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Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 01/05/2025, il revient sur les mots du Roi Charles III évoque le caractère "effrayant" d'un diagnostic de cancer. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi et dimanche dans Europe 1 Matin Week-end, Lénaïg Monier reçoit un invité pour évoquer les dernières actualités. Aujourd'hui, Florence Mangin, ambassadrice de France près le Saint-Siège, est invitée pour évoquer le point de vue du Vatican sur la France et son rôle d'ambassadrice.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans la gang ➜ Ils poursuivent un prof car leur enfant a eu zéro dans une évaluation ! Faites-vous deux repas différents parce que vous avez des difficiles à la maison ? Josiane Aubuchon nous jase de sa passion ... pour les sectes! Bonne écoute!
Trump commente les tarifs à l’exportation d’électricité. Le président américain est fâché contre le roi Charles III… On a plus de détails sur la collision entre deux bateaux. Un homme jaloux accusé de meurtre prémédité. Mickey 17, le nouveau film de Bong Joon-ho est en salles. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:04:32 - De Bob Marley à Beyoncé : dans les oreilles du Roi Charles III - par : Max Dozolme - Saviez-vous que le Roi Charles faisait aussi de la radio ? C'est ce que nous prouve The Kings Music Room, une émission d'une heure disponible exclusivement sur Apple Music et dans laquelle le monarque mélomane de 76 ans partage ses coups de cœur musicaux, symboles de la diversité du Commonwealth.
Enquête publique SAAQclic. Retour sur Trump-Zelensky à Washington et sur le Sommet à Londres. Tarifs dès demain? Trudeau d'audience avec le Roi Charles III. Anora, grand gagnant des Oscars. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Enquête publique SAAQclic. Retour sur Trump-Zelensky à Washington et sur le Sommet à Londres. Tarifs dès demain? Trudeau d'audience avec le Roi Charles III. Anora, grand gagnant des Oscars. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ecoutez RTL Soir avec Yves Calvi du 25 décembre 2024.
Le château de Windsor, le Palais de Buckingham, le château de Balmoral, la tour de Londres, le palais de Westminster… Quʹelles soient des résidences privées ou des propriétés appartenant à la couronne, le dépositaire de ce vaste parc immobilier nʹest autre que le Roi Charles III. Johanne Dussez vous propose un tour dʹhorizon des résidences les plus emblématiques avec Philippe Chassaigne professeur dʹhistoire contemporaine, Rémy Bethmont professeur de civilisation britannique et lʹanimateur Stéphane Bern
Rencontre avec Vincent Jouffroy, acteur incontournable de la scène culturelle à Bordeaux et bien au-delà, artiste notamment à l'origine des excellents projets I Am Stramgram et Terland, dont le dernier single « Personne n'écoute » est disponible sur les plateformes depuis mi-novembre 2024. Installés tous les deux confortablement dans le home studio de Vincent à Bègles, nous dressons les contours de ces deux créations distinctes mais complémentaires, nous explorons les autres projets artistiques de Vincent, nous découvrons quelques secrets de fabrication de « Personne n'écoute », nous parlons des exigences des réseaux sociaux, et nous nous attardons également sur Sufjan Stevens, sur la venue à Bordeaux du Roi Charles III et évoquons au passage une prestation dans le rayon saumon d'un supermarché. Site internet de Vincent Jouffroy « Personne n'écoute » sur toutes les plateformes L'univers Terland Site internet I Am Stramgram
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Ce ne sont pas vos terres", a lancé la sénatrice Lidia Thorpe à l'attention du souverain britannique qui effectue en ce moment sa première visite en Australie en tant que chef de l'État. Elle a évoqué la colonisation européenne et le "génocide" subi par le peuple aborigène, avant d'être évacuée.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Ce ne sont pas vos terres", a lancé la sénatrice Lidia Thorpe à l'attention du souverain britannique qui effectue en ce moment sa première visite en Australie en tant que chef de l'État. Elle a évoqué la colonisation européenne et le "génocide" subi par le peuple aborigène, avant d'être évacuée.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - "Ce ne sont pas vos terres", a lancé la sénatrice Lidia Thorpe à l'attention du souverain britannique qui effectue en ce moment sa première visite en Australie en tant que chef de l'État. Elle a évoqué la colonisation européenne et le "génocide" subi par le peuple aborigène, avant d'être évacuée.
PODCAST - Le Prince Andrew, frère cadet du Roi Charles III, a longtemps été le chouchou de la Couronne britannique. Sauf que le fils préféré d'Elizabeth II, empêtré dans l'affaire Epstein, est aujourd'hui un paria, condamné à passer le reste de sa vie dans l'ombre et le silence. Comment en est-il arrivé là ? Comment Andrew est-il devenu un Prince déchu ? Pour en parler, "Confidentiel" reçoit Adelaïde de Clermont-Tonnerre, directrice du magazine "Point de vue".
PODCAST - Le Prince Andrew, frère cadet du Roi Charles III, a longtemps été le chouchou de la Couronne britannique. Sauf que le fils préféré d'Elizabeth II, empêtré dans l'affaire Epstein, est aujourd'hui un paria, condamné à passer le reste de sa vie dans l'ombre et le silence. Comment en est-il arrivé là ? Comment Andrew est-il devenu un Prince déchu ? Pour en parler, "Confidentiel" reçoit Adelaïde de Clermont-Tonnerre, directrice du magazine "Point de vue".
Andrew, le fils de la reine Elizabeth II, frère cadet du Roi Charles III, longtemps chouchou de la Couronne est devenu un paria Comment en est-il arrivé là ? Comment a t il pu fréquenter pendant 20 ans le criminel, pédophile, Jeffrey Epstein ? Ecoutez Confidentiel avec Anthony Martin du 12 octobre 2024.
PODCAST - Le Prince Andrew, frère cadet du Roi Charles III, a longtemps été le chouchou de la Couronne britannique. Sauf que le fils préféré d'Elizabeth II, empêtré dans l'affaire Epstein, est aujourd'hui un paria, condamné à passer le reste de sa vie dans l'ombre et le silence. Comment en est-il arrivé là ? Comment Andrew est-il devenu un Prince déchu ? Pour en parler, "Confidentiel" reçoit Adelaïde de Clermont-Tonnerre, directrice du magazine "Point de vue".
PODCAST - Le Prince Andrew, frère cadet du Roi Charles III, a longtemps été le chouchou de la Couronne britannique. Sauf que le fils préféré d'Elizabeth II, empêtré dans l'affaire Epstein, est aujourd'hui un paria, condamné à passer le reste de sa vie dans l'ombre et le silence. Comment en est-il arrivé là ? Comment Andrew est-il devenu un Prince déchu ? Pour en parler, "Confidentiel" reçoit Adelaïde de Clermont-Tonnerre, directrice du magazine "Point de vue".
PODCAST - Le Prince Andrew, frère cadet du Roi Charles III, a longtemps été le chouchou de la Couronne britannique. Sauf que le fils préféré d'Elizabeth II, empêtré dans l'affaire Epstein, est aujourd'hui un paria, condamné à passer le reste de sa vie dans l'ombre et le silence. Comment en est-il arrivé là ? Comment Andrew est-il devenu un Prince déchu ? Pour en parler, "Confidentiel" reçoit Adelaïde de Clermont-Tonnerre, directrice du magazine "Point de vue".
Le 6 mai dernier, au cours d'une cérémonie qui puise ses racines dans l'histoire de l'Angleterre, le Roi Charles III a été couronné et sacré. Sa femme, la Reine Camilla, l'a été également.Or, rien de tel ne s'est produit lors du couronnement de la Reine Elizabeth II, en 1953. Si la Reine a bien été couronnée, son mari, le prince Philip, n'a pas eu droit à cet honneur.Il était en effet considéré comme un "prince consort", et non pas comme un Roi.Le titre de "consort" est donné, dans les Monarchies, au Roi comme à la Reine. Ainsi, le titre de Reine consort donné par les médias à la Reine Camilla, et qui pouvait paraître un peu singulier à certains, est-il d'un usage courant.Ainsi, le prince Philip ne fut donc considéré que comme "prince consort", même s'il ne porta pas ce titre de manière officielle. En effet, la Reine lui avait conféré, en 1957, le titre, officiel celui-ci, de "prince du Royaume-Uni".Un usage qui remonte à la Reine VictoriaOr, le duc d'Edimbourg (un autre titre du prince Philip) n'étant pas Roi, il ne pouvait être couronné. En effet, seuls les Rois et les Reines sont les héros de cette cérémonie.Cet usage de considérer l'époux de la Reine comme prince consort remonte à la Reine Victoria. Elle fut en effet la première à faire de son mari, le prince Albert, un prince consort.Une telle solution a été adoptée pour bien marquer la différence entre la Reine régnante et la Reine consort, épouse du Roi.Ce titre de prince consort fut également reconnu aux époux des trois Reines qui se sont succédé sur le trône des Pays-Bas, Wilhelmine, Juliana et Béatrix, ainsi qu'au prince Henrik, époux de la Reine Margrethe II de Danemark. Ce dernier aurait d'ailleurs souhaité obtenir le titre de Roi consort, et n'ajamais caché son dépit d'en avoir été privé.Dans l'histoire contemporaine, seul le mari de la Reine Isabelle II d'Espagne, qui règne de 1833 à 1866, eut droit au titre de Roi consort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les souverains anglais maintiennent un lien très étroit avec l'Église de leur pays. On l'a encore constaté, le 6 mai dernier, quand le Roi Charles III a été couronné et sacré par l'archevêque de Cantorbéry.Mais ce lien se manifeste également par les titres religieux que porte le monarque. En effet, le Roi d'Angleterre est, de nos jours encore, le « gouverneur suprême de l'Église d'Angleterre ». Ce titre remonte à 1534, quand le Roi Henry VIII, rompant toute relation avec le Pape, crée une nouvelle religion nationale, l'anglicanisme.Par l'Acte de suprématie, Henry VIII s'arroge le titre de chef suprême de l''Église d'Angleterre, dont il prend la tête. Depuis le règne d'Élizabeth Ière (1558-1603), ce titre s'est légèrement modifié, pour prendre son intitulé actuel.En tant que gouverneur suprême, le Roi désigne les principaux dignitaires de l' Égliseanglicane. En fait, comme la plupart des prérogatives royales, celle-ci est exercée par le Premier ministre, dont le souverain se contente de ratifier le choix.Défenseur de toutes les fois?Dans la titulature du Roi d'Angleterre, apparaît un autre titre religieux, celui de « défenseur de la foi ». Ce titre fut, pour la première fois, attribué à Henry VIII en 1521.Le Pape récompensait, par ce titre prestigieux, l'écriture, par le souverain, d'un traité défendant le catholicisme contre les premiers assauts de la Réforme protestante. C'était au temps où Henry VIII, qui se piquait de théologie, était encore dans le giron de l'Église catholique.Quand il s'en sépara, quelques années plus tard, le Pape le priva d'untitre qui n'avait plus lieu d'être. Toutefois, le Parlement le lui restitua en 1544. Depuis lors, il a été porté par tous ses successeurs.Depuis longtemps, le Roi actuel, Charles III, conscient de la diversité de sessujets, réclame une modification de ce titre. Il se voudrait en effet, non pas le défenseur de « la » foi (donc de la seule religion anglicane), mais de toutes les sensibilités religieuses qui se manifestent dans son Royaume. Il reste à voir si son désir sera satisfait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Irlande du Nord, la loi très controversée sur les Troubles devrait être abrogée. La loi Héritage et réconciliation, adoptée en septembre de l'année dernière, vise à mettre un terme à toutes les enquêtes futures sur les meurtres non élucidés commis pendant ces Troubles. Le roi Charles III a récemment promis la révocation de cette loi, une promesse qui ravive l'espoir des familles des victimes de ce conflit sanglant, qui aura duré 30 ans et fait 3 500 morts. De notre envoyée spéciale à Derry,En 1972, Bogside, à Derry, fût le théâtre du tragique Bloody Sunday, manifestation qui s'était soldée par la mort de 14 personnes. Le petit frère de Jean Hegarty faisait partie des victimes. Il s'appelait Kevin : « Il avait 17 ans, c'était un garçon relativement calme et timide. Il avait commencé un travail comme apprenti boucher, explique-t-elle, dans le quartier de Bogside, il participait à certaines des émeutes, là, sur William Street, quand il a été abattu, juste en face d'ici ! Il rampait vers un endroit sûr, quand on lui a tiré dessus, dans le dos. Il a atteint la porte de l'appartement, mais quand ils l'ont fait rentrer, il était mort. »Plus de 25 ans après la signature de l'accord de paix de 1998, 1 200 décès font toujours l'objet d'une enquête policière. Or, la loi Legacy Act a été dénoncée par ses opposants comme une « amnistie » : elle accordait en effet une forme d'immunité aux auteurs de crimes commis pendant cette période. À lire aussiL'Irlande du Nord commémore 25 ans d'une paix fragileC'est dans ce contexte qu'ouvre un tout nouveau musée : le Derry Peacemakers Museum, le musée des artisans de la paix de Derry. Michael Cooper en est le chef de projet. D'après lui, cette loi n'œuvrait pas pour la paix : « Ça empêchait les familles des personnes tuées pendant le conflit de demander justice, de quel côté que ce soit, mais dans le cas des habitants d'ici, ils ont perdu des proches à cause des forces de britanniques, ça allait toujours entraîner un déni de justice ! Donc, je dirais que les proches des victimes ici sont très, très satisfaits que la loi Héritage soit révoquée et remplacée. » L'attente et l'espoir de ce qui pourrait remplacer la loi Legacy ActÀ 5 minutes à pied du nouveau musée, un autre, celui de Free Derry ! Le conservateur, Adrian Kerr, confie : « C'était l'une des très rares choses qui nous a tous unis ces dernières années, tout le monde ici s'opposait [à cette loi]. Même si nous voulons vraiment voir cette loi disparaître, il n'y a pas une grande confiance dans ce que le gouvernement britannique va faire pour la remplacer. Donc, attendons de voir ! »Pour Jean Hegarty, seul le temps dira si les travaillistes au pouvoir tiendront parole : « En vérité, je ne sais pas vraiment ce que signifie cette révocation… Je ne sais pas ce que cela signifiera pour notre famille, pour Kevin, pour les familles du Bloody Sunday et les autres. Je vais devoir attendre et voir ce que ça va donner ! »La balle est désormais dans le camp de Westminster, qui doit décider de la date exacte à laquelle la loi disparaîtra. Il semblerait que ce n'est qu'à ce moment-là que l'Irlande retirera officiellement la procédure judiciaire qu'elle avait entamée contre le Royaume-Uni.À lire aussiIrlande du Nord: la difficile destruction des murs de la paix à Belfast
Le château de Windsor, le Palais de Buckingham, le château de Balmoral, la tour de Londres, le palais de Westminster… Quʹelles soient des résidences privées ou des propriétés appartenant à la couronne, le dépositaire de ce vaste parc immobilier nʹest autre que le Roi Charles III. Johanne Dussez vous propose un tour dʹhorizon des résidences les plus emblématiques avec Philippe Chassaigne professeur dʹhistoire contemporaine, Rémy Bethmont professeur de civilisation britannique et lʹanimateur Stéphane Bern
durée : 00:25:15 - Pretty Yende, soprano (1/5) - par : Judith Chaine - La soprano sud africaine Pretty Yende a connu en l'espace de 10 ans un succès fulgurant. Le grand public la découvre lors du couronnement du Roi Charles III en mai 2023. De passage à Paris pour incarner Olympia dans les Contes d'Hoffmann, la belcantiste revient sur son incroyable ascension ! - réalisé par : Françoise Cordey
durée : 00:25:22 - Pretty Yende, soprano (2/5) - par : Judith Chaine - La soprano sud africaine Pretty Yende a connu en l'espace de 10 ans un succès fulgurant. Le grand public la découvre lors du couronnement du Roi Charles III en mai 2023. De passage à Paris pour incarner Olympia dans les Contes d'Hoffmann, la belcantiste revient sur son incroyable ascension ! - réalisé par : Françoise Cordey
durée : 00:25:14 - Pretty Yende, soprano (4/5) - par : Judith Chaine - La soprano sud africaine Pretty Yende a connu en l'espace de 10 ans un succès fulgurant. Le grand public la découvre lors du couronnement du Roi Charles III en mai 2023. De passage à Paris pour incarner Olympia dans les Contes d'Hoffmann, la belcantiste revient sur son incroyable ascension ! - réalisé par : Françoise Cordey
durée : 00:25:15 - Pretty Yende, soprano (5/5) - par : Judith Chaine - La soprano sud africaine Pretty Yende a connu en l'espace de 10 ans un succès fulgurant. Le grand public la découvre lors du couronnement du Roi Charles III en mai 2023. De passage à Paris pour incarner Olympia dans les Contes d'Hoffmann, la belcantiste revient sur son incroyable ascension !. - réalisé par : Françoise Cordey
durée : 00:25:14 - Pretty Yende, soprano (3/5) - par : Judith Chaine - La soprano sud africaine Pretty Yende a connu en l'espace de 10 ans un succès fulgurant. Le grand public la découvre lors du couronnement du Roi Charles III en mai 2023. De passage à Paris pour incarner Olympia dans les Contes d'Hoffmann, la belcantiste revient sur son incroyable ascension ! - réalisé par : Françoise Cordey
“Dans notre vin, on veut rendre le génie du lieu”. Propriétaire avec son époux Daniel du château Smith Haut Lafitte, cru classé de Graves, Florence Cathiard revient dans cet entretien avec les journalistes César Compadre et Mathieu Hervé sur un parcours de vie et des convictions sur le vin. Du plus haut niveau des pistes de ski jusqu'au sillon d'un cheval de trait dans les vignes, après avoir pris les autoroutes de la grande distribution et du marketing… “Nous sommes entrés en vin comme on entre en religion”. Elle raconte aussi avec verve et détails un évènement qui a valu à sa propriété un coup de projecteur mondial : la visite des souverains du Royaume-Uni, le roi Charles III et la reine Camilla. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 06 février 2024, 17h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AK2X.A
Ce lundi 5 février, Buckingham Palace a annoncé que le Roi Charles III était atteint d'un cancer. Quels soins va-t-il recevoir ? Qui va remplacer le roi dans ses fonctions ? Comment réagissent les Britanniques ? Explications de Marie Billon, correspondante RTL à Londres. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
C'est à la Une de tous les journaux britanniques : le Roi Charles III est atteint d'un cancer. Pour en parler, Philippe Turle, journaliste britannique et auteur d'une biographie du Roi, et la correspondante de RTL à Londres, Marie Billon. Ecoutez L'invité de RTL Midi du 06 février 2024 avec Agnès Bonfillon et Eric Brunet.
"On commence avec cette très mauvaise nouvelle venue d'Angleterre, Buckingham Palace a annoncé que le Roi Charles III était atteint d'une forme de cancer, sans en dire plus… il a juste été précisé qu'il ne s'agissait pas de la prostate…"
Éditorial de Yasmine AbdelfadelPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pour trouver une raison, il faut remonter à l'époque de l'un de ses ancêtres, le roi Georges II, qui régnait sur l'Angleterre au 18è siècle, et plus précisément en 1748, quand ce dernier prit une étrange décision... Les Grosses Têtes vous proposent de découvrir ou redécouvrir le podcast de Florian Gazan. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
Pour trouver une raison, il faut remonter à l'époque de l'un de ses ancêtres, le roi Georges II, qui régnait sur l'Angleterre au 18è siècle, et plus précisément en 1748, quand ce dernier prit une étrange décision... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Quatre jours pour refaire l'Histoire : le Roi Charles III est attendu, de pied ferme, à Nairobi où la commission kenyane des droits de l'homme réclame "excuses publiques sans équivoque" pour les abus de l'empire britannique pendant la période coloniale.
durée : 00:03:17 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Quatre jours pour refaire l'Histoire : le Roi Charles III est attendu, de pied ferme, à Nairobi où la commission kenyane des droits de l'homme réclame "excuses publiques sans équivoque" pour les abus de l'empire britannique pendant la période coloniale.
Le 6 mai dernier, au cours d'une cérémonie qui puise ses racines dans l'histoire de l'Angleterre, le Roi Charles III a été couronné et sacré. Sa femme, la Reine Camilla, l'a été également. Or, rien de tel ne s'est produit lors du couronnement de la Reine Elizabeth II, en 1953. Si la Reine a bien été couronnée, son mari, le prince Philip, n'a pas eu droit à cet honneur. Il était en effet considéré comme un "prince consort", et non pas comme un Roi. Le titre de "consort" est donné, dans les Monarchies, au Roi comme à la Reine. Ainsi, le titre de Reine consort donné par les médias à la Reine Camilla, et qui pouvait paraître un peu singulier à certains, est-il d'un usage courant. Ainsi, le prince Philip ne fut donc considéré que comme "prince consort", même s'il ne porta pas ce titre de manière officielle. En effet, la Reine lui avait conféré, en 1957, le titre, officiel celui-ci, de "prince du Royaume-Uni". Un usage qui remonte à la Reine Victoria Or, le duc d'Edimbourg (un autre titre du prince Philip) n'étant pas Roi, il ne pouvait être couronné. En effet, seuls les Rois et les Reines sont les héros de cette cérémonie. Cet usage de considérer l'époux de la Reine comme prince consort remonte à la Reine Victoria. Elle fut en effet la première à faire de son mari, le prince Albert, un prince consort. Une telle solution a été adoptée pour bien marquer la différence entre la Reine régnante et la Reine consort, épouse du Roi. Ce titre de prince consort fut également reconnu aux époux des trois Reines qui se sont succédé sur le trône des Pays-Bas, Wilhelmine, Juliana et Béatrix, ainsi qu'au prince Henrik, époux de la Reine Margrethe II de Danemark. Ce dernier aurait d'ailleurs souhaité obtenir le titre de Roi consort, et n'ajamais caché son dépit d'en avoir été privé. Dans l'histoire contemporaine, seul le mari de la Reine Isabelle II d'Espagne, qui règne de 1833 à 1866, eut droit au titre de Roi consort. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le 6 mai dernier, au cours d'une cérémonie qui puise ses racines dans l'histoire de l'Angleterre, le Roi Charles III a été couronné et sacré. Sa femme, la Reine Camilla, l'a été également.Or, rien de tel ne s'est produit lors du couronnement de la Reine Elizabeth II, en 1953. Si la Reine a bien été couronnée, son mari, le prince Philip, n'a pas eu droit à cet honneur.Il était en effet considéré comme un "prince consort", et non pas comme un Roi.Le titre de "consort" est donné, dans les Monarchies, au Roi comme à la Reine. Ainsi, le titre de Reine consort donné par les médias à la Reine Camilla, et qui pouvait paraître un peu singulier à certains, est-il d'un usage courant.Ainsi, le prince Philip ne fut donc considéré que comme "prince consort", même s'il ne porta pas ce titre de manière officielle. En effet, la Reine lui avait conféré, en 1957, le titre, officiel celui-ci, de "prince du Royaume-Uni".Un usage qui remonte à la Reine VictoriaOr, le duc d'Edimbourg (un autre titre du prince Philip) n'étant pas Roi, il ne pouvait être couronné. En effet, seuls les Rois et les Reines sont les héros de cette cérémonie.Cet usage de considérer l'époux de la Reine comme prince consort remonte à la Reine Victoria. Elle fut en effet la première à faire de son mari, le prince Albert, un prince consort.Une telle solution a été adoptée pour bien marquer la différence entre la Reine régnante et la Reine consort, épouse du Roi.Ce titre de prince consort fut également reconnu aux époux des trois Reines qui se sont succédé sur le trône des Pays-Bas, Wilhelmine, Juliana et Béatrix, ainsi qu'au prince Henrik, époux de la Reine Margrethe II de Danemark. Ce dernier aurait d'ailleurs souhaité obtenir le titre de Roi consort, et n'ajamais caché son dépit d'en avoir été privé.Dans l'histoire contemporaine, seul le mari de la Reine Isabelle II d'Espagne, qui règne de 1833 à 1866, eut droit au titre de Roi consort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 6 mai dernier, le Roi Charles III a été couronné dans l'abbaye de Westminster, comme la plupart de ses prédécesseurs. Cette cérémonie comprend plusieurs parties bien distinctes. L'une d'elles, l'onction, fait du Roi une sorte de prêtre.Même si la Monarchie britannique n'est plus, depuis longtemps, une Monarchie absolue, c'est par cette onction que se manifeste l'origine divine du pouvoir royal.C'est d'ailleurs ce caractère particulier qui explique que cette partie de la cérémonie soit cachée aux yeux du public par des panneaux. Cette onction consiste, pour l'archevêque de Cantorbéry, qui sacre le Roi, à déposer sur sa tête, ses paumes et sa poitrine, quelques gouttes d'une huile spéciale, appelée le "saint chrême".C'était la même huile qui servait à sacrer les Rois de France et quelques autres. À noter que la Reine Camilla, couronnée en compagnie de son époux, a également été sacrée. Dans le cas de la Reine consort, cependant, la cérémonie de l'onction est plus courte.Une huile particulièreL'huile utilisée pour le sacre du Roi d'Angleterre a été préparée spécialement pour l'occasion. Cette huile d'olives ne vient pas de n'importe où. En effet, les olives qui ont servi à son élaboration ont été cueillies sur le mont des Oliviers, où Jésus s'était retiré avant son arrestation.C'est aussi en ce lieu qu'est enterrée la grand-mère du souverain, la princesse Alice de Battenberg, qui s'était convertie à la foi orthodoxe.Les olives ont été pressées à Bethléem, lieu de naissance du Christ. On y a ajouté des essences de jasmin, de rose, de fleur d'oranger et de cannelle. L'huile obtenue contient aussi de l'ambre gris et de l'huile de civette.Cette huile a ensuite été versée dans une ampoule spéciale, comparable à la "sainte ampoule", conservée à l'église Saint-Remi de Reims, et qui contenait l'huile destinée au sacre des Rois de France.Le saint-chrême destiné au sacre de Charles III a été consacré par le patriarche de Jérusalem et l'archevêque anglican de la cité, au cours d'une cérémonie qui s'est tenue dans la basilique du Saint-Sépulcre, censée abriter le tombeau du Christ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 6 mai dernier, le Roi Charles III a été couronné dans l'abbaye de Westminster, comme la plupart de ses prédécesseurs. Cette cérémonie comprend plusieurs parties bien distinctes. L'une d'elles, l'onction, fait du Roi une sorte de prêtre. Même si la Monarchie britannique n'est plus, depuis longtemps, une Monarchie absolue, c'est par cette onction que se manifeste l'origine divine du pouvoir royal. C'est d'ailleurs ce caractère particulier qui explique que cette partie de la cérémonie soit cachée aux yeux du public par des panneaux. Cette onction consiste, pour l'archevêque de Cantorbéry, qui sacre le Roi, à déposer sur sa tête, ses paumes et sa poitrine, quelques gouttes d'une huile spéciale, appelée le "saint chrême". C'était la même huile qui servait à sacrer les Rois de France et quelques autres. À noter que la Reine Camilla, couronnée en compagnie de son époux, a également été sacrée. Dans le cas de la Reine consort, cependant, la cérémonie de l'onction est plus courte. Une huile particulière L'huile utilisée pour le sacre du Roi d'Angleterre a été préparée spécialement pour l'occasion. Cette huile d'olives ne vient pas de n'importe où. En effet, les olives qui ont servi à son élaboration ont été cueillies sur le mont des Oliviers, où Jésus s'était retiré avant son arrestation. C'est aussi en ce lieu qu'est enterrée la grand-mère du souverain, la princesse Alice de Battenberg, qui s'était convertie à la foi orthodoxe. Les olives ont été pressées à Bethléem, lieu de naissance du Christ. On y a ajouté des essences de jasmin, de rose, de fleur d'oranger et de cannelle. L'huile obtenue contient aussi de l'ambre gris et de l'huile de civette. Cette huile a ensuite été versée dans une ampoule spéciale, comparable à la "sainte ampoule", conservée à l'église Saint-Remi de Reims, et qui contenait l'huile destinée au sacre des Rois de France. Le saint-chrême destiné au sacre de Charles III a été consacré par le patriarche de Jérusalem et l'archevêque anglican de la cité, au cours d'une cérémonie qui s'est tenue dans la basilique du Saint-Sépulcre, censée abriter le tombeau du Christ. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les souverains anglais maintiennent un lien très étroit avec l'Église de leur pays. On l'a encore constaté, le 6 mai dernier, quand le Roi Charles III a été couronné et sacré par l'archevêque de Cantorbéry.Mais ce lien se manifeste également par les titres religieux que porte le monarque. En effet, le Roi d'Angleterre est, de nos jours encore, le « gouverneur suprême de l'Église d'Angleterre ». Ce titre remonte à 1534, quand le Roi Henry VIII, rompant toute relation avec le Pape, crée une nouvelle religion nationale, l'anglicanisme.Par l'Acte de suprématie, Henry VIII s'arroge le titre de chef suprême de l''Église d'Angleterre, dont il prend la tête. Depuis le règne d'Élizabeth Ière (1558-1603), ce titre s'est légèrement modifié, pour prendre son intitulé actuel.En tant que gouverneur suprême, le Roi désigne les principaux dignitaires de l' Égliseanglicane. En fait, comme la plupart des prérogatives royales, celle-ci est exercée par le Premier ministre, dont le souverain se contente de ratifier le choix.Défenseur de toutes les fois?Dans la titulature du Roi d'Angleterre, apparaît un autre titre religieux, celui de « défenseur de la foi ». Ce titre fut, pour la première fois, attribué à Henry VIII en 1521.Le Pape récompensait, par ce titre prestigieux, l'écriture, par le souverain, d'un traité défendant le catholicisme contre les premiers assauts de la Réforme protestante. C'était au temps où Henry VIII, qui se piquait de théologie, était encore dans le giron de l'Église catholique.Quand il s'en sépara, quelques années plus tard, le Pape le priva d'untitre qui n'avait plus lieu d'être. Toutefois, le Parlement le lui restitua en 1544. Depuis lors, il a été porté par tous ses successeurs.Depuis longtemps, le Roi actuel, Charles III, conscient de la diversité de sessujets, réclame une modification de ce titre. Il se voudrait en effet, non pas le défenseur de « la » foi (donc de la seule religion anglicane), mais de toutes les sensibilités religieuses qui se manifestent dans son Royaume. Il reste à voir si son désir sera satisfait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les souverains anglais maintiennent un lien très étroit avec l'Église de leur pays. On l'a encore constaté, le 6 mai dernier, quand le Roi Charles III a été couronné et sacré par l'archevêque de Cantorbéry. Mais ce lien se manifeste également par les titres religieux que porte le monarque. En effet, le Roi d'Angleterre est, de nos jours encore, le « gouverneur suprême de l'Église d'Angleterre ». Ce titre remonte à 1534, quand le Roi Henry VIII, rompant toute relation avec le Pape, crée une nouvelle religion nationale, l'anglicanisme. Par l'Acte de suprématie, Henry VIII s'arroge le titre de chef suprême de l''Église d'Angleterre, dont il prend la tête. Depuis le règne d'Élizabeth Ière (1558-1603), ce titre s'est légèrement modifié, pour prendre son intitulé actuel. En tant que gouverneur suprême, le Roi désigne les principaux dignitaires de l' Église anglicane. En fait, comme la plupart des prérogatives royales, celle-ci est exercée par le Premier ministre, dont le souverain se contente de ratifier le choix. Défenseur de toutes les fois? Dans la titulature du Roi d'Angleterre, apparaît un autre titre religieux, celui de « défenseur de la foi ». Ce titre fut, pour la première fois, attribué à Henry VIII en 1521. Le Pape récompensait, par ce titre prestigieux, l'écriture, par le souverain, d'un traité défendant le catholicisme contre les premiers assauts de la Réforme protestante. C'était au temps où Henry VIII, qui se piquait de théologie, était encore dans le giron de l'Église catholique. Quand il s'en sépara, quelques années plus tard, le Pape le priva d'un titre qui n'avait plus lieu d'être. Toutefois, le Parlement le lui restitua en 1544. Depuis lors, il a été porté par tous ses successeurs. Depuis longtemps, le Roi actuel, Charles III, conscient de la diversité de ses sujets, réclame une modification de ce titre. Il se voudrait en effet, non pas le défenseur de « la » foi (donc de la seule religion anglicane), mais de toutes les sensibilités religieuses qui se manifestent dans son Royaume. Il reste à voir si son désir sera satisfait. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La Pologne honorera finalement ses livraisons d'armes à l'Ukraine, et se dit prête à discuter des céréales. De l'autre côté de l'Europe, le Roi Charles III est en visite officielle en France. Les relations bilatérales se réchauffent.
C dans l'air l'invité du 20 septembre avec Pierrick Geais, reporter à Paris Match, spécialiste des têtes couronnées, auteur de Prince William - La vraie vie d'un futur roi. Six mois après le rendez-vous manqué suite au mouvement contre la réforme des retraites, le Roi Charles III et son épouse Camilla arrivent à Paris ce mercredi pour une visite d'Etat de trois jours. Ils doivent séjourner dans la capitale avant de se rendre à Bordeaux. Un programme millimétré les attend. Il y aura d'abord une cérémonie à l'Arc de Triomphe puis un dîner à Versailles ce soir, un passage en Seine-Saint-Denis après un discours au Sénat que Charles III prononcera, un détour par le parvis de Notre-Dame de Paris puis une visite au muséum d'Histoire naturelle pour clore une table ronde ministérielle consacrée à la finance climat et la biodiversité. Cette visite d'État se clôturera par une journée à Bordeaux. L'objectif de cette venue est, selon un communiqué de la maison royale, de célébrer "l'histoire, les valeurs et la culture commune du Royaume-Uni et de la France". Une manière pour la Grande-Bretagne de montrer que malgré la rupture avec l'Union européenne, elle continue à entretenir des bonnes relations avec un des pays moteurs de l'Europe. Mais la France, de son côté, a aussi à y gagner. Pour Pierrick Geais, après le report de cette visite il y a six mois, "on a quelque chose à prouver aux Anglais avec la séquence du dîner à Versailles qui va être une vitrine parfaite de ce que la France fait de mieux avec : la musique, l'art de vivre, la gastronomie”. Pierrick Geais est reporter à Paris Match, spécialiste des têtes couronnées. Il est l'auteur de Prince William - La vraie vie d'un futur roi, publié aux éditions du Rocher. Il décryptera les enjeux de cette visite d'État.
Face à Luc Presson, le chef du Service de la Protection de la Police nationale, Philippe Caverivière revient sur les visites du pape François et du roi Charles III en France.
durée : 00:23:47 - La visite du roi Charles III en France
durée : 00:23:50 - La visite du roi Charles III en France