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durée : 02:29:54 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 30 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:12:00 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Hier, Donald Trump a reçu le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou pour s'accorder sur un plan de paix pour Gaza. Après deux ans de guerre, que laisse présager ce plan pour l'avenir de la Palestine et d'Israël ? Nous recevons pour en parler l'ancien Premier ministre israélien Ehud Olmert. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Ehud Olmert ancien premier ministre israélien
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On a vu Tony Blair participer à une réunion avec Donald Trump, au sujet de Gaza, qui s'est tenue à la Maison Blanche le 27 août dernier. Le profil de Tony Blair aurait été propulsé par Jared Kushner, le gendre de Donald Trump, et par son actuel envoyé spécial pour le Moyen-Orient, l'omniprésent Steve Witkoff. A 72 ans, l'ancien Prime minister est prêt à assumer des responsabilités Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après 20 jours sans gouvernement, le premier ministre recevait hier certains chefs de partis
Après 20 jours sans gouvernement, le premier ministre recevait hier certains chefs de partis
L'émission 28 minutes du 29/09/2025 Le romancier du réel qui raconte le quotidien éprouvant des surveillants de prisonUne dizaine de surveillants et de surveillantes pour des centaines de prisonniers, une prison française surpeuplée, un système carcéral au bord du gouffre et, au milieu de tout cela, un écrivain pour en décrire les rouages. Guillaume Poix, nous raconte dans son dernier roman, "Perpétuité" (éditions Gallimard), les innombrables nuits, ordinaires et extraordinaires, de ces "prolétaires de la sécurité" que sont les surveillants de prison. L'auteur s'est plongé pendant trois ans dans le quotidien d'une maison d'arrêt du sud de la France avec un objectif précis en tête : comprendre le travail de ces hommes et femmes souvent oubliés et dévalorisés. Pendant les 12 heures du service nocturne, Guillaume Poix suit les pas des geôliers dans les miradors, les coursives et rondes, dans un monde complexe fait de solidarité, de comportements parfois violents, mais aussi d'attention et de soins à l'égard des détenus. Un Premier ministre faible et sous tutelle : la France est-elle en train de changer de régime ?Nommé le 9 septembre dernier par Emmanuel Macron, Sébastien Lecornu détient le record du Premier ministre qui aura mis le plus de temps à choisir un gouvernement. L'ancien ministre des Armées est déjà sous la menace d'une motion de censure brandie par la gauche, ainsi qu'une poursuite du mouvement social avec une prochaine date de manifestation prévue le 2 octobre. Par ailleurs, Sébastien Lecornu n'a que jusqu'au 13 octobre pour déposer son projet de loi de finances à l'Assemblée. Dans une interview publiée par Le Parisien, vendredi 26 septembre, le Premier ministre ne semble pas changer de cap sur la suppression de la réforme des retraites, sur la taxe Zucman ou encore l'ISF. Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, a quant à elle fait savoir qu'elle attendrait le discours de politique générale du Premier ministre avant de se prononcer. La motion de censure qui devrait être déposée ce mercredi 1er octobre s'avère, pour le moment, arithmétiquement impossible à adopter. Pour autant, le nouvel hôte de Matignon se considère comme un "Premier ministre faible", avec un gouvernement "sous tutelle du Parlement". Cet aveu de faiblesse est-il le signe d'un changement de régime sans passer par un changement de Constitution ?Enfin, Xavier Mauduit nous emmène à Arras où un Néerlandais décroche le titre de champion du monde de la frite. Marie Bonnisseau revient, quant à elle, sur ces chasseurs à l'arc appelés pour réguler, en sécurité, des populations d'animaux en zone périurbaine. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 29/09/2025 Un Premier ministre faible et sous tutelle : la France est-elle en train de changer de régime ?Nommé le 9 septembre dernier par Emmanuel Macron, Sébastien Lecornu détient le record du Premier ministre qui aura mis le plus de temps à choisir un gouvernement. L'ancien ministre des Armées est déjà sous la menace d'une motion de censure brandie par la gauche, ainsi qu'une poursuite du mouvement social avec une prochaine date de manifestation prévue le 2 octobre. Par ailleurs, Sébastien Lecornu n'a que jusqu'au 13 octobre pour déposer son projet de loi de finances à l'Assemblée. Dans une interview publiée par Le Parisien, vendredi 26 septembre, le Premier ministre ne semble pas changer de cap sur la suppression de la réforme des retraites, sur la taxe Zucman ou encore l'ISF. Marine Le Pen, cheffe de file des députés RN, a quant à elle fait savoir qu'elle attendrait le discours de politique générale du Premier ministre avant de se prononcer. La motion de censure qui devrait être déposée ce mercredi 1er octobre s'avère, pour le moment, arithmétiquement impossible à adopter. Pour autant, le nouvel hôte de Matignon se considère comme un "Premier ministre faible", avec un gouvernement "sous tutelle du Parlement". Cet aveu de faiblesse est-il le signe d'un changement de régime sans passer par un changement de Constitution ?On en débat avec Astrid de Villaines, journaliste politique, présentatrice et écrivaine, Mathieu Souquière, essayiste, expert associé à la Fondation Jean Jaurès et Julien Jeanneney, constitutionnaliste, professeur de droit public à l'Université de Strasbourg.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Jamais le même, mais toujours aussi inutile !
Jamais le même, mais toujours aussi inutile !
En France, le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, parfois présenté comme la dernière carte ou encore le dernier fusible du président Emmanuel Macron dont il est proche, continue les consultations pour déterminer sa feuille de route avant de nommer un gouvernement.La marge de manoeuvre est très étroite avec des lignes rouges très claires et contradictoires de l'alliance de partis de droite et du centre, le "socle commun" qui pourrait le soutenir, et du Parti socialiste, dont il a besoin pour éviter une motion de censure. Un véritable exercice de funambule.Si c'est l'impasse, plusieurs scénarios sont possibles, y compris celui de législatives anticipées où l'extrême droite espère encore gagner du terrain. Pour en parler, Michaëla Cancela-Kieffer a invité deux collègues du service politique de l'AFP, Jérémy Marot, chef adjoint du service, et Cécile Azzaro qui couvre le PS et les écologistes.Réalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine Sur le Fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Premier ministre depuis maintenant plus de deux semaines, Sébastien Lecornu n'a toujours pas formé son gouvernement. « Vous n'êtes pas pressé ? » lui demande le Parisien. « Je suis au travail », répond le Premier ministre, qui promet tout de même un gouvernement pour la semaine prochaine. « Y aura-t-il des personnalités issues du Parti Socialiste » ? demande encore le Parisien. « Je ne veux pas de débauchage de personnalité issue d'une formation politique qui ne soutiendrait pas le gouvernement, » assure Sébastien Lecornu. Quant aux projets, sur le fond, le Premier ministre les égraine les uns après les autres. D'abord la réduction des dépenses : le premier ministre va « proposer une diminution de six milliards d'euros sur l'État et son train de vie ». La Taxe Zucman ? Sébastien Lecornu est visiblement opposé à ce prélèvement de 2 % sur les plus riches. La réforme des retraites ? le Premier ministre n'envisage pas de la suspendre. Une interview qui a laissé le Parti Socialiste sur sa faim. « Aucun effort n'a été réalisé », a estimé Olivier Faure, le patron du PS sur TF1. Israël, un nouveau pays paria À la Une également, Benyamin Netanyahu à la tribune des Nations Unies. « Netanyahu promet de « finir le travail » à Gaza lors de son discours à l'ONU, alors que les délégations quittent le siège des Nations unies », titre le Guardian. Le quotidien britannique reprend une par une les déclarations du Premier ministre israélien, qui a donc « promis de finir le travail à Gaza » mais qui a aussi jugé « insensée » la reconnaissance d'un État palestinien, « quelques jours seulement après que le Royaume-Uni, la France, le Canada, l'Australie et d'autres pays ont rompu avec les États-Unis, pour reconnaître un État palestinien indépendant ». La presse américaine, elle aussi, revient sur le discours du Premier ministre israélien. C'est le cas du New York Times. Le quotidien américain parle« d'un Netanyahu provocateur » qui « dénonce la reconnaissance de la Palestine devant une salle de l'ONU presque vide », les délégués ayant ainsi montré leur réprobation. « L'image du Premier ministre israélien s'adressant à une salle où les applaudissements venaient en grande partie de sa propre délégation, semblait souligner les craintes exprimées par certains Israéliens de voir leur pays devenir un paria », ajoute le New York Times. Selon le Times of Israël, le cabinet du Premier ministre israélien a par ailleurs affirmé « que l'armée israélienne avait pris le contrôle des téléphones des Palestiniens de Gaza pour diffuser en direct son discours à l'ONU. Les habitants de Gaza auraient reçu des SMS contenant un lien vers le discours de Netanyahu, mais aucune confirmation de cette prise de contrôle n'a pu être obtenue » précise toutefois le Times of Israël. Robots à tout faire Les « camps d'entraînement de robots » en Chine est à la Une du South China Morning Post, quotidien anglophone de Hong Kong, qui nous explique que « ces camps d'entraînement de robots doivent servir à former des humanoïdes de renommée mondiale ». « La Chine met tout en œuvre pour devancer les États-Unis dans la course au développement de robots humanoïdes perfectionnés », explique le journal, qui précise : « Partout dans le pays, des villes ouvrent d'immenses bases de formation en robotique humanoïde, qui mettent les robots à l'épreuve dans différents scénarios, et collectent ensuite des données pour aider les fabricants à accélérer le développement de leurs produits ». Parmi les scénarios proposés à ces robots destinés à remplacer les êtres humains, on trouve notamment « le travail dans une usine, dans un point de vente au détail, dans un centre de soins pour personnes âgées, ou encore dans une maison intelligente ». « Ces derniers mois, rappelle le South China Morning Post, « la Chine a organisé une série d'événements de grande envergure pour présenter ses progrès en robotique, avec des humanoïdes participant à un semi-marathon, un match de kickboxing ou encore un spectacle de danse ». On croise les doigts pour que des robots humanoïdes ne s'installent pas derrière les micros de RFI.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez L'oeil d'Alex Vizorek du 26 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'oeil d'Alex Vizorek du 26 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:35 - L'invité de la rédaction de "ici Lorraine" - Alors que l'intersyndicale vient d'être reçue par le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu et parle d'une "occasion manquée", l'invitée d'ICI Lorraine *ce jeudi est Patricia Hacquard, secrétaire générale de la CFDT dans les Vosges. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:27:59 - Journal de 18h - La rencontre entre le Premier ministre et l'intersyndicale n'a rien donné ce matin à Matignon. Sébastien Lecornu aurait même reconnu une forme d'impuissance politique face à ses interlocuteurs. Les syndicats appellent à une nouvelle journée d'action le deux octobre.
Au Cameroun, le ministre d'État Bello Bouba Maïgari a fait sensation le 28 juin 2025, quand il a démissionné du gouvernement et annoncé sa candidature contre Paul Biya à la présidentielle du 12 octobre. En effet, son parti, l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP), est un poids lourd dans le pays. Mais quelles sont ses chances de gagner si l'opposition reste divisée ? Aujourd'hui, le candidat Bello Bouba annonce qu'il « peut arriver à une entente » avec le candidat Tchiroma Bakary. En ligne de Yaoundé, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? Bello Bouba Maïgari : Mes priorités, si je suis élu, ce sera d'abord pour la formation d'un gouvernement de large union. Parce qu'il faudra que nous nous attaquions aux problèmes essentiels de notre pays, à savoir la protection de l'unité nationale, son renforcement notamment dans les régions anglophones, mais également les problèmes de sécurité dans d'autres régions du Cameroun, notamment l'Extrême Nord. Alors, vous parlez de la très grave crise anglophone au Nord-Ouest et au Sud-Ouest. Beaucoup de Camerounais, y compris des candidats, prônent le retour au fédéralisme. Qu'en pensez-vous ? Aucun sujet ne sera tabou. D'abord, pour qu'il y ait une vraie inclusivité au Dialogue national inclusif que nous allons convoquer dans les six premiers mois de notre mandat, nous parlerons même aux leaders politiques des régions aujourd'hui troublées par cette crise anglophone, et nous envisageons de libérer ceux d'entre eux qui veulent travailler avec nous pour aboutir à un large consensus. Votre fief, c'est le nord du pays, mais comme vous le savez, il ne suffit pas de gagner au nord. Est-ce que vous avez la stature nationale pour être élu président ? Qui peut dénier à l'UNDP une implantation nationale ? Quel autre parti au Cameroun peut nous dénier cette bonne implantation que nous avons à travers l'ensemble des dix régions ? Oui, mais tout de même, Monsieur le Premier Ministre, votre parti UNDP est pour l'instant très loin derrière le parti au pouvoir RDPC. Qu'est-ce que vous comptez faire d'ici au 12 octobre pour combler ce retard ? D'abord, ce que vous appelez « très loin derrière le parti » au pouvoir, nous pensons que c'est parce que les conditions de transparence, de liberté et d'organisation des élections dans notre pays ne sont pas remplies. Nous travaillons pour cela et, d'ici à la fin du premier trimestre de 2026, vous verrez un renforcement de la représentation de l'UNDP dans toutes les assemblées de notre pays. Mais pourquoi la fraude s'arrêterait-elle au Cameroun ? Parce que d'abord, nous pensons, dans nos contacts avec les candidats et les anciens candidats, renforcer la collaboration entre nous pour assurer la vérité des urnes par une présence massive et digne des partis de l'opposition dans tous les bureaux de vote, dans toutes les commissions départementales où se passera le décompte des voix. Tout récemment, il y a quelques jours, l'opposant Maurice Kamto, qui n'a pas le droit de se présenter et qui n'a pas encore donné de consigne de vote, vous a invité, Issa Tchiroma et vous-même qui êtes tous deux originaires du nord du pays, à vous entendre pour fusionner vos deux candidatures, qu'est-ce que vous en pensez ? C'est pour cela que, après avoir écouté non seulement l'appel du professeur Kamto, mais aussi d'autres responsables de partis, nous avons relancé cette demande de rencontre entre nous pour que nous puissions nous entendre. Une rencontre entre Tchiroma et vous ? Une rencontre entre, oui, Monsieur Tchiroma, mais également avec d'autres candidats aussi. Les choses sont en train d'être explorées et nous n'avons pas perdu l'espoir qu'elles aboutiront à un consensus acceptable, non pas entre nous seuls, mais également à qui répondra à l'attente de beaucoup de Camerounais. Et vous pourriez arriver à fusionner vos deux candidatures ? Nous pourrons arriver, je l'espère, à trouver la solution que beaucoup attendent. C'est-à-dire une entente entre nous. C'est ma détermination pour laquelle je veux travailler. Et que répondez-vous à ceux qui disent, comme le candidat Cabral Libii, qu'il faut renouveler la classe politique camerounaise et que les nonagénaires, comme Paul Biya, et les septuagénaires, comme Issa Tchiroma et vous-même, devraient peut-être laisser la place aux jeunes ? C'est son opinion, mais la loi permet encore qu'un candidat de cet âge-là puisse se présenter. Je n'ai aucun commentaire à ce sujet.
durée : 00:27:59 - Journal de 18h - La rencontre entre le Premier ministre et l'intersyndicale n'a rien donné ce matin à Matignon. Sébastien Lecornu aurait même reconnu une forme d'impuissance politique face à ses interlocuteurs. Les syndicats appellent à une nouvelle journée d'action le deux octobre.
Face aux syndicats, Sébastien Lecornu est démuni. Le Premier ministre a reçu, ce mercredi 24 septembre, les organisations syndicales et patronales à Matignon. Objectif : trouver un compromis afin d'éviter de nouvelles grèves. Cette consultation s'est soldée par un échec pour le chef du gouvernement. À peine sortis de Matignon, les organisations ont annoncé une nouvelle journée de mobilisation dans 8 jours, le 2 octobre. Mais surtout, le Premier ministre est apparu plus fragilisé que jamais. "Vous êtes devant le Premier ministre le plus faible de la Ve République. Tout ne peut pas venir de moi, je n'ai pas 350 députés sur lesquels m'appuyer", a-t-il notamment concédé aux organisations présentes. Un aveu de faiblesse étonnant, mais surtout tactique de la part de Sébastien Lecornu. En effet, car le Premier ministre ne peut, par exemple, pas décider tout seul de mettre la réforme des retraites en pause. Il renvoie également la responsabilité vers l'Assemblée nationale et les députés. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:17:49 - Journal de 7 h - Mobilisation réussie selon les organisateurs.
durée : 00:24:05 - L'invité de 8h20 - La professeure d'économie Julia Cagé et le sondeur Jérôme Sainte-Marie analysent la mobilisation du 18 septembre et la suite du mouvement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:17:49 - Journal de 7 h - Mobilisation réussie selon les organisateurs.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invités : - Geoffroy Lejeune, journaliste du JDD - Laetitia Guinand, journaliste politique - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Guillaume Perrault, journaliste - André Vallini, avocat et ancien ministre - Michel Auboin, ancien préfet Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Geoffroy Lejeune, journaliste du JDD - Laetitia Guinand, journaliste politique - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Guillaume Perrault, journaliste - André Vallini, avocat et ancien ministre - Michel Auboin, ancien préfet Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Rachel Khan, essayiste et juriste, - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Louis de Raguenel, journaliste politique - Eric Revel, journaliste - Jospeh Macé-Scaron, essayiste et consultant Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec les premières annonces du nouveau premier ministre Sébastien Lecornu parmi elles, celle de renoncer à la suppression les deux jours fériés comme l'avait proposé François Bayrou
« Opération Lecornu : peut-il y arriver ? » s'interroge en Une le Point. « Bonne chance, Monsieur Lecornu », s'exclame en tout cas, non sans ironie, Etienne Gernelle dans son éditorial, avant de s'interroger : « Sébastien Lecornu parviendra-t-il à extraire la France de ce cycle infernal où se répondent la hargne – et souvent la bêtise - des discours politiques et la rage sourde qui court dans la société, le tout sur fond de douce sécession individuelle ». Le nouveau Premier ministre est prévenu, mais si l'on en croit le Point, il a ses chances. L'hebdomadaire le décrit comme « discret et fin manœuvrier ». Pour un proche d'Edouard Philippe, il est « un grand talent de la politique, capable de parler à la droite et à la gauche ». Pour un autre, un intime, c'est « un démerdeur de situations complexes ». Du côté de ses détracteurs, on murmure « qu'il sera la voix de son maître ». Autrement dit, Emmanuel Macron. Mais, selon « un stratège », interrogé par le Point, « Lecornu rapproche le danger pour le président. S'il tombe, le prochain sur la liste, c'est lui ». Taxer les plus riches C'est dans ce contexte que les hebdomadaires s'interrogent et se demandent comment relancer la France… Pour le Nouvel Obs, pas de doute : il faut faire payer les plus riches. Emmanuel Macron, nous dit l'hebdomadaire, « doit ouvrir les yeux : son refus obstiné de toucher au cœur du macronisme – ne pas augmenter les impôts des plus riches ni la fiscalité des grandes entreprises – met désormais en péril le pacte social ». Et ce n'est pas tout. Deux journalistes du Nouvel Obs, Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre ont mené l'enquête et selon eux, « les Français financent – sans en avoir conscience – des aides publiques devenues massives pour les grandes entreprises, et qui expliquent en partie l'ampleur de la dette ». Selon les deux journalistes, ce sont environ « 270 milliards d'euros » qui sont ainsi « chaque année transférés vers les plus riches et les entreprises ». À titre d'exemple, le Nouvel Obs cite les déductions fiscales qui, tel le crédit d'impôt recherche, permettent « aux grands groupes de rafler la mise ». La taxe Zucman L'hebdomadaire Marianne, lui aussi, a sorti la calculette… Et c'est un autre chiffre qui est mis en avant : 268 milliards d'euros. C'est, selon Marianne, « la somme que les dix familles plus riches du pays, ont amassé au cours des six dernières années ». « Un sacré gisement de recettes fiscales », remarque l'hebdomadaire, qui pose cette question : « Et si on essayait la taxe Zucman ? » Du nom de ce jeune économiste franco-américain, professeur à la prestigieuse université de Berkeley, qui propose « de prélever un impôt plancher de 2% sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d'euros ». Une proposition dans l'air du temps, mais que François Bayrou, il y a encore peu Premier ministre, balayait (comme beaucoup) d'un revers de main, estimant que « c'était une menace sur les investissements en France ». Pourtant, fait remarquer Gabriel Zucman dans le Nouvel Obs, une récente étude du Conseil d'Analyse économique (rattaché à Matignon), « conclut à un très faible risque d'exil fiscal des ultra-riches (de l'ordre de 0,1 à 0,2 %) ». Mobilisation patronale La taxe Zucman serait-elle donc la recette miracle ? Pas si sûr… en tout cas, des protestations s'élèvent dans le camp des principaux concernés. Tel Patrick Martin, le patron des patrons, dans les colonnes du Parisien-Dimanche. « Il refuse toute hausse d'impôts et monte au créneau pour torpiller les propositions budgétaires des socialistes, notamment la taxe Zucman », explique le journal. « Cette taxe », assure Patrick Martin, « serait un frein terrible à l'investissement et à la prise de risque pour les entreprises ». Patrick Martin qui brandit la menace d'une « grande mobilisation patronale » « si les impôts augmentent ». Amour et DRH Enfin, dans l'Express la philosophe Julia de Funès, s'intéresse au cas d'un grand patron, celui de Nestlé, qui vient d'être licencié. Licencié, oui, mais pas pour des raisons économiques ni pour une faute professionnelle. Il a été licencié « pour avoir entretenu une relation privée non-déclarée avec une subordonnée ». Pour Julia de Funès, « il ne s'agit pas là d'une simple péripétie RH (des Ressources Humaines) croustillante, mais un révélateur. Révélateur d'un déplacement inquiétant : celui du pouvoir des entreprises, qui ne s'arrête donc plus aux performances, aux comptes ou aux résultats, mais qui s'étend désormais dans la sphère la plus intime des individus ». « Autrefois, poursuit la philosophe, on murmurait ses fautes à voix basse dans un confessionnal ; aujourd'hui, il faut exposer ses amours aux patrons, ses liaisons au DRH et sa vie privée aux chartes de conduite ». Quelle est la morale de l'histoire ? « Nestlé peut délocaliser, spéculer sans trembler ; mais que son dirigeant aime en secret là où il ne faut pas, et le couperet tombe », observe Julia de Funès, qui remarque malicieusement que « Roméo et Juliette n'auraient pas survécu trois semaines à une charte de conformité ».
durée : 00:18:42 - Nouveau Premier ministre, pandas roux et temps d'écran - Sébastien Lecornu est devenu le nouveau Premier ministre, comment se passe la rentrée scolaire à Gaza et un dossier sur les pandas roux : c'est le menu du nouvel épisode de "Salut l'info !". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sébastien Lecornu, nouveau Premier ministre, annonce vouloir changer de méthode et promet des ruptures. Il consulte déjà les partis pour essayer, comme ses prédécesseurs, de trouver un chemin qui permettra à la France de se doter d'un budget. Moins d'économies pour le gouvernement, plus de responsabilités pour les oppositions dites "raisonnables" ?
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 10 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la menace de destructions de contraceptifs destinés à l'Afrique par les États-Unis, sur les sanctions adoptées par l'Espagne contre Israël, et sur la nouvelle rémunération record offerte par Tesla à son PDG Elon Musk. France : Sébastien Lecornu nommé Premier Ministre On a appris hier soir que Sébastien Lecornu a été nommé premier ministre. Il est issu du camp présidentiel, ne risque-t-il pas le même sort que François Bayrou ? Comment expliquer que Macron n'ait toujours pas voulu essayer de nommer un premier ministre de gauche ? En 3 ans et demi, la France aura connu 5 premiers ministres. Le modèle de la 5eme République semble ne plus fonctionner. LFI appelait à une 6ème république. D'autres partis pourraient eux aussi proposer un changement de régime ? Avec Victorien Willaume, journaliste au service France de RFI. États-Unis : controverse autour de la destruction de contraceptifs La presse américaine a révélé que plus de 10 millions de dollars de contraceptifs destinés à l'Afrique et stockés en Belgique et en France pourraient être détruis par l'administration Trump. Pourquoi les Etats-Unis veulent détruire ce stock ? Si les Etats-Unis acceptent de ne pas les détruire, qui se chargera d'acheminer et de distribuer ces contraceptifs ? Avec Sarah Durocher, présidente du Planning familial. Espagne : Pedro Sanchez accentue la pression sur Israël L'Espagne durcit ses sanctions contre Israël, en imposant un embargo sur les armes et des interdictions économiques. Ces mesures peuvent-elles avoir réel un impact sur l'économie israélienne ? D'autres pays européens pourraient-ils suivre l'exemple espagnol, afin d'accentuer la pression sur Netanyahu ? Quelle est la position de l'UE concernant les sanctions économiques ? Avec Elena Aoun, professeure et chercheuse en relations internationales à l'Université catholique de Louvain. Elon Musk : nouvelle rémunération record pour l'homme le plus riche du monde Tesla a proposé à son PDG Elon Musk une nouvelle rémunération de plus de 1 000 milliards de dollars. Pourquoi Tesla est-elle prête à dépenser autant pour son PDG ? Même si Musk arrive à lever plus de fonds pour son entreprise, Tesla pourra-t-elle concurrencer les voitures électriques chinoises ? Avec Emmanuel Botta, rédacteur en chef en charge de la Stratégie numérique à Challenges. Co-auteur de l'ouvrage Elon Musk : l'enquête inédite paru chez Robert Laffont.
La France a un nouveau Premier ministre : Sébastien Lecornu. La cérémonie de passation de pouvoir a eu lieu ce mercredi en début d'après-midi à Matignon. "On va y arriver" a-t-il lancé lors de sa première prise de parole. Cette nomination intervient alors que le gouvernement doit faire face à une contestation sociale d'ampleur. 80 000 policiers et gendarmes ont été déployés aujourd'hui dans le pays pour faire face à la mobilisation du mouvement "Bloquons Tout".
durée : 00:13:31 - Journal de 7 h - "On ne prend pas le même, mais on recommence", c'est ainsi qu'on pourrait résumer la nomination ce mardi de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre. Ex ministre des armées, proche d'entre les proches d'Emmanuel Macron.
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durée : 00:02:18 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - À l'avenir, nous serons peut-être tous Premiers ministres neuf mois ? - invités : Guillaume Erner Docteur en sociologie et producteur des Matins de France Culture
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
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durée : 00:54:37 - Les informés de franceinfo - Autour de Victor Matet, les informés de franceinfo réagissent à la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:08 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le magnat conservateur Anutin Charnvirakul a pris ses fonctions comme Premier ministre de la Thaïlande dimanche. L'économie et le conflit frontalier seront ses priorités, alors que des milliers de Cambodgiens sont expulsés de leurs terres ou de leur lieu de travail.
durée : 00:03:41 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Excellente surprise que ce premier long-métrage signé Carlos Abascal Peiro, qui raconte la quête bien actuelle d'un Premier ministre dans une forme de vaudeville bien incarné et bien rythmé.