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Risque de tornades et d’orages violents dans le sud du Québec. Miracle dans le cas de la jeune Claire Bell, mais plusieurs questions subsistent. Fiasco SAAQclic : le bureau du PM éclaboussé. Iran-Israël : en attente des États-Unis, la tension monte. Plus de transparence dans le transport aérien, réclame le bureau de la concurrence. Montréal doit doubler sa productivité pour adresser la crise du logement. La police anglaise a dû faire une demande aux fans d’un festival… Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Moranville Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
8 ans après le coup de tonnerre de ce qu'on a appelé le Pénélopegate, l'ancien Premier Ministre français François Fillon, connait maintenant sa peine définitive. Il a été condamné hier en appel, à quatre ans de prison, à 375.000 euros d'amende et à cinq années d'inéligibilité. Il évite donc la prison ferme. Cette affaire qui a éclaté en pleine élection présidentielle en 2017, reste un grand mystère.
L'invité de 7h50. Ce mardi, Martin Buxant reçoit Maxime Prévot. Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, il vient nous voir avant une commission parlementaire déterminant où la contribution belge à l'Otan doit être décidée.
Emmanuel Macron se rend en visite officielle au Groenland ce dimanche. Ce territoire autonome du Danemark est convoité par Donald Trump qui a répété qu'il voulait s'en emparer. Le président français annonce s'y rendre pour éviter toute « prédation » et toute « menace » et pour « être en solidarité avec le Premier ministre groenlandais », Jens-Frederik Nielsen. Celui-ci, arrivé au pouvoir en mars, doit veiller à maintenir l'unité de l'île face aux pressions extérieures. Avant de conduire son parti Demokraatit à la victoire, en mars, Jens-Frederik Nielsen était déjà, à maintes reprises, monté sur la première marche du podium, mais dans une tout autre catégorie. Avant de devenir chef de gouvernement, il était surtout connu des Groenlandais pour ses performances au badminton. Membre de l'équipe nationale, il a remporté le championnat à plusieurs reprises. « C'est un très bon joueur. Il est très talentueux en sport. Il est très bon au handball, très bon au foot », raconte son ami d'enfance Hans Brummerstedt, qui a, lui aussi, pratiqué le badminton dans le même club. Pour le jeune homme, qui vit depuis six ans au Danemark et qui s'excuse par avance pour son impartialité, « Jens-Frederik Nielsen est la meilleure personne pour diriger le Groenland aujourd'hui », louant ses qualités de « concentration » et de « persévérance ». Le jeune dirigeant aux yeux rieurs pratique aussi la chasse aux rennes et aime se promener dans la nature en famille. Il élève trois enfants avec sa compagne à Nuuk, la capitale. Il joue aussi du soft rock sur sa guitare lors d'événements de son parti. « Il est très charmant, affable. Il est peut-être jeune, mais il a eu l'expérience d'un rôle ministériel important dans un passé récent », affirme Dwayne Ryan Menezes, directeur du groupe de réflexion britannique Polar Research and Policy Initiative. Le Groenland n'est pas à vendre Avant d'accéder au poste de chef du gouvernement, Jens-Frederik Nielsen a été ministre du Travail et des Ressources minérales à 28 ans. Un an plus tard, il prenait les rênes du parti social libéral Demokraatit. Son ascension politique a été rapide. Étudiant en sciences sociales, il est repéré par la cheffe du parti de l'époque, Nivi Olsen, séduite par ses écrits sur les réseaux sociaux, comme elle l'a raconté sur le site de KNR, la radio publique nationale du Groenland. Lorsqu'elle est nommée ministre, elle en fait son secrétaire. Il n'a alors que 22 ans. À moins de 30 ans, il accède à la tête du parti social libéral, arrivé premier des élections législatives en mars. À seulement 33 ans, il est le plus jeune Premier ministre du monde, avec de nombreux dossiers à traiter, dont le plus sensible : le statut de l'île, territoire danois autonome de quelque 57 000 habitants, convoité par Donald Trump. « We need Greenland » (« Nous avons besoin du Groenland »), répète à l'envi le président américain. Face à ces velléités, Jens-Frederik Nielsen affiche la fermeté : « le Groenland ne fera jamais partie des États-Unis, nous ne serons jamais à vendre et nous ne serons jamais Américains. Nous ne voulons pas non plus être Danois à l'avenir, nous voulons être indépendants, mais pour l'instant, nous faisons partie du Royaume du Danemark et c'est ainsi ». Si l'indépendance du Groenland est l'objectif final pour tous les partis politiques du territoire, les moyens d'y parvenir et le calendrier différent. Personne n'envisage sérieusement un rattachement aux États-Unis. Le parti Demokraatit est favorable à une indépendance, à terme, du Groenland, qui possède un statut d'autonomie renforcée au sein du Royaume du Danemark. « Jens-Frederik Nielsen a opéré un changement en pivotant vers le Danemark et l'Europe », souligne le Dr Dwayne Ryan Menezes. « Le gouvernement précédent ne ressentait pas tellement le besoin de discuter des relations entre le Groenland et le Danemark. En l'absence de l'éléphant américain dans la pièce, les problèmes essentiels étaient les griefs du Groenland à l'égard du Danemark. Et soyons honnêtes, ils étaient légitimes. Mais avec le gouvernement Nielsen, il y a eu un renforcement des liens avec le Danemark. Parce que, sur fond de menace Trump, il prend conscience que le statu quo n'est peut-être pas si terrible que cela », complète le spécialiste. C'est d'ailleurs aux côtés de la Première ministre danois Mette Frederiksen que Jens-Frederik Nielsen accueillera Emmanuel Macron dimanche. Large gouvernement de coalition Face aux provocations américaines, le Premier ministre groenlandais a formé un large gouvernement de coalition, sans précédent dans l'ile arctique, composé de quatre des cinq partis élus, en plus de Demokratit, Siumut, IA et Atassut. Seuls les ultranationalistes de Naleraq n'en sont pas. Dans l'accord signé le 28 mars 2025, plusieurs priorités ont été définies, parmi lesquelles, la nécessité de stimuler le secteur privé et d'assainir les finances publiques pour aboutir à une réduction de la dépendance aux subventions danoises. Autre objectif : développer une coopération pragmatique et plus équitable avec le Danemark, tout en se préparant à une gouvernance future indépendante. Enfin, les membres de la coalition ont promis de maintenir une position collective pour répondre à la pression américaine et d'afficher un front uni pour protéger la souveraineté groenlandaise. « La menace extérieure posée par Donald Trump a permis aux quatre partis qui étaient traditionnellement opposés l'un à l'autre et occasionnellement en coalition l'un avec l'autre, de s'unir dans une coalition unique », analyse Dwayne Ryan Menezes, tout en prévenant : « c'est une chose de parvenir à former une coalition, mais la maintenir, c'en est une autre ». À lire aussiAu Groenland, le débat sur l'indépendance relancé par l'offensive de Donald Trump
durée : 00:09:41 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Ehud Olmert, ancien Premier ministre d'Israël de 2006 à 2009, était l'invité de Sonia Devillers ce mardi. Il dénonce la politique de Benyamin Netanyahou, qui mène selon lui une "guerre à des fins personnelles" à Gaza, "et ça c'est un crime".
En RD Congo, où se trouve l'ancien Premier ministre Matata Ponyo ? Son parti politique affirme qu'il a disparu au lendemain de sa condamnation à 10 ans de travaux forcés pour détournement de fonds.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 28/05/2025, il revient sur l'intention du Premier ministre François Bayrou de demander "un effort à tous les Français" pour redresser les finances publiques. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinier analyse en détail la problématique des coûts exorbitants des transports sanitaires en France. Elle explique que les règles de remboursement sont trop généreuses, avec près de 93% des dépenses prises en charge par l'Assurance maladie, contre seulement 65% pour les consultations médicales. Des solutions simples sont proposées, comme la suppression du remboursement de la franchise de 4 euros par transport ou la limitation du remboursement à 100% aux seuls patients en oncologie ou sous dialyse. L'objectif est de maîtriser cette explosion des dépenses, estimée à plus de 6 milliards d'euros par an.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les signataires d'une tribune au Mali pour « la sauvegarde des libertés et des droits fondamentaux » et sur le rapport commandé par l'Etat français sur l'influence des Frères musulmans. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. RDC : l'opposant et ex-Premier ministre Matata Ponyo condamné La Cour constitutionnelle a condamné l'opposant et ancien Premier ministre Matata Ponyo à 10 ans de travaux forcés pour détournement de fonds. Sur quoi se basent les avocats de la défense pour dénoncer un procès politique ? Matata Ponyo bénéficie encore de son immunité de député, sa peine sera-t-elle immédiatement appliquée, ou doit-on attendre la fin de son mandat ?Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI Mali : une tribune « pour la préservation de la République » Près de trente personnalités ont signé une tribune pour « la sauvegarde des libertés et des droits fondamentaux » au Mali. Que sait-on des signataires ? Ont-ils un projet politique ? La junte militaire ayant dissous tous les partis politiques et interdit leurs activités, que risquent ces personnes ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI France : ce que dénonce le rapport sur les Frères musulmans Le rapport sur les Frères musulmans en France alerte sur une «menace pour la cohésion nationale». Sur quels éléments s'appuie ce document pour dénoncer l'influence croissante des Frères musulmans ? Le mouvement pourrait-il être classé " «organisation terroriste» sur le sol français comme c'est déjà le cas dans plusieurs pays? Avec Vincent Geisser, chargé de recherche (CNRS) à l'Institut de recherches et d'études sur les mondes arabes et musulmans (IREMAM-AMU) d'Aix-en-Provence Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, Jessica revient sur la façon dont, à chacune de ses apparitions publiques, le président camerounais Paul Biya est scruté par les internautes.
Au Portugal, après les législatives anticipées du 18 mai, l'actuel Premier ministre Luis Montenegro doit prendre la tête d'un gouvernement minoritaire. Si son Alliance démocratique de centre-droit est arrivée en tête, elle n'atteint toujours pas la majorité absolue et va devoir composer avec un paysage politique chamboulé, où les socialistes sont en net recul et l'extrême droite bat des records. « Non, c'est non ». Luis Montenegro a martelé ce slogan à chaque fois qu'il était interrogé sur la question d'une éventuelle alliance avec le parti ultranationaliste Chega. Mais après le résultat obtenu par cette formation (58 députés, autant que le Parti socialiste, mais quatre sièges des circonscriptions de l'étranger n'ont pas encore été pourvus), ce « non » pourrait être plus nuancé. Dans un contexte où l'Alliance démocratique se retrouve sans majorité absolue au Parlement, « cette position de principe peut souffrir quelques aménagements cosmétiques », avance Yves Leonard, historien et politologue, spécialiste de l'histoire contemporaine du Portugal.La formation d'André Ventura, grand admirateur de Donald Trump, a franchi pour la première fois la barre des 20% et est en passe de devenir le premier parti d'opposition. Au sein même du Parti social-démocrate de Luis Montenegro, certains plaident pour une stratégie qui consiste à s'assurer du soutien sans participation de Chega au gouvernement. « Il y a effectivement une nuance qui se met en place parce que les alternatives pour le Premier ministre sortant ne sont pas simples et toutes désirables », souligne Yves Leonard.Jusqu'à présent, le Premier ministre sortant, à la tête d'un gouvernement minoritaire, s'est assuré de soutiens au cas par cas pour faire passer des textes de loi au Parlement. Le président Marcelo Rebelo de Sousa, qui a entamé les consultations avec les chefs des partis politiques, a déjà prévenu qu'il prendrait son temps pour s'assurer de la viabilité du prochain exécutif et de sa capacité à faire adopter son programme.Messages aux électeurs d'extrême droiteSans attendre le résultat de ce scrutin anticipé, Luis Montenegro a donné des signaux forts aux électeurs de Chega, sur les thèmes de la sécurité et de l'immigration, chères à l'extrême droite. Début mai, il a largement médiatisé l'annonce de l'expulsion prochaine de 14 000 personnes en situation irrégulière. « La droite modérée portugaise a eu, à peu près, la même stratégie que la droite et le centre-droit européen vis-à-vis du défi de la droite radicale », analyse Antonio Costa Pinto, professeur de sciences politiques à l'université de Lisbonne, relevant que le PSD sous la direction de Luis Montenegro avait adopté une position plus dure vis-à-vis de l'immigration, plaçant le parti un peu plus à droite, sur fond de défi lancé par la popularité grandissante de Chega.« Luis Montenegro est un politicien mainstream de centre-droit, mais qui, vis à vis du défi de la droite radicale, ne va pas hésiter à faire des concessions », pronostique le politologue portugais. Le chef du parti social-démocrate de 52 ans, présenté comme discret, sans charisme, mais obstiné, a appelé, au soir de l'élection, à « dialoguer et faire passer l'intérêt national au-dessus de tout ».Avocat de formation, l'homme à la carrure solide, aux yeux verts et à la fossette au milieu du menton, a longtemps été voué aux seconds rôles au sein du parti. Ce passionné de football a aussi été maître-nageur dans la station balnéaire d'Espinho, où il a grandi et vit encore avec son épouse et leurs deux enfants. Par deux fois, il s'est présenté à la mairie, mais a échoué face au candidat socialiste. Conseiller municipal à 24 ans, élu député cinq ans plus tard, ce conservateur pragmatique de culture libérale et entrepreneuriale, a essuyé plusieurs échecs avant de prendre les rênes du PSD en 2022 et de devenir Premier ministre à la tête d'un gouvernement minoritaire deux ans plus tard.« Onction du suffrage »À la suite de révélations par la presse d'une affaire de possibles conflits d'intérêt autour de contrats publics accordés à des entreprises liées à sa famille, il a perdu une motion de confiance au Parlement et a décidé de démissionner. En dépit du scandale, Luis Montenegro a réussi son pari. Il sort vainqueur de ce scrutin, obtenant une majorité plus large, mais toujours pas absolue. « Le facteur éthique n'a pas joué un rôle important. Son problème personnel n'a pas beaucoup intéressé la société portugaise », note Antonio Costa Pinto.« En sciences politiques, on sait que toutes ces questions d'affaires, de conflits, d'intérêts, et de corruption, ne pénalisent pas forcément leurs auteurs lors des élections. La liste est longue, à commencer par Donald Trump », note Yves Léonard. « Non seulement il n'est pas sanctionné pour cette affaire-là, mais les électeurs lui ont majoritairement donné quitus, permettant à son parti d'obtenir une majorité un peu plus large, un peu plus confortable. Comme c'est souvent le cas, l'onction du suffrage l'immunise d'une certaine manière », complète le politologue.Cette affaire restera quand même une épine dans le pied de Luis Montenegro, que l'opposition et en particulier, l'extrême droite de Chega ne se privera pas d'utiliser. Dans cette période de fortes turbulences et d'incertitudes sur la scène politique portugaise, qui connaitra des élections municipales en septembre et présidentielle en janvier, le Premier ministre ne peut qu'être certain d'une seule chose : il ne pourra pas y avoir d'élections législatives avant mai 2026. Le Portugal vient d'en connaître trois en trois ans.
A Gaza, Israël a décidé de lancer une nouvelle offensive terrestre. Une opération qui fait craindre un nettoyage ethnique de l'enclave palestinienne déjà plongée dans une situation humanitaire catastrophique. L'aide humanitaire, justement, rentre de nouveau au compte-goutte après plus de deux mois de blocage mais reste largement insuffisante. Face aux agissements du Premier Ministre israélien, Binyamin Netanyahou, la France, le Royaume-Uni et le Canada menacent de sanctionner son gouvernement. Même Donald Trump semble prendre ses distances. Et en Belgique, qu'en est-il ? Comment se positionne le gouvernement fédéral et qu'a-t-il décidé ? Réponse avec Pauline Hofmann, journaliste au pôle international. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
A Gaza, Israël a décidé de lancer une nouvelle offensive terrestre. Une opération qui fait craindre un nettoyage ethnique de l'enclave palestinienne déjà plongée dans une situation humanitaire catastrophique. L'aide humanitaire, justement, rentre de nouveau au compte-goutte après plus de deux mois de blocage mais reste largement insuffisante. Face aux agissements du Premier Ministre israélien, Binyamin Netanyahou, la France, le Royaume-Uni et le Canada menacent de sanctionner son gouvernement. Même Donald Trump semble prendre ses distances. Et en Belgique, qu'en est-il ? Comment se positionne le gouvernement fédéral et qu'a-t-il décidé ?Réponse avec Pauline Hofmann, journaliste au pôle international.
durée : 00:04:52 - À la source - par : Mattéo Caranta - Au-delà des bons mots et des faux pas, l'audition du Premier Ministre devant les députés a mis en lumière le dispositif de la commission d'enquête lui-même, comme un espace où se jauge le rapport de force entre l'assemblée et le gouvernement. Une tension à la source des commissions d'enquêtes...
C'était la semaine des grands oraux pour les deux têtes de l'exécutif : mardi, Emmanuel Macron était en prime time sur TF1 pour balayer l'actualité internationale, et surtout nationale, et tenter de reconquérir les Français. Le lendemain, son Premier ministre, François Bayrou était auditionné par une Commission d'enquête parlementaire sur le scandale de l'affaire Bétharram. Dans les deux cas, les réactions sont mitigées.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il s'intéresse à la commission d'enquête parlementaire qui a entendu François Bayrou pendant plusieurs heures sur l'affaire Bétharram. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils revinnent sur l'audition de François Bayrou lors de la commission d'enquête Bétharram.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
100 jours que le gouvernement Arizona a été mis sur pied, 100 jours que Bart de Wever est Premier ministre. Un peu plus de 3 mois pour lancer des réformes, pour mesurer la vigueur de l'opposition mais pour ne pas trop communiquer.Que retenir de ces 100 premiers jours ? Y'a-t-il déjà des points de bascule ? On va voir ça avec Bernard Demonty et Alexandre Noppe du pôle Pouvoirs« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
François Bayrou va-t-il consulter les Français par le biais d'un référendum, comme il l'a évoqué il y a quelques jours ? Pour Martin, la réponse est oui, et c'est maintenant
François Bayrou va-t-il consulter les Français par le biais d'un référendum, comme il l'a évoqué il y a quelques jours ? Pour Martin, la réponse est oui, et c'est maintenant
« François Bayrou au pied du mur de l'affaire Bétharram », titre le Parisien-Dimanche. « Le Premier ministre a préparé en cercle restreint un rendez-vous crucial : son audition, mercredi, par la Commission d'enquête sur les violences dans les établissements scolaires. L'enjeu est considérable », remarque le journal.Bétharram, c'est cette école privée catholique qui fait face à de nombreuses plaintes et accusations pour violences et agressions sexuelles à partir des années 1980 et 1990. Le Parisien-Dimanche rappelle le contexte : « François Bayrou était ministre de l'Éducation nationale entre 1993 et 1997 et parent d'élèves scolarisés dans cet établissement où son épouse enseignait le catéchisme. Il aura d'autant moins le droit à l'erreur qu'il s'exprimera sous serment ». Le Nouvel Obs, qui consacre sa Une à l'affaire Bétharram et au Premier ministre, dit la même chose, mais plus crûment : ce sera pour François Bayrou, « l'occasion de livrer ses vérités. Espérons qu'il ait la décence de la saisir, alors qu'il s'est jusqu'ici enferré dans le déni et le mensonge ». « Le 11 février, à l'Assemblée nationale, rappelle le Parisien-Dimanche, François Bayrou a d'abord nié en bloc, assurant n'être au courant de rien, avant de changer de version par la suite. » Les plaintes s'accumulentLe Nouvel Obs, de son côté, a décidé d'élargir le sujet. Pour l'hebdomadaire, « l'affaire Bétharram est une bombe à fragmentation ». Elle nous oblige, nous dit-on, « à regarder en face le caractère endémique des violences faites aux enfants, dans les familles, mais pas seulement »car « l'école n'est pas toujours un sanctuaire pour nos enfants ».Et le Nouvel Obs dresse ce constat : « l'enseignement catholique est au cœur des dernières révélations. Pratiques déviantes, faiblesse des contrôles de l'état, voire protection de l'institution par des élites qui en sont souvent issues ». L'hebdomadaire parle donc de « bombe à fragmentation » et précise encore que « depuis février, de nouveaux cas d'établissements déviants apparaissent chaque semaine, des plaintes s'accumulent – pas moins de 200 pour Bétharram – et des affaires tues pendant des décennies font la Une des journaux. » « Aucun responsable politique local ne décroche son téléphone »De son côté, la Tribune-Dimanche a rencontré l'une des victimes de Bétharram, leur porte-parole Alain Esquerre. Il est l'auteur du livre Le Silence de Bétharram et il est, nous dit le journal, « le visage de tous ceux qui ont souffert dans ce qui s'apparente aujourd'hui à l'un des plus grands scandales de pédophilie de l'histoire de l'éducation française ». C'est lui qui a recueilli sur un groupe Facebook des dizaines de témoignages.« Aux appels d'anciens élèves, raconte la Tribune-Dimanche, succèdent ceux de la presse régionale qui commence à relater le scandale. Dans les familles, chacun découvre ce que son père, son frère, son mari a vécu dans son enfance », sans avoir jamais osé le raconter. Malgré ces témoignages, « aucun responsable politique local, tous bords politiques confondus, ne décroche son téléphone ». « On est seul, tout le monde s'en fout », constate Alain Esquerre, jusqu'à ce que le premier ministre lui-même décroche son téléphone. « Je le sens dépassé », dit-il. « Il est sincère, mais il est le reflet d'une époque qui ne comprend pas (…) Pour lui, c'est une histoire de gifles et de punitions qui ne font pas de mal aux enfants ».Des « creuseurs » des mines payés 5 dollars par jour en RDCDans la presse hebdomadaire également cette semaine, un long reportage du Point sur la République démocratique du Congo, plus précisément dans le Nord-Kivu, où les envoyés spéciaux du magazine Guillaume Perrier et Vivien Latour ont rencontré des « creuseurs » des mines de Rubaya. « Sommairement équipés, ils descendent en escalier, armés de pioches, ils font ensuite remonter le sable et le minerai en se passant des sacs de main en main. Les visages sont juvéniles (…) les éboulements sont leur hantise. » Un travail harassant « payé 5 dollars par jour ».La région est riche en minerai et notamment en coltan, et elle est depuis longtemps la cible de nombreuses convoitises, qui se concrétisent par des affrontements armés. « Le président de la RDC, Félix Tshisékédi, rappelle le Point, accuse le M23 de chercher à s'approprier les ressources du Kivu : 150 tonnes de coltan seraient, selon lui, détournées vers le Rwanda chaque mois. Kigali dément ».Calme relatifÀ Goma, le Point a rencontré Corneille Nangaa, le chef de l'Alliance Fleuve Congo, coalition formée autour du M23. « Il incarne le nouveau pouvoir », explique le magazine. Et lui aussi accuse : « Il avait acquis des titres miniers sur le gisement d'or de Zani-Kodo, en Ituri. Des proches du président Tshisekedi l'en auraient spolié après 2021 », explique le Point, qui décrit ainsi la situation depuis la fin des combats : « Goma reprend vie. Le port sur le lac Kivu retrouve son agitation vespérale (…) mais les combats de la fin janvier ont laissé des traces. Les violences ont fait entre 3 000 et 8 000 morts, selon les estimations. »Et la sérénité n'est pas vraiment à l'ordre du jour. Certains habitants se plaignent d'être « rackettés par des membres de l'armée gouvernementale en civil ». « La guerre n'est pas terminée », regrette l'un de ces habitants.
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente l'affrontement qui a lieu entre les médecins et le gouvernement Legault. Le ministre de la Santé, Christian Dubé, déposera jeudi un projet de loi qui forcera les médecins à prendre plus de Québécois en charge. «Le premier ministre a décidé de jeter les gants [...] Je suis un peu tanné de cette partie de ping-pong entre les médecins et le gouvernement. Je comprends qu'il y a une négociation, mais sérieux ça fait dur. On vous regarde aller et ce n'est pas très encourageant de voir qu'on ne trouve pas de terrain d'entente. Je comprends qu'il y a beaucoup d'argent en jeu, mais quand même.» Autres sujets abordés ⦁ Tarifs douaniers: Donald Trump s'entend avec les Britanniques;⦁ SAAQclic est toujours en panne;⦁ Le Québec et son parc jurassique d’infrastructures.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Victoire du Parti Travailliste : Quelles promesses pour le pays ?
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle-Dago Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
(RadioPirate LIVE édition du 2 MAI 2025 avec Jeff, Gerry et MisterWhite. 0min00 - Jeff parle du retour du vouvoiement à l'école, du cirque à l'assemblée nationale et fait le tour des autres nouvelles qui ont marqué les dernières heures dans les RadioPirate News. 29min33- Gerry présente sa Boîte à Pizza, un podcast regroupant les nouvelles les plus éclatées de la semaine! Avec Jeff et MisterWhite aux réactions et commentaires. 55min20 - En compagnie de Jeff et Gerry, Jérome Blanchet-Gravel, rédacteur en chef de Libre-Média.com, s'est penché sur la nature de la population canadienne et québécoise suite à la surprenante élection de Mark Carney comme Premier Ministre du pays cette semaine. 1h31min07 - Alex Vallières dévoile les récentes Techno News qui ont marqué son univers de Geek des derniers jours avec Jeff et Gerry. (Pour une ceinture qui traversera le temps, Alex peut te faire ça : Legacy Goods Co. ) [Geek] L'écoute de podcast en accéléré, 2x, 3x, etc [IA] L'arrivée des robots humanoïdes sur la productivité et leur impacts Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:19:54 - Journal de 12h30 - Au Canada, la victoire aux élections législatives du Premier ministre sortant Mark Carney et de son parti libéral. Un résultat inespéré pour cet illustre inconnu devenu l'homme providentiel. Et qui s'explique en très grande partie, par les coups de boutoir d'un certain Donald Trump. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:54 - Journal de 12h30 - Au Canada, la victoire aux élections législatives du Premier ministre sortant Mark Carney et de son parti libéral. Un résultat inespéré pour cet illustre inconnu devenu l'homme providentiel. Et qui s'explique en très grande partie, par les coups de boutoir d'un certain Donald Trump. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
Rarement des élections législatives ont suscité autant d'intérêt au Canada…Aujourd'hui lundi 28 avril, les Canadiens sont appelés à élire leurs députés, et donc leur Premier Ministre, alors que le pays est bousculé par Donald Trump.Le président américain a instauré des droits de douane et mis en avant sa volonté de faire du Canada le 51e Etat des Etats-Unis. Un choc qui a rebattu les cartes électorales, jusqu'au Québec.Deux hommes s'affrontent pour faire face à la crise L'actuel Premier Ministre libéral Mark Carney, successeur de l'emblématique Justin Trudeau depuis mars, tente de conserver son poste et sa ligne dure face à Donald Trump. En face, le conservateur Pierre Poilievre, favori jusqu'à l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, espère lui ravir la place.Réalisation : Maxime MametInvitée : Marion Thibaut, directrice du bureau de l'AFP à MontréalCrédit extrait : Parti libéral du CanadaSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:38 - Journal de 7 h - Les élections législatives au Canada ont lieu ce lundi, la campagne aura été dominée par les enjeux douaniers et les déclarations de Donald Trump sur l'annexion du pays.
durée : 00:14:38 - Journal de 7 h - Les élections législatives au Canada ont lieu ce lundi, la campagne aura été dominée par les enjeux douaniers et les déclarations de Donald Trump sur l'annexion du pays.
durée : 00:26:29 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Hélène Perlant, fille de François Bayrou, témoigne ce jeudi sur France Inter des violences qu'elle a subies adolescente et du "silence" avant que n'éclate le scandale de Bétharram. Elle l'évoque dans le livre d'Alain Esquerre, porte-parole de l'association des victimes, "Le silence de Bétharram".
durée : 00:26:29 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Hélène Perlant, fille de François Bayrou, témoigne ce jeudi sur France Inter des violences qu'elle a subies adolescente et du "silence" avant que n'éclate le scandale de Bétharram. Elle l'évoque dans le livre d'Alain Esquerre, porte-parole de l'association des victimes, "Le silence de Bétharram".
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez RTL Petit Matin avec Thomas Despré du 26 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:20 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - En limogeant un troisième Premier ministre depuis le début de son mandat vendredi dernier, Kaïs Saïed poursuit une série d'évictions au sein de son propre camp. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Audrey Pluta Doctorante en sciences politiques à Sciences Po Aix
Alexandre Lemaire analyse les défis du gouvernement, notamment le financement des retraites. Malgré les efforts du Premier ministre, il estime difficile de revenir sur l'âge de départ à 64 ans, jugé nécessaire pour la pérennité du système. Il propose de répartir le temps de travail différemment et de considérer la pénibilité des métiers.Il qualifie la réforme des retraites de "réforme maudite" en raison des tensions qu'elle suscite, mais appelle à une approche responsable. Il aborde également l'appel d'Éric Lombard aux investisseurs privés pour financer le réarmement face à la menace russe, visant à recapitaliser l'industrie de la défense française.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Canada va-t-il devenir le 28e Etat de l'Union européenne ?Si la question peut prêter à sourire pour des raisons géographiques évidentes, le Canada s'éloigne politiquement de son grand voisin américain, pour se rapprocher des démocraties du Vieux Continent.Lundi 17 mars, la visite de Mark Carney a été un signal fort: pour ses premiers déplacements à l'étranger, le nouveau Premier Ministre canadien a choisi la France et le Royaume-Uni, rompant avec une tradition qui aurait voulu qu'il se rende plutôt à la Maison Blanche.Mais Donald Trump est un repoussoir. Le président américain a manifesté son intention de faire du Canada le 51e Etat des Etats-Unis et a mis en place une hausse des droits de douane, qui peuvent atteindre 25% sur certains produits canadiens. Alors Mark Carney se tourne vers l'Europe.Réalisation : Maxime Mamet.Invités : Delphine Touitou, journaliste de l'AFP, chargée de la diplomatie à Paris; Anne-Marie Provost, journaliste au bureau de l'AFP à Montréal; Philippe Bourbeau, professeur à HEC Montréal et co-directeur de l'Institut international de diplomatie économique.Doublage : Diane Falconer et Nicolas Kienast.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Situation institutionnelle inédite sous la Cinquième République. La droite ayant remporté les élections législatives, François Mitterrand doit nommer un premier ministre de l'autre bord politique, il choisit Jacques Chirac. Ecoutez Les pépites RTL avec Jérôme Florin du 20 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, à 6h45, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique de Matthieu Belliard
Gabriel Attal a une carrière à en faire pâlir plus d'un.e et pourtant il n'a encore que 35ans. Ministre, député, porte-parole du gouvernement et bien sur plus jeune Premier Ministre de la Vème République. Alors nous le connaissons courageux, déterminé, travailleur et droit, mais que savons nous de sa vie. De son enfance, de son éducation, de la relation privilégiée qu'il entretenait avec son père ou encore de sa définition de ce que c'est que d'être un homme... Que savons nous de ses envies d'être utile, utile à son pays avant toute autre ambition. Et puis de son sentiment quelques mois après la dissolution de l'Assemblée. Ou encore de cette loyauté qui ne le quitte pas et de ses souhaits pour l'avenir et pour l'Ukraine.Enfin, en cette Journée internationale des droits des femmes nous avons évidemment parlé des inégalités qui persistent entre les femmes et les hommes, mais aussi bien sur, des violences dont les femmes et les enfants sont encore et toujours trop souvent victimes dans notre pays. Des mesures adoptées et des propositions de loi.Voilà tout cela et bien plus encore c'est à découvrir dans ce nouvel épisode de Tant qu'il y aura des hommes, à la hauteur je l'espère de la fonction !Un premier ministre dans "Tant qu'il y aura des hommes", avouez que ça a de l'allure !Générique composé par le génial Jean Thévenin.
Lundi 24 février, le Premier ministre François Bayrou était au Salon de l'agriculture. Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 25 février 2025.
Ce dimanche 23 février ont eu lieu les élections législatives en Allemagne, dont les conservateurs du parti CDU sont arrivés en tête. Mais pourquoi donc les allemands ont-ils un chancelier et non un Premier ministre à la tête de leur gouvernement ? Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête.
durée : 00:10:29 - Journal de 18h - Le premier ministre François Bayrou était à Pau ce samedi pour rencontrer le collectif des victimes de Notre-Dame de Bétharram. Il a tenté d'apporter des réponses, tout en se dédouanant.
Aujourd'hui, Frédéric Farah, Marie-Sophie Bufarull et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
durée : 00:05:23 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les manifestations, menées par les étudiants, durent depuis début novembre.