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Pendant plus de 50 ans, le clan Assad a fait de la Syrie un État carcéral. On pouvait se retrouver en prison pour un mot de trop, pour un homonyme, pour une jolie voiture ou une avance déclinée. Certaines de ces prisons étaient de véritables abattoirs humains où la torture était pratiquée sur les hommes, les femmes et même les enfants. Le 8 décembre 2024, le jour de la chute et de la fuite de Bachar el-Assad, Arthur Sarradin s'est rendu sur place. Avec notre invité : Arthur Sarradin, journaliste, auteur de «Le Nom des ombres. Sortir de l'enfer concentrationnaire syrien», éditions du Seuil.
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A 10h, ce mardi 4 novembre 2025, les GG : Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de : Poupées sexuelles, Shein doit-il donner le nom des clients ?
durée : 00:02:18 - Bijou et le nom Bizien Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:06 - Miz du et le nom de familel Le Du Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La capitale écossaise et ses décors médiévaux ont inspiré J.K. Rowling pour la saga Harry Potter. Destination de vacances prisée par les fans, Édimbourg regorge de marches guidées et de magasins dédiés à l'univers du sorcier à lunettes. Mais depuis quelques années, l'autrice désormais milliardaire a mis sa fortune au service de l'idéologie transphobe, au point de contraindre la justice à revenir sur les droits des femmes transgenres. Le secteur du tourisme se voit forcé de s'adapter, entre demande commerciale et respect des minorités. De notre correspondante à Londres, Le château millénaire d'Édimbourg se découpe sur le ciel gris d'Écosse, à quelques centaines de mètres du cimetière de Greyfriars. Connu pour sa statue du chien Bobby, l'endroit accueille chaque année un demi-million de touristes vêtus de capes noires et d'écharpes en laine aux couleurs des maisons de l'école (fictive) de sorcellerie de Poudlard. Les pierres tombales portent des noms familiers pour les fans de la saga littéraire Harry Potter : Thomas Riddell, Scrymgeour, Moodie, McGonagall... Plusieurs fois par semaine, Christine dirige des marches guidées à travers le cimetière. « La popularité de ces tours m'étonne toujours, après toutes ces années, s'émerveille la jeune femme, vêtue d'un uniforme de velours noir et vert émeraude. Édimbourg ressemble tellement à Poudlard, c'est merveilleux pour se plonger dans l'univers de Harry Potter ! » Parmi les participants, beaucoup ont grandi avec les livres. Le montant des marches Potter Trails est libre. Et depuis quelques années, l'entreprise reverse une partie de ses profits à des ONG qui défendent les droits des personnes transgenres. « C'est une manière d'afficher clairement que nos marches accueillent tout le monde, sans distinction de genre », explique Christine. Ce qui pourrait sembler évident relève pourtant du nécessaire. Depuis quelques années, la créatrice de l'univers Harry Potter, J.K. Rowling, s'est distinguée sur les réseaux sociaux par ses positions conservatrices transphobes. Plus inquiétant, elle, à qui la marque Harry Potter rapporte chaque année plus de 50 millions de dollars, a financé le recours en justice d'une association écossaise contre des réformes. En avril dernier, elle a obtenu que la justice considère les femmes transgenres comme des hommes. Depuis, les fans s'interrogent : faut-il continuer à consommer du contenu, et donc verser de l'argent à une autrice dont l'idéologie est loin de faire consensus ? « La moralité des livres est complexe, et bien entendu loin d'être idéale, admet la guide. Mais de nombreux lecteurs, y compris ceux qui ont grandi avec Harry Potter, ont trouvé du réconfort dans le message de la série : le fait de se sentir différent et d'enfin trouver un endroit où on se sent bien, et la résistance contre la haine. C'est ce qui nous motive. » L'une des rues principales de la vieille ville d'Édimbourg, Victoria Street, possède un café qui a abrité les premières séances d'écriture de J.K. Rowling et lui aurait servi d'inspiration pour la rue commerçante des fournitures magiques, le Chemin de Traverse. Devant la boutique officielle, les fans font la queue pour acheter une baguette magique, une peluche, une écharpe. Après une demi-heure d'attente, Estelle sort du magasin, les mains vides : « J'aime relire les livres, revisionner les films... Mais je ne cautionne pas les propos de l'autrice et je ne veux plus lui verser d'argent. » Alors, la jeune Normande, vêtue d'un pull de la maison Serdaigle, s'adapte : « J'achète d'occasion, et je me suis mise au tricot pour fabriquer mon pull ! » Du côté des militants LGBTQ+, certains membres de la communauté appellent plutôt au boycott de tout ce qui touche à l'univers magique du sorcier à la cicatrice en éclair. Les associations, elles, préfèrent ne pas évoquer les positions de l'autrice pour ne pas participer à sa visibilité. Dans cette démarche, Fraser Horn a décidé de totalement repenser son offre de marches guidées dans Édimbourg. Ce jeune papa s'est lancé comme guide indépendant au début de l'année, et propose à l'époque des tours Harry Potter et des marches LGBTQ, sur les lieux importants dans l'histoire des minorités sexuelles. « Mais en avril [quand la Cour suprême a indiqué ne plus reconnaître le genre auto-déclaré], les positions de J.K. Rowling sont devenues indéfendables, et j'ai compris que ces deux marches n'avaient plus leur place sur le même flyer », explique-t-il. À l'approche du mois des Fiertés – le mois de juin, consacré à la visibilité de la communauté LGBTQ+ –, le guide décide de remplacer ses tours Harry Potter par de nouveaux horaires pour ses marches LGBTQ+, ce qui suscite un fort intérêt médiatique. « Certains ont pensé que c'était un coup de communication de ma part, mais j'ai tout de même lâché un tiers de mon activité, pour respecter mes valeurs », précise-t-il. Depuis, Fraser propose de manière permanente plus de marches LGBTQ+, où il en profite pour donner plus de visibilité aux personnalités homosexuelles et transgenres de l'histoire édimbourgeoise, celles-là même que J.K. Rowling cherche à effacer. « J'emmène mes groupes dans la cour du collège de médecine, pour leur montrer la plaque commémorative du Dr. James Barry : un homme transgenre, né dans une famille pauvre, qui est devenu l'un des meilleurs chirurgiens de la Royal Navy », raconte-t-il. La transidentité du docteur n'a été révélée qu'à sa mort, à l'indifférence de ceux qui l'avaient connu. Du côté du secteur touristique et à l'échelle de toute l'Écosse, les syndicats notent une légère baisse du tourisme liée à Harry Potter, au profit d'autres séries comme Outlander, mais se préparent à une recrudescence des séjours sur les lieux de tournage des films, avec la sortie d'une nouvelle série inspirée des livres sur HBO en 2027. À lire aussiLa Cour suprême britannique statue que la définition légale d'une femme repose sur le sexe biologique
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La capitale écossaise et ses décors médiévaux ont inspiré J.K. Rowling pour la saga Harry Potter. Destination de vacances prisée par les fans, Édimbourg regorge de marches guidées et de magasins dédiés à l'univers du sorcier à lunettes. Mais depuis quelques années, l'autrice désormais milliardaire a mis sa fortune au service de l'idéologie transphobe, au point de contraindre la justice à revenir sur les droits des femmes transgenres. Le secteur du tourisme se voit forcé de s'adapter, entre demande commerciale et respect des minorités. De notre correspondante à Londres, Le château millénaire d'Édimbourg se découpe sur le ciel gris d'Écosse, à quelques centaines de mètres du cimetière de Greyfriars. Connu pour sa statue du chien Bobby, l'endroit accueille chaque année un demi-million de touristes vêtus de capes noires et d'écharpes en laine aux couleurs des maisons de l'école (fictive) de sorcellerie de Poudlard. Les pierres tombales portent des noms familiers pour les fans de la saga littéraire Harry Potter : Thomas Riddell, Scrymgeour, Moodie, McGonagall... Plusieurs fois par semaine, Christine dirige des marches guidées à travers le cimetière. « La popularité de ces tours m'étonne toujours, après toutes ces années, s'émerveille la jeune femme, vêtue d'un uniforme de velours noir et vert émeraude. Édimbourg ressemble tellement à Poudlard, c'est merveilleux pour se plonger dans l'univers de Harry Potter ! » Parmi les participants, beaucoup ont grandi avec les livres. Le montant des marches Potter Trails est libre. Et depuis quelques années, l'entreprise reverse une partie de ses profits à des ONG qui défendent les droits des personnes transgenres. « C'est une manière d'afficher clairement que nos marches accueillent tout le monde, sans distinction de genre », explique Christine. Ce qui pourrait sembler évident relève pourtant du nécessaire. Depuis quelques années, la créatrice de l'univers Harry Potter, J.K. Rowling, s'est distinguée sur les réseaux sociaux par ses positions conservatrices transphobes. Plus inquiétant, elle, à qui la marque Harry Potter rapporte chaque année plus de 50 millions de dollars, a financé le recours en justice d'une association écossaise contre des réformes. En avril dernier, elle a obtenu que la justice considère les femmes transgenres comme des hommes. Depuis, les fans s'interrogent : faut-il continuer à consommer du contenu, et donc verser de l'argent à une autrice dont l'idéologie est loin de faire consensus ? « La moralité des livres est complexe, et bien entendu loin d'être idéale, admet la guide. Mais de nombreux lecteurs, y compris ceux qui ont grandi avec Harry Potter, ont trouvé du réconfort dans le message de la série : le fait de se sentir différent et d'enfin trouver un endroit où on se sent bien, et la résistance contre la haine. C'est ce qui nous motive. » L'une des rues principales de la vieille ville d'Édimbourg, Victoria Street, possède un café qui a abrité les premières séances d'écriture de J.K. Rowling et lui aurait servi d'inspiration pour la rue commerçante des fournitures magiques, le Chemin de Traverse. Devant la boutique officielle, les fans font la queue pour acheter une baguette magique, une peluche, une écharpe. Après une demi-heure d'attente, Estelle sort du magasin, les mains vides : « J'aime relire les livres, revisionner les films... Mais je ne cautionne pas les propos de l'autrice et je ne veux plus lui verser d'argent. » Alors, la jeune Normande, vêtue d'un pull de la maison Serdaigle, s'adapte : « J'achète d'occasion, et je me suis mise au tricot pour fabriquer mon pull ! » Du côté des militants LGBTQ+, certains membres de la communauté appellent plutôt au boycott de tout ce qui touche à l'univers magique du sorcier à la cicatrice en éclair. Les associations, elles, préfèrent ne pas évoquer les positions de l'autrice pour ne pas participer à sa visibilité. Dans cette démarche, Fraser Horn a décidé de totalement repenser son offre de marches guidées dans Édimbourg. Ce jeune papa s'est lancé comme guide indépendant au début de l'année, et propose à l'époque des tours Harry Potter et des marches LGBTQ, sur les lieux importants dans l'histoire des minorités sexuelles. « Mais en avril [quand la Cour suprême a indiqué ne plus reconnaître le genre auto-déclaré], les positions de J.K. Rowling sont devenues indéfendables, et j'ai compris que ces deux marches n'avaient plus leur place sur le même flyer », explique-t-il. À l'approche du mois des Fiertés – le mois de juin, consacré à la visibilité de la communauté LGBTQ+ –, le guide décide de remplacer ses tours Harry Potter par de nouveaux horaires pour ses marches LGBTQ+, ce qui suscite un fort intérêt médiatique. « Certains ont pensé que c'était un coup de communication de ma part, mais j'ai tout de même lâché un tiers de mon activité, pour respecter mes valeurs », précise-t-il. Depuis, Fraser propose de manière permanente plus de marches LGBTQ+, où il en profite pour donner plus de visibilité aux personnalités homosexuelles et transgenres de l'histoire édimbourgeoise, celles-là même que J.K. Rowling cherche à effacer. « J'emmène mes groupes dans la cour du collège de médecine, pour leur montrer la plaque commémorative du Dr. James Barry : un homme transgenre, né dans une famille pauvre, qui est devenu l'un des meilleurs chirurgiens de la Royal Navy », raconte-t-il. La transidentité du docteur n'a été révélée qu'à sa mort, à l'indifférence de ceux qui l'avaient connu. Du côté du secteur touristique et à l'échelle de toute l'Écosse, les syndicats notent une légère baisse du tourisme liée à Harry Potter, au profit d'autres séries comme Outlander, mais se préparent à une recrudescence des séjours sur les lieux de tournage des films, avec la sortie d'une nouvelle série inspirée des livres sur HBO en 2027. À lire aussiLa Cour suprême britannique statue que la définition légale d'une femme repose sur le sexe biologique
" Il en choisit douze auxquels il donna le nom d'Apôtres "Méditation de l'évangile (Lc 6, 12-19) par le père Joseph LeleuChant final : "Cet amour" par Paul BalocheRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici l'Évangile du mardi 28 octobre 2025 : « Il en choisit douze auxquels il donna le nom d'Apôtres » (Lc 6, 12-19) En ces jours-là, Jésus s'en alla dans la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu. Le jour venu, il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d'Apôtres : Simon, auquel il donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d'Alphée, Simon appelé le Zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître. Jésus descendit de la montagne avec eux et s'arrêta sur un terrain plat. Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Ils étaient venus l'entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu'une force sortait de lui et les guérissait tous. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Invités : - Pierre Gentillet, avocat et enseignant. - Ophélie Roque, professeure et journaliste. - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:08 - S'occuper en Vacances et le nom Le Bris Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:17 - Mercredi et le nom Corolleur Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:07 - L'automne et on revient sur le nom Le Gall Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins, 7h35 sur Chérie FM, c'est le Blind Test du Réveil Chérie ! Celui de l'équipe qui marque le plus de points gagne !
durée : 00:02:14 - Une expresison et le nom Tersiguel Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:13 - Le deuxième été indien et le nom Toulhoat Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque semaine dans l'émission, Olivier Dauvers répond aux questions des auditeurs ! Un auditeur demande si une enseigne a le droit d'inscrire la mention "Pays basque" sur son produit, sans que soit clairement indiqué s'il provient de la zone française, ou espagnole. La réponse d'Olivier Dauvers dans la question conso ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:14 - Le nom Guéguen et le nez Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:10 - Le nom Soubigou et les poires jaunes Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:54 - Journal de 7 h - Un gouvernement imaginé pour dialoguer avec le Parlement et qui se recroqueville autour de son champion Emmanuel Macron.
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durée : 00:02:10 - La lecture et le nom Louarn Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez RTL Midi avec Amandine Bégot du 03 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce jeudi 2 octobre 2025, les GG : Élina Dumont, intervenante sociale, Charles Consigny, avocat, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : "Toussaint, Pâques... faut-il laïciser le nom des vacances ?"
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque soir, Julie Hammett vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir. Ce jeudi 2 octobre, Toussaint, Pâques... faut-il laïciser le nom des vacances scolaires ?
durée : 00:02:16 - Le nom de famille Guivarc'h et les mois noirs Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - L'écrivain libanais revient au roman avec "Le Nom des rois", dans lequel il fait le récit d'une double perte ; celle du royaume de l'enfance et celle du Liban ancien. Paru en cette rentrée littéraire, il apparaît dans la première liste du Prix Goncourt. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Charif Majdalani Écrivain
durée : 00:02:20 - Les chataignes et le nom Coffec Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 24 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:05 - Le nom de famille le guillou, et le pain Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:01 - Le nom de famille Abjean et les moustiques Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:01:51 - Le placard et le nom Bouzar Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:10 - De la joie et le nom le Sauze Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:20 - De la drague et le nom Lannec Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le mot “Australie” évoque pour nous un vaste continent peuplé de kangourous, de déserts et de récifs coralliens. Mais sais-tu que ce nom vient d'un continent… qui n'a jamais existé ? La mystérieuse Terra Australis.Un continent imaginaireDès l'Antiquité, certains savants imaginent qu'il doit exister une grande masse de terres dans l'hémisphère sud, afin d'équilibrer celles déjà connues au nord. Cette idée traverse les siècles et, au Moyen Âge, les cartographes européens la reprennent : sur leurs cartes, ils dessinent une immense terre méridionale, qu'ils baptisent Terra Australis Incognita — littéralement, la “terre australe inconnue”. On la place vaguement au sud de l'océan Indien, parfois reliée à l'Antarctique, parfois décalée vers le Pacifique. Bref, c'est une hypothèse géographique devenue un mythe.L'époque des grandes découvertesÀ partir du XVe siècle, les navigateurs portugais, espagnols, puis hollandais partent explorer le monde. Leurs cartes mentionnent souvent cette Terra Australis, même si personne ne l'a jamais foulée. Et lorsque les Européens commencent à aborder les côtes de ce que nous appelons aujourd'hui l'Australie — les Hollandais au XVIIᵉ siècle, puis plus tard James Cook au XVIIIᵉ —, ils associent naturellement cette terre réelle à la légendaire masse australe de leurs cartes.Du mythe au nom officielAu départ, les Hollandais parlent de New Holland pour désigner cette région. Mais l'idée d'une terre du sud persiste. En 1814, l'explorateur britannique Matthew Flinders publie ses récits de voyage et propose officiellement le nom Australia. Pourquoi ? Parce que ce mot, déjà utilisé par certains cartographes et savants, rappelait clairement la Terra Australis tout en étant plus simple, plus moderne. Le gouverneur britannique Lachlan Macquarie adopte le terme en 1817, et à partir de 1824, il devient le nom officiel du continent.Un héritage toujours visibleAujourd'hui, le nom Australie porte donc la trace d'un mythe géographique. La “Terra Australis” n'existait pas, mais elle a donné son nom à une terre bien réelle. C'est un exemple fascinant de la manière dont les rêves et les hypothèses des savants peuvent marquer l'histoire, au point de baptiser un continent entier.ConclusionL'Australie doit son nom non pas à une réalité géographique, mais à une idée : celle d'équilibrer le monde. La “Terra Australis” était une invention, mais son héritière est bien tangible. Comme quoi, même les fictions cartographiques peuvent laisser des traces indélébiles dans notre langage et notre imaginaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:18 - Le couteau et le nom de famille Crenn Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le lundi 8 septembre et nous fêtons la nativité de la Vierge Marie.La nativité de Marie s'inscrit dans une généalogie avec bien des rebondissements ! Je demande aujourd'hui la grâce de m'émerveiller de la manière dont Dieu se prépare une place dans l'histoire de l'humanité, comme dans mon histoire... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Gospa Majka Moja + Zdravo Kraljice Mira de Sanctuaire de Medjugorje interprété par Sanctuaire de Medjugorje - Pas d'album © Creative Commons Youtube Audio Library ; Pavan - Heres paternus de Antony Holborne interprété par Jacob Heringman - The Art of the Lute Player © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
durée : 00:03:50 - La main verte - par : Alain Baraton - Alain Baraton, jardinier en chef du Domaine national de Trianon et du Grand Parc de Versailles, nous parle ce matin du le nom des salades. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:02 - Le miroir et le nom Lagadec Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:08 - La montagne et le nom de famille Bronnec Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:03 - Le nom Goapper et un bon gouter Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:13 - La semaine et le nom le Gall Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:02:13 - Labour sul et Le nom de famille Guern Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, éditorialiste, chef de service au JDD - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre planète compte 195 pays. Il est normal de ne pas savoir tous les placer sur une carte, mais, même sans connaître leur emplacement, vous avez déjà entendu le nom de bon nombre d'entre eux. Se pencher sur l'étymologie du nom d'un pays peut être une véritable mine d'or pour en apprendre plus sur sa culture, ses mythes, son histoire et plus généralement tout ce qui a participé à créer son identité. Selon un article du Monde, les racines étymologiques du nom d'un pays peuvent être classifié en quatre catégories. La plus commune est la géographie, le nom du pays peut être lié à un cours d'eau, une forêt, un emplacement ou encore des animaux spécifiques à cette région. Comment les noms des pays sont-ils décidés ? Un pays peut-il changer de nom ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Date de première diffusion : 02/07/2024 À écouter aussi : A quoi servent vraiment les moustiques ? Rachida Dati : comment reconnaître un conflit d'intérêt ? Qu'est-ce que l'autisme virtuel ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices