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durée : 00:23:47 - L'invité de 8h20 - Christophe Boltanski, journaliste, écrivain et Rym Momtaz, journaliste, géopolitologue, analysent la situation au Moyen-Orient, entre l'intensification de l'offensive israélienne à Gaza et la Syrie libérée du régime de Bachar al-Assad.
C dans l'air l'invité du 14 mai 2025 avec Christophe Boltanski, journaliste et écrivain, qui rentre de Homs, en Syrie, où il a réalisé un reportage auprès de la population pour l'hebdomadaire Le 1.Hier, Donald Trump a annoncé la levée des sanctions américaines contre la Syrie, libérée du dictateur Bachar al-Assad, provoquant des scènes de liesse dans le pays. Un geste fort, suivi par la rencontre ce matin entre le président américain et le nouveau président syrien Ahmad al-Chara à Ryad, en Arabie saoudite. Notre invité, Christophe Boltanski, journaliste et écrivain, nous décrira la situation dans ce pays en pleine reconstruction. En mars dernier, environ 1.700 personnes, majoritairement alaouites avaient été tuées dans des massacres. Le nouveau président syrien, en visite à Paris la semaine dernière, s'est engagé à protéger "tous les Syriens sans exception".
Visit Pittsburgh President & CEO Jerad Bachar on the NFL Draft countdown clock full 328 Thu, 15 May 2025 12:54:53 +0000 8RLHxP8J9SQNuXs9eFHAOc87G9Tjht6p news,a-newscasts,top picks The Big K Morning Show news,a-newscasts,top picks Visit Pittsburgh President & CEO Jerad Bachar on the NFL Draft countdown clock The Big K Morning Show 2024 © 2021 Audacy, Inc. News News News News news News News News News News False https://player
durée : 00:38:17 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - En tournée au Proche-Orient, Donald Trump a annoncé la levée des sanctions américaines contre la Syrie, après avoir rencontré son président par intérim Ahmed al-Charaa. Une consécration pour l'ancien djihadiste, qui cherche à consolider son pouvoir, cinq mois après la chute de Bachar al-Assad. - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:38:17 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - En tournée au Proche-Orient, Donald Trump a annoncé la levée des sanctions américaines contre la Syrie, après avoir rencontré son président par intérim Ahmed al-Charaa. Une consécration pour l'ancien djihadiste, qui cherche à consolider son pouvoir, cinq mois après la chute de Bachar al-Assad. - réalisé par : Thomas Lenglain
Le président syrien par intérim, Ahmed al-Charaa, a été reçu mercredi à Paris par Emmanuel Macron. Il s'agissait de son premier déplacement en Europe depuis son arrivée au pouvoir en décembre dernier. Cette visite a eu lieu alors que la Syrie connait un déchainement de violences depuis quelques semaines, les pires depuis la chute du régime de Bachar al-Assad, et qui font réapparaître toutes les haines qui minent la fragile unité du pays.
Vincent Hervouët analyse la situation complexe en Syrie après la chute du régime de Bachar el-Assad. Il s'interroge sur la pertinence d'établir un dialogue avec le nouveau président de transition, Ahmed Al-Charaa, malgré son passé de chef djihadiste. Il évoque les défis de la reconstruction du pays, les menaces sécuritaires et les enjeux géopolitiques régionaux. Une réflexion nuancée sur les choix diplomatiques de la France face à cette crise syrienne qui perdure.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le président syrien de transition, Ahmed al-Sharaa, est attendu en France à l'invitation du président Emmanuel Macron. Il s'agira de sa première visite en Europe depuis la chute du régime de Bachar al-Assad le 8 décembre 2024. Cette rencontre officielle, organisée à l'Élysée, marque une étape symbolique dans le soutien européen au processus de transition syrien et reflète la volonté de Paris de s'impliquer activement dans la reconstruction politique du pays.
When you hear the phrase living legend, what comes to mind?....to me…this is someone who has lived a life to their fullest. A life that inspires us to be our best. Someone whose legacy will outlast them.Today, I have the pleasure of releasing my conversation with a true living legend…Bob Gaines. Bob began climbing in the mid-1970s—right in the thick of climbing's golden era, alongside icons like Ron Kauk, Scott Cosgrove, John Bachar, John Long, and Lynn Hill. But Bob wasn't just in the audience—he was part of the show. He became John Long's main climbing partner for five years. He trained hard, soloed hard, and became a Joshua Tree lifer—watching legends like Bachar soloing 5.10s and 11s before most people had their morning coffee.It's easy to remember these iconic names like John Bachar and Lynn Hill, but Bob Gaines has his own right to stand amongst these icons of climbing. With nearly 600 first ascents under his belt, and 500 of them located solely in Joshua Tree California. Bob has certainly stamped his name into the history of climbing. His routes are known for being clean, creative, and undeniably classic—if you're on a Bob Gaines line, chances are you're giving it four stars on Mountain Project.This episode marks Bob's first-ever podcast appearance. I give him the chance to share his origin story. How he found climbing and how the icons of history directly influenced his journey. We dive deep into several of his key first ascents, so get out your MP and be ready to add a bunch of climbs to your to do list. We explore the controversial issue of bolting, how that process developed over the decades, and how we are currently in a time period where we may lose the freedom to bolt in wilderness areas entirely. We explore Bob's unique experience in Hollywood as a stunt double for William Shatner in Star Trek V and safety officer for the 1993 movie Cliffhanger. And finally we speak about Bob's unique experience as a climbing instructor for SEAL Team 6. This is a rare, wide-ranging conversation with a man who's lived more life than most of us can imagine.----HELP SUPPORT THE SHOW & GET ACCESS TO EXCLUSIVE EPISODES! For a little as $5/mo!----Don't forget to check out our full video episodes on Youtube!The TCM movement is growing but we need your help to spread the word! Please share this podcast with your friends and family. Word of mouth is one of the best ways to support the show. If you enjoyed the show we'd appreciate it if you could rate and review us on your favorite podcatcher.We are always looking for new guests. If you or someone you know would be a great fit for the show please don't hesitate to reach out. You can reach us on IG or email us directly @ theclimbingmajoritypodcast@gmail.com---ResourcesBob's InstagramAll Of Bob Gaines' BooksOpening Scene of Star Trek VBob's Write Up on Slab ClimbingStar Trek V & Free Solo Parody
En Syrie, après 54 ans d'une dictature qui appliquait une censure implacable aux médias et éliminait toute voix critique, une nouvelle ère s'ouvre pour les journalistes en Syrie. L'agence de presse et les chaînes officielles, qui ne servaient qu'à diffuser la propagande du régime, ont été renversées et de nombreux reporters exilés se réinstallent progressivement en Syrie. Ahmed al-Charaa, le nouveau maître de Damas, a promis de faire respecter la liberté d'expression. Si certains veulent y croire et investissent dans la création d'un nouveau paysage médiatique pour la Syrie, d'autres restent méfiants. Travailler et émettre depuis Damas, en plein cœur de la Syrie. Une scène encore impensable il y a quelques semaines pour Mohamed Al Dughaim, producteur de la chaîne Syria TV, un des médias d'opposition les plus suivis en Syrie, dont le siège est à Istanbul en Turquie. « Nous sommes actuellement dans l'hôtel Sheraton, à Damas, et nous avons transformé une partie des chambres de l'hôtel en studio temporaire pour Syria TV, indique-t-il. Nous sommes arrivés à Damas progressivement avec les forces rebelles au fil des offensives militaires, d'abord Alep, puis Hama, puis Homs, et enfin Damas. C'est la première fois que l'on parle de Damas en étant à Damas. C'est un très beau sentiment pour tous les syriens et pour tous les journalistes. »Financée par le Qatar, Syria TV compte 250 employés répartis entre la Syrie et la Turquie. Sur la terrasse de l'hôtel, un plateau télé a été érigé. La chaîne diffuse des informations en direct 3 à 4 h par jour depuis Damas. Pour le producteur originaire d'Idlib, c'est le début d'une nouvelle ère. « Aujourd'hui, on peut parler de tout en Syrie sans être inquiété, sans que les services de renseignement ne vous convoquent, et sans risquer d'être emprisonné. L'avenir des médias en Syrie est bien meilleur qu'à l'époque de Bachar al-Assad. »Après 54 ans de dictature durant lesquels aucune critique du pouvoir n'était tolérée, la nouvelle administration dirigée par Hayat Tahrir Sham (HTS) – l'un des groupes rebelles qui a repris Damas – a annoncé début janvier s'engager en faveur de la liberté d'expression, avec quelques limites. « Dans la nouvelle Syrie, nous garantissons la liberté de la presse, mais il existe des lignes rouges sur certaines questions, comme la diffusion de la haine au sein de la société, ou tout ce qui touche à des sujets susceptibles d'attiser les tensions sectaires. Ne pas préserver la cohésion sociale est aussi une ligne rouge », explique Ali Al Rifai, directeur des relations publiques au ministère de l'Information. Le ministère a aussi annoncé que les journalistes ayant collaboré avec le régime devront rendre des comptes. Dans les cafés de la capitale, de nombreux Syriens se retrouvent pour débattre à haute voix de l'avenir du pays. Une scène, elle aussi, inimaginable il y a peu. « Nous sommes heureux d'avoir cette nouvelle liberté d'expression. J'ai beaucoup confiance dans la société syrienne qui est aujourd'hui très éveillée. Rien ne passe inaperçu. Il y a une pression populaire contre toute décision qui serait inappropriée », raconte Colette Bahna, écrivaine et activiste pour les droits des femmes, qui savoure cette liberté retrouvée. Pour de nombreux syriens, la prudence reste de mise. Seul le temps permettra de savoir si ces promesses de liberté dureront.À lire aussiSyrie: à Jaramana, la vie reprend dans une atmosphère de peur et de méfiance
En Syrie, après 54 ans d'une dictature qui appliquait une censure implacable aux médias et éliminait toute voix critique, une nouvelle ère s'ouvre pour les journalistes en Syrie. L'agence de presse et les chaînes officielles, qui ne servaient qu'à diffuser la propagande du régime, ont été renversées et de nombreux reporters exilés se réinstallent progressivement en Syrie. Ahmed al-Charaa, le nouveau maître de Damas, a promis de faire respecter la liberté d'expression. Si certains veulent y croire et investissent dans la création d'un nouveau paysage médiatique pour la Syrie, d'autres restent méfiants. Travailler et émettre depuis Damas, en plein cœur de la Syrie. Une scène encore impensable il y a quelques semaines pour Mohamed Al Dughaim, producteur de la chaîne Syria TV, un des médias d'opposition les plus suivis en Syrie, dont le siège est à Istanbul en Turquie. « Nous sommes actuellement dans l'hôtel Sheraton, à Damas, et nous avons transformé une partie des chambres de l'hôtel en studio temporaire pour Syria TV, indique-t-il. Nous sommes arrivés à Damas progressivement avec les forces rebelles au fil des offensives militaires, d'abord Alep, puis Hama, puis Homs, et enfin Damas. C'est la première fois que l'on parle de Damas en étant à Damas. C'est un très beau sentiment pour tous les syriens et pour tous les journalistes. »Financée par le Qatar, Syria TV compte 250 employés répartis entre la Syrie et la Turquie. Sur la terrasse de l'hôtel, un plateau télé a été érigé. La chaîne diffuse des informations en direct 3 à 4 h par jour depuis Damas. Pour le producteur originaire d'Idlib, c'est le début d'une nouvelle ère. « Aujourd'hui, on peut parler de tout en Syrie sans être inquiété, sans que les services de renseignement ne vous convoquent, et sans risquer d'être emprisonné. L'avenir des médias en Syrie est bien meilleur qu'à l'époque de Bachar al-Assad. »Après 54 ans de dictature durant lesquels aucune critique du pouvoir n'était tolérée, la nouvelle administration dirigée par Hayat Tahrir Sham (HTS) – l'un des groupes rebelles qui a repris Damas – a annoncé début janvier s'engager en faveur de la liberté d'expression, avec quelques limites. « Dans la nouvelle Syrie, nous garantissons la liberté de la presse, mais il existe des lignes rouges sur certaines questions, comme la diffusion de la haine au sein de la société, ou tout ce qui touche à des sujets susceptibles d'attiser les tensions sectaires. Ne pas préserver la cohésion sociale est aussi une ligne rouge », explique Ali Al Rifai, directeur des relations publiques au ministère de l'Information. Le ministère a aussi annoncé que les journalistes ayant collaboré avec le régime devront rendre des comptes. Dans les cafés de la capitale, de nombreux Syriens se retrouvent pour débattre à haute voix de l'avenir du pays. Une scène, elle aussi, inimaginable il y a peu. « Nous sommes heureux d'avoir cette nouvelle liberté d'expression. J'ai beaucoup confiance dans la société syrienne qui est aujourd'hui très éveillée. Rien ne passe inaperçu. Il y a une pression populaire contre toute décision qui serait inappropriée », raconte Colette Bahna, écrivaine et activiste pour les droits des femmes, qui savoure cette liberté retrouvée. Pour de nombreux syriens, la prudence reste de mise. Seul le temps permettra de savoir si ces promesses de liberté dureront.À lire aussiSyrie: à Jaramana, la vie reprend dans une atmosphère de peur et de méfiance
durée : 00:13:45 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Presque cinq mois après la démission de Bachar al-Assad, les nouvelles autorités rencontrent des difficultés à restaurer la stabilité en Syrie, marquée par quatorze ans de guerre civile. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Myriam Benraad Politologue, spécialiste du Moyen-Orient, professeure associée en relations internationales.
« On a crié comme des fous, mais personne ne nous entendait » : Ana María et son mari, relate El Pais à Madrid, sont restés coincés dans l'ascenseur de leur immeuble dans le quartier madrilène de Palomeras Bajas pendant près d'une heure hier. Heureusement, ils ont été entendus. Et ils ont été parmi les premiers à être secourus…Comme eux, des centaines de personnes sont restées bloquées dans des ascenseurs, parfois pendant des heures hier. Conséquence de la plus grande panne d'électricité qu'a connu la péninsule ibérique.« 12 h 33 hier : d'un coup, s'exclame El País, 60 millions de personnes se sont retrouvées sans électricité, sans internet ni téléphone portable pendant plusieurs heures. (…) Il y a eu une “très forte fluctuation sur les flux de puissance“, selon l'explication initiale fournie par Red Eléctrica, qui a provoqué un effondrement de tout le réseau péninsulaire, affectant également le Portugal. Les services ferroviaires ont été perturbés, les feux de circulation éteints, provoquant des embouteillages monstres dans de nombreuses villes, et de nombreuses entreprises ont été contraintes de fermer leurs portes. (…) Le courant a commencé à revenir progressivement en début d'après-midi et cette nuit, Red Eléctrica signalait que plus de 90 % l'alimentation avait été rétablie. »Une crise de plus…Commentaire du quotidien madrilène : « la confusion vécue hier par tous les citoyens sans exception et la perturbation de leur vie quotidienne sont sans précédent depuis la pandémie de covid-19 il y a 5 ans. Cette crise énergétique s'ajoute à la succession de crises aiguës de ce siècle, poursuit El Pais. Une bonne partie de la population s'est endormie hier soir en se sentant extrêmement vulnérable face à la perte soudaine et mystérieuse de choses que nous tenons pour acquises dans la vie quotidienne : les téléphones portables, Internet, l'électricité, la possibilité de faire le plein d'essence de notre véhicule. Bref, tout a été mis en suspens durant quelques heures. Cette crise de l'électricité ajoute une dose inquiétante et dérangeante de malaise à l'incertitude radicale de la période actuelle. »Canada : le sursis pour les libéraux de Mark CarneyÀ la Une également, les élections fédérales au Canada…« Sous le leadership de Mark Carney, le Parti libéral du Canada est parvenu à accomplir ce qui paraissait impossible il y a quatre mois à peine, constate Le Devoir à Québec : la population lui a donné un nouveau mandat. » En effet, en décembre, tous les sondages donnaient les conservateurs de Pierre Poilievre en tête… mais c'était « avant que la rhétorique belliqueuse et les menaces d'annexion du Canada ne s'invitent dans le discours du président des États-Unis, Donald Trump », relève le quotidien québécois. Alors « aujourd'hui, poursuit Le Devoir, Mark Carney amorce un marathon sous les yeux d'une population impatiente de retrouver un semblant de stabilité économique et de prévisibilité de la part d'un allié perturbateur. La lassitude qu'inspiraient les libéraux de Justin Trudeau, au terme d'une décennie de pouvoir, pourrait vite revenir dans la conversation nationale si les résultats ne sont pas au rendez-vous. »Syrie : comment réparer le pays ?Enfin à lire dans Libération à Paris ce dossier « comment réparer la Syrie » : « vengeances communautaires, tensions régionales, économie exsangue, […] près de cinq mois après la chute de Bachar al-Assad, la Syrie tente toujours de surmonter quatorze ans de guerre civile et cinq décennies d'incurie et de corruption […]. Et ce n'est pas facile, pointe Libération. Le nouvel homme fort du pays, le salafiste Ahmed al-Charaa, a d'abord dû montrer qu'il avait réellement rompu avec les groupes djihadistes dont il était issu. Changeant d'allure et même de nom. Pour être accepté des Occidentaux et obtenir ainsi la levée de leurs sanctions, il a dû se montrer un minimum “inclusif“ dans la composition de son gouvernement, y incluant notamment une femme chrétienne, démocrate et féministe ainsi que divers représentants kurde ou alaouite. Cela suffira-t-il pour maintenir l'unité du pays ? Rien n'est sûr, soupire Libération. (…) Des premiers pas ont été faits, mais ils ne sont pas suffisants. Pris en étau entre les Israéliens, au sud, qui profitent de la situation pour grignoter du territoire, et les Turcs au nord qui entendent bien se voir récompenser pour l'aide apportée lors de sa prise de pouvoir, Ahmed al-Charaa n'a pas droit à l'erreur. »
Sobre Ucrania se ha hablado hoy y mucho en París, en una reunión entre Emmamnuel Macron y los enviados de Trump, Steve Witkoff y el responsable de la diplomacia Marco Rubio. Una delegación de alto nivel ucraniana también está en la capital francesa y Macron ha conversado con Zelenski antes de su encuentro con Witkoff y Rubio.La primera ministra italiana Giorgia Meloni se ha reunido hoy con el presidente estadounidense Donald Trump en medio de la guerra arancelaria. Vamos a tener una entrevista sobre ello. Sabremos, de la mano de los corresponsales de Radio Nacional de España, cómo se celebra la Semana Santa en diferentes países. Estaremos en Siria, donde la transición tras la caída de la dictadura de Bachar al Assad no está siendo sencilla. Y en Groenlandia para hablar del deshielo de uno de los glaciares cercanos a la capital Nuuk.Escuchar audio
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 11 avril 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.L'ÉTAT DU COMMERCE INTERNATIONALDonald Trump a lancé le 2 avril une charge commerciale massive sous la forme d'une augmentation des droits de douane si lourde qu'elle sonne comme une déclaration de guerre commerciale contre des concurrents, mais aussi contre des alliés traditionnels de Washington. Le président américain a annoncé 46% de hausse pour le Vietnam, 34% pour la Chine, 24% pour le Japon, 20% pour l'Union européenne, mais aussi 50% pour le Lesotho, 47% pour Madagascar, 37% pour le Botswana et rien pour la Russie, la Corée du Nord, la Biélorussie … Tandis que l'Union européenne se préparait à négocier, Pékin a riposté vite et fort, les tarifs douaniers sur les importations américaines passantde 34% à 84%. Bloomberg décrivait alors l'escalade en cours entre la Chine et les Etats-Unis - qui représentent 40% de l'économie mondiale à eux deux - comme une « guerre nucléaire commerciale"».Coup de théâtre mercredi soir : Donald Trump a annoncé la suspension des droits de douane pour 90 jours, laissant cependant un taux minimum uniforme de 10%. Une pause qui ne s'applique pas à la Chine taxée à 125%, ennemie principale des Etats-Unis qui a osé répliquer à Washington. Donald Trump justifie la pause « par la volonté de plus de 75 pays de négocier. »Concrètement, durant cette période, qui a pris effet « immédiatement » après son annonce, l'ensemble des pays du globe sont désormais soumis à des droits de douane ajustés à 10%.Selon l'Insee, le commerce mondial devrait reculer de 4 points. En Europe, l'Allemagne ou l'Italie, dont 10% des exportations vont vers les États-Unis (respectivement 3,3 et 4,2% de leur PIB), devraient être plus touchées que la France et l'Espagne (moins de 7,5% de leurs exportations et moins de 2% du PIB). Mais, rappelle l'ancien commissaire européen au Commerce et ex-directeur général de l'Organisation mondiale du commerce - OMC, Pascal Lamy « les Etats-Unis représentent 13% des importations mondiales, donc 87% du commerce international n'a aucune raison de se laisser contaminer par cette folie »Visée depuis mi-mars par des droits de douane américains de 25% sur l'acier et l'aluminium, l'Union européenne, après que le président américain a fait machine arrière, a suspendu pour 90 jours les mesures de rétorsion approuvées par les États membre et qui prévoient une hausse de 25% sur l'acier et l'aluminium, les amandes, le jus d'orange, la volaille, le soja, le tabac et les yachts… Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau asalué un « début de retour à la raison économique », alors que la Bourse de New York s'est envolée à l'annonce de cette pause. Toutefois, l'incertitude et la confusion se répandent dans les cercles industriels et chez les distributeurs américains comme européens, tandis que les marchés ne savent plus à quel saint se vouer.LA TURQUIE À L'HEURE DES RÉGIMES AUTORITAIRESAu pouvoir depuis 22 ans, le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, a fait incarcérer le 23 mars, une des rares personnes qui étaient en mesure de le battre dans les urnes : le social-démocrate et atatürkiste revendiqué Ekrem Imamoglu, maire d'Istanbul depuis 2019, qui devait être, le même jour, désigné comme candidat à la prochaine présidentielle du Parti républicain du peuple. En l'attaquant avec l'arme la plus redoutable dont il dispose − la justice −, sous couvert de multiples accusations, dont celle de « corruption », et en réprimant les imposantes manifestations de protestation organisées dans tout le pays, l'homme fort de la Turquie achève ce qu'il a commencé il y a une bonne dizaine d'années : le détricotage systématique de l'État de droit et des contre-pouvoirs. Cette régression de la démocratie a été marquée dès 2013 par la répression des manifestations anti-Erdoğan du parc de Gezi à Taksim, suivie d'une dérive autoritaire. Puis, deux ans plus tard, par la fin brutale et sanglante des négociations de paix avec les Kurdes et l'incarcération d'élus et de figures politiques comme le populaire Selahattin Demirtaş. S'y sont ajoutées aussi les répercussions du coup d'Etat raté de 2016 et les purges gigantesques au sein des institutions publiques des membres de la confrérie du prédicateur Fethullah Gülen ; avec qui le président s'était pourtant allié pendant des décennies. Il y a eu ensuite l'adoption de lois liberticides, la destitution de maires et les arrestations de plus en plus nombreuses d'intellectuels, d'artistes, de journalistes de gauche ou proches de l'opposition libérale. De tout temps, le chef de l'État est apparu prêt à faire un pas de plus pour garder le pouvoir. Jamais, toutefois, il n'était allé aussi loin qu'aujourd'hui.Dans la foulée de l'arrestation du maire d'Istanbul, la livre turque a plongé à son niveau le plus bas face au billet vert et l'indice de la Bourse d'Istanbul a chuté de près de 7%, déclenchant une suspension temporaire. Le Quai d'Orsay a fait part de sa « profonde préoccupation » tandis que Berlin a dénoncé « un grave revers pour la démocratie ». L'autoritarisme croissant d'Erdoğan embarrasse particulièrement les Européens au moment où la Turquie, de par sa puissance militaire, se pose en alliée incontournable pour renforcer le pilier européen de l'OTAN, face au rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Située à la croisée de l'Europe, de l'Asie et du Moyen-Orient, et point de passage stratégique vers la mer Noire (via le détroit du Bosphore), elle se sait indispensable sur de nombreux dossiers : la guerre en Ukraine, où Ankara a su dès le début ménager à la fois Kyiv, en lui livrant des drones, et Moscou, en contournant les sanctions ; la Syrie de l'après-Bachar, où elle entend user de son influence auprès des nouvelles autorités. Sans oublier son industrie d'armement en plein boom, à laquelle s'intéressent déjà certaines capitales européennes pour contrer l'expansionnisme de Poutine. De quoi faire dire au secrétaire général de l'OTAN qu'il serait temps que Bruxelles et Ankara coopèrent plus étroitement sur la question sécuritaire.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur le gisement de Simandou, des frappes israéliennes en Syrie et la défaite du Real Madrid contre Arsenal. Gaza : que sait-on de la mort des secouristes palestiniens ?Les corps des 15 humanitaires palestiniens tués le 23 mars ont été retrouvés dans une fosse commune près de Rafah. Depuis, une vidéo récupérée sur le portable d'un des secouristes contredit la version de l'armée israélienne qui affirme avoir tiré sur des « terroristes » et des « véhicules suspects ». Que sait-on des circonstances de leur mort ? Le Croissant-Rouge réclame une enquête internationale indépendante, mais une telle demande a-t-elle des chances d'aboutir ?Avec Pierre Olivier, journaliste au service international de RFI.Guinée : le gisement de Simandou, un miracle économique ?Selon les autorités de la transition, l'exploitation des réserves de fer des monts de Simandou, estimées à près de 8 milliards de tonnes de minerai, devrait commencer avant la fin de cette année. Pourquoi ont-elles attendu aussi longtemps pour exploiter ce gisement découvert il y a plus d'un demi-siècle ? Si le projet se concrétise, quelles pourraient être les retombées économiques pour la Guinée ?Avec Alexis Bédu, journaliste au service économie de RFI.À écouter aussiSimandou: miracle ou mirage pour l'économie guinéenne?Syrie : des frappes israéliennes pour contrer la TurquieDepuis la chute du régime Bachar al-Assad en décembre dernier, l'armée israélienne multiplie les frappes en Syrie dans l'objectif d'affaiblir l'influence de la Turquie. Pourquoi Israël bombarde-t-elle la Syrie pour atteindre la Turquie ? Que reproche l'État hébreu à Ankara ?Avec Adel Bakawan, chercheur associé à l'IFRI, spécialiste du Moyen-Orient. Arsenal-Real Madrid : la claque pour les MerenguesBattu 3-0 à l'Emirates Stadium contre Arsenal en quart de finale aller, le Real Madrid devra faire beaucoup mieux lors du match retour à domicile s'il veut se qualifier pour la suite de la compétition. Comment expliquer une telle déroute du tenant du titre ? Une remontada des Madrilènes est-elle envisageable ?Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.À lire aussiLigue des champions: Arsenal corrige le Real Madrid et prend une belle option pour les demies
Le 8 décembre 2024, alors que les rebelles du HTS (Hayat Tahrir al Shams) encerclent Damas, Bachar Al-Assad quitte la Syrie pour aller se réfugier en Russie. C'est la fin de plus de cinquante-quatre ans de règne de la famille Al-Assad sur le pays. De quoi ce basculement à la tête de la Syrie est-il la fin ? Comment les Al-Assad ont-ils pris le pouvoir et réussi à le garder aussi longtemps ? Dans cette série d'Ariane Hasler, produite par Anaïs Kien, Histoire Vivante retrace l'histoire de cette dynastie. Nous sommes en 1946, les Français quittent le territoire qui était sous leur mandat depuis 1920. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
Le 12 mars 1971, Hafez Al-Assad est élu président de la Syrie. A 40 ans, il s'est battu pour arriver au pouvoir, a éliminé ceux qui pouvaient l'en empêcher, y compris parmi ses anciens frères d'armes. Pour être sûr de rester en haut de la pyramide politico-militaire qui dirige le pays à travers le parti Baas, il développe un système de surveillance et de répression redoutable. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
Hafez Al-Assad régne sur la Syrie pendant trente ans - de 1971 à 2000 - et devient incontournable pour la diplomatie de la région. Son régime autoritaire résiste à une tentative d'assassinat, et surtout, à une crise dont son frère Rifaat, tente de profiter alors que lui est hospitalisé. Mais le vieux Lion de Damas a plus d'un tour dans son sac et, avec le soutien de l'armée, il écrase ce coup d'Etat. Autre coup dur quelques années plus tard : la mort du fils promis à lui succéder : Bassel, le grand frère de Bachar, un play-boy qui porte beau et qui roule vite, trop vite. Hafez Al-Assad doit alors préparer le suivant dans la liste de succession : le petit frère plus effacé : Bachar. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
L'élection de Bachar Al-Assad le 17 juillet 2000, après les trente années de dictature de son père, fait souffler un vent d'espoir. Pendant les premiers moments de son règne, il montre en effet un certain esprit d'ouverture : il relâche plusieurs centaines de prisonniers politiques, dont des frères musulmans, laisse les Syriens s'exprimer davantage. Ce moment suspendu dans l'histoire de la Syrie porte le nom poétique de " Printemps de Damas " mais il ne dure pas. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
En mars 2011 débute une guerre qui ne s'arrêtera plus, avec un régime syrien qui franchit tous les paliers de la violence, jusqu'à ce que les Occidentaux appelleront la "ligne rouge", l'usage d'armes chimiques contre la population syrienne. Bachar Al-Assad devient "le boucher de Damas". Une spirale de la violence qui fait du conflit syrien un des plus meurtriers du 21ème siècle. Avec Agnès Levallois, vice-présidente de l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, chargée de cours à Sciences Po Paris. Jean-Marie Quemener, ancien correspondant au Liban (2004-2010), auteur de "Docteur Bachar Mister Assad" (Encre d'Orient, 2011) et "Bachar Al-Assad, en lettre de sang" (Plon, 2017).
En Syrie, la chute de Bachar el-Assad n'a pas mis fin aux massacres et aux arrestations arbitraires. Cela fait maintenant quatre mois que la dictature est tombée. La reconstruction, l'unité du pays sont mises à mal, plombées par ces massacres, en mars 2025, visant la communauté alaouite ainsi que par les tensions avec les Kurdes. Quatre mois après, où en est cette reconstruction ? Les autorités de transition en font-elles assez ? Les espoirs d'une Syrie démocratique sont-ils douchés ? Avec Michel Duclos, conseiller spécial à l'Institut Montaigne, ancien ambassadeur de France en Syrie, auteur des livres Diplomatie française (Alpha essai) et La longue nuit syrienne (paru aux éditions de L'Observatoire en 2019 et réédité dans la collection Alpha essai en 2022).
Dans cet épisode inédit, Kelly retrouve Charlotte, une invitée marquante du podcast. Lors de l'épisode 62, elle nous avait plongés dans son aventure transcendante à Damas, en Syrie. Aujourd'hui, elle revient pour raconter son retour après quatre années passées là-bas et un départ nécessaire pour faire une pause face à l'intensité de la vie syrienne.Charlotte partage avec nous les moments forts de son retour à Damas, une ville qui reste sa maison malgré les défis. Entre instabilité politique, incertitude sécuritaire, elle nous offre un témoignage rare et immersif sur la réalité du Moyen-Orient après la chute du régime de Bachar el-Assad.Plongez dans son récit, découvrez la résilience d'une femme attachée à cette terre, et explorez avec elle les défis d'une vie en Syrie aujourd'hui.Écoutez maintenant et laissez-vous emporter par cette histoire captivante !Pour retrouver Charlotte dans l'épisode 62 qui explique pourquoi elle a choisi d'aller s'installer en Syrie : https://smartlink.ausha.co/fill-expats/62-syrie-histoire-d-une-expatriation-dans-un-pays-en-guerrePour nous retrouver lors de notre échange "Vivre sa vie sans la pression et le jugement des autres" : https://smartlink.ausha.co/fill-expats/99-vivre-sa-vie-sans-la-pression-et-le-jugement-des-autres#Syrie2025 #TémoignageExpat #VieEnSyrie #ConflitEtReconstruction #PodcastImmersif #Syrie
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Depuis la chute du régime de Bachar Al-Assad, des dizaines d'usines de production de captagon ont été découvertes à travers la Syrie. D'abord aux mains de groupes armés, puis du régime et de ses alliés du Hezbollah, le pays est devenu, en dix ans, l'une des principales plates-formes de production de cette amphétamine, revendu à travers le Moyen-Orient. Le régime de Bachar Al-Assad en avait fait sa principale source de revenu, au point de devenir un « narco-État ». Depuis sa prise de pouvoir, le président par intérim, Ahmed Al-Charaa, a promis de combattre ce commerce illicite. Dès l'entrée du hangar, l'odeur des produits chimiques prend au nez. À terre traînent encore des dizaines de gants en plastique, des masques et lunettes de protection, une balance rouillée, sur laquelle repose des plaquettes de haschich, des sachets de captagon. Dans la zone, les usines de production ont été récupérées début février des mains des milices chiites du Hezbollah au terme de violents combats.« À l'intérieur de l'usine, on a bien sûr trouvé du captagon, toute sorte de pilules, et de drogues, mais aussi beaucoup d'armes, des armes à feu », explique Zakarya Mahmoud Abdelkader.À lire aussiCaptagon en Syrie: avec la chute de Bachar el-Assad, un «narco-État» mis au jour« Chaque bâtiment que vous voyez autour de vous était une usine de production »Depuis, Zakarya Mahmoud Abdelkader et son unité, des soldats rattachés à l'administration en charge des frontières, ont repris le contrôle de la zone. Wadi Hana, c'est son nom, quelques kilomètres de territoire coincés dans un mouchoir de poche à la frontière libanaise. Les milices chiites du Hezbollah y travaillaient de concert avec le régime de Bachar Al-Assad pour y produire du captagon.« Chaque bâtiment que vous voyez autour de vous était une usine de production. Nous avons tout fermé ainsi que les points de passage à la frontière. C'est plus compliqué désormais de faire du trafic », développe Zakarya Mahmoud Abdelkader.Dans les villages alentours, les habitants sont encore terrorisés, témoigne une habitante, qui a souhaité rester anonyme. « On veut que le nouveau gouvernement nous protège. Les milices continuent de nous menacer. Ils nous appellent, nous envoient des messages, nous disent qu'ils vont nous tuer et nous égorger si nous parlons », témoigne une habitante.« Nous avons essayé de vous prévenir, mais vous n'avez pas l'air de comprendre : celui qui parle, je lui marcherai sur le cou sur la place du village », laisse entendre un message vocal.À lire aussiCaptagon connexion (1/4): deux croissants de lune sur un compriméBaisse du trafic et sensibilisation des habitantsDans le sud de Damas, le quartier de Rukn ad-Din était l'un des plus touchés par le trafic. Des centaines de jeunes ont été poussés à la consommation, jusqu'à sombrer dans l'addiction. Le régime les utilisait ensuite pour cibler l'arrestation de certains opposants, explique un commerçant du quartier.« Parfois, quand le régime cherchait à arrêter quelqu'un en particulier, il lui fouillait tout simplement les poches et mettait du captagon à l'intérieur. Ensuite, il l'emmenait au poste. Dans le quartier, les gens devenaient fous à cause de cela », raconte le commerçant.Avec les années, la violence a fini par gangréner ce quartier. Le Hezbollah, qui appuyait le régime dans ses combats contre les zones rebelles, venait y chercher de nouvelles recrues. Ce même commerçant a fait partie d'une de ces milices durant deux ans.« Le Hezbollah avait l'habitude de donner à ses soldats une certaine quantité de captagon dans un petit sac. Le mot d'ordre était "consommez, puis combattez ! ". Les pilules qui n'étaient pas consommées étaient conservées puis revendues ici, dans le quartier », précise le commerçant.Des rondes sont désormais organisées dans les ruelles de Rukn ad-Din par le service de sécurité générale du nouveau gouvernement. Difficile de totalement l'arrêter, mais le trafic a largement diminué, explique Ahmed Jiya Touboush, en charge de la sécurité. « Les trafiquants n'ont plus autant de pilules à disposition qu'avant, c'est donc devenu plus difficile de vendre. Les policiers essaient également de sensibiliser les habitants sur le danger de ce trafic. »Au plus fort de sa production, en 2021, le marché du captagon en Syrie était estimé à plus de 10 milliards de dollars.À lire aussiSyrie: les nouvelles autorités mettent en scène la destruction de captagon
Oubliée en Syrie, l'euphorie qui avait suivi la chute de Bachar al-Assad le 8 décembre 2024, après 13 ans de guerre civile. Début mars 2025, près de 1 500 personnes, ont été tuées en quelques jours dans l'ouest du pays. Des violences déclenchées par une attaque de partisans du clan Assad contre les forces de sécurité ou groupes alliés. S'en sont suivies des représailles aveugles : un millier de civils majoritairement alaouites ont été victimes d'exécutions sommaires. Les vidéos des exactions ont choqué les Syriens qui voulaient croire à l'apaisement et l'unité nationale promis par Ahmed al-Charaa, djihadiste repenti d'al-Qaïda, chef du groupe islamiste sunnite radical HTC (Hayat Tahrir Al Cham), devenu président par intérim de la Syrie.Alors la transition en Syrie est-elle menacée ? Faut-il craindre un nouvel embrasement du pays ? Ahmed al-Charaa est-il capable de cimenter une Syrie ruinée, morcelée en communautés ? Saura-t-il contrôler les plus radicaux de ses partisans et calmer la soif de revanche des loyalistes pro-Assad ?Le mouvement HTC au pouvoir depuis 3 mois s'est-il vraiment déradicalisé, ou est-ce une stratégie pour séduire les Occidentaux ? Quelle place la Syrie veut-elle occuper sur l'échiquier régional et quelle est sa politique vis-à-vis des grandes puissances ? Faut-il plus que jamais soutenir la transition en Syrie ou rester circonspect ?Avec - Hala Kodmani, Franco-syrienne, grand reporter au journal Libération, a publié en 2017 « Seule dans Raqqa », aux Équateurs- Aghiad Ghanem, chercheur franco-syrien, docteur en Relations internationales et enseignant à Sciences-Po Paris, spécialiste des alaouites- Anthony Samrani, co-rédacteur en chef du quotidien libanais L'Orient le Jour, a publié dans la collection Tracts de Gallimard « Vu du Liban, la fin d'un pays, la fin d'un monde ? ».
C'est une affaire qui continue de faire du bruit. Du bruit, oui, mais pas assez, estime, dans la Tribune Dimanche, le comité de soutien à l'écrivain franco-algérien emprisonné en Algérie depuis le 16 novembre, Boualem Sansal. La justice algérienne vient de requérir contre lui 10 ans de prison, alors qu'il a 80 ans et souffre d'un cancer.« La stratégie de dialogue discret n'a pas donné de résultat tangible », constate donc le comité de soutien à Boualem Sansal, qui « appelle à un rassemblement, mardi, à Paris ». Alors que la tension entre la France et l'Algérie est particulièrement vive ces derniers mois, « l'écrivain est devenu, bien malgré lui, l'otage de cette relation tourmentée entre Paris et Alger », écrivent ses soutiens, qui fustigent « un pouvoir algérien décidé à réprimer toute parole indépendante », et qui s'inquiètent des réquisitions du procureur d'Alger réclamant dix années de prison.« Ce qui équivaudrait tout simplement, si elles étaient confirmées, à une condamnation à mort » écrit le comité de soutien à Boualem Sansal. Ce dernier appelle « à contrarier ce funeste dessein, et à se mobiliser encore plus massivement, pour « exiger la libération immédiate » de l'écrivain franco-algérien ». D'où cette « grande manifestation » annoncée ce mardi, à Paris, 2 jours avant que la justice algérienne fasse connaître son verdict.Constance et déterminationDans la presse hebdomadaire également, un Vladimir Poutine plus menaçant que jamais. Le président russe est à la Une du Point, en treillis, avec ce titre : « L'étrangleur, comment le piège tendu par Poutine se referme ». C'est bien sûr de la guerre en Ukraine dont il est question, une guerre que Vladimir Poutine « n'a aucun intérêt immédiat » à cesser, estime l'hebdomadaire : « Bien au contraire, la logique militaire l'encourage à maintenir la pression sur l'armée ukrainienne. (…) Il a pour lui l'initiative, l'objectif, la stratégie, les moyens, et une fine compréhension de la psychologie de Donald Trump ».Donald Trump, ajoute le Point, « étale ses cartes, affirme sa prééminence, multiplie les ballons d'essai. Poutine au contraire est un artiste du marchandage. Il cache son jeu, dit l'inverse de ce qu'il pense, avance ses pions l'air de rien, mais avance avec constance et détermination ». Acceptera-t-il un cessez-le-feu ? S'il le faut, il le fera, anticipe le Point, « mais non sans avoir obtenu le maximum de concessions en échange ».Éminence griseDe son côté, l'Express se targue d'avoir interviewé « l'homme qui a fabriqué Poutine ». Interviewé, mais sans le rencontrer, car Vladislav Sourkov est plus que discret, il a donc répondu aux questions par écrit. C'est toutefois, nous dit l'Express, « sa première interview politique depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie ». L'hebdomadaire le présente comme « un redoutable politicien, celui que l'on peut considérer comme l'architecte du système russe ». Avant de tomber en disgrâce, « Vladislav Sourkov a servi Vladimir Poutine durant deux décennies, (…) éminence grise, faiseur de roi ». Et s'il a pris ses distances avec Vladimir Poutine, il n'en partage pas moins certaines de ses positions. « Il considère », nous dit le Point, « l'Ukraine comme une entité politique artificielle ». Et quand on lui demande quelle issue pourrait être considérée comme une victoire pour Moscou, il répond : « l'écrasement militaire ou militaro-diplomatique de l'Ukraine ». Et quand on l'interroge sur les frontières russes, il s'enflamme : « le monde russe n'a pas de frontières. Il est partout où l'on trouve une influence russe sous une forme ou sous une autre (…) nous nous étendrons donc dans toutes les directions aussi loin que Dieu le voudra et que nous en aurons la force ». Des propos que Vladimir Poutine ne renierait certainement pas.Abattu dans la rueAutre point chaud du Globe, la Syrie. « Massacres en Syrie, la mort en face », titre le Nouvel Obs , qui rappelle que « près de 1 500 personnes, dont trois quarts de civils, essentiellement alaouites, ont été tuées dans la région de Lattaquié. Les violences les plus meurtrières depuis l'installation du nouveau régime ».Le Nouvel Obs a interrogé un jeune homme de 29 ans, Anas, qui a survécu. Ses parents et son frère aussi. Mais, raconte l'hebdomadaire, « à une minute près, ils auraient pu finir comme leur voisin, que les milices alliées au pouvoir en place ont traîné hors de sa maison et ont abattu, là, dans la rue, à quelques mètres de leur fenêtre, comme un chien. Anas a tout vu, à travers les rideaux clairs du salon de la maison où toute la famille est restée cachée pendant trois jours ».« La famille d'Anas », poursuit le Nouvel Obs, « est alaouite ». « Ce qui ne l'empêche pas d'être résolument opposée au régime du clan de Bachar el Assad. » Samir, le père d'Anas, « a été arrêté et emprisonné dix ans dans une prison à Tartous, comme opposant politique ». Un argument qui ne pèse pas lourd à l'heure des règlements de compte. Quand les assaillants, « kalachnikov en bandoulières » ont débarqué, Anas a compris « qu'ils étaient résolus à mettre la ville à sac »
À Homs, dans le quartier de Zahra, peu de temps après des meurtres tragiques sur fond de tensions communautaires, nous plongeons au cœur d'un récit déchirant. La famille des victimes, issues de la minorité alaouite, raconte comment leur monde s'est effondré, et comment, dans un contexte de violences persistantes, la recherche de sécurité et de dignité devient une quête désespérée. De notre envoyé spécial à Homs,Il y a quelques jours, le quartier Zahra, à Homs, connu pour sa population à majorité alaouite, en Syrie, a été le théâtre d'un meurtre ayant coûté la vie à deux jeunes hommes issus de cette minorité. Comme le confirme Zaynab, la sœur des victimes, ce crime n'était pas un crime ordinaire, mais un meurtre communautaire perpétré par des hommes armés sur fond des combats qui ont eu lieu dans les zones côtières syriennes, entre les nouvelles autorités et les milices loyalistes de l'ancien régime.« Ceux qui les ont tués n'ont pas tué qu'eux, ils ont tué toute la famille. Mes frères, Dieu merci, sont désormais considérés comme des martyrs aux yeux de Dieu et reposent en paix, mais toute la famille a péri après leur mort, se désole Zaynab. Pourquoi ont-ils été tués si les criminels ne leur ont pas pris d'argent, ni aucun de leurs documents ? Ils les ont simplement tués et ont laissé une de leurs pièces d'identité sur la table. Mes frères étaient très polis, et vous pouvez demander à tous ceux qui les connaissaient, ils témoigneront qu'ils étaient de bonnes personnes. Mais ils sont partis et ne reviendront jamais, même s'ils représentaient tout pour nous. »Quant au père des victimes, il n'a pas de mots pour décrire sa douleur. Il souhaite quitter le pays avec les membres de sa famille encore en vie pour ne pas connaître le même sort que ses fils. « La vérité, c'est que nous avons perdu notre sécurité, notre sûreté et nos vies. J'ai tout perdu dans ma vie, dénonce-t-il. Quand les gens sont venus me présenter les condoléances, je leur ai dit que je ne voulais pas de condoléances, mais plutôt qu'on m'aide à quitter ce pays pour pouvoir élever les filles de mon fils et de ma fille. J'ai demandé aux gens de m'aider à aller dans n'importe quel pays. Je leur ai dit que je ne voulais ni argent, ni nourriture, je voulais juste la sécurité pour moi et ma famille, quel que soit le pays, que ce soit le Sénégal ou la Somalie. Nous sommes une famille simple qui n'a jamais cherché à obtenir une position politique ou un statut social. Nous aspirons simplement à vivre dans la dignité, sans luxe. »À lire aussi Syrie : la désinformation s'ajoute aux violences subies par la communauté alaouite« La loi martiale doit être instaurée »Avec la chute du régime de Bachar el-Assad, la vie de la communauté alaouite en Syrie a radicalement changé. Comme le dit Jamal, un homme lui aussi alaouite, tous vivent désormais dans une sorte de prison, confrontés à un danger de mort imminente à tout moment. « La sécurité est totalement inexistante dans le pays et le problème réside dans l'incapacité du gouvernement à contrôler ceux qui enfreignent la loi, juge-t-il. Par conséquent, la loi martiale doit être instaurée et tout homicide doit être condamné à mort par pendaison. »Comme chaque jour depuis les événements sur la côte, les membres de la communauté alaouite se barricadent dans leurs maisons après 17 heures. En attendant, dans la même ville, sur la place de l'horloge à Homs, des milliers de Syriens sunnites sont venus célébrer le nouveau régime et commémorer la révolution et leur victoire sur Assad, après 14 ans de lutte. À lire aussi Violences dans l'ouest de la Syrie : la commission d'enquête « déterminée à garantir la justice »
The overthrow of Bachar al-Assad's regime in Syria and its replacement by new rulers with close ties to Turkey are ringing alarm bells in Israel. RFI's correspondent reports on how Ankara and Jerusalem's deepening rivalry could impact Syria's future. Turkish President Recep Tayyip Erdogan's already strong support for the militant group Hamas has strained relations with Israel.Now, Syria is threatening to become a focal point of tension.Earlier this month, Erdogan issued a widely interpreted warning to Israel to stop undermining Damascus's new rulers."Those who hope to benefit from the instability of Syria by provoking ethnic and religious divisions should know that they will not achieve their goals," Erdogan declared at a meeting of ambassadors.Erdogan's speech followed Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu's offer to support Syria's Druze and Kurdish minorities."We will not allow our enemies in Lebanon and Syria to grow," Netanyahu told the Knesset. "At the same time, we extend our hand to our Druze and Kurdish allies."Gallia Lindenstrauss, an Israeli foreign policy specialist at the Institute for National Security Studies in Tel Aviv told RFI that Israel view is not very optimistic about the future of Syria, and sees it as a potential threat to Israel.Success of rebel groups in Syria advances Turkish agenda"The fact that Turkey will be dominant in Syria is also dangerous for Israel," adds Lindenstrauss."Turkey could build bases inside Syria and establish air defences there. This would limit Israel's room for manoeuvre and could pose a threat. Israel wants to avoid this and should therefore adopt a hard-line approach."Deepening rivalryAnkara and Jerusalem's deepening rivalry is shaping conflicting visions for the future of Syria.Selin Nasi, a visiting fellow at the London School of Economics' Contemporary Turkish Studies Department, "Turkey wants to see a secure and stabilised unitary state under Ahmad al-Sharaa's transitional government."Israel, on the other hand, wants to see a weak and fragmented Syria. Its main concern has always been securing its northern border," added Nasi.Israeli forces are occupying Syrian territory along their shared northern border, which is home to much of Syria's Druze minority.However, Israeli hopes of drawing Syria's Kurds away from Damascus suffered a setback when the Kurdish-led Syrian Democratic Forces (SDF), which controls part of Syria, signed an agreement on 10 March to merge part of its operations with Syria's transitional government.Mutual distrustAs Damascus consolidates control, analysts suggest Israel will be increasingly concerned about Turkey expanding its military presence inside Syria."If Turkey establishes military posts in the south of the country, close to the Israeli border, presumably with the permission of the government in Damascus," warns Soli Ozel, a lecturer in international relations at the Institute for Human Sciences in Vienna, "then the two sides would be in close proximity, with military forces on both sides. That, I believe, would create a highly dangerous, volatile, and incendiary situation."As Erdogan celebrates Turkish role in ousting Assad, uncertainty lies aheadAnalysts warn that if Turkey extends its military presence to include airbases, this could threaten Israel's currently unchallenged access to Syrian airspace.However, some observers believe that opportunities for cooperation may still exist."Things can change," says Israeli security analyst Lindenstrauss."Israel and Turkey could resume cooperation and potentially contribute to Syria's reconstruction in a way that does not threaten Israel. However, this does not appear to be the path the Erdogan regime is currently taking, nor does it seem to be the direction chosen by Netanyahu and his government."With Erdogan and Netanyahu making little secret of their mutual distrust, analysts warn that their rivalry is likely to spill over into Syria, further complicating the country's transition from the Assad regime.
Because this season is focused on the 1980's, and we are talking about the two best free soloists of their generations, Peter Croft and John Bachar, there is a Venn Diagram that puts today's guest squarely in the center: Jeff Smoot. In Jeff's book Hangdog Days: Conflict, Change and the Race for 5.14, he tells the tale of the beginnings of sport climbing in the U.S. - of Alan Watts and Todd Skinner - tales that John Bachar often plays the antagonist for. His most recent book, All and Nothing: Inside Free Soloing, takes a look at, among others, Bachar and Croft. And Jeff was there for much of it. As I've been doing research, his name has come up over and over again as the author of key articles. I had to talk to him. No brainer. Check out our website for related episodes, resources and more! Join the Secret Stoners Club for FREE and get bonus episodes. Enter to win a Ladies Weekend Out Scholarship from Rab! ---------------------------------- Season Two is generously supported by Rab. This episode is supported by Tension Climbing. Use code WRITTEN15 at checkout. This episode is supported by our research partner, NOLS: The National Outdoor Leadership School. Written in Stone is co-created with Power Company Climbing.
El 7 de marzo, el Gobierno sirio impuso el toque de queda en las provincias costeras de Latakia y Tartus para controlar la mayor insurrección a la que se ha enfrentado enfrenta desde la caída del régimen de Bachar el Asad el pasado diciembre. Desde ese día se calcula que hay más de un millar de muertos. En su mayoría civiles alauíes, incluidas matanzas que han conmocionado al país. Aunque el Gobierno ya da por terminadas las operaciones militares, queda por ver cómo va a afectar este episodio a la reconstrucción de un país que acababa de salir 13 años de guerra y 50 de dictadura. Créditos Realizado por: José Juan Morales Dirige y presenta: Silvia Cruz Lapeña Edición: Ana Ribera Diseño de sonido: Nicolás Tsabertidis Sintonía: Jorge Magaz
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur les attaques contre les Alaouites en Syrie et la candidature de Samuel Eto'o au comité exécutif de la CAF. Soudan : Khartoum accuse Abu Dhabi d'être « complice de génocide » Dans une requête déposée devant la Cour internationale de Justice (CIJ), les autorités soudanaises accusent les Émirats arabes unis d'être complices d'un « génocide » en raison de leur soutien présumé aux Forces de soutien rapide (FSR). Quels sont les arguments du Soudan ? Comment réagissent les Émiratis à ces accusations ? Si la CIJ se déclare compétente, que risque Abu Dhabi ?Avec Stéphanie Maupas, correspondante de RFI à La Haye. Syrie : les Alaouites ciblés par de violentes attaques Depuis le jeudi 6 mars, une centaine de civils de la minorité alaouite ont été tués par les forces de sécurités du nouveau régime et leurs alliés à l'ouest de la Syrie. Pourquoi les membres de cette communauté sont-ils autant persécutés depuis la chute de Bachar al-Assad ? Comment les nouvelles autorités syriennes comptent-elles empêcher de nouveaux massacres ?Avec Thomas Pierret, chargé de recherches à l'Institut de Recherches et d'Études sur les Mondes Arabes et Musulmans (IREMAM), spécialiste de la Syrie. CAF : Samuel Eto'o autorisé à se présenter au Comex Initialement rejetée par la Confédération africaine de football, la candidature de Samuel Eto'o à l'élection du comité exécutif de la CAF a été autorisée par le Tribunal arbitral du sport (TAS). Comment le TAS justifie-t-il cette décision ? S'il est élu vice-président de la CAF, quelles sont les chances de l'ex-attaquant de présider l'instance dans quatre ans ?Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.
Does Alex Honnold need an introduction? No, of course he doesn't. But he was particularly suited for this conversation about Bachar and Croft for several reasons: #1, Alex is a student of history. He cares about this stuff. If you haven't listened to his Climbing Gold podcast, you should. I highly recommend the Dope Lake series - it's a 5 part series about the 1976 plane crash in the Yosemite high country - a plane that was carrying 4 million dollars worth of marijuana. Go listen. #2, he's the obvious torch bearer for what these guys did - the soloing, yes, but also the pushing of Valley standards and the furthering of the conversation. And #3, because as much as I want these stories to be larger than life, I also wanted them to be rooted in a realistic look at what we can learn. And if there's anyone who can just be logical, it's Alex Honnold. In this episode we get into an interesting progression that Alex didn't even realize he was part of, meeting your heroes, mythologizing, big link ups, soloing, and what John Bachar and Peter Croft mean for climbing and for Alex personally. Check out our website for related episodes, resources and more! Join the Secret Stoners Club for FREE and get bonus episodes. Enter to win a Ladies Weekend Out Scholarship from Rab! ---------------------------------- Season Two is generously supported by Rab. This episode is supported by Tension Climbing. Use code WRITTEN15 at checkout. This episode is supported by our research partner, NOLS: The National Outdoor Leadership School. Written in Stone is co-created with Power Company Climbing. Cover photo of Alex by Christopher Michel
Ce lundi 10 mars, la Syrie qui est plongée dans des violences meurtrières seulement trois mois après la chute de Bachar al-Assad, une épreuve pour prouver l'efficacité du nouveau régime d'Al-Chareh, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:12:42 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Quatre mois après la chute du régime de Bachar al-Assad, de violents affrontements ont éclaté à l'ouest de la Syrie entre les forces armées du nouveau régime mené par Ahmed al-Charaa et des combattants fidèles au président déchu, entravant la transition souhaitée par les nouvelles autorités. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Wassim Nasr Journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes
durée : 00:19:45 - Journal de 12h30 - Des exactions innommables ont été perpétrées en Syrie contre des civils membres de la minorité, dont est issue le clan du président déchu Bachar al-Assad.
Dans cette édition :Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté en France pour la journée internationale des droits des femmes, avec des tensions à Paris entre certains collectifs et les forces de l'ordre.Trois mois après la chute du régime de Bachar al-Assad en Syrie, plus de 700 civils alaouites ont été tués dans l'ouest du pays par les nouvelles forces de sécurité et des groupes alliés, un défi majeur pour le nouveau pouvoir.Les discussions sur la trêve à Gaza se poursuivent, avec des signaux positifs pour sa poursuite selon le Hamas.L'équipe de France de rugby a nettement battu l'Irlande 42 à 27 dans le Tournoi des Six Nations, malgré la blessure de leur capitaine Antoine Dupont.Les partisans de l'autoroute A69 dans le sud-ouest ont manifesté pour demander la poursuite des travaux, suspendus pour des raisons environnementales.Un jeune de 15 ans a été poignardé à la gorge à Marseille, un fait divers révélateur de la recrudescence des violences avec armes blanches chez les jeunes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Con la resaca de la cumbre de ayer las autoridades de la UE siguen avanzando y reuniéndose para concretar su apoyo económico y militar a Ucrania pero también su proceso de rearme. Rusia es una amenaza real para la seguridad europea y parece que en general el continente ha despertado y las reticencias de hace algunos meses están desapareciendo. Durante el juicio a los violadores de Gisèle Pelicot algunas frases se escaparon de la sala del tribunal para aparecer pintadas en las calles de Avignon. Las autoras, un grupo de mujeres, las Amazonas de Avignon, a quienes hoy dedicamos parte del programa con nuestro corresponsal en París, Antonio Delgado. Vamos a estar también en República Democrática del Congo donde varias organizaciones impulsan la campaña “Mujeres en marcha” para que accedan a formación y atención sanitaria. Vamos a analizar también la situación de Siria en una entrevista porque alrededor de 150 personas han muerto, 69 de ellas ejecutadas, en dos días de enfrentamientos entre las fuerzas de la nueva administración y grupos leales al depuesto presidente Bachar al Asad. Y estaremos en Perú donde ha comenzado el juicio contra el expresidente Pedro Castillo por su intento de golpe de Estado en 2022. Escuchar audio
Depuis la chute de Bachar el-Assad en décembre 2024, la Syrie est dirigée par le groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS). Si le nouvel homme fort à la tête du pays, Ahmed Al-Charaa, multiplie les messages de modération et se veut rassurant vis-à-vis des minorités, les doutes demeurent sur les réelles intentions des nouvelles autorités. Les femmes craignent notamment la mise en place d'un modèle rigoriste, comme à Idlib, ville du nord-ouest de la Syrie, dirigée par les islamistes du HTS depuis 2017. Les témoignages de femmes relatant leur mauvaise expérience avec les nouveaux locataires du pouvoir émergent sur les réseaux sociaux, les déclarations des membres du gouvernement sont scrutées de près. Les récents propos de la présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme », ont notamment suscité de vives réactions. Elle invitait les femmes à « ne pas outrepasser les priorités de leur nature créée par Dieu », à savoir « leur rôle éducatif au sein de la famille ». La peur de voir la place des femmes se réduire dans la Syrie d'après Bachar est-elle fondée ? Quel rôle les femmes peuvent-elles jouer dans la reconstruction du pays ? Avec :• Hala Kodmani, journaliste, grand reporter à Libération et écrivaine • Dana Alboz, journaliste indépendante, correspondante à Damas pour France 24 et ancienne journaliste pour le site d'informations InfoMigrants En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam. Maria Maba raconte la vente de médicaments dans les rues de Kinshasa, un phénomène ancré dans l'économie informelle mais aux conséquences sanitaires inquiétantes.Prince Ntontolo nous fait découvrir l'univers fascinant des Sapeurs de Brazzaville, où l'élégance et la mise en scène vestimentaires sont un véritable art de vivre.Délivrance Tsé explore l'ennui sous toutes ses formes, entre désœuvrement et quête de créativité, dans un texte aussi introspectif qu'inspirant.Nous entendrons le témoignage de Yara Chamieh, jeune Syrienne de 30 ans à la tête d'un atelier de couture à Damas. Au micro de la journaliste Dana Alboz, elle raconte les années de guerre, défiant les obstacles imposés par un régime qui dominait l'économie du pays. Elle a su braver les traditions en tant que femme entrepreneure, dans un domaine souvent réservé aux hommes. Aujourd'hui, son regard est tourné vers la reconstruction de la Syrie, et bien qu'elle garde espoir, l'incertitude de l'avenir demeure. Programmation musicale :► Miss Understood - Little Simz► On My Way - James BKS.
It was 1986, over halfway through a decade that had brought turbulent change to climbing, and it was clear to John Bachar that even in Yosemite - hallowed ground as far as he was concerned - ethics were shifting. Sure, people still traveled here to do the big walls and to climb some of the classics, but the world knew that Yosemite and the once mighty best climbers in the world who called Camp 4 home, were now WAY behind. But John Bachar had an idea of how he could get this train back on track. It wasn't the first time he'd had to do this, and he knew exactly who he'd ask for help. This is the story of the John and the Bachar-Yerian, Peter Croft and the University Wall, and the first one day link-up ascent of El Cap and Half Dome. Check out our website for related episodes, resources and more! Join the Secret Stoners Club for FREE and get bonus episodes. Enter to win a Ladies Weekend Out Scholarship from Rab! ---------------------------------- Season Two is generously supported by Rab. This episode is supported by Tension Climbing. Use code WRITTEN15 at checkout. This episode is supported by our research partner, NOLS: The National Outdoor Leadership School. Written in Stone is co-created with Power Company Climbing.
Avant la chute de Bachar el-Assad, la Syrie comptait environ un million de fonctionnaires. Parmi eux, 300 000 étaient des employés fictifs, rémunérés sans exercer de véritables fonctions, en raison de relations familiales ou d'autre type de favoritisme. Le nouveau gouvernement a décidé de mettre fin à ces pratiques, laissant ces 300 000 personnes sans emploi et sans perspectives de réintégration dans la fonction publique. De notre correspondant à Damas,Comme des dizaines de fonctionnaires venus manifester ce jour-là devant le ministère de la Santé à Damas, Samir et Alia ne décolèrent pas. Cela fait 20 ans qu'ils y travaillent, avec un statut autrefois envié, aujourd'hui menacé par le nouveau pouvoir. Leur emploi, unique source de revenus pour leurs familles, est désormais sous la menace d'une décision qui met en péril leur avenir. « C'est inacceptable. Nous sommes des employés selon la loi et les règlements, et nous n'avons pas enfreint la loi, explique Samir. Nous respectons notre travail, et l'évaluation selon laquelle nous ne serions pas engagés n'est pas fondée. Il n'est pas logique de renvoyer 8 000 travailleurs des institutions du ministère de la Santé, et il n'est pas acceptable de fermer les centres de santé, au nombre de 25. La révolution est venue pour mettre fin à l'injustice et à la souffrance du peuple. Nous avons beaucoup souffert. » « Après toutes ces années de service, il est tout simplement injuste de nous expulser de nos fonctions au lieu de nous honorer et nous remercier, estime Alia. Il aurait été préférable de prendre une décision de retraite pour les employés plutôt que de les licencier, afin de garantir leurs droits après toutes ces années de travail. Nous devrions être informés de notre départ après 30 ans de service, de sorte à quitter notre fonction avec dignité et de manière appropriée. » Un salaire sans travaillerSelon le nouveau ministre des Finances, Mohammad Abazid, la chute du régime de Bachar el-Assad et l'arrivée d'un gouvernement intérimaire ont mis au jour une bureaucratie excessive et des irrégularités financières dans les ministères. Un système dont auraient profité des centaines de milliers d'employés fictifs :« Beaucoup recevaient leurs salaires tout en restant chez eux. Sur cette base, nous avons décidé de revoir les décisions de recrutement de tous les employés et d'étudier les listes nominatives pour pouvoir identifier les employés engagés et ceux qui ne méritent pas les salaires. Nous avons demandé au ministère des Finances de fournir aux institutions publiques les listes des employés réels et fictifs. Nous avons reçu 90% de ces listes et nous procéderons dans les jours à venir au versement des salaires aux employés et aux retraités. » Des fonctionnaires à qui le nouveau gouvernement promet une augmentation de salaires de 400% qui n'est, à ce jour, pas encore effective. Ils passeraient ainsi de 20-25 dollars par mois à 80 voire 100 dollars par mois. Cette situation illustre les défis auxquels le gouvernement intérimaire est confronté pour réformer l'administration publique tout en répondant aux préoccupations des employés quant à leur sécurité d'emploi et à leur bien-être économique. À lire aussiSyrie: à Alep, les chrétiens alternent entre signaux rassurants et inquiétude persistante
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C'est une nouvelle étape dans la transition syrienne : une conférence de dialogue national a été lancée lundi 24 février à Damas et doit se prolonger ce mardi avec six ateliers de discussions. L'un d'entre eux portera sur les libertés individuelles et les droits humains. Les nouvelles autorités syriennes affirment vouloir mener un processus inclusif, qui intègrera l'ensemble des communautés du pays. De nos envoyés spéciaux à Alep, avec Ahmad al-KhalafUn premier test de la volonté d'inclusivité du nouveau pouvoir en Syrie devrait être la formation dans les prochains jours d'un gouvernement censé représenter « autant que possible le peuple syrien ». Les nouvelles autorités s'efforcent de rassurer les minorités — kurdes, druzes, alaouites, chrétiennes… — qui ont exprimé des inquiétudes de voir arriver au pouvoir des islamistes. Alors que la transition se met en place, les chrétiens alternent aujourd'hui entre signaux rassurants et inquiétude persistante.À Alep, une vieille maison traditionnelle, portant le nom de l'ex-impératrice autrichienne Sissi, accueillait avant la guerre l'un des restaurants les plus huppés de la ville. Le gratin de la société syrienne et des visiteurs étrangers aisés venaient s'y restaurer. Ses beaux jours ont duré jusqu'en 2012. « Lorsque la guerre a commencé, la ligne de front se trouvait juste à côté, se souvient George Najarian, propriétaire des lieux. Il y a eu beaucoup de destructions. Nous avons dû fermer le restaurant et mettre le mobilier à l'abri. »Aujourd'hui, George Najarian, membre de la communauté arménienne d'Alep, travaille à la réouverture de son restaurant. Retrouver le faste d'antan est certainement encore lointain, mais il espère pouvoir reprendre une partie de son activité dans les prochains jours. « Maintenant, tout va bien. Et on espère que ça s'améliorera encore, confie le restaurateur. Le restaurant est grand, mais on ne va d'abord rouvrir que le café. Et si les affaires marchent bien, nous rouvrirons le reste. » À lire aussi Syrie : à Homs, la communauté chrétienne veut croire en un avenir en paix«C'est le chaos. Honnêtement, si on pouvait partir, on partirait»Une foi en l'avenir que ne partagent pas tous les chrétiens d'Alep. « Il y a des tensions. Des nouvelles tensions même, dénonce Reem Chahoud. Parce que nous n'avons pas de gouvernement. C'est le chaos. Honnêtement, si on pouvait partir, on partirait. »Et aux inquiétudes économiques et sécuritaires partagées par l'ensemble des communautés, s'ajoutent pour les chrétiens d'autres visant leurs droits. « Maintenant, ce qui nous fait peur, c'est qu'on nous impose le voile, qu'on nous empêche d'être libres, poursuit Reem Chahoud. Ou par exemple, qu'on interdise à une fille et à un garçon de marcher ensemble. Ça aussi, c'est arrivé. Alors, ça fait peur. » À lire aussi Quelle place pour les femmes dans la Syrie post-Assad ?« [Les autorités] nous ont dit de ne pas avoir peur »Des remarques, des pressions, dont la fréquence est difficile à quantifier, mais dont tous les chrétiens ont entendu parler depuis la chute du régime de Bachar el-Assad. Il s'agit toutefois d'actions de citoyens. Les nouvelles autorités, elles, se veulent rassurantes, souligne Joseph Tobji, l'archevêque maronite d'Alep : « Sincèrement, on a vu une gentillesse envers les chrétiens. [Les autorités] nous ont dit que nous sommes une composante essentielle de la patrie, donc de ne pas avoir peur. Mais il y a beaucoup de cas individuels. »La pression sociale augmente d'autant plus que l'autorité centrale est encore en phase de construction. Et lors de sa rencontre avec le nouveau dirigeant syrien Ahmed al-Charaa le 31 décembre, Mgr Joseph Tobji a plaidé pour une accélération de la transition. « Le temps n'est pas de notre côté », analyse celui qui craint une augmentation de l'émigration chrétienne. Et la menace pourrait être existentielle pour une communauté qui a déjà vu partir 80 % de ses membres durant la guerre.À lire aussiSyrie: la prison de Saidnaya, symbole de décennies de terreur méthodique et systématique
We have a returning guest and dear friend of mine who many of you know - the wildy talented Colton Bachar! Our conversation last year was so well-received that we knew it was time to run it back. Colton's experience as a videographer and editor goes far beyond the basic levels of creativity - he takes everything to the next level and it's been really special to see the work he has been putting out and the people he's collaborating with. We can't help but get deep whenever we talk and this episode goes straight into it. I know you will all enjoy this from the beginning to the end. Enjoy!
Marlins pitcher Lake Bachar joins the show to talk about his crazy 2024, his MLB debut, getting comfortable with Miami, and much more!
In this Nomad Futurist episode, Yuval Bachar, CEO of EdgeCloudLink (ECL), joins co-hosts Nabeel Mahmood and Phillip Koblence to explore ECL's innovative approach to sustainable and adaptable data centers, built to meet the unique demands of the AI era. Bachar shares insights into ECL's groundbreaking technology and vision for the future of digital infrastructure. ECL was founded with the goal of transforming traditional data centers — making them more accessible, efficient, and high-performing. Bachar explains:"We started to create and deliver an alternative data center solution in the market, and it was pre-AI. We had a vision to actually be able to create an alternative to the core locations that are accessible to everybody.” At the core of this vision is ECL's off-grid, hydrogen-powered data center, eliminating the need for UPS systems and diesel generators. Bachar highlights the safety and reliability of hydrogen as an energy source, emphasizing ECL's direct pipeline connections and stringent safety protocols to mitigate risks: "So the refineries in the area of Houston are heavy, heavy users of hydrogen, and they use it in their process for refining oil into gasoline... Imagine that they're operating this as part of a petrochemical process, right? So if it was dangerous and not manageable, they would not use it." Bachar unveils ECL's expansion plans with a one-gigawatt Texas site, designed to support both large AI models and smaller applications. Its modular, off-grid architecture enables rapid deployment and ensures it stays ahead of AI advancements: "We are looking for a solution right now, and it's coexisting [with] what's called, ‘over the fence,' with those sites and actually taking from them the energy directly... transitioning it into a data center quality power with on-site storage." Stay connected with Yuval Bachar on LinkedIn for updates on how ECL is redefining data center infrastructure for a more sustainable and AI-driven future.
durée : 00:16:23 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Dans ce dernier épisode, on s'intéresse au rôle décisif d'al-Joulani dans la chute du régime de Bachar el-Assad en décembre 2024, et aux perspectives ouvertes par son arrivée au pouvoir, pour la Syrie et pour l'équilibre de la région. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Wassim Nasr Journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes
durée : 00:16:23 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Dans ce dernier épisode, on s'intéresse au rôle décisif d'al-Joulani dans la chute du régime de Bachar el-Assad en décembre 2024, et aux perspectives ouvertes par son arrivée au pouvoir, pour la Syrie et pour l'équilibre de la région. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Wassim Nasr Journaliste à France 24, spécialiste des mouvements djihadistes
durée : 00:06:51 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le rêve de Moscou d'avoir sa première base navale sur le continent africain va se concrétiser, au Soudan. Cette annonce intervient après le renversement de Bachar al-Assad, allié de la Russie au Moyen-Orient. Désormais, c'est depuis la Libye que Moscou veut continuer sa conquête du Sahel.
C dans l'air l'invitée du 13 février : Margaux Benn Grand-reporter au service Étranger du Figaro, et réalisatrice, lauréate du prix Albert Londres 2022.La France entend jouer sa partition dans l'après Bachar al-Assad. Paris accueille, ce jeudi 13 février, une conférence internationale sur la transition politique et les immenses défis sécuritaires et économiques auxquels fait face la Syrie depuis le 8 décembre.Le chef de la diplomatie syrienne doit y participer. Assaad al-Chaibani effectue son premier voyage officiel dans l'Union européenne, après avoir été au Forum économique de Davos en Suisse en janvier.La conférence de Paris, la troisième du genre après des réunions en Jordanie et en Arabie saoudite depuis le renversement d'Assad, illustre l'attention de la communauté internationale, qui surveille le nouveau pouvoir comme le lait sur le feu et veut encourager la transition syrienne.