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C dans l'air du 1er octobre 2025 - Lecornu : pas de gouvernement et déjà un test dans la rueÀ peine nommé et déjà menacé. Alors qu'il devrait annoncer son nouveau gouvernement en fin de semaine, le Premier ministre Sébastien Lecornu voit peser sur lui la menace de la censure à deux semaines de l'examen par l'Assemblée nationale du projet de loi finances. Ces derniers jours, le nouveau locataire de Matignon a reçu les principales formations politiques, dont les socialistes avec qui il espère pactiser en vue d'éviter la censure. Pourtant, le représentant du PS est ressorti déçu des premières négociations. Vendredi, Sébastien Lecornu a confirmé dans le Parisien avoir écarté l'idée d'une taxe Zucman, le retour de l'Impôt sur la fortune ou la suspension de la réforme des retraites. "Si rien ne change, le résultat est déjà connu. Il y aura une censure, donc ce gouvernement tombera et il y aura vraisemblablement une dissolution", menace Olivier Faure, tandis que les députés Renaissance, dirigés par Gabriel Attal préparent déjà des élections législatives anticipées. Reste qu'il faut ménager le socle commun. Lundi, Sébastien Lecornu a dit que son futur gouvernement ferait des "propositions" de baisse d'impôts "notamment en faveur du travail".Dans l'attente d'une possible censure, les syndicats ne relâchent pas la pression et se préparent à une forte mobilisation jeudi, deux semaines après une première réussie (500 000 manifestants le 18 septembre). Les revendications des 8 organisations syndicales demeurent les mêmes : abandon du plan d'austérité de 44 milliards d'euros, suppression du report de l'âge à la retraite à 64 ans ou encore une meilleure justice fiscale. Parmi les principales figures de proue de ce mouvement, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binnet, mais aussi celle de la CFDT, Marylise Léon, réputée comme à l'écoute et mosdérée.Quand 68 % des Français se montrent favorables à la taxe Zucman, réclamée par la gauche, un homme s'y oppose. Entrepreneur ultralibéral, co-fondateur de la licorne Ledger, Eric Larchevêque veut alerter sur ce qu'il considère comme une mesure absurde. Selon lui, la plupart des entrepreneurs dont le patrimoine est composé d'actions, "c'est‑à‑dire en grande partie virtuel", seront incapables de payer cette taxe. Plus globalement, il estime que taxer davantage les riches ne changerait rien, car "la dette est colossale" et qu'un tel impôt ne ferait que fuir les chefs d'entreprises français.Sébastien Lecornu peut-il réussir à négocier un pacte de non censure avec la gauche ? Les syndicats peuvent-ils mettre davantage la pression sur le Premier ministre grâce à la mobilisation de demain ? Et pourquoi les entrepreneurs s'opposent à la taxe Zucman ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef du service politique - Le Point- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
C'est en tous cas ceux lui doivent le plus qui prennent le plus leurs distances. Même si Juppé, son mentor, avait été élu en 2017, jamais Philippe ne serait devenu premier ministre. Le Maire avait fait 2% à la primaire LR, Macron lui a offert un septennat complet à Bercy. Quant à Attal, à qui doit-il d'être devenu le plus jeune premier ministre que la France ait connu ? Aujourd'hui tous les trois sont d'une sévérité rare avec l'homme de la dissolution.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tuer le père, c'est la loi de la politique. Ruth Elkrief fait allusion au meeting de Gabriel Attal du dimanche. Pendant que le président de la République va délivrer son discours sur l'État palestinien à la tribune de l'ONU, cherchant un statut dans l'histoire, son camp l'a accablé ce week-end à Paris. Les flèches ont été tirées en réel, en public, au su et au vu de tous. L'Arctique est un enjeu économique majeur, mais tout le monde n'en a pas conscience. Toutes les grandes puissances s'y précipitent. Pour circuler dans cette région, il faut des navires adaptés. Et le nombre de brises-glace, selon François Lenglet, est un bon thermomètre. Tous les pays se lancent dans sa construction et c'est la Russie qui domine. La cérémonie d'hommage à Kirk a été spectaculaire : mobilisations gouvernementales hors norme, niveau de sécurité équivalent au Super Bowl, classée de la plus haute importance nationale au point qu'on a même vu Donald Trump et Elon Musk se serrer la main. Mais pour Abnousse Shalmani, un personnage a émergé. C'est la veuve du polémiste. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Cérémonie d'hommage à Charlie Kirk, influenceur américain décédé, en présence de nombreuses personnalités politiques de droite dont le président Trump et son vice-président.Reconnaissance de l'État de Palestine par plusieurs pays occidentaux, dont le Royaume-Uni, le Canada et l'Australie, avant la France qui devrait suivre lors de l'Assemblée Générale de l'ONU. Vives réactions du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.Discours de rentrée du patron du parti Renaissance, Gabriel Attal, qui prend ses distances avec Emmanuel Macron et se projette vers 2027.Procès de Cédric Jubilard, soupçonné d'avoir tué sa femme Delphine il y a 5 ans, malgré l'absence de preuves tangibles.Incendie criminel dans un immeuble de Strasbourg, faisant un mort et neuf blessés.Réouverture des tours de Notre-Dame de Paris aux visiteurs après leur restauration suite à l'incendie de 2019.Vigilance orange pour pluies et orages dans plusieurs départements, entraînant le report de certains événements sportifs.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des drapeaux palestiniens ont été hissés sur les façades de plusieurs mairies françaises, malgré les interdictions, suscitant des réactions mitigées parmi les habitants.Emmanuel Macron, dont la cote de popularité est au plus bas, reconnaîtra officiellement l'État de Palestine lors de son discours aux Nations Unies, tandis que Gabriel Attal, secrétaire général de Renaissance, prendra ses distances avec le président.Deux gendarmes ont été blessés lors d'une attaque par des tirs de mortiers d'artifice dans un quartier sensible de Grenoble, probablement pour permettre à des trafiquants de drogue d'agir en toute tranquillité.Les funérailles de l'influenceur conservateur américain Charlie Kerr, assassiné lors d'un meeting, se tiennent aujourd'hui avec un important dispositif de sécurité.La première pierre d'un centre de référence sur la maladie d'Alzheimer a été posée à Paris, dans le but de faire avancer la recherche sur cette maladie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le patron du parti Renaissance a prévu de placer son discours sous le signe de deux mots : la projection et l'émancipation. La projection dans une France d'après 2027 dont il dit qu'il faut revoir entièrement le modèle économique, social, culturel et institutionnel. Traduisons : ce qu'il va esquisser, c'est d'ores et déjà un projet présidentiel. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A Quinta República foi desenhada por De Gaulle para ser estável, mas o esgarçamento das prerrogativas presidenciais por Macron ajudou a pôr o país num ciclo contínuo de crise. Thomás Zicman de Barros, analista político Em meio à convulsão social e à crise política que têm marcado a França, vale tomar recuo. É fácil perder o foco nas intrigas palacianas, nas disputas no Parlamento, nos cálculos eleitorais e no jogo de culpas sobre quem acendeu o estopim de confrontos entre polícia e manifestantes. Quando afastamos a câmera, no entanto, a imagem fica nítida: Emmanuel Macron tem grande responsabilidade na instabilidade de um regime desenhado para ser estável. Como adiantei há duas semanas, na segunda-feira, 8 de setembro, a Assembleia Nacional derrubou o então primeiro-ministro François Bayrou: a confiança no governo foi rejeitada por 364 votos a 194. No dia seguinte, sem surpreender ninguém, Macron nomeou Sébastien Lecornu — um de seus aliados mais próximos — para o cargo. Ainda assim, a cena é espantosa: Lecornu é o quinto primeiro-ministro desde a reeleição de Macron, em 2022. Sim, o quinto — depois de Élisabeth Borne, Gabriel Attal, Michel Barnier e o próprio Bayrou. E os quatro últimos se revezaram só no último ano. Por que isso chama a atenção? Porque a Quinta República foi desenhada por Charles de Gaulle para estabilizar a política francesa, marcada, no pós-guerra, por crises sucessivas. O arranjo institucional levou ao limite o poder presidencial. Antes de chegar ao Palácio do Élysée, François Mitterrand descreveu esse desenho como um “golpe de Estado permanente”, por permitir que presidentes carismáticos tutelassem o Parlamento e contornassem o Legislativo por meio de referendos. Em 2000, a redução do mandato presidencial para cinco anos e a sincronização do calendário com as legislativas reforçaram ainda mais a estabilidade, praticamente eliminando a coabitação — quando o presidente perde a maioria e precisa nomear um primeiro-ministro da oposição. À luz disso, a crise quase permanente dos últimos anos salta aos olhos. É verdade que a turbulência é global. Mas Macron tem contribuído para agravá-la. Desde 2017, ele usa mal a poderosa caixa de ferramentas do presidencialismo francês — a ponto de desgastá-la. Seus predecessores, mesmo fortes, procuravam exercer prerrogativas dialogando com as forças sociais e políticas, os chamados “corpos intermediários”. Macron, jovem, ousado e estreante que por um capricho da história chegou ao topo, escolheu a via oposta. Chegou a descrever os franceses como “gauleses refratários à mudança”, dependentes do Estado, e defendia transformar o país numa “start-up nation” de cima para baixo — o que implicava pouco ou nenhum diálogo com sindicatos, prefeitos e partidos. Esse voluntarismo sem lastro levou à crise dos Gilets jaunes (Coletes amarelos), que incendiou o país entre o fim de 2018 e o início de 2019. Em 2022, veio a façanha: garantir a própria reeleição e, ao mesmo tempo, perder a maioria parlamentar — algo que poucos julgavam possível. Em 2024, ao tentar reverter o quadro com uma dissolução surpresa da Assembleia, reduziu ainda mais a bancada presidencial e agravou a crise de legitimidade. Ao longo de todo esse período, Macron — que em 2019 chegou a evocar De Gaulle para sustentar que um presidente sem apoio popular deveria renunciar, como o próprio fez em 1969 após perder um referendo — recusou-se a mudar de rumo. Preferiu explorar uma Assembleia fragmentada para fazer avançar políticas sem apoio majoritário. O resultado está à vista: em vez de “virar a página” da extrema direita, como havia prometido, os anos de Macron no poder assistiram à normalização e ao fortalecimento desse campo. Enquanto isso, a insatisfação que não encontra saída no Parlamento transborda novamente para as ruas. Lecornu tomou posse em 9 de setembro, na véspera do primeiro ato do movimento “Bloquons tout” (“Vamos bloquear tudo”). E, nesta quinta, 18 de setembro, está previsto o segundo momento da mobilização social, com as principais centrais convocando uma greve nacional. Em resumo: Macron conseguiu pôr uma República desenhada para a estabilidade no centro de um redemoinho. E não importa quantos primeiros-ministros se sucedam: a crise não se resolverá sem conversa, compromisso, concessões — e uma mudança de rumo capaz de reconstruir maiorias populares.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
Esta segunda-feira, 08 de Setembro, ao final do dia, a moção de confiança, pedida pelo primeiro-ministro francês François Bayrou, foi chumbada na Assembleia Nacional com 364 votos contra e 194 votos a favor. A votação levou à queda do executivo, que, de resto, já era previsível. A França mergulha assim num novo impasse político em vésperas de mobilização social. A grande incógnita é, segundo Eric Monteiro, professor de Ciências Políticas da Universidade de La Rochelle, saber quem terá condições para formar um Governo capaz de garantir estabilidade até 2027. Como é que fica a França? A França fica numa situação previsível porque era quase certo que o Governo ia cair e imprevisível porque há várias possibilidades. O actual ex-primeiro-ministro, primeiro-ministro demissionário Bayrou, não tinha obrigação nenhuma de pedir o voto de confiança, coisa que fez. E, por isso, encontramo-nos, mais ou menos, na mesma situação da dissolução de há um ano, Junho de 2024, onde não era necessário ter havido dissolução. A situação ficou pior. Estamos outra vez no mesmo quadro, ou seja, um parlamento com, teoricamente, três grandes grupos. Mas são grupos ideológicos: extrema-esquerda, extrema-direita e bloco central. Só que o bloco central decompõe-se em muitos blocos, em mini-blocos. Outra questão é que ninguém vai querer assumir a presidência do Governo tão perto das eleições presidenciais. Estamos a 18 meses das eleições presidenciais. Exactamente. No bloco republicano que vai, mais ou menos, do tradicional Partido Socialista ao Les Republicain (Republicanos), passando pelo grupo parlamentar do actual Presidente da República, existem candidatos potenciais. Mas ninguém vai querer assumir a gestão da crise para não queimar as asas e não ter hipóteses de ser eleito em 2027. Ou seja, para que a única figura que fique ‘queimada', a única figura política ‘queimada' seja Emmanuel Macron? Essa figura já está queimada. A questão já nem se põe. As sondagens ontem, 08 de Setembro, deram que a popularidade dele [Emmanuel Macron] atingiu uma taxa de 15%, ou seja, a mais baixa de toda a V República. Portanto, o papel presidencial até está posto em causa. Aliás, os extremos só querem isso. Querem a demissão do Presidente. A França Insubmissa e o Rassemblement Nacional [União Nacional] de Marine Le Pen só esperam uma coisa: que a situação esteja ingovernável a tal ponto que o presidente não tem outra solução que demitir-se. A extrema-direita de Marine Le Pen pede a dissolução da Assembleia Nacional e novas eleições legislativas. Emmanuel Macron não quer novas eleições legislativas, devido à impopularidade dele e do seu partido. Arrisca-se a ter um resultado miserável nessas eleições. Por outro lado, os socialistas pedem uma figura de esquerda e a extrema-esquerda, a França Insubmissa pede a demissão de Emmanuel Macron. Como é que se sai deste bloqueio? Eu acredito que não haverá dissolução porque, efectivamente, todos têm a perder. Se houvesse uma dissolução hoje, o Rassemblement Nacional [União Nacional] seria o primeiro partido francês, sem dúvida, mas com uma percentagem entre 30% e 35% do Parlamento. Seria uma maioria insuficiente para governar e para validar um orçamento. Claro que o Rassemblement Nacional [União Nacional] tem toda a vontade que haja eleições presidenciais antecipadas, porque a campanha seria só de 35 dias e em 35 dias é impossível, a não ser eles que estão prontos, apresentar um programa de governo e um programa de sociedade para os franceses. Portanto, o bloco republicano, que está contra os extremos, tem que encontrar uma solução para governar. Penso que o consenso para governar será possível. O que falta é o nome da pessoa para dirigir este Governo. Neste momento há nomes em cima da mesa, desde Xavier Bertrand - que o partido de Marine Le Pen já disse que não aceitaria; a presidente da Assembleia Nacional Yaël Braun-Pivet; a ministra do Trabalho e da Saúde Catherine Vautrin; o ministro da Defesa Sébastian Lecornu, e também o próprio ministro do Interior Bruno Retailleau. É preciso perceber qual destes nomes é que reúne o consenso necessário para aprovar o Orçamento de Estado para o próximo ano. Se não houver consenso, há uma lei especial que será votada, não ao shutdown' como nos Estados Unidos. O que acontece é que o orçamento do ano precedente é reconduzido nas mesmas modalidades para o ano seguinte. Isso permitiria a continuação do funcionamento da função pública, mas não é uma solução. Agora, todos os nomes que disse, Retailleau têm posições muito claras sobre a imigração. Poderia ter a adesão da extrema-direita, mas nunca teria a adesão da esquerda ou da extrema-esquerda. E ele próprio tem pretensões presidenciais. Portanto, duvido que qualquer dos nomes que disse, a não ser Sébastian Lecornu, que é o actual ministro da Defesa, que possa, porque a priori não têm pretensões presidenciais. Mas é complicado, dada a situação geopolítica mundial e ele tem sido um bom ministro da Defesa. Em todo o caso, em Dezembro, o próprio presidente Emmanuel Macron já tinha querido nomear Sébastian Lecornu, é um próximo de Macron. Mas foi nesse momento que François Bayrou se meteu no caminho e se impôs a Macron. Porque há muito tempo que François Bayrou queria ser primeiro-ministro. E não nos esqueçamos que ele vem do bloco mais ao centro, historicamente da direita, e foi um dos principais apoiantes de Macron em 2017. Portanto, não era do partido dele, mas trouxe-lhe o bloco central de centro direita. O que é dramático é a saída do Bayrou da maneira como saiu. Ele podia perfeitamente ter negociado durante o verão um consenso para validar um orçamento e não o fez. Disse: temos que fazer 44 mil milhões de poupança para o orçamento do ano que vem. A União Europeia só perdia 25 mil milhões por ano. E propôs medidas extremamente impopulares no momento em que a população francesa tem um descrédito total em relação aos políticos, qualquer que seja a origem partidária deles. A única expectativa para que haja estabilidade política em França passa por uma verdadeira campanha eleitoral, de vários meses, com um projecto de sociedade para 2027 e que atrás disso haja uma maioria parlamentar. Até aí, a única solução é garantir à União Europeia que a França fará esforços para reembolsar, pelo menos, 25 mil milhões de euros por ano até às presidenciais e que haja um consenso de "não moção" de censura. O que nos falta é o nome. Pode, por exemplo, Emmanuel Macron fazer aquilo que o ex-primeiro-ministro Gabriel Attal pediu: a nomeação de um negociador para testar as coligações possíveis e pediu também que Emmanuel Macron deveria estar mais aberto à partilha de poder. É exequível? Acho pouco credível. Quem negocia é quem vai formar o Governo. É necessário, que, desde ontem à noite, haja alguém que esteja na sombra já a negociar um compromisso de Governo entre a esquerda progressista, o centro ex-macronista - embora tenham sido eleitos com a etiqueta Macron - e os Republicanos. Duvido muito que uma pessoa faça essa negociação para depois não ser primeiro-ministro. E pode esperar-se um primeiro-ministro ainda hoje para que amanhã não haja um vazio de poder. O movimento “Bloquons tout” [Bloquemos tudo] apela a uma mobilização geral nas ruas esta quarta-feira, há greves marcadas… Acho que nomear hoje seria aumentar a crise. Mas, Emmanuel Macron já teve 15 dias antes do chumbo da moção de confiança do primeiro-ministro, não foi apanhado de surpresa. Já teve algum tempo para pensar e para analisar os diferentes cenários. Mas Macron habituou-nos, desde que é Presidente, quer no primeiro mandato, quer no segundo, que cada vez que nos anuncia que vai rapidamente nomear um primeiro-ministro, demora semanas. Aliás, é o Presidente que demorou mais tempo a nomear governos de toda a V República. Na véspera de um dia de bloqueio nacional, seria insensato nomear alguém, porque, em regra geral, o primeiro-ministro é nomeado para poder formar um Governo e só 15 dias depois é que o Governo está completo. Imagino muito mal o Presidente da República nomear um primeiro-ministro na véspera de movimentos sociais importantíssimos, onde o ministro da Administração Interna tem que estar no gabinete dele a dar ordens. Suponho que não haverá nomeação hoje nem amanhã, depois do movimento social. Depende de como vai o dia amanhã? Só depois é que haverá a nomeação de um primeiro-ministro. Posso me enganar, mas todos os que têm aspirações políticas, ambição presidencial, vejo-os muito mal aceitar hoje a liderança de um Governo que poderia durar só três meses. O que é que se pode esperar do dia de amanhã? Uma mobilização que nos faz lembrar os coletes amarelos? Exactamente. À partida a ideia não era um movimento social que iria bloquear o país. A ideia era bloquear a economia, ou seja, ninguém comprava nada e mostrar que durante um dia podemos não fazer entrar IVA nos cofres do Estado. Isso era mais uma ideia de centro e da direita. Na prática, a extrema-esquerda incita à desobediência republicana e ao levantamento popular. Portanto, amanhã, provavelmente, todas as rotundas vão estar bloqueadas. Eu próprio não poderei dar aulas na minha faculdade. Suponho que os meus estudantes não conseguirão chegar à universidade. É diferente dos coletes amarelos, há um cansaço da população e acho que a própria população não aceitaria meses e meses de bloqueio como houve. Outra coisa, o movimento de amanhã é num dia de semana, ou seja, todas as pessoas que vão manifestar vão meter um dia de greve, vão perder um dia de salário. Portanto, fazer durar uma crise política onde os salários mais baixos iriam perder cinco, dez, 15 dias de salário é impensável, suponho. Espero que não haja destruições de bens públicos, porque é sempre terrível. Mas vai haver, provavelmente. Depois é essa imagem que fica, não a imagem das reivindicações, mas a imagem da destruição. São muito localizadas as destruições. Visto dos Estados Unidos, por exemplo, dá a impressão que a França está em guerra civil. É claro que vai haver confrontos com a polícia, vai haver cenas violentas, mas a França não está em estado de guerra e os franceses não querem isso. Veremos amanhã, mas provavelmente hoje não haverá novo primeiro-ministro nem amanhã, porque amanhã vai ser dia de crise e precisamos de um ministro da Administração Interna para gerir a situação.
C dans l'air l'invitée du 4 septembre 2025 avec Virginie Sassoon, docteure en sciences de l'information et de la communication et directrice adjointe du Clemi, autrice avec François Saltiel de "Faire la paix avec nos écrans", aux éditions Flammarion.Depuis la rentrée, les téléphones portables sont bannis au collège. C'est le dispositif "portable en pause" qui consiste à laisser son téléphone dans un sac ou un casier gardé sous clé. Face aux drames liés aux réseaux sociaux, notamment la mort en direct de Jean Pormanove, ou encore le suicide de mineurs influencés par des vidéos sur les réseaux sociaux, les autorités cherchent à trouver des bonnes pratiques pour protéger les plus jeunes.Aujourd'hui, la commission d'enquête parlementaire sur les effets psychologiques de Tiktok sur les mineurs livre ses résultats. Certains jeunes « expliquent leur mal-être, la façon dont ils sont descendus dans une espèce d'enfer, à ne plus réussir à dormir, à se sentir plus moche que les autres […] Et avoir une vraie dépression à la suite de l'usage des réseaux » affirme Laure Miller, rapporteure de cette Commission d'enquête. Face à ces phénomènes, certains, comme le député Gabriel Attal ou le pédopsychiatre Marcel Rufo, proposent une interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans, et un couvre-feu. Des propositions soutenues par les jeunes : 70% d'entre eux sont favorables à une interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans, selon une récente étude Odoxa pour Acadomia Alors comment protéger nos enfants ? Virginie Sassoon reviendra avec nous sur les effets délétères d'une mauvaise utilisation des écrans, et sur la façon dont on pourrait mieux tirer profit de ces outils, notamment pour l'apprentissage. Elle nous donnera des clés pour mieux appréhender Internet dans la vie de famille, un outil avec lequel il faut "faire la paix", tout en évitant de se sentir "surbmergé", selon elle. Elle nous donnera aussi son avis sur l'interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans, ou encore sur celle des portables au collège.
Una nueva crisis política puede abrirse en Francia a partir de la previsible caída de su primer ministro, François Bayrou. Analizamos los escenarios que tendría Macron en un contexto de movimientos sociales que marcan el calendario de septiembre. ¿La repetición de legislativas es una solución a la inestabilidad de Francia? Pregunta que se hacen varias editoriales de la prensa en estos momentos. Se da por descontada la caída del primer ministro francés, François Bayrou, este lunes por falta de apoyos ante una moción de confianza que él mismo ha querido asumir ante la previsible falta de apoyos para sus draconianos recortes en los presupuestos. Si eso pasa, se podría abrir una nueva crisis política y Macron tendrá que decidir entre buscar un remplazo o bien convocar nuevas elecciones legislativas. Ninguna solución va a ser fácil y a esto se podría añadir un estallido social con varias convocatorias para paros y huelgas en los próximos días. Los mercados están recogiendo estas turbulencias y Francia se interroga sobre cómo reconducir su disparada deuda de 3,3 billones de euros. Un déficit de 5,4% del PIB, cifra muy lejos del 3% que marca Bruselas. Nos acompañan para analizar esta situación: -Florencia Angeles, corresponsal de la W radio -Fernando Vega Lugo, analista político -Pompeo Coppola, periodista especializado en temas internacionales Coordinación editorial: Florencia Valdés Realización: Souheil Khedir , Yann Bourdelas y Stéphane Défossez Presenta: Carlos Herranz
Una nueva crisis política puede abrirse en Francia a partir de la previsible caída de su primer ministro, François Bayrou. Analizamos los escenarios que tendría Macron en un contexto de movimientos sociales que marcan el calendario de septiembre. ¿La repetición de legislativas es una solución a la inestabilidad de Francia? Pregunta que se hacen varias editoriales de la prensa en estos momentos. Se da por descontada la caída del primer ministro francés, François Bayrou, este lunes por falta de apoyos ante una moción de confianza que él mismo ha querido asumir ante la previsible falta de apoyos para sus draconianos recortes en los presupuestos. Si eso pasa, se podría abrir una nueva crisis política y Macron tendrá que decidir entre buscar un remplazo o bien convocar nuevas elecciones legislativas. Ninguna solución va a ser fácil y a esto se podría añadir un estallido social con varias convocatorias para paros y huelgas en los próximos días. Los mercados están recogiendo estas turbulencias y Francia se interroga sobre cómo reconducir su disparada deuda de 3,3 billones de euros. Un déficit de 5,4% del PIB, cifra muy lejos del 3% que marca Bruselas. Nos acompañan para analizar esta situación: -Florencia Angeles, corresponsal de la W radio -Fernando Vega Lugo, analista político -Pompeo Coppola, periodista especializado en temas internacionales Coordinación editorial: Florencia Valdés Realización: Souheil Khedir , Yann Bourdelas y Stéphane Défossez Presenta: Carlos Herranz
C dans l'air du 3 septembre 2025 - Macron: et maintenant, cap à gauche ?À six jours du vote de confiance au Parlement, qui semble perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant toujours sa chute –, un dernier Conseil des ministres s'est probablement tenu ce mercredi midi, alors que la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée.Comme l'a révélé Le Figaro, le chef de l'État a reçu mardi, pour déjeuner, les chefs des quatre principaux partis du bloc central : Gabriel Attal pour Renaissance, François Bayrou pour le MoDem, Édouard Philippe pour Horizons et Bruno Retailleau pour Les Républicains (LR), afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lors du vote de lundi prochain et les enjoindre à travailler avec le Parti socialiste (PS).Et en coulisses, plusieurs noms circulent : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Catherine Vautrin, Bernard Cazeneuve…Si les rumeurs sur le nom de son éventuel successeur courent déjà, François Bayrou continue ce mercredi ses consultations avec les partis politiques et sa tournée des médias, dans l'espoir de retourner la situation en sa faveur. Se disant « réaliste » mais refusant d'être « défaitiste », il a de nouveau appelé les députés à le maintenir à Matignon, mettant en garde contre « l'instabilité » : « Si vous êtes représentant du peuple, comme c'est la vocation d'un député (…) alors vous devez vous demander où est l'intérêt national. Est-ce que, oui ou non, cette situation dans le monde (…) est grave et urgente ? Ma réponse : elle est grave et urgente », a-t-il assuré.Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française, depuis que le chef du gouvernement a annoncé qu'il demanderait un vote de confiance sur le budget. Hier, le taux des obligations assimilables du Trésor (OAT) à 30 ans a ainsi bondi de sept points de base, atteignant 4,5 %. Il s'agit de son plus haut niveau depuis 2009, sous les effets de la grande crise financière.Alors, qui à Matignon ? Croissance, déficit, taux… quelles conséquences en cas de chute du gouvernement Bayrou ? Et quel budget pour réduire la dette ?Nos journalistes ont rencontré Jean-Louis Borloo. L'ancien ministre, président-fondateur de l'UDI et ancien maire de Valenciennes, plaide pour un grand plan de réorganisation de l'État, avec, à la clé selon lui, 150 milliards d'euros d'économies.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique et conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - Dominique SEUX - Éditorialiste aux Echos et à France Inter- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Soazig QUEMENER - rédactrice en chef à la Tribune Dimanche
durée : 00:04:11 - Le Reportage de la rédaction - Annoncé par Gabriel Attal et lancé en août 2024, le service civique écologique fête son premier anniversaire. Alors que l'ambition était de former d'ici 2027 50 000 volontaires, que pensent les principaux concernés de cette forme d'engagement ? Reportage sur le bassin d'Arcachon.
durée : 00:03:18 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - François Bayrou et Gabriel Attal ont tenu compagnie à Daniel hier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:04:11 - Le Reportage de la rédaction - Annoncé par Gabriel Attal et lancé en août 2024, le service civique écologique fête son premier anniversaire. Alors que l'ambition était de former d'ici 2027 50 000 volontaires, que pensent les principaux concernés de cette forme d'engagement ? Reportage sur le bassin d'Arcachon.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors d'un débat de clôture de l'université d'été du MEDEF, les représentants politiques de divers horizons – Gabriel Attal, Jordan Bardella, Manuel Bompard, Fabien Roussel ou encore Marine Tondelier – ont exposé leurs points de vue, témoignant de divergences dans leur perception de la situation. « Alors ce n'est pas un parti pris pour ma part, mais c'est plutôt Gabriel Attal, Bruno Retailleau et, dans une certaine mesure, Jordan Bardella qui se sont montrés les plus conscients des périls qu'on rencontre et surtout de ce qui se passe dans le reste du monde. Je veux dire par là que, dans leur couloir, certains n'ont même pas fait référence aux Etats-Unis, au prix de l'énergie, au durcissement de la concurrence incroyable. »Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'émission du 28 août 2025, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité François Bayrou, Jean Castex et Gabriel Attal. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTLHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans l'émission du 28 août 2025, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité François Bayrou, Jean Castex et Gabriel Attal. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTLHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 04:00:20 - La Grande matinale - par : Nicolas Demorand, Sonia Devillers, Benjamin Duhamel, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans la Grande Matinale de France Inter, à 7h50, Gabriel Attal, à 8h20 un plateau après l'annonce du vote de confiance pour Bayrou, vers une nouvelle crise politique et sociale ? Et à 9h20, le magistrat Youssef Badr, auteur de “Pour une justice aux 1000 visages”. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:15 - L'invité de 7h50 - Gabriel Attal, député des Hauts-de-Seine, président du groupe EPR à l'Assemblée nationale, était l'invité de France Inter ce mercredi. - invités : Gabriel Attal - Gabriel Attal : Premier ministre du 9 janvier au 5 septembre 2024, député des Hauts-de-Seine, président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale, secrétaire général du parti Renaissance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:15 - L'invité de 7h50 - Gabriel Attal, député des Hauts-de-Seine, président du groupe EPR à l'Assemblée nationale, était l'invité de France Inter ce mercredi. - invités : Gabriel Attal - Gabriel Attal : Premier ministre du 9 janvier au 5 septembre 2024, député des Hauts-de-Seine, président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale, secrétaire général du parti Renaissance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, il revient sur le vote de confiance auquel va se confronter François Bayrou le 8 septembre. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs : - Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquant - Joseph Macé-Scaron, écrivain et essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Thomas Schnell scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la catastrophe boursière annoncée n'a pas eu lieu, les vignes en danger face aux droits de douane, Gabriel Attal brise le tabou de la GPA et et l'université d'été du Medef Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'ancien premier ministre et président du parti Renaissance s'affranchit de la vulgate d'Emmanuel Macron, qui s'oppose à toute légalisation de la GPA. Gabriel Attal attend d'ici la fin de l'année des propositions de sa formation sur une potentielle autorisation de cette pratique, à condition qu'elle soit « éthique »Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, éditorialiste, chef de service au JDD - Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Christophe Buisson analyse les récentes déclarations d'Emmanuel Macron lors d'un événement des Jeunes En Marche. Le président semble vouloir garder la main sur sa succession, au détriment de son fidèle lieutenant Gabriel Attal. Cette intervention surprise soulève des questions sur les ambitions présidentielles de Macron pour l'avenir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste à CNEWS. - Paul Melun, essayiste et écrivain et auteur de l'ouvrage "Et si le prochain président était un roi ? République ou monarchie, un match pour la démocratie" (Ed.Marueil). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste à CNEWS. - Paul Melun, essayiste et écrivain et auteur de l'ouvrage "Et si le prochain président était un roi ? République ou monarchie, un match pour la démocratie" (Ed.Marueil). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 30 juin 2025 avec Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l'université Lumière Lyon-II et économiste au laboratoire d'évaluation des politiques publiques de Sciences-Po.Jeudi, le Premier ministre François Bayrou a énuméré devant la presse les "avancées" permises par les négociations sur les retraites qui pourraient être reprises dans un budget à l'automne. Les syndicats et le patronat réunis en "conclave" n'ont pas trouvé d'accord global sur les retraites, mais ils ont dégagé des compromis sur plusieurs points. Et, vendredi, la CFDT a refusé, à l'instar de la CFTC et de la CFE-CGC, de jouer les prolongations, comme l'avait proposé le Premier ministre la veille.Aujourd'hui dans les Echos, l'ancien Premier ministre Gabriel Attal a dit vouloir en finir avec l'âge de départ unique, une norme devenue inutile selon lui. Le départ à la retraite ne se fixerait que sur la base de la durée de cotisation. Un système financé par une dose de capitalisation : chacun met de côté pour sa future retraite plutôt que de financer celle des retraités actuels. Édouard Philippe lui aussi a vanté les mérites de la capitalisation il y a quelques semaines, et dévoilait aussi les contours de sa réforme des retraites qu'il proposera pour 2027. Alors comment financer durablement notre système de retraites, dont le déficit devrait atteindre près de 15 milliards d'euros en 2035 selon la Cour des comptes ? Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l'université Lumière Lyon-II et économiste au laboratoire d'évaluation des politiques publiques de Sciences-Po, est notre invité.
Ce mardi 1er juillet, les pistes du budget 2026, la question de l'augmentation des salaires voulue par Gabriel Attal, et la guerre des monnaies, ont été abordées par Christian de Boissieu, professeur à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Christophe Boucher, professeur à l'Université Paris-Nanterre et directeur des investissements d'ABN Amro, et Éric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 30 juin, les répercussions économiques des engagements climatiques de l'Europe, la mise en place prochainement, par le gouvernement, d'un produit d'épargne pour financer la défense, ainsi que la proposition choc de Gabriel Attal, qui propose 40 milliards d'euros de hausse sur les salaires, ont été abordés par André Loesekrug-Pietri, président de JEDI, Christian Parisot, économiste et conseiller de Aurel BGC, et Jezabel Couppey-Soubeyran, maître de conférences à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:04:06 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Jordan Bardella, Marine Le Pen et Gabriel Attal : voilà le top 3 des personnalités politiques avec lesquelles les Français voudraient partir en vacances. Daniel, lui, choisit Gérard Larcher !
Why has Macron become so unpopular? Where is the discussion of international law when it comes to the conflict between Israel and Iran? Why can't the French and the English coordinate to stop the small boats crisis? Alastair and Rory are joined by former French Prime Minister Gabriel Attal to discuss all this and more. Sign up to Revolut Business today via: https://get.revolut.com/z4lF/leading, and add money to your account to get a £200 welcome bonus. This offer's only available until 7th July 2025 and other T&Cs apply. TRIP Plus: Become a member of The Rest Is Politics Plus to support the podcast, receive our exclusive newsletter, enjoy ad-free listening to both TRIP and Leading, benefit from discount book prices on titles mentioned on the pod, join our Discord chatroom, and receive early access to live show tickets and Question Time episodes. Just head to therestispolitics.com to sign up, or start a free trial today on Apple Podcasts: apple.co/therestispolitics. Instagram: @restispolitics Twitter: @RestIsPolitics Email: restispolitics@gmail.com Social Producer: Celine Charles Assistant Producer: Alice Horrell Producer: Nicole Maslen Senior Producer: Dom Johnson Head of Content: Tom Whiter Exec Producers: Tony Pastor + Jack Davenport Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
durée : 00:07:59 - La Question du jour - par : Antoine Dhulster - L'Assemblée a adopté la loi portée par Gabriel Attal pour élever Alfred Dreyfus au rang de général de brigade à titre posthume. Voté à l'unanimité, ce texte marque une nouvelle étape dans la réhabilitation de l'officier, mais aussi et surtout une réparation pour le préjudice subi dans sa carrière. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Vincent Duclert Historien, chercheur titulaire à l'EHESS, inspecteur général de l'Éducation nationale, professeur associé à Sciences Po
Au Lido de Paris, Marc-Antoine Le Bret fait sa série d'imitations habituelle face à Ahmed Sylla : Emmanuel Macron, Gabriel Attal, Francis Lalanne... Il fait rire toute l'assemblée ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à Élodie Fontan, ce 6 mai 2025, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité Emmanuel Macron, Gabriel Attal ou encore Jean-Luc Reichmann. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.