de la Macronie, qui est très inquiétante", a tancé de son côté la cheffe des députés Insoumis Mathilde Panot. "On est passé du front républicain à l'affront républicain" a regretté pour sa part la cheffe de file des Verts Marine Tondelier.Du côté de l'exécutif, on fait savoir que si la liste des ministres a bien avancé, des "derniers ajustements" sont en cours concernant certains noms. Une nouvelle équipe gouvernementale qui va devoir s'atteler à de nombreux dossiers, à commencer par le budget. Michel Barnier a laissé entendre qu'il ressemblerait à celui préparé par Gabriel Attal cet été. Mais aussi l'immigration, le nouveau locataire de Matignon en fait une priorité et se sait attendu sur cette question par le RN.Alors gouvernement Barnier, qui rentre, qui sort ? Quelle est la feuille de route édictée par le Premier ministre ? Que veut-il faire en matière d'immigration ? Enfin quelle sera la stratégie du RN ces prochaines semaines ?Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- CÉCILE CORNUDET- Éditorialiste politique - Les Echos - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France TélévisionsPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

L'info en intégrale - Europe 1
L'hypothèse d'une hausse d'impôts fait frémir la macronie et Les Républicains

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 18, 2024 1:00


Le Premier ministre Michel Barnier n'écarte pas la possibilité d'augmenter les impôts des Français, ce qui suscite de nombreuses réactions au sein de la classe politique macroniste et chez Les Républicains.

Les Yayas
Camping à Diaguily

Les Yayas

Play Episode Listen Later Sep 3, 2024 101:59


Dans cet épisode… Encore combien de temps sous la Macronie ? Les célébrités ont aussi droit à une vie. On répond à vos questions pour une yaya. N'oubliez pas, “Le voyage de mille kilomètres commence par un pas.” Posez-nous vos “Questions pour une yaya” sur  : Instagram @lesyayaspodcast  Facebook @lesyayaspodcast Twitter @lesyayaspodcast Gmail lesyayaspodcast@gmail.com

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Législatives : la déroute de la macronie

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Play Episode Listen Later Jul 3, 2024 25:33


Le soir du dimanche 30 juin, les résultats des élections législatives anticipées sont annoncés. Le Rassemblement national arrive en tête, avec plus de 33% de voix, suivi par le Nouveau Front populaire, et en troisième place, le camp présidentiel, avec 20,04% des suffrages.Trois semaines après la dissolution de l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron semble avoir perdu son pari. Alors qu'il se présentait comme un « rempart » à ce qui s'appelait encore le Front national pendant sa campagne présidentielle de 2017, le parti d'extrême droite est en passe d'avoir une majorité de députés à l'Assemblée le dimanche 7 juillet.Cet épisode de Code source est raconté par Olivier Beaumont, journaliste au service politique du Parisien, en charge de l'exécutif Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Camille Ruiz - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCI, Europe1, Le Figaro, TF1, France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.